- InvitéInvité
Temps d'un moment
Mer 1 Aoû 2007 - 21:15
Salon
Une porte de l'Institut ouverte à la volée, une personne sortit en course de l'énorme et très grande bâtisse. Depuis qu'il avait quitté le salon et qu'il était certain, ou presque, que personne ne pouvait le voir du salon, Roscart avait pressé le pas le plus que son corps le lui permettait. À présent, à l'extérieur, il avait continue de filer tout droit devant lui. Il ne savait pas trop ou il allait, mais il voulait aller le plus loin possible de son nouveau lieu d'occupation, mais toutefois encore dans son enceinte.
*Il faut que je tienne encore.*, pensa-t-il
Sans s'en rendre vraiment compte tellement concentré sur sa concentration à aller le plus loin, d'une de ses mains, une rafale partit. Il s'arrêta alors net à l'endroit ou il était rendu. Il n'était pas assez loin à son goût de l'Institut. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de continuer sa route au risque de faire disparaître n'importe quoi par son pouvoir. En même temps, en restant là debout à l'endroit ou il était et à n'importe quel autre, c'était pareil.
*Fichu pouvoir que je ne contrôle pas.*, se dit-il
Incontrôlable, à présent incontrôlable, il réfléchit rapidement ou viser... il ne savait pas. Partout ou il lancerait ses rafales, il toucherait quelqu'un ou bien quelque chose. Ne connaissant pas la distance que son pouvoir pouvait avoir, il avait peur de toucher quelque chose dans les airs. C'était vraiment un dilemne. Pourtant, il dû choisir.
*Tant pis.*
Levant les bras vers le ciel, les paumes de ses mains complètement ouvertes, des colonnes de rafales s'échapèrent de son corps, de lui. Libération ainsi de l'énergie, il eut une pensée pour Cassandre, pour tous ceux et celles qui étaient à ses côtés, mais aussi pour ceux dans le salon, qui étaient partis tout comme lui et ceux encore en train de dormir... en fait, pour tout l'Institut, mais plus pour la psychologue.
Une porte de l'Institut ouverte à la volée, une personne sortit en course de l'énorme et très grande bâtisse. Depuis qu'il avait quitté le salon et qu'il était certain, ou presque, que personne ne pouvait le voir du salon, Roscart avait pressé le pas le plus que son corps le lui permettait. À présent, à l'extérieur, il avait continue de filer tout droit devant lui. Il ne savait pas trop ou il allait, mais il voulait aller le plus loin possible de son nouveau lieu d'occupation, mais toutefois encore dans son enceinte.
*Il faut que je tienne encore.*, pensa-t-il
Sans s'en rendre vraiment compte tellement concentré sur sa concentration à aller le plus loin, d'une de ses mains, une rafale partit. Il s'arrêta alors net à l'endroit ou il était rendu. Il n'était pas assez loin à son goût de l'Institut. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de continuer sa route au risque de faire disparaître n'importe quoi par son pouvoir. En même temps, en restant là debout à l'endroit ou il était et à n'importe quel autre, c'était pareil.
*Fichu pouvoir que je ne contrôle pas.*, se dit-il
Incontrôlable, à présent incontrôlable, il réfléchit rapidement ou viser... il ne savait pas. Partout ou il lancerait ses rafales, il toucherait quelqu'un ou bien quelque chose. Ne connaissant pas la distance que son pouvoir pouvait avoir, il avait peur de toucher quelque chose dans les airs. C'était vraiment un dilemne. Pourtant, il dû choisir.
*Tant pis.*
Levant les bras vers le ciel, les paumes de ses mains complètement ouvertes, des colonnes de rafales s'échapèrent de son corps, de lui. Libération ainsi de l'énergie, il eut une pensée pour Cassandre, pour tous ceux et celles qui étaient à ses côtés, mais aussi pour ceux dans le salon, qui étaient partis tout comme lui et ceux encore en train de dormir... en fait, pour tout l'Institut, mais plus pour la psychologue.
- InvitéInvité
Re: Temps d'un moment
Ven 3 Aoû 2007 - 16:02
Le soleil s'était levé depuis quelques heures à peine et l'air était frais et agréable. Une belle journée débutait. Par terre, sur le gazon, Roscart était allongé. La veille, il avait laissé libérer son trop plein d'émotions et, à force de perte d'énergie par rafales de plasma, il était tombé au sol sur l'herbe verte par épuisement. Les yeux à présent ouvert, il regarda devant lui. Découvrant les arbres, les fleurs, les bosquets et toutes autres choses végétales au loin, il se leva. Tranquillement il le fit puisque ne se sentant pas très bien. Il essaya de se rappeler ce qui s'était passé la veille et pourquoi il était là.
*Ah.*, pensa-t-il seulement en se rappelant
Il leva la tête vers le ciel et constata le ciel bleu qui s'offrait à lui. Ses vêtements secs, il se trouva chanceux qu'il n'est pas plu lorsqu'il était tombé inconscient à force d'utilisation de son pouvoir. C'était la première fois que ça se passait ainsi aussi fortement. Était-ce parce qu'il contôlait mieux son pouvoir que ça empirait lorsqu'il ne pouvait reternir son pouvoir? Il devrait peut-être en parler à un professeur.
*Oui, peut-être.*, se dit-il
Son estomac criant famine, il décida d'aller manger un morceau. Il regarda l'heure qu'il était à partir de sa montre sur son poignet gauche. À l'heure indiquée, il devait sûrement y avoir du monde dans la dite pièce ou il se rendait. Lui poseront-il des questions à propos du fait qu'il n'était pas retourné au salon ou bien pour quelque chose d'autre de similaire? Il ne savait pas.
*Pas grave, j'y vais quand même.*
Cuisine
*Ah.*, pensa-t-il seulement en se rappelant
Il leva la tête vers le ciel et constata le ciel bleu qui s'offrait à lui. Ses vêtements secs, il se trouva chanceux qu'il n'est pas plu lorsqu'il était tombé inconscient à force d'utilisation de son pouvoir. C'était la première fois que ça se passait ainsi aussi fortement. Était-ce parce qu'il contôlait mieux son pouvoir que ça empirait lorsqu'il ne pouvait reternir son pouvoir? Il devrait peut-être en parler à un professeur.
*Oui, peut-être.*, se dit-il
Son estomac criant famine, il décida d'aller manger un morceau. Il regarda l'heure qu'il était à partir de sa montre sur son poignet gauche. À l'heure indiquée, il devait sûrement y avoir du monde dans la dite pièce ou il se rendait. Lui poseront-il des questions à propos du fait qu'il n'était pas retourné au salon ou bien pour quelque chose d'autre de similaire? Il ne savait pas.
*Pas grave, j'y vais quand même.*
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