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Danny CoInvité
Californie, petit bar...
Lun 16 Juil 2007 - 23:09
Le gout de l'alcool m'avait amené dans le "Lily's Bar", la proprio, "Lily", avait tout l'air d'une vieille poupée barbie usée et fatiguée avec un peu de trop de maquillage sur le visage...
Je commandais un whisky.
Je me suis finalement trompé d’endroit, un bruit assourdissant vient éclater mes tympans mêlant « techno music » et cri de jeunes fêtards. J’observe autour de moi, de nombreuses catins peuplent le club, cherchant à se trouver une victime, suçant son pognon pour une petite partie de plaisir. Il y a aussi un billard, si je serais d’humeur j’aurais sûrement fait une partie avec des gosses et deux catins dans chaque bras mais ce soir j’aspire à la tranquillité, je me suis peut-être trompé d’endroit..
Ca faisait au moins dix minutes que j'attendais mon verre. Elle avait du m'oublier. Enfin j'attendrai encore quelques minutes, pas bien grave. J'avais toute la nuit, pas de projets et pas d'amis à aller voir, j’en ai pas. Je me demande même si j’ne vais pas finir la nuit comme tous ces pauvres poivrots accoudés au comptoir à mes cotés. Le serveur m’amène enfin mon verre et allume la télé par la même occasion, un reportage sur les serpents : leurs yeux me font penser aux miens, c'est peut-être pour ça que j'évite de regarder les gens dans les yeux.... Ca va, j'arrive a distinguer quelque chose mais en ce moment ça me brule, mes larmes sont devenues turquoises, il m'arrive pleins de choses bizarres...
Peut-être que je suis une sorte de prophète comme dans les religions, ou les élus sont les protagonistes de miracles et d'incroyables choses... Peut-être que j'ai été un bébé dont on a fait des expériences? Je ne sais plus qui je suis, je... Raaah.. mes Yeux.....
Je les frotte frenetiquement jusqu'a ce que la douleur parte mais ça continue! Je sors du bar, je vais rentrer chez moi!
Sur le trottoir, la douleur s'empare de tous mes membres pour les paralyser, je tombe, raide, esperant qu'elle s'arrete bientôt...
Je commandais un whisky.
Je me suis finalement trompé d’endroit, un bruit assourdissant vient éclater mes tympans mêlant « techno music » et cri de jeunes fêtards. J’observe autour de moi, de nombreuses catins peuplent le club, cherchant à se trouver une victime, suçant son pognon pour une petite partie de plaisir. Il y a aussi un billard, si je serais d’humeur j’aurais sûrement fait une partie avec des gosses et deux catins dans chaque bras mais ce soir j’aspire à la tranquillité, je me suis peut-être trompé d’endroit..
Ca faisait au moins dix minutes que j'attendais mon verre. Elle avait du m'oublier. Enfin j'attendrai encore quelques minutes, pas bien grave. J'avais toute la nuit, pas de projets et pas d'amis à aller voir, j’en ai pas. Je me demande même si j’ne vais pas finir la nuit comme tous ces pauvres poivrots accoudés au comptoir à mes cotés. Le serveur m’amène enfin mon verre et allume la télé par la même occasion, un reportage sur les serpents : leurs yeux me font penser aux miens, c'est peut-être pour ça que j'évite de regarder les gens dans les yeux.... Ca va, j'arrive a distinguer quelque chose mais en ce moment ça me brule, mes larmes sont devenues turquoises, il m'arrive pleins de choses bizarres...
Peut-être que je suis une sorte de prophète comme dans les religions, ou les élus sont les protagonistes de miracles et d'incroyables choses... Peut-être que j'ai été un bébé dont on a fait des expériences? Je ne sais plus qui je suis, je... Raaah.. mes Yeux.....
Je les frotte frenetiquement jusqu'a ce que la douleur parte mais ça continue! Je sors du bar, je vais rentrer chez moi!
Sur le trottoir, la douleur s'empare de tous mes membres pour les paralyser, je tombe, raide, esperant qu'elle s'arrete bientôt...
Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Californie, petit bar...
Mer 18 Juil 2007 - 23:34
[essaye de respecter une unité de temps à partir de ton prochain message... Parce que imparfait, présent, conditionnel (mal utilisé), présent, imparfait futur, ça rend la lecture un peu difficile.]
Le club dans lequel le jeune homme était entré avait tout de la maison close pour adolescents pré-pubères. Mieux valait qu'il sorte, en effet. Le whisky qui lui fut amené avait tout d'une bière réchauffée et non pas de la boisson commandée. A croire qu'ils n'avaient rien d'autre. Mais, néanmoins, le jeune homme n'eut pas le temps d'y tremper ses lèvres. Le reportage sur les serpents accaparait toute son attention. A tel point, que de voir ce côté identique des yeux de ces animaux provoqua une étrange sensation chez le jeune homme. Bientôt, il lui fallut sortir. Se frotter les yeux ne le mènerait à rien. Il s'en rendit rapidement compte et sortit. La douleur était de plus en plus insupportable. Il finit d'ailleurs par s'évanouir.
Lorsqu'il rouvrit les yeux, il lui fut impossible de savoir si l'on était le jour où la nuit et combien de temps s'était écoulé. Le jeune homme se trouvait dans le noir le plus complet, sur une paillasse dure. Impossible de pouvoir se repérer. Y avait-il seulement quelqu'un avec lui dans la pièce? Tout à coup, une voix retentit, venue d'on ne savait où.
"N'essaye pas de bouger, tu es attaché." fit la voix.
Effectivement, Danny, une fois ses sensations revenues, put se se rendre compte qu'une chaine à son poignet le reliait au mur.
Le club dans lequel le jeune homme était entré avait tout de la maison close pour adolescents pré-pubères. Mieux valait qu'il sorte, en effet. Le whisky qui lui fut amené avait tout d'une bière réchauffée et non pas de la boisson commandée. A croire qu'ils n'avaient rien d'autre. Mais, néanmoins, le jeune homme n'eut pas le temps d'y tremper ses lèvres. Le reportage sur les serpents accaparait toute son attention. A tel point, que de voir ce côté identique des yeux de ces animaux provoqua une étrange sensation chez le jeune homme. Bientôt, il lui fallut sortir. Se frotter les yeux ne le mènerait à rien. Il s'en rendit rapidement compte et sortit. La douleur était de plus en plus insupportable. Il finit d'ailleurs par s'évanouir.
Lorsqu'il rouvrit les yeux, il lui fut impossible de savoir si l'on était le jour où la nuit et combien de temps s'était écoulé. Le jeune homme se trouvait dans le noir le plus complet, sur une paillasse dure. Impossible de pouvoir se repérer. Y avait-il seulement quelqu'un avec lui dans la pièce? Tout à coup, une voix retentit, venue d'on ne savait où.
"N'essaye pas de bouger, tu es attaché." fit la voix.
Effectivement, Danny, une fois ses sensations revenues, put se se rendre compte qu'une chaine à son poignet le reliait au mur.
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