- Le courtier temporelConscience collective
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Date d'inscription : 23/01/2006
Description des chambres
Lun 14 Jan 2008 - 23:40
Sur la porte, une feuille punaisée indique :
A l’intérieur plane une lourde odeur de putréfaction, de sueur stagnante, d’ordures moisissantes et de chaussettes mouillées. Cela provient notamment du placard collé contre le mur. Sa porte entrebâillée laisse voir un empilement de boites de conserves ouvertes, ainsi que divers plats et récipients contenant des bouillies sombres et odorantes. De nombreuses mouches volent ici et là et des cuillères sales sont rangées dans un pot à crayon.
Il y a deux lits superposés contre le mur du fond, mais seul celui du bas est occupé. Il est défait et s’y entassent des vêtements sales de toute nature, en particulier des chaussettes et des tee-shirts noirs de crasse. Au pied du lit gît un sac de sport où sont en revanche rangés avec soin quelques vêtements propres et des affaires de toilette.
Sur le bureau, près du lit d’Alixtide se trouvent quelques menues affaires de cours : un carnet, un stylo bille et quelques feuilles de papier. Des restes d’une grenade lacrymogène sont éparpillés sur un rayon de l’armoire, ainsi que deux vieux numéros jaunis et gondolants de La Sentinelle, et un billet d’avion corné.
Une serpillière usagée est pliée sur le dossier de la chaise. Le coin douche semble n’avoir jamais servi, si ce n’est que le bac de douche et le lavabo servent à stocker des casseroles et autres gamelles remplies de substances en cours de putréfaction. Une odeur acide et sordide se dégage. Quelques cafards et autres nuisibles courent le long des murs.
Un meuble a été placé devant la seule fenêtre, couvrant une partie de la lumière du jour, et surtout empêchant l’accès à la poignée de la fenêtre.
La corbeille à papier contient quelques pommes et bananes en voie de pourrissement.
Alixtide a également suspendu au plafonnier par les lacets sa deuxième paire de basket, afin de parfaire l’ambiance olfactive de la chambre.
Chambre d’Alixtide
Merci de laissé la porte fermé.
A l’intérieur plane une lourde odeur de putréfaction, de sueur stagnante, d’ordures moisissantes et de chaussettes mouillées. Cela provient notamment du placard collé contre le mur. Sa porte entrebâillée laisse voir un empilement de boites de conserves ouvertes, ainsi que divers plats et récipients contenant des bouillies sombres et odorantes. De nombreuses mouches volent ici et là et des cuillères sales sont rangées dans un pot à crayon.
Il y a deux lits superposés contre le mur du fond, mais seul celui du bas est occupé. Il est défait et s’y entassent des vêtements sales de toute nature, en particulier des chaussettes et des tee-shirts noirs de crasse. Au pied du lit gît un sac de sport où sont en revanche rangés avec soin quelques vêtements propres et des affaires de toilette.
Sur le bureau, près du lit d’Alixtide se trouvent quelques menues affaires de cours : un carnet, un stylo bille et quelques feuilles de papier. Des restes d’une grenade lacrymogène sont éparpillés sur un rayon de l’armoire, ainsi que deux vieux numéros jaunis et gondolants de La Sentinelle, et un billet d’avion corné.
Une serpillière usagée est pliée sur le dossier de la chaise. Le coin douche semble n’avoir jamais servi, si ce n’est que le bac de douche et le lavabo servent à stocker des casseroles et autres gamelles remplies de substances en cours de putréfaction. Une odeur acide et sordide se dégage. Quelques cafards et autres nuisibles courent le long des murs.
Un meuble a été placé devant la seule fenêtre, couvrant une partie de la lumière du jour, et surtout empêchant l’accès à la poignée de la fenêtre.
La corbeille à papier contient quelques pommes et bananes en voie de pourrissement.
Alixtide a également suspendu au plafonnier par les lacets sa deuxième paire de basket, afin de parfaire l’ambiance olfactive de la chambre.
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Re: Description des chambres
Lun 14 Jan 2008 - 23:42
Chambre de Niko et Lucas :
Une porte vierge de toute décoration s’ouvre sur une chambre qui semble spacieuse grâce à la disposition aérée des meubles. En effet, Niko a placé le mobilier de telle sorte que si son pouvoir se déclenchait malencontreusement, il aurait la place nécessaire pour ne pas tout démolir. Contre le mur opposé à la porte trône le bureau, assez large pour que deux personnes y travaillent en même temps. Il est en effet séparé très nettement en deux parties, même si aucune frontière ne les délimite. Le côté de Niko est un amoncellement informe de cahiers et de feuilles superposés et éparpillés sans aucune logique. Le côté de Lucas est bien plus ordonné, sans être pour autant parfait. Un simple bloc de feuilles est posé en travers du plan de travail, avec un ou deux stylos à bille posés dessus. Le reste des ustensiles servant à écrire étant cloisonné dans une trousse à côté de laquelle se dressent deux fardes à anneaux contenant les notes de cours.
Le lit à double étage est situé à côté de la porte de la salle de bain. C’est Niko qui occupe le dessus, alors que Lucas dort en bas. Sur le sol, caché sous le lit, se trouve un véritable garde-manger, celui de Niko bien entendu, encore que Lucas se serve de temps en temps lorsqu’il est tenté… Chips, cookies, bonbons et biscuits divers, plus autres nourritures chapardées dans la cuisine.
L’armoire est elle aussi divisée en deux. La partie du haut sert à Niko pour ranger ses quelques vêtements. Celle du bas est occupée par les habits divers de Lucas, classés par saisons. Tous les habits de l’armoire sont presque neufs, car ils ont été achetés récemment.
Un coin de la chambre a été aménagé par Niko pour s’entraîner au combat, avec tout ce qui lui est nécessaire à cette fin. Cachée sous l’oreiller de Lucas, une photo abimée de Cassandre Deneos. Comme il défend à tout le monde d’approcher son lit, personne ne l’a encore trouvée.
Une porte vierge de toute décoration s’ouvre sur une chambre qui semble spacieuse grâce à la disposition aérée des meubles. En effet, Niko a placé le mobilier de telle sorte que si son pouvoir se déclenchait malencontreusement, il aurait la place nécessaire pour ne pas tout démolir. Contre le mur opposé à la porte trône le bureau, assez large pour que deux personnes y travaillent en même temps. Il est en effet séparé très nettement en deux parties, même si aucune frontière ne les délimite. Le côté de Niko est un amoncellement informe de cahiers et de feuilles superposés et éparpillés sans aucune logique. Le côté de Lucas est bien plus ordonné, sans être pour autant parfait. Un simple bloc de feuilles est posé en travers du plan de travail, avec un ou deux stylos à bille posés dessus. Le reste des ustensiles servant à écrire étant cloisonné dans une trousse à côté de laquelle se dressent deux fardes à anneaux contenant les notes de cours.
Le lit à double étage est situé à côté de la porte de la salle de bain. C’est Niko qui occupe le dessus, alors que Lucas dort en bas. Sur le sol, caché sous le lit, se trouve un véritable garde-manger, celui de Niko bien entendu, encore que Lucas se serve de temps en temps lorsqu’il est tenté… Chips, cookies, bonbons et biscuits divers, plus autres nourritures chapardées dans la cuisine.
L’armoire est elle aussi divisée en deux. La partie du haut sert à Niko pour ranger ses quelques vêtements. Celle du bas est occupée par les habits divers de Lucas, classés par saisons. Tous les habits de l’armoire sont presque neufs, car ils ont été achetés récemment.
Un coin de la chambre a été aménagé par Niko pour s’entraîner au combat, avec tout ce qui lui est nécessaire à cette fin. Cachée sous l’oreiller de Lucas, une photo abimée de Cassandre Deneos. Comme il défend à tout le monde d’approcher son lit, personne ne l’a encore trouvée.
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Re: Description des chambres
Lun 14 Jan 2008 - 23:44
Chambre de Juliette :
Sur la porte de la chambre, à hauteur du regard d’un adulte de taille respectable, vous pouvez apercevoir une plaque ovale d’environ quinze centimètres de largeur, pour huit ou dix centimètres de longueur. Le contour de celle-ci se compose d’un savant entrelacement de petites roses noires, dont les tiges semblent se rejoindre sans jamais discontinuer…. Et au centre de cet encadrement végétal, vous pouvez y lire, en lettre élégamment manuscrite, le prénom de la jeune maîtresse des lieux… Juliette !
En pénétrant dans cette chambre, unique à l’institut s’il en est, la première chose qui vous frappe est le ténébreux cercueil qui trône plus ou moins au centre de la pièce. C’est un ouvrage magnifique, bien que très inhabituel en ce lieu de vie, en chêne massif et peint en noir, recouvert d’un vernis spécial qui lui donne une certaine brillance lorsqu’une source de lumière vient à en effleurer la surface, comme par exemple une lumière ambiante. Lorsqu’il est inutilisé, le couvercle à double battant en est refermé et un immense drap de satin noir le recouvre dans sa quasi intégralité, laissant pendre ses pans à quelques millimètres du sol Tapissé d’une moquette de couleur chaude et apaisante.
Sur le mur situé en face de la porte d’entrée de la chambre, vous pouvez apercevoir une large fenêtre à double battant, légèrement décalé sur la gauche. D’immenses tentures en velours sombre y sont accroché, derrière lesquelles vous pouvez découvrir des rideaux plus petits et plus classiques, mais tout aussi ténébreux dans leurs dentelles finement ouvragées. Un adroit maillage merveilleusement artistique, qui permet de réduire la trop forte luminosité d’un été au soleil un peu trop insistant. A la gauche de cette même fenêtre, vous découvrirez aussi une bibliothèque de taille respectable vu le peu de place disponible dans la pièce, remplis de divers ouvrages dont une grande partie concerne l’art sous toute ses formes. Maintenant, revenons à la droite de cette même fenêtre, voulez-vous.. ?
Un premier bureau effleure l’embrasure de ladite fenêtre. Un bureau que s’est rapidement appropriée la maîtresse des lieux, préférant ainsi l’agréable luminosité déclinante d’une fin de journée, de préférence pas trop ensoleillé, à la sombre clarté dont bénéficie actuellement le second bureau de la pièce. Hormis les différentes choses que l’on peux s’attendre à trouver sur le bureau d’une étudiante, un peu spéciale, il est vrai, il trône, dans le coin supérieur droit de celui-ci, une petite statuette d’une trentaine de centimètres de hauteur. Celle-ci, toute en porcelaine, représente une jeune femme drapée dans une longue cape ténébreuse, qui ne laisse entrevoir qu’une partie de sa cuisse droite du au fait que son pied repose sur un sol rocailleux légèrement surélevé et parsemé de quelques tombes, ainsi que son visage laiteux finement dessiné, tandis que son regard minutieusement ouvragé donne le dérangeant sentiment que ses yeux brillants, d’une froideur semblable à celle de sa jeune propriétaire, vous observe quelque soit l’endroit de la pièce ou vous vous trouviez.
Sur les murs de la chambre, vous ne verrez aucunement la moindre image, la moindre photo, fut-elle de famille ou bien d’ami… La seule représentation visuelle que vous verrez, est un immense poster de la taille d’une affiche de cinéma installée juste au dessus du bureau utilisé, et qui représente la couverture d’un comics parut au siècles dernier.
Il représente un personnage que la maîtresse des lieux semble particulièrement affectionnée, et dont elle possède d’ailleurs l’ouvrage en question… Un bien, rare et précieux, qu’elle conserve amoureusement et avec un grand soin, dans ses affaires, loin de toutes mains indélicates et potentiellement destructrices.
Hormis les lits superposés que la maîtresse des lieux a repoussé contre le mur que vous découvrirez en tournant le regard en direction de votre gauche, ce dernier n’abrite que peu de chose… Pratiquement rien à vrai dire, si ce n’est le second bureau que la chambre abrite. Ce dernier est d’ailleurs inutilisé pour le moment, la maîtresse des lieux lui ayant rapidement préféré son homologue.
Venons en maintenant au mur situé sur votre droite… La encore, très peu de choses… Un large commode d’environ un mètres vingt de hauteur occupe l’espace vierge, une commode qui n’est pas vraiment assorti au reste de la décoration de la chambre, mais c’est un meuble qui était déjà présent lors de l’installation de sa jeune locataire si particulière.
Derrière vous, à bonne distance de la porte d’entrée, vous pouvez voir une large armoire d’environ deux mètres de hauteur, d’une contenance assez importante, ce qui, vu la nature des vêtements de la maîtresse des lieux, est un plus assez appréciable. Tout comme la commode, c’est un meuble qui était déjà présent à l’origine.
Pour ce qui est de l’éclairage, il y à deux lampes halogènes sur pied dans la pièce. La première se trouve à la droite du bureau occupé, et diffuse une douce luminosité chaleureuse, au grand plaisir de l’occupante des lieux. La seconde quand à elle, s’est vu, tout comme les lits superposés, relégué contre le murs de gauche. Mais ce que préfère la maîtresse des lieux, et qui frappe d’autant plus les gens qui pénètrent dans la chambre, ce sont les bougies. Elle en a disséminés un peu partout dans la pièce, que soit à même les meubles ou bien encore sur des chandeliers à main ou encore, sur pied. Ces derniers atteignent généralement une hauteur de un mètres quatre vingt. En réalité, l’éclairage électrique n’est que très peu usité, la préférence de la maîtresse des lieux allant ouvertement vers un éclairage à l’ancienne, qui donne un cachet tout particulier à la chambre lorsque tombe l’obscurité de la nuit…
Sur la porte de la chambre, à hauteur du regard d’un adulte de taille respectable, vous pouvez apercevoir une plaque ovale d’environ quinze centimètres de largeur, pour huit ou dix centimètres de longueur. Le contour de celle-ci se compose d’un savant entrelacement de petites roses noires, dont les tiges semblent se rejoindre sans jamais discontinuer…. Et au centre de cet encadrement végétal, vous pouvez y lire, en lettre élégamment manuscrite, le prénom de la jeune maîtresse des lieux… Juliette !
En pénétrant dans cette chambre, unique à l’institut s’il en est, la première chose qui vous frappe est le ténébreux cercueil qui trône plus ou moins au centre de la pièce. C’est un ouvrage magnifique, bien que très inhabituel en ce lieu de vie, en chêne massif et peint en noir, recouvert d’un vernis spécial qui lui donne une certaine brillance lorsqu’une source de lumière vient à en effleurer la surface, comme par exemple une lumière ambiante. Lorsqu’il est inutilisé, le couvercle à double battant en est refermé et un immense drap de satin noir le recouvre dans sa quasi intégralité, laissant pendre ses pans à quelques millimètres du sol Tapissé d’une moquette de couleur chaude et apaisante.
Sur le mur situé en face de la porte d’entrée de la chambre, vous pouvez apercevoir une large fenêtre à double battant, légèrement décalé sur la gauche. D’immenses tentures en velours sombre y sont accroché, derrière lesquelles vous pouvez découvrir des rideaux plus petits et plus classiques, mais tout aussi ténébreux dans leurs dentelles finement ouvragées. Un adroit maillage merveilleusement artistique, qui permet de réduire la trop forte luminosité d’un été au soleil un peu trop insistant. A la gauche de cette même fenêtre, vous découvrirez aussi une bibliothèque de taille respectable vu le peu de place disponible dans la pièce, remplis de divers ouvrages dont une grande partie concerne l’art sous toute ses formes. Maintenant, revenons à la droite de cette même fenêtre, voulez-vous.. ?
Un premier bureau effleure l’embrasure de ladite fenêtre. Un bureau que s’est rapidement appropriée la maîtresse des lieux, préférant ainsi l’agréable luminosité déclinante d’une fin de journée, de préférence pas trop ensoleillé, à la sombre clarté dont bénéficie actuellement le second bureau de la pièce. Hormis les différentes choses que l’on peux s’attendre à trouver sur le bureau d’une étudiante, un peu spéciale, il est vrai, il trône, dans le coin supérieur droit de celui-ci, une petite statuette d’une trentaine de centimètres de hauteur. Celle-ci, toute en porcelaine, représente une jeune femme drapée dans une longue cape ténébreuse, qui ne laisse entrevoir qu’une partie de sa cuisse droite du au fait que son pied repose sur un sol rocailleux légèrement surélevé et parsemé de quelques tombes, ainsi que son visage laiteux finement dessiné, tandis que son regard minutieusement ouvragé donne le dérangeant sentiment que ses yeux brillants, d’une froideur semblable à celle de sa jeune propriétaire, vous observe quelque soit l’endroit de la pièce ou vous vous trouviez.
Sur les murs de la chambre, vous ne verrez aucunement la moindre image, la moindre photo, fut-elle de famille ou bien d’ami… La seule représentation visuelle que vous verrez, est un immense poster de la taille d’une affiche de cinéma installée juste au dessus du bureau utilisé, et qui représente la couverture d’un comics parut au siècles dernier.
Il représente un personnage que la maîtresse des lieux semble particulièrement affectionnée, et dont elle possède d’ailleurs l’ouvrage en question… Un bien, rare et précieux, qu’elle conserve amoureusement et avec un grand soin, dans ses affaires, loin de toutes mains indélicates et potentiellement destructrices.
Hormis les lits superposés que la maîtresse des lieux a repoussé contre le mur que vous découvrirez en tournant le regard en direction de votre gauche, ce dernier n’abrite que peu de chose… Pratiquement rien à vrai dire, si ce n’est le second bureau que la chambre abrite. Ce dernier est d’ailleurs inutilisé pour le moment, la maîtresse des lieux lui ayant rapidement préféré son homologue.
Venons en maintenant au mur situé sur votre droite… La encore, très peu de choses… Un large commode d’environ un mètres vingt de hauteur occupe l’espace vierge, une commode qui n’est pas vraiment assorti au reste de la décoration de la chambre, mais c’est un meuble qui était déjà présent lors de l’installation de sa jeune locataire si particulière.
Derrière vous, à bonne distance de la porte d’entrée, vous pouvez voir une large armoire d’environ deux mètres de hauteur, d’une contenance assez importante, ce qui, vu la nature des vêtements de la maîtresse des lieux, est un plus assez appréciable. Tout comme la commode, c’est un meuble qui était déjà présent à l’origine.
Pour ce qui est de l’éclairage, il y à deux lampes halogènes sur pied dans la pièce. La première se trouve à la droite du bureau occupé, et diffuse une douce luminosité chaleureuse, au grand plaisir de l’occupante des lieux. La seconde quand à elle, s’est vu, tout comme les lits superposés, relégué contre le murs de gauche. Mais ce que préfère la maîtresse des lieux, et qui frappe d’autant plus les gens qui pénètrent dans la chambre, ce sont les bougies. Elle en a disséminés un peu partout dans la pièce, que soit à même les meubles ou bien encore sur des chandeliers à main ou encore, sur pied. Ces derniers atteignent généralement une hauteur de un mètres quatre vingt. En réalité, l’éclairage électrique n’est que très peu usité, la préférence de la maîtresse des lieux allant ouvertement vers un éclairage à l’ancienne, qui donne un cachet tout particulier à la chambre lorsque tombe l’obscurité de la nuit…
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Re: Description des chambres
Lun 14 Jan 2008 - 23:46
Chambre de Tim et Nanikana :
En entrant dans la chambre sur la porte de laquelle on lisait "Tim et Nanikana", qui pouvait facilement passer pour une chambre standard, tout nouvellement occupée, et c'était bel et bien l'impression qui s'en dégageait de prime abord. En observant plus attentivement, cependant, l'attrappeur de rêve, accroché à la fenêtre, ainsi que les coups de griffes au bas de celle-ci et quelques traces de brûlures ça et là contredisaient bien vite cette impression. Les deux garçons avaient néanmoins, à mesure des mois qu'ils avaient passé dans cette chambre, apporté deux ou trois touches personnelles. Ivy leur avait fait cadeau d'un bonsaï, Tim avait accroché quelques photos tout droit sorties de l'appareil d'Angel et il avait placé sur leur bureau cinq bougies en ligne qu'il s'amusait à allumer de loin quand il rentrait dans la pièce, et que Nan' prenait bien garde d'éteindre, évidemment.
Le lit du bas était constamment défait, Nan' y dormant en boule, le plus enroulé possible dans ses couvertures, qu'il laissait telles quelles au réveil et repoussait vers le fond lorsqu'il décidait de discuter avec Tim, dont le lit était "à l'étage".
Lit qui, quant à lui, était fait le plus souvent, ne comportait qu'un simple drap en raison de la tendance naturelle de Tim à avoir chaud, un oreiller et, sous cet oreiller, l'un des caleçons que seul son algonquin préféré avait droit de contempler et sur lequel était toujours dessiné un motif plus ou moins ridicule et, entre l'oreiller et le mur, une petite statuette en bois que Nan lui avait fait et dont Tim s'était bien gardé de demander la signification à l'offrant.
Sous son lit, Nan' conservait des bouts de bois, des plumes, des cordes et d'autres objets qui lui étaient interessants, car dans ses temps libres, il fabriquait des objets bien de chez lui, qu'il gardait aussi rangées sous le lit (outre l'attrappeur de rêve, il s'était construit une paire de raquettes en prévision de l'hiver, ainsi qu'un instrument de musique creusé à même le bois. Il avait aussi sculpté deux petites statuettes, représentant Kibib et Kabeyun. La troisième esprit du vent était en cours de fabrication. Contre toute attente, Nan' était assez propre et ramassait toujours les copeaux de bois et autres détritus qui s'égaraient sur le sol.
De la fenêtre, on avait une vue sur le jardin, mais surtout sur la grille de l'Institut, comme toutes les autres chambres de ce côté de l'aile des garçons.
En entrant dans la chambre sur la porte de laquelle on lisait "Tim et Nanikana", qui pouvait facilement passer pour une chambre standard, tout nouvellement occupée, et c'était bel et bien l'impression qui s'en dégageait de prime abord. En observant plus attentivement, cependant, l'attrappeur de rêve, accroché à la fenêtre, ainsi que les coups de griffes au bas de celle-ci et quelques traces de brûlures ça et là contredisaient bien vite cette impression. Les deux garçons avaient néanmoins, à mesure des mois qu'ils avaient passé dans cette chambre, apporté deux ou trois touches personnelles. Ivy leur avait fait cadeau d'un bonsaï, Tim avait accroché quelques photos tout droit sorties de l'appareil d'Angel et il avait placé sur leur bureau cinq bougies en ligne qu'il s'amusait à allumer de loin quand il rentrait dans la pièce, et que Nan' prenait bien garde d'éteindre, évidemment.
Le lit du bas était constamment défait, Nan' y dormant en boule, le plus enroulé possible dans ses couvertures, qu'il laissait telles quelles au réveil et repoussait vers le fond lorsqu'il décidait de discuter avec Tim, dont le lit était "à l'étage".
Lit qui, quant à lui, était fait le plus souvent, ne comportait qu'un simple drap en raison de la tendance naturelle de Tim à avoir chaud, un oreiller et, sous cet oreiller, l'un des caleçons que seul son algonquin préféré avait droit de contempler et sur lequel était toujours dessiné un motif plus ou moins ridicule et, entre l'oreiller et le mur, une petite statuette en bois que Nan lui avait fait et dont Tim s'était bien gardé de demander la signification à l'offrant.
Sous son lit, Nan' conservait des bouts de bois, des plumes, des cordes et d'autres objets qui lui étaient interessants, car dans ses temps libres, il fabriquait des objets bien de chez lui, qu'il gardait aussi rangées sous le lit (outre l'attrappeur de rêve, il s'était construit une paire de raquettes en prévision de l'hiver, ainsi qu'un instrument de musique creusé à même le bois. Il avait aussi sculpté deux petites statuettes, représentant Kibib et Kabeyun. La troisième esprit du vent était en cours de fabrication. Contre toute attente, Nan' était assez propre et ramassait toujours les copeaux de bois et autres détritus qui s'égaraient sur le sol.
De la fenêtre, on avait une vue sur le jardin, mais surtout sur la grille de l'Institut, comme toutes les autres chambres de ce côté de l'aile des garçons.
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Re: Description des chambres
Lun 9 Fév 2009 - 23:58
Chambre de Luther
La chambre de Luther était à l'image de son occupant : un peu baroque. La décoration était sobre, mais soignée, et pleine de couleurs et de petits détails qui démontraient le goût de Luther pour les jolies choses. Quelques posters accrochés au mur démontraient sans équivoque son goût pour les beaux garçons, mais en même temps, son bureau était orné de deux cadres de personnes qui relevaient une importance particulière pour lui : sa mère, et pépé Pollender.
Au dessus de son bureau, un drapeau du Québec était étendu.
Il avait pris la liberté de placer sa vaste garde-robe dans les placards et meubles des deux locataires, qu'il avait très soigneusement pliée et rangée.
L'ensemble de la chambre était plutôt propre et rangé, et seuls quelques livres de cours ou romans traînaient sur le bureau, et sur la table de chevet.
Au dessus de son bureau, un drapeau du Québec était étendu.
Il avait pris la liberté de placer sa vaste garde-robe dans les placards et meubles des deux locataires, qu'il avait très soigneusement pliée et rangée.
L'ensemble de la chambre était plutôt propre et rangé, et seuls quelques livres de cours ou romans traînaient sur le bureau, et sur la table de chevet.
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Re: Description des chambres
Sam 3 Avr 2010 - 20:56
Chambre de Vadim
La chambre de Vadim était spartiate et sans ornements particuliers, contrairement à son bureau à l'étage inférieur. On retrouvait simplement, sur une petite table, tout le nécessaire pour faire bouillir l'eau et préparer le thé.
Il avait installé une barre de traction dans l'encadrement de la porte de la salle de bain, et quelques haltères étaient alignés contre un mur. Une armoire de simple facture contenait toutes les affaires du Russe, soigneusement rangées. A l'intérieur de la porte se trouvait un miroir permettant de se contempler de pied en cap.
Les murs étaient nus, exceptée une photo sous verre, accrochée en face du lit :
La chambre de Vadim était spartiate et sans ornements particuliers, contrairement à son bureau à l'étage inférieur. On retrouvait simplement, sur une petite table, tout le nécessaire pour faire bouillir l'eau et préparer le thé.
Il avait installé une barre de traction dans l'encadrement de la porte de la salle de bain, et quelques haltères étaient alignés contre un mur. Une armoire de simple facture contenait toutes les affaires du Russe, soigneusement rangées. A l'intérieur de la porte se trouvait un miroir permettant de se contempler de pied en cap.
Les murs étaient nus, exceptée une photo sous verre, accrochée en face du lit :
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