school, fire and Rock'n'roll

[ peut être aurais-je du poster à la première personne?]

Seattle/banlieue


Lundi, 7h00

-"BIP BIP BIP...!!!"

Math se réveillais doucement, il ouvrait ses yeux tout doucement pour apprécier la musique qui passait à la radio en même temps.

Les yeux encore brouillés il se levait traînant les pieds jusqu'à la cuisine, il prit un petit déjeuné rapide puis fonça dans la salle de bain. Il se déshabilla puis pris une douche. Depuis quelques temps le simple fait d'entré en contact avec de l'eau lui était désagréable, enfaîte depuis l'accident au stade.

Il n'avait pas voulu enflammer cette balle, mais il l'avait fait. Depuis que tout le monde savait qu'il était un mutant, tout le monde lui avait tourné le dos. Ses amis ne lui parlaient plus, il était considéré comme un pestiféré. C’était assez douloureux, surtout rajouté à la mort de son arrière-grand-père qui avait été bon avec lui.

Math sortit de la douche, s'essuya se lava les dents, puis il se brossa les cheveux.

lundi 7h30

Math venait de sortir de la salle de bain, il était en train de réfléchir à ce qu'il allait se mettre. Il prit un jean large troué, des vans noirs, un t-shirt à manche longue blanc et un t-shirt noire avec "Rocker" écrit dessus en blanc. Math aimait les fringues que portait son arrière-grand-père quand il était jeune, il aimait se coter un peu punk.

Math prit son skateboard et son sac de cours. Il prit son déjeuné en passant dans la cuisine et sortit de la maison familiale. A cette heure-ci ses parents étaient au travaille depuis longtemps. Il prit soin de barrer la porte puis s'élança sur le trottoir. Sur le chemin de l'école tous les élèves changeaient de trottoirs à son passage. Il arriva enfin à destination.

Lundi 7h45

Il ne se sentait pas d'attaque pour une nouvelle journée de cours, une nouvelle journée d'insulte de regard de travers et de mauvaises blagues. Mais il n'avait pas le choix il s'arrêta, pris son skate sous son bras et se dirigea vers le hall de l'école. Il monta les marches, un surveillant avait les yeux rivés sur lui, comme s’il était un terroriste qui allaient faire sauter une bombe d'un moment a l'autre. Il poussa la porte et alla à son casier. Il inséra le code dans son cadenas pour ranger son skate. Il poussa un soupir quand il découvrit que son casier avait été rempli de papier toilette par les fentes de la porte. Il rangea son skate, ferma la porte, remit le cadenas et s'adossa contre le casier en attendant la sonnerie.

Tout ses camarades, ses anciens amis, s'écartèrent sur son chemin, de peur qu'il ne les touche et les enflamme comme il l'avait fait avec ce ballon. Visiblement, la rumeur avait circulé, puisque même ceux qui n'étaient au courant de rien se retournaient sur son passage. Math pouvait entendre des phrases comme: "c'est lui l'incendiaire?", "Oui, il faut l'enfermer. Le tuer comme tous ces mutants.", "il pollue notre air.", "Chut! Il nous a vu il va nous tuer!". Que des phrases qui faisaient mal au coeur à entendre. Mais c'est bien connu, l'homme est un loup pour l'homme, celui-ci fut-il différent ou non. Et Math en faisait les frais.

Après quelques minutes à attendre adossé à son casier, il put voir le directeur s'avancer vers lui. Celui-ci n'en menait pas large, mais il devait faire respecter l'ordre dans l'établissement.

"M. Whylbley, venez dans mon bureau, je vous prie."

Math se doutais bien de la raison pour la quel le directeur l'avait invité a le suivre, sans doute à cause de ses capacités. Mais il redoutait surtout ce que le proviseur allait lui dire, son renvoi? Son isolation des autres élèves? Et d'autres punitions toutes aussi injuste que stupide. Une fois arrivé dans le bureau du proviseur, celui-ci ferma la porte et s'assit. Il invita Math a faire de même. Il prit place en face du directeur, le fusillant du regard.

"Bon sang ! Mais j'ai pas choisit d'être comme sa moi !! "

pensait il.

-"Alors qu'avez vous à m'annoncer?"

Le bureau était tous ce qu'il y a de plus banale, une étude, des casiers remplient de paperasse administrative, la photo de ses enfants trônait un peu sur la gauche..

-"Je suis renvoyé c'est sa?"

Si c'était sa, Math redoutais un excès de colère car c'était injuste ! On ne pouvait pas le virer pour ce qu'il était ! On ne va pas reprocher à un lapin d'avoir de grandes oreilles !!!

[la description des lieux et l'action des PNJ, c'est moi qiu m'en occupe...]

Le directeur avait demandé à Math de le suivre. Mais il n'était pas tout seul. Dans son bureau, les autres professeurs attendaient l'arrivée de Math. Lorsque le directeur prit place sur son fauteuil, les professeurs se mirent en arc de cercle autour de lui pour montrer leur soutien. D'un regard qui ne sourcilla pas sous le feu de celui de Math, Il invita celui-ci à s'asseoir. Mais l'élève ne laissa pas le temps à l'adulte d'en placer une. Lorsque Math eut terminé, il se racla la gorge.

"Tout d'abord, M. Whylbley, tant que vous êtes dans mon établissement, vous me devez le respect et n'avez donc pas à parler sans y avoir été invité."

Il marqua un petit temps de silence puis reprit.

"Concernant votre question, je vous demane de réfléchir. Vous n'êtes pas bête, loin s'en faut. Vous comprendrez donc que je me dois de ménager les élèves et les professeurs ici présents. Vous êtes un très bon élément de cet établissement, mais, à mon plus grand regret, depuis les événements du dernier match, je ne peux vous garder ici. Nous n'avons pas la structure pour accueillir quelqu'un comme vous et assurer votre protection."

Il se tut, quelque peu gêné de ce qu'il venait de dire, mais en même temps rassuré de l'avoir dit.

[Je peux au moins faire sonner la sonnerie qui marque le début des cours ??? ^^]

-" mmmmmh... oui je comprends... de toute façon il fallait bien que sa arrive un jour. Je suppose que votre décision prend effet immédiatement sinon vous ne m’auriez pas convoqué dès la première heure? Je vais donc aller vider mon casier et rentrer chez moi !"

Au moment ou Math finit sa phrase la sonnerie qui annonçait le début des cours retentit. Math, sans invitation du proviseur, se leva et quitta le bureau. Une colère immense faisait rage en lui mais il se contrôlait.

Il rejoignit les couloirs qui maintenant étaient vident. Il se dirigea vers son casier, l'ouvrit et serra la porte tellement fort que sa main en devenait rouge. Pas rouge à cause du sang qui affluait dedans mais un peu lumineuse. Soudain elle pris feu ! Math se dépêcha de ranger ses affaires a une main et s'enfuit de l’établissement à toute vitesse, sa main ne voulait pas s'éteindre.

Il était profondément en colère et vexé, il courut, traversa un terrain vague, continua de courir pour finalement s'arrêter en haut d'une colline qui surplombais la ville au abord de Seattle. Il jeta son sac, et se mit à poussé un cri de rage !

-"JE LES HAIS !!!!"

Math tomba a genou, il regarda ses mains, celle-ci était en flamme mais il n'avait pas mal. Ses manches avaient disparue pour laissé place à des bras enflammés eux aussi. Il sentait aussi que sa tète était totalement recouverte de flammes.

-"bon sang ! Je dois pas être beau a voir !"

Math s'allongea dans l'herbe en attendant qu'il se passe quelques choses, que quelqu'un vienne le chercher pour qu'il rentre chez lui ou pour l'emmener pour faire des expériences sur lui comme dans les films.

[oui, ça va... Il faudra que tu mettes ta fiche en lien dans ta signature]

Le directeur s'était contenté de hocher la tête et avait regarder son ancien élève sortir, visiblement soulagé. Il n'y avait pas eu de débordements dans son bureau. Les couloirs s'étaient vidés des élèves, à présent en cours. Math était donc tranquille, loin des collibets. Finalement, ce serait peut-être mieux pour lui, même s'il ne s'en rendait pas encore compte.

Mais l'émotion remontant à la surface, son pouvoir commença à se déclencher à nouveau, le forçant à fuir. Le jeune homme courut le plus loin possible, tachant de se fatiguer pour que son pouvoir cesse d'agir. Mais cela ne fonctionnait pas. Il s'écroula dans un jardin public, véritable torche humaine. Le jardinier, bien intentionné et mort d'inquiétude, commença à l'arroser pour éteindre le feu.

Ce n'était pas le genre de signe qu'il attendait. Un vieille homme, sans doute le gardien du jardin, était en train de l'aroser avec son tuyau d'arrosage croyant que Math était en flammes.

Le contacte de l'eau sur ses bras et sa tête lui fit ressentir un sensation des plus désagréable. C'est comme ci sa vie s'en allait il se leva d'un bon.

-"Hey mais arretez !!! Vous allez me tuer si vous continuez !"

Math retrouva son calme et se demandais si vraiment tout le monde haïssais les mutants.

-"Ha! Excusez moi. Vous ne pouviez pas savoir que j'était un mutant. Est ce que je vous fait peur? Vous aussi vous haïssez les mutants? pensez-vous qu'il faille tous les exterminer???"

Peut être que ce vieux monsieur était plus concilient face au mutants. Peut être qu'il ne les concidérait pas comme une menace. Cet Homme avait l'air sympatique. Et si Math n'avait pas été un mutant et qu'il aurait été en flamme il l'aurait aidé. Après tout les humains "normaux" ne sont peut être pas tous contre les mutants?

Le jardinier se stoppa, surpris quand le gamin le supplia d'arrêter. Etait-il allergique à l'eau? Quoiqu'il en soit, il obtempéra et continua de l'éteindre, mais en lui jetant de la terre cette fois-ci. Il se stoppa cependant net quand le gamin déclara être un mutant. Ah ça, il s'y attendait pas. Sa première réaction fut d'éclater de rire avant de sermonner le garnement.

"Ah ça... Tu d'vrais faire gaffe, gamin... Faut pas plaisanter 'vec ces choses là... Les gens z'aiment pas les mutants... Si t'en es un, tu d'vrai pas l'crier su' les toits..."

-"Ah visiblement vous n'avez pas peur de moi. Enfaîte tout mon Bahut... pardon mon école est au courant et sa fait assez longtemps que j'ai pas parlé à quelqu'un a part mes parents et dernièrement le directeur, pour me dire qu'il me virait. Je sais pas pourquoi je vous raconte sa. Sans doute parce que vous m'êtes sympathique et que vous me rappelé un peu mon arrière-grand-père..."

Les flammes sur la tête de Math baissèrent d'intensité.

-"Bon je dois y aller ! Sa ma plus d'avoir pu parler à quelqu'un. Vous êtes quelqu'un de bien monsieur ! Même si je vous connais pas beaucoup. Au revoir peut être Adieu qui sait..."

Math pris le chemin qui menait à son "chez lui" un endroit qu'il devrait prochainement habiter plus que d'habitude... Mais il se promit de revenir voir le gardien.

Le gamin ne plaisantait apparemment pas, comme en témoignaient les flammes sur son crâne qui ne semblaient pas le gêner. Le jardinier secoua la tête, dépité et désolé pour le jeune homme avant de dire:

"Tu d'vrais quitter la ville, avant d'te r'cevoir des pierres su' l'coin d'la figure..."

Effectivement, les flammes ne s'apaisèrent pas totalement. Alors que le jeune homme reprenait la direction de la maison de ses parents, il put surprendre des regards à la dérobée plutôt hargneux, jusqu'à ce que quelqu'un attrape une canette vide pour la lui jeter au visage, bientôt imité par d'autres personnes.

[et oui, ton courtier a une vie, et ton barème l'aiderait à faire avancer le schmilblik. Mais ça ne sert à rien de réclamer. De plus, ça ne donne pas envie de répondre... La phase courtier sert à plusieurs choses: t'intégrer dans le jeu et te montrer que tout le monde ne peut pas répondre dès que tu as posté...]

"T'es un mutant! Voilà ce que tu nous as fait!"

"Créature du diable!" enchérit un prêtre en lui lançant une pierre.

Qui n'a jamais pêché jette la première pierre... Soit cet homme était un ange, soit il se moquait de cette maxime pourtant célèbre de sa religion.

Pendant ce temps, les flammes sur la tête de Math grandissaient. Le feu se propageait aux poubelles qui l'entourraient. Bientôt, les pompiers allaient arriver. L'on entendait jusqu'ici leurs sirènes hurlantes. Une seule solution, la fuite par les toits, grâce à une échelle qui pendait jusqu'au sol derrière lui.

Math l'emprunta, une fois sur les toit il se mit a courir sans regarder derrière lui. Il sauta de toit en toit les espace entre étant assez petit. soudain il se rendit compte que le toit en face de lui était un peu plus loin que les autres, et qu'il aurait du mal à le sauté, mais il avait peur, il accelèra prit son élant et s'élança au même moment un fort dégagement de chaleur sortit de ses mains qui lui fit gagné 10 centimètre en hauteur et 30 en longueur assez pour passer sur l'autre toit. Il s'arreta net. Visiblement il n'était pas au bout de ses surprise avec sa mutation... Il entendait au loin les sirènes des pompiers il risqua un coup d'oeil dans son dos.

Dans son dos, personne. Les pompiers étaient arrivés et s'occupaient d'éteindre les feux en bas. Math était donc tranquille. Le toit sur lequel il était parvenu, par miracle, à sauter était le toit le plus en bordure de la forêt. Il pourrait donc aller s'y cacher en attendant de redevenir normal. Mais était-ce bien prudent? Dans l'état dans lequel il se trouvait ne risquait-il pas de mettre le feu aux arbres? Une échelle, sur sa droite semblait l'inviter a tenter sa chance. Devant lui, une porte de service pouvait lui permettre de redescendre dans la rue.

Le feu ne prit pas, bien au contraire. La course avait eu l'effet d'apaiser les sens du jeune garçon et de le calmer. Lorsqu'il s'arrêta, il n'était plus en feu. Ses vêtements, par contre, étaient dans un sale état: déchirés et brûlés. Mais cela pourrait tenir jusqu'à chez lui, en tout cas, s'il ne croisait personne. Mais, au moins, aucun anti-mutant ne l'avait suivi jusque là. Que faire? Chercher comme ça si quelqu'un pourrait l'aider, ou bien aller se renseigner? Visiblement, les gens n'étaient pas prêts à l'accepter.

[j'ai rayé un passage de ton post car c'est à moi de déterminer tes réussites en mode courtier.]

Effectivement, le 'flame on' n'était pas très efficace. Avait-on déjà vu un mutant utiliser une invocation? Le jeune garçon continua de s'entrainer un moment. Rien ne semblait pouvoir déclencher son pouvoir de façon naturelle. Ouvrir le poing? Rien. Taper ses deux paumes l'une contre l'autre? Non plus. Faire à la façon des allumettes? Rien à faire. Cela faisait bien une ou deux heures. Ce fut alors qu'il commença à avoir faim. Sans intention aucune, il claqua des doigts se rendant compte qu'il faudrait qu'il pense à manger. Ce ne fut qu'alors qu'une étincelle apparut. Math recommença une fois, deux fois, trois fois et, enfin, une flamme apparut. Elle disparut rapidement, mais, néanmoins, c'était un début. Mais avec la faim qu'il avait, une chose était sûre, c'était qu'il n'arriverait à rien de plus maintenant.

[ le "Flame On" c'est un petit clin d' à un de mes perso préféré, et puis là sa marche pas donc ce n'est pas une invocation mais plutôt une sorte d'hymne mais c'est promis mon perso ne prononcera plus jamais ces mots]

Math était très embété, il ne voulait pas retourner en ville, pas maintenant. Mais en même temps, il avait l'estomac dans les talons. Il se leva, un peu enquilosé par sa position en tailleur. Après avoir massé ses articulation il se mit en route. sa marche dura une bonne heure, Math était affamé, il arriva en bordure de la ville. il ne savait pas par ou commençer ses posibilité étant limité.

[tu pourras toujours t'en servir de nom de code. PS: désolée pour le retard]

Math n'étant encore qu'un adolescent, il lui serait sans aucun doute difficile de survivre seul en dehors de la ville, même si celle-ci lui était désormais hostile. Vêtu de haillons, il devait pourtant trouver un moyen de retourner chez lui, ne serait-ce que pour pouvoir se changer, manger et décider de quoi faire. Il se rapprocha donc de la ville, lentement. Le temps passait. L'après midi était à présent bien entamée et la faim se faisait durement sentir. Math n'avait pas d'autre choix que de retourner en ville et rentrer chez lui.

Curieusement, il n'y avait personne dans ce coin dela ville. Il fallait avouer que c'était l'endroit le plus glauque de la ville. Des ruines. Des usines désaffectées. Mais au moins, Math était tranquille pour l'instant. Au fur et à mesure qu'il avançait, ses pas se faisaient plus prudents. Il pouvait voir, à présent, des gens qui habitaient ces lieux insalubres. Mais il n'avait aucun soucis à se faire. Ses flammes s'étaient éteintes et il semblait aussi misérable qu'eux. Un homme, tout à coup, surgit devant lui et lui tendit un bout de pain raci.

"Tiens, mange mon garçon. C'est malheureusement tout ce que nous avons..."

[très bonne idée pour le nom de code !!! mais un nom de code sa sert juste quand tu fait partie d'une équipe. et t'excuse pas pour le retard ^^ moi non plus j'ai pas été présent ces derniers temps]

Math était tombé dans ce que lui et ses copains avaient appelés un peu plus tôt "Clodo city" le paradis du Skate ! Mais la situation de Math avait changé et maintenant il plaignait ces pauvres gens. Soudain un homme surgit devant lui un morceau de pain à la main.

"Tiens, mange mon garçon. C'est malheureusement tout ce que nous avons...
-Ho !... Je..."

Math avait faim ! mais ce serait bien égoïste de profité de la générosité de se pauvre homme qui lui proposait tant ! Math se saisi du morceau de pain et le coupa en deux part égal.
-"Je ne vais pas abusé de votre générosité, merci infiniment!"

Math englouti le morceau de pain qui lui fit le plus grand bien ! C'était peu, mais tant à la fois il avait un peu moin faim maintenant, mais il révait d'un bon steak frite bien gras! Qu'allait il faire maintenant, resté ici en compagnie des SDF ou essayer de trouver à manger et rentrer chez lui. Math fouilla dans ses poches, heureusement son porte monnaie n'avait pas brulé. Cet homme habillé en haillon avait été bon avec lui ce serait naturel de lui rendre sa bonté. Si Math passerait devant un snack il reviendrais voir le vieille homme pour partager un repas. Ce devait être un grand homme ! Non ! C'est un grand homme! près à donné tous ce qu'il as pour les autres ! il ne méritait vraiment pas son sort.

C'était souvent dans l'adversité que l'on reconnaissait la vraie valeur des gens. C'était souvent en croisant les plus démunis que l'on se rendait compte qu'ils étaient bien plus généreux que ceux qui avaient tout. C'était là une grande leçon que venait d'apprendre le jeune homme. Lorsqu'il sortit son porte-monnaie, la première réaction de l'homme fut de refuser. Il n'avait pas partagé son pain avec un étranger pour être payé en retour. C'était un cadeau. Pourtant, en regardant une femme et un jeune enfant de 18 mois, il comprit qu'il était obligé d'accepter. Il emmena Math à l'écart, le rapprochant un peu plus du centre de la ville.

"Je n'ai pas l'habitude d'accepter ce genre de choses. Surtout pour un peu de nourriture partagée. Alors voilà..."

Il marqua un temps de silence. Une petite étincelle était à nouveau apparut au d'un doigt du jeune mutant.

"Il faut que tu fasses attention à ça. Je peux t'aider à trouver des gens comme toi. Mais je voudrais que tu fasses quelque chose, pour moi..."

L'homme regarda derrière lui. Mais on ne voyait plus personne.

L'homme sourit. Il comprenait bien le jeune homme. Il savait ce que c'était qu'être différent. Il reprit la parole, soulagé que le jeune homme accepte de l'aider.

"Ici, la vie est rude. Je ne sais pas si notre fils supportera longtemps cette vie. Je voudrais que tu me promettes que s'il m'arrivait quelque chose tu prendrais soin de lui..."