Tokyo championnat de danse

[HJ C'est la première fois que je joue à un jeu comme ça, mais Niko m'a rapidement expliqué comment ça marchait. Si ce que j'écris n'est pas bon, est-ce que l'on peut me dire ce qui ne va pas ? Désolée, je ne suis pas trop inspirée pour commencer.]

Mes parents m'ont pris par les épaules pour me réconforter et j’ai pleuré à ce moment là parce que j'étais perdue. Je passais par de multiples émotions et je ne pouvais m'arrêter de pleurer. Je voyais sans cesse ma chute se produire et la sensation bizarre que j'avais ressentit.

je ne me pouvais arréter de me dire :

* Que s'est- lui passée en faisant ma chute j’aurai du me cassé le genou ou me le déboîté, au lieu de ça je n’ai rien eu. Comment est-ce possible ? Qu’est-ce qu'il m'arrive ?
Je devenais de plus en plus inquiète a mon sujet a chaque question que l’on me posait, mais je ne voulais q'une chose danser et que tous de redevienne à la normale.

[hrp : en principe, tu devrais trouver tout ce dont tu as besoin pour jouer dans les règles. Pense à lier ta signature à ta fiche de personnage]

Matahari-san, le professeur de danse de Sakura, s'était immédiatement levée de son siège pour venir voir sa protégée, l'une de ses meilleures élèves, et il fallait bien le dire, l'un des meilleurs espoirs de son club de remporter une récompense à Osaka.
Agée d'une quarantaine d'années, elle suivait Sakura depuis ses débuts au club. A son maintient, on voyait tout de suite qu'elle avait dû être une sacrée danseuse en son temps, mais sa démarche grâcieuse était entâchée par un léger boitillement lorsqu'elle se déplaçait, stigmate d'une blessure qui, tout le monde le savait, avait ruiné sa carrière. Voyant un peu d'elle dans les débuts prometteurs de Sakura, elle l'avait toujours entraînée avec discipline, comme si l'accomplissement de la jeune fille réparerait son propre échec.

Matahari-san parvint près des Liu, occupés à dorlotter leur fille. Les juges du championnat avaient sifflé, décrétant une pause dans le programme, et déjà un médecin, une trousse de soin à la main, se précipitait pour vérifier l'état de la candidate tombée.

"Ecartez-vous, laissez-la respirer !" lança Matahari-san aux parents de la jeune fille. Elle s'accroupit avec difficulté auprès de Sakura, et tâta sa jambe. On pouvait lire une vive inquiétude sur son visage.

"Pas de panique, messieurs dames, nous allons voir ça." ajouta le médecin pour rassurer les parents de Sakura. Dans les gradins, Sakura pouvait voir l'expression inquiète de ses meilleurs amies.
Le médecin interrompit Matahari-san et examina à son tour le membre de Sakura. Après un moment, il posa sa main sous le genou de la jeune fille et souleva doucement la jambe.

"Tu as mal, petite ?"

Je lui répondit avec une petite voix timide et terrifiée. la tête baissée pour ne pas voir le regard de mes parents et de mes camarades inquiets :

[color=blue]]b]"Non, je n'ai pas mal. Pourquoi? Que m’arrive t-il ? [/b][/color]

Je me lève et je dis:

" J’ai chaud je veux juste aller sur le banc et boire de l'eau ."

Le medecin fit un signe de tête à Matahari-san, qui s’empressa d’aller soutenir Sakura lorsqu’elle tenta de se relever, puis il fit remonter ses lunettes sur le bout de son nez, avant de répondre :

"Hum... Eh bien apparemment, vous n’aviez rien ma petite demoiselle. Vous avez eu de la chance, vous auriez pu vous blesser sévèrement. Je vous conseille cependant de vous reposer un peu avant de retenter quoique ce soit, par prudence." dit-il en se relevant. Il fit un signe de main à la tribune du jury pour leur indiquer tout que tout allait bien.

"Matahari-san, veillez à ce qu’elle s’échauffe correctement avant de recommencer, je vais dire aux autres jeunes filles de s’échauffer en attendant." dit-il, avant de s’éloigner vers le vestiaire.

Une autre candidate s’avançait déjà sur la piste, prête à remplacer Sakura sur ce créneau d’échauffement.
Les parents de Sakura l’entouraient à nouveau. Matahari-san semblait avoir pris assez mal la remarque du médecin, mais ne disait rien, se contentait de soutenir la mutante jusqu’aux bancs.

"Tiens, ma chérie." lui dit sa mère en lui tendant sa bouteille d’eau. "Qu’est-ce qui s’est passé ? Tu connais ces exercices sur le bout des doigts. Il ne faut pas te laisser dominer par le tract, tu n'as pas de souci à te faire !"

" Merci, maman, Je n' ai pas le tract, ce n'est pas là peine de t’inquiété. Je sais que je connais par cœur l’exercice, mais tu s’es, je ne suis pas a labrit d’une chute même si je connais par cœur l’exercice."

*Je ne veux pas t’inquiéter encore plus, même si moi je ne comprends pas non plus, car dans mes souvenirs j’ai bien placé mon pied. *

Je me lève et je dis: "Je reviens, je vais voir le médecin pour savoir si je peux faire la compétition, car je n'ai que une heure avant que la compétition commence."

Arrivée devant la porte de l’infirmerie.

* J’y vais ou je n’y vais pas.*

J’hésitai à entré, plusieurs fois j’hésitai à frappé à la porte, mais au moment ou j’allais faire demi-tour.

[hrp : pense à mettre ta fiche en lien dans ta signature, même si tu n'as pas encore d'image, ça me facilitera le travail. Tu laisses une phrase inachevée à la fin de ton paragraphe, je vais donc prendre la liberté de la terminer].

Alors que Sakura réfléchissait devant la porte, celle-ci s'ouvrit à la volée. Le choc fut violent, et la jeune japonaise reçut le battant de la porte en plein tempe. La force fit violemment pivoter sa tête, la plaçant dans un angle improbable de poupée désarticulée. La mutante s'effondra, sonnée, sur le sol du couloir.

"Oh, non !" s'exclama le médecin en acourant auprès de Sakura, qui décidemment semblait destinée à mourir aujourd'hui. Il se pencha sur la jeune fille, dont les pensées oscillaient entre l'inconscience et le monde réel. Elle sentait que quelque chose ne "tournait" pas rond au niveau de sa position, ou plutôt que ça avait trop tourné rond au contraire. Son champ de vision lui montrait le mur gauche, alors que son corps était tourné vers la droite.

"Oh, seigneur ! Elle a dû se briser la nuque..." bafouilla le médecin. Il prit le pouls de la jeune fille au niveau de son cou, puis elle l'entendit avoir un hoquet de surprise. Sakura commençait à revenir complètement à elle.

[HJ tu m’as bien eu, je ne m'attendais pas à ça. Au fait, je serais absente une semaine pendant les vacances. mais je le mettrais au panneau des absents]

Le choc fut violent, je sentit ma tête tourner, mais pas mon corps et en tombant, le choc fut douloureux. Je fus un peu sonnée, et ma tête me faisait très mal à cause de choc.

J’avais mon cou qui tiré un peu, mais j'étais encore un peu sonnée et je ne me rendais pas vraiment compte de ma situation. Lorsque j'ouvris les yeux je comprit que quelque chose n'allait pas, parce que ma tête avait trop tourné. Puis j'entendis le médecin dire que je m'étais brisé la nuque. Pourtant je respirais et je voyais. J'aurais du être morte mais pourtant je vivais. Puis je sentis la main tremblante du médecin se posait sur ma nuque et j'entendis sa surprise en se rendant compte que je vivais.

Je ne savais pas comment réagir, mais j'osais demander d'une petite voix.

"Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce qu'il m'arrive ?"
J’essaya de bouger pour me relever, mais c’était difficile dans cette position. Donc je replaça ma tête en la retourna doucement vers la droite et je finis par me mettre à genoux. Je tournais un peu ma tête dans tous les sens pour voir si j'allais bien. J’étais perdue et je dis à mes parents.

"Je veux rentrer à la maison et oublier cet accident !"

Lorsque Sakura se releva comme si de rien n'était et réajusta sa tête sur ses épaules, le médecin arbora une expression terrifiée et se mit à reculer à quatre pattes. Dans sa panique, ses lunettes étaient tombées de son nez.

"N-N-N'approchez pas !" balbutia-t-il. Soudain, son corps se raidit, et l'homme, qui devait avoir un certain âge vu son crâne dégarni, plaqua spasmodiquement sa main sur le côté gauche de sa poitrine. Il avait l'air de suffoquer et était aussi raide que s'il avait mis les doigts dans une prise de courant. Ses yeux s'étaient injectés de sang et regardaient maintenant le plafond, exhorbités.

Lorsque je me suis relevée, j'ai vue des lunettes sur le sol, en les ramassant je voyais le médecin avec sa main tremblante qui était posé sur le côté gauche de sa poitrine.
Je me précipita vers lui avec ses lunettes à la main, en lui disant d’une petite voie.

"Monsieur que vous arrive -t- il ?"Avant de remarqué qu’il faisait une crise cardiaque.

"Que quelqu ' un vien m’aide. J’ai besoin d’aide. C'est urgent."

Plusieurs personne finirent par accourir auprès de Sakura suite à ses appels à l'aide : des danseuses, une ou deux personnes sortant des toilettes et du personnel du gymnase.
L'un d'entre eux se mit immédiatement à lui procurer les premiers soins, alors que les autres témoins s'occupaient d'avertir les quelques pompiers mobilisés pour la compétition.
Sakura et les gens superflus furent écartés de la scènes. La jeune fille se sentait déboussolée. D'après le médecin, elle aurait dû mourir... et pourtant elle avait rectifié l'angle de sa nuque comme si de rien n'était. Pour en faire un arrêt cardiaque, le phénomène devait être plus qu'extraordinaire !

Devant l'accumulation des incidents, le jury de la compétition décida de reporter la session. De nombreux candidats avaient été choqués par l'événement.
Sakura retrouva ses amis dans les vestiaires. La plupart ne savaient pas si elles resteraient pour la compétition, ou si elles repartiraient chez elle. Rester signifiait devoir payer le logement à Tokyo et certaines n'en avaient pas les moyens.

Noriko, une des bonnes amies de Sakura, vint la voir à son arrivée dans le vestiaire.

"Eh ben dis donc, j'ai appris que t'étais en première ligne pour la crise cardiaque, ça a dû être horrible ! Comment tu te sens ?" lui demanda-t-elle, préoccupée.

Je répond à Noriko en ayant les larmes aux yeux près à pleuré.

" Comment je me sens ? Mal. D'après le médecin j’aurais du mourir, et je suis soupçonnée. La compétition a était annule par ma faute. La plus part de nous va devoir partir car elles n'ont pas les moyens de reste à Tokyo. Mais on m'a demandée de resté à Tokyo, mais avec le travail de mes parents je ne s’avais pas si je vais pouvoir rester."

*Je ne sais pas, si j’ ai droit de partir pour prendre l'air.*

En m élevant je dis:

"Noriko, tu es une de mes meilleure amie, si on me cherche dit leur que je suis partie prendre l'air, car j'ai besoin d’être seul."

Noriko posa sa main sur l'épaule de Sakura pour le signifier son soutien.

"Moi je vais devoir rentrer je pense... Mais tu sais, des compétitions on en aura d'autres." lui assura-t-elle avec un sourire compatissant. Son sourire s'effaça pourtant quand Sakura parla de sa mort présummée.

"Quoi ? Je comprends pas, on ne meurt pas d'un genou tordu !" répondit-elle en tenant le bras de Sakura pour l'empêcher de partir.

"Qu'est-ce qui se passe Sakura ? Je peux te couvrir, mais si tu ne me dis pas tout ce que tu as sur le coeur, j'aurais du mal à le faire. Je suis ton amie, dis-moi ce qui te tracasse..." dit-elle en lui indiquant les douches d'un mouvement du menton. Elles étaient vides, elles pourraient sûrement y parler à l'abri des oreilles indiscrètes si Sakura décidait de parler à Noriko.