Queens

Après plusieurs heures a marcher seul dans les rues, Mark s'arrête, il ne sait plus vraiment où il est. Il a les yeux irrité tellement il a pleuré. Maintenant il a les idées un peu plus clair, il comprend qu'il va devoir être fort si il veut pouvoir vivre dans la jungle des rues du Queens.
Il a faim, il part alors à la recherche d'un endroit ou acheter de quoi manger.
Très vite il aperçoit une épicerie, il se dirige donc vers le magasin

Il parcours les rayons, et prends du pain et des conserves un peu au hasard, il sait bien qu'il ne pourrait pas conserver bien longtemps des aliments frais.

Lorsqu'il arrive à la caisse, il pose tous ses achats devant la vendeuse et lui tends la somme exacte en billets de 1$ et dit:

"Bonjour, c'est bien le bon total?"

[HJ : Je suis Olivier et serai tout courtier]

La caissière, aussi aimable qu'une porte de prison, passa les article à la douchette puis arracha le billet de la main de Mark sans aucun merci.

"Vous avez la carte de fidélité?" dit-elle d'une vois trainante.

Mark sursauta puis répondit presque gêné de ne pas avoir cette carte :
"Euh... Non, je ne sui pas d'ici, je n'ai pas de carte de fidélité"

Après ça il mit tous ses articles dans son sac d'école, puis le remit sur son dos et attendit la réponse de la vendeuse

La caissière s'énerva soudain

"Mais qu'est ce que tu as à me regarder, tu as eu tout ce que tu voulais, tu as payé alors maintenant, laisse moi travailler en paix."

Doucement, Moïse, le mec sui faisait la sécurité, savança. Il parla d'une fois douce qui contrastait avec son corps massif qui impressionnerait n'importe qui.

"Un problème, Mélanie?"

Mark voyant le colosse s'avancer prit peur et parti en courant, son sac lui lacérait les épaule, en achetant toute cette nourriture il n'avait pensé qu'il devrait la transporter.
Il continua à courir jusqu'à qu'il soit hors de vue du magasin et du colosse. Après quoi il s'assit sur un banc afin de réfléchir à un moyen de transporter ses victuaille nouvellement acquises sans se détruire le dos.
A ce moment là, un cycliste passa devant lui et il lui vint alors une idée:
Il allait se construire une mini charette afin de transporter ses affaire sans se fatiguer.
Il savait que grâce à son pouvoir il pourrait construire lui même un charette avec de la matière première appropriée .
Mark partit donc en quête de restes de vélos ou d'autre engins sur roues dans les poubelles des immeubles alentour. Il fouillait l'une après l'autre chaque tas d'ordure qu'il croisait pour trouver ce vélo cassé qui serait la base de sa nouvelle création.

[hj] Désolé pour avoir controlé le cycliste, mais je vois ça plus comme une description du paysage, qu'un véritable acteur[/hj]

Après une recherche rapide, Mark trouva dans une benne, non pas un vélo mais une vieille voiture à pédale que les enfants utilise pour devaler les pentes. Celle là avit beaucoup souffert, les essieux était cassé et on pouvait se demander comment les roue tenait encore. La seule chose qui s'emblait encore marché plus ou moins, et encore uniquement dans un sens, était la direction.

[HJ : désolé, je t'ai pas trouvé de photo mais tu en auras une un peu plus tard, ça ne t'empeche pas de continuer]

Mark décida de se contenter de cette voiture à pédales, il avait mal au dos et plus vite il pourrait s'affranchir de son sac mieux ce serait.
Il tira tant bien que mal la voiture à pédale à quelque mettre de la benne, afin que l'odeur soit supportable et il se posa pour commencer les réparations.
La voiture était trop petite, même s'il n'était pas très musclé Mark était tout de même plus large que les enfants pour lesquels étaient conçu ce type de voiture.
Il n'avait pas besoin des essieux, mais le fait de trouver un systeme de direction a peu près en état de fonctionné le convaint de la garder.
Il allait transformer cette voiturette en une sorte de tricycle avec un bac entre le siege et les roues arrières dont il griffonna un plan sur un bout de papier qu'il trouva au fond de son sac (plan)
Cependant après l'avoir examiner plus longement il remarqua que le système de direction ne pourrait lui servir à grand chose car il mettait trop à profit les essieux qu'ils ne pourrai solidifier assez pour qu'ils résistent à un tel traitement
Il commenca alors à démonter cette vielle voiture, en détachant tout de la carroserie qui allait être à la base du bac contenant.
Pour chaque vis qu'il souhaitait enveler, il commencer par essayer avec le tournevis de son couteau suisse qu'il avait toujours sur lui, pour se défendre au cas ou, mais dont il n'avait jamais osé se servir. Et si cela ne suffisait pas il déformait les alentour de la vis, grâce à son pouvoir, afin de pouvoir extraire la vis qui ne tenait plus rien.
Et pour séparer les partie soudées ou découper les parties trop sgrandes, il mettait directement à profit son pouvoir.
Au bout de deux heures, le démontage fut términé, il avait alors devant lui toutes les pièces pour sa future construction : un bac troué au fond qui n'était que la carroserie de la voiturette privée de sa partie superieure, la partie superieur sus citée qui lui servirai de rustine pour le fond de ce bac de fortune, trois barres de fer qui étaient auparavant les essieux et la barre de direction, et bien sur les roues
Ce démontage l'avait epuisé et affamé, il décida donc de saccorder une pause repas, il ouvrit alors son sac pris une boite au hasard, l'ouvrit avec son couteau et commença à manger directement dans la boite, c'était froid et pas très bon, mais il avait faim, et manger lui faisait du bien.

Là où mark sétait installé, il ne voyait pas très bin son travail et surtout il était plus occupé à supporter le gout de ce qu'il mangeait ou plutot ingéreait

Un clochard, s'avança pendant que Mark était en train de manger, discretement il commença à ramasser ce que le mutant avait demonté et qui lui avait valu tant de mal.

Au moment de ramasser le bac, dernière pièce qui n'était pas encore dans son proprièté (c'est à dire son caddie), la clochard fit tomber une pièce, ce qui alerta Mark.

Mark se leva alors en criant, c'était à la fois un cri de peur et pour faire peur. Il laissa sur place sa nourriture et s'apporcha du clochard, il luit cria alors, en tremblant de peur :
"Va-t-en!! c'est à moi, tu n'a pas le droit!!"
Il attrappa alors son bras et sans le vouloir, sous l'action de la peur son pouvoir se déclencha. La manche du clochard ressemblait maintenant à ces bouteilles en plastique qui prennes des formes bizarres quand elles brulent.
Mark recula alors appeuré, c'était la première fois qu'il déclenchait son pouvoir sans le vouloir, il savait très bien que ça aurait pu blesser le clochard et cela l'effraya, il ne voulait faire souffrir personne, il savait qu'il essayait lui aussi de survivre dans cette jungle, qu'est la rue dans le Queens

[HJ j'ai édité le message d'avant pour faire apparaître un plan de son but, je ne suis pas très bon dessinateur mais ça donne une idée /HJ]

Le clochard se retourna enervé.

"Mais qu'est ce qui te prends toi, rien n'est à toi ici, je l'ai trouvé par terre mais si tu y tiens tellement, je suis pret à le troquer. Qu'est-ce qu' t'as?"

La loi de la rue était en train de rattraper Mark, gagnant ou perdant, vainqueur ou vaincu...

Mark n'avait pas grand chose, il ne voulait pas rentrer dans le même cercle vicieux que son père et se perdre dans des traffics louches. Mais il lui fallait tout d'abords survivre, et cette construction lui avait valu tellement d'efforts, il ne voulait pas abandonner maintenant, il dit alors au clochard, avec une voix hésitante :
"J'ai mon baladeur, ça marche pour le troc?Je vai le chercher"
Mark recula alors lentement vers son sac en ne quittant pas e clochard des yeux tellement il était effrayé, il mit alors la main dans son sac et en sortit un baladeur, pas tout neuf, mais il fonctionnait, c'était un vestige du temps où ses racketteur lui en exigeaient. Il le brandit alors devant lui pour le montrer au clochard avec lequel il esperait conclure amicalement le troc

Le clochard regarda ce qu'il avait ramassé par terre, c'était un bric à bras sans aucune valeur, il ne pourrait en tirer que quelques pièces au ferailleur de Lansdowne Road .
Mais le baladeur de Mark lui servirait, j'ai un preteur sur gage, il ferait une très bonne affaire. Sans aucun scrupule pour Mark, il accepta avec précipitation.

"Je prends!"

Il l'arracha des mains de Mark pour l'emballer dans un numéro de la Sentinelle. Mark n'entrevit que le mot Mutants en grosse lettres en haut d'une page. Une fois placé son bénéfice placé dans le caddie, le clochard entreprit de sortir tout ce qu'il avait pris à Mark.

Mark était très intrigué de voir un journal parler ouvertement de mutants, il nota soignesement le nom dans un coin de sa tête : la Sentinelle, puis demanda au clochard:
"Excuser moi, ou est ce que vous trouvez votre papier pour emballer vos affaires? J'en manque un peu pour emballer mes restes de nourriture."
En disant cela il rangeait soignesement toutes ses piece à coté de son sac pour ne pas subir une fois de plus la même mésaventure

Le clochard parut intrigué,

"Tu veux ces vieux journals..."

Il reflechit quelque seconde,

*J'en trouverai partout.*

"Tu me dponnes quoi en échanges..."

Mark se baissa, pris alors une grosse vis de la voiture à pédale qu'il avait completement détruite en la démontant, il la mit au creux de sa main et lui donna une forme de couteau de table, pas de très belle alure, du même type que celle qu'on trouve dans les cantines des collectivités, il se releva alors et proposa son couteau au clochard :
"Ce couteau ça vous va?"
Et Il lui tendit les deux main, l'un avec le couteau et l'autre attendant le bout de journal

Le clochard accepta sans condition et se jet a sur le couteau

"Je prends!"

*Ce mec est un véritable pigeon, qu'est ce que je pourrai encore lui refourger...*

Mark defit le boule que formait ce journal pour découvrir un fragments d'article ou plutôt d'interview.

Mark lu alors rapidement cet article, il compris bien vite qu'il avait été écrit par quelque de très subjectif et d'hostile à la vie en harmonie des mutants avec les humains, cependant la pseudo école de surdoués dont il était question dans l'article l'interressa beaucoup. Il pensait à ce sujet:
*Si cet anti mutants pense autant de mal du directeur de cette écolecelui ne peux être si mauvais, il faut que j'aille voir*
Il se retourna et dit au clochard:
"Maintenant laissez moi tranquille, je ne veux plus faire de troc avec vous"
Ensuite Mark se remit au travail pour terminer au plus vite la construction de son vélo-bac afin d'avoir un moyen de transport un peu pls rapide que la marche pour se rendre jusqu'à Salem Center

Le clochard partit alors en direction de son preteur sur gaga, avec ça, il allait pouvoir manger aujourd'hui et boire pour la semaine.

Mark était maintenant seul et il pouvait mener à bien son projet.

Mark travailla rapidement, pour tordre les barres de fer et faire les soudures qui fixaient les pièce entre elles, il servait de son pouvoir.
En une petite heure, sa construction fut terminée.

Il se mit alors en route, il faisait déjà sombre parce que l'heure était avancée, mais après son aventure avec le clochard, il ne voulait pas dormir dans le Queens, d'autant plus que dans le Queens les gangs faisaient la loi, et il ne le savait que trop bien.
Il ne s'arreta que lorsqu'il fut sur Manhattan.
Il arreta son vélo-bac près d'un banc de central parc sur lequel il s'alongea et s'endormit : la journée avait été éprouvante pour lui.

Le matin, le liieutenant Bates reveilla Mark. Même s'il était SDf il ne ressemblait pas encore à un clochard, ce qui lui valu un peu plus de considérations.

"Jeune homme, vous n'avez pas le droit de dormir ici, ce n'est pas parce que le Démon de Central Park a été arrété que vous devez prendre des risques."

Mark se leva alors sans faire d'histoire, de toute façon il avait l'intention de partir tôt ce matin. Il dit au policier:
"Excusez moi, monsieur, je m'en vais tout de suite"
Mark monta alors sur son vélo-bac et repartit en direction de Salem Center. En pédalant il laissait son esprit vagabondez, il repensa alors à ce que lui avait dit le policier
*Ce démon, il doit être un mutant comme moi, je suis sûr, décidement, cett société est hostile à mes semblables. Si il découvrent ce que je suis il me persecuteront moi aussi. Il faut que je trouve rapidement où se réunissent les mutants à Salem center, avec eux je serais plus en sécurité*
Après un voyage qui lui parut assez long, car sa nuit sur le banc de Center Park n'avait pas vraiment été de première qualité et qu'il était donc encore fatigué, il arriva en vue de Salem Center

La suit ici

Si tu gardes ce rythme, tu es à l'institut ce soir.

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