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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Lun 15 Déc 2008 - 21:09
Flare dans son communicateur à l'intention du reste des LeX a écrit:
"C’est bon on a neutralisé deux des trois tarés mais il reste Mariann qui vient de choper une élève. On va se débrouiller pour la suite. De votre coté, ça se passe co... DRAWN ! La fenêtre !"
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mar 16 Déc 2008 - 15:17
*Papiers, encore des papiers. Y en a combien de ces foutus papiers que la prof veut. Parce que pendant que j'envoie les papiers dans le véhicule, Hjördis et Amarenna se charge du monstre. Je suis même pas sûr que ce que je récupère soit utile. Mais bon, j'ai bientôt finit, je vais pouvoir aider les deux filles à se débarrasser du monstre.*
Juan regarda autour de lui. Il n'y avait plus grand chose à envoyer par le"trou". Mais du coté d'amarenna, la situation n'était pas brillante, sans être désespérée. Apparemment dehors, les autres s'en sortaient plutôt bien. Ce qui était plutôt bon signe, pour le jeune mexicain.
* Je vais retenter de provoquer la créature, mais d'abord, je vais avoir besoin de Hjördis, pour faciliter l'éjection du monstre. J'espère qu'elle va comprendre ce que je vais dire.
*
"Hjördis, il est l'heure de glisser."
Puis de nouveau il se tourna vers le monstre.
"Dis, toi le monstre, tu sais que l'homme descend du singe, mais toi tu as dû t'en apercevoir, puis que tu es remonté jusqu'à l'amibe, quoique ça serait serait insulter l'amibe dans ton cas. C'est facile de se battre contre une gonzesse à terre. Mais contre un homme debout et pleine possession de ses moyens, on hésite, hein. Tu dois avoir les chocottes pour pas oser te frotter à moi le monstre. Allez viens je t'attends, à moins que tu sois une pétocharde."
Juan se concentre pour ouvrir un portail devant lui, dont l'entrée fait face au monstre, avec la sortie de celui-ci dans le bâtiment en face, ce qui devrait leur laisser un peu de temps pour évacuer, enfin c'est ce qu'espérer le jeune homme avec le fait que le monstre réponde plus fortement à sa provocation.
Le portail s'ouvrit comme Juan l'avait souhaité. En revanche, une fois de plus, la créature ne répondit que mollement à ses provocations : détournant son attention de Hjördis sans pour autant bouger de sa position, la chose regarda quelques courts instants Juan. Le poing toujours prêt à frapper.
L'alarme continuait à retentir et les jets d'eau venaient de finir d'éteindre le feu allumé par Amarenna.
Juan regarda autour de lui. Il n'y avait plus grand chose à envoyer par le"trou". Mais du coté d'amarenna, la situation n'était pas brillante, sans être désespérée. Apparemment dehors, les autres s'en sortaient plutôt bien. Ce qui était plutôt bon signe, pour le jeune mexicain.
* Je vais retenter de provoquer la créature, mais d'abord, je vais avoir besoin de Hjördis, pour faciliter l'éjection du monstre. J'espère qu'elle va comprendre ce que je vais dire.
*
"Hjördis, il est l'heure de glisser."
Puis de nouveau il se tourna vers le monstre.
"Dis, toi le monstre, tu sais que l'homme descend du singe, mais toi tu as dû t'en apercevoir, puis que tu es remonté jusqu'à l'amibe, quoique ça serait serait insulter l'amibe dans ton cas. C'est facile de se battre contre une gonzesse à terre. Mais contre un homme debout et pleine possession de ses moyens, on hésite, hein. Tu dois avoir les chocottes pour pas oser te frotter à moi le monstre. Allez viens je t'attends, à moins que tu sois une pétocharde."
Juan se concentre pour ouvrir un portail devant lui, dont l'entrée fait face au monstre, avec la sortie de celui-ci dans le bâtiment en face, ce qui devrait leur laisser un peu de temps pour évacuer, enfin c'est ce qu'espérer le jeune homme avec le fait que le monstre réponde plus fortement à sa provocation.
Le portail s'ouvrit comme Juan l'avait souhaité. En revanche, une fois de plus, la créature ne répondit que mollement à ses provocations : détournant son attention de Hjördis sans pour autant bouger de sa position, la chose regarda quelques courts instants Juan. Le poing toujours prêt à frapper.
L'alarme continuait à retentir et les jets d'eau venaient de finir d'éteindre le feu allumé par Amarenna.
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mer 17 Déc 2008 - 1:15
Comme prévu, la mutante n'apprécia pas l'intrusion de la grande blonde et elle le lui fit bien sentir. Un revers du bras lui frôla le ventre et le bruit du tissu déchiré en disait long sur le manque de manucure de la créature. un peu surprise, l'islandaise recula d'un pas avant de tenter de plonger sur la chose.
Ne connaissant pas les arts martiaux, elle ne savait pas ce qu'était une planchette japonaise. Mais au moins, à présent, elle savait ce qu'on ressent en en subissant une. Tombant de tout son long et glissant sur les papiers dispersés, l'islandaise toussota. Voyant à l'envers la chose venir vers elle, Hjördis lança sa jambe en sa direction. Le godillot de marche frappa un ventre dur comme du béton mais ça lui laissa le temps d'essayer de se relever.
Essayer, car la chose était déjà sur elle. Se roulant sur le sol tout en essayant de se donner des coups, elles furent toutes deux surprises par l'arrivée de l'eau. A ce moment, la chose avait pris le dessus, menaçant de frapper Hjördis. Juan la stoppa dans son élan et l'islandaise reçu un message presque optimiste de Math.
Quelques secondes de battement pendant lesquelles Hjördis vit la possibilité de se débarrasser de cette plaie sortie d'un film de série Z. Posant sa main droite sur le visage de la chose et la gauche sur le sol trempé, Hjördis gela l'eau avant de donner une impulsion pour pousser la mutante sur le sol gelé vers le portail.
Ne connaissant pas les arts martiaux, elle ne savait pas ce qu'était une planchette japonaise. Mais au moins, à présent, elle savait ce qu'on ressent en en subissant une. Tombant de tout son long et glissant sur les papiers dispersés, l'islandaise toussota. Voyant à l'envers la chose venir vers elle, Hjördis lança sa jambe en sa direction. Le godillot de marche frappa un ventre dur comme du béton mais ça lui laissa le temps d'essayer de se relever.
Essayer, car la chose était déjà sur elle. Se roulant sur le sol tout en essayant de se donner des coups, elles furent toutes deux surprises par l'arrivée de l'eau. A ce moment, la chose avait pris le dessus, menaçant de frapper Hjördis. Juan la stoppa dans son élan et l'islandaise reçu un message presque optimiste de Math.
Quelques secondes de battement pendant lesquelles Hjördis vit la possibilité de se débarrasser de cette plaie sortie d'un film de série Z. Posant sa main droite sur le visage de la chose et la gauche sur le sol trempé, Hjördis gela l'eau avant de donner une impulsion pour pousser la mutante sur le sol gelé vers le portail.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
- Age : 45
Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mer 17 Déc 2008 - 1:55
La chose ne sachant plus où donner de la tête se fit prendre par surprise par l'islandaise. Gelant le sol, tout le long de la pièce, en direction du portail, Hjördis n'eut plus qu'à faire glisser la créature.
Vraisemblablement, en plus d'être outrageusement rapide, d'avoir une peau solide et pas mal de tours dans sa manche, la bestiole semblait avoir un corps avec des propriétés aérodynamiques... Elle glissa merveilleusement bien en direction du portail. Trop surprise pour réagir en temps utile, elle tomba dans celui-ci, qui se referma aussitôt.
Les 3 mutants se retrouvèrent enfin seuls dans le laboratoire qui portait les stigmates de l'affrontement. Les jets d'eau venaient de s'arrêter tout comme l'alarme : le feu était éteint et visiblement la sirène d'alerte avait été le cadet des soucis du service de sécurité de l'établissement.
Quoiqu'il en soit, la mission semblait accomplie : le petit ordinateur avait été embarqué, tout comme bon nombre de papiers et quelques fioles.
Vraisemblablement, en plus d'être outrageusement rapide, d'avoir une peau solide et pas mal de tours dans sa manche, la bestiole semblait avoir un corps avec des propriétés aérodynamiques... Elle glissa merveilleusement bien en direction du portail. Trop surprise pour réagir en temps utile, elle tomba dans celui-ci, qui se referma aussitôt.
Les 3 mutants se retrouvèrent enfin seuls dans le laboratoire qui portait les stigmates de l'affrontement. Les jets d'eau venaient de s'arrêter tout comme l'alarme : le feu était éteint et visiblement la sirène d'alerte avait été le cadet des soucis du service de sécurité de l'établissement.
Quoiqu'il en soit, la mission semblait accomplie : le petit ordinateur avait été embarqué, tout comme bon nombre de papiers et quelques fioles.
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mer 17 Déc 2008 - 2:26
Finalement, ils ne s'en étaient pas trop mal tirés. Amy était parvenue à déclencher l'alarme incendie, personne ne semblait être venu voir ce qu'il se passait, la grande majorité des papiers et l'ordinateur étaient dans la voiture, Juan et Hjördis étaient parvenus à envoyer la chose à un autre endroit, tout semblait être pour le mieux dans le meilleur des mondes. C'était une bonne chose... La jeune femme s'approcha de sa coéquipière au sol et lui tendit la main pour l'aider à se relever avant de prendre la parole:
"Well done, les gens... On a fait, je pense, notre boulot ici. A moins que vous ne voyiez encore un truc à transporter dans la voiture, je pense qu'on va pouvoir s'arracher et rejoindre les autres dehors... Mais je vais prévenir Miss Kofman avant."
Sur ces mots, la jeune femme se saisit de son communicateur pour envoyer un message à leur professeure référente.
"Professeure, nous en avons terminé avec le labo. Vous avez besoin de nous, ou on rejoint les autres? Math nous a informé qu'ils étaient attaqués dehors. Nous ne sommes pas les seuls mutants à rechercher les infos, je crois. Nous avons aussi eu de la visite."
Sur ces mots, elle attendit la réponse de la jeune femme avant de bouger et jeta un dernier regard dans la pièce pour s'assurer qu'il ne restait rien d'importance. Et si Esther n'avait pas besoin d'eux, ils se mettraient sans doute en route pour les pelouses.
Après quelques instants de silence, la voix d'Esther retentit dans le communicateur.
"Écoutez, je ne sais pas ce que vous voulez... Entrer dans le bureau du Professeur Elliott pour nous retenir en otages, c'est une chose. Mais relâchez Judith, vous lui faites mal avec vos pouvoirs ! Et prenez moi à sa place. Promis, je ne ferai pas l'andouille. Pas avec votre ceinture d'explosifs. Vous êtes seul maintenant et nous sommes 5, mais vous êtes armé et nous non"
Esther insistait tout particulièrement sur certains mots.
"Well done, les gens... On a fait, je pense, notre boulot ici. A moins que vous ne voyiez encore un truc à transporter dans la voiture, je pense qu'on va pouvoir s'arracher et rejoindre les autres dehors... Mais je vais prévenir Miss Kofman avant."
Sur ces mots, la jeune femme se saisit de son communicateur pour envoyer un message à leur professeure référente.
"Professeure, nous en avons terminé avec le labo. Vous avez besoin de nous, ou on rejoint les autres? Math nous a informé qu'ils étaient attaqués dehors. Nous ne sommes pas les seuls mutants à rechercher les infos, je crois. Nous avons aussi eu de la visite."
Sur ces mots, elle attendit la réponse de la jeune femme avant de bouger et jeta un dernier regard dans la pièce pour s'assurer qu'il ne restait rien d'importance. Et si Esther n'avait pas besoin d'eux, ils se mettraient sans doute en route pour les pelouses.
Après quelques instants de silence, la voix d'Esther retentit dans le communicateur.
"Écoutez, je ne sais pas ce que vous voulez... Entrer dans le bureau du Professeur Elliott pour nous retenir en otages, c'est une chose. Mais relâchez Judith, vous lui faites mal avec vos pouvoirs ! Et prenez moi à sa place. Promis, je ne ferai pas l'andouille. Pas avec votre ceinture d'explosifs. Vous êtes seul maintenant et nous sommes 5, mais vous êtes armé et nous non"
Esther insistait tout particulièrement sur certains mots.
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mer 17 Déc 2008 - 12:32
Avec la disparition de la chose aux tentacules et la coupure de l'alarme, un silence inhabituel s'invita dans le petit groupe de mutants. Ils avaient réussi? Encore un peu sonnée par ce corps à corps tout sauf gracieux (il faisait comment Bruce Lee?), Hjördis peinait à se relever. Heureusement, Amarenna proposa son aide que l'islandaise accepta, se redressant avec un grognement.
Son fondement allait avoir un hématome très mal placé prochainement. Cela allait lui rappeler cet affrontement pathétique pendant quelques jours, à chaque fois qu'elle serait tentée de s'assoir sur une chaise.
Regardant autour d'elle, elle ne put que constater le désordre et les papiers trempés.
"Ce qu'on n'a pas prit est fichu... On part."
La réponse à la demande de Amarenna était par contre on ne peut plus inquiétante : prise d'otage avec explosifs. Un mutant en plus. Normalement, on laisse faire les policiers pour neutraliser des forcenés mais là il s'agissait d'un mutant et il ne fallait pas qu'ils mettent la main sur le professeur Esther qui n'était là que pour leur faire gagner du temps!
Un peu frénétique, Hjördis fonça vers le passage par lequel elle était rentrée : le trou dans le mur. Faisant signe aux deux autres de la suivre, elle attendit qu'ils soient passés pour remettre en place les livres anciens. La blonde prit son communicateur pour envoyer un message à l'autre équipe.
"Math! Problème : le professeur Esther est retenue en otage dans le bureau d'un professeur... heu Elliott. Oui, c'est ça, Eliott. Un mutant, seul mais avec des explosifs. Et ils sont... raah... cinq otages, voila... heu... on va voir ce qu'on peut faire... Sinon, le labo est vidé. Si vous croisez une espèce de monstre grecque, faites gaffe, elle est très costaud."
Tirade un peu longue, Hjördis la fit en remettant les livres en place derrière eux. Elle courrait derrière les deux autres une fois sa tache finie.
Son fondement allait avoir un hématome très mal placé prochainement. Cela allait lui rappeler cet affrontement pathétique pendant quelques jours, à chaque fois qu'elle serait tentée de s'assoir sur une chaise.
Regardant autour d'elle, elle ne put que constater le désordre et les papiers trempés.
"Ce qu'on n'a pas prit est fichu... On part."
La réponse à la demande de Amarenna était par contre on ne peut plus inquiétante : prise d'otage avec explosifs. Un mutant en plus. Normalement, on laisse faire les policiers pour neutraliser des forcenés mais là il s'agissait d'un mutant et il ne fallait pas qu'ils mettent la main sur le professeur Esther qui n'était là que pour leur faire gagner du temps!
Un peu frénétique, Hjördis fonça vers le passage par lequel elle était rentrée : le trou dans le mur. Faisant signe aux deux autres de la suivre, elle attendit qu'ils soient passés pour remettre en place les livres anciens. La blonde prit son communicateur pour envoyer un message à l'autre équipe.
"Math! Problème : le professeur Esther est retenue en otage dans le bureau d'un professeur... heu Elliott. Oui, c'est ça, Eliott. Un mutant, seul mais avec des explosifs. Et ils sont... raah... cinq otages, voila... heu... on va voir ce qu'on peut faire... Sinon, le labo est vidé. Si vous croisez une espèce de monstre grecque, faites gaffe, elle est très costaud."
Tirade un peu longue, Hjördis la fit en remettant les livres en place derrière eux. Elle courrait derrière les deux autres une fois sa tache finie.
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Ven 19 Déc 2008 - 16:46
* Ah non pas ça, après avoir sauver les données et Amarenna, il va falloir que j'aille sauver le professeur Esther. Décidément, cette journée aura été intéressante et riche en rebondissement. Faut espérer que le professeur sera contente de ce qu'on lui aura transmis. Parce que je tiens pas particulièrement à tout recommencer à fouiller. Où se trouve le bureau du professeur Eliott déjà?*
Juan continua sa progression en se calant sur le rythme des deux filles du groupe. Il fit tout de même très attention à ce qui passait autour de lui. Le jeune mexicain ne tenait pas particulièrement à retomber sur les 2 vigiles ou les gugusses qui semblait tout droit sortit d'un commando de l'armée.
Durant le trajet qui les séparait du bureau du professeur Eliott, il décida de se montrer un peu aimable avec la "chef" du groupe.
"ça va aller? ça a pas l'air joli le coup que tu t'aie pris au visage. Si tu sens quelque chose de bizarre t'arriver surtout dis-le."
*Il faudrait pas qu'on se retrouve avec un problème supplémentaire sur les bras, parce que là déjà la situation va être pire que dans le bureau de Batheson.*
Wormhole se fit de plus en plus prudent à l'approche du bureau du professeur Eliott, essayant de se concentrer pour écouter ce qu'il se passait dans la pièce, avant de tenter quoique soit.
Juan continua sa progression en se calant sur le rythme des deux filles du groupe. Il fit tout de même très attention à ce qui passait autour de lui. Le jeune mexicain ne tenait pas particulièrement à retomber sur les 2 vigiles ou les gugusses qui semblait tout droit sortit d'un commando de l'armée.
Durant le trajet qui les séparait du bureau du professeur Eliott, il décida de se montrer un peu aimable avec la "chef" du groupe.
"ça va aller? ça a pas l'air joli le coup que tu t'aie pris au visage. Si tu sens quelque chose de bizarre t'arriver surtout dis-le."
*Il faudrait pas qu'on se retrouve avec un problème supplémentaire sur les bras, parce que là déjà la situation va être pire que dans le bureau de Batheson.*
Wormhole se fit de plus en plus prudent à l'approche du bureau du professeur Eliott, essayant de se concentrer pour écouter ce qu'il se passait dans la pièce, avant de tenter quoique soit.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Sam 20 Déc 2008 - 13:53
Le petit groupe arriva sans encombre devant la porte du bureau du Professeur Elliott. Ils n'avaient rencontré jusque là aucun vigile ou policier. Juste quelques étudiants qui semblaient se diriger à grande hâte vers l'une des sorties de l'établissement... L'alarme incendie cumulée aux incidents divers qui avaient du se produire (l'attaque sur les pelouses notamment) avaient eu pour conséquence de vider les locaux.
Juan, tout comme Hjördis et Amarenna, laissant traîner leurs oreilles entendirent quelques bribes de conversation en provenance du bureau :
"Bon la dingue, essaye pas de faire ton kung-fu avec moi ! A plat ventre et les mains sur la tête ! Et vite ! Ou... ou je fais tout sauter !"
C'était une voix jeune, pré pubère, complètement paniquée et somme toute, assez hésitante.
"Pitié, pitié" pleurnichait la voix de Judith.
Puis ce fut au tour d'Esther de prendre la parole.
"OK, OK, calmez vous... Je vais faire ce que vous avez dit... Mais en échange, prenez moi en otage et relâchez les autres, après tout, il n'y a que moi qui vous intéresse ?"
Le jeune preneur d'otage répliqua :
"Traitresse ! Vendue ! Je vous veux tous ! Mais toi particulièrement !"
Il fulminait. Visiblement son hésitation semblait s'être envolée...
Juan, tout comme Hjördis et Amarenna, laissant traîner leurs oreilles entendirent quelques bribes de conversation en provenance du bureau :
"Bon la dingue, essaye pas de faire ton kung-fu avec moi ! A plat ventre et les mains sur la tête ! Et vite ! Ou... ou je fais tout sauter !"
C'était une voix jeune, pré pubère, complètement paniquée et somme toute, assez hésitante.
"Pitié, pitié" pleurnichait la voix de Judith.
Puis ce fut au tour d'Esther de prendre la parole.
"OK, OK, calmez vous... Je vais faire ce que vous avez dit... Mais en échange, prenez moi en otage et relâchez les autres, après tout, il n'y a que moi qui vous intéresse ?"
Le jeune preneur d'otage répliqua :
"Traitresse ! Vendue ! Je vous veux tous ! Mais toi particulièrement !"
Il fulminait. Visiblement son hésitation semblait s'être envolée...
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Dim 21 Déc 2008 - 0:22
Sans croiser personne, les jeunes gens parvinrent à proximité du bureau du professeur Eliott. Amarenna avait bien retenu le chemin à l'aller, une chance. En même temps, elle avai toujours la carte qu'elle regardait de temps en temps, n'ayant pas abandonné sa surchemise de cours. Enfin bref. Elle tourna la tête vers Juan lorsqu'il s'adressa à elle, pour prendre des nouvelles.
"Ca ira oui, ne t'inquiète pas. Il y a plus urgent à l'heure actuelle que de s'occuper de ce à quoi je ressemble ou comment je vais."
Elle adressa quand même un sourire au jeune homme pour le remercier de sa sollicitude. A dire vrai, si Amy avait vu sa tête, elle n'aurait sans doute pas tenu le même discours. Mais, pour le moment, c'était réellement le cadet de ses soucis. Ce qui importait, c'était de sauver leur prof, puis de partir de là.
De ce qu'ils purent entendre en arrivant devant la porte du bureau, le preneur d'otage devait avoir sensibement le même âge qu'eux. Cela serait sans doute plus facile pour en venir à bout. Elle se tourna vers ses deux compagnons et murmura, de façon à ce qu'eux seuls puissent l'entendre:
"Bon. Je vais à nouveau contacter Esther. Il faut qu'on sache comment ils sont disposés, si c'est possible. Wormhole, quand nous aurons cette info, tu te téléporteras à l'intérieur derrière le type pour qu'il lâche son bouclier humain. Dans l'idéal, il faudrait aussi que tu le désarmes. Vois ce qui est le plus facile. Freyja toi, tu ouvriras la porte et, s'il y a de l'eau, à cause de l'alarme incedie de tout à l'heure, tu gèles tout que le type perde l'équilibre.
Je me pointerai ensuite avec mes ombres..."
Tout était dit. Maintenant, c'était à elle de jouer. Elle se saisit donc de son communicateur. Le type avait une ceinture d'explosifs. C'était un mutant. Mais quel était son pouvoir? C'était là la question. Autant tenter le tout pour le tout.
"Professeur, pouvez-vous essayer de nous donner la position du mutant? Nous arrivons..."
Quelques instants plus tard, Esther répondit au groupe :
"Écoutez ça me regarde pas mais à votre place je m'éloignerai de la fenêtre... Vous êtes une cible trop évidente. Et votre ami en est bien tombé..."
L'autre éructa :
"Me dis pas ce que j'ai à faire, sinon je te tue !"
Vraisemblablement, il semblait de plus en plus perturbé, partagé entre une hainte tangible pour Esther et une peur non dissimulée...
Dans l'idéal, il faudrait qu'il soit dos à la porte. C'était, du moins, ce qui leur donnerait le plus le champ libre pour agir. Mais... Rien n'était dit, rien n'était fait. La balle était dans leur camp, et Amarenna comptait bien sur l'effet de surprise pour retourner la situaton en la faveur de l'Institut.
"Ca ira oui, ne t'inquiète pas. Il y a plus urgent à l'heure actuelle que de s'occuper de ce à quoi je ressemble ou comment je vais."
Elle adressa quand même un sourire au jeune homme pour le remercier de sa sollicitude. A dire vrai, si Amy avait vu sa tête, elle n'aurait sans doute pas tenu le même discours. Mais, pour le moment, c'était réellement le cadet de ses soucis. Ce qui importait, c'était de sauver leur prof, puis de partir de là.
De ce qu'ils purent entendre en arrivant devant la porte du bureau, le preneur d'otage devait avoir sensibement le même âge qu'eux. Cela serait sans doute plus facile pour en venir à bout. Elle se tourna vers ses deux compagnons et murmura, de façon à ce qu'eux seuls puissent l'entendre:
"Bon. Je vais à nouveau contacter Esther. Il faut qu'on sache comment ils sont disposés, si c'est possible. Wormhole, quand nous aurons cette info, tu te téléporteras à l'intérieur derrière le type pour qu'il lâche son bouclier humain. Dans l'idéal, il faudrait aussi que tu le désarmes. Vois ce qui est le plus facile. Freyja toi, tu ouvriras la porte et, s'il y a de l'eau, à cause de l'alarme incedie de tout à l'heure, tu gèles tout que le type perde l'équilibre.
Je me pointerai ensuite avec mes ombres..."
Tout était dit. Maintenant, c'était à elle de jouer. Elle se saisit donc de son communicateur. Le type avait une ceinture d'explosifs. C'était un mutant. Mais quel était son pouvoir? C'était là la question. Autant tenter le tout pour le tout.
"Professeur, pouvez-vous essayer de nous donner la position du mutant? Nous arrivons..."
Quelques instants plus tard, Esther répondit au groupe :
"Écoutez ça me regarde pas mais à votre place je m'éloignerai de la fenêtre... Vous êtes une cible trop évidente. Et votre ami en est bien tombé..."
L'autre éructa :
"Me dis pas ce que j'ai à faire, sinon je te tue !"
Vraisemblablement, il semblait de plus en plus perturbé, partagé entre une hainte tangible pour Esther et une peur non dissimulée...
Dans l'idéal, il faudrait qu'il soit dos à la porte. C'était, du moins, ce qui leur donnerait le plus le champ libre pour agir. Mais... Rien n'était dit, rien n'était fait. La balle était dans leur camp, et Amarenna comptait bien sur l'effet de surprise pour retourner la situaton en la faveur de l'Institut.
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Lun 22 Déc 2008 - 14:05
*Et bien voilà, j'aurais dû parier que j'allais finir par faire un truc dangereux. Si ma mère me voyait elle me dirait de tout de suite rentrer à la maison, non sans avoir tenté d'aller baffer le terroriste elle même. Bon avec les indications de Kaufman, je devrais pouvoir y arriver sans problème. Enfin j'espère, sinon je sais pas ce qui va se passer.*
Juan regarda autour de lui, tout semblait parfaitement normal devant le bureau. Amarenna et Hjördis avaient l'air plutôt sereine compte tenu de la situation. Il réfléchit tout de même un instant, se demandant, si il fallait qu'il mette ses affaires en ordres avant de continuer.
*Bon c'est un peu tard pour envoyer une lettre à ma mère. Je pourrais m'excuser auprès d'amarenna. Nan plutôt aller en enfer que m'excuser auprès d'une gonzesse. Donc j'ai pas grand chose comme affaire à mettre en ordre avant de me lancer c'est bon je suis prêt.*
Il n'y avait pas grand chose à ajouter avant de se lancer. Mais il pris la parole quand même.
"Bon je vais me transporter derrière le terroriste. Attendez que je vous donne le signal pour défoncer la porte et rentrer dans le bureau. Mon signal sera reconnaissable. Le terroriste ne devrait pas être heureux de ce que je vais lui faire. Il va sans doute crier ou un autre truc dans le genre. Où alors ça sera moi qui pousserait un cri."
"
Juan se focalisa sur la porte, pour mieux visualiser l'intérieur du bureau. Une fois sur de son coup, le jeune mexicain se mit en route.
Une nouvelle fois le jeune mexicain se concentre pour ouvrir un portail. Se servant des informations données par Madame Kaufman, Il fait apparaitre le portail dans le dos du terroriste, afin de le surprendre et d'essayer de le maitriser, avant que ce dernier ne se fasse sauter.
Juan franchit le portail sans encombre et se retrouva juste dos au preneur d'otage. En face de lui la porte derrière laquelle se trouvaient Amarenna et Hjördis. Il aperçut le professeur Kofman, à plat ventre, les mains sur la tête. Un homme en smoking noir, l'air très détendu. Un vieillard complétement paniqué. Et Judith qui était retenue par l'homme. Elle semblait souffrir énormément. Le mutant méxicain eut juste le temps de constater que l'aggresseur n'était pas bien grand et qu'il portait effectivement une ceinture de ce qui semblaient être des explosifs... Mais l'heure n'étant pas à l'observation, il frappa l'homme à la nuque qui s'effondra d'un bloc, inconscient. Conformément à son plan, Juan brailla un bon coup à l'attention de ses deux camarades.
Juan regarda autour de lui, tout semblait parfaitement normal devant le bureau. Amarenna et Hjördis avaient l'air plutôt sereine compte tenu de la situation. Il réfléchit tout de même un instant, se demandant, si il fallait qu'il mette ses affaires en ordres avant de continuer.
*Bon c'est un peu tard pour envoyer une lettre à ma mère. Je pourrais m'excuser auprès d'amarenna. Nan plutôt aller en enfer que m'excuser auprès d'une gonzesse. Donc j'ai pas grand chose comme affaire à mettre en ordre avant de me lancer c'est bon je suis prêt.*
Il n'y avait pas grand chose à ajouter avant de se lancer. Mais il pris la parole quand même.
"Bon je vais me transporter derrière le terroriste. Attendez que je vous donne le signal pour défoncer la porte et rentrer dans le bureau. Mon signal sera reconnaissable. Le terroriste ne devrait pas être heureux de ce que je vais lui faire. Il va sans doute crier ou un autre truc dans le genre. Où alors ça sera moi qui pousserait un cri."
"
Juan se focalisa sur la porte, pour mieux visualiser l'intérieur du bureau. Une fois sur de son coup, le jeune mexicain se mit en route.
Une nouvelle fois le jeune mexicain se concentre pour ouvrir un portail. Se servant des informations données par Madame Kaufman, Il fait apparaitre le portail dans le dos du terroriste, afin de le surprendre et d'essayer de le maitriser, avant que ce dernier ne se fasse sauter.
Juan franchit le portail sans encombre et se retrouva juste dos au preneur d'otage. En face de lui la porte derrière laquelle se trouvaient Amarenna et Hjördis. Il aperçut le professeur Kofman, à plat ventre, les mains sur la tête. Un homme en smoking noir, l'air très détendu. Un vieillard complétement paniqué. Et Judith qui était retenue par l'homme. Elle semblait souffrir énormément. Le mutant méxicain eut juste le temps de constater que l'aggresseur n'était pas bien grand et qu'il portait effectivement une ceinture de ce qui semblaient être des explosifs... Mais l'heure n'étant pas à l'observation, il frappa l'homme à la nuque qui s'effondra d'un bloc, inconscient. Conformément à son plan, Juan brailla un bon coup à l'attention de ses deux camarades.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mer 24 Déc 2008 - 1:48
A peine le corps inconscient du jeune homme avait touché le sol, qu'Esther bondit sur ses deux pieds et alla l'examiner, clopinant sur une seule chaussure. Appuyant la paume de sa main sur la ceinture piégée, elle se concentra quelques instants.
La température de la pièce baissa légèrement et une pellicule de glace recouvrit l'explosif. Puis se relevant, elle se tourna vers les deux jeunes filles qui venaient d'entrer.
"Je suis contente de vous voir. Beau travail, Juan... Amarenna..."
Elle s'arrêta un instant, interdite.
"Votre visage..."
John Jacob quant à lui s'était précipité auprès de Judith qui reprenait son souffle, visiblement très secouée suite aux événements des dernières minutes.
L'homme au smoking était toujours planté dans un coin de la pièce. Il n'avait pas bougé et un petit sourire narquois venait de s'afficher sur ses lèvres.
"On peut dire que ce jeune homme est la réfutation parfaite des thèses de votre regretté maître, Mademoiselle Kofman" se contenta t'il de dire.
Cette dernière le foudroya du regard.
Enfin le dernier homme était en train de téléphoner, visiblement au poste de sécurité de l'université.
[Vous pouvez poster dans n'importe quel ordre. Un seul post en revanche. Merci ! Et bonnes fêtes de Noël !]
La température de la pièce baissa légèrement et une pellicule de glace recouvrit l'explosif. Puis se relevant, elle se tourna vers les deux jeunes filles qui venaient d'entrer.
"Je suis contente de vous voir. Beau travail, Juan... Amarenna..."
Elle s'arrêta un instant, interdite.
"Votre visage..."
John Jacob quant à lui s'était précipité auprès de Judith qui reprenait son souffle, visiblement très secouée suite aux événements des dernières minutes.
L'homme au smoking était toujours planté dans un coin de la pièce. Il n'avait pas bougé et un petit sourire narquois venait de s'afficher sur ses lèvres.
"On peut dire que ce jeune homme est la réfutation parfaite des thèses de votre regretté maître, Mademoiselle Kofman" se contenta t'il de dire.
Cette dernière le foudroya du regard.
Enfin le dernier homme était en train de téléphoner, visiblement au poste de sécurité de l'université.
[Vous pouvez poster dans n'importe quel ordre. Un seul post en revanche. Merci ! Et bonnes fêtes de Noël !]
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Jeu 25 Déc 2008 - 18:12
L'islandaise était pour l'action avant la réflexion. Mais jouer les rentre-dedans avec un kamikaze sauce TNT pouvait poser de légers problèmes de santé. Le joli plan d'Amarenna ne tenait pas compte de l'inconnue numéro un pour Hjördis : on fait comment pour éviter de se retrouver dispersés aux quatre vents? Parce que la grande blonde s'y connaissait autant en explosifs que Juan en physique quantique.
Stressant derrière la porte, elle entendit le signal et fit irruption brutalement dans la pièce. Cirque bien inutile, le forcené étant à terre. Le professeur Esther avait prit les choses en main mais les avait appelés par leurs prénoms. Leurs vrais prénoms. Pas très professionnel, ça (l'islandaise ayant oubliée qu'elle venait de faire la même chose sous le coup du stress avec Math).
Laissant le professeur s'occuper des coupures au visage d'Amarenna (Hjördis n'y avait pas encore vraiment prêté attention) elle jeta un oeil par la fenêtre défoncée pour constater que la situation avait dû être épique sur la pelouse. Elle espérait que Drawn s'en était tirée sans casses dans cette cohue. Revenant à l'ex-otage et à la personne s'assurant qu'elle allait bien, elle leur donna de précieux conseils qu'elle aimerait bien suivre.
"Il vaut mieux partir. Il y a encore au moins un mutant fou-furieux dans les couloirs."
Ne pas donner de précisions. La dur à cuire qu'ils avaient affrontée ne semblait pas du même calibre de ce vengeur à l'explosif. Elle aurait parié ses deux derniers mois de salaire de cuistot que cette chose tentaculesque venait de l'INTERIEUR du laboratoire. Et monsieur "je lance des piques empoisonnées à mon prof référent" était bien trop calme à son goût.
Professionnel chevronné? Sans émotions? Ou plus simplement beaucoup plus au courant que les autres personnes dans la pièce sur les raisons de cet assaut...
D'ailleurs, c'étaient qui? Sûrement pas les Ganymèdes sinon la fac ne serait qu'un souvenir. La même histoire qu'avec les profs attaquant leur Institut?
Incapable de réfléchir trop intensément à plusieurs sujets en même temps, la crampe cérébrale la gagna rapidement.
*Bon... Priorité numéro un : RENTRER. J'en ai assez de ce déguisement de bimbo décérébrée.*
Stressant derrière la porte, elle entendit le signal et fit irruption brutalement dans la pièce. Cirque bien inutile, le forcené étant à terre. Le professeur Esther avait prit les choses en main mais les avait appelés par leurs prénoms. Leurs vrais prénoms. Pas très professionnel, ça (l'islandaise ayant oubliée qu'elle venait de faire la même chose sous le coup du stress avec Math).
Laissant le professeur s'occuper des coupures au visage d'Amarenna (Hjördis n'y avait pas encore vraiment prêté attention) elle jeta un oeil par la fenêtre défoncée pour constater que la situation avait dû être épique sur la pelouse. Elle espérait que Drawn s'en était tirée sans casses dans cette cohue. Revenant à l'ex-otage et à la personne s'assurant qu'elle allait bien, elle leur donna de précieux conseils qu'elle aimerait bien suivre.
"Il vaut mieux partir. Il y a encore au moins un mutant fou-furieux dans les couloirs."
Ne pas donner de précisions. La dur à cuire qu'ils avaient affrontée ne semblait pas du même calibre de ce vengeur à l'explosif. Elle aurait parié ses deux derniers mois de salaire de cuistot que cette chose tentaculesque venait de l'INTERIEUR du laboratoire. Et monsieur "je lance des piques empoisonnées à mon prof référent" était bien trop calme à son goût.
Professionnel chevronné? Sans émotions? Ou plus simplement beaucoup plus au courant que les autres personnes dans la pièce sur les raisons de cet assaut...
D'ailleurs, c'étaient qui? Sûrement pas les Ganymèdes sinon la fac ne serait qu'un souvenir. La même histoire qu'avec les profs attaquant leur Institut?
Incapable de réfléchir trop intensément à plusieurs sujets en même temps, la crampe cérébrale la gagna rapidement.
*Bon... Priorité numéro un : RENTRER. J'en ai assez de ce déguisement de bimbo décérébrée.*
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Sam 27 Déc 2008 - 17:10
Tout s'était bien passé cette fois-ci. Amy, pourtant, bien qu'elle n'en ait rien laissé paraître avait eu peur. Elle n'avait jamais aimé mettre la vie des autres en danger, préférant risquer la sienne lorsqu'il le fallait. Pourtant, elle n'était pas suicidaire. Elle avait, sans s'en rndre compte, bloqué sa respiration jusqu'à entendre le signal de Juan, poussant alors un profond soupir de soulagement avant de laisser Hjördis ouvrir la porte. Esther s'était alors occupée de la ceinture d'explosifs de l'homme, au grand soulagement de la franco-américaine qui félicita Juan d'un sourire. Esther s'adressa alors à eux avant de se figer en regardant Amy qui, machinalement, porta la main à son visage.
"Quoi? Qu'y a-t-il?"
Elle se rappela alors ce qu'avait dit Juan et grimaça. Elle n'y avait, jusqu'alors pas prêté attention. Mais, maintenant que l'adrénaline desendait, elle sentait à nouveau des démangeaisons. Elle secoua la tête.
"Nous avons été attaqués par une étrange mutante qui ressemblait aux figures de la mythologie. Celles qui représentaient la Méduse. Elle a voulu me mordre et quand Juan l'en a empêché, elle a mis sa main sur ma bouche. Et voilà le résultat. Elleavait une force hors du commun... Mais je pense que ça devrait passer. Non?"
Tout avait été dit d'une voix neutre, calme, hormis le dernier mot où l'on sentait une pointe de crainte. Ca devrait pouvoir s'arranger, non? Elle secoua la tête, chassant cette crainte de son esprit pour rajouter:
"Math, Laura et Ivy ont aussi été attaqués. D'ailleurs, on devrait peut-être aller leur prêter main forte."
Tout en parlant, elle se saisit de son communicateur qu'elle ouvrit à ses trois camarades.
"Désolée pour tout à l'heure, les filles. Où en êtes-vous dehors, tous les trois? Vous avez besoin de renfort? La situation est maîtrisée dans le bureau. Nous avons terminé.
"Quoi? Qu'y a-t-il?"
Elle se rappela alors ce qu'avait dit Juan et grimaça. Elle n'y avait, jusqu'alors pas prêté attention. Mais, maintenant que l'adrénaline desendait, elle sentait à nouveau des démangeaisons. Elle secoua la tête.
"Nous avons été attaqués par une étrange mutante qui ressemblait aux figures de la mythologie. Celles qui représentaient la Méduse. Elle a voulu me mordre et quand Juan l'en a empêché, elle a mis sa main sur ma bouche. Et voilà le résultat. Elleavait une force hors du commun... Mais je pense que ça devrait passer. Non?"
Tout avait été dit d'une voix neutre, calme, hormis le dernier mot où l'on sentait une pointe de crainte. Ca devrait pouvoir s'arranger, non? Elle secoua la tête, chassant cette crainte de son esprit pour rajouter:
"Math, Laura et Ivy ont aussi été attaqués. D'ailleurs, on devrait peut-être aller leur prêter main forte."
Tout en parlant, elle se saisit de son communicateur qu'elle ouvrit à ses trois camarades.
"Désolée pour tout à l'heure, les filles. Où en êtes-vous dehors, tous les trois? Vous avez besoin de renfort? La situation est maîtrisée dans le bureau. Nous avons terminé.
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Lun 29 Déc 2008 - 23:46
Flare dans son communicateur a écrit:
"C'est ok ! La situation est totalement sous contrôle ! On va essayer d'obtenir des infos de Mariann, se serait cool aussi qu'Esther soit là quand elle répondra !"
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mar 30 Déc 2008 - 13:57
*C'est une mutante, que j'ai envoyé dans mon portail ça c'est sûr. Mais bon, venant d'elle, la confusion parait normale. Mais je vais pas courir après le monstre. Vu ce qu'elle a fait à Amarenna, et vue la manière dont je l'ai traitée. Notre prochaine rencontre risque d'être explosive.*
Juan regarda autour de lui. Tout semblait s'être calmée dans la pièce, la principale menace étant neutralisée pour le moment. Mais le type en costard était la personne la plus dangereuse qui puisse être. Cette dernière personne avait des préjugés, et les préjugés étaient le pouvoir le plus dangereux qui soit. Le jeune mexicain avait déjà eu l'occasion de le voir à l'œuvre plusieurs fois et il était dévastateur.
Mais la journée avait été riche en évènement jusqu'à présent, et Juan décida de ne pas en rajouter. Il se contenta donc d'émettre un grognement.
Puis Amarenna exprima ce que Juan venait d'avoir en tête.
*Comment les autres s'en sortent dehors?*
La réponse leur parvint sous la forme d'un message communiqué par Math. La situation dehors était sous contrôle.
"Bon, si on y allait maintenant. Faudrait montrer la joue d'Amarenna à un médecin. Et en plus, on a finit de visiter le campus. je pense que je vais m'inscrire ici l'année prochaine madame Kaufman, comme vous m'avez conseillé."
*Je pense que c'est mieux, au d'avouer publiquement qu'on a volé des documents dans un bâtiment public. Je tiens pas à finir ma journée au poste de police, voire pire, d'après ce que j'ai pu apprendre depuis mon arrivée à l'institut.*
Le jeune homme n'avait plus rien à dire, il attendit donc que quelqu'un d'autre reprenne la parole.
Juan regarda autour de lui. Tout semblait s'être calmée dans la pièce, la principale menace étant neutralisée pour le moment. Mais le type en costard était la personne la plus dangereuse qui puisse être. Cette dernière personne avait des préjugés, et les préjugés étaient le pouvoir le plus dangereux qui soit. Le jeune mexicain avait déjà eu l'occasion de le voir à l'œuvre plusieurs fois et il était dévastateur.
Mais la journée avait été riche en évènement jusqu'à présent, et Juan décida de ne pas en rajouter. Il se contenta donc d'émettre un grognement.
Puis Amarenna exprima ce que Juan venait d'avoir en tête.
*Comment les autres s'en sortent dehors?*
La réponse leur parvint sous la forme d'un message communiqué par Math. La situation dehors était sous contrôle.
"Bon, si on y allait maintenant. Faudrait montrer la joue d'Amarenna à un médecin. Et en plus, on a finit de visiter le campus. je pense que je vais m'inscrire ici l'année prochaine madame Kaufman, comme vous m'avez conseillé."
*Je pense que c'est mieux, au d'avouer publiquement qu'on a volé des documents dans un bâtiment public. Je tiens pas à finir ma journée au poste de police, voire pire, d'après ce que j'ai pu apprendre depuis mon arrivée à l'institut.*
Le jeune homme n'avait plus rien à dire, il attendit donc que quelqu'un d'autre reprenne la parole.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
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Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mar 30 Déc 2008 - 14:25
L'homme au smoking releva un sourcil quand les filles mentionnèrent l'existence de la Méduse. Puis reprenant une attitude impassible, il lança, amusé :
"Elliott, vous devriez faire attention à vos phénomènes de foire. Étudier les mythes et légendes est une chose, transformer mon université en musée des horreurs en est une autre".
L'anthropologue ne releva pas la plaisanterie et commenta simplement en raccrochant le téléphone :
"La sécurité sera là dans un instant pour s'occuper du terroriste"
L'homme au smoking, se contentant d'opiner du chef, s'avança vers Juan et le toisa rapidement.
"Ravi d'apprendre que la NYCU vous intéresse. Et d'apprendre que la délicieuse et douteuse Esther Kofman fait la réclame de mon université dans les bas-fonds de New York"
L'israélienne foudroyant du regard Sears, se tourna vers son équipe :
"Oui, je crois qu'en effet, il vaudrait mieux que nous amenions votre camarade rapidement chez un médecin. Et ravie que cette visite ait été productive pour vous, Juan. Vous m'excuserez un instant, je crois que ma chaussure est sous ce jeune... homme" termina t'elle en désignant l'apprenti poseur de bombes.
S'accroupissant près du corps inerte de l'individu, Esther le déplaça légèrement. Elle cherchait quelque chose mais étant de dos, le reste des personnes présentes ne pouvait voir exactement ses mouvements.
Au bout de quelques secondes, elle revint apparemment bredouille vers la troupe :
"Bon tant pis... Sears, je vous laisse gérer tout cela ?" ajouta t'elle à l'attention de la triste figure.
"Oui, oui, c'est ça, au revoir... Et je vous enverrai votre chèque par la poste... Et emmenez vos amis aussi !" répliqua t'il en désignant John Jacob et Judith Misrahi.
L'entière petite troupe, une fois dans le couloir, se mit en direction de la sortie, quand Esther, clopinant sur une seule chaussure, extirpa de sa veste de tailleur, un portefeuille qu'elle tendit aux LeX.
"Je crois que notre ami terroriste a perdu ceci".
"Elliott, vous devriez faire attention à vos phénomènes de foire. Étudier les mythes et légendes est une chose, transformer mon université en musée des horreurs en est une autre".
L'anthropologue ne releva pas la plaisanterie et commenta simplement en raccrochant le téléphone :
"La sécurité sera là dans un instant pour s'occuper du terroriste"
L'homme au smoking, se contentant d'opiner du chef, s'avança vers Juan et le toisa rapidement.
"Ravi d'apprendre que la NYCU vous intéresse. Et d'apprendre que la délicieuse et douteuse Esther Kofman fait la réclame de mon université dans les bas-fonds de New York"
L'israélienne foudroyant du regard Sears, se tourna vers son équipe :
"Oui, je crois qu'en effet, il vaudrait mieux que nous amenions votre camarade rapidement chez un médecin. Et ravie que cette visite ait été productive pour vous, Juan. Vous m'excuserez un instant, je crois que ma chaussure est sous ce jeune... homme" termina t'elle en désignant l'apprenti poseur de bombes.
S'accroupissant près du corps inerte de l'individu, Esther le déplaça légèrement. Elle cherchait quelque chose mais étant de dos, le reste des personnes présentes ne pouvait voir exactement ses mouvements.
Au bout de quelques secondes, elle revint apparemment bredouille vers la troupe :
"Bon tant pis... Sears, je vous laisse gérer tout cela ?" ajouta t'elle à l'attention de la triste figure.
"Oui, oui, c'est ça, au revoir... Et je vous enverrai votre chèque par la poste... Et emmenez vos amis aussi !" répliqua t'il en désignant John Jacob et Judith Misrahi.
L'entière petite troupe, une fois dans le couloir, se mit en direction de la sortie, quand Esther, clopinant sur une seule chaussure, extirpa de sa veste de tailleur, un portefeuille qu'elle tendit aux LeX.
"Je crois que notre ami terroriste a perdu ceci".
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mar 30 Déc 2008 - 14:52
Amy haussa un sourcil surpris à l'énoncé de l'homme au smoking. Ainsi, la chose était une création du professeur Eliott? Mais quel était l'intérêt d'une telle créaton? A quoi cela lui servait-il? Essayait-il de créer des mutants? Elle tourna la tête vers l'homme au téléphone, posant sur lui un regard accusateur. Après tout, il était la cause de tout cela.
"En tout cas, c'est un bon chien de garde, même si elle attaque des personnes qui ne lui ont rien fait. Elle doit être encore quelque part dans l'université."
La jeune femme avait parlé d'un ton froid, glacial même plutôt, qui ne lui ressemblait pas. La fureur était, en tout cas, clairement visible dans ses prunelles noisettes tandis que l'homme au smoking s'adressait à Esther pour les dénigrer.
"Vous n'avez pas besoin de nous pour votre mauvaise publicité, Professeur. Vous vous débrouillez très bien tous seuls... " fit-elle ironiquement.
Le message de Math leur parvint. Pour eux aussi, tout allait bien. Tant mieux. Ils en avaient donc tous fini ici. Elle hocha la tête, rassurée et regarda Esther fouiller sous l'homme pour trouver sa chaussure. Mais de chaussure, point de trace. Ce n'est qu'après avoir quitté le bureau qu'Esther leur dévoila la vérité. Elle avait prisun papier quelque chose dans les poches du preneur d'otage. Blackhole prit le papier portefeuille pour regarder ce qui était dessus avant de le tendre à ses camarades.
Il s'agissait du portefeuille du jeune terroriste. Amarenna put y découvrir un tout petit peu d'argent, une pièce d'identité au nom de Harold Clowes (le jeune terroriste a tout juste 16 ans et a une adresse à Chicago) et une adresse griffonnée sur un post-it sale (Cromwell Avenue à Brooklyn)
Elle se baissa ensuite tout en regardant leur professeure.
"Je sais pas si ça va fonctionner, mais avec un peu de chance, quelques ombres vous permettront de marcher un peu plus facilemet..." fit-elle en essayant de rassembler des ombres suffisemment solides et groupées pour former une chaussure noire identique à celle de l'autre pied.
En effet, ça ne fonctionna pas : des ombres se formèrent quelques instants sous le pied d'Esther puis disparurent à la lumière du soleil qui baignait le couloir à travers la baie vitrée. L'israélienne, trompée par cette illusion, manqua de s'étaler au sol. Se redressant, une mine légèrement fâchée sur le visage, elle lança tout en se débarrassant d'un coup de pied de l'autre chaussure :
"On va dire que vous avez essayé... Alors ce portefeuille ?"
"En tout cas, c'est un bon chien de garde, même si elle attaque des personnes qui ne lui ont rien fait. Elle doit être encore quelque part dans l'université."
La jeune femme avait parlé d'un ton froid, glacial même plutôt, qui ne lui ressemblait pas. La fureur était, en tout cas, clairement visible dans ses prunelles noisettes tandis que l'homme au smoking s'adressait à Esther pour les dénigrer.
"Vous n'avez pas besoin de nous pour votre mauvaise publicité, Professeur. Vous vous débrouillez très bien tous seuls... " fit-elle ironiquement.
Le message de Math leur parvint. Pour eux aussi, tout allait bien. Tant mieux. Ils en avaient donc tous fini ici. Elle hocha la tête, rassurée et regarda Esther fouiller sous l'homme pour trouver sa chaussure. Mais de chaussure, point de trace. Ce n'est qu'après avoir quitté le bureau qu'Esther leur dévoila la vérité. Elle avait pris
Il s'agissait du portefeuille du jeune terroriste. Amarenna put y découvrir un tout petit peu d'argent, une pièce d'identité au nom de Harold Clowes (le jeune terroriste a tout juste 16 ans et a une adresse à Chicago) et une adresse griffonnée sur un post-it sale (Cromwell Avenue à Brooklyn)
Elle se baissa ensuite tout en regardant leur professeure.
"Je sais pas si ça va fonctionner, mais avec un peu de chance, quelques ombres vous permettront de marcher un peu plus facilemet..." fit-elle en essayant de rassembler des ombres suffisemment solides et groupées pour former une chaussure noire identique à celle de l'autre pied.
En effet, ça ne fonctionna pas : des ombres se formèrent quelques instants sous le pied d'Esther puis disparurent à la lumière du soleil qui baignait le couloir à travers la baie vitrée. L'israélienne, trompée par cette illusion, manqua de s'étaler au sol. Se redressant, une mine légèrement fâchée sur le visage, elle lança tout en se débarrassant d'un coup de pied de l'autre chaussure :
"On va dire que vous avez essayé... Alors ce portefeuille ?"
"Les autres ont aussi été attaqués, dehors. Par une certaine Mariann qu'ils semblent connaître et d'autres mutants. Vous croyez qu'ils voulaient la même chose que nous? Et quel est l'intérêt des expériences de ce Eliott? Sa création, en tout cas, est costaude, et lourde..."
Esther haussa le sourcil :
"Elliott est un anthropologue. Un rat de bibliothèque. Il est incapable de faire ses lacets. Sears ne faisait que railler comme à son habitude. En revanche, c'est quoi cette histoire de "Méduse" ?
Esther haussa le sourcil :
"Elliott est un anthropologue. Un rat de bibliothèque. Il est incapable de faire ses lacets. Sears ne faisait que railler comme à son habitude. En revanche, c'est quoi cette histoire de "Méduse" ?
- InvitéInvité
Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Mar 30 Déc 2008 - 21:23
Se massant les tempes pour irriguer un cerveau dont les rouages manquaient singulièrement d'huile, l'islandaise finit par regarder plus attentivement sa chef de groupe pour voir enfin les séquelles de la bagarre avec la chose mythologique (hors des créatures nordiques, la blonde ne connaissait pas grand chose). Visiblement, elle était plus abimée que prévue. Machinalement, Hjördis se palpa le visage et les autres endroits touchés par la mutante mais ne semblait pas souffrir des mêmes ennuis.
Un pouvoir comme celui de Joachim? Possible. Donc inquiétant. Depuis l'assaut, elle se doutait qu'elle serait amenée à affronter des autres mutants mais cela lui restait quand même un peu en travers de la gorge.
Au moins, la situation semblait sous contrôle. Le gars au téléphone annonça l'arrivée de la cavalerie et si cette aide prenait les traits du mateur de poitrines étudiantes qu'ils ont croisé avant... Mieux valait partir.
En tout cas, monsieur Smoking semblait un peu étonné de savoir la chose aux tentacules dans les couloirs mais se doutait de l'origine de la chose. Donc, comme l'islandaise l'avait supposée, la mutante venait de l'intérieur du laboratoire!
Juan avait eu une bonne idée, celle de faire croire qu'ils venaient visiter la fac pour inscription. Lâchant un petit sourire, elle voulut renchérir mais la réaction de monsieur Smoking lui hérissa le poil : Si ce type osait ne serait-ce que commencer à dénigrer son île et ses habitants, professeur Esther ou pas, elle lui sauterait dessus pour lui défroisser son col à coup de chaises! Le sourire s'évanouit et elle s'enferma dans un mutisme agacé. Réaction pas très courtoise mais déjà un peu plus civique que ce que Hjördis avait en tête.
L'islandaise réconforta et félicita Juan dans une même bourrade amicale sur son épaule.
En fait Amarenna, contre toute attente, se chargea de la partie hostile de la conversation. Sortant du bureau, l'islandaise fit un petit salut de la tête à monsieur smoking avant de se retrouver dans le couloir et de recevoir un plein train de nouvelles informations dans la caboche. ça sentait l'enquête tout ça... Le genre que l'on ne confie pas à des professionnels mais à des petits jeunes un peu emportés qui réussissent à transformer une mission de récupération de papelards en guerre des tranchées.
Que du bonheur en perspective, quoi!
Le professeur Esther voulait quelques précisions, Hjördis fit donc l'effort de déserrer les mâchoires.
"Mutante. Verdâtre. Des espèces de serpents tout autour du visage. Un corps si dur que j'avais l'impression de taper un pneu de camion. Elle ne pose pas de questions ou parle, elle cogne. Elle doit encore nous chercher dans la fac et je voudrais pas la croiser à nouveau."
Petit coup d'œil involontaire vers Amarenna. Son visage était dans un sale état. Le pouvoir de la chose verte devait être plus élaboré mais elle n'avait sûrement pas eu le temps de conclure son action à cause des paroles de Juan. Il n'empêche qu'il y avait deux inconnus avec eux et Hjördis se présenta:
"Lauffey. Enchantée..."
Un pouvoir comme celui de Joachim? Possible. Donc inquiétant. Depuis l'assaut, elle se doutait qu'elle serait amenée à affronter des autres mutants mais cela lui restait quand même un peu en travers de la gorge.
Au moins, la situation semblait sous contrôle. Le gars au téléphone annonça l'arrivée de la cavalerie et si cette aide prenait les traits du mateur de poitrines étudiantes qu'ils ont croisé avant... Mieux valait partir.
En tout cas, monsieur Smoking semblait un peu étonné de savoir la chose aux tentacules dans les couloirs mais se doutait de l'origine de la chose. Donc, comme l'islandaise l'avait supposée, la mutante venait de l'intérieur du laboratoire!
Juan avait eu une bonne idée, celle de faire croire qu'ils venaient visiter la fac pour inscription. Lâchant un petit sourire, elle voulut renchérir mais la réaction de monsieur Smoking lui hérissa le poil : Si ce type osait ne serait-ce que commencer à dénigrer son île et ses habitants, professeur Esther ou pas, elle lui sauterait dessus pour lui défroisser son col à coup de chaises! Le sourire s'évanouit et elle s'enferma dans un mutisme agacé. Réaction pas très courtoise mais déjà un peu plus civique que ce que Hjördis avait en tête.
L'islandaise réconforta et félicita Juan dans une même bourrade amicale sur son épaule.
En fait Amarenna, contre toute attente, se chargea de la partie hostile de la conversation. Sortant du bureau, l'islandaise fit un petit salut de la tête à monsieur smoking avant de se retrouver dans le couloir et de recevoir un plein train de nouvelles informations dans la caboche. ça sentait l'enquête tout ça... Le genre que l'on ne confie pas à des professionnels mais à des petits jeunes un peu emportés qui réussissent à transformer une mission de récupération de papelards en guerre des tranchées.
Que du bonheur en perspective, quoi!
Le professeur Esther voulait quelques précisions, Hjördis fit donc l'effort de déserrer les mâchoires.
"Mutante. Verdâtre. Des espèces de serpents tout autour du visage. Un corps si dur que j'avais l'impression de taper un pneu de camion. Elle ne pose pas de questions ou parle, elle cogne. Elle doit encore nous chercher dans la fac et je voudrais pas la croiser à nouveau."
Petit coup d'œil involontaire vers Amarenna. Son visage était dans un sale état. Le pouvoir de la chose verte devait être plus élaboré mais elle n'avait sûrement pas eu le temps de conclure son action à cause des paroles de Juan. Il n'empêche qu'il y avait deux inconnus avec eux et Hjördis se présenta:
"Lauffey. Enchantée..."
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
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Re: [LeX 4.3.2] NYCU : sounds of science
Dim 4 Jan 2009 - 1:20
Esther, tout en avançant avec le groupe, commenta simplement :
"Etrange cette histoire de méduse... Mais nous verrons ça tout à l'heure : le plus urgent est de rejoindre les autres en espérant qu'ils aillent bien, mettre les voiles au plus vite et vous emmenez voir un médecin pour vous examiner, Amarenna..."
Esther était elle si perturbée qu'elle en avait oublié toute prudence dans l'usage des prénoms ? Ou était ce le résultat de la confiance aveugle qu'elle accordait aux deux inconnus ?
Quoiqu'il en fut réellement, Judith et John suivait la troupe. Ce dernier fit les présentations :
"Enchanté Mademoiselle Lauffey, je suis le professeur John Jacob et voici Judith Misrahi... Nous sommes des anciens collègues de bureau d'Esther..."
Judith, toujours un peu choquée par les derniers événements, ajouta péniblement :
"Nous nous sommes vus tout à l'heure... Brièvement"
L'israélienne, peu soucieuse de la qualité des présentations, venait de récupérer le portefeuille et concentrait toute son attention sur le maigre contenu de celui-ci.
"16 ans ? Ca fait tout de même jeune pour jouer au terroriste et manier des explosifs" lâcha-t-elle comme à elle même...
La petite troupe croisa deux policiers du campus qui se ruaient en direction du bureau d'Elliott. La sécurité était visiblement en ébullition. Mais l'équipe était déjà dehors pour rejoindre les autres mutants...
Suite et fin...
"Etrange cette histoire de méduse... Mais nous verrons ça tout à l'heure : le plus urgent est de rejoindre les autres en espérant qu'ils aillent bien, mettre les voiles au plus vite et vous emmenez voir un médecin pour vous examiner, Amarenna..."
Esther était elle si perturbée qu'elle en avait oublié toute prudence dans l'usage des prénoms ? Ou était ce le résultat de la confiance aveugle qu'elle accordait aux deux inconnus ?
Quoiqu'il en fut réellement, Judith et John suivait la troupe. Ce dernier fit les présentations :
"Enchanté Mademoiselle Lauffey, je suis le professeur John Jacob et voici Judith Misrahi... Nous sommes des anciens collègues de bureau d'Esther..."
Judith, toujours un peu choquée par les derniers événements, ajouta péniblement :
"Nous nous sommes vus tout à l'heure... Brièvement"
L'israélienne, peu soucieuse de la qualité des présentations, venait de récupérer le portefeuille et concentrait toute son attention sur le maigre contenu de celui-ci.
"16 ans ? Ca fait tout de même jeune pour jouer au terroriste et manier des explosifs" lâcha-t-elle comme à elle même...
La petite troupe croisa deux policiers du campus qui se ruaient en direction du bureau d'Elliott. La sécurité était visiblement en ébullition. Mais l'équipe était déjà dehors pour rejoindre les autres mutants...
Suite et fin...
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