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- Gilles MartinLycée
- Age : 33
Nom de code : SMASH
Date d'inscription : 06/03/2009
Re: Vive le printemps !
Jeu 11 Juin 2009 - 3:07
Avec son sac à dos et de sport à chacune de ses mains, Gilles donnait l’impression d’avoir emporter avec lui sa maison. La tortue s’avança avec une étonnante facilité jusqu’au portail.
*Oh my god !!! C’est un hologramme qui vient de m’accueillir et de prononcer mon nom ? Mortel ! On dirait l’intelligence artificiel du vaisseau Véga dans nova chaser.*
« Bah merci… euh tiens elle a disparut. C’est juste un programme alors ? Déçuuuuuuu. »
Il franchit la grille et continua sa route vers l’immense manoir. Il n’arrivait pas à y croire. C’est là qu’il allait vivre désormais, lui qui n’avait jamais quitté le foyer familial. Sur son chemin il croisa deux personnes, bien plus âgé que lui, en pleine discussion.
*Ah ça à l’air d’être des profs mais visiblement ils ne sont pas venu là pour mon arriver. Pourtant je croyais que ma mère avait prévenu le Dr. Zachary.*
Le silence ce fit à son approche.
*Hum… c’est bien ce qui me semblait je n’arrive pas au bon moment…Bon…euh…*
D’un pas hésitant il continua tout de même et fini par arriver au niveau des deux tourtereaux.
« Bonjour, je m’appel Martin Gilles. Je viens de… enfin peu importe je vais tracer pour ne pas vous importuner davantage. »
Le mutant attendit tout de même un mouvement de tête ou tout autre signe qui lui permettrait valider son initiative.
*Oh my god !!! C’est un hologramme qui vient de m’accueillir et de prononcer mon nom ? Mortel ! On dirait l’intelligence artificiel du vaisseau Véga dans nova chaser.*
« Bah merci… euh tiens elle a disparut. C’est juste un programme alors ? Déçuuuuuuu. »
Il franchit la grille et continua sa route vers l’immense manoir. Il n’arrivait pas à y croire. C’est là qu’il allait vivre désormais, lui qui n’avait jamais quitté le foyer familial. Sur son chemin il croisa deux personnes, bien plus âgé que lui, en pleine discussion.
*Ah ça à l’air d’être des profs mais visiblement ils ne sont pas venu là pour mon arriver. Pourtant je croyais que ma mère avait prévenu le Dr. Zachary.*
Le silence ce fit à son approche.
*Hum… c’est bien ce qui me semblait je n’arrive pas au bon moment…Bon…euh…*
D’un pas hésitant il continua tout de même et fini par arriver au niveau des deux tourtereaux.
« Bonjour, je m’appel Martin Gilles. Je viens de… enfin peu importe je vais tracer pour ne pas vous importuner davantage. »
Le mutant attendit tout de même un mouvement de tête ou tout autre signe qui lui permettrait valider son initiative.
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
- Age : 44
Equipe : JustiX
Nom de code : Pulse
Date d'inscription : 01/05/2007
Re: Vive le printemps !
Dim 14 Juin 2009 - 23:26
"Bonjour Monsieur Gilles" dit finalement Carrie, devant le silence de son collègue.
Elle s'avanca lentement vers le nouvel élève, dernier, elle espèrait, de cette longue lignée de nouveaux arrivants. Il lui semblait qu'ils faisaient comme les mouches...Une fois la porte ouverte, ils entrent tous sans se faire inviter. Non que ce fut une mauvaise chose d'acceuillir et d'aider de nouveaux élèves. Carrie tendit une main froide vers Martin, le regard aussi glacé que ses doigts. Ce dernier semblait déterminé à faire son chemin seul dans l'Institut et la professeure sourit légèrement à son iniative. En voilà un qui remontait ses manches, pour une fois!
"Biensur, Monsieur Gilles. Je vous invite à vous installer et vous croiserez d'autres élèves à l'intérieur qui vous aideront à trouver votre chemin."
[Désolée du délais, Martin, tu pourras aller jouer avec les autres élèves maintenant.]
Elle s'avanca lentement vers le nouvel élève, dernier, elle espèrait, de cette longue lignée de nouveaux arrivants. Il lui semblait qu'ils faisaient comme les mouches...Une fois la porte ouverte, ils entrent tous sans se faire inviter. Non que ce fut une mauvaise chose d'acceuillir et d'aider de nouveaux élèves. Carrie tendit une main froide vers Martin, le regard aussi glacé que ses doigts. Ce dernier semblait déterminé à faire son chemin seul dans l'Institut et la professeure sourit légèrement à son iniative. En voilà un qui remontait ses manches, pour une fois!
"Biensur, Monsieur Gilles. Je vous invite à vous installer et vous croiserez d'autres élèves à l'intérieur qui vous aideront à trouver votre chemin."
[Désolée du délais, Martin, tu pourras aller jouer avec les autres élèves maintenant.]
- InvitéInvité
Re: Vive le printemps !
Lun 15 Juin 2009 - 11:43
[HRP : Pardon du retard, tu peux entrer et bon jeu !]
Comme deux lettres se croisant sur le chemin, Paolo n'avait pas vraiment réagit aux paroles de Carrie lorsqu'il se rendit compte qu'elle lui avait avoué avoir pensé à lui également. Il se retrouva bloqué, comme un ordinateur qui plante, l'écran bleu en moins. Non là pour le moment il aurait plutôt été rose bonbon l'écran...
Il ne répondit pas à Carrie, encore moins à Gilles. Ce n'est que lorsque sa collègue eut un rire puis prit la parole qu'il se rendit compte de son long silence. C'est l'air gêné qu'il intervint :
- Pardon je... Bienvenue monsieur Martin ! Et... bonne installation ! fit-il en ayant réfléchi un instant puis invitant du geste le jeune garçon à se diriger vers les bâtiments le tout avec un grand sourire chaleureux, tranchant avec le froid de sa collègue.
Il reprit le sujet comme pour le terminer sur une note plus légère en disant :
- Le seul signe doit être que cette institut toute entière s'est liguée pour nous embêter. Quand ce ne sont pas les élèves c'est autre chose qui vient nous couper dans notre discussion. Heureusement que la ténacité est une seconde nature chez moi ! dit-il avec un clin d'oeil complice.
Oh ça oui il en fallait de la ténacité pour suivre l'avocate. Mais il y avait un prix à chaque chose et bien souvent il était à la hauteur du gain. Carrie le fascinait, était-ce parce qu'en apparence ils étaient si opposés ?
Il attendit que Gilles se soit éloigné et, le regard aussi expressif qu'à son habitude, Paolo glissa de sa voix suave :
- Je me demande quel goût à le café sur vos lèvres...
Son regard dévia vers la bouche de sa collègue...
Comme deux lettres se croisant sur le chemin, Paolo n'avait pas vraiment réagit aux paroles de Carrie lorsqu'il se rendit compte qu'elle lui avait avoué avoir pensé à lui également. Il se retrouva bloqué, comme un ordinateur qui plante, l'écran bleu en moins. Non là pour le moment il aurait plutôt été rose bonbon l'écran...
Il ne répondit pas à Carrie, encore moins à Gilles. Ce n'est que lorsque sa collègue eut un rire puis prit la parole qu'il se rendit compte de son long silence. C'est l'air gêné qu'il intervint :
- Pardon je... Bienvenue monsieur Martin ! Et... bonne installation ! fit-il en ayant réfléchi un instant puis invitant du geste le jeune garçon à se diriger vers les bâtiments le tout avec un grand sourire chaleureux, tranchant avec le froid de sa collègue.
Il reprit le sujet comme pour le terminer sur une note plus légère en disant :
- Le seul signe doit être que cette institut toute entière s'est liguée pour nous embêter. Quand ce ne sont pas les élèves c'est autre chose qui vient nous couper dans notre discussion. Heureusement que la ténacité est une seconde nature chez moi ! dit-il avec un clin d'oeil complice.
Oh ça oui il en fallait de la ténacité pour suivre l'avocate. Mais il y avait un prix à chaque chose et bien souvent il était à la hauteur du gain. Carrie le fascinait, était-ce parce qu'en apparence ils étaient si opposés ?
Il attendit que Gilles se soit éloigné et, le regard aussi expressif qu'à son habitude, Paolo glissa de sa voix suave :
- Je me demande quel goût à le café sur vos lèvres...
Son regard dévia vers la bouche de sa collègue...
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
- Age : 44
Equipe : JustiX
Nom de code : Pulse
Date d'inscription : 01/05/2007
Re: Vive le printemps !
Mar 16 Juin 2009 - 3:39
Elle suivit le nouvel élève des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse. Heureusement qu'il fut déjà éloigné lorsque Paolo prononca ses dernières paroles. Avec la surprise, elle échappa sa tasse et ses dossiers sur le sol. Ils s'ouvrirent, étalant des feuilles un peu partout sur le sol. La tasse éclata en milles morceaux sur le gazon. Carrie se rendit compte que ses sentiments étaient passés à un stade plus avancé. Elle s'en rendit compte lorsque les papillons dans son ventre laissèrent place à des chocs électriques et que ses pensées embrouillées devinrent plus claires qu'elles ne l'avaient jamais été. Elle le voyait maintenant. Depuis le début, il lui avait toujours envoyé des sourires charmeurs et des commentaires gentils. Depuis le tout début...Jamais avait-elle désiré embrasser quelqu'un comme elle le désirait en ce moment même.
"Mettons quelque chose au clair dès maintenant, Monsieur Santero." ajouta l'avocate avec une voix dure comme l'acier.
Elle s'approcha de Paolo. Elle ne sentait plus les émotions prendre le dessus sur sa raison, comme une adolescente. Elle repensait à la journée lorsqu'il lui avait montré la magnifique géode. Même après qu'elle lui eut envoyé un commentaire sur le fait qu'il devait montrer la pierre à toutes les femmes qu'il tentait de séduire, il était resté un vrai gentleman et avait continué à être tout à fait charmant avec elle. Et il lui avait dit qu'elle cachait un trésor, comme la pierre...Lorsqu'elle se planta directement devant le professeur, elle remarqua, comme lors de la danse, qu'il était plus grand qu'elle. L'avocate, normalement, n'aimait pas cette différence de grandeur et utilisait son pouvoir pour s'assurer d'être à la même hauteur que ses interlocuteurs. Cette fois, face à Paolo, elle aimait cette différence. Elle aimait qu'il soit plus grand et plus fort qu'elle...Bien que la force soit relative dans le cas de la jeune femme. Son menton pointu se redressa tandis qu'elle plongeait son regard dans celui de son collègue:
"Il me semble évident que nous soyons tous les deux attirés l'un à l'autre. Vous êtes intelligent, charmant et très séduisant. Il n'est pas dans mes habitudes d'avoir des relations - sentimentales - avec des collègues. Et dans l'éventualité d'une certaine relation personnelle entre vous et moi, il me serait impossible de changer et..."
Comme si Paolo avait fait fondre l'acier de sa voix, comme elle le savait capable de fairem sa voix devint graduellement plus douce tandis qu'elle lui exposait ses pensées. Elle croyait avoir été assez claire. Au moins, elle avait mis au clair qu'elle n'avait pas l'intention de changer quoi que ce soit dans ses façons de faire. Mais quelque chose d'autre devait être dit, mais l'avocate ne savait pas comment le dire. Elle ne voulait pas faire une erreur...Elle ne savait plus comment s'y prendre pour faire durer une relation amoureuse. Il y avait si longtemps qu'elle ne s'était même plus risqué à s'embarquer dans une relation sérieuse avec un homme, ses dernières "conquêtes" étant de véritables échecs amoureux. Elle ne se sentit pas capable de finir sa ligne de penser et de l'avouer à Paolo. Sa voix était plus chaude, plus douce, mais toujours aussi sérieuse que le visage qu'elle affichait:
"Quant au café..."
Sans utiliser son pouvoir, Carrie choisit de se hisser sur la pointe des pieds pour se mettre à la hauteur de Paolo et emprisonner ses lèvres dans les siennes. Ses paupières se fermèrent inconsciemment tandis qu'avec douceur, ses mains se saisirent du visage de son collègue et qu'elle le maintenant contre elle. Il lui semblait qu'elle connaissait déjà la forme de ces lèvres douces qu'elle avait tant désiré alors que leurs bouches s'unissaient pour la première fois. Carrie était étourdie par le parfum de Paolo et ses doigts s'enfoncèrent lentement dans sa chevelure qu'elle avait eu envie de caresser depuis si longtemps. Lorsqu'enfin l'étourdissement n'était plus du au parfum d'homme qui l'enivrait, mais à cause du manque d'air, la jeune femme ouvrit lentement ses lèvres, les éloignant, tout en retirant ses mains et les faire retomber le long de son corps. Elle ouvrit les yeux et se recula de quelques pas devant le geste qu'elle venait de poser. Reprenant son souffle, sa poitrine se soulevait, suivant le rythme acharné de son coeur.
"J'ai beaucoup de travail qui m'attend..." dit-elle d'une voix qui ne montrait pas les sensations presque oubliées qui venait de refaire surface.
Elle se pencha et commenca à rassembler les feuilles, les mettant pêle-mêle dans un dossier au hasard et mettant les morceaux de porcelaine sur une chemise vide.
"Mettons quelque chose au clair dès maintenant, Monsieur Santero." ajouta l'avocate avec une voix dure comme l'acier.
Elle s'approcha de Paolo. Elle ne sentait plus les émotions prendre le dessus sur sa raison, comme une adolescente. Elle repensait à la journée lorsqu'il lui avait montré la magnifique géode. Même après qu'elle lui eut envoyé un commentaire sur le fait qu'il devait montrer la pierre à toutes les femmes qu'il tentait de séduire, il était resté un vrai gentleman et avait continué à être tout à fait charmant avec elle. Et il lui avait dit qu'elle cachait un trésor, comme la pierre...Lorsqu'elle se planta directement devant le professeur, elle remarqua, comme lors de la danse, qu'il était plus grand qu'elle. L'avocate, normalement, n'aimait pas cette différence de grandeur et utilisait son pouvoir pour s'assurer d'être à la même hauteur que ses interlocuteurs. Cette fois, face à Paolo, elle aimait cette différence. Elle aimait qu'il soit plus grand et plus fort qu'elle...Bien que la force soit relative dans le cas de la jeune femme. Son menton pointu se redressa tandis qu'elle plongeait son regard dans celui de son collègue:
"Il me semble évident que nous soyons tous les deux attirés l'un à l'autre. Vous êtes intelligent, charmant et très séduisant. Il n'est pas dans mes habitudes d'avoir des relations - sentimentales - avec des collègues. Et dans l'éventualité d'une certaine relation personnelle entre vous et moi, il me serait impossible de changer et..."
Comme si Paolo avait fait fondre l'acier de sa voix, comme elle le savait capable de fairem sa voix devint graduellement plus douce tandis qu'elle lui exposait ses pensées. Elle croyait avoir été assez claire. Au moins, elle avait mis au clair qu'elle n'avait pas l'intention de changer quoi que ce soit dans ses façons de faire. Mais quelque chose d'autre devait être dit, mais l'avocate ne savait pas comment le dire. Elle ne voulait pas faire une erreur...Elle ne savait plus comment s'y prendre pour faire durer une relation amoureuse. Il y avait si longtemps qu'elle ne s'était même plus risqué à s'embarquer dans une relation sérieuse avec un homme, ses dernières "conquêtes" étant de véritables échecs amoureux. Elle ne se sentit pas capable de finir sa ligne de penser et de l'avouer à Paolo. Sa voix était plus chaude, plus douce, mais toujours aussi sérieuse que le visage qu'elle affichait:
"Quant au café..."
Sans utiliser son pouvoir, Carrie choisit de se hisser sur la pointe des pieds pour se mettre à la hauteur de Paolo et emprisonner ses lèvres dans les siennes. Ses paupières se fermèrent inconsciemment tandis qu'avec douceur, ses mains se saisirent du visage de son collègue et qu'elle le maintenant contre elle. Il lui semblait qu'elle connaissait déjà la forme de ces lèvres douces qu'elle avait tant désiré alors que leurs bouches s'unissaient pour la première fois. Carrie était étourdie par le parfum de Paolo et ses doigts s'enfoncèrent lentement dans sa chevelure qu'elle avait eu envie de caresser depuis si longtemps. Lorsqu'enfin l'étourdissement n'était plus du au parfum d'homme qui l'enivrait, mais à cause du manque d'air, la jeune femme ouvrit lentement ses lèvres, les éloignant, tout en retirant ses mains et les faire retomber le long de son corps. Elle ouvrit les yeux et se recula de quelques pas devant le geste qu'elle venait de poser. Reprenant son souffle, sa poitrine se soulevait, suivant le rythme acharné de son coeur.
"J'ai beaucoup de travail qui m'attend..." dit-elle d'une voix qui ne montrait pas les sensations presque oubliées qui venait de refaire surface.
Elle se pencha et commenca à rassembler les feuilles, les mettant pêle-mêle dans un dossier au hasard et mettant les morceaux de porcelaine sur une chemise vide.
- InvitéInvité
Re: Vive le printemps !
Mar 16 Juin 2009 - 14:26
Paolo observait. Il ne la quittait pas des yeux. D’abord absorber par ces lèvres auxquelles il voulait tant goûter, puis revenant aux yeux clairs de l’avocate pour s’y noyer. Il était pris dans une tempête mêlée de peur et d’excitation. Il l’avait dit, quelque chose qui aurait mérité une claque à bon nombre d’homme, mais il ne pouvait pas taire plus longtemps cette envie irrépressible. Et pourtant, il restait figé, impassible. Le poids de ses sentiments pesait tellement qu’une inertie sentimentale l’empêchait de bouger ne serait-ce que d’un pouce. Même lorsqu’elle laissa échapper tout ce qu’elle avait dans les mains, Paolo ne la quitta pas des yeux, hypnotisé par elle, le monde autour aurait pu s’écrouler.
Et cela faillit être le cas. Ses premiers mots sonnèrent comme le tonnerre annonçant l’orage. L’avait-il choquée ? Avait-il choisit un mauvais moment ? S’était-il trompé sur ce qu’elle ressentait ? Les questions se bousculaient pour expliquer ce qui promettait d’être un massacre. Alors qu’elle s’approchait pour venir quasiment se coller à lui, il sentait son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine.
Elle était là, à quelques centimètres de lui, leurs yeux plongés l’un dans l’autre. Ses mots résonnèrent dans l’esprit du mexicain, baigné dans une véritable transe. Elle était attirée par lui, le gratifiait de nombreux compliments, s’excusait presque de ne pas pouvoir changer. Changer quoi ? Son esprit voulait le crier mais il restait pourtant de marbre, un regard presque félin sur cette jeune femme devant lui, un esprit de chasseur, le tigre attendant patiemment que sa proie soit à sa merci. Et le moment approchait, s’insinuant dans le timbre de voix de sa collègue, la proie s’affaiblissait, était prête à cesser le combat et à se livrer.
C’est alors que le coup de grâce arriva, mais pas de celui qu’on pense. Ce fut soudain, comme seuls les rares centimètres entre leurs deux visages pouvaient expliquer un mouvement si rapide. La rencontre de leurs lèvres fut comme une électrocution. Il sentit la vague partir de son visage, irradier son cerveau, parcourir son corps, longer sa colonne vertébrale et se répercuter dans chacun de ses membres. Sous le coups, il ferma les yeux, sentant des mains douces sur ses joues, la tendresse du baiser, des doigts se glisser dans ses cheveux, et son âme sombrer dans une extase délicieuse. Et le parfum de café accompagnant cette fusion de leurs lèvres resterait gravé dans la mémoire du géologue. Jamais cette boisson n’aura eut arôme si doux. Les mains du géologue vinrent se poser délicatement sur la taille de celle qui lui offrait un si doux moment de vertige. Son corps ne répondait plus à la moindre pensée rationnelle, tout se faisait selon une mécanique inconsciente.
Son étreinte était si légère que lorsque Carrie rompit le contact de leurs lèvres et s’éloigna, les mains de Paolo glissèrent de sa taille et ses bras se détendirent, ce fut comme si son âme était coupée en deux. Il ouvrit les yeux lentement, comme pour s’accrocher un dernier instant à la tornade de sentiments qui venait de l’emporter, puis posa ses yeux sur sa collègue, comme on ouvre les yeux le matin au réveil alors qu’un nouveau jour commence, sur elle qui venait de prendre une nouvelle dimension dans sa vie.
Elle semblait totalement perturbée de ce qu’ils venaient de faire, le souffle court et certainement le cœur emballé comme le sien, et se mit frénétiquement sur un autre sujet : son dossier éparpillé, sa tasse cassée, le travail. Paolo attrapa l’une des feuilles sur le sol et s’approcha d’elle doucement, se baissant pour amener son visage tout près du sien, il lui tendit la feuille et dit d’une voix douce et chaude :
- Ne changez pas, vous êtes parfaite comme cela, Carrie…
Il n’avait même pas eu le temps de lui répondre aussi le faisait-il maintenant, un sourire chaleureux sur les lèvres. Il sentit le parfum de la jeune femme et s’enivra de nouveau. Puis pour alléger l’atmosphère, il ajouta :
- Je vous dois donc une danse et une nouvelle tasse. dit-il d’un air amusé, ses yeux pétillant d'une nouvelle énergie.
Et cela faillit être le cas. Ses premiers mots sonnèrent comme le tonnerre annonçant l’orage. L’avait-il choquée ? Avait-il choisit un mauvais moment ? S’était-il trompé sur ce qu’elle ressentait ? Les questions se bousculaient pour expliquer ce qui promettait d’être un massacre. Alors qu’elle s’approchait pour venir quasiment se coller à lui, il sentait son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine.
Elle était là, à quelques centimètres de lui, leurs yeux plongés l’un dans l’autre. Ses mots résonnèrent dans l’esprit du mexicain, baigné dans une véritable transe. Elle était attirée par lui, le gratifiait de nombreux compliments, s’excusait presque de ne pas pouvoir changer. Changer quoi ? Son esprit voulait le crier mais il restait pourtant de marbre, un regard presque félin sur cette jeune femme devant lui, un esprit de chasseur, le tigre attendant patiemment que sa proie soit à sa merci. Et le moment approchait, s’insinuant dans le timbre de voix de sa collègue, la proie s’affaiblissait, était prête à cesser le combat et à se livrer.
C’est alors que le coup de grâce arriva, mais pas de celui qu’on pense. Ce fut soudain, comme seuls les rares centimètres entre leurs deux visages pouvaient expliquer un mouvement si rapide. La rencontre de leurs lèvres fut comme une électrocution. Il sentit la vague partir de son visage, irradier son cerveau, parcourir son corps, longer sa colonne vertébrale et se répercuter dans chacun de ses membres. Sous le coups, il ferma les yeux, sentant des mains douces sur ses joues, la tendresse du baiser, des doigts se glisser dans ses cheveux, et son âme sombrer dans une extase délicieuse. Et le parfum de café accompagnant cette fusion de leurs lèvres resterait gravé dans la mémoire du géologue. Jamais cette boisson n’aura eut arôme si doux. Les mains du géologue vinrent se poser délicatement sur la taille de celle qui lui offrait un si doux moment de vertige. Son corps ne répondait plus à la moindre pensée rationnelle, tout se faisait selon une mécanique inconsciente.
Son étreinte était si légère que lorsque Carrie rompit le contact de leurs lèvres et s’éloigna, les mains de Paolo glissèrent de sa taille et ses bras se détendirent, ce fut comme si son âme était coupée en deux. Il ouvrit les yeux lentement, comme pour s’accrocher un dernier instant à la tornade de sentiments qui venait de l’emporter, puis posa ses yeux sur sa collègue, comme on ouvre les yeux le matin au réveil alors qu’un nouveau jour commence, sur elle qui venait de prendre une nouvelle dimension dans sa vie.
Elle semblait totalement perturbée de ce qu’ils venaient de faire, le souffle court et certainement le cœur emballé comme le sien, et se mit frénétiquement sur un autre sujet : son dossier éparpillé, sa tasse cassée, le travail. Paolo attrapa l’une des feuilles sur le sol et s’approcha d’elle doucement, se baissant pour amener son visage tout près du sien, il lui tendit la feuille et dit d’une voix douce et chaude :
- Ne changez pas, vous êtes parfaite comme cela, Carrie…
Il n’avait même pas eu le temps de lui répondre aussi le faisait-il maintenant, un sourire chaleureux sur les lèvres. Il sentit le parfum de la jeune femme et s’enivra de nouveau. Puis pour alléger l’atmosphère, il ajouta :
- Je vous dois donc une danse et une nouvelle tasse. dit-il d’un air amusé, ses yeux pétillant d'une nouvelle énergie.
- Gilles MartinLycée
- Age : 33
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Re: Vive le printemps !
Mar 16 Juin 2009 - 17:38
[Pour répondre vite fait à Carrie et partir au loin avant…enfin vous savez. Pas de problème pour le délai Carrie et désolé encore de vous avoir interrompu mais je n’avais pas trop le choix. Bref je me sauve ^^]
Le regard glacé de la trentenaire ne dissipa tout doute s’il y en avait encore. Elle tendit tout de même la main en signe de politesse malgré que l’autre tenait, dans l’imaginaire de jeune homme, une pancarte où il était écrit sauve toi ! Gêné plus que d’habitude par cette intention il répondit rapidement :
« Ah, désoler j’ai les mains occupé et puis avec mon pouvoir… »
*TROP LONG ABRÈGE !*
« …enfin je vous raconterai. »
L’homme lui souhaita également une bonne installation alors que Gilles était déjà entrain de se diriger vers la porte. Il se retourna toujours très facilement malgré son barda.
« Oui, merci bonne journée »
Et il reprit la route.
=> Hall
Le regard glacé de la trentenaire ne dissipa tout doute s’il y en avait encore. Elle tendit tout de même la main en signe de politesse malgré que l’autre tenait, dans l’imaginaire de jeune homme, une pancarte où il était écrit sauve toi ! Gêné plus que d’habitude par cette intention il répondit rapidement :
« Ah, désoler j’ai les mains occupé et puis avec mon pouvoir… »
*TROP LONG ABRÈGE !*
« …enfin je vous raconterai. »
L’homme lui souhaita également une bonne installation alors que Gilles était déjà entrain de se diriger vers la porte. Il se retourna toujours très facilement malgré son barda.
« Oui, merci bonne journée »
Et il reprit la route.
=> Hall
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
- Age : 44
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Re: Vive le printemps !
Mer 17 Juin 2009 - 2:35
[Très gentil de ta part, Martin ^^]
Carrie ramassait les feuilles sans vraiment les regarder. Elle leva les yeux lentement vers Paolo lorsqu’elle le vit lui tendre une feuille et lui dire de ne pas changer. Elle ne répondit rien, ne le regardant pas vraiment. Il ne dirait pas cela dans quelques jours…C’était toujours comme cela que c’était commencé les autres fois. Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils veuillent quelque chose qu’elle ne pouvait pas offrir. Une fois sa ligne de pensée bien finie à l’intérieur de sa tête, la professeure plongea son regard dans celui de Paolo. La voix qui était parvenue à ses oreilles, elle aurait pu l’entendre et la réentendre sans arrêt... Elle était si douce et si enveloppante, comme les rayons du premier soleil de la journée. Carrie ne sourit pas, elle se contenta de regarder Paolo comme si elle savait à quel point ce qu’il venait de dire était ridicule, qu’il ne savait absolument pas ce qui l’attendait. Elle haussa les épaules et continua de ramasser ses feuilles. Finalement, elle se surprit à demander :
« Pourquoi m-?... »
Carrie se tut subitement, devant l’absurdité de la question qu’elle allait poser. Elle s’immobilisa et, toujours à genoux, elle se laissa tomber vers l’arrière pour s’asseoir sur ses mollets. Carrie soupira et secoua la tête dans une profonde incompréhension. Elle finit par ne rien ajouter et continuer à rassembler les feuilles qui s’étaient éparpillées un peu partout autour d’elle. Lorsqu’il parla pour la dernière fois, elle ne fut capable de détourner son regard de son beau visage. Un sourire léger, fragile, apparut sur son visage, tandis qu’elle continuait d’admirer ses yeux brillants, la forme de son visage parfait, ses lèvres encore roses du baiser qu’ils avaient échangés…
« Cela commence à être une belle liste…Il faudrait penser à payer maintenant. »
Carrie arqua les sourcils et dévisagea Paolo pour lui montrer qu’elle attendait avec une certaine impatience le prochain moment qu’ils passeraient ensemble…Et leur danse. Elle repensait encore à la soirée et ne put s’empêcher de sourire. Au-delà des moments hauts en émotions qu’elle s’était découverte pendant le bal, lorsqu’elle avait veillé sur lui après sa chute l’avait beaucoup amusé. Elle lui renvoya un sourire amusé, gardant toutefois sa voix et son regard aussi sérieux qu’elle le pouvait. (Et elle le pouvait…)
« Il suffit de surveiller pour voir si Monsieur Pollender n’est pas dans les parages d’abord, question que vous teniez bien sur vos pieds.»
La jeune femme et son compagnon avaient finalement rassemblé toutes les feuilles qu’elle avait laissé tomber sur le sol. Elle enveloppa les morceaux de porcelaine dans le dossier et les laissa sur les marches derrière elle. Elle coinça les feuilles sous son bras et se retourna vers Paolo.
Carrie ramassait les feuilles sans vraiment les regarder. Elle leva les yeux lentement vers Paolo lorsqu’elle le vit lui tendre une feuille et lui dire de ne pas changer. Elle ne répondit rien, ne le regardant pas vraiment. Il ne dirait pas cela dans quelques jours…C’était toujours comme cela que c’était commencé les autres fois. Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils veuillent quelque chose qu’elle ne pouvait pas offrir. Une fois sa ligne de pensée bien finie à l’intérieur de sa tête, la professeure plongea son regard dans celui de Paolo. La voix qui était parvenue à ses oreilles, elle aurait pu l’entendre et la réentendre sans arrêt... Elle était si douce et si enveloppante, comme les rayons du premier soleil de la journée. Carrie ne sourit pas, elle se contenta de regarder Paolo comme si elle savait à quel point ce qu’il venait de dire était ridicule, qu’il ne savait absolument pas ce qui l’attendait. Elle haussa les épaules et continua de ramasser ses feuilles. Finalement, elle se surprit à demander :
« Pourquoi m-?... »
Carrie se tut subitement, devant l’absurdité de la question qu’elle allait poser. Elle s’immobilisa et, toujours à genoux, elle se laissa tomber vers l’arrière pour s’asseoir sur ses mollets. Carrie soupira et secoua la tête dans une profonde incompréhension. Elle finit par ne rien ajouter et continuer à rassembler les feuilles qui s’étaient éparpillées un peu partout autour d’elle. Lorsqu’il parla pour la dernière fois, elle ne fut capable de détourner son regard de son beau visage. Un sourire léger, fragile, apparut sur son visage, tandis qu’elle continuait d’admirer ses yeux brillants, la forme de son visage parfait, ses lèvres encore roses du baiser qu’ils avaient échangés…
« Cela commence à être une belle liste…Il faudrait penser à payer maintenant. »
Carrie arqua les sourcils et dévisagea Paolo pour lui montrer qu’elle attendait avec une certaine impatience le prochain moment qu’ils passeraient ensemble…Et leur danse. Elle repensait encore à la soirée et ne put s’empêcher de sourire. Au-delà des moments hauts en émotions qu’elle s’était découverte pendant le bal, lorsqu’elle avait veillé sur lui après sa chute l’avait beaucoup amusé. Elle lui renvoya un sourire amusé, gardant toutefois sa voix et son regard aussi sérieux qu’elle le pouvait. (Et elle le pouvait…)
« Il suffit de surveiller pour voir si Monsieur Pollender n’est pas dans les parages d’abord, question que vous teniez bien sur vos pieds.»
La jeune femme et son compagnon avaient finalement rassemblé toutes les feuilles qu’elle avait laissé tomber sur le sol. Elle enveloppa les morceaux de porcelaine dans le dossier et les laissa sur les marches derrière elle. Elle coinça les feuilles sous son bras et se retourna vers Paolo.
- InvitéInvité
Re: Vive le printemps !
Mer 17 Juin 2009 - 18:08
Le regard qu’elle eut était difficile à comprendre. Etait-elle surprise ? Déçue ? Touchée ? Carrie Marcin était une forêt impénétrable cachant pourtant des merveilles en son sein. C’était peut-être l’esprit aventurier du géologue qui le poussait vers cette femme si difficile à approcher. Mais sa douceur et sa persévérance avaient déjà payé. Mais elle était encore perturbée, et sa question incomplète le traduisait parfaitement, elle ne se comprenait pas elle-même. Mais Paolo n’ajouta rien, il était là, près d’elle, il faudrait qu’elle se rende compte qu’elle pouvait lui faire confiance, qu’il était sérieux.
Néanmoins, sa tentative de détendre un peu sa partenaire sembla efficace, elle rebondit sur sa liste et lui proposa de la payer maintenant. Puis elle fit allusions à Luther et à la bousculade lors de la soirée d’anniversaire. Il s’en souvenait bien de cette chute. Etait-ce une si mauvaise chose ? Il aurait pu se passer quelque chose pendant leur danse, mais cela leur donna l’occasion d’être en tête à tête, certes pas forcément dans les meilleures conditions mais c’était toujours ça. Et puis, c’était peut-être trop tôt à ce moment là, cela leur avait laissé le temps de mûrir cette attirance. Paolo sourit à ses souvenirs et ajouta d’un air amusé :
- Disons que maintenant j’ai un peu moins d’inhibitions à être poussé contre vous, mais pour ma santé et l’intégrité de ma boite crânienne… ce serait effectivement mieux ainsi !
Alors qu’ils avaient terminé de récupérer les affaires que Carrie avait laissé échapper, il fallait avancer, rebondir sur un sujet ou repartir. C’était bête mais maintenant, il fallait décider de la façon de vivre après ce pas dans une nouvelle dimension. Le mexicain eut un regard amusé et glissa :
- Je ne sais pas combien de temps notre baiser a duré, mais si vous voulez mon avis… pas assez. dit-il en approchant son visage de celui de la française, s’arrêtant alors que ses lèvres étaient à un centimètre de celles de l’avocate.
Le géologue resta ainsi, mêlant son souffle à celui de sa compagne, scrutant les traits de son visage si près, faisant durer le plaisir de la tension alors que leurs lèvres se frôlaient presque. Il sentait de nouveau le parfum de café qui l’avait emporté lorsqu’elle l’avait embrassé. Son cœur se mettait de nouveau à accélérer, leurs souffles caressant le visage de l’autre.
A ce moment là, pas la moindre considération concernant les élèves ou leurs collègues ne traversa l’esprit de Paolo, pas de pensée sur comment la nouvelle serait véhiculée par radio-institut et les avis que cela soulèverait.
Il avait le cœur léger.
C’était décidément une bien belle journée.
Néanmoins, sa tentative de détendre un peu sa partenaire sembla efficace, elle rebondit sur sa liste et lui proposa de la payer maintenant. Puis elle fit allusions à Luther et à la bousculade lors de la soirée d’anniversaire. Il s’en souvenait bien de cette chute. Etait-ce une si mauvaise chose ? Il aurait pu se passer quelque chose pendant leur danse, mais cela leur donna l’occasion d’être en tête à tête, certes pas forcément dans les meilleures conditions mais c’était toujours ça. Et puis, c’était peut-être trop tôt à ce moment là, cela leur avait laissé le temps de mûrir cette attirance. Paolo sourit à ses souvenirs et ajouta d’un air amusé :
- Disons que maintenant j’ai un peu moins d’inhibitions à être poussé contre vous, mais pour ma santé et l’intégrité de ma boite crânienne… ce serait effectivement mieux ainsi !
Alors qu’ils avaient terminé de récupérer les affaires que Carrie avait laissé échapper, il fallait avancer, rebondir sur un sujet ou repartir. C’était bête mais maintenant, il fallait décider de la façon de vivre après ce pas dans une nouvelle dimension. Le mexicain eut un regard amusé et glissa :
- Je ne sais pas combien de temps notre baiser a duré, mais si vous voulez mon avis… pas assez. dit-il en approchant son visage de celui de la française, s’arrêtant alors que ses lèvres étaient à un centimètre de celles de l’avocate.
Le géologue resta ainsi, mêlant son souffle à celui de sa compagne, scrutant les traits de son visage si près, faisant durer le plaisir de la tension alors que leurs lèvres se frôlaient presque. Il sentait de nouveau le parfum de café qui l’avait emporté lorsqu’elle l’avait embrassé. Son cœur se mettait de nouveau à accélérer, leurs souffles caressant le visage de l’autre.
A ce moment là, pas la moindre considération concernant les élèves ou leurs collègues ne traversa l’esprit de Paolo, pas de pensée sur comment la nouvelle serait véhiculée par radio-institut et les avis que cela soulèverait.
Il avait le cœur léger.
C’était décidément une bien belle journée.
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
- Age : 44
Equipe : JustiX
Nom de code : Pulse
Date d'inscription : 01/05/2007
Re: Vive le printemps !
Ven 19 Juin 2009 - 1:39
Carrie sourit avec légèreté. Elle ne se souciait plus vraiment de tout le reste pour le moment. La blague avait réussit à retirer la lourdeur qui pesait sur ses épaules qu'elle haussa avec contentement. Elle observa le visage de Paolo encore quelques secondes et plissa les yeux lorsqu'elle fit un nouveau sourire amusé sur son visage. Qu'est-ce qui se passait, encore? Non que ce sourire lui déplaise, elle le trouvait tout à fait charmant, mais elle sentait qu'elle pouvait s'attendre à quelque chose dont elle ne s'attendait pas. Et ce fut le cas. Lorsque leur deux visages furent à un centimètre l'un de l'autre, Carrie soupira en suivant des yeux le regard de Paolo. Toujours la crainte de l'engagement bousculait le coeur de l'avocate, mais ce dernier battait si fort qu'elle ignora la peur. Ce qui n'était pas très sage...Mais en ce moment, qui serait sage?
"Compterez-vous, maintenant?" murmura-t-elle.
Si elle avait parlé à voix haute, elle aurait sans doute trembler. De son côté, Carrie savait qu'elle ne pourrait pas compter, même si elle le voulait. Dès qu'il lui souriait, ses jambes devenaient molles; dès qu'il la touchait, son coeur devenait des milliers de papillons; dès qu'ils s'embrassaient, son esprit ne pensait plus à rien d'autre qu'à lui, tous ses soucis disparaissaient et une douce chaleur s'emparait d'elle. De vieux sentiments refirent surface de si loin qu'elle en avait oublié l'existence. Elle se souvenait du bien-être approté par une passion réciproque, bien que la force de ce qu'elle ressentait pour Paolo ne fusse en rien comparable à son passé. C'était une centaine de fois plus passionné, plus enivrant...
Comme deux aimants retenus près l'un de l'autre, leur lèvres s'attiraient sans se toucher, retenues jusqu'au moment où elles s'uniraient finalement. Mais dès que leur bouche s'approchaient un peu trop près, elle savait qu'elle ne pourrait pas résister bien longtemps à l'attraction. Elle n'était pas vraiment reconnu pour sa patience exemplaire...
Le nez de Carrie frôla celui de Paolo et elle sourit, admirant toujours la perfection du visage de Paolo, de son regard aussi profond qu'un gouffre. Finalement, elle captura des lèvres qui la taquinaient pour les emporter dans un baiser passionné. Elle garda ses bras le long de son corps les premiers instants, mais inconsciemment, ils se posèrent sur le torse de Paolo, glissant très lentement autour de sa nuque qu'elle caressa du bout des doigts.
Contrairement à Paolo qui ne s'inquiète pas de ce que dirait le monde, la française n'était pas aussi insouciante. Il lui faudrait penser aux conséquences et trouver des solutions aux problèmes qu'apporteraient leur nouvelle relation. Mais pour le moment, elle n'y pensa pas. Rien ne lui importait que l'homme parfait qu'elle découvrait par ses baisers.
"Compterez-vous, maintenant?" murmura-t-elle.
Si elle avait parlé à voix haute, elle aurait sans doute trembler. De son côté, Carrie savait qu'elle ne pourrait pas compter, même si elle le voulait. Dès qu'il lui souriait, ses jambes devenaient molles; dès qu'il la touchait, son coeur devenait des milliers de papillons; dès qu'ils s'embrassaient, son esprit ne pensait plus à rien d'autre qu'à lui, tous ses soucis disparaissaient et une douce chaleur s'emparait d'elle. De vieux sentiments refirent surface de si loin qu'elle en avait oublié l'existence. Elle se souvenait du bien-être approté par une passion réciproque, bien que la force de ce qu'elle ressentait pour Paolo ne fusse en rien comparable à son passé. C'était une centaine de fois plus passionné, plus enivrant...
Comme deux aimants retenus près l'un de l'autre, leur lèvres s'attiraient sans se toucher, retenues jusqu'au moment où elles s'uniraient finalement. Mais dès que leur bouche s'approchaient un peu trop près, elle savait qu'elle ne pourrait pas résister bien longtemps à l'attraction. Elle n'était pas vraiment reconnu pour sa patience exemplaire...
Le nez de Carrie frôla celui de Paolo et elle sourit, admirant toujours la perfection du visage de Paolo, de son regard aussi profond qu'un gouffre. Finalement, elle captura des lèvres qui la taquinaient pour les emporter dans un baiser passionné. Elle garda ses bras le long de son corps les premiers instants, mais inconsciemment, ils se posèrent sur le torse de Paolo, glissant très lentement autour de sa nuque qu'elle caressa du bout des doigts.
Contrairement à Paolo qui ne s'inquiète pas de ce que dirait le monde, la française n'était pas aussi insouciante. Il lui faudrait penser aux conséquences et trouver des solutions aux problèmes qu'apporteraient leur nouvelle relation. Mais pour le moment, elle n'y pensa pas. Rien ne lui importait que l'homme parfait qu'elle découvrait par ses baisers.
- InvitéInvité
Re: Vive le printemps !
Mar 23 Juin 2009 - 14:10
Cela pouvait peut-être sembler enfantin, mais ce petit jeu lui plaisait énormément. Jouer ainsi avec le visage de sa compagne, apprécier ses traits de si près, sentir la tension alors que leurs corps les poussaient au contact mais qu’ils maintenaient une faible distance entre leurs peaux.
C’était tout simplement délicieux.
Goûter à un moment de simple bonheur au milieu du tumulte du monde, que demander de plus si ce n’est que cet instant n’en finisse jamais. Il ne répondit pas, se contentant de sourire alors qu’il connaissait pertinemment la réponse.
Elle finit par perdre patience, mais comment lui en vouloir. Et s’en suivit un tendre baiser, il sentit ses mains se poser sur lui et l’envelopper dans ce doux contact, leurs lèvres avides de découverte. Il se laissa de nouveau glisser dans l’instant.
Lorsque après un certain temps, ou plutôt un temps incertain, ils finirent par laisser le monde les rattraper, que leurs lèvres se séparèrent mais que leurs visages restèrent à portée de souffle, Paolo glissa d’une voix douce :
- Je crois que j’ai perdu le compte… en fait je n’ai pas commencé.
Il avait le regard pétillant de malice. Carrie était femme et souvent très (trop) sérieuse, aussi faudrait-il sûrement retourner à un comportement plus adulte. Mais cela viendra bien assez tôt et pour l’heure, l’atmosphère si légère qui régnait n’était pas dénuée de charme, bien au contraire. Devaient-ils penser à retourner à leurs activités ? Après tout, le destin avait tourné en leur faveur et leur octroyait ce moment paisible, pourquoi chercher à y mettre fin ? Y avait-il une entreprise quelconque qui puisse nécessiter qu’ils retournent immédiatement au travail ? Avec le peu de force qu’il put consacrer à chercher une raison de ne pas rester ici et maintenant avec Carrie, il ne trouva rien qui put l’éloigner d’elle.
Levant la main droite et caressant le visage de sa collègue du bout de ses doigts alors qu’il posait délicatement son front contre le sien, il ajouta de sa voix chaude :
- J’aimerais que cet instant n’en finisse jamais… ou alors seulement pour un instant encore plus formidable avec vous… comme une danse.
Il n’y a jamais de musique quand on en a besoin…
C’était tout simplement délicieux.
Goûter à un moment de simple bonheur au milieu du tumulte du monde, que demander de plus si ce n’est que cet instant n’en finisse jamais. Il ne répondit pas, se contentant de sourire alors qu’il connaissait pertinemment la réponse.
Elle finit par perdre patience, mais comment lui en vouloir. Et s’en suivit un tendre baiser, il sentit ses mains se poser sur lui et l’envelopper dans ce doux contact, leurs lèvres avides de découverte. Il se laissa de nouveau glisser dans l’instant.
Lorsque après un certain temps, ou plutôt un temps incertain, ils finirent par laisser le monde les rattraper, que leurs lèvres se séparèrent mais que leurs visages restèrent à portée de souffle, Paolo glissa d’une voix douce :
- Je crois que j’ai perdu le compte… en fait je n’ai pas commencé.
Il avait le regard pétillant de malice. Carrie était femme et souvent très (trop) sérieuse, aussi faudrait-il sûrement retourner à un comportement plus adulte. Mais cela viendra bien assez tôt et pour l’heure, l’atmosphère si légère qui régnait n’était pas dénuée de charme, bien au contraire. Devaient-ils penser à retourner à leurs activités ? Après tout, le destin avait tourné en leur faveur et leur octroyait ce moment paisible, pourquoi chercher à y mettre fin ? Y avait-il une entreprise quelconque qui puisse nécessiter qu’ils retournent immédiatement au travail ? Avec le peu de force qu’il put consacrer à chercher une raison de ne pas rester ici et maintenant avec Carrie, il ne trouva rien qui put l’éloigner d’elle.
Levant la main droite et caressant le visage de sa collègue du bout de ses doigts alors qu’il posait délicatement son front contre le sien, il ajouta de sa voix chaude :
- J’aimerais que cet instant n’en finisse jamais… ou alors seulement pour un instant encore plus formidable avec vous… comme une danse.
Il n’y a jamais de musique quand on en a besoin…
- Carrie MarcinProfesseur [JustiX]
- Age : 44
Equipe : JustiX
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Date d'inscription : 01/05/2007
Re: Vive le printemps !
Mer 24 Juin 2009 - 20:37
Voler. Être libre d'aller où on veut, quand on veut en pleine et totale liberté. Sentir le vent sur ses joues et ses cheveux, fermer les yeux et plonger dans les nuages. Remuer les orteils et s'étirer de tout son corps en ne sentant rien du tout autour de soi, en sentant le poids d'une vie s'évader. En volant dans le ciel, tout semble plus léger et nos ennuis s'effacent comme s'ils n'avaient jamais existés. Un sentiment indescriptible s'empare alors de nous et ne nous lâche que lorsque finalement, nos pieds retouchent le sols et la lourdeur du monde retombe sur nos épaules. Ce sentiment, Carrie ne l'avait sentit que lorsqu'elle volait...
Et lorsqu'elle était dans ses bras.
Leur lèvres se séparèrent et Carrie garda les yeux fermés encore quelques secondes, comme l'avait fait Paolo leur de leur premier baiser. Au moment où elle les ouvrit, elle le vit la regarder et dire qu'il n'avait pas compté cette fois non plus. La professeure referma les yeux et sourit. Elle sentit une main chaude d'homme caresser sa joue brulante et lorsqu'il posa son front contre le sien, elle soupira longuement. D'une voix embrouillée, elle répondit à Paolo, dans un murmure:
"Malheureusement, nous n'avons ni le pouvoir d'arrêter le temps, ni celui de faire jouer de la musique. À moins que vous me cachiez quelque chose..."
Elle sourit et inspira profondément. Maintenant qu'elle y pensait, il y avait beaucoup de choses qu'elle ne connaissait pas sur Paolo. À dire vrai, ils ne connaissaient que très peu. Elle eut un peu peur de cette ignorance vis à vis celui pour qui elle ressentait de très forts sentiments. Certes, elle le connaissait de caractère et ils avaient discuté un peu de son travail, de sa passion pour la géologie. Mais...Carrie se surprit à vouloir en savoir plus sur lui, sur ce qu'il aimait, sur son passé, sur ses amis, sur sa famille, etc. Mais le problème était et avait toujours été, qu'elle ne voulait pas parler d'elle. Et si elle demandait quelques renseignements personnels, de cette façon, il était fort probable qu'il lui en demande aussi. Elle garda donc le silence. Ils auraient le temps de discuter...D'apprendre à se connaitre...Après tout, ils avaient une longueur d'avance - et une malédiction - sur la plupart des jeunes couples: Ils habitaient déjà ensemble. Elle tenta alors une approche tranquille, se moquant gentiment:
"Vous me parlez souvent de danse. Est-ce vos origines qui font que vous êtes avide de danse? Votre famille?"
Et lorsqu'elle était dans ses bras.
Leur lèvres se séparèrent et Carrie garda les yeux fermés encore quelques secondes, comme l'avait fait Paolo leur de leur premier baiser. Au moment où elle les ouvrit, elle le vit la regarder et dire qu'il n'avait pas compté cette fois non plus. La professeure referma les yeux et sourit. Elle sentit une main chaude d'homme caresser sa joue brulante et lorsqu'il posa son front contre le sien, elle soupira longuement. D'une voix embrouillée, elle répondit à Paolo, dans un murmure:
"Malheureusement, nous n'avons ni le pouvoir d'arrêter le temps, ni celui de faire jouer de la musique. À moins que vous me cachiez quelque chose..."
Elle sourit et inspira profondément. Maintenant qu'elle y pensait, il y avait beaucoup de choses qu'elle ne connaissait pas sur Paolo. À dire vrai, ils ne connaissaient que très peu. Elle eut un peu peur de cette ignorance vis à vis celui pour qui elle ressentait de très forts sentiments. Certes, elle le connaissait de caractère et ils avaient discuté un peu de son travail, de sa passion pour la géologie. Mais...Carrie se surprit à vouloir en savoir plus sur lui, sur ce qu'il aimait, sur son passé, sur ses amis, sur sa famille, etc. Mais le problème était et avait toujours été, qu'elle ne voulait pas parler d'elle. Et si elle demandait quelques renseignements personnels, de cette façon, il était fort probable qu'il lui en demande aussi. Elle garda donc le silence. Ils auraient le temps de discuter...D'apprendre à se connaitre...Après tout, ils avaient une longueur d'avance - et une malédiction - sur la plupart des jeunes couples: Ils habitaient déjà ensemble. Elle tenta alors une approche tranquille, se moquant gentiment:
"Vous me parlez souvent de danse. Est-ce vos origines qui font que vous êtes avide de danse? Votre famille?"
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