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Re: Relaxation crépusculaire
Jeu 18 Oct 2007 - 0:25
Zac nettoya un peu le sol, puis s'asseya dans l'herbe. C'était quelqu'un de plutot soigneu, propre sur lui, limite toujorus impecable, il détestait salir ses affaires, a vrai dire, il se savait un peu superficiel en ce qui concernait son aparence mais cela restait raisonnable.
Il admirait le ciel magnifique, il trouvait cet endroit si paisible, et peut etre meme que le fait de se sentir si bien rendait se coucher de soleil encore plus merveilleu... De quoi pouvait il rever de mieu, il était aux anges ici. Il se sentait aprécié a sa juste valeur, ici personne ne lui était hostile, et puis c'était si naturel pour lui de rencontrer des gens si différents...
En temps normal, il aura été surpris mais la sa avait été si naturel de voir Mariann avec ses ailes magnifiques, cela ne l'avait meme pas interpelé jusqu'a présent, c'est comme si tout était normal... Mais en fait tout est normal, c'est ainsi que le ressentait Zac. Il était enfin parmis les siens, il s'était rendu compte qu'ici il serait heureux, ici personne ne le jugerait, et lui ne jugerait personne... Cela lui semblait etre le paradis.
"Que dire dans un moment pareil, on est si petit face a sa, tu trouve pas sa magnifique ? Je crois qu'il n'y a rien de plus beau qu'un coucher de soleil... A part peut etre le sourire d'une jolie fille"
Il fit un sourire a Mariann et lui prit la main. Il repensa aux ailes de Mariann, elles étaient si impresionnantes, mais tellement belles, tout comme elle d'ailleur, elle était resplandissante, elle était si belle, si charmante. Il espérait que la jeune fille apréciait sa présence autant que lui, car lui se sentait si bien.
Il voulu en savoir un peu plus sur elle.
"Alors, comment tu as attéris ici toi ?"
Il admirait le ciel magnifique, il trouvait cet endroit si paisible, et peut etre meme que le fait de se sentir si bien rendait se coucher de soleil encore plus merveilleu... De quoi pouvait il rever de mieu, il était aux anges ici. Il se sentait aprécié a sa juste valeur, ici personne ne lui était hostile, et puis c'était si naturel pour lui de rencontrer des gens si différents...
En temps normal, il aura été surpris mais la sa avait été si naturel de voir Mariann avec ses ailes magnifiques, cela ne l'avait meme pas interpelé jusqu'a présent, c'est comme si tout était normal... Mais en fait tout est normal, c'est ainsi que le ressentait Zac. Il était enfin parmis les siens, il s'était rendu compte qu'ici il serait heureux, ici personne ne le jugerait, et lui ne jugerait personne... Cela lui semblait etre le paradis.
"Que dire dans un moment pareil, on est si petit face a sa, tu trouve pas sa magnifique ? Je crois qu'il n'y a rien de plus beau qu'un coucher de soleil... A part peut etre le sourire d'une jolie fille"
Il fit un sourire a Mariann et lui prit la main. Il repensa aux ailes de Mariann, elles étaient si impresionnantes, mais tellement belles, tout comme elle d'ailleur, elle était resplandissante, elle était si belle, si charmante. Il espérait que la jeune fille apréciait sa présence autant que lui, car lui se sentait si bien.
Il voulu en savoir un peu plus sur elle.
"Alors, comment tu as attéris ici toi ?"
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Re: Relaxation crépusculaire
Ven 19 Oct 2007 - 12:24
Après un dernier regard vers le jardin et la nuit naissante, ou plutôt la fin du jour, Jen se tourna et eut une dernière pensée :
* J'aurais tellement aimé pouvoir m'entraîner avec toi, j'espère que tu en aurais été fier. Veille sur nous Liven... où que tu sois. *
Elle se dirigea vers sa chambre dans pas léger mais las.
Chambre
* J'aurais tellement aimé pouvoir m'entraîner avec toi, j'espère que tu en aurais été fier. Veille sur nous Liven... où que tu sois. *
Elle se dirigea vers sa chambre dans pas léger mais las.
Chambre
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Re: Relaxation crépusculaire
Ven 19 Oct 2007 - 14:53
Mariann se laissa porter par tout ce bien-être et avait l'impression curieuse de flotter sur un nuage. Zac lui parlait et elle écouta tranquillement sa voix viril et douce comme du miel. Il avait raison, le coucher de soleil était magnifique. Mais en le regardant, elle se dit qu'en avait vue de plus beau mais que s'était la présence du beau adolescent à côté d'elle qui rendait la place et le moment, intense.
- Oui, tu as tout-à-fait raison... Ce coucher de soleil est spectaculaire...
Murmurra-t-elle. Il lui prit la main et, elle, elle la lui prit également. elle réfléchie un peu à la réponse qu'elle pouvait lui donner et lui raconta son histoire
- je suis née en Grèce, je fut élever dans un grand amour familiale. Ma vie allait bon train après mon déménagement à New York et mon niveau de scolarité était au maximum mais un seul défaut fessait de mon moral était à sec ; mes ailes.
Dès l'âge de 12 ans j'eu de très belle ailes mais étant mon plus grand bonheur et mon plus grand malheur, je fut rejeter par mes amis de l'école primaire et secondaire. Ils étaient, pour certains, jaloux ou tout simplement apeurer par mon don pour le vol.
Vers l'âge de 14 ans, j'en eu assez de la persécution et je décida de partir loin de chez moi. J'aimais profondément mes parents, mais si quelqu'un pouvait réellement me protégé et m'aider à me maîtriser, ce n'était pas eux.
Alors des vêtements dans un sac et de l'argent en poche, je quitta la ville où j'ai grandit durant 7 ans, pour me rendre je ne sais où. Ce long voyage m'épuisa à un tel point qu'en plein vol, je tombai sans conscience du ciel d'où je tombai à une vitesse fulgurante. Heureusement pour moi, un grand amas de paille attendait en bas. J'atterris, non pas sans douceur sur celui-ci, et un couple de fermier vint à mon secours. Gentiment mais sûrement, ils m'extirpèrent de là et m'emmenèrent chez eux. Lorsque je me réveillai, je me trouvais dans une coquette chambre d'ami d'où, une femme attendait patiemment. Elle avait vue mes ailes blanche comme les nuages et croyait que j'étais une ange tomber du ciel pour les bénir de ma protection. Et dire que j'avait moi même besoin d'un protection... Alors, je lui racontai mon histoire. Me permettant de rester plus longtemps, je décidai de partir afin de continuer mon voyage. En lui dis au revoir, je l'assura d'un proche retour.
Voilà, tu connais un brin de ma vie et mon histoire, maintenant ses à ton tour.
- Oui, tu as tout-à-fait raison... Ce coucher de soleil est spectaculaire...
Murmurra-t-elle. Il lui prit la main et, elle, elle la lui prit également. elle réfléchie un peu à la réponse qu'elle pouvait lui donner et lui raconta son histoire
- je suis née en Grèce, je fut élever dans un grand amour familiale. Ma vie allait bon train après mon déménagement à New York et mon niveau de scolarité était au maximum mais un seul défaut fessait de mon moral était à sec ; mes ailes.
Dès l'âge de 12 ans j'eu de très belle ailes mais étant mon plus grand bonheur et mon plus grand malheur, je fut rejeter par mes amis de l'école primaire et secondaire. Ils étaient, pour certains, jaloux ou tout simplement apeurer par mon don pour le vol.
Vers l'âge de 14 ans, j'en eu assez de la persécution et je décida de partir loin de chez moi. J'aimais profondément mes parents, mais si quelqu'un pouvait réellement me protégé et m'aider à me maîtriser, ce n'était pas eux.
Alors des vêtements dans un sac et de l'argent en poche, je quitta la ville où j'ai grandit durant 7 ans, pour me rendre je ne sais où. Ce long voyage m'épuisa à un tel point qu'en plein vol, je tombai sans conscience du ciel d'où je tombai à une vitesse fulgurante. Heureusement pour moi, un grand amas de paille attendait en bas. J'atterris, non pas sans douceur sur celui-ci, et un couple de fermier vint à mon secours. Gentiment mais sûrement, ils m'extirpèrent de là et m'emmenèrent chez eux. Lorsque je me réveillai, je me trouvais dans une coquette chambre d'ami d'où, une femme attendait patiemment. Elle avait vue mes ailes blanche comme les nuages et croyait que j'étais une ange tomber du ciel pour les bénir de ma protection. Et dire que j'avait moi même besoin d'un protection... Alors, je lui racontai mon histoire. Me permettant de rester plus longtemps, je décidai de partir afin de continuer mon voyage. En lui dis au revoir, je l'assura d'un proche retour.
Voilà, tu connais un brin de ma vie et mon histoire, maintenant ses à ton tour.
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Re: Relaxation crépusculaire
Sam 20 Oct 2007 - 14:09
Wind resta interdite quand le serbe descendit de son arbre, lui murmura quelques mots, puis déguerpit, avec une agilité et une célérité dont elle ne l'aurait pas cru capable vu son état... Son regard le suivit jusqu'à l'institut, puis elle reporta son attention sur Nan, incapable de déchiffrer si ce qu'elle avait suggéré tout à l'heure était ce à quoi il avait pensé, ni ce à quoi il songeait justement à cet instant.
Et puis l'algonquin prit congé à son tour, et l'anglaise hocha la tête.
- Oui, tu as besoin de repos, on aura bien le temps de parler de tout ça demain.
Elle lui sourit, et le regarda s'éloigner quelques instants avant de prendre à son tour la direction de l'établissement. Il y avait encore quelques personnes, par-ci par-là, dans le parc, mais la londonienne ne leur prêtait guère d'attention à cet instant : devant la porte de la bâtisse, Jen était assise, contemplant le paysage. Elle avait l'air tellement absorbée que la blonde hésita à la déranger. Il lui restait quelques dizaines de mètres à parcourir quand sa camarade se leva et disparut à l'intérieur de l'école, coupant court à ses hésitations.
*On aura bien le temps de discuter demain...*
Et à son tour, elle passa le seuil de l'institut, dirigeant ses pas vers sa propre chambre.
Et puis l'algonquin prit congé à son tour, et l'anglaise hocha la tête.
- Oui, tu as besoin de repos, on aura bien le temps de parler de tout ça demain.
Elle lui sourit, et le regarda s'éloigner quelques instants avant de prendre à son tour la direction de l'établissement. Il y avait encore quelques personnes, par-ci par-là, dans le parc, mais la londonienne ne leur prêtait guère d'attention à cet instant : devant la porte de la bâtisse, Jen était assise, contemplant le paysage. Elle avait l'air tellement absorbée que la blonde hésita à la déranger. Il lui restait quelques dizaines de mètres à parcourir quand sa camarade se leva et disparut à l'intérieur de l'école, coupant court à ses hésitations.
*On aura bien le temps de discuter demain...*
Et à son tour, elle passa le seuil de l'institut, dirigeant ses pas vers sa propre chambre.
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Re: Relaxation crépusculaire
Sam 20 Oct 2007 - 15:55
[HRP. Désolée Ridley, mais je veux pas passer la nuit dehors ^^ Il faut tirer ma révérence de ce topic …]
Alixtide crut avoir définitivement vexé le nouveau venu, ou l’avoir peut-être dégoûté de l’Institut. Les deux éventualités étaient à envisager. Dans le parc la situation géopolitique avait changé. Un couple roucoulant s’était installé plus loin face au coucher de soleil, le trio de derrière les arbres s’était étiolé, et la jeune Jenifer était venue faire quelques exercices sportifs puis s’en était allée. Cela rappela douloureusement à Alixtide son cours de leadership, dont l’issue était on ne peut plus compromise. Il n’avait pas du tout le courage d’y remettre les pieds, mais bon, il faudrait bien.
Il laissa le temps à tous ces jeunes gens de disparaître ou de rester, et lui-même décida qu’il était temps de rentrer. L’éclairage extérieur de l’Institut venait de s’activer, pavant le chemin jusqu’au perron. Alixtide se leva avec lourdeur et se traîna jusqu’à sa chambre.
chambre d’Alixtide
Alixtide crut avoir définitivement vexé le nouveau venu, ou l’avoir peut-être dégoûté de l’Institut. Les deux éventualités étaient à envisager. Dans le parc la situation géopolitique avait changé. Un couple roucoulant s’était installé plus loin face au coucher de soleil, le trio de derrière les arbres s’était étiolé, et la jeune Jenifer était venue faire quelques exercices sportifs puis s’en était allée. Cela rappela douloureusement à Alixtide son cours de leadership, dont l’issue était on ne peut plus compromise. Il n’avait pas du tout le courage d’y remettre les pieds, mais bon, il faudrait bien.
Il laissa le temps à tous ces jeunes gens de disparaître ou de rester, et lui-même décida qu’il était temps de rentrer. L’éclairage extérieur de l’Institut venait de s’activer, pavant le chemin jusqu’au perron. Alixtide se leva avec lourdeur et se traîna jusqu’à sa chambre.
chambre d’Alixtide
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