[GenèsiX] 1.24. Des élèves en danger

Participants : tous les autres, ce sujet ne sera pas un réel mode étant donné le nombre de joueurs qui vont y fugurer, ne vous préocupez pas de ce qui se passe dans les modes jeu, Liven est chargé de rythmer ce qui va vous arriver en fonction des evenements dans les modes jeu.

Bon courage

Adressez vos questions sur le RP à Liven

Cassandre, toujours accompagnée de Wood, jouait des coudes pour aller prévenir Olivier lorsque ce qu'elle redoutait arriva. Une explosion violente ébranla le sol, des cris de panique générale lui parvinrent, et elle se retrouva ballotée en tous sens par le mouvement des visiteurs terrorisés.

"Non... pas çà..." murmura-t-elle, le vacarme alentours lui décrivait une scène qu'elle avait déjà vue...

Un appel, une voix qu'elle espérait tant entendre dans la tourmente s'éleva à sa rencontre. Olivier. Elle hocha la tête et prit la main de Wood sans cérémonie.

"Il faut que tu sois mes yeux." cria-t-elle par-dessus le vacarme. Une nouvelle explosion retentit alors qu'elle tentait de localiser les élèves les plus faibles, ainsi que rabattre les visiteurs vers l'entrée de l'Institut.

Que fait Cérébra?

"Jessica!!! Laura!!! Gaël!!! Godollo!!! Où êtes-vous!!! Ne jouez pas les héros et allez vous abriter dans l'Institut!" cria-t-elle à la cantonnade.

"Rentrez tous à l'intérieur!!" ajouta-t-elle aux visiteurs qui pouvaient l'entendre en faisant de grands signes dans la direction de l'école. Gérer une telle situation avec son handicap était une calamité. Elle se sentait inutile et sans défense, mais il fallait absolument se défendre.
Pour montrer l'exemple, elle pivota sur elle-même et se mit à courir à l'aveuglette dans le parc, sachant d'après ses calculs qu'elle se dirigeait approximativement vers l'entrée.

"Suivez-nous tous!!!!" s'époumona-t-elle. Le vacarme était presque une attaque à son ouïe perçante.

Au moment où Godollo s'apprêter a exécuter la démonstration de self défense avec Jennifer, des bruits étranges le déconcentrèrent.
Des créatures bio mécaniques surgirent du bois, des monstres de ferrailles, contrôlés par des hommes de chair et d'os, ce spectacle était ridicule aux yeux de godollo.

Ils sont légions, ce que Machaon voit, c'est des débiles arriérés qui veulent tuer des vies humaines, sans même se soucier qu'ils vont commères des crimes, c'est pathétique, ridicule voir même hilarant de voir des hommes vouloir tuer leurs frères génétiques. Ce que le papillon mépriser le plus dans tout ça c'est de voir que les mentalités ne changent pas, toujours aussi stupides depuis des siècles avec heureusement quelques progrès du moins ce qu'ont veux nous faire croire car eux montre complètement le contraire.

La haine, c'est ce qu'ils ont provoqués en lui, un découragement total pour avoir peut être une vie tranquille et paisible, lui qui était complètement passif depuis son arrivé vient d'avoir comme une illumination, son esprit s'est enfin réveillé.
Mimi suppose alors que ça doit être une journée où ont fait visiter l'institut, l'explication logique des stands et des humains.
Elle a dut être révélé au public, ce qui pourrait expliquer ses invités surprises, très indésirables a son goût.
Ce ne sont que des hypothèses, mais elles se tiennes assez bien.

Machaon entendus la voix de Cassandre affolé, le mutant n'est pas décider à mourir aujourd'hui, ni demain, ni jamais, la mort ne fais pas encore partie de son emploi du temps.
Le papillon battit des ailles comme une libellule, de cette manière il arrivait assez bien a décoller, sur ceux il pris deux bébés dans ses bras avec leur mère dans les bras et vola .... vite, fort, bien, motiver par la haine, la hargne et la rage.
Bien et jusqu'au bout, avec un atterrissage digne de superman, mais ... il sentit une énorme souffrance a ses ailes, complètement insupportables et affreuses.
Le mutant vola jusqu'à la salle de bain la plus proches pour s'écraser douloureusement dans la douche, fou de douleur.

Tout s’était accéléré très vite. Trop vite. En l’espace de quelques secondes, le très joli jardin était devenu un immense champ de bataille. Gaël resta abasourdi par la vue des machines qui assiégeaient l’institut mais reprit ses esprits en entendant Olivier donner des directives à ses élèves. Oui, ce n’était pas le moment de se laisser impressionner, il fallait à tout prix rester actif.
Cassandre. Le jeune homme entendit le directeur lui demander de s’occuper des élèves qui ne repoussaient pas les robots mais elle était sûrement aussi inoffensive que ceux qu’elle était censé protéger. Aussi, Gaël commença à courir en direction du stand de l’atelier éthique mais fit rapidement demi-tour pour revenir sur ces pas. Il s’empara des bras de Jessica et Laura et, sans leur demander leur avis, les traîna avec lui.

« On est parti! »

Il courut à travers la foule. Tout s’enchaînait. Un mutant créa on se sait comment des explosions dans le ciel, invitant les humains à se réfugier dans l’institut, Godollo volait au-dessus de tout le monde et les différents élèves se battaient avec les agresseurs. Au milieu de tout ce chaos, non loin de l’atelier éthique, Gaël aperçut enfin la psychologue et entendit tant bien que mal ses paroles. Il se mit devant elle, lacha les bras de ses camarades et reprit son souffle.

« On est là, Mlle Cassandre! Je suis avec Laura et Jessica et Godollo est déjà rentré dans l’institut. Suivez-nous! »

Il avait finit sa phrase en s’adressant plus particulièrement à l’ado qui aidait Cassandre, essayant de lui faire comprendre qu’il ne devait pas la lâcher. Il se remit à courir vers l’entrée de l’école, s’assurant quand même que personne ne se perdait en route.

(HJ, désolé, imprévu succéssif + absence d'un weekend j'ai tout raté...masi je ratrappe!)

Jess regarda les monstres arrivés, figée... elle ne bougeait plus. Depuis le briefing qu'elle avait quitté en sachant qu'elle serait dans ce groupe, elle avait essayé d'imaginer la journée des portes-ouvertes. Puis elle s'était retiré dans sa chambre, la nuit, et assez tard dans la matinée... ayant peur de descendre pour retrouver son habitat et celui des autres mutants complètement envahit par la foule, les journalistes et les curieux.

Apparemment, la veille il y avait eu un incident... ce qui n'était pas pour la rassuré sur la journée qu'elle allait vivre avec les autres... Finalement, emporté par une vague de courage elle était descendu, et c'était retrouvé mêlé au flot. On l'avait d'abord prise pour une enfant qui visitait, lui demandant même une fois si elle était perdu. Elle paraissait si petite que ça ? sans doute...
La personne qui lui avait demandé avec eut vite fait de se taire et de s'éloigner lorsque Jessica avait rejoind le groupe, Olivier, Gaël, Laura, et Jon devant la démonstration des pouvoirs.

Elle était figée, paralisé de terreur. Puis une secousse, ses jambes suivirent le mouvement de son corps. Le temps qu'elle réalise que c'était Gaël qui était revenu la sortir de sa torpeur, qu'ils avaient déjà traversé le parc. Elle vit que Laura était la également. Dégageant son bras de l'emprise du jeune homme elle se mit à courir à ses côtés. Ils rejoignirent Cassandre et tous se dirigèrent vers l'intérieur du bâtiment.

Plus loin, un énorme chien noir grondait devant les machines de guerre... mais il ne ferait certainement pas le poid, et Jessica était en train de s'éloigner. Pour le moment, il ne faisait que tenter de les maintenir à distance de la jeune fille, du moins le temps qu'elle soit en sécurité, ou trop loin pour qu'il continue d'exister.

Tout allait beaucoup trop vite pour Wood et alors qu'il jouait les gros bras devant Cassandre, il se rapprocha d'elle, voir même légèrement derrière, inquiet et appeuré...

La belle aveugle commit alors un geste qui allait changer ses plans. En saisissant la main de Wood, le contact se fit plus prenant, des veinules jaillirent de sa main, la rendant un peu pâlotte. Le pire, c'était les crampes au bras, Wood avait les yeux grands ouverts, il souffrait énormement, surement autant que sa pauvre victime, mais il n'arrivait pas à relâcher la main de Cassandre. Tout un flôt de pensées, de réfléxions, de visions assaillirent le jeune homme, si vite, qu'il ne pouvait pas les comprendre ou dire par la suite, de quoi il s'agissait réellement. Ses yeux avaient blanchi légèrement et d'un vert et d'un bleu assez vifs, ils étaient passés dans un ton crême...

Au bout de quelques secondes, la douleur et les crampes furent si fortes que Wood lâcha la main de Cassandre.

"Désolé... Un danger... à moi... tout seul...", réussit-il à dire en reprenant sa respiration.

Le jeune Smith était épuisé, avait mal au bras, mais la situation faisait qu'il ne pouvait pas rester là pour reprendre ses esprits. Pourtant, il n'y voyait rien, plus rien, ses deux anciennes aspirations n'avaient pas eu cet effet là.

*Il faut sauver les autres... Charleston...*

Wood, aveugle mais pas sourd, sentit que d'autres jeunes étaient autour d'eux...

"Me touchez surtout pas, M'selle Cassandre ? Vous allez bien ?"

Dell avait comme la majorité des personnes présentes connur un instant de peur. Mais devant le danger que représentait ses exosquellettes aussi bien pour les mutants, mais les visiteurs, quelque chose en lui se réveilla.
Dell ne se prenait pas pour un héros, loin de la, il pensait faire ce qui devait être fait. La panique commençait à se répandre et ceci n 'allait pas facilité la tache de ceux qui essayait de sauver le plus de personnes.
Dell regarda autour de lui pour bien juger de la situation, des personnes étaient totalement tétanisées par le spectacle, d 'autres fuyaient dans un chaos total. Ces exosquellettes étaient pilotés par des hommes, ceci laissait à Dell une opportunité d 'agir le cas échéant. Mais son premier objectif n 'était pas de s 'opposer à leur agresseur mais aider les victimes potentielles.

*De plus, cela pourrait donner à certains une image plus gratifiante de nous autres.*

Dell se dirigea vers une jeune femme en perdition. Cette dernière semblait avoir perdut quelque chose et commençait à être en proie à la panique.

"Mademoiselle, calmez vous. Je suis là pour vous aider."

""mon fils......où est mon flis..""

Dell regarda autour de lui, pour essayer de percevoir le jeune garçon en question. mais dans le chaos régnant il n 'était pas facil de trouver un enfant. Puis il perçut un petit mouvement sous une des tables d 'un stand.

"Venez avec moi, je crois l 'avoir trouvé."

tirant la jeune femme vers la table, Dell se demandait comment faire pour aide la défense de l 'institut. Le cour de sa pensée fut stopper par les pleures de la jeune femme lorsque celle ci constat aque s 'était bien son enfant qui se trouvait sous la table.

"Suivez moi, il faut que l 'on vous mette à l 'abri"

Le jeune garçon était paralysé par la peur et ne semblait pas vouloir sortir de sa cachette de fortune. Dell comprit que rien ne pourrait faire quitter à petit garço cet abri. Il déida donc d 'user de son pouvoir pour l 'aider à prendre sa décision.

"Ta mama, ,e pourra jamais être protégé sous cette table. Par contre dans la grande maison à côté, vous serez tous les deux en sécurité."

Dell usa de son pouvoir afin de conforter le jeune garçon dans l 'explication qu 'il venait de lui donner.

Alors que la jeune femme tentait de drainer un maximum de personne vers l'Institut, un mal étrange s'empara de son corps. Ses jambes cédèrent sous son poids, comme si une force vampirique avait aspiré ses fonction motrices et son énergie, qui était pourtant dopée par l'adrénaline. Elle s'effondra dans l'herbe, sa main quittant celle de Wood avec une certaine difficulté, comme si elle avait posé sa main sur une surface brûlante.

Qu'est-ce qu'il m'arrive...? pensa-t-elle en portant les mains à sa tête, une douleur lanscinante lui vrillant les tempes. Toujours au sol, les gens affolés trébuchant sur elle, elle se courba en deux de douleur. Un civil terrorisé lui donna accidentellement un coup de pied, qui l'envoya valser à nouveau, faisant sauter sa paire de lunette dans le même coup.

Se relevant tant bien que mal en titubant, elle entendit la voix de Wood non loin d'elle.

Qu'est-ce qu'il m'a fait?

Nauséeuse, elle tenta de retrouver ses repères grâce à la sirène d'alarme qui retentissait toujours. L'alerte lui amena une pensée.

"Cérébra! Des intrus attaquent l'Institut! D'après ce que je sais ils sont composé d'un alliage métallique! Fais ce que tu peux pour les empêcher d'atteindre la foule, les visiteurs ne doivent pas être touchés!" ordonna-t-elle, sachant pertinemment que Cérébra entendrait ses consignes malgré le bruit. Elle n'avait qu'une connaissance partielle du système de sécurité de l'Institut, mais si Cérébra pouvait les aider, elle le ferait.

"Ouvre la porte de l'Institut, et ferme les volets automatiques des fenêtres!" ajouta-t-elle. Elle envoya directement Laura à l'intérieur, après avoir entendu sa voix à quelques mètres.

"Partez en avance, je vais vous retarder, filez je vous dis!" dit-elle aux élèves qui l'attendaient. Elle n'avait plus la force nécéssaire pour courir. La sécurité des élèves était sa priorité.

[hrp : Laura a annoncé son absence indéfinie. On va donc l'envoyer à l'Institut et l'y laisser]

*Raaaah, si j'avais su, je ne serais pas venu, et dire que je voulais voir M'ssieur Fleury, il est si... O__x Ah non, hein, penser aux maths, renifler tout et vouloir manger des os, c'était déjà assez, maintenant, si je me mets à avoir des sentiments louches... Cesse de réfléchir, Wood, il faut sauver ces enfants en premier, respire à fond, concentre toi, fais le vide dans ta tête et lève toi.*

Wood se releva, encore aveugle, les yeux fermés et incroyablement serein et réfléchi, surtout pour lui qui était un ado plutôt vif et enjoué. Un "flash visuel" plus tard, il esquiva avec délicatesse un jeune homme qui fonçait droit sur lui, en direction de la sortie.

*C'était de peu, j'aurais pu lui causer des dommages, à lui aussi... C'est quoi cette intuition que je ressens ? Tout me parait étrange et remarquablement préétabli mais je ne saurai dire pourquoi.*

Wood, qui avait l'habitude d'échaffauder des plans tous aussi ridicules les uns que les autres et qui ne pouvait s'empêcher de tout commenter avec des petites blagues stupides, comprit, lorsque Jake Jeffery proposa son aide à Cassandre, qu'elle serait hors de danger, et qu'il était responsable de sa défaillance.

*Pour le bien des autres, il faut que je m'éloigne des autres gens. Si les enfants sont en sécurité, c'est le principal, après tout, je n'appartiens pas à cet institut, et si mon destin est celui de périr dans d'atroces souffrances, alors soit.*

Une larme sur sa joue, une petite pensée émue pour Olivier et une soudaine envie de salade verte plus tard, Wood s'exprima à nouveau, droit comme un i, les deux mains en porte-voix. Il hurla à s'en rompre les cordes vocales, avec toujours, une petite pointe féminine dans son timbre.

"Dépêchez vous, tous dans le batîment !"

Reprenant un ton normal, il dit à Cassandre, tout en "regardant" Jake.

"Partez, M'selle, vous serez en sécurité, je vais continuer de prévenir les autres de rentrer dans l'institut."

L'extraordinaire papillon humain est blottit dans une salle de bain comme un cocon, il entends les bruits affreux des exsosquelletes, les cris de la foule affolés, leurs pas lourd et rapide qui tape comme des milliers de tambours.

Machaon sent tout ça, l'adrénaline décuple son pouvoir mutant, Godollo sent absolument tout, jamais il n'a ressentit ça, c'est étrange, nouveau, excitant même, en tout cas pour une personne normal, pour lui ça ne l'ai pas du tout, c'est serte novateur mais aussi extrêmement inquiétant, car le mutant sent la peur, il sent l'effrois, il sent l'horreur de la crise.

Grâce a son odorat Mimi peut en plus se faire un petit film de la situation dehors, en se réfugiant dans cette salle de bain, il voulait se couper de cette enfer.
Il doit se réveillai comme avant, comme dans ses rêves, ca ne peut être qu'un rêve, c'est inimaginable, impossible, on ne peut pas croire que c'est vrai, mais ces odeurs lui prouve absolument le contraire.

Ses poiles s'hérissent, son coeur bat plus vite, son pouls augmente, ses yeux s'inondent de larmes, Machaon a peur vraiment peur.
Tout ça ressemble à un événement horrible, un événement qu'il a vécus, le déclic dans sa tête viens de lui rappeler un souvenirs, refoulés au plus profond de lui même.

Ca fait déjà plus d'un mois, il y plus d'un mois sa vie a basculé, le papillon est passé de sa vie quotidiennes à une toute autre chose, un homme a défoncé la porte de son appartement, telle un rhinocéros, il était 03h07, la nuit noire, un gros bruit, Godollo se réveilla brusquement, ses parents aussi. Des coups de feux, beaucoup, énormément, ça fait un bruit énorme, pas de chance c'était un jour de vacance pour budapest, il n'y avait que très peu de résident dans l'immeuble.

Ses parents courent voir ce qui se passe, le rhinocéros tire, avec un sourire sadique aux lèvres, il tire longtemps, le sang jaillit, les cervelles éclate, le papillon cris fort, le plus fort qu'il peut, d'horreur, de peur, mais d'une seconde à l'autre, son souffle est coupés, l'assassin lui injecte une flèche pleine de somnifères.

Godollo se réveille dans un bateau de croisières, il n'as pas vus la mer mais a sentit les vagues, il sent des coups sur son corps, des coups violent, des coups venant d'une brute, il sent aussi les claquement d'une ceinture sur sa peau, la douleur de seringues injectait de façon très violente dans sa chair.

Le pauvre papillon a souffert, il a entendus des cris à ce moment là, des rires moqueurs et humiliants, lui pleure, cris, hurle mais rien, eux continus, toujours plus forts, chaque fois pires, ils sont plusieurs et tape chacun leurs tours, chacun avec plus d'hargne que le précédent, ils sont contents, lui pas.
Quelques fois des sensations bizarres le perturbe, Godollo avait déjà connus ça avant, un ancien "pote" lui avait proposé une "substance illicite" qu'il avait essayé après plusieurs hésitations, il sent souviendras toujours.

Mort de fatigue il s'endormit, réveillai plusieurs heures plus tard par des lumières très violentes, la suite il s'en souviens très bien.

Aujourd'hui c'est pareil, Godollo est de retour en enfer..... et il n'est malheureusement pas le seul.

Un détails le pertinent, une femme, dans le bateau une femme est venus le voir, elle est habillé d'une robe verte et d'un chapeau rose, son visage, son corps, c'est Tallie, c'est son rêve, cette femme qui est venus le soigner, lui parlait gentiment, le réconfortai, elle lui disait :

" Je m'appelle Maria. "

.....

" Je vais t'aider. "

......

" Tu t'en sortiras, on s'en sort toujours, il suffit d'y croire. "

Le reste, le papillon a oublié, mais elle est resté, gravé dans sa mémoire, elle vis en lui, c'est elle qui lui porte l'espoir, la volonté, c'est grâce à elle qu'il vis pas question de la décevoir, le mutant se relèvent difficilement et sort de la pièce en boitant et en soufflant très fort pour dissiper la douleur.

Dell fut satidfait de voir que la jeune mère et son fils se dirigeait vers le batiment.
Maintenant que son esprit n 'était plus occupé par l 'action immédiate, le jeune mutant commençat à sentir la panique l 'envahir.

*Il faut que je fasse quelque chose. Je ne veux ressentir cette sensation. Rappel toi la pression et le stress lors des championnats, tu as réussit à les surmonter et faire face. Fait de même.*

Dell reporta son attention à ce qui l 'entourait et perçut la dénomé Cassandre au sol, soutenue par un inconnu, à leur côté un jeune garçon s 'époumoné pour donner des consignes.

*Je vais voir ce que je peux faire pour les aider.*

Dell arriva auprés du trio, et constata que Cassandre semblait avoir perdut toute force.
Aprés un sommaire examun visule, Dell partit de l 'hypothèse que la jeune femme ne souffrait d 'aucune blessure expliquant sa chutte.

"Mademoiselle regardait moi dans le yeux et focalisez vous sur la voie"

Si la cause de son mal n 'était pas physique, du moins dut à une blessure. Dell pensait pouvoir lui permettre de retrouver l 'usage de ses jambes.

*Grace à mon pouvoir je pouvoir la convaincre qu 'elle ait retrouvé ses forces et cela devrait suffire pour qu 'elle se mette à l 'abri.*

Dell focalisa son regard sur celui de Cassandre.
et y concentra toute sa volonté de la voir se lever. Pour cela il lui insufla l 'impression qu 'elle retrouvait l 'énergie sufisante pour marcher et se mettre à l 'abri. Et renforça le besoin de bouger par le danger proche pour les étudiants autour d 'elles.

"Ne restez pas là, j 'en voie deux qui vont rester prés de voue et se mettre en danger.Vous pouvez marcher, vos forces vous reviennent."

Cécilia était arrivée à Salem hier pour la journée porte ouverte...
Elle y était enfin, au début tout aller bien, elle était heureuse d'aller à cette journée...Puis tout bascula, comment cela c'était passé? Et pourquoi? Elle n'en savait rien, tout était allé si vite...

Tout le monde autour d'elle était affolé, courrait dans tous les sens...des pleures, des cris d'affolements, raisonnaient dans sa tête...

Elle ne comprenait plus grand chose car la peur l'avait envahi...Pourtant c'était une journée qui s'annoncait si bien...

Elle commenca a courir vers l'institut, puis elle vit quelques personnes, une jeune femme a terre et 3 hommes...

Elle se dirigea vers eux, affolée...Elle essaya de controler ses émotions de peur que son pouvoir se déclenche...

"Je..."

Elle ne savait pas trop quoi dire exactement, et dans ces moments là, il vaut mieux agir que parler...

Son regard se déposa sur la jeune femme, elle remarqua qu'elle avait du avait du mal à se relever...Elle lui prit doucement son bras pour l'aider et essaya de la remettre sur pied...

Gaël s’arrêta dans sa course. La situation était infernale mais pourtant certaines personnes, mutantes ou pas, n’étaient pas rentrées et aidaient les autres à se réfugier à l’intérieur du bâtiment ou alors à quitter carrément l’école. C’était le moment de faire un choix. Entrer dans l’institut et être à l’abri ou alors rester dehors et faire ce qu’il peut pour aider. Le jeune homme revint sur ses pas et vit Cassandre par terre entouré par plusieurs personnes, mais il était lui était impossible de savoir si il s’agissait de mutants ou non . Les robots s’approchaient dangereusement et Gaël passa devant le groupe sans s'arrêter en s'écriant:

« Ramenez Cassandre à l’institut le plus vite possible, je vais occuper les machines! »

Les options de l’ado était très limitées. Il n’avait ni la maîtrise, ni la concentration, ni la force nécessaire pour tenter d’utiliser ses pouvoirs et c‘était malheureusement la seule chose qui aurait pu lui donner un léger avantage. Une fois arrivé à plusieurs mètres des assiégeants, Gaël ramassa une pierre par terre et la lança sur l’un d’entre eux, non pas pour essayer de la blesser, mais pour attirer son attention.

*De toutes façons, on va tous mourir un jour alors autant mourir en héros*

«Hey, pauve tâche, je suis là! Je parie que même sans mes pouvoirs, je serai capable de te foutre la pâtée du siècle! »

*J’ai même pas fait mon testament….*

Parmi l'agitation générale, Wood entendit distinctement un "tâche", "pouvoir" et "pâté" provenant de la même voix...

*Par la Madonne*, un mutant est capable de faire des tâches de pâté O_x*

Un autre s'exclama ensuite plus clairement et leur annonça une fin apocalyptique. Bien que Wood était toujours aussi aveugle, il se dirigea tant bien que mal, après s'être vautré à deux reprises, la première fois sur une chaise tombée au sol et la seconde dans un plateau de petits fours aux figues. Il regarda fièrement vers la droite de Jake et lui annonça tout aussi fièrement, un petit four encore collé sur sa joue et un peu de figues dans les cheveux :

"Je peux vous aider ! Je sens un danger proche !" dit-il vainement alors que tout le monde avait remarqué les deux machines qui s'approchaient bizarement !

*Quand je disais que je finirais dans des bocaux numérotés...*

[[*ndlr : par la Madonne, Wood entend la chanteuse qu'écoutait sa grand-mère lorsqu'elle était adolescente... (Madonna ^__^)]]

Jessica ne comprit pas vraiment la suite des évènements. Gaël l'avait emmené en direction de l'institut, elle courait alors comme une dératé. Puis Cassandre avait eut une sorte de malaise au contact d'un jeune homme. La suite, pareil, floue, elle s'en souviendrait sans doute distinctement plus tard, en y repensant, et songerait à tout ce qu'elle aurait pu faire pour les aider, mais pour le moment elle ne pensait à rien. Elle avait peur, peur de voir l'institut dans lequel elle avait trouvé refuge être détruit et ses occupants éliminés. Dont elle... et même si elle s'en sortait, elle ne savait pas ce qu'elle deviendrait. Et Jess ne préféra pas y penser.

Elle entendit Gaël leur dire de s'occuper de Cassandre, mais ne réagit pas. L'adolescent partait déjà en direction de deux machines qui venaient vers eux et tentait une vaine diversion. Il allait se faire tuer... mais une autre homme le rejoignit en commençant à tirer une flèche.
D'un pas lent et peu sur d'elle, elle fit demi-tour et fit quelques pas. Puis elle courut jusqu'à Gaël.

"Vous allez vous faire tuer!"

Sa voix montrait qu'elle était en état de choc, elle ne prenait pas réellement garde, même si elle avait peur. Pour le moment, le plus important pour elle était de parler à quelqu'un qu'elle connaissait, en plus il s'était mit en danger pour eux. Elle ne pouvait pas le laisser. Elle était sans doute inconsciente du danger qu'elle risquait à rester là avec eux.

C'est pourquoi son pouvoir s'activa de nouveau. Plus tôt, il avait été là, grognant devant les machines. Puis elle s'était éloigné et il avait disparu, retournant d'où il venait, les songes...
De nouveau il se dressa comme une barrière entre Jessica et le danger, montrant les crocs et prêt à bondir à la moindre occasion de blesser son assaillant.
Ce chien, ressemblant d'ailleurs davantage à un loup qu'à un chien désormais, représentait sa seule défense... Il était la uniquement pour la protéger contre un danger dont elle avait du mal à réaliser l'importance.

Cécilia vit Gaëll s'avancer vers les deux machines, seul...

*Il est totalement inconscient, il va se faire tuer!*

Puis un autre homme, Jake, avait demandé à Cécilia de s'occuper de Cassandre, Cécilia acquiessa en faisant un signe de tête. Il partit ensuite vers Gaël pour l'aider...

Par la suite une autre jeune fille, s'avanca vers eux...

Cécilia regardait toute la scène puis elle retrouva ses esprits et se focalisa sur Cassandre...Cécilia voulu l'aider, mais apparement Cassandre était en désaccord...Cassandre s'exclama d'une voix forte et autoritaire qu'il fallait tous rentrer à l'interieur de l'institut...
Cécilia exécuta alors ce qu'elle demanda, pour ne pas l'énerver encore...

[HJ: Dsl...Voilà j'ai édité, et j'ai pris en compte ce que tu as marqué en dessous, comme ca je reposterai pas juste pour dire que je rentre dans l'institut...Sauf si tu veux que je le fassses...]

A cause de l'utilisation multiple de pouvoirs mal contrôlés sur sa personne, Cassandre était encore plus mal en point qu'après son contact avec Wood. A demi-consciente à cause de la tentative de pénétration grossière de son esprit par le jeune télépathe, un mal de crâne atroce lui vrilla les tempes.
La jeune femme se souvint des conséquences désatreuse que la dernière utilisation de Del avait engendrée, et se débattit, un rengain de force dans le corps en réalisant que les élèves, qui lui désobéïssaient délibéremment, courraient à leur perte.
D'un bras, elle repoussa Del, et s'efforça de résister à Cécilia qui semblait vouloir la mener à l'intérieur.

Ils me prennent tous pour une infirme...

Le fait était qu'Olivier lui avait donné la responsabilité de la vie des élèves, et qu'il n'était pas question qu'ils la risquent inutilement.

"Laissez-moi, çà va aller. TOUS à l'intérieur de l'Institut!" cria-t-elle avec cette fois-ci plus d'autorité dans la voix.

Qu'ils ne m'obligent pas à aller les chercher moi-même.

Dans sa tête, l'image d'un exosquelette s'abattant sur eux et broyant les élèves impuissants s'imposa à sa double-vue.

Pourquoi Cérébra ne réagit-elle pas?

Elle se concentra rapidement pour voir la suite des évènements, il fallait à tout prix qu'elle évite que les jeunes inconscients soient blessés.

Quel va être le prochains mouvement des machines.... se mit-elle à chercher dans l'avenir.

[Hrp : Ce post sera bientôt suivi d'un autre où on saura ce qu'il va se passer. Après vérif auprès d'Olivier, nous ne sommes pas considérés comme dans le mode jeu à part entière donc vous êtes autorisés à poster plusieurs fois par tour, sans aller dans l'excès bien sûr. Règle importante que je vous rappelle : Vous ne pouvez pas forcer un PJ à faire ce que vous voulez, ni poster ce qu'il fait. Conclusion, vous ne pouvez pas poster en disant que Cassandre est dans l'institut alors qu'elle n'a pas fait cette action elle-même. Laissez toujours vos posts ouvert pour ne pas avoir ce problème]

Dell ne comprenait pas la réaction de la jeune femme. Il était vrai que de nombreuses personnes étaietn venues autours d 'elle et de ce fait mis en danger.
Mais tous étaient libre de leurs actes. Mais bon si cette femme qui était une des responsables de l'académie, ne voulait pas d 'aide. Dell décida de suivre son ordre afin d 'éviter de se mettre plus en danger qu 'il ne l 'était.
Ce qui l 'agaçait vraiment c 'était que cette femme le considérait comme quelqu 'un de faible. il pensait maitriser correctemetn son pouvoir, mais savait que ce dernier manquait de puissance. Il partit donc en direction de l 'institut, pour s 'y mettre à l 'abri. Mais que pouvait donc faire de la pierre face à des exosquellettes. Il verrait cela plustard.

"Bien puisque vous le désirez je vous laisse ici, et cour me terrer au sein de l 'académie."

*Mon pouvoir pourrait être util à l 'intérieru afin de calmer les gens.*

Godollo venait a peine de sortir de la salle de bains, qu'il vus l'énorme agitation du couloir, les gens couraient partout, dans tout les sens, les enfants pleurent, crient, hurlent, c'est la chaos total.

Il tourne sa tête, et aperçoit cette bataille titanesque digne des meilleures films de science fictions, les pouvoirs se déchaînent, la tension est énorme, le suspens aussi, les tirs des exsosquelletes et les explosions qu'ils provoquent font des dégâts impressionnant.
Machaon a peur, mais admire ses "vaillants guerriers"(GenesiX) qui défendent l'institut au péril de leurs vies, le courage, la bravoure, l'honneur, c'est ce que le papillon vois en eux, il est épaté.

On lui marche sur le pied, il ne fais pas attention, on le tamponne, il ne sens rends pas compte, bousculé, secoué, remué, rien y fait, Mimi est captivé par la scène, cette violence, cette hargne, un vrai spectacle.
Mais le papillon repense soudainement, à la mère et ses enfants qu'il a mis a l'abri tout à l'heure, l'effort que ça lui a infligé est énorme, c'est cette douleur qu'il le lui a fait penser, par contres ils ont l'aire d'aller bien, la mère les as pris dans ses bras, elle leur fait un gros câlin plein d'amours, eux ne pleure plus, ça le réconforte et lui fait plaisirs.

Machaon ne se qualifie pas de héros, pas comme cette équipe qui combat fièrement dehors, il a simplement fait ce qu'il avait à faire.
Ce que le papillon désirait et avait besoin le plus au monde c'est de l'espoir, il lui en fallait beaucoup, cette espoir lui apporterai du réconfort, du courage, de la force, avec ça il serais heureux.

Godollo repense aux paroles que lui as dit Maria :

" Ne me regarde pas
Chaque jour est si merveilleux et soudain, il devient dur de respirer.
De temps en temps, je manque d'assurance, je suis si honteuse.
Ca arrive.
Pour tous tes amis, tu es délirant tellement épuisé par ton pessimisme.
Tentant difficillement de combler le vide, une pièce manque et le puzzle est inachevé .
C'est comme ça .
Peu importe ce que l'on fait, peu importe ce qu'ils disent.
Et partout où nous allons, le soleil brillera toujours.
Et demain, il se pourrait qu'on se réveille de l'autre côté.
Tu es beau, ce qu'ils disent n'a pas d'importance, des mots ne peuvent pas t'abattre.
Tu es beau vraiment en tout point "

Ces paroles, si belles, si gentilles, si gracieuse lui offre ce qui lui manque, en voyant les monstres bio-metaliques arrivaient, le papillon se jette par la fenêtre, prés à défendre son école et son foyer, avec tout la hargne de vaincre qu'il faut pour gagner.

(hj: j'éditerais mes postes demain ou après demain)

*Hummm... C'est en fer, c'est gros, ya de la mécanique dedans et ca va nous écraser... Un presse-purée géant ?O__x*

Wood garda son dernier ressenti pour lui, il n'était pas très convaincu qu'un presse-purée géant était le responsable d'un tel capharnaüm au sein de l'institut. Wood sentait que tout le monde criait dans tous les sens, il se serait presque cru à une des fêtes familiales des Smith qui finissait en général un peu comme çà, surtout lorsque que Pépé Smith rammenait pour le dessert sa vieille liqueur fermentée...

Dans le périmètre auditif de Wood, en plus de Jake et de Gaël, une jeune fille vint leur dire qu'ils allaient tous mourir.

*Tiens, je ne suis pas le seul à penser çà...*