- InvitéInvité
Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 2:31
La nuit tombée sur la fastueuse citée de Saint-Pétersbourg, les rives de la Néva étaient éclairées, comme en chaque début de soirée l'Hermitage resplendissait face à la demeure Prokhorov et sur les calmes vague du fleuve. Aleksandr Prokhorov avait fait en sorte que cette résidence soit décoré, comme à l'époque des derniers tsars, de la fin de l'empire,.. Le style néo-baroque tricentenaire, qui reproduisait à l'identique la décoration d'origine de la demeure. Aleksandr Prokhorov était à la tête d'une des plus grosses fortunes de Russie, possédant le groupe «Prokhorov Investissement Corporation», qui était un des fonds d'investissement brassant le plus d'argent au monde. Les puissants était des gens comme les autres, même quand ils étaient à la tête d'un capital tel que celui d'Aleksandr demeurer des êtres normaux, avec leurs facéties, leurs passions, les hobbies, leurs vices,... Mais d'aucun n'avait un carnet d'adresse aussi réputé qu'Aleksandr Prokhorov, on disait de lui qu'il pouvait faire tomber un gouvernement d'un seul coup de fil, celui de Russie notamment, ce qui lui permettait une sécurité. Il avait la réputation d'investir de partout et de transformer tout ce qu'il touchait en or, mais aussi d'être parmi les requins de la finance, l'un des plus redoutables. Depuis, qu'il était à la tête de Prokhorov Investissement Corporation, il investissait beaucoup dans les politiques ce qui faisait qu'il avait beaucou investi dans le parti en place pour le bon plaisir du Kremlin. Ce qui en faisait un être encore plus redoutable. Ce qui de prime abord ne transpirait pas, il avait des dossiers sur tout le monde et si on se mettait sur son chemin il avait tendance à nous écraser, comme on disait. Ce requin de la finance devait son incroyable influence et sa redoutable réputation à la toile d'informateurs qu'il c'était tissé, on pouvait compter parmi eux, son ami et vieil ami de la famille, Mikhail Yourtchev. Yourtchev était une des pointures du FSB, les services secrets russes, réputé pour être agent de liaison avec divers service de renseignement notamment le SVR ou Service de Renseignement Extérieur et le GRU ou Service de Renseignement Militaire, entre autre,... C'était ses hommes qui faisaient l'influence d'Aleksandr.
Mais les puissants avaient tous un vice caché, un de ses petits défaut comme tout un chacun, en ce moment leur grands vices c'étaient la quête des «Mutants», toutes les fortunes de la «Mère Patrie» s'occupaient de ce sujet. Depuis les incidents de Sibérie toutes les personnes de se bords de la Néva, s'intéressant au mutants, véritable phénomène de société, les nantis dépensaient leurs argents à tous savoirs sur les «Mutants» et parier sur les prochaines actions de ceux-ci. Dans un sens sa arranger Aleksandr, qui avait des parts chez les bookmakers officiels, mais d'un autre côté sa inquiéter le Kremlin, Moscou et le gouvernement tout entier. La soirée commençai, Aleksandr attendait la venu de Mikhail Yourtchev, il l'avait invité pour dîner et parler affaire, les deux étant agréable avec un ami. Il c'était installé pour attendre dans le «Petit Salon», il préférait l'atmosphère intimiste de la pièce, pour dîner, sauf s'il prévoyait un grand nombre d'invités. La pièce portait bien son nom, petite deux entrées, une cheminée, deux tables, six chaises,... Une des tables devant la cheminée accompagnée de deux chaises, la plus grande des deux tables au centre de la pièce, la pièce n'était pas tellement grande. Des couverts et des assiettes étaient déjà installés, tout était prêt pour le dîner, le verre de Mikhail d'apéritif de Mikhail était déjà prêt. Aleksandr lui se contenter de réviser ses dossiers, sur son ordinateur, attendant son invité. Mikhail était connu pour sa capacité à ne pas être toujours très à l'heure, mais à dix-neuf heures moins le quart, il avait le temps, Mikhail ne devait pas venir qu'à dix-neuf heures, en même temps il était tellement impromptu qu'il aurait pu arriver à dix-huit heures.
Aleksandr avait déjà revêtu sa tenu, en homme qui se couche tôt, il était déjà en pyjama et en robe de chambre noire, le tout ajoutant à sa pâleur naturelle. C'était une habitude à laquelle tous les hommes traitant avec lui c'était fait au fil du temps après dix-huit heures trente, il revêtait son pyjama et sa robe de chambre, pour anticiper son coucher, comme il dormait beaucoup à cause de sa maladie on l'en excusé poliment. Recevoir en cette tenue ajouter du cachet à la décoration, sa robe de chambre n'aillant rien à faire avec celles qu'on faisait de nos jours, mais un de ses vieilles robes de chambre de satin noir avec une simple ficelle pour la tenir, le pyjama lui était de soie. Son ordinateur lui avait beaucoup de choses sur les «Mutants», disparition, incidents, etc. Il en avait appris beaucoup sur le sujet et avait notamment lu la genèse théorique des généticiens, ils avaient tous une idée différente sur le problème. Il avait demandé à Mikhail d'amener sa boite à malice, il voulait en en apprendre un maximum sur le sujet et Mikhail avait toute la somme des informations dont devait disposer le Kremlin à l'heure actuel, certaine certes confidentiel, mais d'autre non. Il sa propre garde personnelle et avait envoyer des ordres précis l'accueil:
«Accueillez le, comme d'habitude, comme si c'était un membre de ma famille. Mais, faite lui passez le barrage de sécurité, s'il est armé, ce qui pour un homme ayant ses fonctions suivez la procédure habituel, sans le brusquer, mais s'il refuse de poser les armes, bénissez le jour de sa mort. Et que l'on fasse sortir une de mes meilleures bouteilles de la cave, Monsieur Yourtchev est un amateur de grand cru.»
Aleksandr était très pointilleux sur la sécurité, surtout la sienne, depuis les incidents de Sibérie, comme tous les nantis pour suivre le mouvement ça garde avait doublé, de vingt, il était passé à quarante veillant sur les trois étages de la demeure.De plus, avantage de la fortune et de bonne relation avec le parti au pouvoir l'alarme était directement connecté au centrale de police et à la base militaire de Saint-Pétersbourg, avoir l'armée comme garde personnelle était le comble du luxe. Enfin c'était surtout du au fait qu'Aleksandr en important membre du parti, avait aidé la fuit des finance de nombreux membre du parti et haut-fonctionnaires, vers divers paradis fiscaux, pour lui la chose était simple ses actions brassait des millions chaque jours. C'était comme cela que le jeune homme pouvait se permettre d'avoir un haut-fonctionnaire de la FSB à sa ttable malgré la situation de crise. Il attendait donc, tranquillement son invité, bien-sûr ce dernier profiterait de l'apéritif et de l'alcool pour deux, c'était un des rares luxe qu'Aleksandr ne pouvait se permettre à cause de son traitement. Ça faisait deux mois, qu'il n'avait pas vu Mikhail, ils avaient échangés des messages, mais sa ne valait pas un repas, avec un vieil ami d'enfance de son père, qui par la force des choses étaient devenues le siens aussi. Il fallait expèrer que son vieil ami se souviendrait de leurs amitiés, de toute manière en ami du parti, Mikhail avait du recevoir des directives de ses supèrieurs sur quoi dire et surtout se qu'il ne fallait pas dire...
Mais les puissants avaient tous un vice caché, un de ses petits défaut comme tout un chacun, en ce moment leur grands vices c'étaient la quête des «Mutants», toutes les fortunes de la «Mère Patrie» s'occupaient de ce sujet. Depuis les incidents de Sibérie toutes les personnes de se bords de la Néva, s'intéressant au mutants, véritable phénomène de société, les nantis dépensaient leurs argents à tous savoirs sur les «Mutants» et parier sur les prochaines actions de ceux-ci. Dans un sens sa arranger Aleksandr, qui avait des parts chez les bookmakers officiels, mais d'un autre côté sa inquiéter le Kremlin, Moscou et le gouvernement tout entier. La soirée commençai, Aleksandr attendait la venu de Mikhail Yourtchev, il l'avait invité pour dîner et parler affaire, les deux étant agréable avec un ami. Il c'était installé pour attendre dans le «Petit Salon», il préférait l'atmosphère intimiste de la pièce, pour dîner, sauf s'il prévoyait un grand nombre d'invités. La pièce portait bien son nom, petite deux entrées, une cheminée, deux tables, six chaises,... Une des tables devant la cheminée accompagnée de deux chaises, la plus grande des deux tables au centre de la pièce, la pièce n'était pas tellement grande. Des couverts et des assiettes étaient déjà installés, tout était prêt pour le dîner, le verre de Mikhail d'apéritif de Mikhail était déjà prêt. Aleksandr lui se contenter de réviser ses dossiers, sur son ordinateur, attendant son invité. Mikhail était connu pour sa capacité à ne pas être toujours très à l'heure, mais à dix-neuf heures moins le quart, il avait le temps, Mikhail ne devait pas venir qu'à dix-neuf heures, en même temps il était tellement impromptu qu'il aurait pu arriver à dix-huit heures.
Aleksandr avait déjà revêtu sa tenu, en homme qui se couche tôt, il était déjà en pyjama et en robe de chambre noire, le tout ajoutant à sa pâleur naturelle. C'était une habitude à laquelle tous les hommes traitant avec lui c'était fait au fil du temps après dix-huit heures trente, il revêtait son pyjama et sa robe de chambre, pour anticiper son coucher, comme il dormait beaucoup à cause de sa maladie on l'en excusé poliment. Recevoir en cette tenue ajouter du cachet à la décoration, sa robe de chambre n'aillant rien à faire avec celles qu'on faisait de nos jours, mais un de ses vieilles robes de chambre de satin noir avec une simple ficelle pour la tenir, le pyjama lui était de soie. Son ordinateur lui avait beaucoup de choses sur les «Mutants», disparition, incidents, etc. Il en avait appris beaucoup sur le sujet et avait notamment lu la genèse théorique des généticiens, ils avaient tous une idée différente sur le problème. Il avait demandé à Mikhail d'amener sa boite à malice, il voulait en en apprendre un maximum sur le sujet et Mikhail avait toute la somme des informations dont devait disposer le Kremlin à l'heure actuel, certaine certes confidentiel, mais d'autre non. Il sa propre garde personnelle et avait envoyer des ordres précis l'accueil:
«Accueillez le, comme d'habitude, comme si c'était un membre de ma famille. Mais, faite lui passez le barrage de sécurité, s'il est armé, ce qui pour un homme ayant ses fonctions suivez la procédure habituel, sans le brusquer, mais s'il refuse de poser les armes, bénissez le jour de sa mort. Et que l'on fasse sortir une de mes meilleures bouteilles de la cave, Monsieur Yourtchev est un amateur de grand cru.»
Aleksandr était très pointilleux sur la sécurité, surtout la sienne, depuis les incidents de Sibérie, comme tous les nantis pour suivre le mouvement ça garde avait doublé, de vingt, il était passé à quarante veillant sur les trois étages de la demeure.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 11:26
(Note : Lors de ton inscription, il t'a été précisé de ne pas imposer ton bon plaisir au background du forum. J'ai barré un certain nombre de choses dans ton post qui s'apparentaient un petit peu trop au rêve... Je me réserve le droit d'ignorer un certain nombre d'autres choses.
Même si visiblement ton personnage te sert à compenser un quelconque désir, il ne faut pas non plus exagérer...)
Le temps passa, et son fameux invité ne venait pas. Là où un manque de ponctualité était habituel chez lui, un retard aussi important semblait inhabituel voire inquiétant. Peut-être avait-il été appelé pour une mission de dernière minute ? Ou bien avait-il eu des ennuis ?
Un domestique entra finalement dans le petit salon, et alla vers Aleksandr pour lui annoncer :
"Monsieur Yourtchev n'est toujours pas arrivé, mais il y a ici des messieurs qui souhaiteraient vous voir."
C'était passablement évident, dans la mesure où les invités surprise s'étaient permis d'entrer avant même d'avoir reçu l'autorisation du maître de maison.
Un dandy britannique
accompagné d'une personne plus discrète et effacée, portant un attaché-case.
Le domestique se retourna vivement pour aller leur demander de patienter dehors, puis se ravisa subitement, se tut, et sortit. Le dandy s'installa posément dans un fauteuil en face d'Aleksandr, se présentant avec un délicieux accent british.
"Monsieur Prokhorov, bonsoir. Permettez moi de me présenter, je suis Wilson Beckers."
Un nom qui n'éveillait rien de plus qu'un vague souvenir à Prokhorov. Tout occupé qu'il était à sa recherche des mutants, il n'avait que prêté une vague attention à ce nom de la finance montante. Son acolyte s'installa en silence sur un autre fauteuil, la valise sur ses genoux, et planta son regard dans celui d'Aleksandr.
Même si visiblement ton personnage te sert à compenser un quelconque désir, il ne faut pas non plus exagérer...)
Le temps passa, et son fameux invité ne venait pas. Là où un manque de ponctualité était habituel chez lui, un retard aussi important semblait inhabituel voire inquiétant. Peut-être avait-il été appelé pour une mission de dernière minute ? Ou bien avait-il eu des ennuis ?
Un domestique entra finalement dans le petit salon, et alla vers Aleksandr pour lui annoncer :
"Monsieur Yourtchev n'est toujours pas arrivé, mais il y a ici des messieurs qui souhaiteraient vous voir."
C'était passablement évident, dans la mesure où les invités surprise s'étaient permis d'entrer avant même d'avoir reçu l'autorisation du maître de maison.
Un dandy britannique
accompagné d'une personne plus discrète et effacée, portant un attaché-case.
Le domestique se retourna vivement pour aller leur demander de patienter dehors, puis se ravisa subitement, se tut, et sortit. Le dandy s'installa posément dans un fauteuil en face d'Aleksandr, se présentant avec un délicieux accent british.
"Monsieur Prokhorov, bonsoir. Permettez moi de me présenter, je suis Wilson Beckers."
Un nom qui n'éveillait rien de plus qu'un vague souvenir à Prokhorov. Tout occupé qu'il était à sa recherche des mutants, il n'avait que prêté une vague attention à ce nom de la finance montante. Son acolyte s'installa en silence sur un autre fauteuil, la valise sur ses genoux, et planta son regard dans celui d'Aleksandr.
- InvitéInvité
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 12:35
[Je ne l'oublierais plus]
Il regarda les deux hommes avec une vague lueur d'intérêt, un dandy mondain et un acolyte douteux, remplaçant à sa table Mikhail Yourtchev pointure du FSB. C'était un revirement de situation intéressante, quand on savait que l'un était britannique, l'autre probablement aussi par pure logique. Il aimait peu les invités impromptus ou en retards, mais encore moins les invités qui n'en étaient pas hors de question cependant de passer pour déconcerter devant un nom qui lui était familier, une des valeurs montantes de la finance, inconnu personnellement, bonne réputation, pas d'affaire en Russie quelques soit à se quand savait Aleksandr. Mais seul ses affaires l'intéressaient pas celle de Wilson Beckers. Aleksandr bon comédien jouait le rôle de l'homme calme en apparence à la perfection. Il se leva se saisit d'une boite de bois et alla la déposé et devant Beckers, il l'ouvrit en tira un cigare, dont il coupa le bout avant de l'allumer, d'en prendre une bouchée et de commenter avec son accent typiquement.
«Monsieur Beckers tout invités en maison aussi impromptus soit-il aura le droit à tout le respect et tous les charmes qu'offre ma demeure, cigare? Vous en avez de toutes les robes et taille, tolmente a mano, hecho a mano, máquina, pour les robes de la claro claro à l'oscuro. Ou de l'alcool, j'ai de bonne bouteille, contrairement aux cigares ce plaisir ne mets pas permit, whisky? Brandy? Vodka? Ou un bon vin de Tokay?... Demander j'en aviserais Vassili, mon majordome, celui sur lequel vous avez dû trébucher en pénétrant presque de force jusqu'ici.»
Il eut un petit sourire, mais il en pensait pas moins, sa manière hospitalière d'accueillir ses invités avec des commentaires à prendre plutôt sur le tranchant était clair, il ne comptait pas en rester là. Il alla se rasseoir à sa place en face de Beckers, il avait tout de l'homme à femme, un de ses dandy mondain, aux yeux clair avec une barbe de trois jours, un léger côté mauvais garçon, qui en rajouter au côté playboy du personnage. C'était donc ca l'avenir financier de l'occident des milliardaire à la tête de voyou. Il n'en pensait pas moins de l'acolyte de Wilson Beckers, homme sombre, regard sombre, allure mauvaise, mauvais genre, plutôt une gueule de tueurs que de VRP. Avec sa valise sur les genoux, il faisait se questionner Aleksandr, qui le fixa un instant. Puis profita, d'une bouffée de cigare, il reprit avec son accent russe, tout à fait audible comme pour contre balancer avec l'accent britannique, qui donnait un air légèrement snob à son invité.
«Alors, Monsieur Beckers, j'imagine que vous n'êtes pas en train de faire le tour de la Russie avec votre ami, monsieur? Enfin, fusse même vrai que vous fassiez le tour de la Russie, pourquoi en passant pas Saint-Pétersbourg, vous seriez tombé par hasard sur la demeure d'un des plus riches financier de Russie et du monde, même si ma maison à l'image de cette citée est des plus fastueuses. Un style néo-baroque appréciable n'est-ce pas? De belles dorures? De belles peintures? Mais je ne suis pas vendeur, ni vous acheteur, donc vous êtes là pour affaire nécessairement. Quelles affaires avez-vous à me proposer? Vu que je n'ai rien à vous proposer...»
Il demeura silencieux, reprenant une bouchée de cigare et ajoutant en passant distraitement le doigt sur son assiette. Le cigare lui ajouter un côté d'homme d'affaire, mais faisait ressortir avant tout son regard d'aigle, de requin de la finance, dont il fallait se méfier au plus haut points.
«J'étais sur le point de dîner, mais comme mon invité c'est désisté, je vous demanderais si vous avez dîné, dans le cas contraire Vassili nous amènera un couvert de plus pour votre compagnon. Qui sait se dîner pourrait être intéressant...»
Un homme dans sa position, ne pouvait plus se permettre de croire en la coïncidence et si Mikhail avait décidé de ne pas venir, il l'aurait fait prévenir, il y avait comme disé les autres, anguille sous roche et lui adorer les anguilles. Il aimait les mystères ça l'occuper et c'était distrayant pour un homme qui n'avait pas le temps à d'autre distraction.
Il regarda les deux hommes avec une vague lueur d'intérêt, un dandy mondain et un acolyte douteux, remplaçant à sa table Mikhail Yourtchev pointure du FSB. C'était un revirement de situation intéressante, quand on savait que l'un était britannique, l'autre probablement aussi par pure logique. Il aimait peu les invités impromptus ou en retards, mais encore moins les invités qui n'en étaient pas hors de question cependant de passer pour déconcerter devant un nom qui lui était familier, une des valeurs montantes de la finance, inconnu personnellement, bonne réputation, pas d'affaire en Russie quelques soit à se quand savait Aleksandr. Mais seul ses affaires l'intéressaient pas celle de Wilson Beckers. Aleksandr bon comédien jouait le rôle de l'homme calme en apparence à la perfection. Il se leva se saisit d'une boite de bois et alla la déposé et devant Beckers, il l'ouvrit en tira un cigare, dont il coupa le bout avant de l'allumer, d'en prendre une bouchée et de commenter avec son accent typiquement.
«Monsieur Beckers tout invités en maison aussi impromptus soit-il aura le droit à tout le respect et tous les charmes qu'offre ma demeure, cigare? Vous en avez de toutes les robes et taille, tolmente a mano, hecho a mano, máquina, pour les robes de la claro claro à l'oscuro. Ou de l'alcool, j'ai de bonne bouteille, contrairement aux cigares ce plaisir ne mets pas permit, whisky? Brandy? Vodka? Ou un bon vin de Tokay?... Demander j'en aviserais Vassili, mon majordome, celui sur lequel vous avez dû trébucher en pénétrant presque de force jusqu'ici.»
Il eut un petit sourire, mais il en pensait pas moins, sa manière hospitalière d'accueillir ses invités avec des commentaires à prendre plutôt sur le tranchant était clair, il ne comptait pas en rester là. Il alla se rasseoir à sa place en face de Beckers, il avait tout de l'homme à femme, un de ses dandy mondain, aux yeux clair avec une barbe de trois jours, un léger côté mauvais garçon, qui en rajouter au côté playboy du personnage. C'était donc ca l'avenir financier de l'occident des milliardaire à la tête de voyou. Il n'en pensait pas moins de l'acolyte de Wilson Beckers, homme sombre, regard sombre, allure mauvaise, mauvais genre, plutôt une gueule de tueurs que de VRP. Avec sa valise sur les genoux, il faisait se questionner Aleksandr, qui le fixa un instant. Puis profita, d'une bouffée de cigare, il reprit avec son accent russe, tout à fait audible comme pour contre balancer avec l'accent britannique, qui donnait un air légèrement snob à son invité.
«Alors, Monsieur Beckers, j'imagine que vous n'êtes pas en train de faire le tour de la Russie avec votre ami, monsieur? Enfin, fusse même vrai que vous fassiez le tour de la Russie, pourquoi en passant pas Saint-Pétersbourg, vous seriez tombé par hasard sur la demeure d'un des plus riches financier de Russie et du monde, même si ma maison à l'image de cette citée est des plus fastueuses. Un style néo-baroque appréciable n'est-ce pas? De belles dorures? De belles peintures? Mais je ne suis pas vendeur, ni vous acheteur, donc vous êtes là pour affaire nécessairement. Quelles affaires avez-vous à me proposer? Vu que je n'ai rien à vous proposer...»
Il demeura silencieux, reprenant une bouchée de cigare et ajoutant en passant distraitement le doigt sur son assiette. Le cigare lui ajouter un côté d'homme d'affaire, mais faisait ressortir avant tout son regard d'aigle, de requin de la finance, dont il fallait se méfier au plus haut points.
«J'étais sur le point de dîner, mais comme mon invité c'est désisté, je vous demanderais si vous avez dîné, dans le cas contraire Vassili nous amènera un couvert de plus pour votre compagnon. Qui sait se dîner pourrait être intéressant...»
Un homme dans sa position, ne pouvait plus se permettre de croire en la coïncidence et si Mikhail avait décidé de ne pas venir, il l'aurait fait prévenir, il y avait comme disé les autres, anguille sous roche et lui adorer les anguilles. Il aimait les mystères ça l'occuper et c'était distrayant pour un homme qui n'avait pas le temps à d'autre distraction.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 16:53
Beckers jeta un coup d'oeil circulaire à la pièce. Chic désuet, vieilleries... Anachronique. Tout comme ce qui semblait être le propriétaire des lieux... Anachronique. Il croisa un bref instant le regard de son acolyte, échangeant quelques paroles silencieuses, puis se reporta sur la boîte à cigares, à laquelle il ne toucha pas.
"Oui, en effet... Vous avez bon goût. Votre demeure est particulièrement charmante, bien que vos majordomes soient un petit peu trop zélés. Je ne fume pas ni ne bois pas, ce genre de choses ayant la fâcheuse tendance de vous faire perdre le sens commun ainsi que d'autres petites choses moins plaisantes."
L'acolyte de Beckers planta à nouveau son regard dans les yeux d'Aleksandr, et une lueur terrifiante y apparut, qui fit redresser l'échine de Prokhorov. Juste l'espace d'un instant, et les choses revinrent normales, bien que l'acolyte le fixait toujours intensément.
"Votre invité précédent dites-vous... Mikhail Yourtchev. Vous vouliez le questionner sur les mutants. C'est assez délicat pour un homme dans votre position de vous mêler avec des personnages si hauts placés sur l'échiquier russe... Surtout si vous mettez les pieds dans le plat de cette façon. Autant crier directement que vous êtes un mutant, cela irait beaucoup plus vite, même si je doute que le résultat vous en serait plus enviable..."
Beckers semblait redoutablement renseigné.
"Oui, en effet... Vous avez bon goût. Votre demeure est particulièrement charmante, bien que vos majordomes soient un petit peu trop zélés. Je ne fume pas ni ne bois pas, ce genre de choses ayant la fâcheuse tendance de vous faire perdre le sens commun ainsi que d'autres petites choses moins plaisantes."
L'acolyte de Beckers planta à nouveau son regard dans les yeux d'Aleksandr, et une lueur terrifiante y apparut, qui fit redresser l'échine de Prokhorov. Juste l'espace d'un instant, et les choses revinrent normales, bien que l'acolyte le fixait toujours intensément.
"Votre invité précédent dites-vous... Mikhail Yourtchev. Vous vouliez le questionner sur les mutants. C'est assez délicat pour un homme dans votre position de vous mêler avec des personnages si hauts placés sur l'échiquier russe... Surtout si vous mettez les pieds dans le plat de cette façon. Autant crier directement que vous êtes un mutant, cela irait beaucoup plus vite, même si je doute que le résultat vous en serait plus enviable..."
Beckers semblait redoutablement renseigné.
- InvitéInvité
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 18:35
Aleksandr aurait pu paraître décontenancé, mais il n'en était rien il fixa une bonne minute l'acolyte du jeune homme avant de se tourner vers Wilson Beckers. Il le regarda, il simulait habilement le stress, comme tout bon requin de la finance, il était passé maître dans l'art de dissimuler ses émotions et d'en feindre d'autre, il demeura silencieux quelque instant fixa Beckers. Il pris quelque bouffé de son cigare, tolmente a mano oscuro des Churchills, long de seize centimètre et d'un diamètre de prêt de deux centimètres. Il profita tendrement de l'arôme boisé du cigare avant de commenter dans un rire bruyant:
«Non, Monsieur Beckers, pas financier, comédien, oui c'est cela comédien.»
Il sourit se leva pour allait se planter devant la fenêtre, contemplant la fenêtre et par-delà la Néva de l'autre côté de laquelle, l'Hermitage, resplendissait de milles feu qui se reflétait sur le miroir d'eau qu'était la Néva. Il resta planter là avec un cendrier en main et regardant avant de dire toujours dos à Beckers et à son acolyte.
««Regarde-mon fils, regarde d'ici quatre siècles te contemplent.», c'est ce que mon pire m'a dit quand il m'a amené dans cette pièce pour la première fois. Wilson Beckers, qu'est-ce qui vous fait penser que je suis un mutant? Diable, ai-je fait quelques choses de mal? Réviser vos dossier toutes les fortunes de Russie se renseigne sur les Mutants certains même depuis si longtemps et avec tellement d'acharnement que le FSB à un dossier sur eux.»
Il retourna s'asseoir calme et pensif. Puis les mains jointes avec un air pieu et un sourire emplis de béatitude.
«Monsieur Beckers, ma position sur l'échiquier russe, qu'il soit politique ou économique est des plus enviables, mes amis ne se limite pas à Mikhail Yourtchev. Donc vous savez que j'enquête sur les mutants, vous en tirez la conclusion que je suis moi-même un mutant, si vous parcourez toute cette rive de la Néva vous trouverez les hommes les plus riches et influents de Russie. Tous ses hommes et femmes ou presque enquête sur le phénomène mutant, allez-vous tous les accusé d'être des mutants? A moins, que quelques choses vous aide pensez cela, mais dans ce cas quoi? Et si vous avez des informations sur les mutant, je suis preneur, je suis preneur de toutes les informations sur les mutants... Pendant qu'on y est, le dîner tient toujours, si ça vous intéresse?»
Il demeura silencieux, il ne voulait pas faire d'émule, le fait de détendre l'atmosphère était la meilleure des techniques de défenses. Il ne fallait pas qu'il quitte la ligne qu'il avait suivi pendant leur rencontre, ça paraîtrais des plus suspects, il devait leur demeurer impénétrable, insondable de face, de manière à ce que Beckers envisage peut-être les choses sous un nouvel œil. Il ajusta sa robe de chambre, continuant à fumer son cigare, dégageant un épais nuage de fumée. Si Beckers disposait réellement de telles informations, c'était un homme qui avait sut habilement tisser sa toile d'informateurs. Ce Wilson Beckers pouvait être un atout, comme un adversaire dangereux, il devait s'en faire un allié si possible, sinon il devait l'écarter au maximum de son chemin. Dans tout les cas Sir Beckers n'était pas venu là dans un noble but, il était venu là pour une bonne raison, soit il voulait quelques choses, soit il cette homme était fou, car il disposait de la plus formidable information pour faire chanter Aleksandr, même de son point de vue, ne pas en profiter fut criminel. Peut-être étais-ce un VRP d'un mouvement anti ou pro-mutant ou quelque chose du genre.
«Non, Monsieur Beckers, pas financier, comédien, oui c'est cela comédien.»
Il sourit se leva pour allait se planter devant la fenêtre, contemplant la fenêtre et par-delà la Néva de l'autre côté de laquelle, l'Hermitage, resplendissait de milles feu qui se reflétait sur le miroir d'eau qu'était la Néva. Il resta planter là avec un cendrier en main et regardant avant de dire toujours dos à Beckers et à son acolyte.
««Regarde-mon fils, regarde d'ici quatre siècles te contemplent.», c'est ce que mon pire m'a dit quand il m'a amené dans cette pièce pour la première fois. Wilson Beckers, qu'est-ce qui vous fait penser que je suis un mutant? Diable, ai-je fait quelques choses de mal? Réviser vos dossier toutes les fortunes de Russie se renseigne sur les Mutants certains même depuis si longtemps et avec tellement d'acharnement que le FSB à un dossier sur eux.»
Il retourna s'asseoir calme et pensif. Puis les mains jointes avec un air pieu et un sourire emplis de béatitude.
«Monsieur Beckers, ma position sur l'échiquier russe, qu'il soit politique ou économique est des plus enviables, mes amis ne se limite pas à Mikhail Yourtchev. Donc vous savez que j'enquête sur les mutants, vous en tirez la conclusion que je suis moi-même un mutant, si vous parcourez toute cette rive de la Néva vous trouverez les hommes les plus riches et influents de Russie. Tous ses hommes et femmes ou presque enquête sur le phénomène mutant, allez-vous tous les accusé d'être des mutants? A moins, que quelques choses vous aide pensez cela, mais dans ce cas quoi? Et si vous avez des informations sur les mutant, je suis preneur, je suis preneur de toutes les informations sur les mutants... Pendant qu'on y est, le dîner tient toujours, si ça vous intéresse?»
Il demeura silencieux, il ne voulait pas faire d'émule, le fait de détendre l'atmosphère était la meilleure des techniques de défenses. Il ne fallait pas qu'il quitte la ligne qu'il avait suivi pendant leur rencontre, ça paraîtrais des plus suspects, il devait leur demeurer impénétrable, insondable de face, de manière à ce que Beckers envisage peut-être les choses sous un nouvel œil. Il ajusta sa robe de chambre, continuant à fumer son cigare, dégageant un épais nuage de fumée. Si Beckers disposait réellement de telles informations, c'était un homme qui avait sut habilement tisser sa toile d'informateurs. Ce Wilson Beckers pouvait être un atout, comme un adversaire dangereux, il devait s'en faire un allié si possible, sinon il devait l'écarter au maximum de son chemin. Dans tout les cas Sir Beckers n'était pas venu là dans un noble but, il était venu là pour une bonne raison, soit il voulait quelques choses, soit il cette homme était fou, car il disposait de la plus formidable information pour faire chanter Aleksandr, même de son point de vue, ne pas en profiter fut criminel. Peut-être étais-ce un VRP d'un mouvement anti ou pro-mutant ou quelque chose du genre.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 22:05
(Note : Quand le courtier inflige une action à ton personnage, cette action n'est ni négociable, ni sujette à l'interprétation. En l'occurence, si je dis que ton personnage a peur ou est impressionné, par une personne ou une situation, il l'est. Ce n'est pas plus compliqué que ça.
J'insiste encore une fois sur le fait que tu imposes tes histoires au background du forum. Tu joues un personnage unique. Tu ne joues pas toutes les fortunes de Russie. Donc tout ce que tu pourras dire sur elles n'est absolument pas à prendre en compte, et n'a absolument aucune conséquence. Ton personnage est libre de croire ça, mais je suis libre de t'affirmer qu'en l'occurence, c'est totalement faux.
Pour finir, je te rappelle que selon le background du forum, le phénomène mutant n'a fait surface que depuis quelques mois, et se fait surmédiatiser depuis encore moins... Donc le "depuis très longtemps" est à très fortement relativiser.)
Beckers haussa un sourcil face à la phrase sans queue ni tête d'Aleksandr. Son acolyte ne cilla pas. Tout au plus se contenta-t-il de jeter un oeil à son patron.
"Toutes les fortunes de Russie dites-vous ? Mais depuis combien de temps n'êtes-vous plus sorti de votre tour d'argent, M. Prokhorov ? Quel confiance pouvez-vous avoir en cet... Comment l'appelez-vous ? Ami de la famille ?"
Il s'appuya aux accoudoirs et posa son menton sur ses mains croisées.
"Il était venu se renseigner sur vous et vous tirer les vers du nez. Croyez moi, c'est une grande chance pour vous que votre cher ami de la famille ne soit pas venu, sans quoi il aurait pu découvrir... Je ne sais pas ? Que vous commandez au métal, par exemple ?
Beckers plissa les yeux. Voilà qui devrait éveiller la curiosité de son interlocuteur.
"Et de quel type d'informations croyez-vous que je dispose sur les mutants ? Croyez-vous réellement que c'est le hasard qui m'a amené dans votre salon ?"
J'insiste encore une fois sur le fait que tu imposes tes histoires au background du forum. Tu joues un personnage unique. Tu ne joues pas toutes les fortunes de Russie. Donc tout ce que tu pourras dire sur elles n'est absolument pas à prendre en compte, et n'a absolument aucune conséquence. Ton personnage est libre de croire ça, mais je suis libre de t'affirmer qu'en l'occurence, c'est totalement faux.
Pour finir, je te rappelle que selon le background du forum, le phénomène mutant n'a fait surface que depuis quelques mois, et se fait surmédiatiser depuis encore moins... Donc le "depuis très longtemps" est à très fortement relativiser.)
---
Beckers haussa un sourcil face à la phrase sans queue ni tête d'Aleksandr. Son acolyte ne cilla pas. Tout au plus se contenta-t-il de jeter un oeil à son patron.
"Toutes les fortunes de Russie dites-vous ? Mais depuis combien de temps n'êtes-vous plus sorti de votre tour d'argent, M. Prokhorov ? Quel confiance pouvez-vous avoir en cet... Comment l'appelez-vous ? Ami de la famille ?"
Il s'appuya aux accoudoirs et posa son menton sur ses mains croisées.
"Il était venu se renseigner sur vous et vous tirer les vers du nez. Croyez moi, c'est une grande chance pour vous que votre cher ami de la famille ne soit pas venu, sans quoi il aurait pu découvrir... Je ne sais pas ? Que vous commandez au métal, par exemple ?
Beckers plissa les yeux. Voilà qui devrait éveiller la curiosité de son interlocuteur.
"Et de quel type d'informations croyez-vous que je dispose sur les mutants ? Croyez-vous réellement que c'est le hasard qui m'a amené dans votre salon ?"
- InvitéInvité
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 23:38
Aleksandr parut vraiment décontenancé par l'allusion au métal, une goutte de sueur perla sur son front un fugace instant. Il essuya avec un mouchoir de tissus blanc, fait de soit brodé de ses initiales en cyrillique: «A?». Il regarda tour à tour Wilson Beckers et son acolyte, méfiant. Comme pouvaient-ils savoir qu'ils étaient en face d'un mutant et que ce dernier ordonner aux métaux. Il demeura silencieux et puis se ressaisissant, il appuya sur un bouton de son clavier et dit:
«Vassili rangeait mon repas, je n'est plus faim, montait mon traitement et n'oubliez pas mon fortifiant s'il vous plait.»
Il demeura silencieux, c'est vrai que l'heure de son traitement avancer, qu'elle était même passée, il était temps dit penser en effet. Il prenait rarement son fortifiant, mais sa l'aider, un complément de tous les besoins minéraux essentiel: calcium, fer, magnésium, vitamine a, b,... Quand il n'avait pas l'heure à l'appétit, il en prenait toujours bonne dose. Même si Wilson Beckers l'intriguait désormais, il se méfiait, ça lui avait même coupé l'appétit cette satanée histoire. Bon sang de bois, comment savaient-ils pour ses pouvoirs qui avaient pu leurs dirent, même sa soeur ne savait pas. De plus ses hommes venaient en avançant l'hypothèse que Mikhail Yourtchev ami d'enfance de son père, considéré presque comme un membre de la famille et ami personnel d'Aleksandr avait eu l'intention de le trahir. Ça pouvait se tenir, le Loubianka et le Kremlin était impliqué dans bien des mystères et autres affaires troubles. Mais Mikhail l'aurait-il trahi pour autant? Il inclina la tête le coude à l'accoudoir, la tête posée sur la main et commenta silencieusement.
«Donc, vous pensez que Mikhail Yourtchev avait officieusement pour mission de me tirer les vers du nez? Ordre du Kremlin ou du Loubianka? FSB ou Cabinet Présidentiel? Je serais intéressé de savoir qui voudrait en savoir autant, qui aurait pu pousser Mikhail à trahir ma confiance et celle que mon père avait en lui. Ça m'attriste, je vais devoir le supprimer de mon carnet d'adresse, ma tour d'ivoire est très inaccessible, c'était une des seuls personne à pouvoir se permettre de me réveiller ou de venir sans rendez-vous. Hormis vous, mais vous savez des choses, que je croyais être le seul à savoir et ça sa m'intrigue...»
Aleksandr demeura de marbre silencieux, tranquille, immobile, il redressa sa tête doucement et eut un sourire fugace pour Wilson Beckers. Maintenant venez l'heure des grandes questions: «Où? Comment? Quand? Pourquoi?». Sa allait être un passage difficile de cette soirée, mais ça lui ferait passer l'attente de son traitement.
«Je voudrais savoir, comment alors que personne ne le sait à ma connaissance, vous savez ce que je suis et ce que je fais. Ou à défaut, je voudrais savoir qui vous à permis accès à tel connaissance? Depuis quand le savez-vous? Et pourquoi êtes vous là? Je suppose que vous vous doutez que me faire chanter serait des plus faciles et que je ne serais pas en mesure de vous refuser grand-chose. Mais si c'était le cas, vous n'auriez pas attendu si longtemps, pour me demander de l'argent où autre chose, donc qu'est-ce que vous me voulez?»
Aleksandr commença a devenir fébrile, surexcité, voir même énervé, il détestait ne pas avoir le contrôle des situations, comme à l'instant. Il voulait toujours tout contrôler, mais là c'était loupé, Wilson Beckers avait toutes les cartes en mains, c'était le donneur, lui devait attendre la main, qui c'est on n'était pas à l'abri d'une Quinte Flush.
«Vassili rangeait mon repas, je n'est plus faim, montait mon traitement et n'oubliez pas mon fortifiant s'il vous plait.»
Il demeura silencieux, c'est vrai que l'heure de son traitement avancer, qu'elle était même passée, il était temps dit penser en effet. Il prenait rarement son fortifiant, mais sa l'aider, un complément de tous les besoins minéraux essentiel: calcium, fer, magnésium, vitamine a, b,... Quand il n'avait pas l'heure à l'appétit, il en prenait toujours bonne dose. Même si Wilson Beckers l'intriguait désormais, il se méfiait, ça lui avait même coupé l'appétit cette satanée histoire. Bon sang de bois, comment savaient-ils pour ses pouvoirs qui avaient pu leurs dirent, même sa soeur ne savait pas. De plus ses hommes venaient en avançant l'hypothèse que Mikhail Yourtchev ami d'enfance de son père, considéré presque comme un membre de la famille et ami personnel d'Aleksandr avait eu l'intention de le trahir. Ça pouvait se tenir, le Loubianka et le Kremlin était impliqué dans bien des mystères et autres affaires troubles. Mais Mikhail l'aurait-il trahi pour autant? Il inclina la tête le coude à l'accoudoir, la tête posée sur la main et commenta silencieusement.
«Donc, vous pensez que Mikhail Yourtchev avait officieusement pour mission de me tirer les vers du nez? Ordre du Kremlin ou du Loubianka? FSB ou Cabinet Présidentiel? Je serais intéressé de savoir qui voudrait en savoir autant, qui aurait pu pousser Mikhail à trahir ma confiance et celle que mon père avait en lui. Ça m'attriste, je vais devoir le supprimer de mon carnet d'adresse, ma tour d'ivoire est très inaccessible, c'était une des seuls personne à pouvoir se permettre de me réveiller ou de venir sans rendez-vous. Hormis vous, mais vous savez des choses, que je croyais être le seul à savoir et ça sa m'intrigue...»
Aleksandr demeura de marbre silencieux, tranquille, immobile, il redressa sa tête doucement et eut un sourire fugace pour Wilson Beckers. Maintenant venez l'heure des grandes questions: «Où? Comment? Quand? Pourquoi?». Sa allait être un passage difficile de cette soirée, mais ça lui ferait passer l'attente de son traitement.
«Je voudrais savoir, comment alors que personne ne le sait à ma connaissance, vous savez ce que je suis et ce que je fais. Ou à défaut, je voudrais savoir qui vous à permis accès à tel connaissance? Depuis quand le savez-vous? Et pourquoi êtes vous là? Je suppose que vous vous doutez que me faire chanter serait des plus faciles et que je ne serais pas en mesure de vous refuser grand-chose. Mais si c'était le cas, vous n'auriez pas attendu si longtemps, pour me demander de l'argent où autre chose, donc qu'est-ce que vous me voulez?»
Aleksandr commença a devenir fébrile, surexcité, voir même énervé, il détestait ne pas avoir le contrôle des situations, comme à l'instant. Il voulait toujours tout contrôler, mais là c'était loupé, Wilson Beckers avait toutes les cartes en mains, c'était le donneur, lui devait attendre la main, qui c'est on n'était pas à l'abri d'une Quinte Flush.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Sam 19 Avr 2008 - 23:47
Wilson se fendit d'un large sourire, qui semblait le prémice d'un éclat de rire qui ne vint toutefois pas.
"Vous faire chanter ? Votre argent ? Figurez-vous que je vais répondre à ces questions en même temps que je vais vous expliquer ma venue ici."
Il adressa un signe de tête à son acolyte qui ouvrit la petite valise qui contenait un simple ordinateur qui, quelques instants plus tard, montrait les derniers cours de la bourse.
"Vous faire chanter ne m'intéresse pas dans la mesure où tout ce que vous avez à donner, depuis votre empire financier et industriel, jusqu'à cette charmante cave à cigares, m'appartient désormais. Votre père a été très mal inspiré de placer vos propriétés personnelles sur le nom de votre entreprise, mais je me suis laissé dire que c'était pratique courante dans les empires se croyant surprotégés."
Avec un haut le coeur d'effroi, Aleksandr put constater que Wilson disait vrai. En une demi-journée, l'intégralité des titres de ses entreprises avait été la cible d'attaques boursières hostiles, s'était effondrée, et avait été rachetée.
"Ce qui est heureux, dans la mesure où je crois savoir que votre plus important gisement gazier en Sibérie est arrivé au terme de ses capacités plus tôt que prévu, ce qui a précipité la chute des cours de vos actions... C'est de cela que j'étais initialement venu vous parler, je vous avouerai que ma surprise a été grande de rencontrer dans le vestibule un membre du FSB en train de poser des micros."
En moins de trois minutes, Aleksandr venait de tout perdre. Et Beckers avait soigneusement éludé la question de ses sources, et de ses connaissances sur les mutants.
"Vous faire chanter ? Votre argent ? Figurez-vous que je vais répondre à ces questions en même temps que je vais vous expliquer ma venue ici."
Il adressa un signe de tête à son acolyte qui ouvrit la petite valise qui contenait un simple ordinateur qui, quelques instants plus tard, montrait les derniers cours de la bourse.
"Vous faire chanter ne m'intéresse pas dans la mesure où tout ce que vous avez à donner, depuis votre empire financier et industriel, jusqu'à cette charmante cave à cigares, m'appartient désormais. Votre père a été très mal inspiré de placer vos propriétés personnelles sur le nom de votre entreprise, mais je me suis laissé dire que c'était pratique courante dans les empires se croyant surprotégés."
Avec un haut le coeur d'effroi, Aleksandr put constater que Wilson disait vrai. En une demi-journée, l'intégralité des titres de ses entreprises avait été la cible d'attaques boursières hostiles, s'était effondrée, et avait été rachetée.
"Ce qui est heureux, dans la mesure où je crois savoir que votre plus important gisement gazier en Sibérie est arrivé au terme de ses capacités plus tôt que prévu, ce qui a précipité la chute des cours de vos actions... C'est de cela que j'étais initialement venu vous parler, je vous avouerai que ma surprise a été grande de rencontrer dans le vestibule un membre du FSB en train de poser des micros."
En moins de trois minutes, Aleksandr venait de tout perdre. Et Beckers avait soigneusement éludé la question de ses sources, et de ses connaissances sur les mutants.
- InvitéInvité
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Dim 20 Avr 2008 - 1:49
Aleksandr demeura silencieux, malgré son effroi, un pincement au cœur, il n'était pas effondré, ni ravis, il passait du haut au bas, du mépris à l'admiration, en tant qu'homme d'affaire, il admirait la manœuvre telle quelle fut conduit, mais en tant que propriétaire il aurait voulu lui collait son poing dans la figure. Beckers n'avait qu'une toute petite place dans le monde la finance maintenant, il finirait dans le prochain classement de Forbes. Il se leva, continuant à se taire, il alla calmement jusqu'à la fenêtre et dit silencieusement:
""Regarde mon fils, regarde d'ici quatre siècles te contemple.", je suppose qu'en même temps que vous haïrez, je dois quitter les lieux. Heureusement que tous mes bénéfices, sont sur mes comptes, qui eux sont à mon nom. Avez-vous racheté la totalité de la Prokhorov Investissement Corp, je veux dire en plus de mes 45% de part, les 20% de ma sœur et les 35% d'actionnaires. Non, je suppose que, non, de toute manière vous vous en fichez vous demeurez majoritaire, comme je l'étais..."
Il se retourna continuant de fumait son cigare, se rasseyant. C'était une défaite honorable, le coup de la Sibérie était un coup bas de toute manière et l'argent qu'il avait sur ses comptes ne bougeraient pas. Il avait suffisamment d'argent à l'étranger et en Russie pour quitter le monde des affaires et s'assurer une retraite agréable à l'abri du besoin ou au pire pour recommencer à zéro. Mais dans les troubles conditions actuels, il se voyait mal investir, il ne serait surtout pas ou investir. Il regarda Wilson Beckers et écrasa son cigare calmement, en commentant:
"Ce sont vos cigares maintenant, je dois quitter les lieux je suppose, j'ai quelques affaires personnelles à récupérer. Et certain des objets dans cette maison n'appartiennent pas au P.I.C., je vais les faire préparer et partir au plutôt, voyagez-vous beaucoup Monsieur Beckers, auriez-vous un hôtel à me conseiller? Un lieu ou allé, vous m'avez volés tous mes biens, mais heureusement que les comptes ne se rachètent pas, en plus ils ont dû être créditer d'une coquette somme avec l'achat que vous avez fait..."
Il évitait soigneusement le sujet des mutants ou du FSB, de manière à ce que Beckers ne le prenne pas trop mal. Il ne fallait pas être trop interrogatif, Beckers avait un carré aux as, Aleksandr n'avait qu'une paire de roi, pas la peine de continuer la partie, aux échecs dans ses moments là, on disaient: "Check and Mat". Beckers était plus qu'un requin de la finance c'était un pêcheur, qui ne prenait que les ailerons et balançait la carcasse du requin à la mer.
""Regarde mon fils, regarde d'ici quatre siècles te contemple.", je suppose qu'en même temps que vous haïrez, je dois quitter les lieux. Heureusement que tous mes bénéfices, sont sur mes comptes, qui eux sont à mon nom. Avez-vous racheté la totalité de la Prokhorov Investissement Corp, je veux dire en plus de mes 45% de part, les 20% de ma sœur et les 35% d'actionnaires. Non, je suppose que, non, de toute manière vous vous en fichez vous demeurez majoritaire, comme je l'étais..."
Il se retourna continuant de fumait son cigare, se rasseyant. C'était une défaite honorable, le coup de la Sibérie était un coup bas de toute manière et l'argent qu'il avait sur ses comptes ne bougeraient pas. Il avait suffisamment d'argent à l'étranger et en Russie pour quitter le monde des affaires et s'assurer une retraite agréable à l'abri du besoin ou au pire pour recommencer à zéro. Mais dans les troubles conditions actuels, il se voyait mal investir, il ne serait surtout pas ou investir. Il regarda Wilson Beckers et écrasa son cigare calmement, en commentant:
"Ce sont vos cigares maintenant, je dois quitter les lieux je suppose, j'ai quelques affaires personnelles à récupérer. Et certain des objets dans cette maison n'appartiennent pas au P.I.C., je vais les faire préparer et partir au plutôt, voyagez-vous beaucoup Monsieur Beckers, auriez-vous un hôtel à me conseiller? Un lieu ou allé, vous m'avez volés tous mes biens, mais heureusement que les comptes ne se rachètent pas, en plus ils ont dû être créditer d'une coquette somme avec l'achat que vous avez fait..."
Il évitait soigneusement le sujet des mutants ou du FSB, de manière à ce que Beckers ne le prenne pas trop mal. Il ne fallait pas être trop interrogatif, Beckers avait un carré aux as, Aleksandr n'avait qu'une paire de roi, pas la peine de continuer la partie, aux échecs dans ses moments là, on disaient: "Check and Mat". Beckers était plus qu'un requin de la finance c'était un pêcheur, qui ne prenait que les ailerons et balançait la carcasse du requin à la mer.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Dim 20 Avr 2008 - 12:29
Tel un paon qui venait de se faire plumer, Aleksandr essayait encore de conserver un minimum d'honneur et de dignité. Mais Beckers ne prenait pas que les ailerons... Il lui fallait tout... Pour ne rejeter à la mer qu'un os sec et sans vie qu'il n'aurait pas réussi à recycler dans un de ses nombreux réseaux.
"Vous me voyez ravi d'apprendre que vous avez détourné les bénéfices de vos entreprises. Rassurez-vous, les banques internationales le savaient déjà. Je pense que ce n'est qu'une saison de jours d'ici à ce que vos comptes soient gelés le temps de tout tirer au clair. Je ne doute pas un seul instant que tous vos bénéfices seront saisis. Vous savez ce que c'est en Russie... Les oligarques sont bien vus tant qu'ils arrosent, mais si le tuyau fuit, la machine vampirise jusqu'à sec..."
Il ajouta alors d'un ton désinvolte.
"Ce à quoi il vous faudra ajouter les honoraires de vos avocats, ainsi que, me suis-je laissé dire, certains investissements de votre compagnie qui vont se révéler peu heureux. Une campagne de prospection je crois ?
Il continua sur un ton plus sérieux. Son acolyte ne cessant pas un seul instant de dévisager Aleksandr. Pendant ce temps, le dénommé Vassili était venu débarasser la table sans moufter, et apporter ce qui avait été demandé.
"Sans oublier que vous allez avoir votre cohorte de domestiques à payer... Non... Honnêtement, M. Prokhorov, ne comptez plus sur votre argent pour l'avenir... Et encore moins sur votre entreprise, puisque j'en suis l'actionnaire unique maintenant. Juste le temps de restructurer un peu vos affaires, pour leur donner des méthodes un petit peu plus de ce temps..."
Vassili sortit de la pièce d'un ton rapide. L'acolyte de Beckers le suivit du regard un instant, puis se reporta sur Beckers, puis sur Aleksandr à nouveau.
"Et d'ailleurs, vos employés ne semblent pas très ravis de cette nouvelle... La révolution de 1917 risque de se reproduire, méfiez-vous...", ajouta Beckers d'un ton badin.
Son acolyte pianota quelques instants sur l'ordinateur, avant de sagement le ranger, et de le poser à côté du fauteuil. Beckers continua sur un ton plus sérieux.
"Maintenant que vous êtes un mutant fauché, je peux vous informer de façon un petit peu plus complète sur la réalité du monde qui vous entoure : la Russie ne vous aime pas. Dans votre merveilleux pays, les mutants sont actuellement traqués par les services secrets civils et des armées. Au mieux, votre pouvoir présente une utilité pour le combat ou le renseignement, et vous êtes incorporé que ça vous plaise ou non, au pire, votre pouvoir ne les intéresse pas, et vous nourrissez les poissons de votre chère Néva."
"Vous me voyez ravi d'apprendre que vous avez détourné les bénéfices de vos entreprises. Rassurez-vous, les banques internationales le savaient déjà. Je pense que ce n'est qu'une saison de jours d'ici à ce que vos comptes soient gelés le temps de tout tirer au clair. Je ne doute pas un seul instant que tous vos bénéfices seront saisis. Vous savez ce que c'est en Russie... Les oligarques sont bien vus tant qu'ils arrosent, mais si le tuyau fuit, la machine vampirise jusqu'à sec..."
Il ajouta alors d'un ton désinvolte.
"Ce à quoi il vous faudra ajouter les honoraires de vos avocats, ainsi que, me suis-je laissé dire, certains investissements de votre compagnie qui vont se révéler peu heureux. Une campagne de prospection je crois ?
Il continua sur un ton plus sérieux. Son acolyte ne cessant pas un seul instant de dévisager Aleksandr. Pendant ce temps, le dénommé Vassili était venu débarasser la table sans moufter, et apporter ce qui avait été demandé.
"Sans oublier que vous allez avoir votre cohorte de domestiques à payer... Non... Honnêtement, M. Prokhorov, ne comptez plus sur votre argent pour l'avenir... Et encore moins sur votre entreprise, puisque j'en suis l'actionnaire unique maintenant. Juste le temps de restructurer un peu vos affaires, pour leur donner des méthodes un petit peu plus de ce temps..."
Vassili sortit de la pièce d'un ton rapide. L'acolyte de Beckers le suivit du regard un instant, puis se reporta sur Beckers, puis sur Aleksandr à nouveau.
"Et d'ailleurs, vos employés ne semblent pas très ravis de cette nouvelle... La révolution de 1917 risque de se reproduire, méfiez-vous...", ajouta Beckers d'un ton badin.
Son acolyte pianota quelques instants sur l'ordinateur, avant de sagement le ranger, et de le poser à côté du fauteuil. Beckers continua sur un ton plus sérieux.
"Maintenant que vous êtes un mutant fauché, je peux vous informer de façon un petit peu plus complète sur la réalité du monde qui vous entoure : la Russie ne vous aime pas. Dans votre merveilleux pays, les mutants sont actuellement traqués par les services secrets civils et des armées. Au mieux, votre pouvoir présente une utilité pour le combat ou le renseignement, et vous êtes incorporé que ça vous plaise ou non, au pire, votre pouvoir ne les intéresse pas, et vous nourrissez les poissons de votre chère Néva."
- InvitéInvité
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Jeu 24 Avr 2008 - 5:41
Aleksandr ne savait plus qu'en pensait, il réfléchi un bon moment et répondit silencieusement à la première remarque de Beckers:
"Je suis une ordure, c'est un fait, mais cette entreprise, c'est une entreprise familiale, que mon grand-père à monter avec un pécule de trois mille dollars. Jamais et je le répéterais, jusqu'en justice, jamais je n'aurais volé de l'argent à Ma Société. Vous comme moi savons que ce n'est que calomnie, n'est-ce pas? Mais les banques feront tout pour me retirer mon argent pas parce que je suis un simple tuyau qui fuit, parce que je suis diffèrent, le gouvernement va tout mettre en place pour me ruiner autant que possible, me laissant avec quelques minables trois sous et cela jusqu'à ce que je quitte la Russie ou que je casse ma pipe... Ma soeur pourra m'aider financièrement, elle vie en Italie, mais de nos jours pas besoin d'aller aussi loin, elle à un bon pécule de côté et dans le milieu de l'art, elle à fait son nom. La meilleurs solutions seraient que je vide mes comptes maintenant dans un pays étranger pour éviter de fausse accusation, que je ne pourrais supporter. Et surtout que je quitte moi-même le pays."
Il regarda Beckers longuement, c'était peut-être un paon presque plumez jusqu'à l'os, mais il avait encore un bec et savait en faire usage. Mais c'était un paon abattus aussi. Il prit ses médicaments en bouche et l'eau pour les avaler avant de reposer la tête dans un rictus des moins agréable. Il posa un long regard sur Beckers et commenta:
"Beckers, je peux faire disparaître mon argent de mes comptes russes en moins d'une heure pour un pays ou le gouvernement russe ne pourras pas faire pression sur les banquier. Mais, il faut que je sois partis pour ce pays dans un délais aussi restreint, normalement j'aurais fait appel à Mikhail Yourtchev, mais si comme vous le dite, on ne peut plus lui faire confiance, je ne passerais pas la douane. Je sais que vous ne me devez rien et que je n'ai rien à vous offrir, mais votre prix sera le mien. Si vous me trouvez un moyen de passais la frontière en moins d'une heure, pendant que j'organise les virements de fonds. Le gouvernement, ne peut pas geler mes comptes, la vente ne sera effective qu'à minuit, mais si d'ici là, s'ils me mettent le grappin dessus, je suis cuis. Je suis certain, que vous sauriez même avec votre réseau d'information me conseiller ou aller. Beckers, je suis aux abois financièrement et humainement, dès que la vente sera effective on m'arrêtera et on prouvera que je suis un mutant, on me feras peut-être porter le poids des événements de Sibérie, je vous demande juste de m'arrangez un départ par la petite porte vers le pays qui vous paraîtra le plus sûr."
Aleksandr avait fermé son ordinateur et pencher ainsi sur la table, il paraissait encore plus aux abois qu'il ne l'était. Aleksandr avait besoin d'argent ne serais-ce que pour ses traitements, ça lui couter une fortune de se faire soigner, sa maladie étant plutôt rare, les traitements était plutôt couteux. Il ne broncha pas guettant la moindre réaction de son interlocuteur.
"Je suis une ordure, c'est un fait, mais cette entreprise, c'est une entreprise familiale, que mon grand-père à monter avec un pécule de trois mille dollars. Jamais et je le répéterais, jusqu'en justice, jamais je n'aurais volé de l'argent à Ma Société. Vous comme moi savons que ce n'est que calomnie, n'est-ce pas? Mais les banques feront tout pour me retirer mon argent pas parce que je suis un simple tuyau qui fuit, parce que je suis diffèrent, le gouvernement va tout mettre en place pour me ruiner autant que possible, me laissant avec quelques minables trois sous et cela jusqu'à ce que je quitte la Russie ou que je casse ma pipe... Ma soeur pourra m'aider financièrement, elle vie en Italie, mais de nos jours pas besoin d'aller aussi loin, elle à un bon pécule de côté et dans le milieu de l'art, elle à fait son nom. La meilleurs solutions seraient que je vide mes comptes maintenant dans un pays étranger pour éviter de fausse accusation, que je ne pourrais supporter. Et surtout que je quitte moi-même le pays."
Il regarda Beckers longuement, c'était peut-être un paon presque plumez jusqu'à l'os, mais il avait encore un bec et savait en faire usage. Mais c'était un paon abattus aussi. Il prit ses médicaments en bouche et l'eau pour les avaler avant de reposer la tête dans un rictus des moins agréable. Il posa un long regard sur Beckers et commenta:
"Beckers, je peux faire disparaître mon argent de mes comptes russes en moins d'une heure pour un pays ou le gouvernement russe ne pourras pas faire pression sur les banquier. Mais, il faut que je sois partis pour ce pays dans un délais aussi restreint, normalement j'aurais fait appel à Mikhail Yourtchev, mais si comme vous le dite, on ne peut plus lui faire confiance, je ne passerais pas la douane. Je sais que vous ne me devez rien et que je n'ai rien à vous offrir, mais votre prix sera le mien. Si vous me trouvez un moyen de passais la frontière en moins d'une heure, pendant que j'organise les virements de fonds. Le gouvernement, ne peut pas geler mes comptes, la vente ne sera effective qu'à minuit, mais si d'ici là, s'ils me mettent le grappin dessus, je suis cuis. Je suis certain, que vous sauriez même avec votre réseau d'information me conseiller ou aller. Beckers, je suis aux abois financièrement et humainement, dès que la vente sera effective on m'arrêtera et on prouvera que je suis un mutant, on me feras peut-être porter le poids des événements de Sibérie, je vous demande juste de m'arrangez un départ par la petite porte vers le pays qui vous paraîtra le plus sûr."
Aleksandr avait fermé son ordinateur et pencher ainsi sur la table, il paraissait encore plus aux abois qu'il ne l'était. Aleksandr avait besoin d'argent ne serais-ce que pour ses traitements, ça lui couter une fortune de se faire soigner, sa maladie étant plutôt rare, les traitements était plutôt couteux. Il ne broncha pas guettant la moindre réaction de son interlocuteur.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Saint Pétersbourg, Russie.
Jeu 24 Avr 2008 - 11:27
HJ
Je vais rendre les choses simples pour ne pas avoir à me répéter.
Pour la dernière fois, cesse d'imposer tes histoires au background du forum.
En clair : ne t'invente pas une soeur richissime pour te sortir de la misère. En clair, non, la vente ne sera pas effective à minuit.
En clair :
J'ajoute également que :
Je ne dis pas tout ça pour te faire chier, bien que le MJ est ici réputé comme étant une personne sadique, sans coeur, cruelle.
C'est tout simplement parce que là, présentement, je ne vois absolument aucune raison valable qui ferait qu'un gosse de riche prétentieux, hypochondriaque et misanthrope viendrait s'installer dans un institut pour mutants. Donc je fais en sorte que ton personnage redescende sur Terre, et par chance, il prend l'ascenseur accéléré.
Je te tends de très grosses perches par rapport à la situation des mutants. Donc cesse de faire l'égocentrique vénal, et emploie toi à les saisirs.
Et par pitié, oublie un peu ton idée d'avoir un perso riches qui claque des doigts pour tout avoir. Il n'y a rien de plus exaspérant que de jouer avec une Mary Sue.
Refais tout ton post.
Je vais rendre les choses simples pour ne pas avoir à me répéter.
Pour la dernière fois, cesse d'imposer tes histoires au background du forum.
En clair : ne t'invente pas une soeur richissime pour te sortir de la misère. En clair, non, la vente ne sera pas effective à minuit.
En clair :
- oui, tu es ruiné. Tu n'as plus rien, Beckers a tout racheté. Oui, il est beaucoup plus riche que toi à la base.
- Oui, ton personnage n'a plus rien.
- Non, ce n'est pas la peine d'essayer de négocier.
- Non, ce n'est pas la peine d'inventer des trucs pour t'en sortir.
- Oui, tu as détourné des fonds, parce que tu as épargné des bénéfices de l'entreprise, et non pas tes dividendes.
- Oui, c'est rageant, mais c'est comme ça
- Non, je ne répondrai pas en jeu à tes posts tant que tu t'obstineras à m'inventer des trucs et des machins pour que ton personnage reste riche.
- Non, quand ton personnage est plumé, humilié, et ruiné, tu n'as pas le droit de dire qu'il garde son honneur, sa tenue, et ses sous.
J'ajoute également que :
- Non, être anémique n'est pas une maladie gravissime
- Non, se soigner pour ça n'est pas l'apanage exclusif de la plus grosse fortune de Russie.
Je ne dis pas tout ça pour te faire chier, bien que le MJ est ici réputé comme étant une personne sadique, sans coeur, cruelle.
C'est tout simplement parce que là, présentement, je ne vois absolument aucune raison valable qui ferait qu'un gosse de riche prétentieux, hypochondriaque et misanthrope viendrait s'installer dans un institut pour mutants. Donc je fais en sorte que ton personnage redescende sur Terre, et par chance, il prend l'ascenseur accéléré.
Je te tends de très grosses perches par rapport à la situation des mutants. Donc cesse de faire l'égocentrique vénal, et emploie toi à les saisirs.
Et par pitié, oublie un peu ton idée d'avoir un perso riches qui claque des doigts pour tout avoir. Il n'y a rien de plus exaspérant que de jouer avec une Mary Sue.
Refais tout ton post.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum