Maison de charme du palais japonais, Japon

(HJ : il n'y a pas de président au Japon... on va dire premier ministre)

La chambre du premier ministre était une chambre moderne, avec un grand lit, des draps de soie, de la lumière tamisée, du champagne et des fraises. L'ambiance allait s'échauffant, mais le premier ministre avait décidé de prendre son temps. Il s'installa confortablement sur son lit, profitant de la vue de la Geisha, et claqua des doigts. Ses gardes du corps entrèrent alors, cinq jeunes mâles taillés dans le granit, et vêtus de kimonos argentés de satin.
Bien que leur visage ne devait laisser trahir aucune émotion, ils étaient ravis de l'honneur que leur accordait le premier ministre.

"Dansez pour moi, s'il vous plait."

Geisha était indignée, elle répondit calmement :
" Non, mon doux, mon beau, mon adoré, laisser moi faire et tout seras serein"
Setsuka se mit à chanter, sa voix était radieuse, elle surchargea la salle de phéromones, puis tout en chantant Geisha fit volaient ses jupons et se cacha mystérieusement sous son ombrelle
Sa voix était de plus en plus enchanteresse, Setsuka fit un petit saut, puis commença une version moderne du lac des cygnes
Aucun homme ne pouvait résister à son charme et a sa grâce, un regard ou un sourire c'est tout ce qu'il lui suffisait pour séduire

Le premier ministre se délectait du spectacle des 5 gardes, sous le charme de la Geisha, qui s'approchaient d'elle pour essayer de la toucher, se prêtant au jeu de la seduction.

Lui, restait sagement allongé sur son lit, laissant faire la professionnelle.

Le paravent tomba en ruine en quelques instants sous les coups des gardes, le bruit résultant brisant l'atmosphère chaude de la chambre et faisant sursauter le premier ministre de sa douce rêverie.

Jetant un regard lubrique à la Geisha, il lui murmura alors :

"Ne vous en faites pas... Ils ont ordre de ne jamais me perdre de vue... et ils partagent de ce fait tous mes...loisirs."

Setsuka ne pouvait tolérer les deux gardes, elle usa des phéromones pour les endormir et dit au Premier ministre:
"Oh, ils se sont évanouis"
*De toute façon ils vont mourir*
Elle avança sensuellement en direction du Premier ministre, elle le caressa, l'embrassa, le câlina, Setsuka était quatre pattes sur le Premier ministre.
La pièce était parfumée de phéromones amoureuses, le paradis sur terre.

Le premier ministre sursauta violemment en voyant ses gardes s'effondrer. Malgré l'ardent désir que la Geisha éveillait en lui, ça ne tournait plus rond. Son esprit et sa conscience reprenait le pas sur ses sensations animales, sa formation à garder la tête froide revint sur lui. Il descendit du lit, repoussant la Geisha, activa l'alarme silencieuse, puis ouvrit un panneau coulissant, donnant sur un petit jardin privatif.

"Navré mademoiselle, j'ai mal à la tête. L'air nocturne me fera du bien... Et la Pleine Lune donnera de l'intensité à ce moment."

Geisha n'avait pas perdu, Setsuka avait tout prévu.

La pièce était tellement chargée de phéromones qu'on étouffait, geisha était habituée, mais pas le Premier ministre, Setsuka donna tout ce qu'elle avait, l'air était irrespirable, se maquilla avec son rouge à lèvres empoisonné et embrassa le politicien.
Setsuka se retira, ayant empoisonné le ministre

Le premier ministre répondit au baiser, puis sortit dans le jardin pour aller s'assoir sur un banc, à coté d'un bassin muni de ces machins en roseau qui font toc quand ils sont remplis (oui, bon...). Ses heures étaient comptées.

L'air frais du soir eut tôt fait de chasser les phéromones de la Geisha de la chambre, et une voix sévère rententit derrière elle.

"Je vous conseille de vous allonger par terre et de ne plus bouger, vous êtes en état d'arrestation pour avoir attenté à la vie du premier ministre."

Derrière elle, un régiment entier de troupes d'élites bloquait toutes les issues.

Setsuka n'était pas surprise par les soldats, elle dit tristement :
"Je me rends, je suis perdu, je n'ai plus aucunne chance, ma vie est finie"

Geisha profita de le déconcentration des soldats pour sortir son ombrelle, setsuka cache toujours dans ses instruments des armes mortels, dans l'ombrelle elle avait son katana. La geisha sauta, et décapita trois soldats, setsuka en évantra deux.

(Note du courtier : je te rappelle qu'il y a un REGIMENT devant toi ! Alors tu me laisses répondre ! Ce post est totalement exagéré et irréaliste !)

5 soldats étaient hors circuit, mais il en restait encore plus de vingt. Un ordre sec retentit :

"Tasers ! Feu à volonté !"

La pièce fut remplie d'éclairs, ne laissant aucune chance d'esquive à la Geisha. Elle fut secouée par un violent choc, et ses muscles se raidirent instantanément jusqu'à se tétaniser. Son corps ne lui répondait plus, et elle s'écroula face contre terre.

Bien qu'elle ne puisse plus bouger, elle pouvait encore entendre des bribes de mots

"Équipe médicale..... Ministre.... Urgent.... Cellule.... Entraves magnétiques...."

Geisha utilisa les dernières forces qui lui restait pour dire d'une voix faible et tremblante :

"Non, pas de cellule, je vais tout vous dire, je serez à vous, je ferais tout ce que vous voulez, ne m'emprisonnai pas ne me tuer pas, pitié.....pit.....piti.........pitiééééééééé..."

Setsuka était au bord de la mort, elle ne sentait plus ses membres, elle ne pouvait plus qu'attendre.
Geisha pensait que sa vie était finie, tout s'effondre, il faudrait un miracle pour qu'elle se tire d'affaire.

Pourquoi a t'elle accepté cette mission ?

Pourquoi est elle devenue tueuse ?

Pourquoi ces pouvoirs ?

Pourquoi devenir une geisha ?

Pourquoi être né ?

Setsuka a remit toute sa vie en question.

Geisha reprit ses esprit dans une pièce blanche emplie de lumière. Son corps ne la faisait pas vraiment souffrir, mais elle était prise de crampes et de fourmillements de partout.

Bizarrement, elle ne touchait pas le sol, mais était accrochée au mur par des anneaux qui lui enserraient les poignets et les chevilles, la mettant dans une position inconfortable.

Autour d'elle, le pièce semblait nue. Difficile de distinguer les murs ou le plafond tant tout était luminescent. Difficile de dire quel était le volume de la pièce, ou s'il y avait des issues.

Geisha ne supportait pas cette position, elle se dandina en criant :

"Où suis-je ?

Qu'est ce que c'est ?

Vais je mourir ?

Vous voulez me tuer ?

Pourquoi m'enfermer ?"

Geisha attendait des réponses

Quand elle tirait sur ses attaches, celles-ci semblait un instant céder, puis revenaient avec une grande force se plaquer contre le mur, enserrant le poignet de Geisha jusqu'à ce que ça fasse mal.

Une voix sortit de nulle part : froide, androgyne, peut-être robotique, parlant comme si plusieurs personnes la contrôlait.

"Silence !

- Vous avez essayé de tuer le premier ministre

- Vous êtes en prison

- Qui êtes vous ?

- Pour qui travaillez-vous ?

- Répondez à nos questions

- Ne résistez pas"

Setsuka devint furieuse quand son kimono tomba à cause de ses gigotements, elle utilisa ses pouvoirs comme elle ne l'avait jamais fait, Geisha avait inondé la pièce de phéromones de peurs.

Puis elle cria :

"Je suis Setsuka, la plus grande et prestigieuse geisha connu de ce monde, je suis aussi tueur à gage et dés que je me libérai de ces chaînes je vous promets que vous mourrez."

Geisha sentit une décharge puis hurla douloureusement:

"Je vais tout vous dire, c'est la main qui m'a embauché pour tuer ce *¨ù`$^ù de politicien."

Les voix répondirent alors, pressant Geisha.

"Qui est la main ?

Qui sont vos contacts ?

Où deviez-vous les rencontrer ?

Pourquoi tuer le premier ministre ?

Où deviez-vous aller une fois la mission finie ?"

Geisha fut surprise par la voix après une petite réflexion elle répondit d'une voix étrange:

"La main est une organisation criminelle très impuissante en Asie, elle a tout perdu et elle a fait appelle à mes services pour tuer le premier ministre, c'est même moi qui l'a démantelé.
Vous vous dites sûrement que je suis folle mais vous avez tort je suis cinglé."

Geisha parlai comme si elle était saoule, les phéromones dans la pièce se sont mélangé à son sang.

Elle ne voulait rien avouer son subconscient parle à sa place, mais elle ressentit soudainement une douleur terrible, elle dit faiblement :

"Okiya.....Oki.......Yaaaaa........Okiiiiiii..yaaaaa"

Sur ces mots elle s'évanouis

(HJ : je peux-être paraitre un peu perfectionniste mais une tueuse à gage de l'envegure que tu te donnes va-t-elle donner des informations aussi précieuses aussi rapidement, tu es completement à coté de la plaque aors fait attetion et soit en accord avec ton personnage,

PS : ce n'est pas moi qui gère ton personnage, je fais ce commentaire totalement en extérieur)

(HJ: j'ai édité )

L'évanouissement de la Geisha, manifestement en proie à une crise de folie temporaire, ou de claustrophobie tombait à point nommé.
Profitant qu'elle était toujours attachée, des médecins surgirent dans la cellule et l'emmenèrent pour une petite opération, rapide et sans trace.

La Geisha se réveilla au bout de quelques heures, mais impossible de savoir combien de temps s'était écoulé. Elle était sur le sol, et les bracelets étaient toujours à ses poignets et à ses chevilles bien que la force qui les reliaient au mur semblait plus lâche, plus diffuse.
Devant elle, un simple bol de riz avec deux baguettes.

Setsuka était plus sereine qu'avant mais elle se rappelait de tout, bien que Geisha était affamée, par honneur elle préférât ne pas toucher au bol de riz.

La geisha cria :

"Que m'avez vous fais ?

Que c'est il passé ?

Pourquoi ce bol ?

Vous avez donc décidez de me laisser en vie ou est-ce du poison ?

Une seule voix répondit, cette fois-ci.

"Mangez. Vous en aurez besoin pour ce qui vous attend. Vous avez le choix maintenant : soit vous travaillez pour nous, soit vous allez en procès, mais vous connaissez la sentence pour ce genre de haute trahison..."

Geisha dit:

"Faites goûter ce riz devant moi, pour que j'ai la certitude qu'il n'est pas empoisonné.

Pour travailler pour vous il faut que je réfléchisse, laisser moi une heure."