Shuei Ikari

Dim 11 Oct 2009 - 4:25

Nom : Ikari

Prénom : Shuei

Nom de code :

Sexe : Féminin

Date de naissance : 2 septembre 2089 (19 ans)

Lieu de naissance : Tokyo, Japon

Pouvoir : Cyberpathie. Elle est capable de se « lier » avec tout appareils électroniques, en fait, elle « ressent » les machines et « prend contact » avec ces dernières, lui permettant de faire des choses qu’elle ne devrait pas être capable de faire normalement. Avec un véritable entraînement poussé elle serait même capable de faire des choses que personne ne pourrait faire avec ces appareils, mais cela reste à prouver.
Habituellement, il faut un contact physique et la volonté de faire fonctionner l’appareil pour pouvoir le contrôler, mais, récemment, par chance ou autre, un regard peut parfois suffire à prendre contrôle d’un appareil, bien que cela reste très rare et beaucoup moins efficace.

Note : 23%

Barème de pouvoir :11 pts
Cyberpathie

Contrôle :

3 = contrôlé. Inhibé par émotions négatives

Media de communication :

3 = contact simple et direct avec l'appareil

Type de cible :

3 = Système électronique (chaîne hifi, etc.)

Actions envisageables :

0 = Actions utilisateur courantes
3 = Prise de contrôle logicielle de l'appareil

Capacités cérébrales :

Historique :

Shuei Ikari est née à Tokyo, dans le centre, elle vivait, et vis toujours, dans un quartier calme, pas très éloigné de la cohue de la ville, mais suffisamment proche pour qu’elle puisse y aller à n’importe quel moment, ou presque, après tout, elle reste qu’une jeune femme, pas sur que sa famille accepte qu’elle puisse sortir à n’importe quel moment de la journée, ou quelque chose du même genre.
Ses parents, ces derniers se sont toujours très bien occupée d’elle, malgré sa faiblesse physique de naissance. Sa mère, Shizu Ikari, était une mère au foyer, une de plus au milieu du quartier où ils vivaient tous. C’est elle qui s’est occupée de Shu durant son enfance, son père, Honoo Ikari, étant trop occupé avec sa carrière et l’idée fixe de ramener de l’argent à la maison, encore et toujours plus. Une véritable obsession qui lui ferra manquer les moments importants de sa fille, la première fois où elle a marchée, la première fois où elle est aller aux toilettes seule, ses premiers mots… Pendant cinq ans, tout ce que Shuei savait de son père, c’était qu’il vivait.
Il fallut une « discussion » entre Honoo et Shizu pour lui faire comprendre qu’il devait choisir : sa famille ou son travail.
Il choisit sa famille.

Dès lors, la vie de Shuei changea, pas beaucoup, mais elle découvrit que l’amour de deux parents étaient mieux que l’amour d’un seul parent. Et, même si son père à manqué les moments les plus importants de la vie de sa fille, il fit de son mieux pour se rattraper par la suite, allant même jusqu’à presque la rendre pourrie-gâtée… Mais heureusement que sa femme veillait.

D’ailleurs, heureusement que ses parents ont finit par arriver à s’entendre, car Shizu aurait finit par craquer à s’occuper seule de sa fille, enfin, pas réellement seule, les mères au foyer du quartier se réunissaient deux fois par semaine afin de s’entre-aider les unes des autres.
La raison pour laquelle c’était si difficile de s’occuper de Shuei était du au fait qu’elle était née avec un système immunitaire déficient, son corps ne produisait pas assez de globules blanc afin de la protéger efficacement des maladies, ce qui se traduisait par elle tombant très souvent malade. En fait, c’était simple, pour peu qu’un virus traînait, il y avait plus de quatre-vingt dix pour cent de chance pour qu’elle l’attrape, à chaque fois.
Il fallait donc que sa mère s’occupe tout le temps d’elle, faisant attention à son état de santé, déboursant parfois des fortunes en médicaments et moyen de prévention.

Malheureusement, même en grandissant, ses problèmes de santé ne diminuèrent pas pour autant, ils ne s’accentuèrent pas non plus, mais ils restaient suffisamment handicapant pour la rendre socialement récluse.
La raison en est simple, son état de santé fragile obligeait sa famille à faire de la prévention dans les infirmeries de son école, et les profs faisaient de leur mieux pour s’assurer qu’elle allait toujours bien, devenant de ce fait la « chouchou » des prof, comme ils disaient…
Cela aurait pu créer une enfance difficile et solitaire si deux personnes n’étaient pas entrées dans sa vie dès la petite école : Kimiko Sanada et Shinra Takeru.
Pour une raison ou une autre, ces deux enfants se sont tout de suite très bien entendus avec Shuei, l’aidant, la protégeant, s’amusant avec elle, riant, jouant, pleurant.
Ils furent, et sont toujours, ses deux meilleurs amis. Shinra le nerveux du groupe, fonçant tête baisser pour aider ses amis, Kimiko la sanguine, s’occupant des autres en leur criant dessus, et enfin, elle, Shuei, la voix de la raison, toujours calme malgré le fait qu’elle était la cible de nombreuses railleries.
Ils ne font pas un groupe parfait, mais ils s’en moquent complètement.

Ils se sont rencontré un peu par accident, Shinra et Kimiko se connaissaient déjà, étant voisin l’un de l’autre. C’était pendant l’une des récrées de la petite école, certains enfants avaient décider de faire de Shuei leur souffre douleur quand Shinra leur est tomber dessus, presque littéralement. Quand il a vu ce qu’il faisait, du haut de sa petite taille, il leur a crier d’arrêter. Tout ce bruit à finit par attirer l’attention d’un enseignant et de Kimiko.
Après une belle remontée de bretelles de la part de l’enseignant, et une de la part de Kimiko, ces deux là ont finit par rester avec Shuei, l’invitant à jouer avec eux et, depuis ce jour, ils sont toujours rester ensemble.

Avec le temps, ces trois amis ont finit par un peu se perdre de vue, surtout Kimiko et Shuei, la faute à leurs études, Shinra ayant arrêter les cours et hésitant désormais entre entrer dans la police ou bien intégrer l’armée, deux choix difficile qui le couperont de ses amies, pour sur.
Mais en attendant, il travaille en tant que videur d’une boîte de nuit, boîte qui lui accorde de faire entrer Shuei et Kimiko si ces derniers le veulent, ou peuvent, y aller.
Cette décision d’entrer dans la police n’est pas une chose nouvelle, déjà dans le temps il se considérait comme étant celui qui applique la justice, surtout quand on venait ennuyer Kimiko et Shuei.
Toutefois, si Shinra et Kimiko arrivaient à s’entendre avec les autres, cela était plus dur pour Shuei, elle ne faisait pas, et ne fait toujours pas confiance facilement aux autres, en tout cas, pas sans avoir un premier bon contact. Ce qui fait qu’elle est socialement, et sentimentalement, très souvent seule, même si elle aimerait bien pouvoir se lier avec des groupes, s’amuser, et pas seulement avec Shinra et Kimiko.

Cependant, le futur n’alla pas arranger cela.

Cela se passa lors de ses quinze ans, à moins que cela ne soit seize ans ? Peu importe. Des choses étranges commençaient à se passer autour d’elle, chaque fois qu’elle touchait un appareil électronique, un ordinateur, une télévision, un téléphone, quel que soit l’appareils en fait, soit il s’éteignait automatiquement, soit il fonctionnait trois fois plus. Au début, elle n’en pensait vraiment rien, des problèmes avec les appareils, tout le monde en avait, mais, avec le temps, ces problèmes on vraiment finis par revenir de plus en plus, devenant de plus en plus handicapant.
Après quelques temps, elle décida de tester une théorie sur ces événements, portable en main, elle tenta de le faire fonctionner sans rien faire d’autre que le tenir, sans activer ses systèmes. Après quelques minutes le portable s’est mit à fonctionner tout seul, elle avait réussit à le faire fonctionner.
Ce fut la première fois qu’elle activait volontairement son « don », mais ce ne fut pas la première foi qu’il s’était activé. En fait, la première fois ce fut avec son portable aussi, elle venait de le changer pour un modèle plus récent mais très compliqué à faire fonctionner et là, impossible de le faire fonctionner, de rejoindre son répertoire, bref, rien de rien, et ça l’énervait; après quelques secondes, le portable toujours en main, elle s’est mise à lui crier dessus de colère et, hop, il a fonctionner comme il fallait, trouvant ce qu’elle cherchait, sans effort.
En touchant une machine, Shuei pouvait la « sentir », la comprendre, même si elle ne comprenait pas vraiment en quoi.

Avec le temps, après son premier « succès » en fait, elle a commencer à s’entraîner à maîtriser son don aussi souvent qu’elle le pouvait, principalement avec son téléphone portable, mais aussi avec des ordinateurs, publiques de préférence, des micro-ondes, et autres du même genre mais jamais sur des appareils dangereux ou nécessaire à la vie courante, comme les tram, les bornes de retrait d’argent, etc. Toujours des appareils minimes et c’était mieux comme ça, il lui fallut quand même entre quatre et cinq ans pour pouvoir enfin contrôler son pouvoir un tant soit peu, principalement au toucher mais, parfois, avec de la chance et beaucoup de colère, elle peut le faire aussi d’un regard.

Avec la « maîtrise » de son don est venue de nombreuses questions : d’où venez son pouvoir ? Pourquoi était-il apparu aussi tard ? Est il héréditaire ? Est-ce que sa famille est elle aussi en possession d’un pouvoir ? Mais surtout, qu’est-ce que cela faisait il d’elle ? Un monstre ? Une alien ? Une démone ? Une ange ? Autre chose ?
Elle n’en savait rien et cela la faisait paniquer plus qu’autre chose, elle ne voulais pas en parler à ses parents par peur de leur réaction, donc, à part par des recherches faites en solo, elle n’avançait pas beaucoup.
Jusqu’à ce que Kimiko le découvre.

Ce fut un peu un accident. Elle avait pris l’habitude de se servir de son don pour accélérer les recherches qu’elle faisait sur un ordinateur si bien qu’une fois elle fit l’erreur de faire la même chose, mais avec Kimiko juste à ses cotés, sur le même ordinateur.
Après une longue, une très longue discussion, Shuei finit par expliquer exactement ce qu’elle faisait et, après avoir appeler Shinra pour pouvoir lui dire à lui aussi, parce que cela dépassait un peu trop Kimiko pour elle toute seule, tout les trois ont finit par en parler, à poser des questions.
La conversation n’était pas particulièrement silencieuse, c’était un gros secret mis à jour, cacher pendant des années, et c’était dur à avaler. Heureusement, ses deux amis ont rapidement accepter cette partie là de « elle » même si pendant un temps ils adoptèrent une attitude « prudente » vis-à-vis d’elle, évitant de lui prêter leur téléphone, ou tout autre appareils électronique.
Mais, heureusement pour Shuei, ils finirent pas se rendre compte que Shuei était toujours la même, juste avec un « truc » en plus.

Armée de ses amies, Shuei pu se replonger de nouveau dans des recherches et, au bout de quelques semaines, ils découvrirent un début d’indice. Les mutants.
C’était tout récent, quelque chose de nouveau, et cela permettait d’expliquer le don de Shuei. Elle était une mutante… C’était ce qu’elle était, c’était surréaliste.
Cette fois ci, ce fut un peu plus dur à avaler pour ses amis, qui refusèrent de lui parler pendant plusieurs semaines… Avant de se rendre compte de la stupidité de cela. « Shuei reste Shuei » comme le dis si bien Shinra.
Grâce au consentement de ses amis, cela put donner plus de courage à Shuei qui commença à enfin accepter ce don complètement, si d’autres étaient comme elle, alors elle pouvait espérer les rencontrer, comprendre son don, le maîtriser même. Toutefois, cela lui fit aussi se poser plus de questions. Comment rejoindre l’Institut ? L’accepterait elle ? Mais surtout voulait elle réellement abandonner sa vie ? Ses études de musique, ses amis pour rejoindre une communauté dont elle ne connaissait rien ?
Cette décision est encore à prendre

Caractère :
Shuei pourrait être décrite avec seulement deux mots : calme et réservée.
Certains pourraient croire qu’à cause de son enfance elle serait recluse et gothique, et ils devraient avoir raison si ce n’était grâce à Shinra et Kimiko qui ont passer des années à la sortir de sa coquille, mais sans jamais qu’elle sorte entièrement.
C’est pour cela qu’en publique, ou avec des gens qu’elle connais mal, elle sera réservée, très polie, calme, discrète, tellement que vous finiriez par l’oublier si jamais vous ne faites pas attention.
Cependant ce calme cache aussi une certaine froideur face aux étrangers. Elle ne traiteras personne avec dédain, pas intentionnellement en tout cas, mais elle ferra en sorte que les autres comprennent rapidement le point de vue qu’elle a sur eux, quitte à se les mettre à dos.

Toutefois, si en public, ou avec des gens qu’elle connais mal elle est comme ça,c’est une autre histoire avec ses amies.
A ce moment là elle sorte la « véritable Shuei », une jeune femme comme les autres qui aime rire, s’amuser, échanger des potins, sortir faire des magasins, bref qui aime la vie et qui aime vivre.
Néanmoins, le fait qu’elle soit plus souvent seule ou avec des inconnus fait qu’elle à moins l’occasion de se montrer telle qu’elle le voudrait. Certes, elle pourrait se faire de nouveaux amis, mais elle ne pense pas en être capable, pas facilement, surtout avec son don.

En bref, Shuei est une jeune femme calme et réservée mais qui sait s’amuser quand il le faut, une jeune femme amicale avec ses amie, un peu froide avec les gens qu’elle ne connais pas et limite violente avec ceux qu’elle ne peut pas supporter. En plus de cela elle possède aussi un terrible esprit pragmatique qui la laisse penser que chaque chose à une explication, même son don devait avoir une explication, peut être farfelue, mais une explication quand même.

Description physique :
Shuei fait un mètre soixante-huit pour un poids approximatif de soixante kilos, avec plus ou moins deux kilos selon les périodes. Elle ne se considère pas comme étant une « bombe sexuelle », sa poitrine n’étant pas énorme et hormis en été où elle sort ses jupes et décolletés, elle reste plutôt bien couverte, ne montrant que peu de peau au monde, sa peau étant pale, par manque de soleil.
Ses cheveux sont habituellement de couleur brun mais il lui arrive souvent de les teindre en des couleurs extravagante quand l’envie lui prend, rouge fluo, blonde platine, etc., et ce juste parce que ça l’amuse, rien d’autre. Ces derniers lui arrivent au niveau des épaules et sont la fierté de Shuei, c’est la partie de son corps qu’elle aime le plus et dont elle s’occupe le plus poussant cela à posséder plusieurs types de shampooings pour s’en occuper.
Ses yeux sont noir de jais et laisse souvent montrer ses véritables sentiments. Si on dis que les yeux sont le reflet de l’âme cela est particulièrement vrai avec Shuei.

Condition physique : elle a une condition physique inférieure à la moyenne, et pratique une activité physique faible.

Sports pratiqués : elle ne pratique aucun sport.

Savoirs particuliers :
Elle a des connaissances en premiers soins à force d’aider Kimiko à soigner Shinra, mais vraiment de petites connaissances, savoir quels désinfectant utiliser et bien savoir faire une bande, c’est tout.
Hormis cela elle possède des connaissances en informatique, pas réellement par choix mais par nécessité pour tenter de comprendre son don et ce dont elle peut faire avec elle, cependant, cette matière est terriblement compliquée pour elle et elle n’est pas vraiment douée sur un ordinateur sans son don.
Ses véritables connaissances viennent de la musique, à peu près tout les types de musique son don l'aidant grandement à composer et jouer de la musique.
Enfin, elle arrive à se débrouiller en cuisine, elle est capable de faire des trucs qui ressemblent à de la nourriture bien que le goût ne risque pas d’être toujours fameux.

Langues parlées : parle Anglais ainsi que Japonais.

Autres : elle a toujours sur elle un téléphone portable dernier cri qu’elle utilise assez souvent pour s’entraîner avec son don.