- Clark WalkerProfesseur [OnyX]
- Age : 44
Nom de code : Atropos
Date d'inscription : 01/11/2010
Clark Walker
Lun 1 Nov 2010 - 15:08
Nom : Walker
Prénom : Clark
Nom de code : Atropos
Sexe : Masculin
Date de naissance : 13 Septembre 2078 (30 ans)
Lieu de naissance : Trenton, New Jersey
Pouvoir : Manipulation cellulaire.
Note :80%
Barème de pouvoir :
Manipulation cellulaire
Historique :
Clark est né dans une banlieue calme de Trenton, au sein d’une famille de la classe moyenne habitant dans une vieille maison deux façades. Son père, Jay Walker, était un employé communal en charge du service démographique de la ville, et il était homme à faire correctement son travail. Il savait aussi différencier vie privée et boulot, totalement même, si bien qu’il parlait assez peu de son job une fois revenu à la maison. Il était marié à Mary Pendington, une femme plutôt effacée et discrète, bien qu’infiniment gentille et dévouée à son époux. Elle était institutrice à l’école publique du quartier où ils habitaient. Lorsque Clark fut né, ils avaient déjà essayé d’avoir plusieurs fois des enfants, en vain, et avaient dû faire appel à une mère porteuse dont Clark était destiné à ne jamais connaître l’identité. Dès lors, il fut aimé et protégé par ses parents, qui le considérèrent comme leur petit trésor à eux, leur fils unique, leur fierté.
Et c’est ainsi qu’il se développa, au sein d’un foyer aimant et protecteur. Il avait une relation forte avec son père, qui s’occupait surtout du côté affectif de son fiston, alors que Mary se chargeait en priorité de son éducation. Elle était celle qui grondait, et lui celui qui consolait. Elle punissait, il écoutait les confidences… Elle ne devait pas trop sévir pour autant : Clark n’était pas un enfant difficile. Il faisait parfois des bêtises, et jouait souvent avec ses copains du quartier un peu plus tard qu’il ne pouvait, mais restait bien élevé et poli. Un enfant comme beaucoup d’autres, en quelque sorte. Mais ce qui le différenciait des autres, c’était l’espoir que son père mettait en lui. L voulait faire de son fils quelqu’un de bien, quelqu’un d’important. Quelqu’un qui ne serait pas un simple numéro dans un service administratif.
Le type d’espoir qui ne peut que créer des tensions, habituellement. Mais là, tout s’était bien passé. Bon, l’adolescence avait vu voir l’essor de quelques comportements de rébellion contre l’espérance parentale, et Clark avait fini par sécher quelques cours pour aller s’éclater la cervelle avec des potes qui en manquaient, mais au final, ça ne l’avait pas botté tant que ça, et en quelques mois, il était revenu dans les rangées de son écoles, à se battre pour décrocher les meilleures notes et recevoir les félicitations du paternel. Et puis, l’adolescence fut aussi la période où, comme beaucoup de jeunes hommes de son âge, il commença à s’intéresser aux filles. Comme il était assez mignon, il n’eut pas trop de mal à dégotter trois ou quatre amourettes de jeunesse, qui le poursuivirent jusqu’à ses études universitaires, plus tard.
Durant toutes ces années, son pouvoir était resté relativement latent, méconnu de lui-même. Il faisait des trucs bizarres, parfois, mais mettait ça sur le compte de capacités innées. Il était doué pour jouer à l’infirmier, soigner les bobos, penser les plaies, et trouvait souvent les mots juste pour apaiser les douleurs, mais en rien il ne pensait être pourvu de capacités surhumaines relevant d’un pouvoir mutant. La question mutante était totalement méconnue, à l’époque. Les humains étaient des humains, et c’était tout. Même s’il se trouvait bizarre, donc, il ne se posa pas plus de questions, et ne chercha pas non plus à expliquer ces capacités par des pouvoirs mystiques ou divins. La religion ne l’intéressait pas plus que ça, malgré la ferveur catholique de sa mère.
Ce fut à cette époque, cependant, qu’il fit connaissance avec la spiritualité indoue. Il testa l’un ou l’autre art martial, mais c’était plus la dimension spirituelle et non religieuse qui l’intéressait dans tout ça. Le bien être entre le corps et l’esprit. Ce fut donc vers le Yoga qu’il se tourna. Ses motivations, au départ, étaient multiples pour participer à ce cours. Une connaissance à lui qui l’attirait assez fort participait aux mêmes cours, et ça l’aida forcément à se mettre dedans… Il poursuivit cependant même lorsqu’il fut seul à pratiquer, plus tard, à l’Université. Ça lui apportait un plus dans sa vie.
L’Université. Un grand tournant dans sa vie. Une page qui s’était tournée, à l’époque. Il aurait très bien pu aller à l’Université de Trenton, et aurait fait une carrière respectable, mais son paternel avait d’autres projets pour lui : L’université Columbia, à New-York. Il voulait en faire un politicien célèbre et habile. Il avait le physique facile et agréable, et pour Jay Walker, il était évident que c’était la voie que devait suivre son fils. Clark fut un peu rebuté, au départ, mais décida de faire confiance à son père, et se prêta au jeu. Il emménagea dans un petit appartement étudiant sur le campus new-yorkais et se lança dans ces études, qui finirent par le passionner. À mesure qu’il passait les années, il rentrait de plus en plus dans un vif intérêt pour la politique. Hélas, ce n’était pas ce que son père attendait : Clark n’était pas intéressé dans l’avenir d’un homme politicien. Ce qu’il voulait, lui, c’était étudier les phénomènes politiques, dépouiller les interventions publiques, prévoir les courants, établir des sondages d’opinion… Il voulait étudier la politique, devenir un expert en politique et en relations publiques sans être lui-même politicien.
Il réalisa donc son rêve, et son père en fut fier malgré tout. Il devint politologue, et étudia dans son travail les différents courants politiques mondiaux. Jusqu’à l’émergence de la question mutante. Dès lors, il comprit que ses capacités de soigneur n’étaient pas seulement dues au hasard, ou à un don naturel : il avait une mutation. C’était l’évidence même. Il le tut, d’abord, observant avec intérêt, mais distance, les réactions des gens face aux mutations prenant de l’ampleur, aux déferlements de la presse sur cette question épineuse. Et puis, les mois passant, il avoua pleinement sa mutanité, et se spécialisa dans la politique mutante dans le monde. Ou plutôt, la réaction des politiques face aux mutations, dans le monde. Il va de soi que lorsque la Nation Mutante, Génosha, fut autoproclamée, il étudia le phénomène de près. Il précisa encore sa spécialité en politologie… Et pourtant, il désirait ardemment rester totalement distant, le plus objectif possible. Il ne pouvait habiter sur l’Île qui le faisait rêver, par soucis d’éthique professionnelle.
Dès que la question mutante fut connue du grand public, et qu’il eut compris qu’il faisait partie de ceux que l’on nommait désormais des ‘mutants’, il entraîna secrètement ses capacités, essayant de comprendre toute l’étendue de son pouvoir, et les possibilités que cela engrangeait. Il se rendait dans les hôpitaux, en simple visiteur, et allait voir des patients inconscients, dans le comas ou victimes d’un accident récent. Il n’intervenait que sur les plaies secondaires, les détails qui ne frapperaient pas directement les médecins. Il effaçait certaines cicatrice, reconstruisait des tissus brulés ou manquants, ôtait l’un ou l’autre grain de beauté, ou en rajoutait par-ci par là. Il gardait cependant une éthique irréprochable : il se refusait d’intervenir trop présentement dans le cycle de la vie. Il ne voulait pas perturber l’équilibre de l’univers par des interventions trop surnaturelles. Il refusait de changer le destin des gens par son pouvoir. S’il le faisait, il n’userait que de ses actes, ses paroles, ou en cas d’extrême nécessité.
Caractère :
Clark est une personne aimable et avenante. Il est décontracté et souriant, sans pour autant être exubérant à outrance. Il est doté d’un grand self-control, qui l’aide dans les situations tendues en lui procurant une certaine décontraction, et une capacité analytique assez rapide, lui donnant souvent l’avantage de la réponse la plus opportune, même si parfois mal comprise.
Il n’aime pas le conflit, et lui préfère nettement la médiation et la diplomatie.
Il est combattif, toutefois, et assez borné sans doute. Et malgré une tendance à être à l’aise en communauté, il reste souvent sur la réserve en ce qui concerne ses affaires personnelles.
Description physique :
Clark est un homme bien fait de sa personne. Yeux marron, cheveux châtains, visage avenant et silhouette relativement musclée. En société, il aime à se vêtir de manière élégante et sobre, n’arborant aucune couleur extravagante ou dénotant d’un manque de goût. En privé, par contre, il n’a rien contre un style plus décontracté et cosy, confortable, allant même jusqu’à enfiler une tenue souple et confortable, pieds nus, lors de sa pratique du yoga, ou une tenue sportive pour son jogging.
Condition physique :Clark a une condition physique moyenne, et pratique une activité physique régulière.
Sports pratiqués :Clark pratique le jogging et le yoga à un niveau de loisir.
Savoirs particuliers :
Clark est un politologue diplomé de l'Univsersité de Columbia et spécialisé dans la politique mutante/envers les mutants.
Il a pratiqué longuement le yoga et en connait donc un rayon dessus.
Il a une certaine exprérience dans les relations publiques, la diplomatie et l'art du discours, tant en pratique qu'en observation.
Langues parlées : Anglais.
Autres : /
Prénom : Clark
Nom de code : Atropos
Sexe : Masculin
Date de naissance : 13 Septembre 2078 (30 ans)
Lieu de naissance : Trenton, New Jersey
Pouvoir : Manipulation cellulaire.
Note :80%
Barème de pouvoir :
Manipulation cellulaire
- Contrôle : 4/5
- 0 = aléatoire
1 = inhibé, activation sous l'effet d'une émotion
2 = contrôlé. Activation et inhibition inattendus sous l'effet d'émotions
3 = contrôlé. Inhibé par émotions négatives
4 = contrôlé
5 = sur soi
Cellules concernées : 9/9
- 0 = Tissus externes, peau, vaisseaux sanguins
3 = Muscles striés, cellules osseuses
6 = Organes internes
9 = Neurones, cellules à forte spécialisation
Multiplication cellulaire: 9/9
- 0 = Refermer écorchures superficielles
3 = Refermer blessures profondes ouvertes
6 = Réparations internes fermées
9 = Reconstructions complètes de membres
Altérations fonctionnelles: 15/15
- 0 = Non concerné
3 = Accélérer/Ralentir le fonctionnement normal
6 = Changer la spécialisation d'une cellule
9 = Induire un cancer
12 = Induire des fonctions inédites
15 = Reprogrammations génétiques complètes
Destructions cellulaires : 3/12
- 0 = Non concerné
3 = Arrêt total du fonctionnement cellulaire
6 = Nécrose globale d'une portion du corps
9 = Apoptose globale
12 = Apoptose très ciblée, scalpel de pouvoir
Historique :
Clark est né dans une banlieue calme de Trenton, au sein d’une famille de la classe moyenne habitant dans une vieille maison deux façades. Son père, Jay Walker, était un employé communal en charge du service démographique de la ville, et il était homme à faire correctement son travail. Il savait aussi différencier vie privée et boulot, totalement même, si bien qu’il parlait assez peu de son job une fois revenu à la maison. Il était marié à Mary Pendington, une femme plutôt effacée et discrète, bien qu’infiniment gentille et dévouée à son époux. Elle était institutrice à l’école publique du quartier où ils habitaient. Lorsque Clark fut né, ils avaient déjà essayé d’avoir plusieurs fois des enfants, en vain, et avaient dû faire appel à une mère porteuse dont Clark était destiné à ne jamais connaître l’identité. Dès lors, il fut aimé et protégé par ses parents, qui le considérèrent comme leur petit trésor à eux, leur fils unique, leur fierté.
Et c’est ainsi qu’il se développa, au sein d’un foyer aimant et protecteur. Il avait une relation forte avec son père, qui s’occupait surtout du côté affectif de son fiston, alors que Mary se chargeait en priorité de son éducation. Elle était celle qui grondait, et lui celui qui consolait. Elle punissait, il écoutait les confidences… Elle ne devait pas trop sévir pour autant : Clark n’était pas un enfant difficile. Il faisait parfois des bêtises, et jouait souvent avec ses copains du quartier un peu plus tard qu’il ne pouvait, mais restait bien élevé et poli. Un enfant comme beaucoup d’autres, en quelque sorte. Mais ce qui le différenciait des autres, c’était l’espoir que son père mettait en lui. L voulait faire de son fils quelqu’un de bien, quelqu’un d’important. Quelqu’un qui ne serait pas un simple numéro dans un service administratif.
Le type d’espoir qui ne peut que créer des tensions, habituellement. Mais là, tout s’était bien passé. Bon, l’adolescence avait vu voir l’essor de quelques comportements de rébellion contre l’espérance parentale, et Clark avait fini par sécher quelques cours pour aller s’éclater la cervelle avec des potes qui en manquaient, mais au final, ça ne l’avait pas botté tant que ça, et en quelques mois, il était revenu dans les rangées de son écoles, à se battre pour décrocher les meilleures notes et recevoir les félicitations du paternel. Et puis, l’adolescence fut aussi la période où, comme beaucoup de jeunes hommes de son âge, il commença à s’intéresser aux filles. Comme il était assez mignon, il n’eut pas trop de mal à dégotter trois ou quatre amourettes de jeunesse, qui le poursuivirent jusqu’à ses études universitaires, plus tard.
Durant toutes ces années, son pouvoir était resté relativement latent, méconnu de lui-même. Il faisait des trucs bizarres, parfois, mais mettait ça sur le compte de capacités innées. Il était doué pour jouer à l’infirmier, soigner les bobos, penser les plaies, et trouvait souvent les mots juste pour apaiser les douleurs, mais en rien il ne pensait être pourvu de capacités surhumaines relevant d’un pouvoir mutant. La question mutante était totalement méconnue, à l’époque. Les humains étaient des humains, et c’était tout. Même s’il se trouvait bizarre, donc, il ne se posa pas plus de questions, et ne chercha pas non plus à expliquer ces capacités par des pouvoirs mystiques ou divins. La religion ne l’intéressait pas plus que ça, malgré la ferveur catholique de sa mère.
Ce fut à cette époque, cependant, qu’il fit connaissance avec la spiritualité indoue. Il testa l’un ou l’autre art martial, mais c’était plus la dimension spirituelle et non religieuse qui l’intéressait dans tout ça. Le bien être entre le corps et l’esprit. Ce fut donc vers le Yoga qu’il se tourna. Ses motivations, au départ, étaient multiples pour participer à ce cours. Une connaissance à lui qui l’attirait assez fort participait aux mêmes cours, et ça l’aida forcément à se mettre dedans… Il poursuivit cependant même lorsqu’il fut seul à pratiquer, plus tard, à l’Université. Ça lui apportait un plus dans sa vie.
L’Université. Un grand tournant dans sa vie. Une page qui s’était tournée, à l’époque. Il aurait très bien pu aller à l’Université de Trenton, et aurait fait une carrière respectable, mais son paternel avait d’autres projets pour lui : L’université Columbia, à New-York. Il voulait en faire un politicien célèbre et habile. Il avait le physique facile et agréable, et pour Jay Walker, il était évident que c’était la voie que devait suivre son fils. Clark fut un peu rebuté, au départ, mais décida de faire confiance à son père, et se prêta au jeu. Il emménagea dans un petit appartement étudiant sur le campus new-yorkais et se lança dans ces études, qui finirent par le passionner. À mesure qu’il passait les années, il rentrait de plus en plus dans un vif intérêt pour la politique. Hélas, ce n’était pas ce que son père attendait : Clark n’était pas intéressé dans l’avenir d’un homme politicien. Ce qu’il voulait, lui, c’était étudier les phénomènes politiques, dépouiller les interventions publiques, prévoir les courants, établir des sondages d’opinion… Il voulait étudier la politique, devenir un expert en politique et en relations publiques sans être lui-même politicien.
Il réalisa donc son rêve, et son père en fut fier malgré tout. Il devint politologue, et étudia dans son travail les différents courants politiques mondiaux. Jusqu’à l’émergence de la question mutante. Dès lors, il comprit que ses capacités de soigneur n’étaient pas seulement dues au hasard, ou à un don naturel : il avait une mutation. C’était l’évidence même. Il le tut, d’abord, observant avec intérêt, mais distance, les réactions des gens face aux mutations prenant de l’ampleur, aux déferlements de la presse sur cette question épineuse. Et puis, les mois passant, il avoua pleinement sa mutanité, et se spécialisa dans la politique mutante dans le monde. Ou plutôt, la réaction des politiques face aux mutations, dans le monde. Il va de soi que lorsque la Nation Mutante, Génosha, fut autoproclamée, il étudia le phénomène de près. Il précisa encore sa spécialité en politologie… Et pourtant, il désirait ardemment rester totalement distant, le plus objectif possible. Il ne pouvait habiter sur l’Île qui le faisait rêver, par soucis d’éthique professionnelle.
Dès que la question mutante fut connue du grand public, et qu’il eut compris qu’il faisait partie de ceux que l’on nommait désormais des ‘mutants’, il entraîna secrètement ses capacités, essayant de comprendre toute l’étendue de son pouvoir, et les possibilités que cela engrangeait. Il se rendait dans les hôpitaux, en simple visiteur, et allait voir des patients inconscients, dans le comas ou victimes d’un accident récent. Il n’intervenait que sur les plaies secondaires, les détails qui ne frapperaient pas directement les médecins. Il effaçait certaines cicatrice, reconstruisait des tissus brulés ou manquants, ôtait l’un ou l’autre grain de beauté, ou en rajoutait par-ci par là. Il gardait cependant une éthique irréprochable : il se refusait d’intervenir trop présentement dans le cycle de la vie. Il ne voulait pas perturber l’équilibre de l’univers par des interventions trop surnaturelles. Il refusait de changer le destin des gens par son pouvoir. S’il le faisait, il n’userait que de ses actes, ses paroles, ou en cas d’extrême nécessité.
Caractère :
Clark est une personne aimable et avenante. Il est décontracté et souriant, sans pour autant être exubérant à outrance. Il est doté d’un grand self-control, qui l’aide dans les situations tendues en lui procurant une certaine décontraction, et une capacité analytique assez rapide, lui donnant souvent l’avantage de la réponse la plus opportune, même si parfois mal comprise.
Il n’aime pas le conflit, et lui préfère nettement la médiation et la diplomatie.
Il est combattif, toutefois, et assez borné sans doute. Et malgré une tendance à être à l’aise en communauté, il reste souvent sur la réserve en ce qui concerne ses affaires personnelles.
Description physique :
Clark est un homme bien fait de sa personne. Yeux marron, cheveux châtains, visage avenant et silhouette relativement musclée. En société, il aime à se vêtir de manière élégante et sobre, n’arborant aucune couleur extravagante ou dénotant d’un manque de goût. En privé, par contre, il n’a rien contre un style plus décontracté et cosy, confortable, allant même jusqu’à enfiler une tenue souple et confortable, pieds nus, lors de sa pratique du yoga, ou une tenue sportive pour son jogging.
Condition physique :Clark a une condition physique moyenne, et pratique une activité physique régulière.
Sports pratiqués :Clark pratique le jogging et le yoga à un niveau de loisir.
Savoirs particuliers :
Clark est un politologue diplomé de l'Univsersité de Columbia et spécialisé dans la politique mutante/envers les mutants.
Il a pratiqué longuement le yoga et en connait donc un rayon dessus.
Il a une certaine exprérience dans les relations publiques, la diplomatie et l'art du discours, tant en pratique qu'en observation.
Langues parlées : Anglais.
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