Lunettes noires et nicotine

Perdu dans ses tourments, Vincent ne fît pas attention a l'arrivée de Nathan, malgré sa voix forte qui parlait au téléphone, mais dès lors qu'il s'aprocha et s'adressa a lui en se positionnant juste en face, le boxeur releva la tête.
Il se pensait au calme relatif étant donné la température extérieure ainsi que sa position peu attirante des regards, mais ce n'était visiblement pas le cas.
Il observa l'Israelien pendant un certain temps, nécessaire pour ses yeux emplies de larmes de retrouver un point de focalisation. Il voyait alors ce samaritain frissonner de par sa tenue trop légère pour la saison.
Honteux de faire subir ce supplice a cet interlocuteur s'inquiétant de son état, il lui répondit en ces termes.

Oui effectivement, j'ai le cafard, je me suis une nouvelle fois senti inutile voire nuisible, et par dessus tout, j'ai donné une victoire facile à Iacobo... j'ai bien foiré mon coup...comme toujours ... c'est cyclique chez moi, et la fréquence est vraiment trop élevée.

Vincent relata un bref résumé de sa mésaventure afin de ne pas abusé de la gentilesse de Nathan. Prenant appui sur son épaule pour se relever, il enchaina.

Merci de te soucier de moi, tu me permet de voir que je suis pas complêtement antipathique, même si je viens de faire sauter mon fragile réseau social... si tu veux poursuivre notre discussion, j'en serais ravi, mais je t'oblige a trouver un coin plus chaud... j'ai pas envie de t'être nuisible a toi aussi.

Se tenant face a lui, Vincent attendit une réponse du jeune homme pour lui laisser le choix complet de continuer le dialogue, ou s'ecclipser pour vaquer a ses occupations sans entendre plus de jérémiades.

Nathan se voulait rassurant dans ses paroles, et malgré l'apparente naïveté de sa déclaration sur la nuisibilité de Vincent, elle n'en était pas moins inutile pour le boxeur qui se lamentait sur son sort.
L'israélien précisa également que c'était de son propre chef qu'il avait décidé e s'attarder sur le cas de Vincent, sans être influencé par l'état de tristesse qu'il dégageait, néanmoins, il ne rechigna pas à retourner vers l'intérieur des batiments.
Chemin faisant, le désespérait ne tarrissait pas de paroles pour éxorciser son mal.

Quand j'y pense, j'ai vraiment été trop con, ma laisser entrainer dans de la justification à 2 balles alors que j'aurais pu tout simplement l'entrainer sur mon terrain sans autre forme de procès... soit faut que j'améliore mes argumentaire,s soit que je soit plus réactif.

Afin de conserver l'attention de son interlocuteur, il l prit a parti.

Si de ton coté tu te fais insulter par ce genre de salop, comment tu réagis?

Les pas faisait craquer les petites plaques de gel déposés sur les brin d'herbes, et chaque parole était accompagné de son lot de vapeur d'eau visible éxpulsé par la bouche. Le froid etat mordant et Vincent lui même ne regretta pas sa décision de rentrer.

[ : Hall]

Saut temporel

Jareld sortit dans le jardin. Il avait besoin de se changer les idées et de prendre l'air aussi par la même occasion. Et puis il avait envie d'utiliser son pouvoir. Depuis la Classe verte, alors que Jareld l'avait utilisé longtemps, il sentait que quelque chose avait changé sans savoir véritablement quoi...
Il marcha dans l'herbe givrée et regretta de ne s'être pas couvert un peu plus... Il se dirigea vers un des bancs du jardin et s'y installa avant d'avoir essuyé d'un revers de manche l'humidité.
Il voulait savoir ce qui avait changé dans son pouvoir... Il ferma les yeux et projeta son esprit.
Tumos vit son corps assit, les yeux fermés, sur le banc. Et la sensation de liberté grisante l'envahit à nouveau. Cela faisait un moment qu'il ne s'était pas servi de son pouvoir et il était content de pouvoir le faire. Il constata avec plaisir, qu'il ne ressentait plus le froid ambiant.
Son esprit fit le tour du jardin flottant rapidement autour des buissons et des arbres.
Puis il arriva près des grilles de l'Institut et il repéra un caillou de la taille d'un poing. Instinctivement il s'en approcha et l'effleura du bout de ses doigts fantomatiques. Jamais auparavant Tumos avait été en mesure de saisir des objets, en effet ses doigts passaient au travers. Mais à cet instant il se sentait capable de le prendre.
Il referma sa main sur le caillou, et se concentra intensément pour le prendre dans sa main. Étrangement cette dernière ne passa pas au travers. Au contraire, la main tenait fermement la pierre!
Il se releva avec fierté tenant le caillou. Çà c'était trop fort! Il était capable de saisir des objets dans sa main!
Puis non sans un sourire Tumos envoya le caillou au delà des buissons sans savoir où celui-ci atterrirait.
Il fallait maintenant qu'il aille vérifier de lui même qu'il avait bien réussit à lancer ce caillou.
D'une pensée, il réintégra son corps.
Il ouvrit brusquement les yeux et courut en direction de l'endroit où le caillou semblait être tombé.
A l'endroit précis où celui-ci était tombé se trouvait Maths qui visiblement venait de le recevoir sur lui alors qu'il se reposait. Son pouvoir avait marché mais quelqu'un en avait fait les frais... Quel idiot il était! Il aurait du être plus prudent et l'envoyer dans un endroit où il n'y avait aucun risque de blesser quelqu'un.
Jareld prit un air désolé et s'excusa:

"Je suis désolé j'ai pas fait exprès, je ne savais pas que quelqu'un était là..."

Le ton était sincèrement désolé et Jareld oublia ce nouveau don, tout à ses excuses...

Ephram entendit son communicateur, car s'il était muet, il avait eut la chance de ne pas être sourd, et il entendit le message du Professeur Zachary qui leur demandait de le retrouver dans son bureau. Il fronça les sourcils, se demandant ce qu'il allait leur arriver. Au même moment un caillou atterrit sur Math et l'australien ouvrit la bouche.
Il regarda dans tous les sens, puis peu de temps après vit Jareld arriver. Il lui sourit, un regard légèrement interrogateur, mais il n'avait pas le temps de tergiverser, il devait rejoindre les autres X-Rays chez le Pr Zachary. S'excusant auprès des autres en s'inclinant, il repartit vers l'Institut.

Bureau d'Adam Zachary.

[=> Saut Temporel]


S’était le… combien dèja ? Troisième jour ? Effectivement, trois jours qu’elle était ici. Pas plus, pas moins. La miss avait fait une belle et bonne grasse matinée et après les cours, elle fit pareil. Si bien qu’elle ouvrit les yeux assez tard qu’en même. La miss s’était couchée assez tard ces derniers jours, sans parler du fait qu’elle n’avait pas totalement récupérer de son arrivée aux USA en avion ainsi que du décalage horaire causé. Bref, un dodo qui fut plus long que prévu mais la demoiselle était en forme. De plus, elle n’avait apprit que très récemment qu’elle partageait sa chambre avec quelqu’un, maintenant. Elle avait une colocataire mais tant qu’il n’y avait pas trop de problème avec sa propre intimité, alors il n’y aurait aucun problème. En se levant, la demoiselle décida de prendre un jean acheté juste hier, ainsi qu’une paire de chaussure de sport et un débardeur noir plus une petite veste noire. Le tout acheté en même temps que le jean.

Une fois prête, la mutante se contenta de se recoiffer rapidement et en vitesse, car avoir des mèches qui partaient n’importe comment à cause de la pause dodo était toujours quelque chose qu’Alli n’appréciait pas. Et puis, la miss n’était pas un homme mais une femme ; normal qu’elle prenne un peu plus soin de son apparence physique qu’un garçon. Bref, passons. Une fois prête, la miss passa la porte de sa chambre et descendit directement vers le Hall puis vers le Jardin. Elle rencontra quelques mutants mais elle se contenta de saluer brièvement certains d’entre eux avant d’aller dans l’espace de verdure. C’était un lieu qu’elle appréciait, c’était vert et beau. Certes, il faisait assez froid mais ce n’était qu’un détail sans importance ; s’il faisait vraiment trop froid, alors elle rentrerait pour se mettre au chaud, ce ne serait pas vraiment un problème.

En arrivant sur les lieux, la miss remarqua Math, l’un des mutants qui l’avait accueillit il y a quelques jours et qui avait répondu à ses questions. Mais elle ne put s’empêcher d’étouffer un petit rire lorsqu’il se prit un caillou sur la tête. Oh bien sur, s’il s’était vraiment fait mal, la demoiselle n’aurait pas rit et sa réaction première aurait été d’aller l’aider. Mais vu la petite taille de la pierre, il n’allait pas avoir vraiment mal ; et même s’il avait eu un peu mal, le fait qu’il soit un homme fera qu’il dira automatiquement « Je n’ais pas mal ! » - fierté masculine sans doute. La demoiselle remarqua rapidement qui avait jeté l’objet, puisqu’il était partit présenter ses excuses à l’allume cigare. Mais la miss ne chercha pas à se rapprocher des gens pour l’instant. Pas asociale, non. Mais Allison était nouvelle et il lui fallait qu’en même une toute petite période d’adaptation ; c’était, après tout, la première fois qu’elle mettait les pieds dans un lieu où il y avait un pourcentage aussi élevée de mutant au kilomètre carré, la demoiselle devait s’y habituer un minimum… Bref, comme si elle n’avait pas assez dormie, la miss s’assit sur un banc, tranquillement. Après ceci, Alli se contenta de regarder tout ce petit monde qui l’entourait. Peut être qu’elle irait parler à l’un d’entre eux… un peu plus tard.

Baltimore escale à New York

William avait fait un large détour pour raccompagner sa nouvelle petite-amie avant de commencer sa nouvelle vie d'interne dans une école pour mutants. Il avait beaucoup pensé à Kate pendant le trajet NY/Salem mais le stress de ce tournant dans sa vie commençait à monter. La jeune fille lui avait grifoné l'adresse de sa prochaine destination :

Kate a écrit:Institut Charles Xavier
51 Greymalkin Lane
Salem center

Elle lui avait confié que cette école était un peu à l'écart de la ville, aussi il devrait faire la jonction par taxi. Reprenant le monorail en sens inverse puis trouvant un taxi pour l'emmener, le jeune McCallister voyait la ville de Salem Center s'éloigner alors que devant se dressait une vaste propriété entourée d'un mur d'enceinte délimitant un immense parc boisé. Pour le jeune citadin, on pouvait dire qu'il y avait un franc changement de cadre.

Le taxi s'arrêta devant la grille ouvrant sur un magnifique parc. L'air était frais mais vivifiant. Lorsqu'il s'approcha de l'entrée, une femme surgit de nullepart :



- Signature mutante confirmée. Bienvenue à vous monsieur William McCallister.

La femme se volatilisa et les grilles s'ouvrirent...

Baltimore escale à New York

Tout le long du trajet entre le quai de New York et celui de Salem, William n'avait pu soustraire à son esprit les derniers si courts moments qu'il avait passé avec Kate, ces derniers moments qu'ils avaient partagés si intensément. Arrivant à destination, toujours dans ses moments passés à peine écoulés, il ne pouvait s'empêcher d'avoir mal à repenser aux larmes d'au revoir de sa belle. Toutefois, tout en même temps, il ne pouvait que se réjouir pour la chance que le destin lui offrait et il n'attendrait pas deux fois qu'on la lui présente pour la prendre.

*Pour eux, pour elle, je passerais à travers. Je vais devenir plus fort.*, pensa-t-il

Sortant de l'une de ses poches le papier où sa belle aux bois dormants avait marquée l'adresse de l'Institut, il s'en alla prendre un taxi tout en se répétant dans sa tête les données. À l'intérieur de l'appareil, il se demanda à quoi pourrait bien ressembler l'établissement qui accueillait les gens comme lui. Y avait-il beaucoup comme lui déjà là-bas? Comment se faisait-il que Salem accepte ainsi les mutants sans trop rien faire? Y avait-il une sorte de brigade pour le sprotéger eux? Non, se serait vraiment trop beau ça.

*Trop fou comme idée.*

Après une petite balade de quelques minutes en taxi, Willister descendit du véhicule et se retrouva devant les grilles du fameux Institut Xavier, l'Eden, le lieu d'apprentissage pour mutants en tout genre tout âge. Ressentant le froid le prendre un peu plus que tout à l'heure, il s'enfonça un peu plus dans son manteau d'hiver. Ce fut au même moment que son moyen de transport sur quatre roues partit qu'il s'approcha un peu plus de l'entrée barrée. Ce fut là qu'il vit celle qui connaîtrait plus tard comme Cérébra. Ce fut là qu'il entendit pour la première fois sa voix informatisée.

''Euh... merci.'', répondit-il

Il avait dit ce remerciment avant qu'elle ne disparaisse et que les grilles s'ouvrent grandes devant lui. Ainsi, l'Institut avait été prévenu de son arrivée et ce avant même qu'il n'ait dit bonjour à quiconque. Comment l'Institut avait pu savoir qu'il arrivait et surtout qui il était? Il n'avait rien envoyé, personne n'avait rien envoyé à son effet en cet endroit si particulier. Ne décidant pas rester plus longtemps devant les grilles, il pénétra à l'intérieur du domaine en passant dans le jardin. Ce fut après des pas qu'il remarqua des jeunes au loin d'un âge plus vieux. Devait-il aller leur parler? Devait-il se rendre immédiatement à l'intérieur de la bâtisse se trouvant plus loin? Pour l'instant, il décida de les observer en ombre discrète. Discret? Bon, peut-être pas dû à son arrivée et à l'ouverture des grilles.

*Euh...*, pensa-t-il seulement

Math rêvait tranquillement quand soudain, il reçu un caillou sur la tête. Il ouvrit les yeux, se releva et chercha d'où le projectile était venu. Soudain, un jeune homme se présenta à lui pour s'excuser.

"Ben y'avait moi ..." dit Math en souriant. " Pas de soucis, mais tu sais ya des tas de chose à faire à l'institut avant de balancer des cailloux n’importe où !"

Math se frotta le crâne à l'endroit de l'impacte. Heureusement que c'était une petite pierre, car Math aurait pu vraiment être blessé avec une pierre plus grosse. Il tendit la main au coupable de la fausse-tentative-de-meurtre-accidentelle.

"On s'connait pas j'crois ! Moi c'est Math !"

Encore un type que Math n'avait encore jamais croisé ! Soudain son attention se reporta sur le portail de l'institut, celui-ci venait de s'ouvrir pour laisser entrer un garçon d'âge inférieur à Math mais obligatoirement un mutant !

"Tiens encore un nouveau ! Qu'est ce qu'on fait ? Tu y va ? J’y vais ? On y va tout les deux ? Allé hop ! Tu fais ce que tu veux mais moi j'vais le voir !"

Math était de très bonne humeur et plein de d'énergie ! D'où tirait-il ça ? Sans doute la rencontre avec Heike... Il s’approcha de l’adolescent.

"Salut ! Bon toi t’es grillé c’est sur ! Ton air paumé m’dit que t’es nouveau ! Bienvenu à l’institut ! Moi c’est Math, tu nous viens d’où comme ça ?"

(Désolé Jared et Claire si j'ai répondu avant vous, mais puisque le saut temporel aura lieu dimanche, j'ai décidé d'aller de l'avant.)

Depuis peu arrivé, William s'était posté en tant qu'observateur de terrain après que les grilles s'eurent refermés sur son passage. Ainsi, laissé à lui-même par une Cérébra volatiser en un clin d'oeil, il était totalement perdu. Il savait qu'il se devait de pénétrer à l'intérieur de l'Institut, mais rendu là, où irait-il, qui devrait-il voir? Continuant de se questionner assez inutilement, restant planté là comme l'oisillon tombé de son nid placé sur une branche d'arbre si haute perchée, il fut heureux qu'un des jeunes plus loin vienne à sa rencontre. L'aiderait-il à s'y retrouver, à savoir tout ce qu'il devrait savoir sur et à l'Institut?

*Un peu comme une sorte de grand frère.*, pensa-t-il avec une amertume planante de son passé

Maintenant face à face avec l'inconnu connaissant sûrement l'endroit, la première question à son sujet qui vint planer en son esprit fut celle de se demander quel était son pouvoir à lui. Un pouvoir utile ou bien dérisoire? Un pouvoir intéressant ou bien misérable? La seule façon de le savoir était de le lui demander, mais il n'osait pas prendre la parole le premier.

''Ou... oui. Merci. William. Baltimore.'', répondit-il seulement

Que pouvait-il rajouter de plus? Bah, il aurait bien trouvé, mais là tout de suite, on aurait dit que le hamster dans son cerveau qui roulait dans sa roue avait arrêté tout mouvement le laissant bêtement là presqu'idiot, presque baba devant celui qui l'accueillait. S'efforçant de reprendre pied et intégrité de petit nouveau, il ouvrit la parole pour de nouveau parler.

''Tu... tu peux m'aider à m'y retrouver s'il-te-plaît?'', demanda-t-il avec une anxiété plus que ressentie

Qu'allait-il lui répondre? Oui? Non? Dans tes rêves? Jamais? Les possibilités de réponses étaient infiniment grandes, mais après tout, si Math était venu à sa venue, se devait sûrement pour ne pas le laisser tomber dans l'impasse après de simples salutations.

(Il n'y a pas de mal William!^^)

Math n'était fort heureusement pas quelqu'un de revanchard, ni rancunier. Jareld qui se confondait toujours en excuse eut pour lui un sourire contrit alors qu'il se massait la tête. Tumos aperçut Allison qui semblait amusée de la situation, ce premier aurait bien rit lui aussi mais il se retint par respect, après tout c'était lui le fautif!
Math charria Jareld qui répondit plus sereinement à présent:

"Oui j'avais cru comprendre, je te promet d'essayer de toutes les faire avant de relancer des cailloux... C'est juste que je viens de découvrir une nouvelle possibilité avec mon pouvoir... Enfin bref, passons..."

Lâcha Jareld gêné. Maths tendit sa main à Tumos en se présentant. Jareld sourit de toutes ses dents: enfin quelqu'un capable d'une grande courtoisie! Dans cet Institut ça ne se faisait que trop rare...
Jareld serra chaleureusement la main tendue devant lui et répondit toujours souriant à Math:

"Jareld!"

A peine eurent-ils finis les présentations qu'un jeune homme arriva aux grilles de l'Institut. Math proposa à Jareld de rejoindre le nouveau-venu que Cérébra annonça de sa voix robotique.
Math devança Jareld, il alla directement vers le prénommé William. Jareld emboita le pas à Math tel une auto-tamponneuse de Kermesse qui en suit une autre dans le but de la percuter.
Tumos sourit au jeune homme, conscient que l'arrivée à l'Institut n'était pas toujours facile, voir même jamais. Ils firent les présentations et Jareld se présenta de nouveau mais cette fois-ci à l'adresse de William:

"Salut William! Moi, c'est Jareld..."

William semblait anxieux ce qui n'échappa à Jareld lorsque le nouveau demanda à Maths s'il pouvait l'aider à s'y retrouver.
Jareld se souvint de son arrivée à l'Institut quelques peu chaotique où il avait vécu l'attaque des professeurs et la panique des élèves. Au moins, William débuterait ses débuts dans l'école dans de bonnes conditions et cela ne tenait qu'à Maths et Jareld.
Désireux d'aider le jeune homme Jareld riant un instant répondit ensuite:

"Si Math ne veux pas t'aider, je suis dispo! Mais ça m'étonnerait qu'il ne veuille pas."

Jareld se tourna vers Math pour observer sa réaction.
Il était évident que Jareld n'aurait pas été dérangé d'aider ce nouveau-venu à s'intégrer dans l'Institut, mais en vérité Tumos était encore préoccupé par la découverte de son nouveau don et il aurait certainement été un piètre présentateur de l'Institut.
Il resta néanmoins aux cotés de Math au cas où celui-ci désirait être épauler pour faire la visite de l'Institut à William.

(Comme je ne sais pas si Alison va répondre (Ali, si tu postes avant Jareld, j'éditerais ce post-ci en conséquence si des actions ou des paroles de ton message s'interfèrent dans le mien présent) et que Math est asbsent jusqu'au 21 février, alors je vais répondre.)

Peu après que Math s'eut présenté à lui et qu'il eut fit de même, William vit apparaître l'autre garçon qui avait été avec le premier. Jareld, c'était son nom comme il le dit d'un court, mais sincère salut. Apparemment, les gens avaient l'air accueillant à l'Institut, mais cela ne suffisait pas à le relaxer et à détendre l'atmosphère tendu que lui seul devait ressentir comme tout nouveau dans son genre percevait à chaque nouvelle étape qui débute.

*Faut que je me calme là. Ils sont comme moi... euh... non, pas avec le même pouvoir, juste même condition.*, avait-il alors pensé

Comme ayant perdu sa langue, il la retrouva assez rapidement malgré le malaise de petit nouveau qu'il sentait s'oppresser contre lui, mais tout cela n'était que fruit de son imagination. Ayant demander de l'aide à Math, ce fut Jareld qui lui répondit. D'une certaine manière, il imagina bien le jeune homme dans un quiz télévisé où on devait appuyer rapidement sur le bouton électronique pour pouvoir répondre à la question posée et ainsi pouvant gagné un montant décidé à l'avance. S'amusant de cela, il se détendit un peu plus, mais le fut le plus avec la remarque de Tumos. Il savait bien qu'il voulait le rendre à l'aise et ça fonctionnait... il n'était pas difficile surtout quand on lui tendait ainsi la perche. Poutant, là, devait-il répondre ou laisser le choix à sa première connaissance.

*Je me demande bien ce que je vais voir à l'intérieur.*, se dit-il

''C'est comme vous voulez.'', répondit-il d'un coup

Au final, il avait prit la décision de répondre, mais aurait-il dû? Aurait-il dû, oui aurait-il dû? En fin de compte, il n'avait pas vraiment donné d'éclaircissement sur la question présente. À peine arrivé et déjà il disait n'importe quoi. Eh bien, il était toujours autant maladroit lorsque la nervosité lui tenait la main. Qu'allait-ce donc se passer maintenant? Il n'en savait rien et il fallait dire qu'il avait surtout hâte d'être rendu dans la chambre qu'on lui aura assigné pour pouvoir surtout cacher extrêmement bien le soutien-gorge que sa petite amie lui avait donné tout juste quelques heures avant. À part ça, il avait aussi hâte de pouvoir se sentir un peu comme chez lui ce qui n'était pas encore le cas dans l'immédiat.

(Bon, pas super comme post, désolé.)