[XRS+LTX 6.4]Des projets à la pelle

Qu'est-ce que... ? Amarenna n'était pas très à son aise à la convocation de son équipe, craignant quelque réprimande, bien méritée, soit dit en passant. Car, même si elle avait passé une bonne journée qui lui avait permis d'oublier un peu la mission passée et la blessure de Ken dont elle était responsable, elle n'en pensait pas moins qu'elle aurait eu de quoi se faire bien davantage engueuler, plus en tout cas que ce à quoi elle avait eu droit par Rachel. Elle prit une grande inspiration et se dirigea vers le bureau du directeur. Tiens, d'ailleurs... Pourquoi celui du directeur et pas celui de leur professeur? Elle fronça les sourcils, craignant, pour le coup, plus qu'une simple engueulade. Mais la présence d'un des X-Rays dans le bureau la rassura quelque peu. Milan était présent également, ainsi que Ken et Mina. Rachel n'était pas encore arrivée. Hormis cela, son équipe était complète. D'ailleurs, Jeckel n'avait pas été convié? Elle haussa un sourcil, surpris, puis passa outre l'absence de son équipier d'un soir. D'autant qu'elle n'avait pas été follement à l'aise en sa présence. Mais cela n'était pas spécialement important, comment elle se sentait alors.

La jeune femme remit de l'ordre dans ses pensées et salua les deux professeurs, respectueusement avant de regarder les places disponibles. Se sentant toujours autant coupable, elle préférait éviter de s'installer trop près de Ken et se dirigea donc de l'autre côté par rapport à lui. D'ailleurs, Si Jeremiah était là, cela voudrait dire, sans doute, qu'Yriah viendrait à son tour. Autant lui laisser une petite place à côté d'elle, par conséquent. Elle observa ensuite la jeune femme présente avec les deux professeurs. Qui était-elle? Que faisait-elle là? Sans doute ne tarderait-elle pas à avoir la réponse. La manipulatrice des ombres, d'ailleurs, ne parvenaient à à ôter son regard des trois personnes qui leur faisaient face, et, surtout, de cette inconnue.

Suivant l’avis, aussi étonnant que cela puisse paraître de sa part, du professeur Kofman, Juliette avait donc décidé de se rendre au bureau de Adam afin de lui faire part de son sentiment concernant les évènements dans l’Oregon. Esther lui avait dit que si le gouvernement désirait leur aide, Roberta le leur ferait savoir… Mais pour la gothique romantique, cette notion de dépendance vis-à-vis du bon vouloir de l’état n’était pas une chose des plus appréciable. Car après tout, si ce dernier désirait leur aide, elle estimait que cela ne devait pas être uniquement lorsque cela les arrangeaient. Dans un partenariat, aussi libre soit-il, on était toujours deux pour décider des choses à faire ou à ne pas faire. C’est pourquoi, si le gouvernement décidait d’utiliser leur pouvoirs pour résoudre certaines situations, la gothique romantique estimait que en retour il avaient aussi le droit de leur demander, à leur tour, leur aide dans le cadre de certains évènements… Ou tout au moins, de ne pas être entravés par le gouvernement, dans le cadre de leurs propres agissements. Quoi qu’il en soit, l’institut n’avait pas attendu la bonne volonté du gouvernement pour agir à plusieurs reprises, et elle entendait bien que cela continue de la sorte. Le rêve, ne devait absolument pas être bridé par une quelconque raison d’état.

En tant que directeur de l’institut, le professeur Zachary avait sans doute des sources d’informations autrement plus fiable que les journaux, et sans doute devait-il déjà être au courant de toute cette affaire… Tant mieux, cela n’en faciliterait que plus la tâche de la gothique romantique qui traversait les couloir de son pas éthéré. Bien entendu, elle doutait fortement que Adam l’autorise à se rendre seule dans l’Oregon avec quelques volontaires, afin de voir ce qu’il se passait là-bas, même si selon Juliette il était de leur devoir de le faire. Cependant, elle se devait de lui en faire part afin de respecter la promesse qu’elle avait fait à sa Belle, ainsi que à elle-même, d’œuvrer pour le bien des mutants. En l’occurrence, si toute cette affaire concernait effectivement certains des leurs, alors ils leur revenait de prendre la responsabilité de les arrêter. Eux, et aussi, le cas échéant, ceux qui les utilisaient…

Lorsqu’elle fut enfin arrivé devant la porte du bureau de Adam, Juliette frappa délicatement trois coup contre le panneau de bois, puis elle pénétra doucement dans la pièce ou elle vit avec un grand étonnement, le monde déjà présent. Il y avait bien entendu Adam, mais aussi le nouveau professeur récemment arrivé ainsi que Mina, Ken, Jay, Amarenna et Jeremiah… Tous était assis, et la gothique romantique aperçut encore une autre personne, une femme… Elle ne la connaissait pas, mais si elle se trouvait ici, et que les deux professeurs avaient commencé ) réunir ce qu’elle finit par réaliser comme étant les membres de leurs équipes respectives, c’était sans doute parce qu’il préparaient une nouvelle mission en commun comme cela semblait être devenu une habitude depuis quelques temps. Sur le moment, la gothique romantique se dit qu’elle tombait plutôt mal, ne faisant partie ni des X-rays, ni des Latex. Après un très léger moment de flottement devant cette situation des plus inattendue, elle finit par dire à Adam :

‘’Veuillez m’excuser de vous déranger alors que vous êtes certainement en train de discuter d’une prochaine mission professeur Zachary, mais j’étais venu vous voir afin de vous entretenir d’un article paru dans l’Eastern news, concernant la mise en quarantaine d’un district tout entier dans l’Oregon. Je ne pensais cependant pas que vous seriez aussi occupé… Je repasserais vous voir plus tard, je pense que ce sera mieux… Encore pardon pour vous avoir interrompu…’’

Conclu finalement la gothique romantique, tout en commençant à reculer doucement afin de retourner dans le couloir. Elle se dit intérieurement qu’elle n’avait décidément pas de chance. Pour une fois qu’elle allait voir le professeur Zachary dans son bureau, voilà qu’elle tombait au moment le plus inopportun.

Comme elle s’en doutait, Adam était déjà au courant de ce qu’il se passait dans l’Oregon. La gothique romantique allait par conséquent repartir afin de ne pas s’immiscer dans une réunion qui, fondamentalement ne la concernait pas, s’attendant même à ce que le professeur Zachary l’invite lui-même à quitter les lieux. Ce qu’il ne fit cependant pas, laissant la jeune femme légèrement dubitative. Devait-elle partir, ou bien finalement rester.. ? Elle pensait ne pas avoir sa place dans ce bureau, mais en même temps la curiosité n’était pas le moindre de ses défauts, fut-ils bien souvent inavoué. Ce fut finalement Lucas qui la tira de sa réflexion, la dépassant dans un sourire et un bonjour poli, afin de pénétrer à son tour dans la pièce. Juliette voulu lui rendre la politesse, mais déjà le jeune homme s’était dirigé vers un des élèves présent dans le bureau, avec empressement. Visiblement, il savait de quoi on allait discuter dans ce bureau. Au final ; Juliette s’avança à nouveau dans la pièce tandis que Adam poursuivit son petit discours sur les évènements de sa dernière mission avec les X-Rays, et, de manière discrète comme à son habitude, elle s’adossa en silence contre le mur du fond juste à côté de la porte d’entrée. Elle parlerait à Adam de l’Oregon plus tard, de son idée d’envoyer un petit groupe là-bas afin de voir ce qu’il se passe… De ne pas subir en attendant le bon vouloir des autorités, mais d’agir par eux-mêmes… Le professeur l’avait fit lui-même d’ailleurs dit, l’institut ne dépendait pas du gouvernement et il n’avait donc pas vraiment de compte à lui rendre.

En silence donc, fidèle à son image fantomatique et légèrement en retrait des autres élèves, la gothique romantique écouta les paroles de Adam, suivi de celles de Milan et de l’inconnue qui se révéla être un membre de cette étrange organisation qu’était Ganymède. Le fait qu’elle soit au service d’un membre du sénat étonna Juliette, qui ne pu s’empêcher de se demander quelle dessein se cachait sous cette fonction proche du pouvoir… Du Lobbying mutant.. ? Ce serait assez amusant, mais guère dans les habitudes de Ganymède. Les liens que l’institut semblait vouloir lier avec cette organisation gênait un peu Juliette. Des alliés était toujours une chose appréciable, mais ce genre d’alliés était plutôt du style à ne vous venir en aide que si ce dernier y trouvait son intérêt. Par conséquent, on ne pouvait les considérer comme véritablement fiable, et surtout la confiance que l’on pouvait leur porter se réduisait finalement à une peau de chagrin. A sa décharge il fallait dire que la gothique romantique n’avait jamais eu l’occasion de travailler avec Ganymède, son seul lien avec eux étant le fait qu’ils avaient attaqué l’institut. Une image, que l’affaire de Génosha n’avait malheureusement pas rehaussé selon elle. Qu’importe, elle n’avait pas à leur faire ouvertement confiance, comme semblaient le faire les professeurs.

Le fait que les X-rays aient détruit le cerebro des origines chagrina quelque peu Juliette. Même si elle en comprenait la nécessité, c’était tout de même une part de leur histoire que cet objet… Le détruire, c’était comme effacer un pan de l’histoire mutante. Le fait que Ganymède les aient aidé, ne fit pas changer d’avis la gothique romantique. S’ils avaient fait cela, c’était uniquement parce que le cerebro représentait aussi une menace pour eux, au même titre que pour tous les autres mutants. Lorsque ce fut au tour de Milan de prendre la parole, Juliette écouta ce dernier avec attention mais ne parvint pas à saisir la réelle menace que représentait ces nouvelles armes. Plutôt, elle ne comprenait pas en quoi ces armes, qui étaient regroupé sous le terme de féérie enchanteresse, représentaient un danger plus grand que les armes actuellement sur le marché. Séréna exprima ensuite le fait que tous les gouvernements de la planète se dotaient peu à peu de leur propre équipe mutante, même si certains, comme les Etats-Unis, semblaient préférer opter pour une toute autre option que celle-ci. Comme le disait la jeune femme, pour ces derniers c’était en grande partie à cause d’eux. L’institut représentait un groupe d’électron libre, capable d’agir à sa guise sans jamais tenir compte d’un quelconque impératif politique que ce soit, ce qui représentait donc une difficulté pour le gouvernement qui ne pouvait se doter de sa propre équipe de mutants sans créer une sorte d’escalade à l’armement version mutante, aux regards des autres pays.

Lorsque Séréna parla du projet Parangon, Juliette se redressa quelque peu… Des super soldats.. ? Pour concurrencer les mutants.. ? Voilà qui était une hérésie des plus complète… Quoi qu’il en soit, Juliette ne savait rien de tout cela, ses seules sources d’informations étant les quelques rapports de missions et les dire des élèves participant aux dites missions. Après que Jeckel soit à son tour entré dans le bureau, la gothique romantique poussa un léger soupir et dit de sa petite voix :

‘’Je ne comprends pas… Professeur Zachary… Je reconnais que le cerebro des origines représentait un grand danger pour le mutants, et qu’il fallait donc le détruire pour éviter qu’il ne tombe entre de mauvaise mains. Mais dans ce cas, pourquoi gardons nous cerebra à l’institut.. ? Elle est plus ou moins l’héritière directe de ce dernier, et comme nous avons pu le constater, elle attise bien des convoitises elle aussi, et représente donc un danger aussi grand que le cerebro lui-même. La question est donc la suivante : Pourquoi éliminer un danger d’un côté, pour laisser un risque identique de l’autre côté.. ?’’

Puis, Juliette se tourna doucement en direction de Milan et lui demanda à son tour :

‘’Je ne comprends pas non plus en quoi ces nouvelles armes, ces fameux arcs électriques montés sur des châssis d’engins blindés, représentent un plus grand danger pour nous que les armes déjà existante.. ? Y sommes nous plus sensible qu’aux balles et autres armes létales.. ? Pour ce que j’en comprend, ce n’est qu’une arme de plus.’’

Avant de finalement s’adresser à l’ensemble des personnes présente dans la pièce…

‘’Ce fameux projet Parangon me semble bien plus inquiétant à vrai dire. Créer des super soldats capable d’égaler les mutants, c’est ouvrir la boite de Pandore encore un peu plus qu’elle ne l’a déjà été par nos précédents adversaires. Si ce sont effectivement d’anciens travaux arrêté, alors il doit sans doute en rester des traces quelque part dans les tréfonds de l’administration gouvernementale, et il semblerait que vous soyez la mieux placé pour mettre la main dessus, vous ne pensez pas.. ?’’

Conclu finalement la gothique romantique, en jetant un regard neutre sur l’envoyée de Ganymède. Ses propos étaient peut-êtres sot et sans intérêt, mais en tous cas tout ceci l’interpellait fortement.

Oui… Oui, oui, oui… Cerebra était très importante pour eux, très utile pour les réprimander lorsqu’un élève se mettait en tête de s’aventurer dans une zone qui lui était interdite, et elle était en parfaite sécurité entre les murs de l’institut… Juliette aimait beaucoup Rachel, sa joie de vivre, son optimisme des plus inébranlable et sa constante bonne humeur, mais elle se demandait parfois si la jeune fille n’était pas un peu trop naïve. Elle semblait voir le monde avec une telle innocence dans le regard, que parfois la gothique romantique se demandait également si elle ne devait pas l’envier pour cela. Mais en posant un regard glacé et légèrement soupçonneux sur Séréna, elle se souvenait aussi, contrairement à Rachel, qu’il n’y avait pas si longtemps de cela, Ganymède avait attaqué l’institut pour tenter de s’emparer de ladite Cerebra. Ils avaient pu les en empêcher, mais cela leur avait tout de même coûté la moitié de l’institut et, plus important encore, des vies innocentes. De plus, en dépit de ses dires, Adam venait implicitement de leur dire que si Cerebra était en sécurité, il n’y avait personne à l’institut pour l’utiliser efficacement. Dans ce cas, n’était-ce pas prendre un grand risque de la conserver pour, au final, un bénéfice des plus discutable.. ? Le modèle d’origine avait été la perte de la première génération de mutants, et Juliette ne pouvait s’empêcher de penser qu’ils avaient peut-être entre leurs murs l’objet de leur propre destruction.

Bien qu’elle ne connaisse que peu de chose sur les mutants de Ganymède, n’ayant jamais réellement eu l’occasion de discuter sereinement avec certains d’entre eux, Juliette avait retenu deux choses de ces derniers. La première était qu’ils illustraient parfaitement le dicton qui disait que la main droite ne savait pas ce que faisait la main gauche, de par leur organisation en cellules plus ou moins dissociées les unes des autres… La seconde était que, en dépit de leur but commun, à savoir la protection des mutants, Ganymède n’agissait que dans son seul intérêt. De fait, si la situation se présentait à eux, la gothique romantique était certaine qu’ils les trahiraient à la première occasion si cela servait plus avantageusement leur cause. Sa confiance en cette organisation était donc plus que limité, tant que personne ne l’aurait convaincu du contraire. Oui, vraiment… Juliette se demandait vraiment si elle ne devait pas envier la confiance naturelle que Rachel paraissait avoir envers les gens. Ken abonda dans son sens, ce qui ne l’étonna guère. Son ancien coéquipier avait la tête sur les épaules, et c’était la un point qui avait toujours plus à la gothique romantique. Ceci étant dit, Rachel avait répondu à la seconde interrogation de Juliette concernant le projet féerie enchanteresse, reprise quelques secondes plus par leur invitée d’une manière un peu plus posée. Une arme qui ne ciblait que les mutants.. ?

‘’En effet, je comprends mieux le pourquoi de toute cette agitation autour de ce projet de féerie enchanteresse…’’

Dit alors Juliette, satisfaite de ce développement. Elle écouta ensuite l’échange qui eu lieu entre Séréna et Mina, cette dernière revenant sur l’idée de peur que la reconnaissance des mutants pouvaient faire naitre chez certain, Une idée que elle-même avait évoquée avec Esther dans le salon un peu plus tôt, concernant ce mutant australien livré si aisément à Genosha. Une arme spécifiquement ciblé sur les mutants, et qui avait apparemment l’aisance et le côté pratique d’un vulgaire rayon laser comme ceux que l’on pouvait voir dans les films de science-fiction. Heureusement, d’après Séréna ce n‘était pas encore au point, ce qui leur laissait donc un peu de temps pour réagir à cette potentielle menace. La jeune femme leur fit ensuite un cours magistrale sur la politique et les pouvoirs dans l’ombre du pouvoir, une vérité aussi connu que ignoré de tous… Il était vrai, qu’il n’était guère rassurant pour les gens, de se dire que un état souverain ne contrôlait en fin de compte que peu de son de son propre infrastructure. Mina évoqua aussi le projet Parangon, suggérant une éventuelle utilisation d’enfant ou de fœtus comme sujet d’expérimentation… Une idée terrifiante, mais à laquelle Juliette ne croyait pas vraiment à vrai dire. Dans un souffle, la gothique romantique dit :

‘’ Bien, je comprends mieux maintenant en quoi ce projet de féerie enchanteresse est un danger immédiat… Mais comme vient de le souligner si justement notre invitée, cette arme n’est pas encore au point et le fait de les avoir privé du Cerebro va sans doute les obliger à différer de quelques temps leur projet…’’

Puis, elle tourna son regard en direction de la mutante ailée, et lui dit :

‘’Tes peurs sont fondée Mina, mais je doute qu’ils utilisent des enfants ou des embryons pour créer ces super soldats. Je pense qu’ils considèrent notre existence comme un danger immédiat, et cette manière de faire ne donnerait pas de résultats effectifs avant une vingtaine d’années. A mon sens, ils serait plus judicieux qu’ils emploient des adultes, et principalement des militaires entrainés aux combat afin d’optimiser au mieux ces fameux super soldats. Ceci étant dit…’’

La gothique romantique croisa ses mains derrière son dos, et s‘adossa à nouveau contre le mur, avant de poursuivre :

‘’… Tout comme nous ne rejetons pas Cerebra en dépit du danger potentiel qu’elle représente pour nous, je pense que nous ne devrions pas juger ce genre de projet de manière aussi négatif. Comprenez moi bien, je n’approuve pas l’utilisation que ces gens veulent en faire, mais n’oublions pas que tous le mutants ne resterons pas du bon côté de la loi, nous en avons déjà eu la preuve. Même si nous pouvons en arrêter quelques uns, nous ne pouvons être partout à la fois. Je ne trouve pas inconcevable que les non mutants se prémunissent contre les mutants, le tous étant que ce genre de chose soient placé entre des mains dignes de confiance.’’

Un soupir fusa ensuite de ses lèvres closes, indiquant une certaine forme de résignation dans le propos qui allait suivre…

‘’Mais ceci est une question qui n’est pas encore à l’ordre du jour, et en effet ces deux projets sont inquiétant et nous devons, si ce n’est y mettre un terme définitif, au moins les neutraliser pour quelques temps. Vous avez des information utiles, qui puissent nous aider à élaborer une stratégie afin de stopper ces projets.. ?’’

Interrogea-t-elle finalement aussi bien les professeurs et Séréna, que les élèves des deux équipes ayant été impliqué dans ces évènements. Car sans éléments plus construit que ce qu’elle venait d’entendre, ils n’allaient pas pouvoir faire grand-chose, c’était un fait certain.