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- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
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[3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 4 Aoû 2008 - 14:11
Versailles. Depuis presque d’un demi-siècle, le château de Versailles réjouit les touristes de ses fontaines et de ses jardins majestueux. Son architecture unique et grandiose nous en met plein la vue dès notre arrivée. Toutefois, aujourd’hui, quelque chose de plus que la richesse de son histoire attirait la foule. En effet, une foule de journaliste attendait avec impatiente le moment pour prendre leurs photos et poser des questions aux députés et aux sénateurs qui seront présents.
13 heures – Les 930 parlementaires présents pour l’Assemblée générale font leur entrée. Les journalistes, les nombreux touristes et citoyens intéressés se rassemblèrent rapidement autour d’eux. Les journalistes harcèlent les premiers parlementaires qui pouvaient bien leur tomber sous la main. La question qui était sur toutes les lèvres : Devrions nous voter une modification de la constitution disant que les mutants sont aussi égaux que les humains ? Les avis étaient partagés dans la foule qui accompagnait les parlementaires jusqu’à l’hémicycle.
Rapidement, la foule fut contenue à l’extérieur d’un périmètre de sécurité et lecongrèsdébuta. La question du jour fut exposée par le Président de l'Assemblée devant les dizaines de caméras qui transféraient les images à des téléviseurs pour la foule à l’extérieur. Dans le silence qui régnait dans l’assemblée, un rire s’éleva. D’abord très grave et très faible, le rire devint de plus en plus franc et fort. Les 930 hommes regardèrent de tout bord et tout côté pour essayer de trouver la source du rire. Les agents de sécurité n’étaient pas certains non plus de comprendre ce qui se passait. Des talons résonnèrent sur le plancher de marbre et finalement, une grande femme brune apparut sous un projecteur de lumière. Elle s’empara du premier micro qu’elle eut sous la main et s’exclama :
« Je connais la réponse ! »
Carrie éclata d’un second rire sinistre. Plusieurs gardes de sécurité s’étaient approchés d’elle. Elle arrêta de rire, mais toujours le sourire aux lèvres, les regarda.
« Je ne ferais pas cela à votre place… »
Carrie tira sur le fil du micro pour voir si elle avait assez de fil à retordre. Lentement, ses pieds quittèrent le sol devant les yeux ébahis des gardiens de sécurité. Elle se promena ainsi, de long en large devant l’assemblée qui s’activait un petit peu plus et s’énervait. Elle fit une moue de peur moqueuse et eut un second rire.
« Je suis certaine que vous connaissez la bonne réponse. Voyons les choses en face. Vous, homos sapiens, bien installés dans vos salons avec votre télévision et Internet. Votre vie est facile, vous êtes des esclaves de votre propre société. Ils pourraient bien faire ce qu’ils veulent, les homos sapiens, vous les laisseriez faire ce qu’ils veulent ! Tant que vous avez toujours votre télévision et Internet ! »
Carrie s’approcha d’un homme qui se levait pour s’en aller et lui pesa sur les épaules pour bien l’écraser dans son siège. Elle caressa son crâne chauve d’une main douce, ses ongles s’enfonçant lentement dans sa peau. Lorsque l’homme eut terminé de se plaindre et que ses ongles avaient arrachés une petite partie de son cuir non chevelu, l’avocate s’éloigna lentement. Elle se placa en vol stable au dessus du président, leva un bras et annonça comme Jésus l’avait fait avant elle la Bonne Nouvelle :
« Nous sommes supérieurs. Nous sommes l’évolution. La dernière chose que nous souhaitons c’est d’être au même niveau que vous, infâmes vers rampant sous les ordres et les insultes ! Vous faites un congrès pour déterminer si les mutants devraient être vos égaux ! Nous sommes les Maîtres que vous attendiez, pauvres esclaves…Pendant que vous regardiez « Qui veut gagner des millions » nous gagnions en puissance ! Nous devrions vous dicter vos actions ! Nous devrions monter une assemblée pour déterminer si les humains ont le droit de restés sur cette Terre !»
En un clignement d’œil, Carrie se dirigea vers la porte de l’hémicycle et fit face à la caméra d’une caméraman pétrifiée. Elle posa ses mains sur la porte de chène et dit :
« Boo ! »
Avant de faire exploser la porte en milles miettes.
La foule se mit à paniquer et à se sauver. Elle vola jusqu'au président de l'Assemblée. Elle s'empara de son cou d'une main forte et, le regard fou, sombre, vide et sinistre, elle sourit.
Son sourire fut diffusé à grandeur de la foule. Le groupe d'élèves entra dans l'hémicycle. Carrie ne les remarqua même pas. Mais avant qu'ils aient le temps de faire quoi que ce soit, Nan et Sven reconnurent un ancien élève de l'Institut. Jon Parker, usant de télékinésie, fit voler une chaise en direction de Carrie qui l'évita facilement. Carrie tourna la tête vers les 11 clones en tenue commando noire qui se trouvaient droit devant elle.
"Que voulez-vous?"
"Arrêter la mutante..." répondit un des clones d'une voix mécaniques très étrange, donnant des frissons dans le dos. La tête du clone eut un mouvement très désarticulé et envoya une boule de feu en direction d'un caméraman qui filmait l'action. Il tourna ensuite la tête vers Carrie et resta immobile. Soudainement, Carrie ne semblait plus avoir autant de plaisir à jouer. Elle eut une grimace de colère et fit exploser la table devant le président d'un coup de poing violent. Ce dernier reçut plusieurs débris de bois massif contre la tête.
13 heures – Les 930 parlementaires présents pour l’Assemblée générale font leur entrée. Les journalistes, les nombreux touristes et citoyens intéressés se rassemblèrent rapidement autour d’eux. Les journalistes harcèlent les premiers parlementaires qui pouvaient bien leur tomber sous la main. La question qui était sur toutes les lèvres : Devrions nous voter une modification de la constitution disant que les mutants sont aussi égaux que les humains ? Les avis étaient partagés dans la foule qui accompagnait les parlementaires jusqu’à l’hémicycle.
Rapidement, la foule fut contenue à l’extérieur d’un périmètre de sécurité et lecongrèsdébuta. La question du jour fut exposée par le Président de l'Assemblée devant les dizaines de caméras qui transféraient les images à des téléviseurs pour la foule à l’extérieur. Dans le silence qui régnait dans l’assemblée, un rire s’éleva. D’abord très grave et très faible, le rire devint de plus en plus franc et fort. Les 930 hommes regardèrent de tout bord et tout côté pour essayer de trouver la source du rire. Les agents de sécurité n’étaient pas certains non plus de comprendre ce qui se passait. Des talons résonnèrent sur le plancher de marbre et finalement, une grande femme brune apparut sous un projecteur de lumière. Elle s’empara du premier micro qu’elle eut sous la main et s’exclama :
« Je connais la réponse ! »
Carrie éclata d’un second rire sinistre. Plusieurs gardes de sécurité s’étaient approchés d’elle. Elle arrêta de rire, mais toujours le sourire aux lèvres, les regarda.
« Je ne ferais pas cela à votre place… »
Carrie tira sur le fil du micro pour voir si elle avait assez de fil à retordre. Lentement, ses pieds quittèrent le sol devant les yeux ébahis des gardiens de sécurité. Elle se promena ainsi, de long en large devant l’assemblée qui s’activait un petit peu plus et s’énervait. Elle fit une moue de peur moqueuse et eut un second rire.
« Je suis certaine que vous connaissez la bonne réponse. Voyons les choses en face. Vous, homos sapiens, bien installés dans vos salons avec votre télévision et Internet. Votre vie est facile, vous êtes des esclaves de votre propre société. Ils pourraient bien faire ce qu’ils veulent, les homos sapiens, vous les laisseriez faire ce qu’ils veulent ! Tant que vous avez toujours votre télévision et Internet ! »
Carrie s’approcha d’un homme qui se levait pour s’en aller et lui pesa sur les épaules pour bien l’écraser dans son siège. Elle caressa son crâne chauve d’une main douce, ses ongles s’enfonçant lentement dans sa peau. Lorsque l’homme eut terminé de se plaindre et que ses ongles avaient arrachés une petite partie de son cuir non chevelu, l’avocate s’éloigna lentement. Elle se placa en vol stable au dessus du président, leva un bras et annonça comme Jésus l’avait fait avant elle la Bonne Nouvelle :
« Nous sommes supérieurs. Nous sommes l’évolution. La dernière chose que nous souhaitons c’est d’être au même niveau que vous, infâmes vers rampant sous les ordres et les insultes ! Vous faites un congrès pour déterminer si les mutants devraient être vos égaux ! Nous sommes les Maîtres que vous attendiez, pauvres esclaves…Pendant que vous regardiez « Qui veut gagner des millions » nous gagnions en puissance ! Nous devrions vous dicter vos actions ! Nous devrions monter une assemblée pour déterminer si les humains ont le droit de restés sur cette Terre !»
En un clignement d’œil, Carrie se dirigea vers la porte de l’hémicycle et fit face à la caméra d’une caméraman pétrifiée. Elle posa ses mains sur la porte de chène et dit :
« Boo ! »
Avant de faire exploser la porte en milles miettes.
La foule se mit à paniquer et à se sauver. Elle vola jusqu'au président de l'Assemblée. Elle s'empara de son cou d'une main forte et, le regard fou, sombre, vide et sinistre, elle sourit.
Son sourire fut diffusé à grandeur de la foule. Le groupe d'élèves entra dans l'hémicycle. Carrie ne les remarqua même pas. Mais avant qu'ils aient le temps de faire quoi que ce soit, Nan et Sven reconnurent un ancien élève de l'Institut. Jon Parker, usant de télékinésie, fit voler une chaise en direction de Carrie qui l'évita facilement. Carrie tourna la tête vers les 11 clones en tenue commando noire qui se trouvaient droit devant elle.
"Que voulez-vous?"
"Arrêter la mutante..." répondit un des clones d'une voix mécaniques très étrange, donnant des frissons dans le dos. La tête du clone eut un mouvement très désarticulé et envoya une boule de feu en direction d'un caméraman qui filmait l'action. Il tourna ensuite la tête vers Carrie et resta immobile. Soudainement, Carrie ne semblait plus avoir autant de plaisir à jouer. Elle eut une grimace de colère et fit exploser la table devant le président d'un coup de poing violent. Ce dernier reçut plusieurs débris de bois massif contre la tête.
- InvitéInvité
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 4 Aoû 2008 - 23:38
Richard pénétra dans l’enceinte de l’hémicycle suivit des élèves de l’institut, préparé à ce qu’il risquait de trouver à l’intérieur. Comme il l’avait vu sur les écrans, Carrie se donnait en spectacle, déclarant ouvertement que les mutants étaient bien supérieurs aux humains. Elle volait de part et d’autre de la salle, mais avant qu’il n’eut pu dire un seul mot aux élèves qui l’accompagnaient, un commando en noir intervint. Richard eut comme un doute, puis réalisa à son tour qu’il connaissait l’élève qui avait lancé la chaise sur Carrie. Pour l’avoir rencontré une fois, et pour s’être occupé de sa succession tandis qu’il avait disparu de la circulation. Le jeune homme se nommait Jon Parker, mais il semblait bien que ce n’était pas lui, mais bel et bien l’un de ces fameux clones.
Richard analysa la situation, réfléchissant rapidement. Il avait pris connaissance des capacités de chacun et pris les choses en main, non sans oublier de créer un de ses clones près du cameraman pour l’écarter de la trajectoire de la boule de feu lancé par l’un des clones. L'homme et la caméra s'éffondrèrent tous les deux sur le sol. Le caméraman semblait beaucoup plus en colère contre Richard qu'il ne l'était contre Carrie. Il ne pourrait même plus filmer! Il lui lanca des insultes.
« Cloud, il faudrait que tu masques les caméras, pour que tout ce qu’on va faire ici ne puisse être retransmis en direct. Morphée, je vais créer des clones à chaque sortit, il faudrait que tu fasses croire aux députés qu’il s’agit de force d’intervention, afin de les faire évacuer dans le plus grand calme possible. Kabeyun et Sphère, je pense qu’à vous deux vous pouvez sauver le président de l’Assemblé, on va essayé d’occuper Carrie pour qu’elle le lâche, même si ces clones s’en chargent déjà à notre place. Essaie de faire une bulle autour de lui si tu peux, l’objectif premier est de protéger tous les députés. Shure, tu peux essayer d’en neutraliser, je peux t’aider de quelques clones. On ne connaît pas leurs pouvoirs... »
S’interrompant pour vérifier auprès de son clone que le cameraman était sain et sauf, Fish réfléchit aux autres objectifs. Concilier le tout n’allait pas être une partie de plaisir. Il posa ensuite son regard sur les membres de l’équipe improvisée.
« Il faut empêcher Carrie de faire trop de dégât, le temps que l’autre équipe soit parvenu à désactiver le contrôle mentale qui est exercé sur elle. Allons-y, faites attention... »
Il savait pertinemment sa dernière phrase inutile, mais n’avait pas pu s’empêcher de la prononcer. Il se sentait, comme à chaque mission, responsable des élèves dont il avait la charge. Mais la situation était bien plus délicate que d’habitude. Sur ce, il créa un grand nombre de clones, les plaçant à proximité de chaque entrée, afin de procéder à l’évacuation des députés. Les députés étaient terrorisés de ce qui se passait. Ils étaient effrayés à la fois de Carrie, des clones et de Richard qui se dédoublait! Toutefois, deux petites centaines de députés réussirent à quitter avec l'aide de Richard. Les autres eurent trop peur et restèrent scotchés sur leur siège.
Richard analysa la situation, réfléchissant rapidement. Il avait pris connaissance des capacités de chacun et pris les choses en main, non sans oublier de créer un de ses clones près du cameraman pour l’écarter de la trajectoire de la boule de feu lancé par l’un des clones. L'homme et la caméra s'éffondrèrent tous les deux sur le sol. Le caméraman semblait beaucoup plus en colère contre Richard qu'il ne l'était contre Carrie. Il ne pourrait même plus filmer! Il lui lanca des insultes.
« Cloud, il faudrait que tu masques les caméras, pour que tout ce qu’on va faire ici ne puisse être retransmis en direct. Morphée, je vais créer des clones à chaque sortit, il faudrait que tu fasses croire aux députés qu’il s’agit de force d’intervention, afin de les faire évacuer dans le plus grand calme possible. Kabeyun et Sphère, je pense qu’à vous deux vous pouvez sauver le président de l’Assemblé, on va essayé d’occuper Carrie pour qu’elle le lâche, même si ces clones s’en chargent déjà à notre place. Essaie de faire une bulle autour de lui si tu peux, l’objectif premier est de protéger tous les députés. Shure, tu peux essayer d’en neutraliser, je peux t’aider de quelques clones. On ne connaît pas leurs pouvoirs... »
S’interrompant pour vérifier auprès de son clone que le cameraman était sain et sauf, Fish réfléchit aux autres objectifs. Concilier le tout n’allait pas être une partie de plaisir. Il posa ensuite son regard sur les membres de l’équipe improvisée.
« Il faut empêcher Carrie de faire trop de dégât, le temps que l’autre équipe soit parvenu à désactiver le contrôle mentale qui est exercé sur elle. Allons-y, faites attention... »
Il savait pertinemment sa dernière phrase inutile, mais n’avait pas pu s’empêcher de la prononcer. Il se sentait, comme à chaque mission, responsable des élèves dont il avait la charge. Mais la situation était bien plus délicate que d’habitude. Sur ce, il créa un grand nombre de clones, les plaçant à proximité de chaque entrée, afin de procéder à l’évacuation des députés. Les députés étaient terrorisés de ce qui se passait. Ils étaient effrayés à la fois de Carrie, des clones et de Richard qui se dédoublait! Toutefois, deux petites centaines de députés réussirent à quitter avec l'aide de Richard. Les autres eurent trop peur et restèrent scotchés sur leur siège.
- Robin HosterJustiX
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mar 5 Aoû 2008 - 15:49
Le chateau de versailles. En d'autres circonstances Robin aurait été subjugué, là il n'était que sous tension. Il y avait beaucoup de choses qui lui déplaisaient dans cette mission: Il était séparé des autres NGX, Ils affrontaient Carrie et en plus il n'aimait pas trop Richard. En fait il ne le connaissait pas! Comment lui faire confiance? Bien sur c'était un prof et aujourd'hui son leader, mais Robin n'était pas sur de lui faire confiance à 100%.
Mais il ne devait pas echouer. Pour les efforts d'Anna et kitty, pour les morts de l'institut et pour se venger de l'attaque. car si plusieurs choses lui déplaisait dans cette mission, une chose le rendait fou de joie. taper sur ceux qui les avaients attaquer. Et alors qu'il pensait qu'il n'aurait affaire qu'à carrie, ce qui était déjà beaucoup, il eu la joie de voir qu'ils n'étaient pas seuls! Un autre groupe de mutant s'en prenaient à Miss Marcin et visiblement ils leurs étaient aussi hostile.
Richard donna ses consignes. Bien, il allait pouvoir se defouler!!! Il chercha alors du regard un bout de bois ou de metal qui pourrait faire office d'arme improvisée. Il fallait que cela tienne bien dans sa main et que cela ne soit pas trop long. Au pire il cassera un des balcons pour avoir ce qu'il veut. Les seules choses qu'il trouva à portée furent des micros, des crayons, un drapeau et des malettes. Lorsqu'il tenta de fracasser un balcon pour en voler un morceau, il se rendit vite compte qu'ils étaient très solide et de trop bonne qualité pour espèrer les défaire. Rob pencha donc pour un mat de drapeau francais mesurant 1 mètre et qui semblait assez solide.
Une fois cela fait il allait passer à l'action. Il tentera de reperer un des clones qui semblait menaçant et activa son pouvoir. Les clameurs ambiantes devaient lui permettre de le faire, il décida pour le moment de se contenter de vitesses inferieures, proche d'une voiture, il ne poussa donc pas son pouvoir à fond. Il courut vers sa cible et tenta de le frapper avec son arme improvisé dans le ventre afin de le mettre hors course. La course de Shure se terminera plus loin à l'abri des possibles represailles...
L'action de Rob, toutefois, ne se passant pas comme prévu. Lorsque le mat entra en contact avec le clône, il se dématérialisa. À la fin de sa course, Rob retrouva le restant du mat dans ses mains, la moitié "fondue" par le pouvoir du clone. Ce dernier se tourna vers Rob et lui envoya un regard menacant.
Mais il ne devait pas echouer. Pour les efforts d'Anna et kitty, pour les morts de l'institut et pour se venger de l'attaque. car si plusieurs choses lui déplaisait dans cette mission, une chose le rendait fou de joie. taper sur ceux qui les avaients attaquer. Et alors qu'il pensait qu'il n'aurait affaire qu'à carrie, ce qui était déjà beaucoup, il eu la joie de voir qu'ils n'étaient pas seuls! Un autre groupe de mutant s'en prenaient à Miss Marcin et visiblement ils leurs étaient aussi hostile.
Richard donna ses consignes. Bien, il allait pouvoir se defouler!!! Il chercha alors du regard un bout de bois ou de metal qui pourrait faire office d'arme improvisée. Il fallait que cela tienne bien dans sa main et que cela ne soit pas trop long. Au pire il cassera un des balcons pour avoir ce qu'il veut. Les seules choses qu'il trouva à portée furent des micros, des crayons, un drapeau et des malettes. Lorsqu'il tenta de fracasser un balcon pour en voler un morceau, il se rendit vite compte qu'ils étaient très solide et de trop bonne qualité pour espèrer les défaire. Rob pencha donc pour un mat de drapeau francais mesurant 1 mètre et qui semblait assez solide.
Une fois cela fait il allait passer à l'action. Il tentera de reperer un des clones qui semblait menaçant et activa son pouvoir. Les clameurs ambiantes devaient lui permettre de le faire, il décida pour le moment de se contenter de vitesses inferieures, proche d'une voiture, il ne poussa donc pas son pouvoir à fond. Il courut vers sa cible et tenta de le frapper avec son arme improvisé dans le ventre afin de le mettre hors course. La course de Shure se terminera plus loin à l'abri des possibles represailles...
L'action de Rob, toutefois, ne se passant pas comme prévu. Lorsque le mat entra en contact avec le clône, il se dématérialisa. À la fin de sa course, Rob retrouva le restant du mat dans ses mains, la moitié "fondue" par le pouvoir du clone. Ce dernier se tourna vers Rob et lui envoya un regard menacant.
- InvitéInvité
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mar 5 Aoû 2008 - 16:52
Effrayant, tout bonnement effrayant.
Carrie la dragonne révélait sa véritable nature et surtout la teneur de son pouvoir. Ils ne feraient pas le poids, non, jamais.
Le départ pour la France aurait du la ravir. Elle allait revoir sa patrie maternelle, l'endroit où elle avait passé les moments les plus heureux de sa vie avec l'Institut.
Pourtant, son ventre était noué. C'était une mission suicide!
Carrie sous leurs yeux déployaient ses pouvoirs mais ils n'étaient pas seuls. D'autres personnes qu'elle ne connaissait pas se battaient avec eux.
S'ils s'y mettaient tous, ils pourraient peut-être la dominer? Gabrielle en doutait cependant. Après tout, il avait fallut un tremblement de terre pour mettre Richard à terre...
L'heure n'était cependant pas aux atermoiments. Ils devaient agir. Richard dicta ses ordres et Gabrielle hocha doucement la tête.
Elle s'avança vers les hommes politiques. Elle devait attirer leur attention pour que son pouvoir soit des plus efficaces.
Elle s'avança vers l'un des micros et poussa le son à fond avant de crier de toutes ses forces.
Richard lui avait confié une mission. Ils devaient évacuer la salle avant de pouvoir s'occuper de Carrie.
"Regardez-moi!!"
Dardant alors son regard sur tous les députés qu'elle pouvait englober, elle tenta d'utiliser son pouvoir.
L'endroit devint alors plus calme. Les clones entouraient Carrie ui affichait une expression apeurée.
Les doubles de Richards eux avaient pris l'apparence d'agents de sécurité.
"Ce n'est rien, la situation est en voie d'être réglé, il faut quitter la salle, dépéchez vous!!"
Des conseils retentissaient de part et d'autre. Le ton était assez autoritaire pour convaincre les députés de ne pas faire preuve d'un zèle virant à l'inconscience mais aussi pour les tirer de leur langueur. Dans les 150 députés qu'elle avait en vue, une centaine se levèrent et quittèrent la salle en courant. Certaines s'arrêtèrent devant la porte, observèrent Richard un moment, jettèrent un coup d'oeil derrière eux et finalement sortir de la salle en vitesse.
Carrie la dragonne révélait sa véritable nature et surtout la teneur de son pouvoir. Ils ne feraient pas le poids, non, jamais.
Le départ pour la France aurait du la ravir. Elle allait revoir sa patrie maternelle, l'endroit où elle avait passé les moments les plus heureux de sa vie avec l'Institut.
Pourtant, son ventre était noué. C'était une mission suicide!
Carrie sous leurs yeux déployaient ses pouvoirs mais ils n'étaient pas seuls. D'autres personnes qu'elle ne connaissait pas se battaient avec eux.
S'ils s'y mettaient tous, ils pourraient peut-être la dominer? Gabrielle en doutait cependant. Après tout, il avait fallut un tremblement de terre pour mettre Richard à terre...
L'heure n'était cependant pas aux atermoiments. Ils devaient agir. Richard dicta ses ordres et Gabrielle hocha doucement la tête.
Elle s'avança vers les hommes politiques. Elle devait attirer leur attention pour que son pouvoir soit des plus efficaces.
Elle s'avança vers l'un des micros et poussa le son à fond avant de crier de toutes ses forces.
Richard lui avait confié une mission. Ils devaient évacuer la salle avant de pouvoir s'occuper de Carrie.
"Regardez-moi!!"
Dardant alors son regard sur tous les députés qu'elle pouvait englober, elle tenta d'utiliser son pouvoir.
L'endroit devint alors plus calme. Les clones entouraient Carrie ui affichait une expression apeurée.
Les doubles de Richards eux avaient pris l'apparence d'agents de sécurité.
"Ce n'est rien, la situation est en voie d'être réglé, il faut quitter la salle, dépéchez vous!!"
Des conseils retentissaient de part et d'autre. Le ton était assez autoritaire pour convaincre les députés de ne pas faire preuve d'un zèle virant à l'inconscience mais aussi pour les tirer de leur langueur. Dans les 150 députés qu'elle avait en vue, une centaine se levèrent et quittèrent la salle en courant. Certaines s'arrêtèrent devant la porte, observèrent Richard un moment, jettèrent un coup d'oeil derrière eux et finalement sortir de la salle en vitesse.
- InvitéInvité
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mer 6 Aoû 2008 - 19:55
Boucle d’or n’avait pas passé une agréable nuit, rêvant tour à tour d’une Cassandre psychopathe et d’une Carrie du même acabit. Seul Juliette avait été affecté avec la jeune mutante à la récupération de leur mentor ce qui d’autant plus perturbant. Décidément avec la bourde de leur leader lors du dernier combat et une telle séparation l’esprit d’équipe des Justix était bien mit à mal, Noémie essaya de se convaincre qu’une fois ces épreuves traversées ils ne se relèveraient que plus fort et souder.
La New-yorkaise ne dit pas un mot durant le trajet vers Paris, une destination qui était loin de lui évoquer dorénavant l’idéale romantique… Une fois proche de Versailles le groupe se divisa pour rechercher Carrie. Mais Pulse n’était pas du genre à faire profil bas, la recherche fut brève. Le discours qu’elle fit ne choqua que très peu Noémie. La majorité des paroles sonnaient vrai, alors pourquoi vouloir l’arrêter ? Seulement pour le fait que Mlle Marcin ne sèmerait sans doute pas la mort et la justice de cette manière en temps normal.
Dans l’hémicycle Richard fit face à la situation alarmante d’une manière fort logique, la possession psychique avait pour le moment bel et bien disparu. Sphère se rapprocha alors immédiatement de son binôme. La personne qu’elle connaissait probablement le plus, dans le sens où ils avaient déjà fait face ensemble à une aveugle déchaîner et une terrible équipe de foot…
Des hurlements, la plus puissante mutante de l’institut sous le contrôle d’un groupuscule mystérieux, des clones voulant en découdre, la jeune fille était complètement larguée par les événements. Dans ces cas là autant se raccrocher aux choses simples, c’est ce qu’elle fit. Richard avait donné ses ordres autant les exécuter et se poser les questions ensuite.
Noémie prit la main de Nan et lui dit d’un ton ironique :
« Bon tu restes près de moi et cette fois essai de ne pas m’envoyer aux pays des rêves »
Les deux mutants tentèrent ensuite de se frayer un chemin dans la foule le plus discrètement possible pour se rapprocher de Carrie. Au moindre danger boucle d’or déclencha la bulle protectrice, une fois arrivé à quelque mètres de la possédée elle déclencha de toute manière son champs de force. Heureusement, les clônes étaient plus concentrés, voir programmé, sur Carrie pour s'occuper de Noémie et Nan. Elle se tourna ensuite vers son camarade :
« A toi de jouer. »
[Note de Carrie: Je validerai ta dernière résolution seulement lorsque Nanikana aura posté.]
La New-yorkaise ne dit pas un mot durant le trajet vers Paris, une destination qui était loin de lui évoquer dorénavant l’idéale romantique… Une fois proche de Versailles le groupe se divisa pour rechercher Carrie. Mais Pulse n’était pas du genre à faire profil bas, la recherche fut brève. Le discours qu’elle fit ne choqua que très peu Noémie. La majorité des paroles sonnaient vrai, alors pourquoi vouloir l’arrêter ? Seulement pour le fait que Mlle Marcin ne sèmerait sans doute pas la mort et la justice de cette manière en temps normal.
Dans l’hémicycle Richard fit face à la situation alarmante d’une manière fort logique, la possession psychique avait pour le moment bel et bien disparu. Sphère se rapprocha alors immédiatement de son binôme. La personne qu’elle connaissait probablement le plus, dans le sens où ils avaient déjà fait face ensemble à une aveugle déchaîner et une terrible équipe de foot…
Des hurlements, la plus puissante mutante de l’institut sous le contrôle d’un groupuscule mystérieux, des clones voulant en découdre, la jeune fille était complètement larguée par les événements. Dans ces cas là autant se raccrocher aux choses simples, c’est ce qu’elle fit. Richard avait donné ses ordres autant les exécuter et se poser les questions ensuite.
Noémie prit la main de Nan et lui dit d’un ton ironique :
« Bon tu restes près de moi et cette fois essai de ne pas m’envoyer aux pays des rêves »
Les deux mutants tentèrent ensuite de se frayer un chemin dans la foule le plus discrètement possible pour se rapprocher de Carrie. Au moindre danger boucle d’or déclencha la bulle protectrice, une fois arrivé à quelque mètres de la possédée elle déclencha de toute manière son champs de force. Heureusement, les clônes étaient plus concentrés, voir programmé, sur Carrie pour s'occuper de Noémie et Nan. Elle se tourna ensuite vers son camarade :
« A toi de jouer. »
- Code:
Si Carrie ne les a pas remarquer et que Nan arrive à faire lâcher le président à sa geôlière, Sphère avec Kabeyun s’approche rapidement pour essayer d’englober le président dans le champ de force.
[Note de Carrie: Je validerai ta dernière résolution seulement lorsque Nanikana aura posté.]
- InvitéInvité
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Jeu 7 Aoû 2008 - 17:33
Nan' avait dormi collé contre Jen... ainsi qu'une demi-douzaine d'autres élèves, dans le hangar. Ayant l'habitude de vivre à plusieurs dans un endroit restreint, à Pikogan, ça ne l'avait pas trop dérangé, bien qu'il dû avouer qu'un peu plus d'espace ne lui aurait pas déplu.
Le lendemain, dans le jet, Jen et lui ne se lâchèrent pas la main, jusqu'à ce que le verdict tombe : ils seraient séparés. Et Jen leader! L'algonquin envoya un sourire sincère à sa copine, confiant en ses capacités de stratège et de combattante, mais lorsqu'elle lui fit une expression du genre "Prend soin de toi", il lui renvoya le message miroir, puis il descendit avec Richard, Gabrielle, Noémie, Rob et Sven, dont il avait tenté de mémoriser les noms de codes pendant près de la moitié du trajet...
Lorsqu'ils arriva dans l'espèce d'amphithéâtre géant, Nan' fut choqué par les propos du professeur Marcin : jamais il ne se considérerait comme supérieur à sa famille. Et, aux dernières nouvelles, ils n'étaient pas mutants. Il ne pourrait donc pas, par extension, se considérer meilleur que les humains.
Factoriel le sortit des ses pensées d'éthique et de philosophie en lui demandant, en travaillant avec Sphère, de sauver le président d'assemblée. L'objectif était clair : le pouvoir de Noémie pouvait englober les gens au contact, alors il fallait que Carrie lâche prise un instant, et que boucle d'or profite de cette déconcentration pour englober le président, et le protéger.
L'intervention de Noémie, par contre, le fit ciller. Était-ce sa faute si Cassandre l'avait étouffée? À la connaissance de l'algonquin, non, mais il devrait peut-être introspecter à ce sujet. À leur retour, s'ils en revenaient.
Dès qu'elle lui eut prit la main, Nan' s'élança aux côtés de Noémie, à une vitesse optimisant leur discrétion tout en minimisant le temps de la course. Apparemment, les clones étaient obnubilés par Carrie, et peut-être un peu par Shure, de telle sorte qu'ils ne semblaient pas voir Sphère et Kabeyun. Et Carrie non plus visiblement.
Ne restait qu'à espérer que ses bourrasques soient assez puissantes pour déstabiliser la dragonne (^^) en vol...
Lorsque la Justix lui lança "À toi de jouer", Nan' vérifia qu'elle était en position, puis d'un hochement de tête passa à l'action.
Kabeyun lança une bourrasque vers Carrie, dans un premier temps pour l'éloigner du président et lui faire lâcher prise. Ensuite, dès qu'elle l'aurait relâché, il enverrait des bourrasques de différents côtés (sauf par derrière), pour la déstabiliser au maximum, en la chavirant d'un côté puis de l'autre* *, afin de donner le plus de temps possible à Noémie pour effectuer son action.
Carrie lâcha bel et bien le président, secouée par les bourrasques que lui envoyait Nan'. Noémie eut le temps d'englober le président, mais Carrie ne s'en occupait déjà plus. Elle profita du moment de répit lorsque Noémie arrêta de proteger Nan pour qu'il use de son pouvoir. Elle vola à une très grande vitesse juste devant Nan et l'attrappa par le colet. Elle le souleva avec une force décuplée par la colère et l'adrénaline, le regard mauvais et brillant de méchanceté.
Nan' fit alors quelques pas de côté pour laisser une plus grande manœuvre à Sphère.
Le lendemain, dans le jet, Jen et lui ne se lâchèrent pas la main, jusqu'à ce que le verdict tombe : ils seraient séparés. Et Jen leader! L'algonquin envoya un sourire sincère à sa copine, confiant en ses capacités de stratège et de combattante, mais lorsqu'elle lui fit une expression du genre "Prend soin de toi", il lui renvoya le message miroir, puis il descendit avec Richard, Gabrielle, Noémie, Rob et Sven, dont il avait tenté de mémoriser les noms de codes pendant près de la moitié du trajet...
Lorsqu'ils arriva dans l'espèce d'amphithéâtre géant, Nan' fut choqué par les propos du professeur Marcin : jamais il ne se considérerait comme supérieur à sa famille. Et, aux dernières nouvelles, ils n'étaient pas mutants. Il ne pourrait donc pas, par extension, se considérer meilleur que les humains.
Factoriel le sortit des ses pensées d'éthique et de philosophie en lui demandant, en travaillant avec Sphère, de sauver le président d'assemblée. L'objectif était clair : le pouvoir de Noémie pouvait englober les gens au contact, alors il fallait que Carrie lâche prise un instant, et que boucle d'or profite de cette déconcentration pour englober le président, et le protéger.
L'intervention de Noémie, par contre, le fit ciller. Était-ce sa faute si Cassandre l'avait étouffée? À la connaissance de l'algonquin, non, mais il devrait peut-être introspecter à ce sujet. À leur retour, s'ils en revenaient.
Dès qu'elle lui eut prit la main, Nan' s'élança aux côtés de Noémie, à une vitesse optimisant leur discrétion tout en minimisant le temps de la course. Apparemment, les clones étaient obnubilés par Carrie, et peut-être un peu par Shure, de telle sorte qu'ils ne semblaient pas voir Sphère et Kabeyun. Et Carrie non plus visiblement.
Ne restait qu'à espérer que ses bourrasques soient assez puissantes pour déstabiliser la dragonne (^^) en vol...
Lorsque la Justix lui lança "À toi de jouer", Nan' vérifia qu'elle était en position, puis d'un hochement de tête passa à l'action.
Kabeyun lança une bourrasque vers Carrie, dans un premier temps pour l'éloigner du président et lui faire lâcher prise. Ensuite, dès qu'elle l'aurait relâché, il enverrait des bourrasques de différents côtés (sauf par derrière), pour la déstabiliser au maximum, en la chavirant d'un côté puis de l'autre* *, afin de donner le plus de temps possible à Noémie pour effectuer son action.
Carrie lâcha bel et bien le président, secouée par les bourrasques que lui envoyait Nan'. Noémie eut le temps d'englober le président, mais Carrie ne s'en occupait déjà plus. Elle profita du moment de répit lorsque Noémie arrêta de proteger Nan pour qu'il use de son pouvoir. Elle vola à une très grande vitesse juste devant Nan et l'attrappa par le colet. Elle le souleva avec une force décuplée par la colère et l'adrénaline, le regard mauvais et brillant de méchanceté.
- Spoiler:
- *Un peu comme dans le toboggan nordique, ou un jeu de pinball... EDIT CARRIE: NONNN PAS LE TOBOGAN NORDIQUE!!
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Ven 8 Aoû 2008 - 10:49
Durant le voyage, Sven s'était extasié devant la magnificence du site de Versailles, expliquant à qui voulait l'entendre qu'un château d'une pareille ampleur était vraisemblablement dédié au culte de la personnalité d'un souverain en mal de reconnaissance, et qui était sans doute un nabot. Il expliqua alors qu'il avait entendu parler d'un président français, au début du XXIe siècle, bien que ses pensées furent rapidement détournées par la vision de Carrie jouer un nouvel épisode de Carrie Contre Attaque.
Comme si ce n'était pas suffisamment évident, il se sentit le besoin d'expliquer "Elle est possédée. Ca veut dire qu'elle a un mauvais état d'esprit, ou que son esprit est dans un mauvais état. Au choix."
Toutefois, d'autres mutants rappliquèrent, que malheureusement, Sven ne connaissait que trop bien, et c'est médusé qu'il constata que, d'emblée, l'équipe se retrouvait dans la position, peu enviable s'il en est, d'un soumis SM que l'on venait d'attacher avec une paire de menottes à un lit.
Il eut toutefois la présence d'esprit de parler dans son communicateur, plutôt que de beugler à la cantonnade :
"Ce sont des clones ! Des doubles-maléfiques d'anciens mutants de chez nous, ils sont cuits à la vapeur, avec des nouilles. Il y a sûrement des Jon Parker dans le lot, et peut-être aussi des Jen."
Cette rassurante déclaration effectuée, Sven s'employa alors à dissimuler la scène aux yeux des téléspectateurs indiscrets, en plaçant les caméras dans de gros nuages, regrettant seulement qu'il ne sache pas faire neiger, parce que pour la peine, ça aurait vraiment été de la neige à l'écran.
Comme si ce n'était pas suffisamment évident, il se sentit le besoin d'expliquer "Elle est possédée. Ca veut dire qu'elle a un mauvais état d'esprit, ou que son esprit est dans un mauvais état. Au choix."
Toutefois, d'autres mutants rappliquèrent, que malheureusement, Sven ne connaissait que trop bien, et c'est médusé qu'il constata que, d'emblée, l'équipe se retrouvait dans la position, peu enviable s'il en est, d'un soumis SM que l'on venait d'attacher avec une paire de menottes à un lit.
Il eut toutefois la présence d'esprit de parler dans son communicateur, plutôt que de beugler à la cantonnade :
"Ce sont des clones ! Des doubles-maléfiques d'anciens mutants de chez nous, ils sont cuits à la vapeur, avec des nouilles. Il y a sûrement des Jon Parker dans le lot, et peut-être aussi des Jen."
Cette rassurante déclaration effectuée, Sven s'employa alors à dissimuler la scène aux yeux des téléspectateurs indiscrets, en plaçant les caméras dans de gros nuages, regrettant seulement qu'il ne sache pas faire neiger, parce que pour la peine, ça aurait vraiment été de la neige à l'écran.
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mer 13 Aoû 2008 - 3:46
La salle se vidait tranquillement pas vite des parlementaires restants. Sven réussit avec succès à empêcher les caméramen qui restaient de filmer la scèene digne d'un film d'action/science-fiction. Avec l'illusion de Gabrielle et Richard qui s'occupait des clones, la situation n'était pas trop difficile. Noémie réussit à englober le président pour le sortir des griffes de Carrie. Mais de toute facon, Carrie n'était plus vraiment interessée à lui. En effet, face à face avec Carrie, Nanikana pouvait quasiment voir sa vie défiler devant ses yeux. Elle l'avait saisit par le collet et le regardait d'un regard furieux.
" Poussez vous de mon chemin"
Robin se trouvait maintenant face àa face avec un mutant qui semblait pouvoir faire fondre la matière. ROb ne savait pas ce que le mutant pouvait bien faire fondre, mais ce n'était pas une si bonne idée que cela d'attendre pour trouver...Le mutant s'avanca, visiblement furieux, vers Rob pour lui mettre une volée.
Un clone d'une grosseur imposante se mit à courir vers Carrie pour lui mettre une volée. Le clone ne s'occuperait probablement pas de Nanikana qui était dans le chemin.
" Poussez vous de mon chemin"
Robin se trouvait maintenant face àa face avec un mutant qui semblait pouvoir faire fondre la matière. ROb ne savait pas ce que le mutant pouvait bien faire fondre, mais ce n'était pas une si bonne idée que cela d'attendre pour trouver...Le mutant s'avanca, visiblement furieux, vers Rob pour lui mettre une volée.
Un clone d'une grosseur imposante se mit à courir vers Carrie pour lui mettre une volée. Le clone ne s'occuperait probablement pas de Nanikana qui était dans le chemin.
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Jeu 14 Aoû 2008 - 1:31
Richard avait créé ses clones, qui aidaient à l’évacuation des députés. Grâce à l’illusion de Gabrielle et, malgré un léger temps d’adaptation pour les humains présents face à ce changement de Richards en hommes d’interventions, ils étaient parvenus à faire évacuer la salle sans plus d’agitation qu’il n’y en avait déjà. Un bon point. Chaque homme tiré de là vivant, ce serait déjà quelque chose de pris. De leur côté, Noémie et Nan avait réussi dans leur objectif, libérer le président de l’assemblé. Restait plus qu’à sauver Nan qui avait malencontreusement pris la place de la personne à sauver en priorité.
Factoriel, en retrait par rapport à l’agitation et aux autres clones, agissaient comme un genre de chef d’orchestre. Il lui manquait juste, sur l’instant, les idées pour organiser un peu tout cela. Son regard passa successivement sur les élèves présents, évaluant le danger pour chacun d’eux. Rob aussi semblait être dans une situation délicate.
Un de ses clones, proche de Gabrielle, continuait de s’occuper de l’évacuation. Une idée lui vint tandis qu’il parlait, mais il n’était pas sur d’un point, c’était celui de l’illusion. Richard n’était pas un adepte de tout ce qui touchait à la télépathie.
« Morphée, continue l’illusion pendant qu’on s’occupe de Carrie. Je vais faire rentrer les clones pour aller chercher les députés cloués sur leurs sièges, je ne sais pas si, au passage, tu peux les faire tirer sur les clones qui attaquent Shure, même si ce n’est qu’une illusion, ça devrait les déstabiliser un instant. Attention quand même, des fois qu’ils aient eux aussi une barrière mentale... »
De son côté, Factoriel créa quelques clones autour de Noémie et Nan, ainsi que de Rob. Pour Rob, c’était surtout des renforts histoire d’attirer leur attention dans le cas où l’idée viendrait au clone de faire fondre quelqu’un. Autant que ce soit son clone plutôt que Shure... De l’autre côté, l’un d’eux s’occupa du président que tenait Sphère pour le guider jusqu’à la sortie de la salle. Le président se fit accompagner tranquillement vers la porte par un clone de Richard. De l'autre côté, le clone qui s'avancait vers Rob ne sembla pas remarquer les nombreux clones de Richard, continuant sa course vers le jeune homme. Il réfléchit en quatrième vitesse, murmura quelques mots, puis finit par se tourner vers Sven.
« Kabeyun... comment te sortir de là ? ... Cloud, au cas où Kabeyun viendrait à se faire éjecter ou simplement lâcher par Carrie, il faudrait que tu amortisses sa chute autant que possible. Je ne vois pas vraiment d’autres options... si tu as une idée pour le sortir de là... Aveugler celui qui court vers Carrie pour commencer... ça éviterait qu’il se retrouve prit au milieu.»
Richard n’avait vraisemblablement jamais eu à faire à Sven en mission, sinon, nulle doute qu’il ne lui aurait pas demander s’il avait une idée. Sa dernière phrase, il l’avait dite en voyant le clone gigantesque foncer sur sa collègue.
Factoriel, en retrait par rapport à l’agitation et aux autres clones, agissaient comme un genre de chef d’orchestre. Il lui manquait juste, sur l’instant, les idées pour organiser un peu tout cela. Son regard passa successivement sur les élèves présents, évaluant le danger pour chacun d’eux. Rob aussi semblait être dans une situation délicate.
Un de ses clones, proche de Gabrielle, continuait de s’occuper de l’évacuation. Une idée lui vint tandis qu’il parlait, mais il n’était pas sur d’un point, c’était celui de l’illusion. Richard n’était pas un adepte de tout ce qui touchait à la télépathie.
« Morphée, continue l’illusion pendant qu’on s’occupe de Carrie. Je vais faire rentrer les clones pour aller chercher les députés cloués sur leurs sièges, je ne sais pas si, au passage, tu peux les faire tirer sur les clones qui attaquent Shure, même si ce n’est qu’une illusion, ça devrait les déstabiliser un instant. Attention quand même, des fois qu’ils aient eux aussi une barrière mentale... »
De son côté, Factoriel créa quelques clones autour de Noémie et Nan, ainsi que de Rob. Pour Rob, c’était surtout des renforts histoire d’attirer leur attention dans le cas où l’idée viendrait au clone de faire fondre quelqu’un. Autant que ce soit son clone plutôt que Shure... De l’autre côté, l’un d’eux s’occupa du président que tenait Sphère pour le guider jusqu’à la sortie de la salle. Le président se fit accompagner tranquillement vers la porte par un clone de Richard. De l'autre côté, le clone qui s'avancait vers Rob ne sembla pas remarquer les nombreux clones de Richard, continuant sa course vers le jeune homme. Il réfléchit en quatrième vitesse, murmura quelques mots, puis finit par se tourner vers Sven.
« Kabeyun... comment te sortir de là ? ... Cloud, au cas où Kabeyun viendrait à se faire éjecter ou simplement lâcher par Carrie, il faudrait que tu amortisses sa chute autant que possible. Je ne vois pas vraiment d’autres options... si tu as une idée pour le sortir de là... Aveugler celui qui court vers Carrie pour commencer... ça éviterait qu’il se retrouve prit au milieu.»
Richard n’avait vraisemblablement jamais eu à faire à Sven en mission, sinon, nulle doute qu’il ne lui aurait pas demander s’il avait une idée. Sa dernière phrase, il l’avait dite en voyant le clone gigantesque foncer sur sa collègue.
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Jeu 14 Aoû 2008 - 4:26
Lorsque Nan' se sentit lever de terre, il cessa instinctivement de lâcher des bourrasques. Ensuite, ce ne fut pas bien long qu'il comprit avoir été troqué contre le président d'assemblée. Carrie était myope pour s'être méprise ainsi entre le petit algonquin et le grand (et plutôt gros à son avis) gaillard. Mais il n'eut pas le temps de le penser plus longtemps qu'il mesura l'ampleur de sa situation. La gravité et l'insécurité entre les mains desquelles il se trouvait avait un nom : Carrie Dragonne Marcin, spécialistes en cinétique et explosifs en tout genre. Songeant à divers moments de sa vie, entrecoupés d'une soirée jeu de carte, Nanikana était loin de porter attention à ce qui se passait autour. Au diable Noémie et le président... il devait d'abord s'en sortir, lui.
Il fronça les sourcils à cette pensée. La dernière fois qu'il en était venu à cette conclusion, il y avait eu mort d'homme... Et Carrie lui hurla de dégager la voie. Non pas qu'il n'eut pas le goût de s'enlever du chemin, mais il était à une certaine hauteur du sol, suspendu par le collet. Aussi bien dire que la tâche ne serait pas facile pour s'éclipser…
En tournant la tête, Nan' remarqua un clone –n'avait-il pas remarqué Jon Parker, dont Jen lui avait déjà parlé, sans qu'il ne s'aperçoive qu'elle avait eu un œil ou deux sur lui, avant son décès, à son entrée? D'où la conclusion qu'il s'agissait de clônes comme les NGX en avaient rencontrés- immense qui se dirigeait vers Carrie et, accessoirement lui. Il ne voulait pas vraiment s'imaginer le face à face à face qui aurait lieu si ni lui ni la leader des Justix ne faisait quelque chose.
Préférant cela à être projeter sur le clone, Nan' entreprit donc de s'arranger à sa façon.
Comme Carrie le suspendait par le collet et que ses jambes et ses bras étaient libres, Nan' entreprit de l'escalader comme il le faisait aux arbres pour cueillir des fruits. Il se fit balancer et enroula ses jambes autour de la taille de Carrie puis tenta de remonter, en s'aidant de sa main droite, pour pouvoir placer ses jambes sur les épaules de Carrie, comme un enfants sur celles de son père au cirque, ou le plus haut possible pour ne pas se prendre de coups. Son attitude devait ressembler, pour un observateur extérieur, à celle d'un chat qui grimpe sur quelqu'un pour éviter d'avoir à prendre un bain. Pendant tout ce temps, il plaça sa main gauche sur la bouche et le nez de Carrie et tenta de l'y garder pour l'étouffer, s'aidant de son pouvoir au besoin. Il ne songea pas que si l'avocate manquait de souffle et tombait dans les pommes, il tomberait aussi au sol…
Il fronça les sourcils à cette pensée. La dernière fois qu'il en était venu à cette conclusion, il y avait eu mort d'homme... Et Carrie lui hurla de dégager la voie. Non pas qu'il n'eut pas le goût de s'enlever du chemin, mais il était à une certaine hauteur du sol, suspendu par le collet. Aussi bien dire que la tâche ne serait pas facile pour s'éclipser…
En tournant la tête, Nan' remarqua un clone –n'avait-il pas remarqué Jon Parker, dont Jen lui avait déjà parlé, sans qu'il ne s'aperçoive qu'elle avait eu un œil ou deux sur lui, avant son décès, à son entrée? D'où la conclusion qu'il s'agissait de clônes comme les NGX en avaient rencontrés- immense qui se dirigeait vers Carrie et, accessoirement lui. Il ne voulait pas vraiment s'imaginer le face à face à face qui aurait lieu si ni lui ni la leader des Justix ne faisait quelque chose.
Préférant cela à être projeter sur le clone, Nan' entreprit donc de s'arranger à sa façon.
Comme Carrie le suspendait par le collet et que ses jambes et ses bras étaient libres, Nan' entreprit de l'escalader comme il le faisait aux arbres pour cueillir des fruits. Il se fit balancer et enroula ses jambes autour de la taille de Carrie puis tenta de remonter, en s'aidant de sa main droite, pour pouvoir placer ses jambes sur les épaules de Carrie, comme un enfants sur celles de son père au cirque, ou le plus haut possible pour ne pas se prendre de coups. Son attitude devait ressembler, pour un observateur extérieur, à celle d'un chat qui grimpe sur quelqu'un pour éviter d'avoir à prendre un bain. Pendant tout ce temps, il plaça sa main gauche sur la bouche et le nez de Carrie et tenta de l'y garder pour l'étouffer, s'aidant de son pouvoir au besoin. Il ne songea pas que si l'avocate manquait de souffle et tombait dans les pommes, il tomberait aussi au sol…
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Dim 17 Aoû 2008 - 18:41
Gabrielle faisait du mieux qu'elle pouvait. Elle savait qu'elle n'avait pas la possibilité de s'en prendre à Carrie, la claque qu'elle s'était prise en s'attaquant à un professeur dans le hall lui restait en mémoire.
Elle s'occupait donc de la partie évacuation.
Son illusion marcha et une partie des députés quittèrent la salle mais une cinquantaine resta collé sur son fauteuil.
La jeune fille poussa un grognement. Voulaient-ils servir de chair à canon ou quoi?
Richard, l'homme qui l'avait assommé contre un mur, lui demanda alors de tenter quelque chose.
Gabrielle fronça les sourcils. Avaient-elle bien compris? Elle devait continuer son illusion pour l'évacuation et tentait d'incluer les clones dans tout celà? Pas des plus aisé. Pour celà, elle devait faire cesser son illusion actuelle et englober toutes ces cibles.
Elle recula légèrement et tenta d'englober d'un seul regard les députés et les clones en déclenchant son illusion.
Si celà marche, Gabrielle retransformera les clones en agent de sécurité armé jusqu'au dents qui pourront évacuer les députés. Quant à eux ceux près des clones, ils sembleront armés jusqu'aux dents. Un bruit d'hélicoptère retentira dans l'air, annonçant l'arrivée de secours. Dans l'ensemble, Gabrielle tentera de faire voir à leur ennemis qu'ils sont en situation d'inferiorité. Les clones ne remarquèrent même pas l'illusion réussie de Gabrielle. Ils semblaient avoir un but précis et c'était tout...
Elle s'occupait donc de la partie évacuation.
Son illusion marcha et une partie des députés quittèrent la salle mais une cinquantaine resta collé sur son fauteuil.
La jeune fille poussa un grognement. Voulaient-ils servir de chair à canon ou quoi?
Richard, l'homme qui l'avait assommé contre un mur, lui demanda alors de tenter quelque chose.
Gabrielle fronça les sourcils. Avaient-elle bien compris? Elle devait continuer son illusion pour l'évacuation et tentait d'incluer les clones dans tout celà? Pas des plus aisé. Pour celà, elle devait faire cesser son illusion actuelle et englober toutes ces cibles.
Elle recula légèrement et tenta d'englober d'un seul regard les députés et les clones en déclenchant son illusion.
Si celà marche, Gabrielle retransformera les clones en agent de sécurité armé jusqu'au dents qui pourront évacuer les députés. Quant à eux ceux près des clones, ils sembleront armés jusqu'aux dents. Un bruit d'hélicoptère retentira dans l'air, annonçant l'arrivée de secours. Dans l'ensemble, Gabrielle tentera de faire voir à leur ennemis qu'ils sont en situation d'inferiorité. Les clones ne remarquèrent même pas l'illusion réussie de Gabrielle. Ils semblaient avoir un but précis et c'était tout...
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Dim 17 Aoû 2008 - 21:44
Bien, le combat aller être plus dur que prévu. Le mutant en face avait l'air d'avoir des pouvoir qui pourrait lui empoisonné l'existence. Rob décida alors qu'il était temps de passer à la vitesse supérieure. heureusement ici il était aisé de se servir de son pouvoir. Il allait s'en donner à coeur joie! Richard avait bien precisez que les clones n'était que de la chair à canons, pas de pitié!
Il avisa le clone mutant le plus proche de son "fondeur". Il activa alors son pouvoir et tout les brutis alentour lui donnèrent des fourmis dans les jambes qu'il acueillit avec plaisir. Maintenant il n'était plus question de se controler. Plus du tout question!
Il fonça alors vers celui qui allait lui servir de bouclier. Car il était bien question de jeter sur le mutant M&M's un des ses amis. Avec sa vitese cela ne devrait pas poser de souci. Il tenta alors de pousser le clones numero 2 bis sur M&M's. A vitesse maximum et en direction d'un mur. On verrait qui ferait le malin à la fin... Et Robin priait pour que ce soit lui...
Il avisa le clone mutant le plus proche de son "fondeur". Il activa alors son pouvoir et tout les brutis alentour lui donnèrent des fourmis dans les jambes qu'il acueillit avec plaisir. Maintenant il n'était plus question de se controler. Plus du tout question!
Il fonça alors vers celui qui allait lui servir de bouclier. Car il était bien question de jeter sur le mutant M&M's un des ses amis. Avec sa vitese cela ne devrait pas poser de souci. Il tenta alors de pousser le clones numero 2 bis sur M&M's. A vitesse maximum et en direction d'un mur. On verrait qui ferait le malin à la fin... Et Robin priait pour que ce soit lui...
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 18 Aoû 2008 - 1:53
Ça devenait vraiment le bronx cette élection...
Pour être originaire d'un pays européen, Sven avait déjà entendu parler de ces fameux débats français qui tournaient à la foire d'empoigne, mais depuis que les mutants s'en mêlaient, ça devenait franchement flippant. Entre Carrie-Armageddon et l'armée des clones qui venaient faire les clowns, il ne savait vraiment plus où donner de la tête.
D'autant qu'en parlant de tête, Nan était bien près de voir la sienne terminer en marmelade. Et Richard qui voulait juste qu'il fasse un coussin amortisseur ! Comme si le Sven Ascensionnel n'était qu'un vulgaire coussin.
Mais en même temps, que pouvait-il faire de mieux ? Vu comme Carrie tenait l'algonquin, il ne pourra pas lui refaire le coup de la lessiveuse, à moins d'utiliser Nan comme adjuvant miracle à sa lessive. Mais Nan n'était pas un vrai morceau de citron... Même si la marmelade se faisait avec des citrons.
Mais de toutes façons, Nan et Carrie étaient bien prêts de finir aplatis comme des crèpes.
Crèpes, marmelade au citron, tout était là pour que la recette fasse *tilt* dans la tête de Sven qui décida de fonctionner à l'économie en faisant apparaître un subtil nuage sous le pied du mutant, espérant que ce nuage-en-jambe permette au lourdeau de s'enfarger lamentablement par terre.
Pour être originaire d'un pays européen, Sven avait déjà entendu parler de ces fameux débats français qui tournaient à la foire d'empoigne, mais depuis que les mutants s'en mêlaient, ça devenait franchement flippant. Entre Carrie-Armageddon et l'armée des clones qui venaient faire les clowns, il ne savait vraiment plus où donner de la tête.
D'autant qu'en parlant de tête, Nan était bien près de voir la sienne terminer en marmelade. Et Richard qui voulait juste qu'il fasse un coussin amortisseur ! Comme si le Sven Ascensionnel n'était qu'un vulgaire coussin.
Mais en même temps, que pouvait-il faire de mieux ? Vu comme Carrie tenait l'algonquin, il ne pourra pas lui refaire le coup de la lessiveuse, à moins d'utiliser Nan comme adjuvant miracle à sa lessive. Mais Nan n'était pas un vrai morceau de citron... Même si la marmelade se faisait avec des citrons.
Mais de toutes façons, Nan et Carrie étaient bien prêts de finir aplatis comme des crèpes.
Crèpes, marmelade au citron, tout était là pour que la recette fasse *tilt* dans la tête de Sven qui décida de fonctionner à l'économie en faisant apparaître un subtil nuage sous le pied du mutant, espérant que ce nuage-en-jambe permette au lourdeau de s'enfarger lamentablement par terre.
- InvitéInvité
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mer 20 Aoû 2008 - 21:04
Incapable et inutile sont les premiers mots retentissant dans l’esprit de Noémie lorsque Nan se fit prendre par Carrie. A croire que les professeurs savaient toujours la seconde précise où Sphère relâchait son pouvoir. De plus Richard ne fut pas d’un grand secours face à cet échec, la jeune fille ne reçu aucun ordre. Alors elle obéit à son instinct de survie et à l’ordre premier de la mission, même si ça ne l’enchantait guère de laisser son compagnon au prise de la dragonne. Elle se tourna vers le président et lui hurla :
« Vous me suivez et on dégage de là ! Regardez bien mon ami là haut qui a prit votre place. Votre vie ne vaux sûrement pas un dixième de la sienne alors j’espère que vous souviendrez de ce qu’il a fait pour vous quelque soit le dénouement de cette maudite journée… Go ! »
Noémie se mit à courir vers l’une des sorties protéger par les clones de richard pour mettre le président hors d’atteinte de Carrie. Durant le trajet elle s’employa à garder son champs de force le plus stable et fort possible. Une fois la porte atteinte :
« Suivez le reste des sénateurs, j’y retourne… »
Elle libéra le président de sa bulle et retourna dans l’hémicycle.
« Vous me suivez et on dégage de là ! Regardez bien mon ami là haut qui a prit votre place. Votre vie ne vaux sûrement pas un dixième de la sienne alors j’espère que vous souviendrez de ce qu’il a fait pour vous quelque soit le dénouement de cette maudite journée… Go ! »
Noémie se mit à courir vers l’une des sorties protéger par les clones de richard pour mettre le président hors d’atteinte de Carrie. Durant le trajet elle s’employa à garder son champs de force le plus stable et fort possible. Une fois la porte atteinte :
« Suivez le reste des sénateurs, j’y retourne… »
Elle libéra le président de sa bulle et retourna dans l’hémicycle.
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Ven 22 Aoû 2008 - 19:31
Carrie se débattit lorsque Nanikana entreprit de la grimper comme un pommier. Elle le lâcha lorsqu’elle aperçut l’énorme mutant qui les chargeait. Elle grogna et saisit le jeune algonquien par les jambes. Utilisant son pouvoir de télékinésie, elle le propulsa au loin, pour s’en débarrasser. Nanikana vola à toute vitesse vers Sven qui regardait la scène sans pouvoir agir. Il devrait agir maintenant, car à la vitesse qu’allait Nan, il ne restait que quelques secondes avant une rencontre violente.
« Dégagez de là! » hurla-t-elle à Richard, Noémie et Gabrielle qui était plus loin devant elle.
Carrie regarda avec un regard noir le président d’en aller accompagner d’un clone de Richard. L’énorme mutant clone fonçait toujours sur elle, près à la plaquer. Elle marcha vers lui, tranquillement, et à quelques secondes de l’impact, elle leva ses bras droit devant elle. Elle plia les genoux et usa de son pouvoir de toute sa force. Au moment où l’homme entra en contact avec ses deux mains, il fut propulsé à l’autre bout de la salle. Maintenant encastré dans le mur, le clone ne bougeait plus. Elle se mit alors à voler rapidement vers le président qui tentait de quitter la pièce. Elle se plaça devant les deux hommes, soit le clone de Richard et le président.
« Vous n’allez quand même nous quitter maintenant? Le spectacle vient de commencer… »
Elle se tourna vers le clone de Richard et le propulsa avec moins de force que Nan, mais juste assez pour ne plus l’avoir dans les jambes. Elle regarda ensuite le président apeuré avec un sourire animal.
Pendant ce temps, de son côté, Rob venait d’empoigner le clone de Jon Parker avant de foncer directement dans le clone qui avait fait fondre son « arme ». Les deux clones s’écrasèrent dans le mur, non sans donner à Rob un arrière goût du choc qu’ils venaient d’encaisser. L’impact résonna dans son bras jusqu’à ses orteils. Demain, il sentirait le coup…
« Dégagez de là! » hurla-t-elle à Richard, Noémie et Gabrielle qui était plus loin devant elle.
Carrie regarda avec un regard noir le président d’en aller accompagner d’un clone de Richard. L’énorme mutant clone fonçait toujours sur elle, près à la plaquer. Elle marcha vers lui, tranquillement, et à quelques secondes de l’impact, elle leva ses bras droit devant elle. Elle plia les genoux et usa de son pouvoir de toute sa force. Au moment où l’homme entra en contact avec ses deux mains, il fut propulsé à l’autre bout de la salle. Maintenant encastré dans le mur, le clone ne bougeait plus. Elle se mit alors à voler rapidement vers le président qui tentait de quitter la pièce. Elle se plaça devant les deux hommes, soit le clone de Richard et le président.
« Vous n’allez quand même nous quitter maintenant? Le spectacle vient de commencer… »
Elle se tourna vers le clone de Richard et le propulsa avec moins de force que Nan, mais juste assez pour ne plus l’avoir dans les jambes. Elle regarda ensuite le président apeuré avec un sourire animal.
Pendant ce temps, de son côté, Rob venait d’empoigner le clone de Jon Parker avant de foncer directement dans le clone qui avait fait fondre son « arme ». Les deux clones s’écrasèrent dans le mur, non sans donner à Rob un arrière goût du choc qu’ils venaient d’encaisser. L’impact résonna dans son bras jusqu’à ses orteils. Demain, il sentirait le coup…
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Sam 23 Aoû 2008 - 1:48
Richard observait les acrobaties de Nan, sans comprendre le but de la manoeuvre. S’il cherchait à énerver Carrie pour se faire éjecter, c’était la meilleurs chose à faire. D’ailleurs, Carrie dû penser de même car elle finit belle et bien par l’expulser en l’attrapant par les pieds, directement sur Sven. Bon. Au moins lui pourrait amortir sa chute et éviter de se le prendre de plein fouet. Il ne pensait que cela soit nécessaire, mais il ne put s’empêcher de crier : « Cloud attention à Kabeyun! » Il s’agissait là davantage d’un réflexe que d’une réelle remarque pour Sven qui, l’espérait-il, aurait très bien réagit seul.
De son côté, l’illusion de Gabrielle ne sembla pas avoir de l’effet sur les clones, trop occupé à attaquer Robin pour remarquer quoi que ce soit. Il allait falloir, là aussi, trouver une idée, et Richard n’avait pas de solution miracle. Sans compter, car comme on dit, jamais deux sans trois, le président qu’il croyait sauf, se faire rattraper par Carrie. Trois situations délicates à gérer en même temps. Richard regretta son bon vieux bureaux, entouré de bouquin et de paperasse. Il savait mieux gérer ses clones quand il s’agissait de régler des problèmes administratifs ou autres...
Richard laissa le soin à Sven de gérer la situation avec Nan, et ordonna à ses clones les plus proches de Carrie d’aller secourir le président, même si, au vu de ce qu’elle avait fait au géant, elle n’aurait que faire de quelques clones sur son passage. Il fallait qu’il laisse le temps à Noémie de revenir par là, car elle était là seule à pouvoir le mettre à l’abris. Du moins c’était la seule option qu’il envisageait pour que Carrie ne l’exécute pas sur le champ. Ce fut plus ou moins efficace. L'attention de Carrie fut, en effet, détournée par les clônes, mais elle n'en fut que plus colèrique envers les personnes qui dérangeait ses plans.
« Hors de question de nous voir partir maintenant. On ne va pas s’en aller alors que tout ne fait que commencer... N’est-ce pas ? »
Inutile de dire que Factoriel n’aurait jamais pris le risque de provoquer Pulse dans cet état si ce n’avait pas été un clone... Il fallait gagner du temps. De l’autre côté, Shure tentait de faire d’une pierre deux coups, et il y parvint, même s’il sembla lui aussi être soumis aux conséquences de son action. Deux clones lui vinrent en aide et s’approchèrent pour voir dans quel état était Jon et le mutant qui faisait fondre la matière. Soit ils étaient hors d'état de nuire, soit Richard les y aiderait encore un peu. Richard n'eut besoin de leur donner un coup de main, ils étaient bel et bien inconscients.
Près de Gabrielle, l’un des Richards - le vrai étant perdu dans la masse - se tourna vers elle, cherchant un moyen de parvenir à l’objectif qui était également de ne pas détruire l’image mutante en France.
« On s’est occupé de l’évacuation des lieux, de ce côté ça devrait aller maintenant. Il reste le président de l’Assemblé... Il faudrait trouver un moyen pour qu’il ne décrète pas tous que les mutants ont attaqué le Congrès, mais qu’on l’a défendu. Faire croire aux députés qu’on les a belle et bien sauvé de je ne sais quoi, mais d’autre chose que l’attaque d’une inspectrice du Cosequem et professeur de l’institut. »
De son côté, l’illusion de Gabrielle ne sembla pas avoir de l’effet sur les clones, trop occupé à attaquer Robin pour remarquer quoi que ce soit. Il allait falloir, là aussi, trouver une idée, et Richard n’avait pas de solution miracle. Sans compter, car comme on dit, jamais deux sans trois, le président qu’il croyait sauf, se faire rattraper par Carrie. Trois situations délicates à gérer en même temps. Richard regretta son bon vieux bureaux, entouré de bouquin et de paperasse. Il savait mieux gérer ses clones quand il s’agissait de régler des problèmes administratifs ou autres...
Richard laissa le soin à Sven de gérer la situation avec Nan, et ordonna à ses clones les plus proches de Carrie d’aller secourir le président, même si, au vu de ce qu’elle avait fait au géant, elle n’aurait que faire de quelques clones sur son passage. Il fallait qu’il laisse le temps à Noémie de revenir par là, car elle était là seule à pouvoir le mettre à l’abris. Du moins c’était la seule option qu’il envisageait pour que Carrie ne l’exécute pas sur le champ. Ce fut plus ou moins efficace. L'attention de Carrie fut, en effet, détournée par les clônes, mais elle n'en fut que plus colèrique envers les personnes qui dérangeait ses plans.
« Hors de question de nous voir partir maintenant. On ne va pas s’en aller alors que tout ne fait que commencer... N’est-ce pas ? »
Inutile de dire que Factoriel n’aurait jamais pris le risque de provoquer Pulse dans cet état si ce n’avait pas été un clone... Il fallait gagner du temps. De l’autre côté, Shure tentait de faire d’une pierre deux coups, et il y parvint, même s’il sembla lui aussi être soumis aux conséquences de son action. Deux clones lui vinrent en aide et s’approchèrent pour voir dans quel état était Jon et le mutant qui faisait fondre la matière. Soit ils étaient hors d'état de nuire, soit Richard les y aiderait encore un peu. Richard n'eut besoin de leur donner un coup de main, ils étaient bel et bien inconscients.
Près de Gabrielle, l’un des Richards - le vrai étant perdu dans la masse - se tourna vers elle, cherchant un moyen de parvenir à l’objectif qui était également de ne pas détruire l’image mutante en France.
« On s’est occupé de l’évacuation des lieux, de ce côté ça devrait aller maintenant. Il reste le président de l’Assemblé... Il faudrait trouver un moyen pour qu’il ne décrète pas tous que les mutants ont attaqué le Congrès, mais qu’on l’a défendu. Faire croire aux députés qu’on les a belle et bien sauvé de je ne sais quoi, mais d’autre chose que l’attaque d’une inspectrice du Cosequem et professeur de l’institut. »
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Sam 30 Aoû 2008 - 16:42
Sven était cruellement déçu que son entreprise de croc-en-nuage n'avait pas eu les résultats escomptés. Et pour la peine, il allait se ramasser un Nan-express. C'est plus mu par un quelconque réflexe inhabituel qu'il fit apparaître un énorme nuage devant lui pour amortir le vol de l'algonquin, espérant que ce mur cotonneux soit suffisant pour l'amortir. Nan' tomba lourdement sur le nuage coussinet et se retrouva avec soulagement immobile.
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Sam 30 Aoû 2008 - 20:04
Gabrielle ne réussit pas à détourner les clônes de Carrie et des membres de son équipe qui se trouvait sur son chemin.
Grimaçant la jeune fille entendit le cri de Carrie. A ce moment précis, elle était véritablement le dragon que tous avait craint.
Une frisson parcourut le corps de Gabrielle. Mais il n'y avait pas de temps à perdre.
L'assemblée avait été plus ou moins évacuée. Il fallait à présent s'occuper des futurs dommages qu'allait entrainer cette attaque comme le lui indiqua Richard.
Gabrielle serra les poings, hochant la tête vers la copie de son professeur.
"Je vais faire ce que je peux..."
Faisant attention à ce qui se trouvait autour d'elle pour ne pas prendre un coup alors qu'elle se s'y attendait pas, Gabrielle se dirigea en courrant vers le président.
Lorsqu'elle fut proche de lui, elle cria pour attirer son attention.
Faisant le vide dans son esprit, Gabrielle chercha une idée qui lui permettrait de calmer les choses tout en étant crédible. Elle ne pouvait faire passer tout celà pour une blague, il fallait que les éléments collent et que l'explication soit plausible.
"Monsieur le président, par ici, il faut évacuer!"
Si Gabrielle réussit à capter son regard, elle déclenchera alors une illusion.
Se basant sur les désirs du président, elle tentera de lui faire voir que les mutants controlent la situation. Les sosies de Richard seront toujours des gardes évacuant les sénateurs avec précaution. Quant à Carrie, on verra soudain apparaitre sous sa peau, une gaine métallique. La jeune femme apparaitra alors comme un robot ayant pris l'apparence de la professeur afin de calomnier son nom. Pour renforcer cette impression, un des sosies de Richard criera dans l'illusion: "Encore une tentative pour faire passer les mutants pour des monstres incontrolables...Ils ne reculent devant rien!"
Plusieurs journalistes et membres de l'assemblée lancèrent en coeur des protestations avec le président. "Les mutants n'ont rien à voir là dedans! Ce sont eux qui nous sauvent aujourd'hui!"
Grimaçant la jeune fille entendit le cri de Carrie. A ce moment précis, elle était véritablement le dragon que tous avait craint.
Une frisson parcourut le corps de Gabrielle. Mais il n'y avait pas de temps à perdre.
L'assemblée avait été plus ou moins évacuée. Il fallait à présent s'occuper des futurs dommages qu'allait entrainer cette attaque comme le lui indiqua Richard.
Gabrielle serra les poings, hochant la tête vers la copie de son professeur.
"Je vais faire ce que je peux..."
Faisant attention à ce qui se trouvait autour d'elle pour ne pas prendre un coup alors qu'elle se s'y attendait pas, Gabrielle se dirigea en courrant vers le président.
Lorsqu'elle fut proche de lui, elle cria pour attirer son attention.
Faisant le vide dans son esprit, Gabrielle chercha une idée qui lui permettrait de calmer les choses tout en étant crédible. Elle ne pouvait faire passer tout celà pour une blague, il fallait que les éléments collent et que l'explication soit plausible.
"Monsieur le président, par ici, il faut évacuer!"
Si Gabrielle réussit à capter son regard, elle déclenchera alors une illusion.
Se basant sur les désirs du président, elle tentera de lui faire voir que les mutants controlent la situation. Les sosies de Richard seront toujours des gardes évacuant les sénateurs avec précaution. Quant à Carrie, on verra soudain apparaitre sous sa peau, une gaine métallique. La jeune femme apparaitra alors comme un robot ayant pris l'apparence de la professeur afin de calomnier son nom. Pour renforcer cette impression, un des sosies de Richard criera dans l'illusion: "Encore une tentative pour faire passer les mutants pour des monstres incontrolables...Ils ne reculent devant rien!"
Plusieurs journalistes et membres de l'assemblée lancèrent en coeur des protestations avec le président. "Les mutants n'ont rien à voir là dedans! Ce sont eux qui nous sauvent aujourd'hui!"
- Robin HosterJustiX
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Date d'inscription : 18/12/2006
Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Dim 31 Aoû 2008 - 12:55
Robin était content. Deux de moins! Certes sa côte lui faisait mal et son épaule se reveillait mais sa satisfaction lui faisait oublier tout ça! Avec ses deux là hors course, Rob allait pourvoir se concenter sur les autres. La technique fonctionnait bien, mais son corps ne le supporterais pas. Encore 8 à mettre hors service... Puisque M&M's était H.S alors il allait reprendre son idée du mât de drapeau.
Shure essaya alors de reprendre un mat de drapeau. Une fois son arme improvisé en main Il activera une fois de plus son pouvoir pour courir au milieu des mechants clones et tentera d'en faucher aux jambes le plus possible...
Shure essaya alors de reprendre un mat de drapeau. Une fois son arme improvisé en main Il activera une fois de plus son pouvoir pour courir au milieu des mechants clones et tentera d'en faucher aux jambes le plus possible...
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 1 Sep 2008 - 18:54
Visiblement, Carrie avait plutôt pris la technique du chimpanzé escaladeur pour celle de la mouche énervante et il fut rapidement saisi par les pieds, comme un vulgaire lièvre. Se demandant un instant si c'était à ce moment qu'il mourrait, Nan' se sentit alors propulsé dans les airs, à une vitesse qui ne lui permettait qu'approximativement de voir en alternance Sven, Richard, un autre richard, Gabrielle, sa soeur, Noémie, le président, Richards, son neveu, richard, son frère, son chène, Richard, ses parents, Sven de nouveau, Billy Boy, Richard, un nuage. Et Pouf! Il tomba sans douleurs sur le nuage. Bon, il n'était pas vraiment dans une position valorisante, étant tombé comme une poupée de chiffon. Mais il n'avait rien, ce qui était un grand avantage par rapport à sa dernière chute aussi célèbre, causée par Hope dans l'astéroïde Russe...
Se laissant glisser plus ou moins adroitement du nuage svenien, Nan' remit les deux pieds sur terre, comme il les aimait, pour entendre scander des trucs pro-mutants. Un peu confus, il lança un regard à la ronde pour voir Rob affairé avec Jon Parker Bis. Il l'avait reconnu lorsqu'il avait lancé une chaise, car Jen lui avait parfois parlé de lui, et montré des photos dans des revues quelconques, avec un ton étrange et indéfinissable dans la voix. Elle lui avait aussi expliqué ce qu'était un clone et il était certain que Jon Parker Bis en soit un. Or, le dilemne éthique entourant le clonage était bien simple pour Nan' : il ne s'agissait pas d'une question de vivant ou non, mais d'authenticité et d'origine. Or, un clone n'était pas un individu authentique et n'avait pas d'origine naturelles. Sa vie étant artificielle, elle ne valait rien. Conséquence évidente d'un culte intense de la nature... S'il les tuait, il ne tuait donc pas une personne. Il y avait donc moins de risque qu'il fasse une entorse à la promesse qu'il s'était faite...
Donc, pour revenir à nos mutants, Nan' se leva, remercia Sven d'un signe de tête et décida d'aller porter main forte à Rob, enlevant son éternel pendentif-pointe de flèche d'autour de son cou, résolu à s'en servir contre ces corps sans âme. Il resta en retrait, pour mieux évaluer la situation et estimer comment il pourrait se rendre le plus utile.
Se laissant glisser plus ou moins adroitement du nuage svenien, Nan' remit les deux pieds sur terre, comme il les aimait, pour entendre scander des trucs pro-mutants. Un peu confus, il lança un regard à la ronde pour voir Rob affairé avec Jon Parker Bis. Il l'avait reconnu lorsqu'il avait lancé une chaise, car Jen lui avait parfois parlé de lui, et montré des photos dans des revues quelconques, avec un ton étrange et indéfinissable dans la voix. Elle lui avait aussi expliqué ce qu'était un clone et il était certain que Jon Parker Bis en soit un. Or, le dilemne éthique entourant le clonage était bien simple pour Nan' : il ne s'agissait pas d'une question de vivant ou non, mais d'authenticité et d'origine. Or, un clone n'était pas un individu authentique et n'avait pas d'origine naturelles. Sa vie étant artificielle, elle ne valait rien. Conséquence évidente d'un culte intense de la nature... S'il les tuait, il ne tuait donc pas une personne. Il y avait donc moins de risque qu'il fasse une entorse à la promesse qu'il s'était faite...
Donc, pour revenir à nos mutants, Nan' se leva, remercia Sven d'un signe de tête et décida d'aller porter main forte à Rob, enlevant son éternel pendentif-pointe de flèche d'autour de son cou, résolu à s'en servir contre ces corps sans âme. Il resta en retrait, pour mieux évaluer la situation et estimer comment il pourrait se rendre le plus utile.
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mer 3 Sep 2008 - 14:27
Par chance Nan ne fut que éjectait par Carrie et Sven se précipita pour le récupérer. Alors que Noémie pensait le président hors de danger, l’avocate fonça droit sur lui. Cette fois il ne fallait pas compter sur les autres mutants pour la distraire, car Rob avait choisit le "on tape d’abords on discutera après". Les clones de Richard ne tiendraient pas très longtemps entre Carrie et le président. Que faire ? Boucles d’or n’avait pas du tout envie de tester les capacités de son champ de force face à son mentor, pourtant il n’y avait plus que cette solution. La jeune mutante fit face à la Justix et déploya son champ de force pour se couvrir ainsi que toute la sortie derrière elle. Peut être que le président se déciderait enfin à sortir de la salle. D’une voix vacillante Noémie s’adressa à la prédatrice :
« Désolé Mademoiselle Marcin mais vous n’irez pas plus loin… »
Qui essayait-elle donc de convaincre ? Le bluff ne faisait pas partie de ses attributions. Toute deux savait que l’écran bleuté sauterait au moindre impact. Il fallait maintenant espérer maintenant que le contrôle mental cesse au plus vite…
« Désolé Mademoiselle Marcin mais vous n’irez pas plus loin… »
Qui essayait-elle donc de convaincre ? Le bluff ne faisait pas partie de ses attributions. Toute deux savait que l’écran bleuté sauterait au moindre impact. Il fallait maintenant espérer maintenant que le contrôle mental cesse au plus vite…
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Mer 3 Sep 2008 - 15:35
Rob trouva son arme et tenta d'abbattre le plus de clone possibles. Il réussit à en mettre K.O. Il ne restait maintenant que 4 clones qui étaient restés pas mal immobile la plupart du temps.
Le premier clone, un jeune homme très mince aux cheveux rouges disparut soudainement. Quelques secondes après l'avoir perdu de vue, Nan' recut un coup de poing au visage. Le clone réapparut quelques mètres devant Nan'.
Le second clone, un grand jeune homme plutôt bâti aux cheveux blonds avanca vers Richard, le vrai, avec un visage impassible. Il l'avait suivit des yeux depuis le début pour ne pas le perdre de vue. Soudainement, le clône créa une boule de feu dans le creux de sa main et l'envoya avec vitesse vers Richard.
Le troisième clone, le plus jeune des 4, un petit garcon aux cheveux bruns en bataille se dirigea vers Sven. Pour montrer ce qu'était son pouvoir, il se saisit d'une chaise renversée et la souleva. La chaise se durcit automatiquement, se couvrant de glace. Il la lanca ensuite vers Sven qu'il manqua de plusieurs mètres. Mais la chaise, lorsqu'elle tomba par terre, explosa en plusieurs morceaux de glace. Le petit garcon se pencha et posa ses mains sur le sol et activa son pouvoir de facon à ce qu'une vague de glace se dirige vers Sven avec le but précis de le glacer et le mettre hors de facon de nuire.
Le dernier clone, s'occupant de Rob, était un homme très grand et très élancé au cheveux plus blond que nature. Il se tenait devant Rob, à deux mètres du jeune académicien. Il tendit son bras vers lui. Son bras s'étira rapidement et se saisit de la jambe de Rob. Le mutant tira de son bras élastique, faisant tomber Rob.
De son côté, Le président, comme résultat à l'illusion de Gabrielle, se mit à crier. Plusieurs personnes qui étaient près de lui et qui avaient eu la même illusion firent de même. Malgré l'agitation et la peur, certains journaliste firent apparaitre le bout de leur nez, une cinécamera ou un appareil photo en main.
"Les mutants nous sauvent la vie! Quelqu'un a créer un robot pour nous faire croire que les mutants étaient mauvais!" s'écriaient-ils d'un peu partout.
Au millieu de tout cela, Carrie se mit à regarder autour d'elle avec agitation. Elle ne semblait plus savoir comment réagir à ce changement aussi soudain de plan. Carrie posa un regard froid sur le clone de Richard qui venait de se moquer d'elle. Comment osait-il? Elle marcha avec vitesse droit sur le clone et, lui donnant un violent coup avec ses deux mains, le propulsa droit sur d'autres clones de Richard, poussant un hurlement suraigu. Puis, Noémie se dressa devant elle avec sa boule protectrice! Ils allaient tout faire gacher! Tout! Elle se tourna alors vers Gabrielle. Carrie resta un moment immobile face a elle. Elle comprit soudainement. C'était elle qui avait fait l'illusion.
"Toi..."
Elle se mit alors à marcher droit sur Gabrielle, le plus vite qu'elle le put. Elle l'attrappa par le cou et la souleva, comme elle avait fait avec Nan'.
"C'est de ta faute!"
Le premier clone, un jeune homme très mince aux cheveux rouges disparut soudainement. Quelques secondes après l'avoir perdu de vue, Nan' recut un coup de poing au visage. Le clone réapparut quelques mètres devant Nan'.
Le second clone, un grand jeune homme plutôt bâti aux cheveux blonds avanca vers Richard, le vrai, avec un visage impassible. Il l'avait suivit des yeux depuis le début pour ne pas le perdre de vue. Soudainement, le clône créa une boule de feu dans le creux de sa main et l'envoya avec vitesse vers Richard.
Le troisième clone, le plus jeune des 4, un petit garcon aux cheveux bruns en bataille se dirigea vers Sven. Pour montrer ce qu'était son pouvoir, il se saisit d'une chaise renversée et la souleva. La chaise se durcit automatiquement, se couvrant de glace. Il la lanca ensuite vers Sven qu'il manqua de plusieurs mètres. Mais la chaise, lorsqu'elle tomba par terre, explosa en plusieurs morceaux de glace. Le petit garcon se pencha et posa ses mains sur le sol et activa son pouvoir de facon à ce qu'une vague de glace se dirige vers Sven avec le but précis de le glacer et le mettre hors de facon de nuire.
Le dernier clone, s'occupant de Rob, était un homme très grand et très élancé au cheveux plus blond que nature. Il se tenait devant Rob, à deux mètres du jeune académicien. Il tendit son bras vers lui. Son bras s'étira rapidement et se saisit de la jambe de Rob. Le mutant tira de son bras élastique, faisant tomber Rob.
De son côté, Le président, comme résultat à l'illusion de Gabrielle, se mit à crier. Plusieurs personnes qui étaient près de lui et qui avaient eu la même illusion firent de même. Malgré l'agitation et la peur, certains journaliste firent apparaitre le bout de leur nez, une cinécamera ou un appareil photo en main.
"Les mutants nous sauvent la vie! Quelqu'un a créer un robot pour nous faire croire que les mutants étaient mauvais!" s'écriaient-ils d'un peu partout.
Au millieu de tout cela, Carrie se mit à regarder autour d'elle avec agitation. Elle ne semblait plus savoir comment réagir à ce changement aussi soudain de plan. Carrie posa un regard froid sur le clone de Richard qui venait de se moquer d'elle. Comment osait-il? Elle marcha avec vitesse droit sur le clone et, lui donnant un violent coup avec ses deux mains, le propulsa droit sur d'autres clones de Richard, poussant un hurlement suraigu. Puis, Noémie se dressa devant elle avec sa boule protectrice! Ils allaient tout faire gacher! Tout! Elle se tourna alors vers Gabrielle. Carrie resta un moment immobile face a elle. Elle comprit soudainement. C'était elle qui avait fait l'illusion.
"Toi..."
Elle se mit alors à marcher droit sur Gabrielle, le plus vite qu'elle le put. Elle l'attrappa par le cou et la souleva, comme elle avait fait avec Nan'.
"C'est de ta faute!"
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Sam 6 Sep 2008 - 0:28
Le clone de Richard se tourna vers Rob une fois qu’il eu vérifié que les deux clones au sol étaient bien inconscient, et le vit mettre KO plusieurs clones jusqu’à ce qu’il n’en reste que quatre. Ceux-ci s’avérèrent d’ailleurs être un peu plus organisé que les précédents, du fait de leur répartition pour s’en prendre au groupe. Le temps que Factoriel fasse cette constatation, qu’un grand blond semblait s’intéresser particulièrement à lui, sans douter le moins du monde qu’il ne s’agissait pas d’un clone. D’ailleurs, il ne manqua de faire savoir qu’il savait que l’homme auquel il s’en prenait était le véritable Richard, lui déclarant une guerre ouverte. Richard eu comme premier réflexe de plonger sur le côté afin d’esquiver la boule de feu, puis en second de réunir quelques clones autour de lui afin de le dissimuler à la vue du Blond.
Autour, Nan, Rob et Sven étaient en proies à des attaques. Deux clones de Richard tentèrent de venir se placer entre Sven et la chaise en morceaux glacés qui volaient vers lui, tandis qu’un autre essayait d’attraper Rob avant qu’il ne soit entraîné par l’homme élastique. La chaise ayant déjà éclaté, hors d'atteinte de Sven, le premier clone n'eut pas grand chose à faire.
« Cloud aide Kabeyun avec l’autre clone! Tu devrais pouvoir le trouver... »
Levant la tête, Richard pu voir Gabrielle entraîné par Carrie... encore une fois, celle-ci offrait un vol plané gratuit aux élèves. La première chose qu’il pensa, se fut une question sur comment sauver Gabrielle. Jusqu’à ce qu’il réalise que l’illusion risquait d’être rompu. Pourtant, les députés ne semblaient pas croire à l’attaque mutante, et c’était un bon point pour eux. Tout ce qu’il fallait désormais, c’était que Carrie demeure pour eux une machine. Les clones épargnés par Carrie lors de son attaque dû à sa provocation restèrent près de Noémie et du président de l’Assemblé, toujours au cas où.
Autour, Nan, Rob et Sven étaient en proies à des attaques. Deux clones de Richard tentèrent de venir se placer entre Sven et la chaise en morceaux glacés qui volaient vers lui, tandis qu’un autre essayait d’attraper Rob avant qu’il ne soit entraîné par l’homme élastique. La chaise ayant déjà éclaté, hors d'atteinte de Sven, le premier clone n'eut pas grand chose à faire.
« Cloud aide Kabeyun avec l’autre clone! Tu devrais pouvoir le trouver... »
Levant la tête, Richard pu voir Gabrielle entraîné par Carrie... encore une fois, celle-ci offrait un vol plané gratuit aux élèves. La première chose qu’il pensa, se fut une question sur comment sauver Gabrielle. Jusqu’à ce qu’il réalise que l’illusion risquait d’être rompu. Pourtant, les députés ne semblaient pas croire à l’attaque mutante, et c’était un bon point pour eux. Tout ce qu’il fallait désormais, c’était que Carrie demeure pour eux une machine. Les clones épargnés par Carrie lors de son attaque dû à sa provocation restèrent près de Noémie et du président de l’Assemblé, toujours au cas où.
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 8 Sep 2008 - 16:02
Nan' fut légèrement sonné et surpris par le coup de poing qu'il venait de recevoir, mais il en fut surtout frustré. Portant la main là où l'impact laisserait sa trace colorée, il put observer le jeune efflanqué aux cheveux rouges réapparaître.
"Même pas le courage de se montrer nom d'un Esprit!"
Mais ça, ce n'était qu'une diversion pour déconcentrer son ennemi. Depuis quand l'algonquin pensait-il à faire des diversions vocales? Aucune idée. Toujours est-il que Nan' utilisa immédiatement de son pouvoir pour repousser l'homme invisible, le faire trébucher contre un objet ou le projeter à terre, et surtout l'y maintenir en gardant mentalement le lieu de chute en tête. Comme ça, si le clone s'invisibilisait (comment ça, ça n'existe pas ce mot?) de nouveau, il saurait quand même où il se trouvait et pourrait le tabasser sans problème. car oui, Nan' avait bien l'intention de frapper le garçon maigrichon jusqu'à ce qu'il s'évanouisse et sois KO comme ses complices.
*Kibib, c'est pas le temps de me lâcher, je t'en prie!*
Ainsi, Kabeyun avait l'esprit totalement focalisé sur sa cible. Oh, il avait remarqué la boule de feu que Richard avait évitée, ainsi que le mini-Fab qui tentait de transformer Sven en Ice Pak (bonne chance à lui), ou élastoman qui faisait des crocs-en-jambes à m'sieur rapidité... Ainsi que Carrie, qui hurlait contre Gabrielle et la prenait désormais par le collet, comme un vulgaire lièvre. Mais, il les savait tous en moyens de s'en sortir et de se défendre. Du moins pour la plupart, non? Il avait dans l'idée de leur porter main forte as soon as possible de toute manière...
"Même pas le courage de se montrer nom d'un Esprit!"
Mais ça, ce n'était qu'une diversion pour déconcentrer son ennemi. Depuis quand l'algonquin pensait-il à faire des diversions vocales? Aucune idée. Toujours est-il que Nan' utilisa immédiatement de son pouvoir pour repousser l'homme invisible, le faire trébucher contre un objet ou le projeter à terre, et surtout l'y maintenir en gardant mentalement le lieu de chute en tête. Comme ça, si le clone s'invisibilisait (comment ça, ça n'existe pas ce mot?) de nouveau, il saurait quand même où il se trouvait et pourrait le tabasser sans problème. car oui, Nan' avait bien l'intention de frapper le garçon maigrichon jusqu'à ce qu'il s'évanouisse et sois KO comme ses complices.
*Kibib, c'est pas le temps de me lâcher, je t'en prie!*
Ainsi, Kabeyun avait l'esprit totalement focalisé sur sa cible. Oh, il avait remarqué la boule de feu que Richard avait évitée, ainsi que le mini-Fab qui tentait de transformer Sven en Ice Pak (bonne chance à lui), ou élastoman qui faisait des crocs-en-jambes à m'sieur rapidité... Ainsi que Carrie, qui hurlait contre Gabrielle et la prenait désormais par le collet, comme un vulgaire lièvre. Mais, il les savait tous en moyens de s'en sortir et de se défendre. Du moins pour la plupart, non? Il avait dans l'idée de leur porter main forte as soon as possible de toute manière...
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Re: [3.14] Versailles - Sauvez la république
Lun 8 Sep 2008 - 19:26
Tout marcha mieux que Gabrielle ne l'avait même espérer. L'illusion réussit donc à convaincre les journalistes et les hommes politiques encore présents que tout n'était qu'un coup monté.
Maintenant toujours l'illusion, Gabrielle s'autorisé un petit sourire de victoire. Enfin quelque chose qui se déroulait bien. C'était facile...Peut-être un peu trop facile.
Les autres continuaient à se battre, menant leur propre combat contre Carrie et les clônes.
Soudain, la jeune fille entendit une voix tonitruante. Du coin de l'oeil, elle apperçut Carrie qui lui fonçait dessus tel un taureau en furie. Le coeur de Gabrielle s'accéléra. Elle se doutait de ce qui allait se passer. Mais si Carrie la saisissait, l'illusion prendrait fin.
Réfléchissant du mieux qu'elle le pouvait dans la situation présente, Gabrielle continua sa vision, tentant de faire voir comment le robot se regénérait petit à petit de lui-même, la peau recouvrant la surface métallique de son corps. Elle devait maintenir la crédibilité des évènements à tout pris. Une fois la peau de Pulse entièrement recouverte de peau, Gabrielle ne put tenir l'illusion beaucoup plus longtemps. Mais tous semblaient croire que Carrie et les autres mutants étaient des robots.
Lorsque Carrie la saisit par le col, Gabrielle eut une réaction toute humaine. Elle se mit à hurler de toutes ses forces.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, à l'aide!!!!"
En un instant, elle vit sa vie défiler devant ses yeux. Elle allait mourir, écraser par la patte de la Dragonne Marcin.
Celle-ci semblait s'être ériger en juge et la justice allait être expéditive. De juge, Carrie revétirait assez tôt le costume de bourreau.
Gabrielle se mit à gesticuler dans tous les sens, tentant de donner un coup de pied à Carrie pour qu'elle la libére, ce qui n'était pas aisé car la jeune femme lui faisait mal en la tenant ainsi.
La peur, le regret, la nostalgie...Gabrielle était assaillie par une foule de sentiment. Sa vie touchait à sa fin si elle s'en fiait au regard furieux de Carrie.
Soudain, une émotion surpassa les autres et la chaleur lui monta au visage.
"Espèce de vieille mégère frustrée, lache moi immédiatement! C'est facile de s'en prendre à plus jeune que soit hein!Espèce de lache!!"
Maintenant toujours l'illusion, Gabrielle s'autorisé un petit sourire de victoire. Enfin quelque chose qui se déroulait bien. C'était facile...Peut-être un peu trop facile.
Les autres continuaient à se battre, menant leur propre combat contre Carrie et les clônes.
Soudain, la jeune fille entendit une voix tonitruante. Du coin de l'oeil, elle apperçut Carrie qui lui fonçait dessus tel un taureau en furie. Le coeur de Gabrielle s'accéléra. Elle se doutait de ce qui allait se passer. Mais si Carrie la saisissait, l'illusion prendrait fin.
Réfléchissant du mieux qu'elle le pouvait dans la situation présente, Gabrielle continua sa vision, tentant de faire voir comment le robot se regénérait petit à petit de lui-même, la peau recouvrant la surface métallique de son corps. Elle devait maintenir la crédibilité des évènements à tout pris. Une fois la peau de Pulse entièrement recouverte de peau, Gabrielle ne put tenir l'illusion beaucoup plus longtemps. Mais tous semblaient croire que Carrie et les autres mutants étaient des robots.
Lorsque Carrie la saisit par le col, Gabrielle eut une réaction toute humaine. Elle se mit à hurler de toutes ses forces.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, à l'aide!!!!"
En un instant, elle vit sa vie défiler devant ses yeux. Elle allait mourir, écraser par la patte de la Dragonne Marcin.
Celle-ci semblait s'être ériger en juge et la justice allait être expéditive. De juge, Carrie revétirait assez tôt le costume de bourreau.
Gabrielle se mit à gesticuler dans tous les sens, tentant de donner un coup de pied à Carrie pour qu'elle la libére, ce qui n'était pas aisé car la jeune femme lui faisait mal en la tenant ainsi.
La peur, le regret, la nostalgie...Gabrielle était assaillie par une foule de sentiment. Sa vie touchait à sa fin si elle s'en fiait au regard furieux de Carrie.
Soudain, une émotion surpassa les autres et la chaleur lui monta au visage.
"Espèce de vieille mégère frustrée, lache moi immédiatement! C'est facile de s'en prendre à plus jeune que soit hein!Espèce de lache!!"
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