Page 1 sur 2 • 1, 2
- InvitéInvité
[Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 1 Déc 2006 - 1:21
Institut Xavier - Salem Center
Cérébra n'avait pas menti : le X-jet était un appareil ultra-rapide. En moins d'une heure, ils avaient atteint leur objectif, l'île au large de New York où siégeait l'un des derniers vestiges de la barbarie humaine, le camp Labrador. L'île elle-même était assez grande. L'appareil passa en mode furtif dès le départ du continent, et se posa sans histoires dans une clairière au milieu de ce qui semblait être un petit bois.
La passerelle se déroula pour permettre au groupe de sortir de l'appareil. Il pleuvait à grosses gouttes.
Cassandre pencha la tête en arrière, accueillant les indices de leur succès avec délectation.
"Par là-bas." dit-elle en pointant une direction à l'opposée de celle où portait son visage. En quelques minutes, ils étaient sortis du petit bois, qui offrirait une couverture idéale au X-jet.
Une vaste plaine s'étendait devant eux. L'île ne semblait pas habitée, d'ailleurs il n'y subsistait que peu de traces de civilisation, à part une route longiligne sur laquelle ils tombèrent directement en sortant du couvert des arbres. La route était rudimentaire, constituée de sable seulement. Elle tenait plus de la piste que de la route en réalité. De part et d'autre celle-ci, un fossé qui avait commencé à se remplir de boue à cause de la pluie. Fort heureusement, le tissu de leurs combinaisons était conçu pour retenir la chaleur corporelle.
"C'est ici que tout commence. Le transport passera par cette route dans quelques minutes et continuera vers l'ouest. Le camp se trouve à 4 kilomètres. Cachons-nous dans les fossés pour l'attendre, je pense qu'on devrait se répartir de part et d'autre de la route. Ensuite, il nous faudra le faire s'arrêter. Pour ça j'avais pensé que le compagnon de Jessica pourrait nous donner un coup de patte." expliqua-t-elle en parlant des mains pour indiquer les directions suivies par le convoi de prisonniers.
Sans plus attendre, elle s'accroupit au bord du fossé et tendit sa main droite en l'air.
"Quelqu'un peut m'aider à descendre ?" demanda-t-elle, un pointe de gêne dans la voix.
[hrp : A partir de maintenant, vous êtes en Mode jeu. Un seul post par tour, une seule utilisation de pouvoir max par post. Il n'y a pas de leader. Point très important : lisez bien tout avant de répondre ! Il sera peut-être glissé des informations vitales dans les posts du courtier, alors ouvrez l'oeil. Lisez également les posts de vos équipiers et tenez compte de leurs posts ! De même, si vous leur dites de faire quelque chose, notez qu'ils ne pourront le faire (ou ne pas le faire) qu'au tour suivant, et en un tour il s'en passe des choses lol. Et dernier conseil, n'oubliez pas que la mort existe à AX, alors ne la tentez pas trop ^^. Bonne chance !]
Cérébra n'avait pas menti : le X-jet était un appareil ultra-rapide. En moins d'une heure, ils avaient atteint leur objectif, l'île au large de New York où siégeait l'un des derniers vestiges de la barbarie humaine, le camp Labrador. L'île elle-même était assez grande. L'appareil passa en mode furtif dès le départ du continent, et se posa sans histoires dans une clairière au milieu de ce qui semblait être un petit bois.
La passerelle se déroula pour permettre au groupe de sortir de l'appareil. Il pleuvait à grosses gouttes.
Cassandre pencha la tête en arrière, accueillant les indices de leur succès avec délectation.
"Par là-bas." dit-elle en pointant une direction à l'opposée de celle où portait son visage. En quelques minutes, ils étaient sortis du petit bois, qui offrirait une couverture idéale au X-jet.
Une vaste plaine s'étendait devant eux. L'île ne semblait pas habitée, d'ailleurs il n'y subsistait que peu de traces de civilisation, à part une route longiligne sur laquelle ils tombèrent directement en sortant du couvert des arbres. La route était rudimentaire, constituée de sable seulement. Elle tenait plus de la piste que de la route en réalité. De part et d'autre celle-ci, un fossé qui avait commencé à se remplir de boue à cause de la pluie. Fort heureusement, le tissu de leurs combinaisons était conçu pour retenir la chaleur corporelle.
"C'est ici que tout commence. Le transport passera par cette route dans quelques minutes et continuera vers l'ouest. Le camp se trouve à 4 kilomètres. Cachons-nous dans les fossés pour l'attendre, je pense qu'on devrait se répartir de part et d'autre de la route. Ensuite, il nous faudra le faire s'arrêter. Pour ça j'avais pensé que le compagnon de Jessica pourrait nous donner un coup de patte." expliqua-t-elle en parlant des mains pour indiquer les directions suivies par le convoi de prisonniers.
Sans plus attendre, elle s'accroupit au bord du fossé et tendit sa main droite en l'air.
"Quelqu'un peut m'aider à descendre ?" demanda-t-elle, un pointe de gêne dans la voix.
[hrp : A partir de maintenant, vous êtes en Mode jeu. Un seul post par tour, une seule utilisation de pouvoir max par post. Il n'y a pas de leader. Point très important : lisez bien tout avant de répondre ! Il sera peut-être glissé des informations vitales dans les posts du courtier, alors ouvrez l'oeil. Lisez également les posts de vos équipiers et tenez compte de leurs posts ! De même, si vous leur dites de faire quelque chose, notez qu'ils ne pourront le faire (ou ne pas le faire) qu'au tour suivant, et en un tour il s'en passe des choses lol. Et dernier conseil, n'oubliez pas que la mort existe à AX, alors ne la tentez pas trop ^^. Bonne chance !]
- Rachel McCallumX-Rays
- Age : 34
Nom de code : Warp
Date d'inscription : 30/09/2006
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 1 Déc 2006 - 3:59
[Je commence alors!]
Institut Xavier - Salem Center
"Je comprends pas vos réactions...Si vous avez un problème avec mon uniforme, dites le moi, hein?!" Elle éclata de rire.
Elle jetta un petit regard à Jake et à Fabrisio juste avant de monter dans le jet. "Les hommes", semblait-elle penser. Elle remarqua peu avant le départ que le ciel se couvrait. Rachel s'attacha rapidement au siège, un peu nerveuse de son premier voyage en avion. Elle était évidemment nerveuse de la mission. Elle avait une peur bleue de rater son coup une fois qu'elle apparaissait dans une photo. Allez! Avec un peu de courage! Elle vit alors le bon côté des choses. Elle s'adapterait à la photo dans laquelle ou au lieu dans lequel elle apparaissait. La jeune femme s'assit confortablement et sortit l'appareil photo de son sac. Elle ajusta la vision de nuit de l'appareil, puisqu'il faisait sombre à l'extérieur.
"C'est moi, ou il fait froid?"
Rachel se frictionna les bras, nerveuse. Plus l'heure de la mission approchait, plus elle se sentait horriblement stressée. Elle regarda à l'extérieur tout le long du trajet et, lorsque le jet attérit, elle se leva doucement et sortit dehors. Sa machoire se contracta alors qu'elle regardait autour d'elle. La jeune guitariste ressortit le polaroid de son sac et prit une photo du jet en montrant bien le décor. Elle se tourna ensuite vers la compagnie qui sortait de l'avion. Elle leva son polaroid et s'écria:
"Cheese!"
Elle photographia, un a un, tous les membres de la mission. Elle prit alors les photos et les secoua dans les airs. Peu à peu, les visages apparurent sur les cartons. Rachel dit, un peu timide par rapport à son pouvoir sachant qu'il n'était génial comparé à certains de ses compagnons:
"Si quelqu'un est en danger, je serai capable de vous rejoindre et, d'une manière ou d'une autre, vous ramenez ici. Vous pouvez simplement m'appeller..."
La jeune femme tourna alors vivement la tête vers Cassandre et enfonca les deux appareils dans son vieux dans kaki. Elle s'en approcha rapidement et lui attrappa la main pour l'aider à descendre. Elle leva sa main libre et dit, non sans une voix enjouée:
"Scout, toujours prêt! Tenez vous bien, madame, je vais vous aider!"
Institut Xavier - Salem Center
"Je comprends pas vos réactions...Si vous avez un problème avec mon uniforme, dites le moi, hein?!" Elle éclata de rire.
Elle jetta un petit regard à Jake et à Fabrisio juste avant de monter dans le jet. "Les hommes", semblait-elle penser. Elle remarqua peu avant le départ que le ciel se couvrait. Rachel s'attacha rapidement au siège, un peu nerveuse de son premier voyage en avion. Elle était évidemment nerveuse de la mission. Elle avait une peur bleue de rater son coup une fois qu'elle apparaissait dans une photo. Allez! Avec un peu de courage! Elle vit alors le bon côté des choses. Elle s'adapterait à la photo dans laquelle ou au lieu dans lequel elle apparaissait. La jeune femme s'assit confortablement et sortit l'appareil photo de son sac. Elle ajusta la vision de nuit de l'appareil, puisqu'il faisait sombre à l'extérieur.
"C'est moi, ou il fait froid?"
Rachel se frictionna les bras, nerveuse. Plus l'heure de la mission approchait, plus elle se sentait horriblement stressée. Elle regarda à l'extérieur tout le long du trajet et, lorsque le jet attérit, elle se leva doucement et sortit dehors. Sa machoire se contracta alors qu'elle regardait autour d'elle. La jeune guitariste ressortit le polaroid de son sac et prit une photo du jet en montrant bien le décor. Elle se tourna ensuite vers la compagnie qui sortait de l'avion. Elle leva son polaroid et s'écria:
"Cheese!"
Elle photographia, un a un, tous les membres de la mission. Elle prit alors les photos et les secoua dans les airs. Peu à peu, les visages apparurent sur les cartons. Rachel dit, un peu timide par rapport à son pouvoir sachant qu'il n'était génial comparé à certains de ses compagnons:
"Si quelqu'un est en danger, je serai capable de vous rejoindre et, d'une manière ou d'une autre, vous ramenez ici. Vous pouvez simplement m'appeller..."
La jeune femme tourna alors vivement la tête vers Cassandre et enfonca les deux appareils dans son vieux dans kaki. Elle s'en approcha rapidement et lui attrappa la main pour l'aider à descendre. Elle leva sa main libre et dit, non sans une voix enjouée:
"Scout, toujours prêt! Tenez vous bien, madame, je vais vous aider!"
- Jake JefInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 1 Déc 2006 - 8:51
Jake sourit à Fabriscio
"Mon seul talent est d'avoir des doigts habiles c'est tout"
Puis vint enfin le moment de partir après que Myou fut arrivée. Jake se rappella son arrivée à l'Institut et se sentait encore fautif pour ce qui y était arrivé, il sourit à Myou d'un air rassurant et la salua. Puis il grimpa dans le Jet et se carra dans un siège en s'anarchant et vérifiant plusieurs fois que les sangles étaient bien bouclées : tout le monde avait fait de même et Cassandre lanca le Jet en programme automatique au grand dam de Jake qui aurait préféré un pilote aux commandes
Le plafond coulissa et révéla un passage pour qu'un avion décollant à la verticale puisse passer, ce qui se passa d'ailleurs : le Jet prit de l'altitude et on pouvait désormais voir l'Institut qui rapetissaient au fur et à mesure que le Jet grimpait au niveau des nuages. Suivit ensuite un voyage en direction du Camp Labrador qui dura une petite heure ; pendant ce temps Jake avait fermé les yeux et était détendu en essayant de ne pas s'embrouiller l'esprit en repensant à la mission, il conaissait maintenant ses limites et savait de quoi il était capable
Enfin le Jet se posa comme une fleur, et la passerelle se déroula permettant aux élèves de sortir : Jake enleva sa ceinture et sortit après Rachel dehors, l'air était vif et le temps pluvieux heureusement pour eux que la combinaison semblait garder au maximum la chaleur. Rachel voulut photographier chaque membres de la mission et Jake en profita pour s'étirer un petit peu car le voyage avait rendu ses muscles tout noués, ce fut ensuite son tour d'être photographié et il prit une petite pose de songeur
"Tu es notre porte de sortie en somme"
Ils marchèrent pendant quelques minutes pour sortir des bois et arriver devant une piste constituée de sable et Cassandre expliqua ce qu'elle attendait d'eux. Jake avait pensé à un moyen pour arreter le convoi, il sortit quatres cartes et modifia leur énergie cinétique pour les faire exploser. Il les disposa sur la route répartis à peu près à distance équivalente et pouvait maintenant les faire exploser à tout moment
Cassandre et Rachel se dirigèrent vers un coté de la route et Jake décida de se mettre de l'autre coté, il se laissa glisser dans le fossé et avait de la boue jusqu'au genoux mais n'en n'avait pas cure. Il attendait patiemment le reste des évènements
"Mon seul talent est d'avoir des doigts habiles c'est tout"
Puis vint enfin le moment de partir après que Myou fut arrivée. Jake se rappella son arrivée à l'Institut et se sentait encore fautif pour ce qui y était arrivé, il sourit à Myou d'un air rassurant et la salua. Puis il grimpa dans le Jet et se carra dans un siège en s'anarchant et vérifiant plusieurs fois que les sangles étaient bien bouclées : tout le monde avait fait de même et Cassandre lanca le Jet en programme automatique au grand dam de Jake qui aurait préféré un pilote aux commandes
Le plafond coulissa et révéla un passage pour qu'un avion décollant à la verticale puisse passer, ce qui se passa d'ailleurs : le Jet prit de l'altitude et on pouvait désormais voir l'Institut qui rapetissaient au fur et à mesure que le Jet grimpait au niveau des nuages. Suivit ensuite un voyage en direction du Camp Labrador qui dura une petite heure ; pendant ce temps Jake avait fermé les yeux et était détendu en essayant de ne pas s'embrouiller l'esprit en repensant à la mission, il conaissait maintenant ses limites et savait de quoi il était capable
Enfin le Jet se posa comme une fleur, et la passerelle se déroula permettant aux élèves de sortir : Jake enleva sa ceinture et sortit après Rachel dehors, l'air était vif et le temps pluvieux heureusement pour eux que la combinaison semblait garder au maximum la chaleur. Rachel voulut photographier chaque membres de la mission et Jake en profita pour s'étirer un petit peu car le voyage avait rendu ses muscles tout noués, ce fut ensuite son tour d'être photographié et il prit une petite pose de songeur
"Tu es notre porte de sortie en somme"
Ils marchèrent pendant quelques minutes pour sortir des bois et arriver devant une piste constituée de sable et Cassandre expliqua ce qu'elle attendait d'eux. Jake avait pensé à un moyen pour arreter le convoi, il sortit quatres cartes et modifia leur énergie cinétique pour les faire exploser. Il les disposa sur la route répartis à peu près à distance équivalente et pouvait maintenant les faire exploser à tout moment
Cassandre et Rachel se dirigèrent vers un coté de la route et Jake décida de se mettre de l'autre coté, il se laissa glisser dans le fossé et avait de la boue jusqu'au genoux mais n'en n'avait pas cure. Il attendait patiemment le reste des évènements
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 1 Déc 2006 - 13:19
Ca avait été au tour de Fabrisio de sourire en entendant la réponse de Jake.
Son esprit charmeur avait de suite imaginé ce qu’une telle réponse pouvait impliquer en présence de jeune fille. A cette pensée, il avait faillit rigoler mais s’était bien garder de le faire. Il n’aurait pas aimé devoir expliquer pourquoi il rigolait, de peur de passer pour ce qu’il n’était pas. Mais il n’en était pas moins content d’avoir ce genre de pensées dans un moment aussi particulier.
Et puis il avait fallu monter dans le jet. La réalité avait ramené les pensées du jeune homme dans le monde présent. Aussi était-il monté, à la suite des autres, sans un mot, dans cet immense engin à l’aspect si particulier. Qu’aurait-il pu, de toute façon, dire ? Tout le monde semblait si décontracter alors que lui songeait à tant de choses. Il aurait bien voulu ne plus y songer et pouvoir rire et plaisantait de manière insouciante. Mais une fois de plus, sa raison avait eu le dessus : il ne partait pas en pique-nique. Une fois à bord, Fabrisio avait prit le premier fauteuil qu’il avait trouvé et s’y était sanglé, presque automatiquement, comme s’il avançait dans un rêve.
Puis le jet décolla et le jeune homme s’était senti partir. Tels les films qu’il avait pu voir, il s’imaginait l’action accompagnée d’une musique à la fois tragique et sérieuse. Il avait fermé les yeux et s’était repassé tous les points de la missions dans sa tête, cherchant par moment où ses pouvoirs pourraient être le plus utile.
Du voyage en lui-même il ne garda pas de souvenirs précis. Tout était allé si vite qu’il n’avait pas eu le temps de réaliser tout ce qu’il avait traversé comme distance. Si bien que lorsque l’appareil se posa, il fut quelque peu surpris. Il défit sa ceinture et descendit de l’appareil, toujours en suivant les autres.
La première chose qui l’avait frappé fut le mauvais temps qui régnait. Il avait pensé aussitôt que cela n’allait pas être évident d’agir sous un temps pareil. Et puis il s’était ravisé. Songeant à ses pouvoirs, il avait réalisé qu’au contraire, cette pluie pouvait s’avérer bien utile pour ce qu’il devrait faire. Un léger sourire crispé était alors apparut sur son visage. Et c’est ce moment-là que Rachel choisit de prendre une photo … franchement, elle aurait pu prévenir avait pensé Fabrisio. Il n’avait pas non plus comprit ce qu’elle avait voulu dire mais il s’était disait bien que se devait être utile, ou du moins important. Aussi s’était-il gardé de toute remarque.
Ils avaient ensuite tous suivit Cassandre qui se déplaçait avec une facilité plutôt déconcertante vu son handicape. Fabrisio n’avait une nouvelle fois pas manqué d’admirer la jeune femme qui faisait preuve de beaucoup d’assurance.
Arrivés à une piste, Cassandre avait expliqué la suite des opérations. Jake avait alors prit l’initiative pour arrêter le convoi. Fabrisio avait noté la vitesse à laquelle il était intervenu, trouvant rapidement le moyens de stopper le camion.
Alors que Cassandre et Rachel se cachaient d’un côté de la route, Fabrisio vit Jake traverser et se mettre en embuscade de l’autre côté. Pour équilibrer le nombre, il décida de le suivre. Rapidement, il traversa à son tour et le rejoignit. Sans un mot, il plongea dans le fossé, remerciaitn au passage le créateur de son costume qui empêchait l'eau d'y pénétrait, et attendit.
Il était prêt …
Son esprit charmeur avait de suite imaginé ce qu’une telle réponse pouvait impliquer en présence de jeune fille. A cette pensée, il avait faillit rigoler mais s’était bien garder de le faire. Il n’aurait pas aimé devoir expliquer pourquoi il rigolait, de peur de passer pour ce qu’il n’était pas. Mais il n’en était pas moins content d’avoir ce genre de pensées dans un moment aussi particulier.
Et puis il avait fallu monter dans le jet. La réalité avait ramené les pensées du jeune homme dans le monde présent. Aussi était-il monté, à la suite des autres, sans un mot, dans cet immense engin à l’aspect si particulier. Qu’aurait-il pu, de toute façon, dire ? Tout le monde semblait si décontracter alors que lui songeait à tant de choses. Il aurait bien voulu ne plus y songer et pouvoir rire et plaisantait de manière insouciante. Mais une fois de plus, sa raison avait eu le dessus : il ne partait pas en pique-nique. Une fois à bord, Fabrisio avait prit le premier fauteuil qu’il avait trouvé et s’y était sanglé, presque automatiquement, comme s’il avançait dans un rêve.
Puis le jet décolla et le jeune homme s’était senti partir. Tels les films qu’il avait pu voir, il s’imaginait l’action accompagnée d’une musique à la fois tragique et sérieuse. Il avait fermé les yeux et s’était repassé tous les points de la missions dans sa tête, cherchant par moment où ses pouvoirs pourraient être le plus utile.
Du voyage en lui-même il ne garda pas de souvenirs précis. Tout était allé si vite qu’il n’avait pas eu le temps de réaliser tout ce qu’il avait traversé comme distance. Si bien que lorsque l’appareil se posa, il fut quelque peu surpris. Il défit sa ceinture et descendit de l’appareil, toujours en suivant les autres.
La première chose qui l’avait frappé fut le mauvais temps qui régnait. Il avait pensé aussitôt que cela n’allait pas être évident d’agir sous un temps pareil. Et puis il s’était ravisé. Songeant à ses pouvoirs, il avait réalisé qu’au contraire, cette pluie pouvait s’avérer bien utile pour ce qu’il devrait faire. Un léger sourire crispé était alors apparut sur son visage. Et c’est ce moment-là que Rachel choisit de prendre une photo … franchement, elle aurait pu prévenir avait pensé Fabrisio. Il n’avait pas non plus comprit ce qu’elle avait voulu dire mais il s’était disait bien que se devait être utile, ou du moins important. Aussi s’était-il gardé de toute remarque.
Ils avaient ensuite tous suivit Cassandre qui se déplaçait avec une facilité plutôt déconcertante vu son handicape. Fabrisio n’avait une nouvelle fois pas manqué d’admirer la jeune femme qui faisait preuve de beaucoup d’assurance.
Arrivés à une piste, Cassandre avait expliqué la suite des opérations. Jake avait alors prit l’initiative pour arrêter le convoi. Fabrisio avait noté la vitesse à laquelle il était intervenu, trouvant rapidement le moyens de stopper le camion.
Alors que Cassandre et Rachel se cachaient d’un côté de la route, Fabrisio vit Jake traverser et se mettre en embuscade de l’autre côté. Pour équilibrer le nombre, il décida de le suivre. Rapidement, il traversa à son tour et le rejoignit. Sans un mot, il plongea dans le fossé, remerciaitn au passage le créateur de son costume qui empêchait l'eau d'y pénétrait, et attendit.
Il était prêt …
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Sam 2 Déc 2006 - 19:04
Le jeune français resta silencieux au fur et à mesure que les élèves arrivèrent. Étant pour la majorité d’entre eux des nouveaux venus, il ne je jugea pas le moment propice pour les présentations. Et puis, le mélange de peur et d’excitation le rendait assez confus, ne sachant pas très bien ce qu’il devait faire. Une fois le petit commando au complet, tous montèrent dans l’avion qui décolla, direction le camp Labrador. Le voyage, durant lequel il eut un long silence plutôt gênant, se déroula sans encombre.
Mais c’est une fois que le X-Jet atterrit que les choses sérieuses. Enfin, une fois que le X-Jet atterrit et que la dénommée Rachel prit des photos de tout le monde. Sur la sienne, Gaël avait l’air quelque peu perplexe, se demandant si cette dernière était bien au courant de la situation, c’est-à-dire que le petit groupe allait infiltrer un camp militaire ultra-sophistiqué et non pas partir en excursion scolaire dans un zoo.
Mais la mission commençant officiellement à cet instant et l’ado dut donc mettre ce genre de petits détails de côté pour choisir avec qui il allait passer la première partie du plan. Il ne mit d’ailleurs pas très longtemps à faire son choix. Se voyant mal aux côtés de Cassandre et de la paparazzi, il courut se réfugier avec Jake et Fabrisio. Il se demanda ce que la psychologue faisait vraiment là. Même si ses pouvoirs « remplaçaient » sa vue, il la voyait mal se battre contre des soldats et surtout les mettre KO, même si en y réfléchissant bien, il ne se voyait pas non plus le faire lui-même.
Il resta donc silencieux, doutant de plus en plus de son utilité et sa place.
Mais c’est une fois que le X-Jet atterrit que les choses sérieuses. Enfin, une fois que le X-Jet atterrit et que la dénommée Rachel prit des photos de tout le monde. Sur la sienne, Gaël avait l’air quelque peu perplexe, se demandant si cette dernière était bien au courant de la situation, c’est-à-dire que le petit groupe allait infiltrer un camp militaire ultra-sophistiqué et non pas partir en excursion scolaire dans un zoo.
Mais la mission commençant officiellement à cet instant et l’ado dut donc mettre ce genre de petits détails de côté pour choisir avec qui il allait passer la première partie du plan. Il ne mit d’ailleurs pas très longtemps à faire son choix. Se voyant mal aux côtés de Cassandre et de la paparazzi, il courut se réfugier avec Jake et Fabrisio. Il se demanda ce que la psychologue faisait vraiment là. Même si ses pouvoirs « remplaçaient » sa vue, il la voyait mal se battre contre des soldats et surtout les mettre KO, même si en y réfléchissant bien, il ne se voyait pas non plus le faire lui-même.
Il resta donc silencieux, doutant de plus en plus de son utilité et sa place.
- Ashern RInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Dim 3 Déc 2006 - 22:33
Ashern resta aux cotés de sa soeur lorsqu'ils embarquèrent dans le Jet qui, fallait le dire, l'impressionnait un peu. Il aurait pensé à un hélicoptère, un transport de troupe standard, mais il fallait qu'il arrime dans sa tête qu'il n'était plus à l'armée. Ici c'était ... 8 fois mieux. Jamais il n'aurait imaginé qu'une école, qu'un centre pour anormaux puisse regorger d'une telle puissance. Quand on y pensait, tous ces mômes, toutes ces armes potentielles, toute cette technologie ... Il y avait là une véritable armée, de quoi mener une guerre terrible ... De quoi changer la face du monde ...
Mais il s'hota bien vite ces pensées de son esprit, et après avoir conduit sa soeurette à un siège, s'installa, ou plutôt s'arnacha près d'elle. Une légère poussée ébranla furtivement l'habitacle, et tous s'élevèrent vers les cieux. A vrai dire, ça ne lui faisait strictement rien, une sensation qu'il avait trop eprouvée ... Le voyage se fit donc paisiblement, malgré le stress qui devait monter dans les coeurs de la plupart des marmots en collants présents. La conversation, un peu vide, n'était meublée que par les chuchottements de certains, le discours de Cassandre, mais aussi et surtout par de gros "blancs" significatifs.
Il finirent alors par se poser dans une île, et Ashern pû reconnaitre de haut la scène de ses tortures passées. Il ferma les yeux, pris de souvenirs douloureux, puis s'enclint à les rouvrir lorsqu'il sentit l'appareil regagner la terre ferme. Il descendit le dernier, comme à son habitude. Cassandre planifia la situation présente et future, brièvement, mais efficacement, et il approuva silencieusement cette façon de parler, qui était si chère à ses sergents d'autrefois. On aurait pû croire à une professionnelle ...
Il tourna alors son regard vers Jessica, et s'accroupit, avant de parler d'une voix basse.
"Bien, pour l'instant, tu restes près de moi. Quoiqu'il arrive, tu fais ce que je te dis de faire, ok ? Ensuite, quand je te le dirais, ou quand je t'en ferais signe, tu rejoindras Cassandre. C'est à ses cotés que je veux que tu te trouves. Une fois à l'intérieur, on se perdra peut-être, voire surement de vue, alors ne t'inquietes pas, et restes avec elle. Je compte sur toi soeurette, fais bien attention."
Il lui sourit un peu, et, voyant que tout le monde se scindait en deux groupes, décida d'en faire de même. Il prit alors Jessica par la main et l'entraina vers le côté où la jeune aveugle se tenait. La plupart des mecs s'étaient dirigés de l'autre coté de la route. Autant équilibrer les forces, hein ... Malgré qu'il ne connaisse pas les capacités de chacun. Oui, il s'était basé sur le physique et le sexe de tous. Bah, il n'avait pas d'autres paramètres pour ça, il n'avait pas trop eût le choix.
Il sortit alors son pistolet tranquilisant, et l'arma, après en avoir vérifié le contenu, le chargeur. L'embuscade semblait prête.
Mais il s'hota bien vite ces pensées de son esprit, et après avoir conduit sa soeurette à un siège, s'installa, ou plutôt s'arnacha près d'elle. Une légère poussée ébranla furtivement l'habitacle, et tous s'élevèrent vers les cieux. A vrai dire, ça ne lui faisait strictement rien, une sensation qu'il avait trop eprouvée ... Le voyage se fit donc paisiblement, malgré le stress qui devait monter dans les coeurs de la plupart des marmots en collants présents. La conversation, un peu vide, n'était meublée que par les chuchottements de certains, le discours de Cassandre, mais aussi et surtout par de gros "blancs" significatifs.
Il finirent alors par se poser dans une île, et Ashern pû reconnaitre de haut la scène de ses tortures passées. Il ferma les yeux, pris de souvenirs douloureux, puis s'enclint à les rouvrir lorsqu'il sentit l'appareil regagner la terre ferme. Il descendit le dernier, comme à son habitude. Cassandre planifia la situation présente et future, brièvement, mais efficacement, et il approuva silencieusement cette façon de parler, qui était si chère à ses sergents d'autrefois. On aurait pû croire à une professionnelle ...
Il tourna alors son regard vers Jessica, et s'accroupit, avant de parler d'une voix basse.
"Bien, pour l'instant, tu restes près de moi. Quoiqu'il arrive, tu fais ce que je te dis de faire, ok ? Ensuite, quand je te le dirais, ou quand je t'en ferais signe, tu rejoindras Cassandre. C'est à ses cotés que je veux que tu te trouves. Une fois à l'intérieur, on se perdra peut-être, voire surement de vue, alors ne t'inquietes pas, et restes avec elle. Je compte sur toi soeurette, fais bien attention."
Il lui sourit un peu, et, voyant que tout le monde se scindait en deux groupes, décida d'en faire de même. Il prit alors Jessica par la main et l'entraina vers le côté où la jeune aveugle se tenait. La plupart des mecs s'étaient dirigés de l'autre coté de la route. Autant équilibrer les forces, hein ... Malgré qu'il ne connaisse pas les capacités de chacun. Oui, il s'était basé sur le physique et le sexe de tous. Bah, il n'avait pas d'autres paramètres pour ça, il n'avait pas trop eût le choix.
Il sortit alors son pistolet tranquilisant, et l'arma, après en avoir vérifié le contenu, le chargeur. L'embuscade semblait prête.
- GodolloInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Dim 3 Déc 2006 - 22:59
*Je vole, nous volons, je suis dans un transport qui vole, il nous fait voler, il me fait voler, je vole.
Plus loin, moins loin, plus haut, très haut, plus bas, très bas, j'explose, j'implose ?
Je me sens si mal, je crois être heureux, je respire le bonheur, je me sens si bien mais j'ai envie de vomir, je veux pourrir, je veux périr, mais je ne veux pas mourir.
Pourquoi j'ai tant besoin de crier, les secondes ont le droit, les chiens aussi, j'ai faim, j'ai pas soif, je boirais du sang par contre, ça doit être bon, ne pêche plus, respire, expire, inspire, rien de plus.
Sincèrement j'aime quelqu'un, qui ?Je sais pas, je veux le combler, peut être suis je trop précoce, mais un baiser serait si bon, un contact, une danse, ensemble, à deux, je te veux.
Mon dieu, mon sanctuaire, ma citadelle, on arrive quand ?
Ils sont tous là, je suis ailleurs, je crois au déjà vu, pas maintenant, on arrive, ah non, la ceinture me serre, le costume aussi, j'ai honte de moi mais en vérité je veux être un fantasme inavouable, un esclave et un roi, un ange ou un démon, c'est si ordinaires ces mots là, il n'y a aucune poésie, c'est ringard, kitsh, je me trouve beau, personne n'est d'accord, tant pis.
Je voudrais leur dire, j'ai peur d'un rejet, leurs dire, quoi au fait ? J'en sais rien, je veux discuter, j'ose pas, de toute façon je n'ai pas de voisin et nous arrivons, j'ai besoin d'aire, j'asphyxie.
J'avoue vouloir danser devant eux, les provoquer, les choquer, leur montrer ce que je vaux, que j'ai des couilles, je me taperai un délire, c'est frais, mais qu'est ce que j'ai a parler comme un jeune, j'ai 21 printemps, je me la pète grave, remarque je dis rien.
J'ai des muscles, comme un play-boy, sauf que j'ai rien d'un homme pareil, les poils et les antennes c'est pas super désirable, je pourrai me camouflais, même je suis pas dieux du stade.
Officiellement je ne suis pas célibataire puis que je n'avais pas rompus, attends, je suis sensé aller sauver des pauvres mutants qui se font torturer toute la journée, et j'ai l'esprit dans mes histoires amoureuse pourris, elles sont pas pourris mais sont mineurs.
'Faudrait que je stop de me rabaisser, "attention à la marche en descendant du train", je l'ai entendu mille fois et malgré ça j'allai me casser le ge** sur ces foutus escaliers trempés, sale temps de chien. J'ai de plus en plus l'obsession de paraître obscène, c'est la nature humaine, non ? N'empêche ! Et si je montais un sombre destrier et le chevauchais, si c'était un de ces soldats, je lui mettrai une selle sur le dos, oui ce serait sulfureux....
Je deviens un monstre obsédé et pervers, qu'elle horreur, chacun ses envies, chacun ses désirs, chacun ses tabous.
Allez cachons nous- dans les fourrés en compagnie de ces joyeux gaillards, papillon devient buisson, magie je suis invisible, youpiee !*
Plus loin, moins loin, plus haut, très haut, plus bas, très bas, j'explose, j'implose ?
Je me sens si mal, je crois être heureux, je respire le bonheur, je me sens si bien mais j'ai envie de vomir, je veux pourrir, je veux périr, mais je ne veux pas mourir.
Pourquoi j'ai tant besoin de crier, les secondes ont le droit, les chiens aussi, j'ai faim, j'ai pas soif, je boirais du sang par contre, ça doit être bon, ne pêche plus, respire, expire, inspire, rien de plus.
Sincèrement j'aime quelqu'un, qui ?Je sais pas, je veux le combler, peut être suis je trop précoce, mais un baiser serait si bon, un contact, une danse, ensemble, à deux, je te veux.
Mon dieu, mon sanctuaire, ma citadelle, on arrive quand ?
Ils sont tous là, je suis ailleurs, je crois au déjà vu, pas maintenant, on arrive, ah non, la ceinture me serre, le costume aussi, j'ai honte de moi mais en vérité je veux être un fantasme inavouable, un esclave et un roi, un ange ou un démon, c'est si ordinaires ces mots là, il n'y a aucune poésie, c'est ringard, kitsh, je me trouve beau, personne n'est d'accord, tant pis.
Je voudrais leur dire, j'ai peur d'un rejet, leurs dire, quoi au fait ? J'en sais rien, je veux discuter, j'ose pas, de toute façon je n'ai pas de voisin et nous arrivons, j'ai besoin d'aire, j'asphyxie.
J'avoue vouloir danser devant eux, les provoquer, les choquer, leur montrer ce que je vaux, que j'ai des couilles, je me taperai un délire, c'est frais, mais qu'est ce que j'ai a parler comme un jeune, j'ai 21 printemps, je me la pète grave, remarque je dis rien.
J'ai des muscles, comme un play-boy, sauf que j'ai rien d'un homme pareil, les poils et les antennes c'est pas super désirable, je pourrai me camouflais, même je suis pas dieux du stade.
Officiellement je ne suis pas célibataire puis que je n'avais pas rompus, attends, je suis sensé aller sauver des pauvres mutants qui se font torturer toute la journée, et j'ai l'esprit dans mes histoires amoureuse pourris, elles sont pas pourris mais sont mineurs.
'Faudrait que je stop de me rabaisser, "attention à la marche en descendant du train", je l'ai entendu mille fois et malgré ça j'allai me casser le ge** sur ces foutus escaliers trempés, sale temps de chien. J'ai de plus en plus l'obsession de paraître obscène, c'est la nature humaine, non ? N'empêche ! Et si je montais un sombre destrier et le chevauchais, si c'était un de ces soldats, je lui mettrai une selle sur le dos, oui ce serait sulfureux....
Je deviens un monstre obsédé et pervers, qu'elle horreur, chacun ses envies, chacun ses désirs, chacun ses tabous.
Allez cachons nous- dans les fourrés en compagnie de ces joyeux gaillards, papillon devient buisson, magie je suis invisible, youpiee !*
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Mar 5 Déc 2006 - 14:27
Dans l'avion, Enzo qui ne connaissait pas tout le monde questionna quelques uns des élèves qui était à l'institut depuis un peu moins longtemps que lui. Dans une mission il vaut mieux connaitre ses alliés, au bout de quelques minutes il avait pu voir en quoi consistait les pouvoirs de chacuns.
C'était la seconde fois qu'Enzo prenait ce fameux jet et une fois encore, il fut inpressionné par le silence au décollage, et malgré la vitesse qu'il pouvait atteindre, ce silence persistait alors qu'une legère vibration parcourait l'appareil.
Très vite il arrivèrent à destination, tout le monde descendit du jet que Cassandre camoufla. Cassandre proposa à Jessica de faire apparaitre son ami pour obliger le véhicule à s'arreter.
*Pourquoi ils s'arreteraient en voyant un gors chien. Il ne comprenait pas bien mais il faisait confiance à Cassandre sur ce point.*
Enzo rejoint Jake, Fabrisio et son collocataire de l'autre coté de la voie d'accès au camp. Assez logique puisque la collaboration Enzo/Fabrisio avait la particularité de pourvoir jeter un froid.
C'était la seconde fois qu'Enzo prenait ce fameux jet et une fois encore, il fut inpressionné par le silence au décollage, et malgré la vitesse qu'il pouvait atteindre, ce silence persistait alors qu'une legère vibration parcourait l'appareil.
Très vite il arrivèrent à destination, tout le monde descendit du jet que Cassandre camoufla. Cassandre proposa à Jessica de faire apparaitre son ami pour obliger le véhicule à s'arreter.
*Pourquoi ils s'arreteraient en voyant un gors chien. Il ne comprenait pas bien mais il faisait confiance à Cassandre sur ce point.*
Enzo rejoint Jake, Fabrisio et son collocataire de l'autre coté de la voie d'accès au camp. Assez logique puisque la collaboration Enzo/Fabrisio avait la particularité de pourvoir jeter un froid.
- AlyssandInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Mar 5 Déc 2006 - 14:33
Alyssandre était restée silencieuse à mesure que les autres membres de la mission arrivaient. Elle ne voulait pas jouer les associables, mais la boule qui dardait son ventre l'empêchait de se détendre complètement et de participer aux conversations.
Finalement, Cassandre avait donné le coup d'envoi et ils étaient montés à bord du jet. Alyssandre choisit une place près d'une ouverture, et s'était contentée de regarder l'extérieur pendant le bref trajet. Finalement, l'engin s'était posé et ils étaient tous redescendus.
Au moment où elle passa sur la parcelle, le polaroid de Rachel se déclencha. Surprise, Alyssandre leva un sourcil, alors que la guitariste expliquait la raison de son geste.
"C'est une excellente idée, Rachel, on sera tous plus serein en sachant que tu assures nos arrières à tous." Lui avait-elle dit en souriant.
Cassandre avait alors commencé à donner les instructions. Le convoi allait arriver, Jake jouait déjà de ses cartes pour trouver un moyen de l'arrêter tandis que chacun se répartissait d'un côté de la route. Alyssandre, quant à elle, choisit de rejoindre les garçons, équilibrant en nombre l'autre côté de la route. La raison principale de son choix venait de son pouvoir. Déjà de fines épines commençaient à percer à travers le tissu de ses mitaines. Quand le convoi arriverait, elles deviendraient des lianes et il lui serait facile de ligoter le conducteur pour l'empêcher de manœuvrer, pendant que les autres neutraliseraient les gardes.
"Je m'occupe du conducteur, dit-elle simplement à ses compagnons."
Sous l'effet de son pouvoir ses mains commencèrent à se crisper, soutenant la douleur que lui infligeaient les aiguilles qui perçaient sa peau.
Finalement, Cassandre avait donné le coup d'envoi et ils étaient montés à bord du jet. Alyssandre choisit une place près d'une ouverture, et s'était contentée de regarder l'extérieur pendant le bref trajet. Finalement, l'engin s'était posé et ils étaient tous redescendus.
Au moment où elle passa sur la parcelle, le polaroid de Rachel se déclencha. Surprise, Alyssandre leva un sourcil, alors que la guitariste expliquait la raison de son geste.
"C'est une excellente idée, Rachel, on sera tous plus serein en sachant que tu assures nos arrières à tous." Lui avait-elle dit en souriant.
Cassandre avait alors commencé à donner les instructions. Le convoi allait arriver, Jake jouait déjà de ses cartes pour trouver un moyen de l'arrêter tandis que chacun se répartissait d'un côté de la route. Alyssandre, quant à elle, choisit de rejoindre les garçons, équilibrant en nombre l'autre côté de la route. La raison principale de son choix venait de son pouvoir. Déjà de fines épines commençaient à percer à travers le tissu de ses mitaines. Quand le convoi arriverait, elles deviendraient des lianes et il lui serait facile de ligoter le conducteur pour l'empêcher de manœuvrer, pendant que les autres neutraliseraient les gardes.
"Je m'occupe du conducteur, dit-elle simplement à ses compagnons."
Sous l'effet de son pouvoir ses mains commencèrent à se crisper, soutenant la douleur que lui infligeaient les aiguilles qui perçaient sa peau.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Jeu 7 Déc 2006 - 20:28
Montant dans le jet, Jessica précéda son frère et alla s'installer dans un siège où elle s'arnacha sans difficulté. Ashern près d'elle, et ayant déjà pris l'avion avec Cassandre, elle savait que tout se passerait bien. Il ne pouvait pas en être autrement tandis qu'ils allaient dans un endroit dangereux, pour le moment ils étaient en sécurité. C'était ce qu'elle était en train de penser lorsqu'ils décollèrent en position verticale, étrange pour un avion... mais il était spécial et sophistiqué, et était fait pour ça. Le voyage se déroula en silence, pour la plus grande partie, et elle en fit de même, plongeant dans ses pensées, s'imaginant ce qui les attendait. Elle mixait les atrocités de ce qu'elle avait déjà vu à la télévision ainsi qu'en réalité, explosions, morts, sang... Et cela l'occupa jusqu'à leur arriver.
Soulagé de ne plus être dans ce moment d'attente avant une scène importante, elle se détacha de son siège et descendit, se laissant prendre en photo sans faire de pose particulière. Cassandre vint lui parler, et la jeune fille hocha la tête, approuvant son idée. Mais déjà, Jack se glissait sur la route pour y dissimuler ses cartes... Tandis que les autres partaient déjà rejoindre leur planque dans les fossés encadrant la route, elle resta sur place, s'adressant à Jack.
« Tu peux pas faire ça, j'ai vu ce que tu fais avec les cartes pendant les portes ouvertes, tu vas tout faire exploser! On en a besoin du camion, pas d'une carcasse! »
Jessica tourna la tête vers Cassandre et Ashern, comme pour s'assurer qu'elle ne se trompait et qu'elle avait raison de protester. Pendant ce temps, son fidèle compagnon était sortie de nulle part, et était venu se posté bien droit prêt d'elle, comme sachant ce qu'il aurait sans doute à faire pour arrêter le convoi.
Soulagé de ne plus être dans ce moment d'attente avant une scène importante, elle se détacha de son siège et descendit, se laissant prendre en photo sans faire de pose particulière. Cassandre vint lui parler, et la jeune fille hocha la tête, approuvant son idée. Mais déjà, Jack se glissait sur la route pour y dissimuler ses cartes... Tandis que les autres partaient déjà rejoindre leur planque dans les fossés encadrant la route, elle resta sur place, s'adressant à Jack.
« Tu peux pas faire ça, j'ai vu ce que tu fais avec les cartes pendant les portes ouvertes, tu vas tout faire exploser! On en a besoin du camion, pas d'une carcasse! »
Jessica tourna la tête vers Cassandre et Ashern, comme pour s'assurer qu'elle ne se trompait et qu'elle avait raison de protester. Pendant ce temps, son fidèle compagnon était sortie de nulle part, et était venu se posté bien droit prêt d'elle, comme sachant ce qu'il aurait sans doute à faire pour arrêter le convoi.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 8 Déc 2006 - 12:51
Les élèves s'étaient donc répartis dans chacun des deux fossés bordant la route. La pluie battante avait rendu la terre liquide, et leurs pieds, comme dans des sables mouvants, s'enfoncèrent immédiatement jusqu'à mi-cuisse. Empêtrés comme ils étaient, ils pouvaient néanmoins se redresser pour jeter des coups d'oeils à la route semée d'ornières et de nids de poules remplis d'eau.
La tension était palpable dans les rangs des académiciens.
Bientôt, le bruit de la pluie se fit couvrir par celui, bien civilisé, d'un moteur. Le transport approchait.
Le véhicule était un camion de transport militaire classique, bâché, d'habitude utilisé pour le transport de troupes. Une petite trappe à l'arrière fermait le tout. Deux formes kakis à l'avant trahissaient la présence du conducteur et d'un passager, conformément aux prédictions de Cassandre.
Le camion n'était plus qu'à une vingtaine de mètres. Le compagnon de Jessica qui s'était matérialisé, surgit du fossé d'un bond agile, et se plaça en travers de la route.
Le camion émit un long klaxonnement, avant de piler net pour ne pas entendre dans l'animal fictif. Le crissement des pneus sur le sol meuble retentit dans la désolation de la plaine, et le camion dérapa de gauche à droite, envoya des trombes d'eaux dans les deux fossés. Fort heureusement, l'animal de Jessica s'était placé avant le champ de mines cinétiques placées par Jake, mais sa distance de freinage accrue par la pluie, l'amena à quelques centimètres seulement de la zone à risques.
Le camion finit par s'immobiliser, et les deux passagers de l'habitacle en sortirent pour chasser le loup noir.
"Espèce de saloperie !" cria le chauffeur en brandissant son arme pour mettre le loup en joug.
La tension était palpable dans les rangs des académiciens.
Bientôt, le bruit de la pluie se fit couvrir par celui, bien civilisé, d'un moteur. Le transport approchait.
Le véhicule était un camion de transport militaire classique, bâché, d'habitude utilisé pour le transport de troupes. Une petite trappe à l'arrière fermait le tout. Deux formes kakis à l'avant trahissaient la présence du conducteur et d'un passager, conformément aux prédictions de Cassandre.
Le camion n'était plus qu'à une vingtaine de mètres. Le compagnon de Jessica qui s'était matérialisé, surgit du fossé d'un bond agile, et se plaça en travers de la route.
Le camion émit un long klaxonnement, avant de piler net pour ne pas entendre dans l'animal fictif. Le crissement des pneus sur le sol meuble retentit dans la désolation de la plaine, et le camion dérapa de gauche à droite, envoya des trombes d'eaux dans les deux fossés. Fort heureusement, l'animal de Jessica s'était placé avant le champ de mines cinétiques placées par Jake, mais sa distance de freinage accrue par la pluie, l'amena à quelques centimètres seulement de la zone à risques.
Le camion finit par s'immobiliser, et les deux passagers de l'habitacle en sortirent pour chasser le loup noir.
"Espèce de saloperie !" cria le chauffeur en brandissant son arme pour mettre le loup en joug.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 8 Déc 2006 - 12:53
Le corps de Cassandre s'empêtra dans la boue dans une sensation visqueuse désagréable. Avec l'aide de Rachel, elle adopta une position appropriée dans le fossé en se collant contre la paroie, et à force de tâtonnements, finit par trouver deux prises qui lui permettraient de s'extraire de la boue.
"Merci, Rachel." dit-elle doucement, une légère crispation de gêne dans les lèvres.
Les paroles de Jessica attirèrent immédiatement son attention.
Quoi ?!
Ne comprenant pas de quoi elle parlait, elle fouilla l'avenir probable, pour y voir le camion exploser sous les cartes chargées d'énergie cinétique de Jake.
Non... Il nous faut ce camion intacte !
"Jake, ne déclenche surtout pas tes cartes ! Nous avons besoin de ce camion en un seul morceau !" dit-elle d'une voix intense dans son communicateur.
Déjà le bruit du camion se faisait entendre. Tapie dans le fossé, l'eau ruisselant sur son visage, elle "observa" son arrivée et la réaction des soldats une minute à l'avance, et planifia ses propres mouvements.
Un crissement de pneus. L'ouverture de deux portes.
"Les soldats à l'arrière ne vont pas tarder à sortir également." chuchota-t-elle à l'intention de tous dans son communicateur. Ombre noire, Cassandre s'extirpa lentement du fossé. La vitesse n'avait pas d'importance pour elle, seule le chronométrage l'était.
Rien ne sert de courir...
Avec des mouvements calculés au centième près, elle sortit du fossé comme si de rien n'était et s'approcha à pas lents du deuxième garde qui lui tournait le dos. Elle se plaça derrière le battant de sa portière.
Bientôt... Il va se retourner pensa-t-elle calmement.
Le futur allait bientôt devenir le présent... Au moment où le garde se retournait pour avancer vers le camion, elle poussa la portière de toutes ses forces en avant. Un choc puis un bruit sourd lui indiqua qu'il était sonné pour le compte.
La charge était donnée. Tranquillement, elle se pencha en avant et se saisit de l'arme du soldat avant de bouger pour esquiver les balles avec une aisance déconcertante :
Deux gardes de l'arrière étaient sortis, dont l'un de son côté.
[hrp : je vous rappelle qu'il y a deux gardes devant et trois à l'arrière.]
"Merci, Rachel." dit-elle doucement, une légère crispation de gêne dans les lèvres.
Les paroles de Jessica attirèrent immédiatement son attention.
Quoi ?!
Ne comprenant pas de quoi elle parlait, elle fouilla l'avenir probable, pour y voir le camion exploser sous les cartes chargées d'énergie cinétique de Jake.
Non... Il nous faut ce camion intacte !
"Jake, ne déclenche surtout pas tes cartes ! Nous avons besoin de ce camion en un seul morceau !" dit-elle d'une voix intense dans son communicateur.
Déjà le bruit du camion se faisait entendre. Tapie dans le fossé, l'eau ruisselant sur son visage, elle "observa" son arrivée et la réaction des soldats une minute à l'avance, et planifia ses propres mouvements.
Un crissement de pneus. L'ouverture de deux portes.
"Les soldats à l'arrière ne vont pas tarder à sortir également." chuchota-t-elle à l'intention de tous dans son communicateur. Ombre noire, Cassandre s'extirpa lentement du fossé. La vitesse n'avait pas d'importance pour elle, seule le chronométrage l'était.
Rien ne sert de courir...
Avec des mouvements calculés au centième près, elle sortit du fossé comme si de rien n'était et s'approcha à pas lents du deuxième garde qui lui tournait le dos. Elle se plaça derrière le battant de sa portière.
Bientôt... Il va se retourner pensa-t-elle calmement.
Le futur allait bientôt devenir le présent... Au moment où le garde se retournait pour avancer vers le camion, elle poussa la portière de toutes ses forces en avant. Un choc puis un bruit sourd lui indiqua qu'il était sonné pour le compte.
La charge était donnée. Tranquillement, elle se pencha en avant et se saisit de l'arme du soldat avant de bouger pour esquiver les balles avec une aisance déconcertante :
Deux gardes de l'arrière étaient sortis, dont l'un de son côté.
[hrp : je vous rappelle qu'il y a deux gardes devant et trois à l'arrière.]
- GodolloInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 8 Déc 2006 - 19:58
*Il arrive, c'est laid, moche, classique, rétro, vieillot plutôt, il empeste la boue, la mer** aussi, je déteste, qu'elle puanteur!
C'est quoi ces odeurs affreuse, mon nez me dit que c'est la hargne, une haine, leurs rages, mon odorat me chuchote autre chose, un parfum délectable, il appartient a une femme, jeune, 17 ans a peine, brune, coquette, terrorisée, angoissé , en pleure, ses larmes sente tout aussi bon. Les déportés sont légions, presque tous les même sentiments, déprimant, je suis pas bien, j'éteins la lumière et je vois encore mieux, je tremble comme des enceintes.
Le chien de Jess va se faire niq***, le pluie n'arrange rien, j'ai vus des milliers de fois une scène identique au cinéma, un camion militaire "méchant", des gentils venus sauver des innocents, et tous ça sous la pluie, aujourd'hui je suis acteur, superstar d'un jour, je vis les émotions en vrai, sympa, pas du tout, j'en ai marre de ce monde co*, de ces sala*** qui nous enmer**, allez tous vous faire enc**** !
Qu'est ce qui m'arrive, je disjoncte tout seul, je m'acharne sur moi, toute cette énergie négative me rends malade, le malin est en moi, je suis possédé, ils se disent tous ça, c'est eux qui prône le diable, je suis simplement un fruit, eux le serpent, le monde nous goûte, puis nous vomissent. Je suis une victime, sûrement pas, un martyr, encore moins, appuie sur le bouton, change de chaîne, là t'y es pas, je ne m'arrêterais pas, je crierai ce que j'ai a dire, je serais écoutait, je veux me battre pour ça, que tu m'aime ou que tu me haïsse, je continuerais, parle, raconte ta vie, tes opinions, rien n'y changeras.
Le camion dérape, c'est le commencement, un début à tout, toute les bonnes choses ont une fin, amants à amies, flamme à cendres, pourquoi, je ne sais pas, c'est juste inévitable. Sibylle parle, voix faibles, stressé, courageuse, son pouvoir est le pire de l'institut sans aucun doute, le plus durs a supporter, concentre toi, plus que quelque secondes, prêt a sauté, il faut juste me pousser.
Les portes s'ouvrent, armés jusqu'au dents ces sal****, qu'elle odeur infâme, leurs transpiration n'arrange pas les choses, je peux évaluer que leurs dernières douches dates de plus d'un mois, le jeunot un peu moins, il seras épargné, je lui fait cette grâce, qu'est ce que je frime, je sais presque pas me battre, la force brute et la brutalité seront mes armes, je devrais être honteux. Je vais m'exciter un peux, ils sont désirables, j'ai toujours préféré les filles mais eux sont pas trop mal, ça ne me déplaît pas, j'ai plus de famille et aucun compte à rendre, sapé de cette façon c'est clair, Cassandre a bougé, elle charge, elle y va, laisse tomber le fantasme place à l'action !*
Le poils du papillon devînt d'un gris pluvieux, il bondit sur le soldat de droite à l'arriére, le lion est lâché, par derrière comme un lâche, perfide, mesquin, traître, pervers, juste ce que ces soldats mérite, Machaon s'agrippe au plus puants, c'est le plus âgés un "vieux", celui le plus en retrait, mettre le jeune au front, c'est vraiment lâche. Les jambes croisés au niveau de son bassin, le gorille le désarme puis essaie de le mettre a terre. La position que Godollo et son adversaire exécute peut s'interpréter de diverses maniérés, comme tactique d'attaque c'est plutôt original, surprenant, mais vus par quelqu'un de tordu ça semble d'un érotique violent.
Le mutant lui chuchote ses secrets, ses peurs, ses sentiments, "Moi aussi je suis humain, ça t'étonne".
*C'est un tour de manège, je veux le but**, tout lui raconter avant, il ne s'en sortira pas, pas avec tout ses paroles, il en sait trop*
La pluie est pur, neutre, des larmes divine, elle lave ses regrets, son amour tombe comme la pluie, elle lui coule dessus, la bête mystique et le tonnerre forme un amour idyllique et éphémère, fusion profonde, force frigorifié, pouvoir boueux.
C'est quoi ces odeurs affreuse, mon nez me dit que c'est la hargne, une haine, leurs rages, mon odorat me chuchote autre chose, un parfum délectable, il appartient a une femme, jeune, 17 ans a peine, brune, coquette, terrorisée, angoissé , en pleure, ses larmes sente tout aussi bon. Les déportés sont légions, presque tous les même sentiments, déprimant, je suis pas bien, j'éteins la lumière et je vois encore mieux, je tremble comme des enceintes.
Le chien de Jess va se faire niq***, le pluie n'arrange rien, j'ai vus des milliers de fois une scène identique au cinéma, un camion militaire "méchant", des gentils venus sauver des innocents, et tous ça sous la pluie, aujourd'hui je suis acteur, superstar d'un jour, je vis les émotions en vrai, sympa, pas du tout, j'en ai marre de ce monde co*, de ces sala*** qui nous enmer**, allez tous vous faire enc**** !
Qu'est ce qui m'arrive, je disjoncte tout seul, je m'acharne sur moi, toute cette énergie négative me rends malade, le malin est en moi, je suis possédé, ils se disent tous ça, c'est eux qui prône le diable, je suis simplement un fruit, eux le serpent, le monde nous goûte, puis nous vomissent. Je suis une victime, sûrement pas, un martyr, encore moins, appuie sur le bouton, change de chaîne, là t'y es pas, je ne m'arrêterais pas, je crierai ce que j'ai a dire, je serais écoutait, je veux me battre pour ça, que tu m'aime ou que tu me haïsse, je continuerais, parle, raconte ta vie, tes opinions, rien n'y changeras.
Le camion dérape, c'est le commencement, un début à tout, toute les bonnes choses ont une fin, amants à amies, flamme à cendres, pourquoi, je ne sais pas, c'est juste inévitable. Sibylle parle, voix faibles, stressé, courageuse, son pouvoir est le pire de l'institut sans aucun doute, le plus durs a supporter, concentre toi, plus que quelque secondes, prêt a sauté, il faut juste me pousser.
Les portes s'ouvrent, armés jusqu'au dents ces sal****, qu'elle odeur infâme, leurs transpiration n'arrange pas les choses, je peux évaluer que leurs dernières douches dates de plus d'un mois, le jeunot un peu moins, il seras épargné, je lui fait cette grâce, qu'est ce que je frime, je sais presque pas me battre, la force brute et la brutalité seront mes armes, je devrais être honteux. Je vais m'exciter un peux, ils sont désirables, j'ai toujours préféré les filles mais eux sont pas trop mal, ça ne me déplaît pas, j'ai plus de famille et aucun compte à rendre, sapé de cette façon c'est clair, Cassandre a bougé, elle charge, elle y va, laisse tomber le fantasme place à l'action !*
Le poils du papillon devînt d'un gris pluvieux, il bondit sur le soldat de droite à l'arriére, le lion est lâché, par derrière comme un lâche, perfide, mesquin, traître, pervers, juste ce que ces soldats mérite, Machaon s'agrippe au plus puants, c'est le plus âgés un "vieux", celui le plus en retrait, mettre le jeune au front, c'est vraiment lâche. Les jambes croisés au niveau de son bassin, le gorille le désarme puis essaie de le mettre a terre. La position que Godollo et son adversaire exécute peut s'interpréter de diverses maniérés, comme tactique d'attaque c'est plutôt original, surprenant, mais vus par quelqu'un de tordu ça semble d'un érotique violent.
Le mutant lui chuchote ses secrets, ses peurs, ses sentiments, "Moi aussi je suis humain, ça t'étonne".
*C'est un tour de manège, je veux le but**, tout lui raconter avant, il ne s'en sortira pas, pas avec tout ses paroles, il en sait trop*
La pluie est pur, neutre, des larmes divine, elle lave ses regrets, son amour tombe comme la pluie, elle lui coule dessus, la bête mystique et le tonnerre forme un amour idyllique et éphémère, fusion profonde, force frigorifié, pouvoir boueux.
- Rachel McCallumX-Rays
- Age : 34
Nom de code : Warp
Date d'inscription : 30/09/2006
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Sam 9 Déc 2006 - 16:59
[Pas obligé de préciser, Machaon. Tu ne mords pas et je le sais loll Mais sinon, j'étais sure que c'était en ordre...Désolée >< ]
Rachel ne savait pas se battre du tout! Avec une certain admiration, elle observa. Cassandre se débrouiller avec le premier garde. Penchée, de la boue jusqu'au genoux, elle était un peu nerveuse. Surtout qu'elle ne savait pas se battre...Jake en avait été témoin. Elle regarda le manège de Godollo en jettant de bref coup d'oeil vers Jake et Fabrisio, lui demandant ce qui se passait. C'était vraiment étrange. On aurait cru une chorégraphie dans une mauvaise comédie musicale. Mais sa réfléxion s'arrêta lorsque les portes arrières s'ouvrirent et un garde vint de leur côté. Elle se redressa rapidement et, debout, les pieds dans la bouette, (merci ô québécois)elle donna un coup de pied dans le vide, se qui eut pour effet d'envoyer de la boue dans la face du soldat. Ou du moins, c'est ce qu'elle voulait faire.
"Ouch! Ce que je peux être maladroite! De la boue! Ce que ca doit faire mal!" Elle s'approcha doucement de l'homme lui tapota un moment sur l'épaule. "Laisse moi t'aider"
Elle le poussa alors vers l'avant. Si tout allait comme ses prévisions, aussi imprécises fut-elles, l'homme tomberait face dans la boue. Elle étira sa jambe gracieusement et voulut lui faire un croche-pied.
(Que de changement XD)
Rachel ne savait pas se battre du tout! Avec une certain admiration, elle observa. Cassandre se débrouiller avec le premier garde. Penchée, de la boue jusqu'au genoux, elle était un peu nerveuse. Surtout qu'elle ne savait pas se battre...Jake en avait été témoin. Elle regarda le manège de Godollo en jettant de bref coup d'oeil vers Jake et Fabrisio, lui demandant ce qui se passait. C'était vraiment étrange. On aurait cru une chorégraphie dans une mauvaise comédie musicale. Mais sa réfléxion s'arrêta lorsque les portes arrières s'ouvrirent et un garde vint de leur côté. Elle se redressa rapidement et, debout, les pieds dans la bouette, (merci ô québécois)elle donna un coup de pied dans le vide, se qui eut pour effet d'envoyer de la boue dans la face du soldat. Ou du moins, c'est ce qu'elle voulait faire.
"Ouch! Ce que je peux être maladroite! De la boue! Ce que ca doit faire mal!" Elle s'approcha doucement de l'homme lui tapota un moment sur l'épaule. "Laisse moi t'aider"
Elle le poussa alors vers l'avant. Si tout allait comme ses prévisions, aussi imprécises fut-elles, l'homme tomberait face dans la boue. Elle étira sa jambe gracieusement et voulut lui faire un croche-pied.
(Que de changement XD)
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Jeu 14 Déc 2006 - 22:57
Fabrisio était paralysé.
L'attente avant l'arrivée du camion avait été la plus longue qu'il ait jamais connue. A moitié enfoncé dans la boue d'un fossé, aux côtés de personnes qui lui été inconnues, à attendre un camion remplit d'hommes armés ... tout ça turnait et retournait dans sa tête.
Et puis le camion était arrivé.
Tout se déroulait comme dans un film : les actions, quoiqu'un peu désordonné, étaient menaient avec force et acharnement. Il voyait les autres s'en prendre aux gardes avec leur moyens. Pas forcément efficaces, ils osaient pourtant et se lançaient. Il les voyait mais il n'y avait pas de son. Il était comme spectacteur, incapable de réagir. Sans qu'il soit question de peur, il regardait sans comprendre, comme extérieur la scène.
Puis il vit Rachel s'en prendre à un garde. Visiblement, elle ne savait pas se battre mais elle y était pourtant allée et y mettait du sien. Fabrisio n'en croyait pas ses yeux ... Qu'atendait-il lui, piur aller ?
Alors qu'un des mutant se battait avec un garde et que Rachel s'était assise sur un autre, le troisième, lui, était toujours actif. Il risquait de s'en prendre aux autres !
A cette pensée, Fabrisio réagit !
Il se redressa et tenta de sortir du fossée. Mais la pluie et la boue l'avait rendu glissant et il s'étala de tout son long face au sol. Mais il ne s'arrêta pas là et se ressaisit aussitôt. S'essuyant rapidemment le visage d'un revers de manche pour enlever la boue, il s'élança sur le troisième garde de l'arrière. Profitant que celui-ci soit dos à lui, il fonça sur lui épaule en avant. Le garde fut ainsi projeter violement au sol. Fabrisio vint alors sur lui, posa ses genoux dans le creux du dos pour l'immobiliser et lui retint les bras dans le dos. Il espérait ainsi le maintenir hors d'état.
Fabrisio n'était pas particulièrement doué en bagare. Il ne s'était d'ailleurs jamais battu en dehors des chamalleries d'école. Mais la position qu'il occupait sur le garde était idéale pour en imposer. Il avait éviter de recevoir des coups et espérait bien ne pas avoir à en donner.
L'attente avant l'arrivée du camion avait été la plus longue qu'il ait jamais connue. A moitié enfoncé dans la boue d'un fossé, aux côtés de personnes qui lui été inconnues, à attendre un camion remplit d'hommes armés ... tout ça turnait et retournait dans sa tête.
Et puis le camion était arrivé.
Tout se déroulait comme dans un film : les actions, quoiqu'un peu désordonné, étaient menaient avec force et acharnement. Il voyait les autres s'en prendre aux gardes avec leur moyens. Pas forcément efficaces, ils osaient pourtant et se lançaient. Il les voyait mais il n'y avait pas de son. Il était comme spectacteur, incapable de réagir. Sans qu'il soit question de peur, il regardait sans comprendre, comme extérieur la scène.
Puis il vit Rachel s'en prendre à un garde. Visiblement, elle ne savait pas se battre mais elle y était pourtant allée et y mettait du sien. Fabrisio n'en croyait pas ses yeux ... Qu'atendait-il lui, piur aller ?
Alors qu'un des mutant se battait avec un garde et que Rachel s'était assise sur un autre, le troisième, lui, était toujours actif. Il risquait de s'en prendre aux autres !
A cette pensée, Fabrisio réagit !
Il se redressa et tenta de sortir du fossée. Mais la pluie et la boue l'avait rendu glissant et il s'étala de tout son long face au sol. Mais il ne s'arrêta pas là et se ressaisit aussitôt. S'essuyant rapidemment le visage d'un revers de manche pour enlever la boue, il s'élança sur le troisième garde de l'arrière. Profitant que celui-ci soit dos à lui, il fonça sur lui épaule en avant. Le garde fut ainsi projeter violement au sol. Fabrisio vint alors sur lui, posa ses genoux dans le creux du dos pour l'immobiliser et lui retint les bras dans le dos. Il espérait ainsi le maintenir hors d'état.
Fabrisio n'était pas particulièrement doué en bagare. Il ne s'était d'ailleurs jamais battu en dehors des chamalleries d'école. Mais la position qu'il occupait sur le garde était idéale pour en imposer. Il avait éviter de recevoir des coups et espérait bien ne pas avoir à en donner.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 15 Déc 2006 - 0:33
Jessica parlait, puis attendit une quelconque réaction, pour enfin venir se blottir dans le trou lorsque la voix de Cassandre avait dit à Jake de ne pas utiliser son pouvoir et lorsqu'elle avait entendu les bruits du moteur du camion qui approchait. Mieux valait ne pas rester à découvert... Elle prit néanmoins le temps de descendre en douceur dans le trou, s'aggripant au bord, essayant de ne pas avoir à patauger dans la boue... les autres en avait jusqu'au genoux, voir plus, ce qui lui valait à la taille...voir plus. Elle aurait terminé complètement immobilisé, et c'était à éviter.
Aussi lorsque le camion arriva, elle observa Cassandre sortir, un brin impressioner par son assurance, mais son admiration était freiné par le fait qu'elle connaissait son pouvoir et que la jeune femme lui avait d'hors et déjà montré qu'elle avait plus d'un tour dans son sac. Puis se fut le tour des autres, dont Rachel et Godollo qui s'occupaient de deux gardes à l'arrière, rejoint bientôt par Fabrisio. A l'avant coté chauffeur, elle ne voyait pas ce qui se passait de la ou elle était... sans doute l'un de ceux caché de l'autre côté de la route s'en était-il occupé.
Le chien de Jess, qui avait bloqué la route au camion en surgissant brutalement et en le sauvant ainsi d'une explosion à l'énergie cinétique, contournait maintenant la scène en observant les mutants, s'assurant qu'aucun danger ne risquait de s'abattre par surprise sur l'un d'entre eux, et gardant également un oeil attentif sur sa propriétaire. Quand à celle-ci, elle ne tarda pas à sortir du trou en s'aggripant à quelques racines qui pendaient et suportaient son poids, marchant doucement en observant un peu à distance, attendant que les autres aient réussi à s'emparer du camion, en neutralisant les gardes.
Jess s'approcha et vint à l'arrière du véhicule, où elle ouvrit le rebord de bois, afin de regarder ce que ce convoit transportait...
Aussi lorsque le camion arriva, elle observa Cassandre sortir, un brin impressioner par son assurance, mais son admiration était freiné par le fait qu'elle connaissait son pouvoir et que la jeune femme lui avait d'hors et déjà montré qu'elle avait plus d'un tour dans son sac. Puis se fut le tour des autres, dont Rachel et Godollo qui s'occupaient de deux gardes à l'arrière, rejoint bientôt par Fabrisio. A l'avant coté chauffeur, elle ne voyait pas ce qui se passait de la ou elle était... sans doute l'un de ceux caché de l'autre côté de la route s'en était-il occupé.
Le chien de Jess, qui avait bloqué la route au camion en surgissant brutalement et en le sauvant ainsi d'une explosion à l'énergie cinétique, contournait maintenant la scène en observant les mutants, s'assurant qu'aucun danger ne risquait de s'abattre par surprise sur l'un d'entre eux, et gardant également un oeil attentif sur sa propriétaire. Quand à celle-ci, elle ne tarda pas à sortir du trou en s'aggripant à quelques racines qui pendaient et suportaient son poids, marchant doucement en observant un peu à distance, attendant que les autres aient réussi à s'emparer du camion, en neutralisant les gardes.
Jess s'approcha et vint à l'arrière du véhicule, où elle ouvrit le rebord de bois, afin de regarder ce que ce convoit transportait...
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 15 Déc 2006 - 21:21
Une fois installé dans son fossé, Gaël se mit à attendre l’arrivée du camion plus ou moins patiemment, comme tout le monde. Pendant ce petit laps de temps, il chercha autour de lui n’importe quel objet qui pourrait lui être utile pour se battre. Il n’avait en effet aucune expérience de combat au corps à corps et il avait aussi peur d’utiliser ses pouvoirs tout de suite, alors que la lumière n’était pas encore au rendez-vous: ce n’était franchement pas le bon moment pour tomber dans les pommes à cause d’une utilisation trop intensive de ses pouvoirs. C’est pour cela qu’il se saisit d’une grosse branche qu’il balança sur le bord de la route, histoire de pouvoir sortir du fossé plus rapidement avec des mains libres. Il n’aurait plus qu’à se saisir de l’espèce de gourdin pour ensuite s’occuper des soldats.
Le camion arriva enfin et la bestiole de Jessica fit exactement ce qu’on attendait d’elle car le véhicule s’arrêta en plein milieu de la route. Il fallait maintenant se débarrasser des passagers. Gaël fut d’ailleurs assez surpris de voir à quel point il avait sous-estimé Cassandre vu qu’elle fut la première à s’attaquer à un soldat et apparemment, à le mettre KO.
*Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences…*
Les autres élèves ayant suivi exemple de la psy, il sortit donc du fossé à son tour, s’empara de son arme pour le moins rudimentaire et partit en direction du soldat dont so'ccupait Miss paparazzi. N’essayant pas de le faire avec finesse, l’ado se précipita sur lui pour lui décocher un coup avec son arme, dans l'espoir de l'assommer.
Le camion arriva enfin et la bestiole de Jessica fit exactement ce qu’on attendait d’elle car le véhicule s’arrêta en plein milieu de la route. Il fallait maintenant se débarrasser des passagers. Gaël fut d’ailleurs assez surpris de voir à quel point il avait sous-estimé Cassandre vu qu’elle fut la première à s’attaquer à un soldat et apparemment, à le mettre KO.
*Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences…*
Les autres élèves ayant suivi exemple de la psy, il sortit donc du fossé à son tour, s’empara de son arme pour le moins rudimentaire et partit en direction du soldat dont so'ccupait Miss paparazzi. N’essayant pas de le faire avec finesse, l’ado se précipita sur lui pour lui décocher un coup avec son arme, dans l'espoir de l'assommer.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Ven 15 Déc 2006 - 22:58
Myou vivait la scène comme si elle était à l'extérieur de tout ça... Mais que faisait-elle donc ici, sous une pluie qu'elle détestait ? Pourquoi Rachel l'avait-elle prise en photo ? Pourquoi elle avait pas pu rester dans ce superbe avion histoire de l'étudier un peu ?
Mais très vite, quand le chien de Jessica apparut, elle se "reconnecta"... Le son revint à un niveau normale, comme si on avait appuyé sur un bouton. Elle regarda vivement autour d'elle, et se mit à coté de Jessica dans le fossé.
Elle avait de la boue déjà partout, mais après tout, tant mieux... Ces membres en métal n'étaient pas de la basse qualité, et résisterait très bien après un bon nettoyage au retour. Et puis au moins, plus elle en avait sur elle, moins on risquait de voir quelque chose d'étrange, comme cammouflé.
Très vite son imper la gena : avec le temps, c'était complètement idiot. Il pesait une tonne avec l'eau et la boue, et ne ressemblait déjà plus à rien... Elle s'en debarrassa donc, se retrouvant dans sa tunique verte, qui prit vite une teinte plus brune vu les conditions.
*Merde... on voit vraiment tout comme ça...*
Mais elle dut abandonner ses préoccupations personnelles, car le camion arrivait. Elle voyait Jessica et son loup noir, les efforts de tout le monde... et pourtant, il lui fallut un temps certain avant de se décider à se lancer. Qu'attendait-elle donc ? De quoi se plaignait-elle ? Elle, même si elle était blessée, ne sentirait jamais rien, alors qu'eux tous, étaient exposésà la douleur... Alors pourquoi faisait-elle sa poltronne comme ça ? Elle se devait... d'être au moins aussi entrepenant qu'eux... et Cassandre... celle qui l'impresionnait déjà tant, dans tous les sens du terme...
*Myou, t'es vraiment nulle... avance, 'tain !*
A ce moment, quelques pics informes sortir du dos de sa main, comme des griffes, pour s'aggripper au sol et se sortir du fossé. Il faut dire qu'elle pesait très lourd comparé aux autres, et qu'elle s'était pas mal enfoncée. Il fallait donc bien celà pour qu'elle puisse se relever. Mais son pouvoir étant ce qu'il est, les pics étaient bien petits et ne restèrent pas longtemps : elle glissa une bonne fois avant de pouvoir rejoindre les autres.
A ce moment là, elle eut l'impression qu'un garde, pourtant déjà à terre, l'avait regardé... Il avait regardé dans sa direction au moment de sa sortie...son visage contre le sol, retenu par Fabrisio... il l'avait observé, elle en était convaincue... il avait du voir... son corps...
Et ça, elle n'aimait pas du tout. Elle pressa le pas, leva sa main en écartant les doigts crispé par la rage, pour rabattre fermement cette dernière sur son crâne. Elle avait failli y abattre plutôt violemment son poing, mais au dernier moment, elle s'était retenu... Elle n'était pas seule...
Ne me... regarde pas....
Mais très vite, quand le chien de Jessica apparut, elle se "reconnecta"... Le son revint à un niveau normale, comme si on avait appuyé sur un bouton. Elle regarda vivement autour d'elle, et se mit à coté de Jessica dans le fossé.
Elle avait de la boue déjà partout, mais après tout, tant mieux... Ces membres en métal n'étaient pas de la basse qualité, et résisterait très bien après un bon nettoyage au retour. Et puis au moins, plus elle en avait sur elle, moins on risquait de voir quelque chose d'étrange, comme cammouflé.
Très vite son imper la gena : avec le temps, c'était complètement idiot. Il pesait une tonne avec l'eau et la boue, et ne ressemblait déjà plus à rien... Elle s'en debarrassa donc, se retrouvant dans sa tunique verte, qui prit vite une teinte plus brune vu les conditions.
*Merde... on voit vraiment tout comme ça...*
Mais elle dut abandonner ses préoccupations personnelles, car le camion arrivait. Elle voyait Jessica et son loup noir, les efforts de tout le monde... et pourtant, il lui fallut un temps certain avant de se décider à se lancer. Qu'attendait-elle donc ? De quoi se plaignait-elle ? Elle, même si elle était blessée, ne sentirait jamais rien, alors qu'eux tous, étaient exposésà la douleur... Alors pourquoi faisait-elle sa poltronne comme ça ? Elle se devait... d'être au moins aussi entrepenant qu'eux... et Cassandre... celle qui l'impresionnait déjà tant, dans tous les sens du terme...
*Myou, t'es vraiment nulle... avance, 'tain !*
A ce moment, quelques pics informes sortir du dos de sa main, comme des griffes, pour s'aggripper au sol et se sortir du fossé. Il faut dire qu'elle pesait très lourd comparé aux autres, et qu'elle s'était pas mal enfoncée. Il fallait donc bien celà pour qu'elle puisse se relever. Mais son pouvoir étant ce qu'il est, les pics étaient bien petits et ne restèrent pas longtemps : elle glissa une bonne fois avant de pouvoir rejoindre les autres.
A ce moment là, elle eut l'impression qu'un garde, pourtant déjà à terre, l'avait regardé... Il avait regardé dans sa direction au moment de sa sortie...son visage contre le sol, retenu par Fabrisio... il l'avait observé, elle en était convaincue... il avait du voir... son corps...
Et ça, elle n'aimait pas du tout. Elle pressa le pas, leva sa main en écartant les doigts crispé par la rage, pour rabattre fermement cette dernière sur son crâne. Elle avait failli y abattre plutôt violemment son poing, mais au dernier moment, elle s'était retenu... Elle n'était pas seule...
Ne me... regarde pas....
- Ashern RInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Lun 18 Déc 2006 - 1:09
L'attente fut un peu longue, mais Ashern ne s'en formalisa pas. Question d'habitude. Il se fit donc patient, de la boue jusqu'en dessous des genoux, écoutant attentivement chaque son dans les alentours. Les paroles de chacun, puis le silence. Un lourd silence, pesant, ponctué d'un stress palpable, et chargé d'une atmosphère électrique. Puis le ronronnement d'un moteur vint à trancher le gros blanc qui s'était installé. Le camion ... Il arrivait, enfin. Quoique, il n'était pas pressé de voir la débauche éventuelle de tous ces gamins face aux soldats. Allaient-ils tenir le coup ? Qu'en était-il vraiment de leurs capacités ? Il se fit donc discret, observateur, imbibé de son ancien rôle de tireur d'élite.
Le transport arriva alors, stoppé par le chien de Jessica, de sa Jessica, posté au milieu de la route. Le passager en sortit, un garde, qui se fit neutraliser par Cassandre, étonnament sûre d'elle. Puis ce fut au tour des trois militaires à l'arrière de se faire avoir. Non, franchement, ces gars là étaient des lopettes : Ils n'avaient rien à voir avec des soldats ! Nan mais, à voir la façon stupide dans laquelle ils s'étaient fait prendre, ils étaient à coup sûr la risée du corps de l'armée. M'enfin, malgré ce spectacle désolant, il ne devait pas pour autant en oublier sa mission.
C'est alors qu'il sortit du fossé, pistolet tranquilisant en main, grimpant rapidement la légère pente boueuse avec agilité. Il se trouva alors en face de la porte ouverte. Un tir, visant la gorge du conducteur, propre, net, efficace. Lui quoi ...
Le transport arriva alors, stoppé par le chien de Jessica, de sa Jessica, posté au milieu de la route. Le passager en sortit, un garde, qui se fit neutraliser par Cassandre, étonnament sûre d'elle. Puis ce fut au tour des trois militaires à l'arrière de se faire avoir. Non, franchement, ces gars là étaient des lopettes : Ils n'avaient rien à voir avec des soldats ! Nan mais, à voir la façon stupide dans laquelle ils s'étaient fait prendre, ils étaient à coup sûr la risée du corps de l'armée. M'enfin, malgré ce spectacle désolant, il ne devait pas pour autant en oublier sa mission.
C'est alors qu'il sortit du fossé, pistolet tranquilisant en main, grimpant rapidement la légère pente boueuse avec agilité. Il se trouva alors en face de la porte ouverte. Un tir, visant la gorge du conducteur, propre, net, efficace. Lui quoi ...
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Lun 18 Déc 2006 - 1:12
La plupart des mutants s'étaient déployés avec ingéniosité, s'aidant de leurs pouvoirs et de leur jugeotte pour profiter de leur effet de surprise sur les gardes du convoi. Les autres étaient quant à eux restés terrés dans les fossés à attendre que ça se passe.
"On nous attaque !" cria le conducteur, avant d'être stoppé net dans sa phrase.
Alyssandre avait utilisé ses liannes organiques pour dérober l'arme du conducteur, mais ce dernier n'était pas neutralisé et semblait très désireux qu'on lui restitue son bien. Il tira donc un couteau de chasse d'un étui accroché à son mollet, et se mit à courir en direction de la belle mutante.
Godollo qui s'était élancé sur l'un des gardes à l'arrière, réussit à activer son camouflage, de sorte que le garde ne savait pas exactement ce qui l'attaquait. Il se prit quelques coups au visage, mais se jeta rapidement au sol pour rouler sur son dos, ce qui écrasa l'homme-papillon au sol. Le soldat tâtonnait maintenant dans le sol boueux pour récupérer son arme à feu, coincée sous la jambe du mutant.
L'éclaboussure de boue que Rachel avait lancée fut projettée au visage du garde, mais la visière hermétique de son casque protégea ses yeux. Il se passa rageusement une main sur le visage pour essuyer sa visière, mais tomba néanmoins en avant devant le croche-pied de Rachel, avant de s'étaler au sol dans une gerbe de boue. Dans un réflexe d'auto-défense, il fléchit la jambe, balayant les gambettes de Warp, qui alla le rejoindre au tapis.
Pris au dépourvu, le garde qu'avait attaqué Fabrisio s'effondra à plat ventre, et le jeune homme put l'immobiliser dans cette position, sans pour autant complètement le mettre hors d'état de nuir : le diable se tortillait dans tous les sens pour se dégager, et balançait ses jambes dans tous les sens pour frapper Fabrisio dans le dos, ce qu'il réussit à faire par trois fois, avant que Myou n'intervienne, captant momentanément l'attention du garde. Elle plaqua la tête du garde avec fermeté sur le sol. L'action conjointe des deux mutant était totalement immobilisé le garde.
Le gourdin improvisé de Gaël vint à bout du garde qui avait fait tomber Rachel, l'assommant pour le coup. Le tir de pistolet d'Ashern quant à lui, vint se perdre dans la bouillasse.
Le petit portillon qui servait à fermer le convoi s'ouvrit, pour révéler une dizaine de mutants pas très frais, clignant des yeux devant la clarté de l'extérieur. Trois d'entre eux avant une apparence physique mutante : un colosse de deux mètres à la peau recouverte d'écailles vertes et luisantes, une femme ailée et une adolescente dont émanait une aura fluorescente.
"On est libres !" s'exclama une jeune femme en phasant les menottes qu'elle portait aux poignets et en levant les bras au ciel.
Les détenus descendirent du convoi, éberlués mais visiblement ravis. La passe-muraille se jeta sur l'agresseur d'Alyssandre, et phasa ses menottes à ses poignets.
L'ensemble des actions n'avaient pris que quelques secondes. Les mutants libérés aidèrent les académiciens à neutraliser les gardes.
"Merci beaucoup sssss...." lança l'homme lézard à la cantonnade, avec un zozottement serpentin.
Un jeune garçon se mit à pleurer sans raison particulière.
"On nous attaque !" cria le conducteur, avant d'être stoppé net dans sa phrase.
Alyssandre avait utilisé ses liannes organiques pour dérober l'arme du conducteur, mais ce dernier n'était pas neutralisé et semblait très désireux qu'on lui restitue son bien. Il tira donc un couteau de chasse d'un étui accroché à son mollet, et se mit à courir en direction de la belle mutante.
Godollo qui s'était élancé sur l'un des gardes à l'arrière, réussit à activer son camouflage, de sorte que le garde ne savait pas exactement ce qui l'attaquait. Il se prit quelques coups au visage, mais se jeta rapidement au sol pour rouler sur son dos, ce qui écrasa l'homme-papillon au sol. Le soldat tâtonnait maintenant dans le sol boueux pour récupérer son arme à feu, coincée sous la jambe du mutant.
L'éclaboussure de boue que Rachel avait lancée fut projettée au visage du garde, mais la visière hermétique de son casque protégea ses yeux. Il se passa rageusement une main sur le visage pour essuyer sa visière, mais tomba néanmoins en avant devant le croche-pied de Rachel, avant de s'étaler au sol dans une gerbe de boue. Dans un réflexe d'auto-défense, il fléchit la jambe, balayant les gambettes de Warp, qui alla le rejoindre au tapis.
Pris au dépourvu, le garde qu'avait attaqué Fabrisio s'effondra à plat ventre, et le jeune homme put l'immobiliser dans cette position, sans pour autant complètement le mettre hors d'état de nuir : le diable se tortillait dans tous les sens pour se dégager, et balançait ses jambes dans tous les sens pour frapper Fabrisio dans le dos, ce qu'il réussit à faire par trois fois, avant que Myou n'intervienne, captant momentanément l'attention du garde. Elle plaqua la tête du garde avec fermeté sur le sol. L'action conjointe des deux mutant était totalement immobilisé le garde.
Le gourdin improvisé de Gaël vint à bout du garde qui avait fait tomber Rachel, l'assommant pour le coup. Le tir de pistolet d'Ashern quant à lui, vint se perdre dans la bouillasse.
Le petit portillon qui servait à fermer le convoi s'ouvrit, pour révéler une dizaine de mutants pas très frais, clignant des yeux devant la clarté de l'extérieur. Trois d'entre eux avant une apparence physique mutante : un colosse de deux mètres à la peau recouverte d'écailles vertes et luisantes, une femme ailée et une adolescente dont émanait une aura fluorescente.
"On est libres !" s'exclama une jeune femme en phasant les menottes qu'elle portait aux poignets et en levant les bras au ciel.
Les détenus descendirent du convoi, éberlués mais visiblement ravis. La passe-muraille se jeta sur l'agresseur d'Alyssandre, et phasa ses menottes à ses poignets.
L'ensemble des actions n'avaient pris que quelques secondes. Les mutants libérés aidèrent les académiciens à neutraliser les gardes.
"Merci beaucoup sssss...." lança l'homme lézard à la cantonnade, avec un zozottement serpentin.
Un jeune garçon se mit à pleurer sans raison particulière.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Lun 18 Déc 2006 - 1:26
Les bruits condus qui s'en suivirent renseignèrent peu Cassandre sur la suite des événements. La jeune femme focalisa son attention sur les quelques tirs des gardes pour les éviter. Seul un cri de joie en provenance d'une voix inconnue lui annonça que la situation semblait tourner en leur faveur, puis tout s'enchaîna très vite. Les mutants libérés avaient profité de cette occasion pour leur prêter main forte.
Cassandre posa l'arme qu'elle avait dérobée au garde sur le siège passager et se rapprocha du groupe d'ex détenus, tout en sondant mentalement les élèves à la recherche d'une blessure.
"Tout le monde va bien..." dit-elle doucement avec une moue rassurée. Inconsciemment, elle leva la main à proximité du chien de Jessica, comme pour flatter son pelage de quelques caresses bien méritées.
"Il nous faut les déshabiller et prendre leur équipement." dit-elle sans perdre une seconde. Ils devaient poursuivre le plan prévu.
"Vous n'avez plus rien à craindre. Nous sommes venus mettre fin à cette folie." dit-elle à l'intention des prisonniers, tout en retirant le casque de l'un des soldats inconscients.
"On va ssssse débrouiller pour la sssssuite." zozotta l'homme lézard. "Il y a ccccet humain à ramener chez lui..." ajouta-t-il en désignant le garçon en sanglots.
Les voix pleines de joie et de gratitude ne trompaient pas. Ils avaient eu raison d'intervenir. Ces pauvres gens, humains, mutants, avaient été sauvés de la même injustice.
Lorsqu'ils eurent dévêtus les gardes, les élèves qui avaient été désignés purent enfiler leurs combinaisons par-dessus leur costume. Rachel, Fabrisio, Cassandre, Ashern et Jake purent donc camoufler leur physique sous la protection du casque à visère, aussi anonyme que militaire. Cassandre retira sa propre visière et la rangea soigneusement, avant de poser le casque militaire sur sa tête. Les vêtements étaient mouillés et sales, mais il faudrait faire avec.
Le groupe de détenus leur assura qu'ils s'occuperaient de mettre les gardes en lieu sûr, ce qui leur facilitera la tâche.
La bataille s'était arrêtée aussi brusquement qu'elle avait commencé. Sans l'intervention des mutants prisonniers, le combat se serait sûrement terminé plus durement. Cassandre remercia intérieurement la présence d'esprit de Jessica.
Ils récupérèrent les menottes qui avaient servi à tenir en respect les prisonniers, et les passèrent au groupe qui devait jouer les prisonniers en veillant à ce que chaque mutant ait la clé de ses menottes sur lui.
"Enzo, je ne sais pas comment tu vas te débrouiller, mais il faudrait que tes menottes flottent sur toi..." commenta Cassandre avisant le cas du mutant aquatique.
Le moment était venu de poursuivre la route.
"Qui veut conduire ?" demanda Cassandre aux élèves en agitant les clés du camion avec un sourire en coin.
[hrp = petit break le temps que ceux qui ont loupé leur tour postent leur réaction. On repart dès que j'ai un volontaire pour conduire.]
Cassandre posa l'arme qu'elle avait dérobée au garde sur le siège passager et se rapprocha du groupe d'ex détenus, tout en sondant mentalement les élèves à la recherche d'une blessure.
"Tout le monde va bien..." dit-elle doucement avec une moue rassurée. Inconsciemment, elle leva la main à proximité du chien de Jessica, comme pour flatter son pelage de quelques caresses bien méritées.
"Il nous faut les déshabiller et prendre leur équipement." dit-elle sans perdre une seconde. Ils devaient poursuivre le plan prévu.
"Vous n'avez plus rien à craindre. Nous sommes venus mettre fin à cette folie." dit-elle à l'intention des prisonniers, tout en retirant le casque de l'un des soldats inconscients.
"On va ssssse débrouiller pour la sssssuite." zozotta l'homme lézard. "Il y a ccccet humain à ramener chez lui..." ajouta-t-il en désignant le garçon en sanglots.
Les voix pleines de joie et de gratitude ne trompaient pas. Ils avaient eu raison d'intervenir. Ces pauvres gens, humains, mutants, avaient été sauvés de la même injustice.
Lorsqu'ils eurent dévêtus les gardes, les élèves qui avaient été désignés purent enfiler leurs combinaisons par-dessus leur costume. Rachel, Fabrisio, Cassandre, Ashern et Jake purent donc camoufler leur physique sous la protection du casque à visère, aussi anonyme que militaire. Cassandre retira sa propre visière et la rangea soigneusement, avant de poser le casque militaire sur sa tête. Les vêtements étaient mouillés et sales, mais il faudrait faire avec.
Le groupe de détenus leur assura qu'ils s'occuperaient de mettre les gardes en lieu sûr, ce qui leur facilitera la tâche.
La bataille s'était arrêtée aussi brusquement qu'elle avait commencé. Sans l'intervention des mutants prisonniers, le combat se serait sûrement terminé plus durement. Cassandre remercia intérieurement la présence d'esprit de Jessica.
Ils récupérèrent les menottes qui avaient servi à tenir en respect les prisonniers, et les passèrent au groupe qui devait jouer les prisonniers en veillant à ce que chaque mutant ait la clé de ses menottes sur lui.
"Enzo, je ne sais pas comment tu vas te débrouiller, mais il faudrait que tes menottes flottent sur toi..." commenta Cassandre avisant le cas du mutant aquatique.
Le moment était venu de poursuivre la route.
"Qui veut conduire ?" demanda Cassandre aux élèves en agitant les clés du camion avec un sourire en coin.
[hrp = petit break le temps que ceux qui ont loupé leur tour postent leur réaction. On repart dès que j'ai un volontaire pour conduire.]
- Jake JefInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Lun 18 Déc 2006 - 20:45
[Désolé du retard cela ne se reproduira plus]
Jake entendit avec mécontentement son écouteur grésiller pour entendre deux voix
« Tu peux pas faire ça, j'ai vu ce que tu fais avec les cartes pendant les portes ouvertes, tu vas tout faire exploser! On en a besoin du camion, pas d'une carcasse! »
"Jake, ne déclenche surtout pas tes cartes ! Nous avons besoin de ce camion en un seul morceau !"
Il stoppa tout mouvement et se laissa aller à un éclat de colère qu'il garda pour, il savait bien que le camion était important pour le groupe et il ne comptait pas le faire sauter comme ca : si il avait choisi les cartes c'était bien parce que l'énergie qu'elles étaient capables d'absorber était relativement faible. Il n'aimait pas qu'on le juge comme un incapable surtout que cela était injustifié
Pendant ce temps là le camion arriva et le chien noir de Jessica se placa au milieu de la route et après un crissement de freins sur le chemin boueux, le camion s'arreta et les élèves s'élancèrent après Cassandre. Jake quant à lui resta quelques secondes de plus dans le fossé le temps d'évaluer qui aurait besoin d'un coup de main puis voyant qu'Alyssandre avait besoin d'aide, il s'élanca à son tour sans un mot en direction du garde et le frappa quelques dixièmes de secondes après qu'il eut les mains menotées
Il laissa ensuite le groupe récuperait de ses émotions tout en déshabillant un garde puis revetit ses habits par dessus sa combinaison : c'était transpirant et sale mais il ferait avec. Sa colère était retombée mais une amertume restait au fond de sa bouche, il récupéra ses cartes qui étaient toujours au sol et en jeta une en l'air qui explosa comme un pétard
"Je sais ce que je fais, je ne comptais pas faire exploser le camion mais l'arreter avec les explosions. Maintenant si vous avez quelque chose à me dire sur la maitrise de mes pouvoirs je crois qu'il est temps de me le dire mais jusqu'a preuve du contraire je sais mieux que quiconque comment m'en servir et je connais les priorités de cette mission"
Le ton qu'il avait était cinglant mais une pointe de lassitude était audible. Il avait déjà connu cette incompréhension et faisait avec
"Je peux quand même prendre les clés je crois"
Jake entendit avec mécontentement son écouteur grésiller pour entendre deux voix
« Tu peux pas faire ça, j'ai vu ce que tu fais avec les cartes pendant les portes ouvertes, tu vas tout faire exploser! On en a besoin du camion, pas d'une carcasse! »
"Jake, ne déclenche surtout pas tes cartes ! Nous avons besoin de ce camion en un seul morceau !"
Il stoppa tout mouvement et se laissa aller à un éclat de colère qu'il garda pour, il savait bien que le camion était important pour le groupe et il ne comptait pas le faire sauter comme ca : si il avait choisi les cartes c'était bien parce que l'énergie qu'elles étaient capables d'absorber était relativement faible. Il n'aimait pas qu'on le juge comme un incapable surtout que cela était injustifié
Pendant ce temps là le camion arriva et le chien noir de Jessica se placa au milieu de la route et après un crissement de freins sur le chemin boueux, le camion s'arreta et les élèves s'élancèrent après Cassandre. Jake quant à lui resta quelques secondes de plus dans le fossé le temps d'évaluer qui aurait besoin d'un coup de main puis voyant qu'Alyssandre avait besoin d'aide, il s'élanca à son tour sans un mot en direction du garde et le frappa quelques dixièmes de secondes après qu'il eut les mains menotées
Il laissa ensuite le groupe récuperait de ses émotions tout en déshabillant un garde puis revetit ses habits par dessus sa combinaison : c'était transpirant et sale mais il ferait avec. Sa colère était retombée mais une amertume restait au fond de sa bouche, il récupéra ses cartes qui étaient toujours au sol et en jeta une en l'air qui explosa comme un pétard
"Je sais ce que je fais, je ne comptais pas faire exploser le camion mais l'arreter avec les explosions. Maintenant si vous avez quelque chose à me dire sur la maitrise de mes pouvoirs je crois qu'il est temps de me le dire mais jusqu'a preuve du contraire je sais mieux que quiconque comment m'en servir et je connais les priorités de cette mission"
Le ton qu'il avait était cinglant mais une pointe de lassitude était audible. Il avait déjà connu cette incompréhension et faisait avec
"Je peux quand même prendre les clés je crois"
- Rachel McCallumX-Rays
- Age : 34
Nom de code : Warp
Date d'inscription : 30/09/2006
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Mar 19 Déc 2006 - 21:05
Penchée au dessus d'un des gardes qu'elle déshabillait, elle lui fit un clin d'oeil. Le garde reprenait un peu ses esprits et Rachel trouvait la situation pas mal amusante. Elle lui caressa la joue et se tourna pour enfiler ses vêtements.
"Fais toi pas trop d'idées mon mignon..."
La jeune guitariste évalua si les vêtements seraient trop grands pour elle. Ils le seraient, mais puisqu'elle avaient prit le plus petit garde, elle n'avait pas vraiment le choix. C'était ca, ou plus grand encore!
"Prendre les clés?"
Rachel avait la voix étouffée par la chemise qu'elle était en train de passer. Elle l'enfila d'un coup sec et leva les yeux vers Jake à qui elle grogna. Elle tira sur les cordons de taille pour ajuster autour de sa taille fine et soupira. La tenue était pas mal trop grande pour elle et elle bouffait un peu partout. Elle passait une main dans ses cheveux et soupira:
"Tu conduis?... Je voulais conduire...Bon j'imagine que je pourrai remplir mon rôle de touriste pathétique plus facilement en étant assise côté passagers."
Elle prit le casque et le passa sur sa tête pour vérifier si elle n'avait pas une trop grosse tête. La jeune femme regarda les autres et posa ses mains sur ses hanches moquant les mannequins.
"Comment vous me trouvez? Je suis à la mode, vous pensez?"
Elle enfila son vieux sac autour de son épaule et sortit la caméra super performante. Reprenant son sérieux, elle enleva son casque d'une main et ouvrit l'appareil photo. Prenant une grande respiration, elle hocha la tête pour signifier qu'elle était prête.
"Fais toi pas trop d'idées mon mignon..."
La jeune guitariste évalua si les vêtements seraient trop grands pour elle. Ils le seraient, mais puisqu'elle avaient prit le plus petit garde, elle n'avait pas vraiment le choix. C'était ca, ou plus grand encore!
"Prendre les clés?"
Rachel avait la voix étouffée par la chemise qu'elle était en train de passer. Elle l'enfila d'un coup sec et leva les yeux vers Jake à qui elle grogna. Elle tira sur les cordons de taille pour ajuster autour de sa taille fine et soupira. La tenue était pas mal trop grande pour elle et elle bouffait un peu partout. Elle passait une main dans ses cheveux et soupira:
"Tu conduis?... Je voulais conduire...Bon j'imagine que je pourrai remplir mon rôle de touriste pathétique plus facilement en étant assise côté passagers."
Elle prit le casque et le passa sur sa tête pour vérifier si elle n'avait pas une trop grosse tête. La jeune femme regarda les autres et posa ses mains sur ses hanches moquant les mannequins.
"Comment vous me trouvez? Je suis à la mode, vous pensez?"
Elle enfila son vieux sac autour de son épaule et sortit la caméra super performante. Reprenant son sérieux, elle enleva son casque d'une main et ouvrit l'appareil photo. Prenant une grande respiration, elle hocha la tête pour signifier qu'elle était prête.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Mar 19 Déc 2006 - 23:58
Fabrisio avait encore du mal à réaliser ce qui venait de se produire. Couvert de boue de la tête aux pieds, il observait tous les autres s'agiter autour de lui sans oser y prendre part. Sans pouvoir, à dire vrai. Il se sentait comme ailleurs, comme étranger à tout ça.
Etait-ce vraiment lui qui avait accomplit cela ?
Pas tout seul en tout cas. Il regarda Myou et sourit à la jeune fille. Il savait que sans elle, il aurait eut toute les peines du monde à maîtriser le garde. Les douleurs qui le lançaient dans le dos pouvaient en témoigner. D'un revers de main, il essuya la boue qui lui couvrait le visage.
- "Merci pour ton aide" dit-il d'une faible voix
Il souriait encore quand il entendit la discussion entre Jake et Rachel. Son sourire s'agrandit. Il était rassurant de voir que même dans une situation inhabituelle, de telles chamailleries pouvaient exister. Cela eut pour effet de le détendre. Quand ensuite Rachel posa sa question, Fabrisio s'empressa d'y répondre :
- "Tu es ravissante," dit-il en lui faisant un clin d'oeil
Rassuré et calmé, il commença alors la besogne de deshabiller le soldat. Si au début il fut quelque dégouté en voyant la saleté de la tenue, il fit moins le difficile en regardant sa propre tenue. Il racla du mieux qu'il put celle-ci puis enfila celle du garde. Transpiration et mauvaise eau de cologne se mêlaient, donnant un résultat au bord de l'écoeurement. Qu'importe, la mission passait avant tout.
Une fois l'uniforme enfilé, il tourna sur lui-même. Même s'il lui allait bien, il allait très certainement avoir des soucis pour faire croire qu'il incarnait un vrai militaire. C'est là qu'on allait voir si ses dons d'improvisation étaient réels ou purs fictions.
Il s'assura que les gants pouvaient senlever rapidemment, en cas de besoin, et mit finalement le casque.Quand cela fut fait, il se mit à côté de Rachel et attendit la suite des opération.
Il regarda alors les mutants délivrés caché les corps des gardes et remettre de l'ordre. Ils y mettaient beaucoup de volonté, sans doute motivés par leur liberté retrouvée.
La vue de ces hommes et femmes agissant ainsi l'impressionna et le rassura en même temps : oui, ce qu'il faisait était juste. Il sourit à cette idée, fier de participé à cette mission.
Etait-ce vraiment lui qui avait accomplit cela ?
Pas tout seul en tout cas. Il regarda Myou et sourit à la jeune fille. Il savait que sans elle, il aurait eut toute les peines du monde à maîtriser le garde. Les douleurs qui le lançaient dans le dos pouvaient en témoigner. D'un revers de main, il essuya la boue qui lui couvrait le visage.
- "Merci pour ton aide" dit-il d'une faible voix
Il souriait encore quand il entendit la discussion entre Jake et Rachel. Son sourire s'agrandit. Il était rassurant de voir que même dans une situation inhabituelle, de telles chamailleries pouvaient exister. Cela eut pour effet de le détendre. Quand ensuite Rachel posa sa question, Fabrisio s'empressa d'y répondre :
- "Tu es ravissante," dit-il en lui faisant un clin d'oeil
Rassuré et calmé, il commença alors la besogne de deshabiller le soldat. Si au début il fut quelque dégouté en voyant la saleté de la tenue, il fit moins le difficile en regardant sa propre tenue. Il racla du mieux qu'il put celle-ci puis enfila celle du garde. Transpiration et mauvaise eau de cologne se mêlaient, donnant un résultat au bord de l'écoeurement. Qu'importe, la mission passait avant tout.
Une fois l'uniforme enfilé, il tourna sur lui-même. Même s'il lui allait bien, il allait très certainement avoir des soucis pour faire croire qu'il incarnait un vrai militaire. C'est là qu'on allait voir si ses dons d'improvisation étaient réels ou purs fictions.
Il s'assura que les gants pouvaient senlever rapidemment, en cas de besoin, et mit finalement le casque.Quand cela fut fait, il se mit à côté de Rachel et attendit la suite des opération.
Il regarda alors les mutants délivrés caché les corps des gardes et remettre de l'ordre. Ils y mettaient beaucoup de volonté, sans doute motivés par leur liberté retrouvée.
La vue de ces hommes et femmes agissant ainsi l'impressionna et le rassura en même temps : oui, ce qu'il faisait était juste. Il sourit à cette idée, fier de participé à cette mission.
- InvitéInvité
Re: [Labrador2]Le cheval de Troie
Mer 20 Déc 2006 - 14:13
« On est trop des boss!! »
Gaël poussa un petit soupir de soulagement avant d‘afficher une mine réjouie. La première partie de la mission était un succès complet puisque tous les gardes étaient neutralisés, aucun élève ne fut sérieusement blessé et plusieurs mutants furent délivrer. Même si la suite de la mission, à savoir s’introduire dans le complexe sans se faire démasquer, risquait d’être largement plus difficile, cette victoire boosta le moral du jeune homme.
En attendant que tous les prisonniers soient remis en liberté, il retourna près d’un fossé pour jeter à contre-cœur son arme improvisée car il n’avait ainsi plus rien de concret pour se défendre. Il détestait le fait de se sentir désarmé dans une telle situation.
Évidemment, il lui restait ses pouvoirs mais il ne les avait jamais utilisé pour se battre: créer des ficelles et créer des matraques, ce n’était franchement pas la même chose. Il devait croire à ses possibilités et à celle de ses pouvoirs sous peine de ne pas les voir fonctionner le moment voulu. Il le savait mais cela ne rendait pas la chose plus facile pour autant...
« Bye bye petit gourdin…. »
Il rejoignit ensuite le reste du groupe mais les menottes qu’on lui mit ne fit qu’enfoncer le clou vis-à-vis de cette fameuse sensation de faiblesse. Il serra très fort la clé qu’on lui tendit, craignant de la faire tomber et de devoir rester ainsi toute la mission. L’ado monta ensuite dans le camion, la mine beaucoup moins réjouie que quelques instants plus tôt.
*C’est vraiment pas le moment de faire ce genre de gaffes, alors restons concentrés!*
Gaël poussa un petit soupir de soulagement avant d‘afficher une mine réjouie. La première partie de la mission était un succès complet puisque tous les gardes étaient neutralisés, aucun élève ne fut sérieusement blessé et plusieurs mutants furent délivrer. Même si la suite de la mission, à savoir s’introduire dans le complexe sans se faire démasquer, risquait d’être largement plus difficile, cette victoire boosta le moral du jeune homme.
En attendant que tous les prisonniers soient remis en liberté, il retourna près d’un fossé pour jeter à contre-cœur son arme improvisée car il n’avait ainsi plus rien de concret pour se défendre. Il détestait le fait de se sentir désarmé dans une telle situation.
Évidemment, il lui restait ses pouvoirs mais il ne les avait jamais utilisé pour se battre: créer des ficelles et créer des matraques, ce n’était franchement pas la même chose. Il devait croire à ses possibilités et à celle de ses pouvoirs sous peine de ne pas les voir fonctionner le moment voulu. Il le savait mais cela ne rendait pas la chose plus facile pour autant...
« Bye bye petit gourdin…. »
Il rejoignit ensuite le reste du groupe mais les menottes qu’on lui mit ne fit qu’enfoncer le clou vis-à-vis de cette fameuse sensation de faiblesse. Il serra très fort la clé qu’on lui tendit, craignant de la faire tomber et de devoir rester ainsi toute la mission. L’ado monta ensuite dans le camion, la mine beaucoup moins réjouie que quelques instants plus tôt.
*C’est vraiment pas le moment de faire ce genre de gaffes, alors restons concentrés!*
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum