[Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
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- Le courtier temporelConscience collective
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[Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mar 10 Mai 2011 - 10:05
Quelques heures après le briefing, Roberta avait invité les élèves à se rendre devant l'Institut. Là, un bus les attendait. Les participants au briefing purent remarquer la présence d'Anjali, qui avait été appelée en dernière minute en renfort.
"Bon courage à toutes et à tous" lança Mademoiselle Shenzie en remettant une enveloppe nominative à chacun des élèves présents.
Installés dans le bus qui prit immédiatement la direction de l'aéroport de New-York, les élèves purent étudier le contenu de l'enveloppe. Celles d'Alexander et de Leah contenaient les plans du centre (consistant grosso modo en une section administrative, 3 sections pour les pensionnaires séparées les unes des autres par des grilles métalliques, des dépendances communes (douches, réfectoire, salle de vie) et les vestiaires du personnel).
Il s'avéra également suite à l'enquête sommaire réalisée que l'ensemble du personnel, autre que médical, n'était constitué que d'intérimaire. Seul le chef de la sécurité, M. Conrad Remer, était un permanent. Ce ressortissant allemand avait émigré aux Etats-Unis, il y a de cela de nombreuses années, et avait servi dans les bérets verts à l'occasion de diverses opérations extérieures. Depuis son retour à la vie civile, il avait enchaîné divers boulot de gardiennage avant d'être recruté, il y a de cela quelques mois en tant que chef de la sécurité de la Fondation Tobie Nathan.
Son casier judiciaire en revanche avait été scellé par un juge : visiblement l'homme avait déjà été condamné mais un magistrat américain avait décidé de rendre ce casier inaccessible à tous...
Une fois arrivés à l'aéroport de New-York, les élèves s'envolèrent pour Philadelphie. Là, des individus attendaient les mutants avec des pancartes comportant leurs noms, selon le groupe d'infiltration auquel ils appartenaient.
Le contact de Leah et d'Alexander n'était rien d'autre qu'un chauffeur de taxi. Les trois amis embarquèrent avec ce dernier et roulèrent en direction de la Fondation.
Ils arrivèrent de nuit dans les beaux jardins d'une grande bâtisse. Ils n'eurent pas à régler le taxi, la course ayant été prépayée, et s'empressèrent de se rendre à l'accueil, conformément aux instructions portées dans l'enveloppe. Là, une hôtesse prit leur identité (Alexander Jones et Leah Tanaka, selon les fausses cartes fournies par les services de Roberta) et décrocha son téléphone. Au bout de quelques instants, elle leur demande de se rendre dans un amphithéâtre.
A l'intérieur de ce dernier, Leah et Alexander se retrouvèrent en compagnie de femmes et d'hommes inconnus. Il y avait à la fois des hommes athlétiques, à l'allure militaire - certains même portant un treillis - et des femmes à la mine et à l'attitude modeste.
Un homme se démarquait du lot. Déjà, il n'était pas assis mais se tenait debout près du pupitre. Il était raide comme un piquet. Quand il vit les nouveaux arrivants, il se précipita vers eux.
"Vous devez être le nouvel agent de sécurité" lança-t-il tout de go à Alexander en lui tendant la main. "En compagnie de la nouvelle bonne..." ajouta-t-il sans même regarder Leah.
Il marqua une pause et termina :
"Bienvenue dans l'équipe en tout cas. Nous étions en train de procéder au débriefing de la journée. Si vous avez des questions, je suis Remer, le chef de la sécurité"
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mar 10 Mai 2011 - 18:26
Après le Briefing Alex était partie faire un rapide tour sur internet, non pas pour ce renseigner plus sur l’endroit, mais plus sur la tache qu’il allait effectuer, celle d’agent de sécurité.
Enfin précisément il alla regarder quelque prise basique, comme la clé de bras, rien de bien exceptionnel mais il fallait pouvoir donner le change au cas ou.
Pour ce qui était de cogner le télépathe n’était pas mauvais, bon c’était un peu de Street Fight mais c’était toujours mieux que rien, il avait plusieurs fois pensé à aller voir Koffman pour augmenter cela mais les occasions manquaient souvent.
Le deuxième point qu’il prépara c’était son apparence, il tira ses cheveux au maximum vers l’arrière pour un effet gommé, laissa sa barbe de quelques jours pour ce vieillir un peu. Enfila un pantalon ample noir proche d’un treillis, un pull toute aussi noir de type laine et une veste en polyester d’un noir un peu plus mat que le reste mais cela lui donnait quand même un air militarisé.
Il fit un sac avec un change, sous vêtements principalement, Alex n’étant pas dupe il ce doutait qu’il allait ce retrouver avec une bande de type qui avait sois fait partie des forces militaires sois policière ou ayant reçu une formation ce rapprochant fortement des deux, donc des personnes qui ce préparait à beaucoup éventualité.
Et il avait bien l’intention de faire penser à tout ce petit monde qu’il était l’un d’eux et emmenant quelque objets de base dont une bouteille d’eau et une lampe torche.
C’est donc ainsi préparé qu’il pris le bus pour la mission, puis ouvrir la lettre à son nom, il étudia les plans avec attention il allait falloir qu’il les connaissent sur le bout des doigts si il voulait éviter tout problème.
Puis il passa à la suite du menu, le personnel n’étant que des intérimaires c’était à parier que le chef de la sécurité ne connaisse sois personne, soit que quelques intérimaire qui reviendrait de façon régulière.
C’était ce type qui inquiétait le plus Alexander, un ex Béret Vert ce type pouvait aligné les télépathes sans aucun soucis. Il allait donc falloir qu’il soit prudent et qu’il use de son pouvoir si la situation venait à devenir risqué, parce que quelques choses faisait pensé au télépathe que ce type était largement capable d’affronter des mutants.
Un point intéressait le télépathe, ressortissant allemand, Alex avait étudier l’histoire Allemande et connaissait la langue cela allait certainement pouvoir lui permettre de faire des tentatives d’approche de ce monsieur.
A partir de ce moment la Alex ce mis au travail, commençant à créer un vécue au personnage qu’il allait jouer pour la mission, récitant des bases de la langue allemande revérifiant les plans comme ci il les apprenait par cœur.
Arriver à l’aéroport, il salua leur agent de liaison dirons nous qui les menas à l’endroit ou tout allait ce jouer, Alexander descendit du véhicule et abandonna au même moment Alexander Chayton alias Mastermind mutant de l’institut, pour devenir Alexander Jones.
Il ne fit même plus attention à Leah il marchait de façon droite et sur, puis suivit les indications de l’Hotesse, de la il arriva dans la pièce ou ce trouvait des types dans lequel la tenue du télépathe ce fondait parfaitement.
Un homme s’adressa à lui, tendant une main qu’Alex serra directement en acquiesçant pour validé le faite qu‘il était bien le nouvelle agent de sécurité.
« Alexander Jones, pas de question j’attends juste mon lieu de patrouille Monsieur.»
Alexander ce tenait limite au garde à vous, il était dans son rôle il verrait plus tard.
Enfin précisément il alla regarder quelque prise basique, comme la clé de bras, rien de bien exceptionnel mais il fallait pouvoir donner le change au cas ou.
Pour ce qui était de cogner le télépathe n’était pas mauvais, bon c’était un peu de Street Fight mais c’était toujours mieux que rien, il avait plusieurs fois pensé à aller voir Koffman pour augmenter cela mais les occasions manquaient souvent.
Le deuxième point qu’il prépara c’était son apparence, il tira ses cheveux au maximum vers l’arrière pour un effet gommé, laissa sa barbe de quelques jours pour ce vieillir un peu. Enfila un pantalon ample noir proche d’un treillis, un pull toute aussi noir de type laine et une veste en polyester d’un noir un peu plus mat que le reste mais cela lui donnait quand même un air militarisé.
Il fit un sac avec un change, sous vêtements principalement, Alex n’étant pas dupe il ce doutait qu’il allait ce retrouver avec une bande de type qui avait sois fait partie des forces militaires sois policière ou ayant reçu une formation ce rapprochant fortement des deux, donc des personnes qui ce préparait à beaucoup éventualité.
Et il avait bien l’intention de faire penser à tout ce petit monde qu’il était l’un d’eux et emmenant quelque objets de base dont une bouteille d’eau et une lampe torche.
C’est donc ainsi préparé qu’il pris le bus pour la mission, puis ouvrir la lettre à son nom, il étudia les plans avec attention il allait falloir qu’il les connaissent sur le bout des doigts si il voulait éviter tout problème.
Puis il passa à la suite du menu, le personnel n’étant que des intérimaires c’était à parier que le chef de la sécurité ne connaisse sois personne, soit que quelques intérimaire qui reviendrait de façon régulière.
C’était ce type qui inquiétait le plus Alexander, un ex Béret Vert ce type pouvait aligné les télépathes sans aucun soucis. Il allait donc falloir qu’il soit prudent et qu’il use de son pouvoir si la situation venait à devenir risqué, parce que quelques choses faisait pensé au télépathe que ce type était largement capable d’affronter des mutants.
Un point intéressait le télépathe, ressortissant allemand, Alex avait étudier l’histoire Allemande et connaissait la langue cela allait certainement pouvoir lui permettre de faire des tentatives d’approche de ce monsieur.
A partir de ce moment la Alex ce mis au travail, commençant à créer un vécue au personnage qu’il allait jouer pour la mission, récitant des bases de la langue allemande revérifiant les plans comme ci il les apprenait par cœur.
Arriver à l’aéroport, il salua leur agent de liaison dirons nous qui les menas à l’endroit ou tout allait ce jouer, Alexander descendit du véhicule et abandonna au même moment Alexander Chayton alias Mastermind mutant de l’institut, pour devenir Alexander Jones.
Il ne fit même plus attention à Leah il marchait de façon droite et sur, puis suivit les indications de l’Hotesse, de la il arriva dans la pièce ou ce trouvait des types dans lequel la tenue du télépathe ce fondait parfaitement.
Un homme s’adressa à lui, tendant une main qu’Alex serra directement en acquiesçant pour validé le faite qu‘il était bien le nouvelle agent de sécurité.
« Alexander Jones, pas de question j’attends juste mon lieu de patrouille Monsieur.»
Alexander ce tenait limite au garde à vous, il était dans son rôle il verrait plus tard.
- Leah PetersonOnyX
- Age : 30
Nom de code : Aegis
Date d'inscription : 03/08/2010
Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mer 11 Mai 2011 - 9:58
Ce n'est que quelques heures après qu'ils furent de nouveau réunis, avec cette fois, une arrivante de dernière minute auquel elle n'avait pas manqué de lui jeter un coup d'oeil furtif. Elle, par contre, elle n'avait pas fait grand chose durant ce laps de temps. Elle avait bien songé s'attacher les cheveux ou quelque chose du genre, histoire par exemple de pas avoir les cheveux dans la figure. A-t-on déjà vu une bonne avec quelque chose comme ça devant son champs de vision ? C'est sur que quand on récure un sol, on n'a guère le temps de repousser quelques mèches. Même si elle, elle avait surtout l'intention de fourrer son petit nez un peu partout quand elle en aurait l'occasion.
Si Roberta leur remis à chacun une enveloppe contenant certainement des informations essentielles, elle ne l'ouvrit que dans le bus. Elle, elle eut surtout des plans à priori. Elle les laissa d'abord de côté pour voir le reste des documents. Ce qui lui permis d'apprendre entre autres, qu'à part un monsieur "Conrad Remer", tous étaient des intérimaires. Allemand, immigrant, ancien berêt vert et surtout, un casier judiciaire avait été scellé par un juge. Il ne lui en fallait pas plus pour qu'un frisson lui parcours l'échine. En gros, valait mieux pas se fritter avec ce genre de type. Très certainement. Et valait mieux aussi pour qu'elle de bien surveiller ses arrières.... Il ne devait pas être le genre commode et compréhensif. Enfin, elle supposait.
Le reste du trajet, elle ne pensa pas à grand chose, sinon à faire de son mieux pour rester calme. Parce qu'il fallait bien l'avouer... Elle était à la fois nerveuse de faire une mission de ce genre, mais aussi un peu excitée, de devoir se faire passer pour quelqu'un d'autre. Mais aussi anxieuse, de savoir si elle réussirait ça correctement. Ce qui expliqua qu'elle se contenta d'examiner le paysage tout le long, même lorsqu'ils furent installés dans un taxi. Et une fois arrivés à destination, elle eut beaucoup de mal à rester calme et plus ou moins impassible. En parler ou en penser juste avant, c'était une chose.... Se retrouver au pieds du mur, au sens propre, c'était autre chose. Rapidement, ils se dirigèrent vers l'accueil, où ils se présentèrent avec de faux noms. Même si les prénoms étaient les mêmes. C'était la première fois qu'elle se présentait avec un nom japonais en plus.
En tout cas, Alexander semblait être rentré à fond dans un personnage, et était littéralement.... stressant, à ses yeux. Mais du moins, elle le suivit sans un mot jusqu'à ce qu'ils parviennent à l'amphithéâtre où se trouvait déjà plusieurs personnes. Elle se sentie presqu'intimidée de se retrouver là, comme ça. Un seul homme semblait être à part. Surement parce qu'il se tenait derrière un pupitre, droit comme un i, alors que tout les autres étaient assis. Et se précipitant vers eux dès qu'ils entrèrent, serrant directement la main d'Alexander en se présentant entre autres. Ah... C'était donc lui, le fameux Conrad ? songea-t-elle avec appréhension. Enfin, il ne semblait guère s'intéresser à elle. Tant mieux. Elle préférait encore être snobé que l'avoir sur le dos.
Aussi se contenta-t-elle de hôcher la tête, faisant signe qu'elle avais bien compris qu'il faudrait s'adresser à lui en cas de question. Avec un "D'accord", tout de même. Elle n'avait pas trouvé quoi dire d'autre. Aucune question particulière lui venait à l'esprit et puis... Elle doutait d'un côté que ce soit le genre de personne à apprécier les femmes de ménages trop bavarde.
Si Roberta leur remis à chacun une enveloppe contenant certainement des informations essentielles, elle ne l'ouvrit que dans le bus. Elle, elle eut surtout des plans à priori. Elle les laissa d'abord de côté pour voir le reste des documents. Ce qui lui permis d'apprendre entre autres, qu'à part un monsieur "Conrad Remer", tous étaient des intérimaires. Allemand, immigrant, ancien berêt vert et surtout, un casier judiciaire avait été scellé par un juge. Il ne lui en fallait pas plus pour qu'un frisson lui parcours l'échine. En gros, valait mieux pas se fritter avec ce genre de type. Très certainement. Et valait mieux aussi pour qu'elle de bien surveiller ses arrières.... Il ne devait pas être le genre commode et compréhensif. Enfin, elle supposait.
Le reste du trajet, elle ne pensa pas à grand chose, sinon à faire de son mieux pour rester calme. Parce qu'il fallait bien l'avouer... Elle était à la fois nerveuse de faire une mission de ce genre, mais aussi un peu excitée, de devoir se faire passer pour quelqu'un d'autre. Mais aussi anxieuse, de savoir si elle réussirait ça correctement. Ce qui expliqua qu'elle se contenta d'examiner le paysage tout le long, même lorsqu'ils furent installés dans un taxi. Et une fois arrivés à destination, elle eut beaucoup de mal à rester calme et plus ou moins impassible. En parler ou en penser juste avant, c'était une chose.... Se retrouver au pieds du mur, au sens propre, c'était autre chose. Rapidement, ils se dirigèrent vers l'accueil, où ils se présentèrent avec de faux noms. Même si les prénoms étaient les mêmes. C'était la première fois qu'elle se présentait avec un nom japonais en plus.
En tout cas, Alexander semblait être rentré à fond dans un personnage, et était littéralement.... stressant, à ses yeux. Mais du moins, elle le suivit sans un mot jusqu'à ce qu'ils parviennent à l'amphithéâtre où se trouvait déjà plusieurs personnes. Elle se sentie presqu'intimidée de se retrouver là, comme ça. Un seul homme semblait être à part. Surement parce qu'il se tenait derrière un pupitre, droit comme un i, alors que tout les autres étaient assis. Et se précipitant vers eux dès qu'ils entrèrent, serrant directement la main d'Alexander en se présentant entre autres. Ah... C'était donc lui, le fameux Conrad ? songea-t-elle avec appréhension. Enfin, il ne semblait guère s'intéresser à elle. Tant mieux. Elle préférait encore être snobé que l'avoir sur le dos.
Aussi se contenta-t-elle de hôcher la tête, faisant signe qu'elle avais bien compris qu'il faudrait s'adresser à lui en cas de question. Avec un "D'accord", tout de même. Elle n'avait pas trouvé quoi dire d'autre. Aucune question particulière lui venait à l'esprit et puis... Elle doutait d'un côté que ce soit le genre de personne à apprécier les femmes de ménages trop bavarde.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mer 11 Mai 2011 - 10:28
Remer eut un sourire sinistre à l'attention d'Alexander. Visiblement, la réponse du jeune homme semblait satisfaire le chef de la sécurité :
"Très bien, nous allons y venir... Veuillez m'excuser"
Et il redescendit au niveau du pupitre de manière à reprendre son débriefing.
"Chers camarades, après avoir envisagé le problème de l'asiate retorse et les demandes d'heures majorées pour les camarades de la section spéciale, dont je ferai part à notre ami Joseph Beck, j'aimerai que nous revenions sur l'évasion récente que la Fondation a subi. Car après tout, si nous voulons demander des privilèges à notre supérieur, encore faut-il que nous nous en montrions dignes !"
Il parlait avec une conviction proche du fanatisme. C'était presque effrayant.
"Il résulte de ma propre enquête que les grilles métalliques ont pu être franchies par l'irlandaise grâce à un pass magnétique tel que nous en possédons tous. Le Dr. Beck en a un également ainsi que l'ensemble du personnel médical et soignant. De même le cureton présent en nos lieux en a également un. Mon enquête n'a pas permis d'obtenir une preuve formelle mais..."
Remer avait l'air fâché. Il reprit plus fortement :
"Mais après avoir interrogé l'internée de la section 3, Emily, il s'avère qu'elle a échangé ses vêtements avec la fuyarde pour l'aider dans son évasion. Emily est actuellement suivie par le Dr. Vonnegut. Cette dernière est à surveiller plus particulièrement. Tous nos soupçons s'orientent vers elle et en dépit de sa lignée pure, elle ne partage certainement pas nos convictions..."
Tandis que Remer faisait son rapport, un homme gras s'approcha de Leah.
"Salut, Charlie Shin, tu as fait bon voyage dans ton canot ? Ça te dirait d'aller faire craquer un matelas avec moi ? Tu parles notre langue au moins ?"
Il était vraisemblablement en état d'ébriété. Et vu sa corpulence, il ne faisait aucun doute qu'il ne devait pas être là pour pousser des chariots et passer la serpillère...
"Très bien, nous allons y venir... Veuillez m'excuser"
Et il redescendit au niveau du pupitre de manière à reprendre son débriefing.
"Chers camarades, après avoir envisagé le problème de l'asiate retorse et les demandes d'heures majorées pour les camarades de la section spéciale, dont je ferai part à notre ami Joseph Beck, j'aimerai que nous revenions sur l'évasion récente que la Fondation a subi. Car après tout, si nous voulons demander des privilèges à notre supérieur, encore faut-il que nous nous en montrions dignes !"
Il parlait avec une conviction proche du fanatisme. C'était presque effrayant.
"Il résulte de ma propre enquête que les grilles métalliques ont pu être franchies par l'irlandaise grâce à un pass magnétique tel que nous en possédons tous. Le Dr. Beck en a un également ainsi que l'ensemble du personnel médical et soignant. De même le cureton présent en nos lieux en a également un. Mon enquête n'a pas permis d'obtenir une preuve formelle mais..."
Remer avait l'air fâché. Il reprit plus fortement :
"Mais après avoir interrogé l'internée de la section 3, Emily, il s'avère qu'elle a échangé ses vêtements avec la fuyarde pour l'aider dans son évasion. Emily est actuellement suivie par le Dr. Vonnegut. Cette dernière est à surveiller plus particulièrement. Tous nos soupçons s'orientent vers elle et en dépit de sa lignée pure, elle ne partage certainement pas nos convictions..."
Tandis que Remer faisait son rapport, un homme gras s'approcha de Leah.
"Salut, Charlie Shin, tu as fait bon voyage dans ton canot ? Ça te dirait d'aller faire craquer un matelas avec moi ? Tu parles notre langue au moins ?"
Il était vraisemblablement en état d'ébriété. Et vu sa corpulence, il ne faisait aucun doute qu'il ne devait pas être là pour pousser des chariots et passer la serpillère...
- Leah PetersonOnyX
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Date d'inscription : 03/08/2010
Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mer 11 Mai 2011 - 13:41
Apparemment, il ne semblait s'intéresser qu'à Alexander. D'une certaine façon, elle en était soulagée. Même si cela voulait pourtant dire que son équipier devrait lui-même faire attention avec un tel homme dans les parages. Ne s'attardant pas plus que ça avec eux, il continua ce qui devait être le débriefing dont il venait tout juste de faire mention. Un problème avec une "asiate retorse" et des demandes d'heures majorées pour blabla. Bon. Heu... réalisa-t-elle doucement. Une asiate retorse ? Elle aurait surement adoré savoir le nom de la personne en question, mais ils étaient manifestement arrivés à la fin de ce papotage. Pourtant, la suite était tout autant intéressante. Ainsi donc... le docteur Vonnegut était clairement soupçonnée, en plus d'une pensionnaire. Reste qu'elle était perplexe sur le terme "de lignée pure". Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ? Elle n'était pas certaine de le comprendre. Ou peut-être aussi qu'elle craignait de comprendre.
Enfin ça, elle ne se posa pas d'avantage la question, avec l'arrivé d'un homme franchement corpulent qui lui tint un drôle de langage. D'abord ébarluée, elle cligna plusieurs fois des yeux. Elle n'avait pas compris grand chose à ce qu'il racontait. De qui il parlait là ? C'était elle qu'il appelait "Charlie Shin" ? Est-ce qu'il la confondait avec quelqu'un d'autre ou est-ce qu'il était juste très con ? Et de quel canot parlait-il ? Elle n'en avait jamais pris. Jamais de sa vie. La seule fois qu'elle avait vu la grande étendue bleue avait été au bord d'un port. Le fameux soir où un marin plutôt .... l'avait enquiquinée. Mais y repenser lui donna soudainement une vague idée de ce qu'il voulait sans doute dire par "faire craquer un matelas" avec lui, et en fut écoeurée. Et très mal à l'aise de se retrouver à nouveau dans une situation comme celle-ci. Se tassant et faisant de son mieux pour s'éloigner un peu de lui histoire de mettre au moins quelques précieux centimètres de plus entre lui et elle, elle se contenta de répondre vite fait que :
"Vous êtes saoul, fichez-moi la paix."
Enfin ça, elle ne se posa pas d'avantage la question, avec l'arrivé d'un homme franchement corpulent qui lui tint un drôle de langage. D'abord ébarluée, elle cligna plusieurs fois des yeux. Elle n'avait pas compris grand chose à ce qu'il racontait. De qui il parlait là ? C'était elle qu'il appelait "Charlie Shin" ? Est-ce qu'il la confondait avec quelqu'un d'autre ou est-ce qu'il était juste très con ? Et de quel canot parlait-il ? Elle n'en avait jamais pris. Jamais de sa vie. La seule fois qu'elle avait vu la grande étendue bleue avait été au bord d'un port. Le fameux soir où un marin plutôt .... l'avait enquiquinée. Mais y repenser lui donna soudainement une vague idée de ce qu'il voulait sans doute dire par "faire craquer un matelas" avec lui, et en fut écoeurée. Et très mal à l'aise de se retrouver à nouveau dans une situation comme celle-ci. Se tassant et faisant de son mieux pour s'éloigner un peu de lui histoire de mettre au moins quelques précieux centimètres de plus entre lui et elle, elle se contenta de répondre vite fait que :
"Vous êtes saoul, fichez-moi la paix."
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mer 11 Mai 2011 - 15:47
Apparemment il avait réussi à bien faire pour sa première impression, Alexander hocha de la tête quand Reemer leurs demanda de l’excuser pour qu’il reprenne la ou il en était.
Celui-ci ce mis à parler de l’évasion de Saraid chose qu’il logiquement aurait fait sourire le télépathe, mais la pour le coup il resta sans expression, les lèvres jointes et les bras croisés. Au fond jouer les militaires amusait Alexander mais il comprit bien vite au parole de Reemer qu’il allait rejouer un rôle qu’il n’avait pas spécialement apprécié.
Levant une main pour demander la parole, le télépathe allait commencer à donner des indices de l’état d’esprit de son personnage à son nouveau patron.
« Monsieur, quel moyen nous sont autorisés pour répréhender un Mutos ou un collabo si une situation d’évasion ce faisait percevoir ? »
Il avait dit ça d’un ton parfaitement neutre, comme si la question était des plus normal et devait être posé. Après tout il était la pour garder des mutants, pas pour les aimés.
Toujours droit comme un piquet il attendait la réponse de son supérieur, quand un type venue tournoyer autour de Leah. Le télépathe lança au gros lourd un regard en coin, même si à la base Alex chercha à aider sa partenaire, la façon dont il envoya sa phrase faisait plutôt penser que le type le dérangeait dans ce moment sérieux. En somme il cachait bien son jeu.
« Hey! Un peu de tenue, ne va pas te déshonoré avec ça! La concentration est de mise quand notre fonction à été bafoué mon ami… »
Franchement on prend un peu de militaire, un peu de thêta chi et ont avaient un Alexander Jones, soit cela allait plaire à Reemer, soit au contraire cela lui vaudrait une brimade. Mais au parole du chef de la sécurité il ne craignait pas trop la brimade… En tous cas Leah n’avait pas de chance dans ce genre de rôle et pour une mission Alexander était prêt à aller assez loin.
Celui-ci ce mis à parler de l’évasion de Saraid chose qu’il logiquement aurait fait sourire le télépathe, mais la pour le coup il resta sans expression, les lèvres jointes et les bras croisés. Au fond jouer les militaires amusait Alexander mais il comprit bien vite au parole de Reemer qu’il allait rejouer un rôle qu’il n’avait pas spécialement apprécié.
Levant une main pour demander la parole, le télépathe allait commencer à donner des indices de l’état d’esprit de son personnage à son nouveau patron.
« Monsieur, quel moyen nous sont autorisés pour répréhender un Mutos ou un collabo si une situation d’évasion ce faisait percevoir ? »
Il avait dit ça d’un ton parfaitement neutre, comme si la question était des plus normal et devait être posé. Après tout il était la pour garder des mutants, pas pour les aimés.
Toujours droit comme un piquet il attendait la réponse de son supérieur, quand un type venue tournoyer autour de Leah. Le télépathe lança au gros lourd un regard en coin, même si à la base Alex chercha à aider sa partenaire, la façon dont il envoya sa phrase faisait plutôt penser que le type le dérangeait dans ce moment sérieux. En somme il cachait bien son jeu.
« Hey! Un peu de tenue, ne va pas te déshonoré avec ça! La concentration est de mise quand notre fonction à été bafoué mon ami… »
Franchement on prend un peu de militaire, un peu de thêta chi et ont avaient un Alexander Jones, soit cela allait plaire à Reemer, soit au contraire cela lui vaudrait une brimade. Mais au parole du chef de la sécurité il ne craignait pas trop la brimade… En tous cas Leah n’avait pas de chance dans ce genre de rôle et pour une mission Alexander était prêt à aller assez loin.
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 12 Mai 2011 - 0:05
Remer haussa un sourcil aux paroles d'Alexander et répliqua du tac au tac :
"Jones, je vous remercierai à l'avenir de ne plus employer le terme "mutos". Vous n'êtes pas apte à juger de la valeur du travail de notre ami Beck..."
Le regard du chef de la sécurité s'était fait l'espace d'un instant glacial. Puis, feignant un sourire, il reprit d'une voix apaisée :
"En cas de tentative d'évasion d'un de nos internés, les consignes sont de l'appréhender en utilisant la force nécessaire. Pas de brutalités inutiles. Je sais bien que parmi vous, il y a des gens qui sont peu à l'aise avec les mutants. Je vous remercierai dès lors de réfréner vos ardeurs"
Il avala sa salive et poursuivit :
"Bien entendu l'interné, s'il est mutant, devra être immédiatement transféré en section 1 et fera l'objet d'un signalement immédiat à moi-même ou au Dr. Beck. S'il s'agit d'un syndrome X, vous aurez carte blanche dans la limite du raisonnable... Après avoir fait comprendre au syndrome X que nous n'avons pas de temps à perdre avec lui, il devra être réexpédié dans sa chambre"
Remer ne plaisantait pas en opérant cette distinction. Pour lui, c'était fondamental.
"Pour les collabos, quel que soit leur rang, vous devez vous contenter de rédiger un signalement et transmettre ce dernier à moi-même ou à Beck. Nous aviserons alors en temps utile"
Puis, Remer entreprit de répondre à une question sans intérêt sur le statut social des surveillants de l'établissement. Il leva dans la foulée la séance, au moment où Alexander était en train de rabrouer l'inconnu aviné qui cherchait des noises à Leah.
Ce dernier foudroya du regard Alexander mais partit sans demander son reste quand Remer s'approcha du télépathe.
Conrad Remer ignorait toujours Leah. Il lança :
"J'aime bien votre style, Jones. J'ai déjà dit à Fritz qu'il déshonorait notre Ordre. Je n'aime pas cela... Faire équipe avec un type comme vous pourrait lui être salutaire..."
Leah, en revanche, avait attiré l'attention d'une jeune femme. Elle lui fit signe d'approcher.
"Hey, t'es nouvelle, c'est ça ? Ça te dit de t'en griller une avec moi ? Après les avances de gros porc Fritz, c'est presque comme si t'étais de la maison..."
Elle tendit son paquet de cigarettes à la japonaise et ajouta :
"Moi c'est Judith et toi ?"
"Jones, je vous remercierai à l'avenir de ne plus employer le terme "mutos". Vous n'êtes pas apte à juger de la valeur du travail de notre ami Beck..."
Le regard du chef de la sécurité s'était fait l'espace d'un instant glacial. Puis, feignant un sourire, il reprit d'une voix apaisée :
"En cas de tentative d'évasion d'un de nos internés, les consignes sont de l'appréhender en utilisant la force nécessaire. Pas de brutalités inutiles. Je sais bien que parmi vous, il y a des gens qui sont peu à l'aise avec les mutants. Je vous remercierai dès lors de réfréner vos ardeurs"
Il avala sa salive et poursuivit :
"Bien entendu l'interné, s'il est mutant, devra être immédiatement transféré en section 1 et fera l'objet d'un signalement immédiat à moi-même ou au Dr. Beck. S'il s'agit d'un syndrome X, vous aurez carte blanche dans la limite du raisonnable... Après avoir fait comprendre au syndrome X que nous n'avons pas de temps à perdre avec lui, il devra être réexpédié dans sa chambre"
Remer ne plaisantait pas en opérant cette distinction. Pour lui, c'était fondamental.
"Pour les collabos, quel que soit leur rang, vous devez vous contenter de rédiger un signalement et transmettre ce dernier à moi-même ou à Beck. Nous aviserons alors en temps utile"
Puis, Remer entreprit de répondre à une question sans intérêt sur le statut social des surveillants de l'établissement. Il leva dans la foulée la séance, au moment où Alexander était en train de rabrouer l'inconnu aviné qui cherchait des noises à Leah.
Ce dernier foudroya du regard Alexander mais partit sans demander son reste quand Remer s'approcha du télépathe.
Conrad Remer ignorait toujours Leah. Il lança :
"J'aime bien votre style, Jones. J'ai déjà dit à Fritz qu'il déshonorait notre Ordre. Je n'aime pas cela... Faire équipe avec un type comme vous pourrait lui être salutaire..."
Leah, en revanche, avait attiré l'attention d'une jeune femme. Elle lui fit signe d'approcher.
"Hey, t'es nouvelle, c'est ça ? Ça te dit de t'en griller une avec moi ? Après les avances de gros porc Fritz, c'est presque comme si t'étais de la maison..."
Elle tendit son paquet de cigarettes à la japonaise et ajouta :
"Moi c'est Judith et toi ?"
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 12 Mai 2011 - 1:54
Bon une chose était certaine, ce n’était pas pour protéger les mutants que Remer venait de réagir, mais bien pour protéger le travail de Beck. Vue comment celui-ci en parlait c’est deux la devaient êtres de grand ami, ou Beck était sacrément Charismatique pour avoir un type comme Remer sous son contrôle.
Les explications étaient clair, même normal au vue de l’endroit, hormis le passages sur les collabos comme les avaient nommés pour le coup Alex, qui accentua l’idée que ses types n’étaient pas des enfants de cœurs, sinon un autre thermes aurait été utilisé.
Alors que le gros ce faisait remettre au pas par un Alex Jones, Remer clôtura la séance. L’homme n’avait pas l’air d’apprécier qu’un type le remette à sa place, au vue du regard foudroyant que celui-ci envoyait au X-ray infiltré. Le télépathe restait calme, droit et maintenant son regard rivé sur le type quand celui-ci parti.
La source de ce départ était certainement du au faite que Remer venait d’arriver prêt d’Alex, pour le coup c’était presque rassurant, le télépathe n’était pas dupe, face à un type de cette carrure, il aurait été obligé d’utiliser son pouvoir. Alex à beau être relativement musclé, il restait quand même dans la moyenne et en dessous d’un soldat ou d’un type du genre.
Remer aimait le style de Jones, c’était bizarre mais Alex n’en aurait pas douter un instant, même si la pensée que ce genre de rôle devenait courrant lui traversa l’esprit, il ce contenta de répliquer d’un ton neutre en fixant de façon calme mais soutenue l’allemand.
« Avec tout mon respect monsieur, la d’ou je viens ce genre de type ont les retrouves à copulé avec des étrangères ou avec des petits enfants… ils n’ont aucun honneur et n’en auront jamais... »
Il laissa un blanc avant de reprendre toujours sur le même ton.
« Mais je remplirai ma tache avec lui si tel est l’ordre que vous me donner monsieur et m’excuse si mon éducation assez radical pour certain ce vois mal perçu. »
Il avait commencé d’une façon il devait à présent si tenir, enfin les mots Sang pur et Ordre avait tiqué au oreille du télépathe qui pour le moment ce disait que jouer un type avec une éducation radical et militarisé à fond allait sans doute plaire.
Puis une petite lecture discrète des pensés de Remer allait l’aidé à accentuer son personnage dans un sens que celui-ci apprécierai.
Les explications étaient clair, même normal au vue de l’endroit, hormis le passages sur les collabos comme les avaient nommés pour le coup Alex, qui accentua l’idée que ses types n’étaient pas des enfants de cœurs, sinon un autre thermes aurait été utilisé.
Alors que le gros ce faisait remettre au pas par un Alex Jones, Remer clôtura la séance. L’homme n’avait pas l’air d’apprécier qu’un type le remette à sa place, au vue du regard foudroyant que celui-ci envoyait au X-ray infiltré. Le télépathe restait calme, droit et maintenant son regard rivé sur le type quand celui-ci parti.
La source de ce départ était certainement du au faite que Remer venait d’arriver prêt d’Alex, pour le coup c’était presque rassurant, le télépathe n’était pas dupe, face à un type de cette carrure, il aurait été obligé d’utiliser son pouvoir. Alex à beau être relativement musclé, il restait quand même dans la moyenne et en dessous d’un soldat ou d’un type du genre.
Remer aimait le style de Jones, c’était bizarre mais Alex n’en aurait pas douter un instant, même si la pensée que ce genre de rôle devenait courrant lui traversa l’esprit, il ce contenta de répliquer d’un ton neutre en fixant de façon calme mais soutenue l’allemand.
« Avec tout mon respect monsieur, la d’ou je viens ce genre de type ont les retrouves à copulé avec des étrangères ou avec des petits enfants… ils n’ont aucun honneur et n’en auront jamais... »
Il laissa un blanc avant de reprendre toujours sur le même ton.
« Mais je remplirai ma tache avec lui si tel est l’ordre que vous me donner monsieur et m’excuse si mon éducation assez radical pour certain ce vois mal perçu. »
Il avait commencé d’une façon il devait à présent si tenir, enfin les mots Sang pur et Ordre avait tiqué au oreille du télépathe qui pour le moment ce disait que jouer un type avec une éducation radical et militarisé à fond allait sans doute plaire.
Puis une petite lecture discrète des pensés de Remer allait l’aidé à accentuer son personnage dans un sens que celui-ci apprécierai.
- Leah PetersonOnyX
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 12 Mai 2011 - 9:48
Visiblement, Remer avait beaucoup de respect pour le travail de Beck. Du moins, ce n'était pas juste une question d'être à cheval sur le respect, puisqu'il s'était permis de dire "notre ami Beck". Et ça ne semblait pas être ironique. En tout cas, il récupera assez vite son sourire et répondit à Alexander qui avait posé une question. Elle écouta néanmoins les explications. Ca ne la regardait sans doute pas, puisqu'elle était uniquement là pour passer la serpillière. Mais bon... Ce serait tout autant idiot de ne pas écouter. Et puis ça lui permettrait sans doute de mieux comprendre, aussi. Apparemment, un mutant devrait directement passer au niveau 1 alors qu'un syndrome x serait simplement renvoyé de là où il venait. Et pas de temps à perdre avec lui. Elle se demanda un peu ce qu'il voulait dire par là... Est-ce qu'ils étaient juste trop insignifiant pour avoir plus de soins que ça, ou juste une façon de dire que de toute manière, ils n'étaient pas réellement dangereux...? Et puis, le terme "collabo", qu'est-ce que c'était ? Ceux qui collaborait avec qui ? Les mutants ? Les patients ? D'autres personnes extérieur ? Elle ne savait pas trop de quoi il parlait, et à vrai dire, ne chercha nullement à le demander. Elle n'aurait pas été sa place, et elle n'avait pas envie d'être dans le collimateur d'un type pareil. En plus, il semblait avoir plus d'affinité pour Alexander.
Quand ce gros type était arrivé pour lui parler bizarrement, elle lui avait répliqué quelque chose vite fait. Mais elle espérait surtout qu'il parte rapidement. Que pouvait-elle bien faire face à un homme de ce genre-là ? Pas grand chose. Il n'avait pas besoin de faire grand chose en plus... Il n'avait qu'à décidé de se jeter sur elle, et vu son poids, nul doute qu'elle serait écrasé. Mais Alexander décida d'intervenir. Tout en continuant évidemment son petit rôle de telle sorte que quiconque aurait pu croire qu'il se fichait épurdement de la bonne mais uniquement du comportement indécent de cet homme saoul. Mais quelle importance ? C'était pas vraiment ça, elle en était sure. Mais du moins, elle se contenta de jeter rapidement un coup d'oeil reconnaissant à Alexander. Au moins ça, beaucoup l'aurait fait. Ca ne prouvait rien du tout. Et puis Remer continuait de l'ignorer. Mieux ; il semblait apprécier Alexander. Tant mieux, tant mieux.... Elle souhaitait juste ne pas revoir ce "Fritz". Si c'était bien son nom.
Elle se sentait tout de même un peu bête, plantée là. Il faudrait bien qu'elle bouge pourtant... Et heureusement, une femme lui fit signe d'approcher. Bon, au moins, ce n'était pas un gros ivrogne de plus. C'était déjà ça. Légèrement intriguée et curieuse, elle s'approcha effectivement. Et puis c'était toujours mieux que de rien faire, probablement. Immédiatement, elle commença à papoter, lui proposa une cigarette et lui dit son nom. Judith donc... Gênée et embarassée, les joues roses, elle bégaya que : "Ah heu.... Je n'ai jamais..... Je ne fume pas...". C'était bien la première fois qu'on lui proposait ça en plus. Même si du coup, elle était assez flattée de la proposition de Judith.
Se reprenant néanmoins, elle ajouta : "Je m'appelle Leah... nouvelle, je suis la femme de ménage... En fait, c'est qui ce Fritz ?" lui demanda-t-elle, un peu curieuse. "C'est un agent de sécurité ?"
Un petit début de conversation... Léger, mais ca en était un. Tant qu'à faire, savoir qui il était ne serait pas du luxe. En plus, elle pouvait très bien lui en apprendre un peu plus. Il y avait toujours des choses qui se disait dans les couloirs, après tout.... Des rumeurs, par exemple. Pour peu que Judith soit bavarde, après tout...
Quand ce gros type était arrivé pour lui parler bizarrement, elle lui avait répliqué quelque chose vite fait. Mais elle espérait surtout qu'il parte rapidement. Que pouvait-elle bien faire face à un homme de ce genre-là ? Pas grand chose. Il n'avait pas besoin de faire grand chose en plus... Il n'avait qu'à décidé de se jeter sur elle, et vu son poids, nul doute qu'elle serait écrasé. Mais Alexander décida d'intervenir. Tout en continuant évidemment son petit rôle de telle sorte que quiconque aurait pu croire qu'il se fichait épurdement de la bonne mais uniquement du comportement indécent de cet homme saoul. Mais quelle importance ? C'était pas vraiment ça, elle en était sure. Mais du moins, elle se contenta de jeter rapidement un coup d'oeil reconnaissant à Alexander. Au moins ça, beaucoup l'aurait fait. Ca ne prouvait rien du tout. Et puis Remer continuait de l'ignorer. Mieux ; il semblait apprécier Alexander. Tant mieux, tant mieux.... Elle souhaitait juste ne pas revoir ce "Fritz". Si c'était bien son nom.
Elle se sentait tout de même un peu bête, plantée là. Il faudrait bien qu'elle bouge pourtant... Et heureusement, une femme lui fit signe d'approcher. Bon, au moins, ce n'était pas un gros ivrogne de plus. C'était déjà ça. Légèrement intriguée et curieuse, elle s'approcha effectivement. Et puis c'était toujours mieux que de rien faire, probablement. Immédiatement, elle commença à papoter, lui proposa une cigarette et lui dit son nom. Judith donc... Gênée et embarassée, les joues roses, elle bégaya que : "Ah heu.... Je n'ai jamais..... Je ne fume pas...". C'était bien la première fois qu'on lui proposait ça en plus. Même si du coup, elle était assez flattée de la proposition de Judith.
Se reprenant néanmoins, elle ajouta : "Je m'appelle Leah... nouvelle, je suis la femme de ménage... En fait, c'est qui ce Fritz ?" lui demanda-t-elle, un peu curieuse. "C'est un agent de sécurité ?"
Un petit début de conversation... Léger, mais ca en était un. Tant qu'à faire, savoir qui il était ne serait pas du luxe. En plus, elle pouvait très bien lui en apprendre un peu plus. Il y avait toujours des choses qui se disait dans les couloirs, après tout.... Des rumeurs, par exemple. Pour peu que Judith soit bavarde, après tout...
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 12 Mai 2011 - 19:55
"C'est ce que je pense également" répliqua Remer aux commentaires d'Alexander sur l'ivrogne. "Mais Fritz est d'une bonne lignée, de la meilleure. Il a juste un peu du mal à admettre qu'à notre époque cela ne suffit pas... L'Übermensch est parmi nous et nous nous devons de l'accepter..."
Un bip provenant de sa poche vint déranger le chef de la sécurité. Il sortit un appareil de communication de sa poche et écouta ce que son interlocuteur avait à dire avant de conclure :
"Très bien. J'arrive"
Puis remettant le bipper dans la poche de son pantalon, Remer termina :
"Vous êtes de patrouille avec Fritz. Je compte sur vous pour le surveiller. Il vous remettra le matériel réglementaire. En cas de problème, n'hésitait pas à m'en aviser..."
La messe était dite. Remer fila à son rendez-vous surprise... Et le chef de la sécurité ne pensait à guère autre chose qu'à son inquiétude quant à la visite de journalistes. En espérant que ça ne compromettrait pas les grands projets scientifiques du Dr. Beck.
Leah, quant à elle, avait trouvé une compagne de galère. Judith rangea son paquet et tira par l'épaule la petite mutante.
"Je vais te montrer notre dortoir. Pour ce soir, y a pas de taf, alors autant aller se reposer..."
Elle conduisit Leah jusqu'à la partie du bâtiment réservé au personnel de service. Il y avait là des vestiaires pour hommes et pour femmes, la salle de garde pour les agents de sécurité et un dortoir pour le personnel d'entretien.
Ce dernier était composé d'environ 10 lits dont seulement quelques uns étaient occupés. Leah remarqua que trois filles étaient en train de discuter de leur journée.
"Plus jamais je mettrais les pieds chez les fous. C'est sordide : ils se bavent dessus comme des légumes et font leurs besoins partout. Franchement, galère financière ou pas, s'ils veulent que j'aille là bas, ils ont qu'à me flanquer à la porte !"
"La japonaise est franchement flippante. Je perds tous mes moyens quand je la vois et je crois que ça l'amuse. Je fais n'importe quoi. Genre, j'ai renversé mon seau par terre, sans raison, comme ça... C'est vraiment inquiétant"
"Dites-vous pensez qu'ils ont d'autres filles pour leur section spéciale ? Je venais de finir de nettoyer chez les fous et j'ai voulu passer pour finir mon boulot. Là, un des teutons tarés m'a dit d'aller voir ailleurs si'il y était. Section spéciale. Ça doit être cradingue alors..."
Judith n'y prêta aucune attention, vira ses godasses, sa cigarette toujours au bec et s'affala dans un plumard.
"Fais pas gaffe aux autres. Elles sont pas là depuis autant de temps que moi. Franchement, moins je me pose des questions, mieux je me porte. C'est pas une boutique nette mais la paye est honnête. Et puis... Quand tu commences à cogiter avec tout ce qui se passe, tu deviens vite folle... Franchement, vivre et laisser vivre c'est ma devise !"
Fritz avait ronchonné quand Alexander s'était présenté à lui pour faire équipe. Mais bon, les ordres de Remer sont les ordres de Remer. Le gros soulard avait emmené Alexander dans la salle de garde et lui avait remis le matériel de l'agent de sécurité.
Un communicateur. Une matraque électrique. Une lampe torche. Et un pass magnétique permettant l'accès à tout. Puis, il alla vers son casier et se rinça le gosier avec une flasque d'alcool.
"Y a rien de mieux pour commencer une garde. Bordel !"
Puis, il déverrouilla la porte permettant l'accès à la section 3. Celle des mutants légèrement perturbés. Fritz tourna à droite tout en commentant :
"On va à l'aile des filles. C'est plus drôle pour commencer"
Finalement ils déboulèrent dans un couloir sombre. De part et d'autres, il y avait une rangée de portes. Deux pensionnaires par chambre. Fritz sifflotait tout en avançant. Il allait pour dire une quelconque ânerie quand l'une des portes s'ouvrit...
"Oh punaise pince moi je rêve !" lança Fritz en voyant la fille. Cette dernière sourit de manière perverse à mesure que le gros patapouf s'avançait vers elle avec un regard franchement libidineux.
Un bip provenant de sa poche vint déranger le chef de la sécurité. Il sortit un appareil de communication de sa poche et écouta ce que son interlocuteur avait à dire avant de conclure :
"Très bien. J'arrive"
Puis remettant le bipper dans la poche de son pantalon, Remer termina :
"Vous êtes de patrouille avec Fritz. Je compte sur vous pour le surveiller. Il vous remettra le matériel réglementaire. En cas de problème, n'hésitait pas à m'en aviser..."
La messe était dite. Remer fila à son rendez-vous surprise... Et le chef de la sécurité ne pensait à guère autre chose qu'à son inquiétude quant à la visite de journalistes. En espérant que ça ne compromettrait pas les grands projets scientifiques du Dr. Beck.
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Leah, quant à elle, avait trouvé une compagne de galère. Judith rangea son paquet et tira par l'épaule la petite mutante.
"Je vais te montrer notre dortoir. Pour ce soir, y a pas de taf, alors autant aller se reposer..."
Elle conduisit Leah jusqu'à la partie du bâtiment réservé au personnel de service. Il y avait là des vestiaires pour hommes et pour femmes, la salle de garde pour les agents de sécurité et un dortoir pour le personnel d'entretien.
Ce dernier était composé d'environ 10 lits dont seulement quelques uns étaient occupés. Leah remarqua que trois filles étaient en train de discuter de leur journée.
"Plus jamais je mettrais les pieds chez les fous. C'est sordide : ils se bavent dessus comme des légumes et font leurs besoins partout. Franchement, galère financière ou pas, s'ils veulent que j'aille là bas, ils ont qu'à me flanquer à la porte !"
"La japonaise est franchement flippante. Je perds tous mes moyens quand je la vois et je crois que ça l'amuse. Je fais n'importe quoi. Genre, j'ai renversé mon seau par terre, sans raison, comme ça... C'est vraiment inquiétant"
"Dites-vous pensez qu'ils ont d'autres filles pour leur section spéciale ? Je venais de finir de nettoyer chez les fous et j'ai voulu passer pour finir mon boulot. Là, un des teutons tarés m'a dit d'aller voir ailleurs si'il y était. Section spéciale. Ça doit être cradingue alors..."
Judith n'y prêta aucune attention, vira ses godasses, sa cigarette toujours au bec et s'affala dans un plumard.
"Fais pas gaffe aux autres. Elles sont pas là depuis autant de temps que moi. Franchement, moins je me pose des questions, mieux je me porte. C'est pas une boutique nette mais la paye est honnête. Et puis... Quand tu commences à cogiter avec tout ce qui se passe, tu deviens vite folle... Franchement, vivre et laisser vivre c'est ma devise !"
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Fritz avait ronchonné quand Alexander s'était présenté à lui pour faire équipe. Mais bon, les ordres de Remer sont les ordres de Remer. Le gros soulard avait emmené Alexander dans la salle de garde et lui avait remis le matériel de l'agent de sécurité.
Un communicateur. Une matraque électrique. Une lampe torche. Et un pass magnétique permettant l'accès à tout. Puis, il alla vers son casier et se rinça le gosier avec une flasque d'alcool.
"Y a rien de mieux pour commencer une garde. Bordel !"
Puis, il déverrouilla la porte permettant l'accès à la section 3. Celle des mutants légèrement perturbés. Fritz tourna à droite tout en commentant :
"On va à l'aile des filles. C'est plus drôle pour commencer"
Finalement ils déboulèrent dans un couloir sombre. De part et d'autres, il y avait une rangée de portes. Deux pensionnaires par chambre. Fritz sifflotait tout en avançant. Il allait pour dire une quelconque ânerie quand l'une des portes s'ouvrit...
"Oh punaise pince moi je rêve !" lança Fritz en voyant la fille. Cette dernière sourit de manière perverse à mesure que le gros patapouf s'avançait vers elle avec un regard franchement libidineux.
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 12 Mai 2011 - 21:43
Le contacte était plutôt bien établie entre le mutant et le chef de la sécurité, même Remer avait certainement des idéaux étrange, il semblait être un type avec un code de conduite.
Toujours est il que celui-ci usait de mot qui faisait froid dans le dos, comme les lignés et avoir nommé les surhommes, parlait il des mutants ?
Alex avait étudier l’histoire germanique Nietzsche un philosophe allemand avait beaucoup développé ce concept puis avait été détourné pour en faire un objet de propagande, si Remer et Beck recherchait celui-ci alors il c’était pire que ce qu’il pouvait penser. Surtout que si il disait vrai, il avait réussi à atteindre leurs vision du Surhomme, une ligné pur qui viens à ce mélanger avec des mutants, une philosophie d’idéaux pré conçu intégrer à une population qui ne serait parfaite que dans leurs têtes…
Pour le coup Alexander espérait ce tromper, malheureusement ou heureusement un coup de fil interrompis la conversation, quand Remer lui précisa qu’il était avec Fritz le télépathe fit claqué ses talons l’un contre l’autre avant de hoché franchement la tête pour signifier qu‘il avait compris.
Alors qu’il rejoignit Fritz il ce mit à réfléchir au parole de Remer et au nombreuse question que celle-ci avait posés dans son esprit. L’homme ronchonna Alex ne dit mot de toute façon les ordres étaient les ordres si il ne si était pas tenue, le télépathe aurait agit en le signifiant à Remer.
Il enfila l’équipement que l’on venait de lui fournir, un communicateur rien d’étonnant, une matraque électrique ? Ouah il était au courrant que l’on pouvait tuer avec ce genre de truc, Alex la rangeant à la ceinture prévue à cette effet, puis suivit la lampe que le télépathe actionna pour en vérifier le fonctionnement avant de la rangé.
Le plus intéressent c’était le sésame qui ouvrait toute les portes, qu’il rangea avec précaution dans sa poche alors que Fritz ce rinçait le gosier. Le télépathe foudroya du regard le gros type quand celui-ci lui sortit qu’il n’y avait rien de mieux pour commencer une garde, le télépathe ne rétorqua rien préférant passer la porte déverrouillé sans un mot.
Section 3 Mutant légèrement perturbé… fallait juste espérer qu’il n’y est pas un mentaliste qui ce demande pourquoi il n’entendait pas les pensés d’Alex, enfin ce ne serait pas vraiment un problème le télépathe remettrait le mutant à sa place en disant qu’il était fou… Fritz voulait aller dans l’aile des filles, plus drôle hein ? Bah tien le gros lubrique devait aimer les petites jeunes.
Le télépathe ce tenait droit comme un I, lançant son regard de droit à gauche comme pour vérifier qu’il n’y avait pas d’anomalie particulière. En gros il faisait son boulot quoi, deux personnes pas chambre rien de vraiment anormal pour le moment.
Alors que Fritz sifflait à coté d’un Alex silencieux qui n’avait pour le moment aucunement envie de commencer à poser des questions, pour des raisons évidentes de rester discret il lui sembla que le gros allait dire quelques chose quand une porte s’ouvrit.
Une jeune femme d’apparence asiatique, le gros lança une phrase qui fit décrocher son regard de la jeune femme pour venir ce poser sur Fritz qui en aurait presque bavé, le télépathe soupira discrètement avant de répondre sur un ton neutre mais sec, caractéristique d’un rappel à l’ordre.
«Un peu de respect pour ta ligné… Tu te rappel ce que j’ai dit sur ça mein Freund? Tu veux que j’aille dire à Remer que tu va craquer ton slip devant une gamine asiatique pensionnaire ? »
Toujours est il que celui-ci usait de mot qui faisait froid dans le dos, comme les lignés et avoir nommé les surhommes, parlait il des mutants ?
Alex avait étudier l’histoire germanique Nietzsche un philosophe allemand avait beaucoup développé ce concept puis avait été détourné pour en faire un objet de propagande, si Remer et Beck recherchait celui-ci alors il c’était pire que ce qu’il pouvait penser. Surtout que si il disait vrai, il avait réussi à atteindre leurs vision du Surhomme, une ligné pur qui viens à ce mélanger avec des mutants, une philosophie d’idéaux pré conçu intégrer à une population qui ne serait parfaite que dans leurs têtes…
Pour le coup Alexander espérait ce tromper, malheureusement ou heureusement un coup de fil interrompis la conversation, quand Remer lui précisa qu’il était avec Fritz le télépathe fit claqué ses talons l’un contre l’autre avant de hoché franchement la tête pour signifier qu‘il avait compris.
Alors qu’il rejoignit Fritz il ce mit à réfléchir au parole de Remer et au nombreuse question que celle-ci avait posés dans son esprit. L’homme ronchonna Alex ne dit mot de toute façon les ordres étaient les ordres si il ne si était pas tenue, le télépathe aurait agit en le signifiant à Remer.
Il enfila l’équipement que l’on venait de lui fournir, un communicateur rien d’étonnant, une matraque électrique ? Ouah il était au courrant que l’on pouvait tuer avec ce genre de truc, Alex la rangeant à la ceinture prévue à cette effet, puis suivit la lampe que le télépathe actionna pour en vérifier le fonctionnement avant de la rangé.
Le plus intéressent c’était le sésame qui ouvrait toute les portes, qu’il rangea avec précaution dans sa poche alors que Fritz ce rinçait le gosier. Le télépathe foudroya du regard le gros type quand celui-ci lui sortit qu’il n’y avait rien de mieux pour commencer une garde, le télépathe ne rétorqua rien préférant passer la porte déverrouillé sans un mot.
Section 3 Mutant légèrement perturbé… fallait juste espérer qu’il n’y est pas un mentaliste qui ce demande pourquoi il n’entendait pas les pensés d’Alex, enfin ce ne serait pas vraiment un problème le télépathe remettrait le mutant à sa place en disant qu’il était fou… Fritz voulait aller dans l’aile des filles, plus drôle hein ? Bah tien le gros lubrique devait aimer les petites jeunes.
Le télépathe ce tenait droit comme un I, lançant son regard de droit à gauche comme pour vérifier qu’il n’y avait pas d’anomalie particulière. En gros il faisait son boulot quoi, deux personnes pas chambre rien de vraiment anormal pour le moment.
Alors que Fritz sifflait à coté d’un Alex silencieux qui n’avait pour le moment aucunement envie de commencer à poser des questions, pour des raisons évidentes de rester discret il lui sembla que le gros allait dire quelques chose quand une porte s’ouvrit.
Une jeune femme d’apparence asiatique, le gros lança une phrase qui fit décrocher son regard de la jeune femme pour venir ce poser sur Fritz qui en aurait presque bavé, le télépathe soupira discrètement avant de répondre sur un ton neutre mais sec, caractéristique d’un rappel à l’ordre.
«Un peu de respect pour ta ligné… Tu te rappel ce que j’ai dit sur ça mein Freund? Tu veux que j’aille dire à Remer que tu va craquer ton slip devant une gamine asiatique pensionnaire ? »
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Ven 13 Mai 2011 - 13:51
Apparemment, Judith esquiva volontairement la question qu'elle venait de poser. Bon. Elle lui proposa de lui montrer les dortoirs, puisqu'il n'y aurait rien à faire ce soir. D'accord. Elle la tira par l'épaule, et Leah se laissa faire, la suivant. Elle n'avait guère d'autres possibilités de toute manière. C'est donc en suivant cette femme jusqu'au batiment du personnel, passant devant des vestiaires en somme, ou une salle de garde, pour finalement parvenir dans un dortoir. Ah. C'était donc ici qu'elle passerait la nuit. Curieusement, ca lui rappela cette fameuse nuit sur le port. Ca ne serait que provisoire et elle serait avec pas mal d'autres filles. Il y en avait d'ailleurs trois qui étaient en grande discussion, et elle tendit l'oreille histoire d'entendre un peu ce qui disait. L'une parlait de fous, qui bavent et font leurs besoins n'importe où. Durant un instant, elle songea à quel point elle était ravie de savoir qu'elle ne s'occuperait du ménage que provisoirement.
La seconde en revanche, parla d'une japonaise, et Leah ne put s'empêcher de repenser à ce qu'avait dit Remer à propos d'une "asiat retorse". Est-ce qu'il s'agissait de la même ? Elle était curieuse à ce sujet-là. En même temps, appréhendais de rencontrer éventuellement une pensionnaire qui semblait visiblement causer des soucis. La troisième elle, se contenta de demander s'ils avaient d'autres filles pour la section spéciale. Nul doute qu'elles n'aimaient guère cet endroit. D'autant plus que l'une d'elle préférait visiblement se faire virer plutôt que d'y aller. En revanche, Judith semblait s'en moquer. Il n'y eut qu'à voir la manière dont elle retira ses chaussures tout en gardant sa cigarette, prenant un lit. Et de lui conseiller de ne pas se poser trop de questions. "C'est pas une boutique nette", qu'elle disait... Mais c'était pourtant précisement pour ça qu'elle était là, dans ce dortoir. Elle s'assit alors dans un lit à côté de Judith, calant son dos contre le montant et repliant ses genoux contre sa poitrine, après avoir elle-même retiré ses propres chaussures. Et de tourner la tête avec Judith.
"Mais... C'est qui, cette fameuse japonaise ?" ca coutait rien de demander après tout. De toute manière, elle devait bien rester là pour la nuit, en attendant de pouvoir mettre son petit nez ailleurs. Et si elle ne voulait pas lui répondre, elle resterait à écouter ce que disait ces filles-là. Quitte à faire semblant de dormir pour ça.
La seconde en revanche, parla d'une japonaise, et Leah ne put s'empêcher de repenser à ce qu'avait dit Remer à propos d'une "asiat retorse". Est-ce qu'il s'agissait de la même ? Elle était curieuse à ce sujet-là. En même temps, appréhendais de rencontrer éventuellement une pensionnaire qui semblait visiblement causer des soucis. La troisième elle, se contenta de demander s'ils avaient d'autres filles pour la section spéciale. Nul doute qu'elles n'aimaient guère cet endroit. D'autant plus que l'une d'elle préférait visiblement se faire virer plutôt que d'y aller. En revanche, Judith semblait s'en moquer. Il n'y eut qu'à voir la manière dont elle retira ses chaussures tout en gardant sa cigarette, prenant un lit. Et de lui conseiller de ne pas se poser trop de questions. "C'est pas une boutique nette", qu'elle disait... Mais c'était pourtant précisement pour ça qu'elle était là, dans ce dortoir. Elle s'assit alors dans un lit à côté de Judith, calant son dos contre le montant et repliant ses genoux contre sa poitrine, après avoir elle-même retiré ses propres chaussures. Et de tourner la tête avec Judith.
"Mais... C'est qui, cette fameuse japonaise ?" ca coutait rien de demander après tout. De toute manière, elle devait bien rester là pour la nuit, en attendant de pouvoir mettre son petit nez ailleurs. Et si elle ne voulait pas lui répondre, elle resterait à écouter ce que disait ces filles-là. Quitte à faire semblant de dormir pour ça.
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 9:39
Fritz ignora l'avertissement d'Alexander. En fait, il ne lui répondit même pas. Il continuait à avancer en direction de la fille, une espèce de raideur dans la démarche qui ne laissait présager rien de bon... Passant à proximité de l'asiatique, l'ivrogne lui tendit sa flasque que la jeune fille s'empressa d'attraper. Puis... Il ouvrit la porte de la fille, y entra puis referma la porte.
La fille souriait tout en portant le goulot de la flasque à la bouche. Elle en but une rasade puis plissa les yeux...
... Alexander sentit que ça bourdonnait dans sa tête. Comme si quelqu'un était en train d'essayer de prendre le contrôle de son esprit...
... au bout de quelques instants, cette impression désagréable cessa. L'attaque avait pris fin et l'asiatique parut surprise, voire choquée.
Rectifiant son attitude, elle lança en guise de défi :
"T'es qui toi ? Hein ?"
Puis, elle ajouta, visiblement à court d'idées :
"Euh... Franz est en train d'inspecter ma chambre. Parce que... Euh... Il y a une grosse araignée et j'ai peur des grosses araignées"
La jeune fille dandinait légèrement du postérieur dans une attitude de séduction éhontée.
Pendant ce temps, Alexander entendit un lit grincer dans la pièce. Comme si un poids important venait de se poser sur un malheureux matelas. Et des pleurs étouffées...
Ignorant les bavardages de ses collègues de travail, Judith entreprit de répondre à la question de Leah.
Elle commença par cet avertissement :
"Tu commences mal, cocotte. Faut pas que tu te poses de questions !"
Mais après avoir tiré encore une ou deux bouffées sur sa cigarette, la femme de ménage poursuivit :
"Bon après tout, t'es nouvelle et c'est vrai que l'endroit est super bizarre... Mais rêves pas, tu pourras rien y faire ! Fais pas comme cette espèce de gourde qu'a laissé dans nos vestiaires, une inscription sur la vitre tracée au bâton de rouge à lèvres..."
Judith eut un léger sourire. Visiblement, le souvenir était plaisant. Elle reprit :
"L'asiatique en question c'est Kodachi. Elle a internée ici suite à des faits criminels. Le Dr. Beck, à ce que m'a dit Wolfram, un agent de sécurité sympa, a fait des pieds et des mains auprès de la justice japonaise pour la récupérer, prétendant pouvoir la réinsérer... Enfin, c'est ce qu'il a prétendu"
Elle écrasa son mégot de clope dans un cendrier.
"Sauf que depuis qu'elle est arrivée, il l'a collé en section 3 et fait en sorte de ne jamais l'avoir en consultation. Du coup, c'est la rouquine qui s'en est occupée. Sauf qu'après leur première consultation, poil de carotte s'est disputée avec Beck : pour elle, Kodachi doit retourner en prison au Japon. Je l'avais jamais vu comme ça, poil de carotte. Elle était hors d'elle. Beck s'est contenté de ricaner et de refuser. Depuis, c'est le Docteur Wree qui suit Kodachi. Mais j'ai pas l'impression que ça lui fasse un bien fou..."
S'approchant à l'aide de ses mains de Leah, Judith ajouta d'un ton plus bas :
"Elle fait flipper tout le monde. Les pensionnaires. Les femmes de ménage, les agents de sécurité, même Beck en a peur. Une fois, alors que je passait le balai j'ai surpris une discussion entre Beck et Remer, de la sécurité. Ils devaient avoir oublié que je cause allemande. Bref, Beck était très déçu d'avoir trouvé une personne idéale pour son organisation idéale. Mais, comme elle était trop instable en plus d'être d'une lignée impure, il allait devoir la garder ici sans rien pouvoir en faire pour le moment. Remer paraissait paumé. Il a proposé à Beck de s'en occuper mais le Docteur a refusé catégoriquement. Il a dit, texto, que Kodachi pourrait servir à la fin de challenge pour ses protégés..."
Judith alla se rasseoir contre son oreiller.
"Pis, là j'avais fini de laver alors j'ai tracé ma route... Perso, Kodachi, une fois j'ai fait le ménage dans sa chambre. Elle la partage avec une fille complétement éteinte. Bref, je faisais le ménage et une fois que c'était terminé, j'avais oublié mes godasses neuves dedans. Je les ai jamais retrouvé... Alors je suis pas superstitieuse, mais je m'arrange toujours pour ne pas avoir à faire cette chambre. Tant pis si c'est crade. Et puis, on me l'a jamais reproché. Je crois même - c'est une des filles qui me l'a dit - que de temps à autre des agents de sécurité viennent passer le balai dans cette piaule le soir... C'est fou, non ?"
La fille souriait tout en portant le goulot de la flasque à la bouche. Elle en but une rasade puis plissa les yeux...
... Alexander sentit que ça bourdonnait dans sa tête. Comme si quelqu'un était en train d'essayer de prendre le contrôle de son esprit...
... au bout de quelques instants, cette impression désagréable cessa. L'attaque avait pris fin et l'asiatique parut surprise, voire choquée.
Rectifiant son attitude, elle lança en guise de défi :
"T'es qui toi ? Hein ?"
Puis, elle ajouta, visiblement à court d'idées :
"Euh... Franz est en train d'inspecter ma chambre. Parce que... Euh... Il y a une grosse araignée et j'ai peur des grosses araignées"
La jeune fille dandinait légèrement du postérieur dans une attitude de séduction éhontée.
Pendant ce temps, Alexander entendit un lit grincer dans la pièce. Comme si un poids important venait de se poser sur un malheureux matelas. Et des pleurs étouffées...
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Ignorant les bavardages de ses collègues de travail, Judith entreprit de répondre à la question de Leah.
Elle commença par cet avertissement :
"Tu commences mal, cocotte. Faut pas que tu te poses de questions !"
Mais après avoir tiré encore une ou deux bouffées sur sa cigarette, la femme de ménage poursuivit :
"Bon après tout, t'es nouvelle et c'est vrai que l'endroit est super bizarre... Mais rêves pas, tu pourras rien y faire ! Fais pas comme cette espèce de gourde qu'a laissé dans nos vestiaires, une inscription sur la vitre tracée au bâton de rouge à lèvres..."
Judith eut un léger sourire. Visiblement, le souvenir était plaisant. Elle reprit :
"L'asiatique en question c'est Kodachi. Elle a internée ici suite à des faits criminels. Le Dr. Beck, à ce que m'a dit Wolfram, un agent de sécurité sympa, a fait des pieds et des mains auprès de la justice japonaise pour la récupérer, prétendant pouvoir la réinsérer... Enfin, c'est ce qu'il a prétendu"
Elle écrasa son mégot de clope dans un cendrier.
"Sauf que depuis qu'elle est arrivée, il l'a collé en section 3 et fait en sorte de ne jamais l'avoir en consultation. Du coup, c'est la rouquine qui s'en est occupée. Sauf qu'après leur première consultation, poil de carotte s'est disputée avec Beck : pour elle, Kodachi doit retourner en prison au Japon. Je l'avais jamais vu comme ça, poil de carotte. Elle était hors d'elle. Beck s'est contenté de ricaner et de refuser. Depuis, c'est le Docteur Wree qui suit Kodachi. Mais j'ai pas l'impression que ça lui fasse un bien fou..."
S'approchant à l'aide de ses mains de Leah, Judith ajouta d'un ton plus bas :
"Elle fait flipper tout le monde. Les pensionnaires. Les femmes de ménage, les agents de sécurité, même Beck en a peur. Une fois, alors que je passait le balai j'ai surpris une discussion entre Beck et Remer, de la sécurité. Ils devaient avoir oublié que je cause allemande. Bref, Beck était très déçu d'avoir trouvé une personne idéale pour son organisation idéale. Mais, comme elle était trop instable en plus d'être d'une lignée impure, il allait devoir la garder ici sans rien pouvoir en faire pour le moment. Remer paraissait paumé. Il a proposé à Beck de s'en occuper mais le Docteur a refusé catégoriquement. Il a dit, texto, que Kodachi pourrait servir à la fin de challenge pour ses protégés..."
Judith alla se rasseoir contre son oreiller.
"Pis, là j'avais fini de laver alors j'ai tracé ma route... Perso, Kodachi, une fois j'ai fait le ménage dans sa chambre. Elle la partage avec une fille complétement éteinte. Bref, je faisais le ménage et une fois que c'était terminé, j'avais oublié mes godasses neuves dedans. Je les ai jamais retrouvé... Alors je suis pas superstitieuse, mais je m'arrange toujours pour ne pas avoir à faire cette chambre. Tant pis si c'est crade. Et puis, on me l'a jamais reproché. Je crois même - c'est une des filles qui me l'a dit - que de temps à autre des agents de sécurité viennent passer le balai dans cette piaule le soir... C'est fou, non ?"
- Leah PetersonOnyX
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 17:32
Elle n'aurait manifestement pas dû essayer de demander qui était la fameuse japonaise, et le regretta amèrement lorsque Judith la reprit de suite avec un avertissement beaucoup plus clair que le précédent conseil. Elle n'avait pas spécialement pour habitude d'être reprise.... justement parce qu'elle évitait de trop parler. Enfin, en général. Même s'il fallait avouer que dernièrement, elle s'était mise à discuter de plus en plus. Etonnant pour quelqu'un qui avait toujours été timide au point d'être silencieuse. Mais elle fit néanmoins de son mieux pour garder une certaine contenance, et ne baissa les yeux que quelques secondes avec une certaine gêne. Mais apparement, Judith sembla ne pas s'en formaliser, et finit par lui répondre. Enfin... Elle se contenta de lui parler d'une "espèce de gourde" qui avait laissé un message avec du rouge à lèvres. Elle aurait voulu pouvoir l'interroger plus sur la gourde en question. Par curiosité. Et puis surtout, c'était le message en question qui l'intéressait. C'était quoi, comme message ? Elle n'en su pas d'avantage et préféra serrer les lèvres en jetant un regard interrogateur.
Et puis bon. Au moins, elle venait de lui apprendre le nom de l'asiatique mentionnée plus tôt. Kodachi donc. Et elle devait à priori sa présence ici pour des "faits criminels". Mais quels faits ? s'interrogea Leah perplexe. Elle s'était servi de ses pouvoirs pour tuer quelqu'un, dévaliser une banque, ou quelque chose de ce genre ? Puis d'ailleurs, c'était quoi ses pouvoirs ? Ca aussi, elle aurait bien voulu le savoir. Quoique... Qu'est-ce qu'elles avaient dit déjà, les filles tout à l'heure ? L'une d'elle avait parlé d'avoir renversé son seau devant cette Kodachi, sans savoir pour quelles raisons. C'est vrai ça, pourquoi ? Est-ce qu'elle pouvait contrôler les gestes, ou angoisser les gens au point qu'ils se mettaient à faire n'importe quoi ? Elle ne savait pas trop, et préfèra laisser Judith finir de parler. La rouquine ? Peut-être bien la même qui était venue à l'institut leur demander de l'aide. Mais comme elle n'était pas censée connaitre de rouquine ici pour l'instant, elle afficha un air interrogatif de nouveau sur son visage. Et puis elle parla d'un docteur Wree, à qui avoir Kodachi ne semblait pas lui faire un bien fou. A moins que ce ne soit l'inverse.
S'approchant un peu vers elle, Judith lui en dit encore un peu plus, se montrant un peu plus bavarde qu'avant qu'elles ne soient dans le dortoir. Elle avait surpris une conversation... Et il fallait avouer qu'elle aussi, espérant bien en surprendre plus d'une demain. Mais pas en allemand. Elle ne parlais qu'anglais et japonais. Les autres langues, c'était tout comme de l'arménien pour elle. Encore une fois, il fut question de notion de lignée pure et impure. Cette fois, elle ne parvint pas à seulement afficher un air perplexe sur son visage et répéta le terme utilisé qui sonnait parfaitement comme une question : "Lignée impure ?"
Elle avait bien entendu Remer en parler tout à l'heure après tout. Il avait dit que le docteur Vonnegut était de lignée pure. Mais pure par rapport à quoi ? Ca, elle aurait bien voulu le savoir. Tout autant qu'elle aurait voulu comprendre ce que Beck avait voulu dire par "challenge pour ses protégés". C'était quoi l'idée ? Un challenge de quoi ? Elle écouta le reste de ce que Judith en silence, hôchant la tête de temps en temps pour montrer qu'elle écoutait tout ça d'une oreille attentive. Très attentive.
Et puis bon. Au moins, elle venait de lui apprendre le nom de l'asiatique mentionnée plus tôt. Kodachi donc. Et elle devait à priori sa présence ici pour des "faits criminels". Mais quels faits ? s'interrogea Leah perplexe. Elle s'était servi de ses pouvoirs pour tuer quelqu'un, dévaliser une banque, ou quelque chose de ce genre ? Puis d'ailleurs, c'était quoi ses pouvoirs ? Ca aussi, elle aurait bien voulu le savoir. Quoique... Qu'est-ce qu'elles avaient dit déjà, les filles tout à l'heure ? L'une d'elle avait parlé d'avoir renversé son seau devant cette Kodachi, sans savoir pour quelles raisons. C'est vrai ça, pourquoi ? Est-ce qu'elle pouvait contrôler les gestes, ou angoisser les gens au point qu'ils se mettaient à faire n'importe quoi ? Elle ne savait pas trop, et préfèra laisser Judith finir de parler. La rouquine ? Peut-être bien la même qui était venue à l'institut leur demander de l'aide. Mais comme elle n'était pas censée connaitre de rouquine ici pour l'instant, elle afficha un air interrogatif de nouveau sur son visage. Et puis elle parla d'un docteur Wree, à qui avoir Kodachi ne semblait pas lui faire un bien fou. A moins que ce ne soit l'inverse.
S'approchant un peu vers elle, Judith lui en dit encore un peu plus, se montrant un peu plus bavarde qu'avant qu'elles ne soient dans le dortoir. Elle avait surpris une conversation... Et il fallait avouer qu'elle aussi, espérant bien en surprendre plus d'une demain. Mais pas en allemand. Elle ne parlais qu'anglais et japonais. Les autres langues, c'était tout comme de l'arménien pour elle. Encore une fois, il fut question de notion de lignée pure et impure. Cette fois, elle ne parvint pas à seulement afficher un air perplexe sur son visage et répéta le terme utilisé qui sonnait parfaitement comme une question : "Lignée impure ?"
Elle avait bien entendu Remer en parler tout à l'heure après tout. Il avait dit que le docteur Vonnegut était de lignée pure. Mais pure par rapport à quoi ? Ca, elle aurait bien voulu le savoir. Tout autant qu'elle aurait voulu comprendre ce que Beck avait voulu dire par "challenge pour ses protégés". C'était quoi l'idée ? Un challenge de quoi ? Elle écouta le reste de ce que Judith en silence, hôchant la tête de temps en temps pour montrer qu'elle écoutait tout ça d'une oreille attentive. Très attentive.
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 18:27
Fritz était vraiment un gros lourd, en plus de ne pas l’écouter il continua sur son envie et à la façon dont il marchait il devait avoir une raideur quelques part…
Arrivant à porter de l’Asiatique il lui passa sa flasque devant un Alexander médusé, non mais c’était pas possible ça il allait être mignon le rapport à Remer avec plusieurs pages si cela allait continuer.
Puis il entra dans la chambre en refermant la porte.
*Il fait quoi la… Hey… c’est quoi ce délire!*
Alex sentit la tentative de contrôle qu’il s’opérait, il tourna le regard étonné vers l’asiat au vue de la situation, son collègue étant entré dans sa chambre en le plantant comme un couillon un regard étonné n’était pas impossible. Mais la raison était surtout qu’il ne s’attendait pas à rencontrer son propre pouvoir dans le coin, enfin il devait être légèrement plus puissant au vue de la mine choqué de celle-ci.
Toujours est il qu’il la fixait à présent avec son air militarisé du début quand elle lui demanda qui il était. Il répondit d’un ton neutre presque froid.
« Le nouvelle agent de sécurité! »
Elle le baratinait peur des grosses araignées tu parle, puis pourquoi c’était pas sa camarade de chambre qui avait buté l’araignée ? Un bruit de matelas lui parvenu jusqu’au oreille, puis ce bruit de pleur.
*C’est quoi ce bazar ?*
L’air du télépathe ce fit plus menaçant et dur il sortit la matraque de son fourreau dans un geste significatif pour la déplier et l’activer.
« Reculez de trois pas, main derrière la tête genou à terre! »
Dit il d’un ton autoritaire à l’asiatique en la menaçant du bout de la matraque pour bien montrer qu’il ne rigolait pas et qu’il la neutraliserait sans aucun soucis à la moindre source de refus.
Puis tenta d’entrer dans la chambre pour voir et arrêtez ce qui si passait, il avait un pass donc il devait pouvoir déverrouillé la porte si celle-ci c’était verrouillez sinon il userait de son communicateur pour radiner Remer et user de force brute.
Arrivant à porter de l’Asiatique il lui passa sa flasque devant un Alexander médusé, non mais c’était pas possible ça il allait être mignon le rapport à Remer avec plusieurs pages si cela allait continuer.
Puis il entra dans la chambre en refermant la porte.
*Il fait quoi la… Hey… c’est quoi ce délire!*
Alex sentit la tentative de contrôle qu’il s’opérait, il tourna le regard étonné vers l’asiat au vue de la situation, son collègue étant entré dans sa chambre en le plantant comme un couillon un regard étonné n’était pas impossible. Mais la raison était surtout qu’il ne s’attendait pas à rencontrer son propre pouvoir dans le coin, enfin il devait être légèrement plus puissant au vue de la mine choqué de celle-ci.
Toujours est il qu’il la fixait à présent avec son air militarisé du début quand elle lui demanda qui il était. Il répondit d’un ton neutre presque froid.
« Le nouvelle agent de sécurité! »
Elle le baratinait peur des grosses araignées tu parle, puis pourquoi c’était pas sa camarade de chambre qui avait buté l’araignée ? Un bruit de matelas lui parvenu jusqu’au oreille, puis ce bruit de pleur.
*C’est quoi ce bazar ?*
L’air du télépathe ce fit plus menaçant et dur il sortit la matraque de son fourreau dans un geste significatif pour la déplier et l’activer.
« Reculez de trois pas, main derrière la tête genou à terre! »
Dit il d’un ton autoritaire à l’asiatique en la menaçant du bout de la matraque pour bien montrer qu’il ne rigolait pas et qu’il la neutraliserait sans aucun soucis à la moindre source de refus.
Puis tenta d’entrer dans la chambre pour voir et arrêtez ce qui si passait, il avait un pass donc il devait pouvoir déverrouillé la porte si celle-ci c’était verrouillez sinon il userait de son communicateur pour radiner Remer et user de force brute.
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 18:54
La jeune asiatique parut hésiter l'espace d'un instant en voyant la matraque brandie en sa direction. Elle se mordit les lèvres et le bourdonnement reprit dans la tête d'Alexander. Mais là encore, sans succès aucun...
Elle recula donc et mit les mains derrière la tête et un genou à terre. La fille ne quittait pas Alexander des yeux, conservant sur son visage une expression de défi.
Le télépathe ouvrit la porte (qui n'était pas verrouillée) et aperçut l'agent Fritz en train de virer son pantalon et de ramper sur le lit en direction de la gamine qui l'occupait. Les intentions de l'agent de sécurité étaient on ne peut plus évidentes. En revanche, Fritz ne remarqua même pas la présence du télépathe. La fille non plus. Visiblement, ils semblaient, en quelque sorte, jouer une scène - ô combien sordide et dramatique - sans se soucier des éventuels spectateurs.
Des bruits de course dans le couloir informèrent Alexander que Kodachi venait de prendre la poudre d'escampette.
Judith haussa les épaules à la question de Leah. Elle se contenta de répondre :
"J'en sais rien, c'est juste ce qu'ils disaient. Après, je lis pas les pensées, cocotte. Sinon, je serai pas femme de ménage mais pensionnaire... Enfin..."
La femme de ménage cogita un instant.
"Faut dire que Beck et son équipe, ils aiment pas trop les étrangers... Je veux dire : les gens qui sont pas blancs. Ils préfèrent les blonds et les blondes. Et pis, ils parlent bizarrement avec leurs machins d'ordre nouveau, d'héritage des ancêtres, de lignées pures ou impures... Je crois que c'est eux qui devraient aller consulter. Mais bref..."
Elle retira son pantalon et enfila un shorty.
"Va falloir se coucher, cocotte. On a du boulot demain !"
Quelques heures plus tard, alors que Leah dormait d'un sommeil agité, elle fut réveillée en sursaut par la porte du dortoir qui venait de s'ouvrir d'un coup sec. Ouvrant les yeux, elle vit le chef de la sécurité, Conrad Remer, sur le seuil de la porte.
"Tanaka ! Herschel ! Venez immédiatement !" hurla-t-il.
Dans le dortoir, Leah entendit maugréer Judith. Les autres filles - qui n'avaient pas été appelées - en revanche soupirèrent et tentèrent de se rendormir aussitôt. L'une d'elle lança tout de même :
"Y a des petites veinardes. Nettoyer du sang à cette heure là, c'est pas top..."
Elle recula donc et mit les mains derrière la tête et un genou à terre. La fille ne quittait pas Alexander des yeux, conservant sur son visage une expression de défi.
Le télépathe ouvrit la porte (qui n'était pas verrouillée) et aperçut l'agent Fritz en train de virer son pantalon et de ramper sur le lit en direction de la gamine qui l'occupait. Les intentions de l'agent de sécurité étaient on ne peut plus évidentes. En revanche, Fritz ne remarqua même pas la présence du télépathe. La fille non plus. Visiblement, ils semblaient, en quelque sorte, jouer une scène - ô combien sordide et dramatique - sans se soucier des éventuels spectateurs.
Des bruits de course dans le couloir informèrent Alexander que Kodachi venait de prendre la poudre d'escampette.
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Judith haussa les épaules à la question de Leah. Elle se contenta de répondre :
"J'en sais rien, c'est juste ce qu'ils disaient. Après, je lis pas les pensées, cocotte. Sinon, je serai pas femme de ménage mais pensionnaire... Enfin..."
La femme de ménage cogita un instant.
"Faut dire que Beck et son équipe, ils aiment pas trop les étrangers... Je veux dire : les gens qui sont pas blancs. Ils préfèrent les blonds et les blondes. Et pis, ils parlent bizarrement avec leurs machins d'ordre nouveau, d'héritage des ancêtres, de lignées pures ou impures... Je crois que c'est eux qui devraient aller consulter. Mais bref..."
Elle retira son pantalon et enfila un shorty.
"Va falloir se coucher, cocotte. On a du boulot demain !"
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Quelques heures plus tard, alors que Leah dormait d'un sommeil agité, elle fut réveillée en sursaut par la porte du dortoir qui venait de s'ouvrir d'un coup sec. Ouvrant les yeux, elle vit le chef de la sécurité, Conrad Remer, sur le seuil de la porte.
"Tanaka ! Herschel ! Venez immédiatement !" hurla-t-il.
Dans le dortoir, Leah entendit maugréer Judith. Les autres filles - qui n'avaient pas été appelées - en revanche soupirèrent et tentèrent de se rendormir aussitôt. L'une d'elle lança tout de même :
"Y a des petites veinardes. Nettoyer du sang à cette heure là, c'est pas top..."
- Leah PetersonOnyX
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 19:09
Visiblement, Judith n'en savait pas plus qu'elle. Et pour le coup, c'était elle qui regrettait fortement de ne pas être télépathe. Alexander l'était par contre. Une chance d'une certaine facon. Bon. Beck et son équipe n'aimait pas les étrangers ? Des racistes donc ? Est-ce que ce serait pour ça que Remer ne l'avait pas regardé ? Elle était perplexe. Elle avait naturellement pensé qu'il se fichait d'elle parce qu'elle n'était qu'une bonne. Maintenant, elle doutait presque. Elle était cependant du même avis que sa camarade : ils auraient certainement bien besoin de consulter eux-mêmes. Et puis elle se changea, lui annonçant qu'il faudrait peut-être penser à se coucher. Obéissante, elle préféra effectivement s'allonger finalement en boule, le visage tourné vers le mur le plus proche. Il ne fallut que quelques minutes pour s'endormir.
Enfin, elle ne le réalisa que lorsqu'elle se réveilla d'un coup, en sursaut, avec quelqu'un qui venait de beugler "Tanaka". Tanaka ? songea-t-elle perplexe, avant de se souvenir que Tanaka, c'était censée être elle. Judith aussi, avait été appelée, à priori. Bon. Les autres filles par contre, ne les plaignirent que vaguement, parlant de sang. Du sang ? réalisa Leah avec effroi. Elle n'en avait jamais vu de sa vie. Enfin, pas plus que quelques gouttes. Respirant un bon coup, elle se leva et remis en place ses vêtements et sa coiffure. Histoire de pas être débraillée à souhait non plus. Et puis, sans trainer d'avantage, elle sortit, prête à aller là où Remer lui dira d'aller.
Enfin, elle ne le réalisa que lorsqu'elle se réveilla d'un coup, en sursaut, avec quelqu'un qui venait de beugler "Tanaka". Tanaka ? songea-t-elle perplexe, avant de se souvenir que Tanaka, c'était censée être elle. Judith aussi, avait été appelée, à priori. Bon. Les autres filles par contre, ne les plaignirent que vaguement, parlant de sang. Du sang ? réalisa Leah avec effroi. Elle n'en avait jamais vu de sa vie. Enfin, pas plus que quelques gouttes. Respirant un bon coup, elle se leva et remis en place ses vêtements et sa coiffure. Histoire de pas être débraillée à souhait non plus. Et puis, sans trainer d'avantage, elle sortit, prête à aller là où Remer lui dira d'aller.
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Dim 15 Mai 2011 - 19:14
Alors qu’il tenait l’asiatique en joue de sa matraque elle sembla hésiter puis tenta à nouveau une attaque psychique sans succès sur le Mastermind. L’action n’était pas illogique en soit Alex aurait tenté la même chose dans sa situation. Elle recula donc sous le regard du jeune homme puis s’exécuta.
Alexander pénétra dans la pièce matraque toujours au poing et pu voir de ses yeux la scène dont il ce doutait, il pouvait sentir la rage grandir dans sa poitrine contractant ses muscles. Un bruit dans le couloir lui fit comprendre que l’asiatique venait de partir en courrant.
Le télépathe leva sa main à son communicateur pour envoyer un message il allait avoir besoin d’aide.
« Chef, ici Jones, je suis en section 3 Fritz s’apprête à avoir des rapports sexuel avec une pensionnaire section 3 je l’intercepte! »
Le télépathe approcha du lit en brandissant la matraque prêt à frapper Fritz.
« Fritz première et dernière avertissement relevez vous remet ton pantalon ou cela va mal aller! »
Le télépathe avait hurler ses ordres avec une colère plus que palpable dans les yeux, il s’apprêtait à frapper Fritz si il ne réagissait pas. Soit les deux étaient sous contrôle mental et la le coup de matraque était obligatoire pour stoppé la machine, Alex ne voulant pas user de son pouvoir pour ne pas être repérer. Soit le type allait arrêté et il éviterait la décharge.
Alexander pénétra dans la pièce matraque toujours au poing et pu voir de ses yeux la scène dont il ce doutait, il pouvait sentir la rage grandir dans sa poitrine contractant ses muscles. Un bruit dans le couloir lui fit comprendre que l’asiatique venait de partir en courrant.
Le télépathe leva sa main à son communicateur pour envoyer un message il allait avoir besoin d’aide.
« Chef, ici Jones, je suis en section 3 Fritz s’apprête à avoir des rapports sexuel avec une pensionnaire section 3 je l’intercepte! »
Le télépathe approcha du lit en brandissant la matraque prêt à frapper Fritz.
« Fritz première et dernière avertissement relevez vous remet ton pantalon ou cela va mal aller! »
Le télépathe avait hurler ses ordres avec une colère plus que palpable dans les yeux, il s’apprêtait à frapper Fritz si il ne réagissait pas. Soit les deux étaient sous contrôle mental et la le coup de matraque était obligatoire pour stoppé la machine, Alex ne voulant pas user de son pouvoir pour ne pas être repérer. Soit le type allait arrêté et il éviterait la décharge.
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Lun 16 Mai 2011 - 23:14
Fritz ne répliqua pas à l'avertissement d'Alexander, aussi ce dernier fut contraint d'user de la matraque électrique sur son coéquipier pour le stopper. L'homme se raidit instantanément puis s'affala, tel un cachalot mort, sur le côté et finit par tomber du lit dans un grand fracas.
La fille sortit à ce moment là de sa torpeur. Voyant Alexander sur le lit et équipé d'une matraque électrique, elle poussa un hurlement sourd.
Et pendant ce temps là, dans la radio du mutant, la voix de Remer crépita :
"Jones ? JONES ! C'EST QUOI CE BRUIT ?"
Puis l'instant d'après :
"J'ARRIVE !"
Quelques heures plus tard et quelque part au beau milieu de la nuit, Leah suivait Remer en compagnie de Judith à travers les couloirs endormis de la fondation. Ils passèrent tour à tour plusieurs portails métalliques donnant sur les sections 3, 2 puis 1. Là, le chef de la sécurité fit signe aux filles de le suivre jusqu'à une porte blindée qu'il déverrouilla à l'aide d'un autre pass que celui qu'il avait utilisé jusqu'à présent.
La porte donnait sur un escalier qu'ils descendirent précautionneusement. Au bout de quelques minutes et après avoir parcouru une bonne centaine de marche, le trio se retrouva dans un corridor sordide. De part et d'autres de l'affreux couloir se trouvaient des portes de cellule. L'une d'elle était ouverte. Ils y entrèrent.
Sur le sol de la cellule, le cadavre d'un homme. Un homme habillé en prêtre.
Il tenait à la main un révolver. Visiblement il s'était fait sauter le caisson comme en témoignait la vaste projection de sang sur le mur adjacent et le fait que la moitié de son visage avait été emporté par la détonation. Un oreiller taché de sang et à moitié éventré reposait non loin du corps de l'homme de foi.
La salle était pauvrement meublée. Il y avait un lit, une chaise et une petite table de chevet sur laquelle reposait une bible.
Remer désigna le corps puis un sac noir vide ainsi que des produits d'entretien.
"Je veux que la cellule soit nettoyée d'ici une heure. Ne tardez-pas. Je vous envois quelqu'un pour vous surveiller. Pas de bruit. Pas de cris. Le travail doit être accompli dans la discrétion la plus absolue. Si cette affaire s'ébruite, je ne donne pas cher de vos vies..."
Puis, il quitta la pièce prestement, l'air plutôt préoccupé.
La fille sortit à ce moment là de sa torpeur. Voyant Alexander sur le lit et équipé d'une matraque électrique, elle poussa un hurlement sourd.
Et pendant ce temps là, dans la radio du mutant, la voix de Remer crépita :
"Jones ? JONES ! C'EST QUOI CE BRUIT ?"
Puis l'instant d'après :
"J'ARRIVE !"
*
**
**
Quelques heures plus tard et quelque part au beau milieu de la nuit, Leah suivait Remer en compagnie de Judith à travers les couloirs endormis de la fondation. Ils passèrent tour à tour plusieurs portails métalliques donnant sur les sections 3, 2 puis 1. Là, le chef de la sécurité fit signe aux filles de le suivre jusqu'à une porte blindée qu'il déverrouilla à l'aide d'un autre pass que celui qu'il avait utilisé jusqu'à présent.
La porte donnait sur un escalier qu'ils descendirent précautionneusement. Au bout de quelques minutes et après avoir parcouru une bonne centaine de marche, le trio se retrouva dans un corridor sordide. De part et d'autres de l'affreux couloir se trouvaient des portes de cellule. L'une d'elle était ouverte. Ils y entrèrent.
Sur le sol de la cellule, le cadavre d'un homme. Un homme habillé en prêtre.
Il tenait à la main un révolver. Visiblement il s'était fait sauter le caisson comme en témoignait la vaste projection de sang sur le mur adjacent et le fait que la moitié de son visage avait été emporté par la détonation. Un oreiller taché de sang et à moitié éventré reposait non loin du corps de l'homme de foi.
La salle était pauvrement meublée. Il y avait un lit, une chaise et une petite table de chevet sur laquelle reposait une bible.
Remer désigna le corps puis un sac noir vide ainsi que des produits d'entretien.
"Je veux que la cellule soit nettoyée d'ici une heure. Ne tardez-pas. Je vous envois quelqu'un pour vous surveiller. Pas de bruit. Pas de cris. Le travail doit être accompli dans la discrétion la plus absolue. Si cette affaire s'ébruite, je ne donne pas cher de vos vies..."
Puis, il quitta la pièce prestement, l'air plutôt préoccupé.
- Leah PetersonOnyX
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Mar 17 Mai 2011 - 17:12
Encore un peu comateuse, elle suivit Remer sans un mot, repensant vaguement au commentaire qu'une des filles avaient lancé. Nettoyer du sang ? Comment elle savais ça ? C'était même pas vrai peut-être. Peut-être que ce n'était qu'une "blague" entre elles. Ou alors peut-être qu'il y avait souvent des accidents par ici ? Elle était perplexe et de plus en plus nerveuse à fur et à mesure qu'ils avancaient. Et puis la présence de Remer ne l'aidait pas à rester calme. Il avait quelque chose d'angoissant à ses yeux. Au passage, elle nota néanmoins qu'ils traversèrent les différentes sections en passant par des espèces de portails métalliques. Hyper sécurisé dis donc. Et puis elle en profita pour balayer les portes rapidement du regard. Si tout avait bien marché avec les autres, ils devaient avoir été reparti dans les trois sections... Est-ce qu'ils étaient bien derrière ces portes ? Elle n'eut pas le temps de s'y attarder de toute manière. Et puis Remer sortit un autre pass qui semblait différent de celui qu'il avait utilisé dans les sections. L'envers du décor. Enfin, il n'y avait qu'un escalier, réalisa-t-elle. Qui donnait sur quoi ? fut sa principale interrogation, alors qu'ils le descendait avec précaution.
Enfin, ils se retrouvèrent dans un corridor plutôt sordide. Elle eut la chair de poule. Ils avaient pas mal marché pour arriver jusqu'ici, et l'ambiance semblait lugubre. Il y avait des cellules, aussi, nota-t-elle, alors que Remer les emmena dans l'une d'elle qui était ouverte. Immédiatement, elle blémis. Perdant toutes ses couleurs, ses lèvres tremblèrent. Un court instant, elle cru même qu'elle hurlerait. Mais heureusement pour elle, la surprise et le choc de voir pour la première de sa vie un cadavre la rendirent muette. Et quel cadavre ! Si au moins, ce n'était qu'un homme mort, sans blessures.... Mais non. Celui-là avait la moitié du visage complètement anéanti. Du sang partout, même sur le mur. Difficile de voir autre chose avec une telle image devant les yeux. Remer lui, sembla ne pas s'en formaliser d'avantage et leur désigna un grand sac noir et des produits d'entretiens qui avaient déjà été déposé là. Une heure pour nettoyer ça ? Vu son ton et la tournure de ses phrases, il avait hâte que tout disparaisse. Et comme si elles ne l'avaient pas compris, il en profita pour ajouter que si cela se savait, il ne "donnerait pas cher de leur vie". Elle le regarda ensuite partir, figée et interdite. C'était plutôt bizarre en fait... Pourquoi se débarrasser d'un mort aussi vite ? Est-ce qu'il ne fallait pas appeler la police ou un truc comme ça ? Elle était perplexe et perdu.
Elle se tourna de nouveau vers le mort, serrant les poings et faisant effectivement de son mieux pour rester calme. Tout d'un coup, elle avait l'impression de comprendre beaucoup mieux ceux qui avaient dit qu'un truc pas net se passait par là. Essayant alors de ne plus se focaliser sur la plaie à la tête, elle remarqua enfin que c'était un prêtre, avec une arme dans la main. Plus loin, un oreiller eventré. Un suicide ? Mais depuis quand les prêtres ont des revolvers ? Est-ce qu'il l'avait emprunté ou volé, un truc comme ça ? En plus, leur religion ne leur interdit pas le suicide normalement ? Trop bizarre. Trop glauque. Toujours fort pâle, tremblant légèrement, elle regarda la pièce. Il ne semblait rien avoir de particulier. C'était aussi austère que l'on aurait pu s'attendre venant d'un homme d'église.
Un instant, elle se demanda s'il avait laissé un truc, comme une lettre ou quelque chose de ce genre. Mais à part une bible, il ne semblait rien avoir d'autres que des meubles. Quoique si ca avait été le cas, Remer l'aurait pris de suite. Surtout qu'il semblait pressé d'en finir avec ce corps. C'était pas vraiment ce qu'elle avait imaginé par "faire la femme de ménage". Tout au plus, elle avait supposé avec logique qu'elle nettoierait des sols et des toilettes. Pas qu'elle devrait faire disparaitre un homme mort. Elle jeta un coup d'oeil en coin à Judith. Qui précisement lui avait conseillé de ne pas poser de questions. Elle en avait plein à vrai dire, mais elle avait l'impression que ce n'était guère le moment. Surtout qu'en plus, Remer avait bien précisé qu'il enverrait quelqu'un les surveiller. Judith refuserait certainement de lui répondre. Elle avait accepté de lui en dire tout à l'heure sur Kodachi, mais ca avait plutôt été des confidences au dortoir. Et puis elles n'avaient qu'une heure. Et honnêtement, Leah n'avait guère envie de voir ce qu'il se produirait si Remer perdait patience.
Pointant du doigt le sac noir, tremblant un peu, en se tournant vers sa "collègue", elle parvint finalement à demander : "On le met d'abord dans le sac.... C'est ça ?"
Bon, en fait, ça lui semblait effectivement plus logique de commencer par bouger le corps si elles voulaient nettoyer le sang. Elle avait demandé ça plus nerveusement qu'autre chose. Un peu comme pour se dire "quand faut y aller, faut y aller".
Enfin, ils se retrouvèrent dans un corridor plutôt sordide. Elle eut la chair de poule. Ils avaient pas mal marché pour arriver jusqu'ici, et l'ambiance semblait lugubre. Il y avait des cellules, aussi, nota-t-elle, alors que Remer les emmena dans l'une d'elle qui était ouverte. Immédiatement, elle blémis. Perdant toutes ses couleurs, ses lèvres tremblèrent. Un court instant, elle cru même qu'elle hurlerait. Mais heureusement pour elle, la surprise et le choc de voir pour la première de sa vie un cadavre la rendirent muette. Et quel cadavre ! Si au moins, ce n'était qu'un homme mort, sans blessures.... Mais non. Celui-là avait la moitié du visage complètement anéanti. Du sang partout, même sur le mur. Difficile de voir autre chose avec une telle image devant les yeux. Remer lui, sembla ne pas s'en formaliser d'avantage et leur désigna un grand sac noir et des produits d'entretiens qui avaient déjà été déposé là. Une heure pour nettoyer ça ? Vu son ton et la tournure de ses phrases, il avait hâte que tout disparaisse. Et comme si elles ne l'avaient pas compris, il en profita pour ajouter que si cela se savait, il ne "donnerait pas cher de leur vie". Elle le regarda ensuite partir, figée et interdite. C'était plutôt bizarre en fait... Pourquoi se débarrasser d'un mort aussi vite ? Est-ce qu'il ne fallait pas appeler la police ou un truc comme ça ? Elle était perplexe et perdu.
Elle se tourna de nouveau vers le mort, serrant les poings et faisant effectivement de son mieux pour rester calme. Tout d'un coup, elle avait l'impression de comprendre beaucoup mieux ceux qui avaient dit qu'un truc pas net se passait par là. Essayant alors de ne plus se focaliser sur la plaie à la tête, elle remarqua enfin que c'était un prêtre, avec une arme dans la main. Plus loin, un oreiller eventré. Un suicide ? Mais depuis quand les prêtres ont des revolvers ? Est-ce qu'il l'avait emprunté ou volé, un truc comme ça ? En plus, leur religion ne leur interdit pas le suicide normalement ? Trop bizarre. Trop glauque. Toujours fort pâle, tremblant légèrement, elle regarda la pièce. Il ne semblait rien avoir de particulier. C'était aussi austère que l'on aurait pu s'attendre venant d'un homme d'église.
Un instant, elle se demanda s'il avait laissé un truc, comme une lettre ou quelque chose de ce genre. Mais à part une bible, il ne semblait rien avoir d'autres que des meubles. Quoique si ca avait été le cas, Remer l'aurait pris de suite. Surtout qu'il semblait pressé d'en finir avec ce corps. C'était pas vraiment ce qu'elle avait imaginé par "faire la femme de ménage". Tout au plus, elle avait supposé avec logique qu'elle nettoierait des sols et des toilettes. Pas qu'elle devrait faire disparaitre un homme mort. Elle jeta un coup d'oeil en coin à Judith. Qui précisement lui avait conseillé de ne pas poser de questions. Elle en avait plein à vrai dire, mais elle avait l'impression que ce n'était guère le moment. Surtout qu'en plus, Remer avait bien précisé qu'il enverrait quelqu'un les surveiller. Judith refuserait certainement de lui répondre. Elle avait accepté de lui en dire tout à l'heure sur Kodachi, mais ca avait plutôt été des confidences au dortoir. Et puis elles n'avaient qu'une heure. Et honnêtement, Leah n'avait guère envie de voir ce qu'il se produirait si Remer perdait patience.
Pointant du doigt le sac noir, tremblant un peu, en se tournant vers sa "collègue", elle parvint finalement à demander : "On le met d'abord dans le sac.... C'est ça ?"
Bon, en fait, ça lui semblait effectivement plus logique de commencer par bouger le corps si elles voulaient nettoyer le sang. Elle avait demandé ça plus nerveusement qu'autre chose. Un peu comme pour se dire "quand faut y aller, faut y aller".
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 19 Mai 2011 - 17:38
Il aurait au moins essayer, mais cela n’avait pas marcher, dans un mouvement sec, Alexander colla une décharge à Fritz, chose qu’il d’un coté ne lui déplu pas vraiment.
Le gros homme ce raidi d’un coup, cela aurait presque rappelé le pouvoir de Jolène, puis tomba de tout son poids sur le sol. Voila qui devrait le calmer un moment, puis ce n’était pas mortel c’est chose la… sauf si on était cardiaque.
Au même instant la jeune fille sorti de sa torpeur et ce mis à hurler, le télépathe n’eu pas à chercher longtemps pour comprendre ce qui effrayait celle-ci. Lui sur le plumard avec la matraque, sa radio crépita Remer arrivait. Cela allait certainement barder pour lui, il avait du user de la force sur un collègue ce n’était pas rien. Mais la situation l’exigeait.
Il rangea la matraque, recula doucement pour venir porter sa main pour vérifier le poux de Fritz toute en disant des plus calmement possible, bougeant avec des mouvements calme est ample.
« Calme toi! Tu n’a rien à craindre, je suis de la sécurité je m’appel Jones, Fritz ne te fera pas de mal. »
Soit l’asiatique avait jouer un rôle malsain pour que Fritz viole sa coloc de chambré, soit Fritz ce foutait juste de l’avis d’Alex… la question était de savoir si la victime ce rappelait de quoi que ce soit et surtout si elle parlerait après avoir hurlé.
Toujours est il qu’il montrait à la jeune fille patte blanche, les paumes de main vers elle, il était un genou au sol à coté de Fritz, son regard froid avait laissé place à un regard plus doux envers la mutante, qu’il ferait disparaître quand Remer arriverait.
*C’est vraiment glauque tout cela… à la réaction de Remer à mes paroles je verrais bien à quel point la situation peu l’être ou non…*
Le gros homme ce raidi d’un coup, cela aurait presque rappelé le pouvoir de Jolène, puis tomba de tout son poids sur le sol. Voila qui devrait le calmer un moment, puis ce n’était pas mortel c’est chose la… sauf si on était cardiaque.
Au même instant la jeune fille sorti de sa torpeur et ce mis à hurler, le télépathe n’eu pas à chercher longtemps pour comprendre ce qui effrayait celle-ci. Lui sur le plumard avec la matraque, sa radio crépita Remer arrivait. Cela allait certainement barder pour lui, il avait du user de la force sur un collègue ce n’était pas rien. Mais la situation l’exigeait.
Il rangea la matraque, recula doucement pour venir porter sa main pour vérifier le poux de Fritz toute en disant des plus calmement possible, bougeant avec des mouvements calme est ample.
« Calme toi! Tu n’a rien à craindre, je suis de la sécurité je m’appel Jones, Fritz ne te fera pas de mal. »
Soit l’asiatique avait jouer un rôle malsain pour que Fritz viole sa coloc de chambré, soit Fritz ce foutait juste de l’avis d’Alex… la question était de savoir si la victime ce rappelait de quoi que ce soit et surtout si elle parlerait après avoir hurlé.
Toujours est il qu’il montrait à la jeune fille patte blanche, les paumes de main vers elle, il était un genou au sol à coté de Fritz, son regard froid avait laissé place à un regard plus doux envers la mutante, qu’il ferait disparaître quand Remer arriverait.
*C’est vraiment glauque tout cela… à la réaction de Remer à mes paroles je verrais bien à quel point la situation peu l’être ou non…*
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Sam 21 Mai 2011 - 18:40
Judith avait l'air, elle aussi, passablement choquée par la macabre découverte. Son regard parcourait péniblement l'intégralité de la pièce. La tâche au mur, la flaque de sang au sol, le corps de l'homme de foi, l'arme à feu, l'oreiller, la table de nuit, la bible et puis le sac...
"Grands Dieux..." marmonna-t-elle.
Elle était pâle et tremblante. Elle inspira profondément puis trancha :
"Ouais, c'est ce qu'on doit faire. Et laver après..."
Les filles se mirent donc au travail et bougèrent le corps de l'ecclésiastique pour l'installer dans le sac mortuaire. Dans l'opération, le pistolet glissa et retomba au sol.
Judith souffla, une fois l'opération accomplie.
"C'est quand même bizarre, tu trouves pas... Un curé se faire sauter la tête ? C'est pas censé être interdit, ça, non ?"
Le garde promis par Remer n'était toujours pas arrivé.
*
**
**
Quelques heures plus tôt, dans la chambre partagée par la drôle d'asiatique et sa malheureuse compagne, Alexander réussit à calmer la fille en rangeant son arme. Pourtant si elle ne hurlait ni ne pleurait plus, son regard était tout de même apeuré. Elle se contenta de marmonner :
"Pitié... Je veux plus dormir ici, M'sieur... Je ferai tout ce que vous voudrez... Pitié..."
Finalement, Remer déboula dans la pièce et vit Alexander, la fille et Fritz, toujours KO au sol.
Sans se préoccuper de la jeune fille ou de l'absence de sa compagne de chambrée, le chef de la sécurité lança sèchement :
"Jones, vous m'expliquez pourquoi vous m'avez fait venir ?"
- Alexander ChaytonX-Rays
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Sam 21 Mai 2011 - 19:50
Alexander eu le cœur et la gorge serré en entendant la supplication de la jeune fille. En tant que humain ce qui venait de ce passer était tout simplement hors limite et en tant que mutant cela le dégoûtait juste un peu plus sur son propre pouvoir. Puis il y’avait cette vilaine idée qui lui martelait l’esprit de vouloir mettre fin à cette mission au plus vite et pas de la façon la plus propre.
Le télépathe ce ressaisi un peu, puis commença à dire à voix basse avec un ton calme et doux pour ne pas apeurer la jeune fille qui avait sûrement déjà trop manger.
« Je vais faire mon possible d’accord ? Je ne peu rien te garantir je n’ai aucun pouvoir décisionnel réel… mais je vais faire mon possible je te le promet. »
À la fin de sa phrase Remer déboula, le télépathe ce redressa à l’arriver du chef de la sécurité. Il avait l’air de super bonne humeur, le télépathe retrouva très vite ce regard neutre et dur qu’il usait précédemment. Il usa d’un ton neutre et audible qui aurait certainement plus dans une caserne militaire.
« Monsieur aujourd‘hui durant la ronde une mutante de la section à attaqué Fritz pour le contraindre à avoir un rapport sexuel non consentit sur sa compagne de chambre. Sans aucune explication Fritz si est attelé j‘ai fais une sommation à Fritz qui semblait ne pouvoir ce contrôler j‘ai du intervenir en le neutralisant de façon à préserver son intégrité monsieur.»
Il avala sa salive, repris une profonde inspiration , avant de continuer.
« Malgré mon ordre la mutante une jeune fille asiatique à pris la fuite pendant que je m’occupais de protéger mon coéquipier, au vue de la situation prévenir l’autorité supérieur était une action rationnel.
Pour prévenir et sécurisé, je m’inquiète d’une éventuel évasion monsieur. Au vue de l’état des victimes, Monsieur Fritz devrait être conduit à un employer médicale pour un bilan physique et psychique, la jeune fille ici présente montre des troubles post agression et aurait besoin de consulté un membre du personnel psychiatrique pour évité tout débordement monsieur. »
Il laissa un blanc, franchement il aurait pas été mauvais à l’armée, il espérait en son fort intérieur que Remer allait percuté et comprendre son geste, il espérait aussi que la jeune fille soit emmené au Juliette et Elly ce qui permettrait qu’elle soit pendant un temps en sécurité.
Le télépathe était droit et fixe, les yeux rivé sur Remer, en faite ce n’était pas que pour ce la jouer militaire, mais aussi pour savoir à quoi pensait celui-ci.
Alexander usait donc de son pouvoir sur Remer pour lire les pensées superficiel de celui-ci.
Le télépathe ce ressaisi un peu, puis commença à dire à voix basse avec un ton calme et doux pour ne pas apeurer la jeune fille qui avait sûrement déjà trop manger.
« Je vais faire mon possible d’accord ? Je ne peu rien te garantir je n’ai aucun pouvoir décisionnel réel… mais je vais faire mon possible je te le promet. »
À la fin de sa phrase Remer déboula, le télépathe ce redressa à l’arriver du chef de la sécurité. Il avait l’air de super bonne humeur, le télépathe retrouva très vite ce regard neutre et dur qu’il usait précédemment. Il usa d’un ton neutre et audible qui aurait certainement plus dans une caserne militaire.
« Monsieur aujourd‘hui durant la ronde une mutante de la section à attaqué Fritz pour le contraindre à avoir un rapport sexuel non consentit sur sa compagne de chambre. Sans aucune explication Fritz si est attelé j‘ai fais une sommation à Fritz qui semblait ne pouvoir ce contrôler j‘ai du intervenir en le neutralisant de façon à préserver son intégrité monsieur.»
Il avala sa salive, repris une profonde inspiration , avant de continuer.
« Malgré mon ordre la mutante une jeune fille asiatique à pris la fuite pendant que je m’occupais de protéger mon coéquipier, au vue de la situation prévenir l’autorité supérieur était une action rationnel.
Pour prévenir et sécurisé, je m’inquiète d’une éventuel évasion monsieur. Au vue de l’état des victimes, Monsieur Fritz devrait être conduit à un employer médicale pour un bilan physique et psychique, la jeune fille ici présente montre des troubles post agression et aurait besoin de consulté un membre du personnel psychiatrique pour évité tout débordement monsieur. »
Il laissa un blanc, franchement il aurait pas été mauvais à l’armée, il espérait en son fort intérieur que Remer allait percuté et comprendre son geste, il espérait aussi que la jeune fille soit emmené au Juliette et Elly ce qui permettrait qu’elle soit pendant un temps en sécurité.
Le télépathe était droit et fixe, les yeux rivé sur Remer, en faite ce n’était pas que pour ce la jouer militaire, mais aussi pour savoir à quoi pensait celui-ci.
Alexander usait donc de son pouvoir sur Remer pour lire les pensées superficiel de celui-ci.
- Leah PetersonOnyX
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Lun 23 Mai 2011 - 10:43
Etrangèment, voir Judith pâlir autant qu'elle était un peu rassurant. Ca mettant en contraste le calme de Remer qui semblait s'en fiche comme de l'an 40. Et surtout, ça renforca son malaise vis-à-vis de lui. Et il les avait planté là comme ça, précisant qu'un garde allait venir les surveiller. Et surtout, comme s'il avait des chats plus importants à fouetter. Pauvres chats. Et elles, elles faisaient quoi à présent ? Est-ce qu'une heure suffirait à nettoyer tout ça ? Elle avait l'impression que même si elles y passaient 24h, il y aurait toujours devant elle cette horrible vision. Judith sembla néanmoins se reprendre, et parvint à lui répondre que oui. A deux, elles se mirent alors à bouger le corps et le sac noir pour l'y mettre. Au début, elle crut tout simplement qu'elle n'arriverait pas à le toucher. Elle avait peur qu'il se mette à bouger dès qu'elle poserait ses doigts sur lui. Genre film d'horreur. Ou genre "BOUH ! Surprise !". Non, il avait la tête à moitié défoncée, se reprit-elle. C'était idiot de penser qu'il pouvait être autre chose que mort. Mais elle le fit avec beaucoup de dégoût, d'effroi, d'appréhension. Au moins, ça l'empêchait de trembler. Ca lui faisait tellement bizarre de faire ce genre de choses. Et Remer qui leur précisait de ne rien raconter. De toute manière, que pouvaient-elles dire ? "Oui, je bosse à Tobie Nathan. Je récure souvent le sol mais je peux aussi nettoyer une pièce d'une cadavre et de son sang en une heure". Pratique... Pour des mafieux. Et elles pouvaient pas non plus dénoncer quoique ce soit. Pour cause : elles étaient elles-mêmes en train de faire disparaitre tout ça. Qui prendrait au sérieux une femme de ménage contre la parole de types surement plus respectable ?
Et pendant qu'elles le bougeaient, son arme tomba au sol. Sur le moment, il fallait avouer que Leah se contenta de sursauter, regardant l'objet avec une certaine crainte, et n'essaya même pas de le toucher pour l'instant. Elle préféra tourner les yeux et se concentrer mieux que ça sur "ranger le corps dans le sac". Une fois cela fini, Judith lui souffla quelque chose auquel elle avait effectivement pensé en le voyant comme ça, ce prêtre à terre. Elle acquiesca, un peu vivement et un peu tremblante, regardant l'arme. Si petite pourtant... Elle ne ressemblait pas vraiment aux pistolets qu'on voyait dans les films. Et puis elle releva les yeux. Toujours pas le moindre garde à l'horizon. Curieux, mais bon. Elle en profita alors pour chuchoter à sa "collègue" que :
"Si c'est bizarre... En plus, comment il aurait trouvé l'arme ? Je l'imagine pas aller l'acheter avec sa soutane..."
Et puis elle frissonna de plus belle. Si c'était pas un suicide, une seule autre option était possible, et elle n'avait rien de très réjouissante. Pour se calmer, elle se mit plutôt à examiner les produits laissés là pour nettoyer le sang. Valait mieux ne pas trainer, sans doute.
Et pendant qu'elles le bougeaient, son arme tomba au sol. Sur le moment, il fallait avouer que Leah se contenta de sursauter, regardant l'objet avec une certaine crainte, et n'essaya même pas de le toucher pour l'instant. Elle préféra tourner les yeux et se concentrer mieux que ça sur "ranger le corps dans le sac". Une fois cela fini, Judith lui souffla quelque chose auquel elle avait effectivement pensé en le voyant comme ça, ce prêtre à terre. Elle acquiesca, un peu vivement et un peu tremblante, regardant l'arme. Si petite pourtant... Elle ne ressemblait pas vraiment aux pistolets qu'on voyait dans les films. Et puis elle releva les yeux. Toujours pas le moindre garde à l'horizon. Curieux, mais bon. Elle en profita alors pour chuchoter à sa "collègue" que :
"Si c'est bizarre... En plus, comment il aurait trouvé l'arme ? Je l'imagine pas aller l'acheter avec sa soutane..."
Et puis elle frissonna de plus belle. Si c'était pas un suicide, une seule autre option était possible, et elle n'avait rien de très réjouissante. Pour se calmer, elle se mit plutôt à examiner les produits laissés là pour nettoyer le sang. Valait mieux ne pas trainer, sans doute.
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Re: [Surveiller et punir] Tobie Nathan - Aile du personnel
Jeu 26 Mai 2011 - 0:14
La compagne de chambrée de Kodachi parut se calmer quelque peu aux paroles douces et rassurantes d'Alexander. Mais elle s'était fermée aussitôt que Remer avait pénétré dans la salle.
Le chef de la sécurité écouta avec un énervement non feint ce qu'Alexander avait à lui dire. Puis, sans ciller, il ordonna :
"Jones, vous pouvez disposer. A partir de maintenant, je prends le contrôle de la situation. Oubliez ce que vous avez vu et allez à la salle de garde prendre du repos. Rompez !"
Tandis que Remer exposait sa fin de non recevoir, Alexander capta les pensées de son supérieur :
*Quel bordel. Je n'ai pas besoin de ça à quelques heures d'une opération Nacht und Nebel*
La présence d'Alexander n'étant plus souhaitée dans la pièce, il ne put que regagner son vestiaire puis la salle de repos des gardes...
Quelques heures plus tard, Leah était en train de nettoyer le foutoir laissé par le Prêtre McDougall. Occupée à ses tâches ménagères, elle ne put qu'entendre la voix tremblante de Judith :
"Cette arme... Elle porte une croix gammée sur sa crosse... C'est quoi ce délire ?"
Mais l'arrivée du garde dans la pièce coupa court à tout débat. Elles avaient un travail à accomplir et elles le réalisèrent...
Au bout d'une heure, une fois que ce fut fait et que la pièce ne portait plus aucun stigmate du décès de l'homme de foi, Judith et Leah furent escortées jusqu'à leur salle de repos.
Alexander et Leah se réveillèrent à peu près à la même heure. Le premier fut affecté à des tâches de gardiennage ne présentant aucun intérêt et la seconde passa le plus clair de sa matinée à nettoyer un couloir en compagnie d'une autre femme de ménage peu bavarde.
Réfectoire
Le chef de la sécurité écouta avec un énervement non feint ce qu'Alexander avait à lui dire. Puis, sans ciller, il ordonna :
"Jones, vous pouvez disposer. A partir de maintenant, je prends le contrôle de la situation. Oubliez ce que vous avez vu et allez à la salle de garde prendre du repos. Rompez !"
Tandis que Remer exposait sa fin de non recevoir, Alexander capta les pensées de son supérieur :
*Quel bordel. Je n'ai pas besoin de ça à quelques heures d'une opération Nacht und Nebel*
La présence d'Alexander n'étant plus souhaitée dans la pièce, il ne put que regagner son vestiaire puis la salle de repos des gardes...
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Quelques heures plus tard, Leah était en train de nettoyer le foutoir laissé par le Prêtre McDougall. Occupée à ses tâches ménagères, elle ne put qu'entendre la voix tremblante de Judith :
"Cette arme... Elle porte une croix gammée sur sa crosse... C'est quoi ce délire ?"
Mais l'arrivée du garde dans la pièce coupa court à tout débat. Elles avaient un travail à accomplir et elles le réalisèrent...
Au bout d'une heure, une fois que ce fut fait et que la pièce ne portait plus aucun stigmate du décès de l'homme de foi, Judith et Leah furent escortées jusqu'à leur salle de repos.
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Alexander et Leah se réveillèrent à peu près à la même heure. Le premier fut affecté à des tâches de gardiennage ne présentant aucun intérêt et la seconde passa le plus clair de sa matinée à nettoyer un couloir en compagnie d'une autre femme de ménage peu bavarde.
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