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La fugue
Dim 10 Juin 2007 - 23:35
Matas avait quitté la vielle maison de sa mère depuis plusieurs jours. Il avait découvert son pouvoir de contrôle sur le métal, le verre et le plastique. Il avait fuit afin de ne pas se faire attraper par les brutes de son école et la police de sa ville. Il avait voyagé vers le grand pays nommé les États-Unis et il avait traversé plusieurs ville.
Il c'était servit de ses pouvoirs quelques fois de ses pouvoirs afin de se nourrir et de s'héberger. Un jour, il avait entendu des personnes parler d'un institut pour mutant. Il avait décidé d'y allé.
Après quelques temps, il avait traversé un parc boisé. Il faisait noir et c'était durant la fin de l'été. Une légère brume se faufilait entre les arbres. C'est à ce moment que Matas entendit un craquement. Apeuré, il regarda autour de lui. Il sortit les billes de verres, de plastique et de métal qu'il avait volé dans un magasin. Il était près à se défendre e cas de besoin.
" Il y a quelqu'un? Je suis armé alors..." dit Matas plus effrayé que prêt à attaquer.
Il ne reçu aucune réponse. Il se retourna afin d'essayer de repérer quelqu’un, mais il ne vit rien. Il continua sa route sur le sentier tortueux. Ce ne fut pas un craquement cette fois ci qu'il entendit mais bien un murmure.
" Je vous entends alors montré vous. Sinon vous le payerez." cria Matas de plus en plus apeuré.
Il commença à courir entre les arbres lorsqu'il trébucha sur une racine. Il vit une légère lueur qui se reflétait sur la bille de métal qui avait roulé un peu plus loin. Lorsqu'il se retourna, il vit une grande silhouette pencher sur lui...
Il c'était servit de ses pouvoirs quelques fois de ses pouvoirs afin de se nourrir et de s'héberger. Un jour, il avait entendu des personnes parler d'un institut pour mutant. Il avait décidé d'y allé.
Après quelques temps, il avait traversé un parc boisé. Il faisait noir et c'était durant la fin de l'été. Une légère brume se faufilait entre les arbres. C'est à ce moment que Matas entendit un craquement. Apeuré, il regarda autour de lui. Il sortit les billes de verres, de plastique et de métal qu'il avait volé dans un magasin. Il était près à se défendre e cas de besoin.
" Il y a quelqu'un? Je suis armé alors..." dit Matas plus effrayé que prêt à attaquer.
Il ne reçu aucune réponse. Il se retourna afin d'essayer de repérer quelqu’un, mais il ne vit rien. Il continua sa route sur le sentier tortueux. Ce ne fut pas un craquement cette fois ci qu'il entendit mais bien un murmure.
" Je vous entends alors montré vous. Sinon vous le payerez." cria Matas de plus en plus apeuré.
Il commença à courir entre les arbres lorsqu'il trébucha sur une racine. Il vit une légère lueur qui se reflétait sur la bille de métal qui avait roulé un peu plus loin. Lorsqu'il se retourna, il vit une grande silhouette pencher sur lui...
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: La fugue
Mar 12 Juin 2007 - 23:18
Non seulement Matas vit une silhouette se pencher sur lui, mais entendit-il également le bruit d'une arme, vraisemblement un fusil, que l'on charge.
La silhouette dans le contre-jour gronda alors d'une voix virile :
"Moi aussi je suis armé, gamin ! On peut savoir ce que tu fiches dans le parc de la propriété de M'sieur Bishop ?"
Tout en parlant, l'homme avait braqué le canon de l'arme sur Matas, qui gisait sans défense au sol.
[hrp : laisse le courtier planter le décor pour éviter les incohérences. Nous ne sommes pas en novembre mais à la fin de l'été.]
La silhouette dans le contre-jour gronda alors d'une voix virile :
"Moi aussi je suis armé, gamin ! On peut savoir ce que tu fiches dans le parc de la propriété de M'sieur Bishop ?"
Tout en parlant, l'homme avait braqué le canon de l'arme sur Matas, qui gisait sans défense au sol.
[hrp : laisse le courtier planter le décor pour éviter les incohérences. Nous ne sommes pas en novembre mais à la fin de l'été.]
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Re: La fugue
Mer 13 Juin 2007 - 4:37
Matas voyait très bien l'arme à feu pointé sur lui. * Sur ment un fusil assez puissant pour m'éclater la cervelle.* Il esseya de repérer quelque chose en métal, en verre ou en plastique sur l'homme, mais malheureusement il ne voyait qu'une silhouette musclée.
*Je ne pourrai pas le blesser directement par mon pouvoir et en plus, il est sur ment plus fort que moi au corps à corps. Je dois agir malgré tout sinon je ne pourrai surement pas revoir le soleil se lever demain matin.*
C'est alors que matas eu une idée. Il esseya de repérer ses billes.
Si il en trouvait une proche de lui il pourait la changer en un objet acéré et le planter soit dans la jambe de l'homme ou dans la main.
* À moin que...*
Matas toucha larme de l'homme et il esseya de la déformer pour empêcher de tirer et aum même moment surprendre l'inconnu...
[hrp: Désolé je ne savais pas^^. Encore une fois désolé si je ne change pas les propriétés du texte lorsque je parle ou je pensse c'est parce que je suis sur ma wii.]
*Je ne pourrai pas le blesser directement par mon pouvoir et en plus, il est sur ment plus fort que moi au corps à corps. Je dois agir malgré tout sinon je ne pourrai surement pas revoir le soleil se lever demain matin.*
C'est alors que matas eu une idée. Il esseya de repérer ses billes.
Si il en trouvait une proche de lui il pourait la changer en un objet acéré et le planter soit dans la jambe de l'homme ou dans la main.
* À moin que...*
Matas toucha larme de l'homme et il esseya de la déformer pour empêcher de tirer et aum même moment surprendre l'inconnu...
[hrp: Désolé je ne savais pas^^. Encore une fois désolé si je ne change pas les propriétés du texte lorsque je parle ou je pensse c'est parce que je suis sur ma wii.]
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: La fugue
Mer 13 Juin 2007 - 22:34
Au moment où Matas leva la main en direction du fusil, une détonation lui vrilla les tympans. Un éclair, suivi d'une intense odeur de poudre assaillit ses sens. Un léger filet de fumée s'échappait du canon de l'arme qui venait de tirer.
Sur le coup, Matas crut que sa dernière heure était venue, que la balle lui avait déchiré les entrailles ou perforé les poumons ou le coeur... La panique ajoutée à la montée d'adrénaline l'empêchaient de réfléchir rationnellement.
La voix de l'homme se fit à nouveau entendre :
"Pas un geste pti' voyou ! On la fait pas au vieux Owen ! Mets tes mains sur ta tête, et réponds à la question ou j'appelle les flics !"
Matas comprit alors que l'homme l'avait épargné.
Sur le coup, Matas crut que sa dernière heure était venue, que la balle lui avait déchiré les entrailles ou perforé les poumons ou le coeur... La panique ajoutée à la montée d'adrénaline l'empêchaient de réfléchir rationnellement.
La voix de l'homme se fit à nouveau entendre :
"Pas un geste pti' voyou ! On la fait pas au vieux Owen ! Mets tes mains sur ta tête, et réponds à la question ou j'appelle les flics !"
Matas comprit alors que l'homme l'avait épargné.
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Re: La fugue
Jeu 14 Juin 2007 - 0:14
Matas n'aurait jamais du essayer d'attaquer l'homme prénommé Owen. Il n'avait pas assez réfléchit, mais par contre, il n'y avait d'autre solution.
" Je... je marchais et je me suis égaré. C'est comme ça que je suis arrivé dans ce parc. J'ai alors entendu du bruit, j'ai trébuché et je me suis retourner avec une armer à deux centimètres de ma face. Pourquoi me posé cette question ? "
* Il faut que je trouve quelque chose pour le distraire et m'enfuir... *
Matas regarda autour de lui distraitement s’il n'y avait pas quelque à porté de main pour se défendre...
" Je... je marchais et je me suis égaré. C'est comme ça que je suis arrivé dans ce parc. J'ai alors entendu du bruit, j'ai trébuché et je me suis retourner avec une armer à deux centimètres de ma face. Pourquoi me posé cette question ? "
* Il faut que je trouve quelque chose pour le distraire et m'enfuir... *
Matas regarda autour de lui distraitement s’il n'y avait pas quelque à porté de main pour se défendre...
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: La fugue
Jeu 14 Juin 2007 - 12:52
L'homme bourru émit un reniflement sonore, comme s'il tentait de flairer l'arnaque, ou tout simplement qu'il était enrhumé.
"Mouaif... Ca serait pas la première fois qu'un touriste pénètre le parc privé de M'sieur Bishop..." dit-il légèrement plus doucement. Il fit une pause, durant laquelle il jaugea le gringalet su regard. Matas n'a pas l'air dangereux une fois qu'on le regardait avec attention.
"Bon... Suis-moi, je vais te reconduire à la sortie." dit-il en baissant enfin le canon de son arme, qu'il épaula sans effort.
Le parc était très soigné. Les armes en étaient taillés avec précision, aucune feuille morte ou mauvaise herbe ne semblait avoir sa place dans ce décor géométrique.
La résidence de "M'sieur Bishop" était un manoir luxueux, d'architecture millenium. Le gardien, ou le jardinier, quelle qu'était sa fonction, mena Matas le long d'allées de gravier, qui contournaient le bâtiment vers la façade de la propriété. Une fois arrivé devant les grilles de fer forgé, le solide gaillard, qui portait une barbe aussi grisonnante que ses cheveux bouclés, se mit légèrement sur le côté de l'allée principale pour laisser passer une voiture de luxe d'un noir métallisé étincelant.
Le véhicule s'arrêta sans un bruit à son niveau, et la vitre arrière, teintée, cela allait de soi, descendit de quelques centimètres pour laisser apercevoir un regard intense, et quelques centimètres de peau blanche, légèrement ridée.
"M. McCreedy, est-ce là l'apprenti en architecture paysagère dont vous m'aviez parlé ?" demanda une voix forte et profonde.
Le vieil homme jeta un coup d'oeil aux vêtements sales et déchirés par endroits que portait Matas depuis sa fugue. Son visage était crasseux, ses ongles noirs, ses cheveux en bataille. On aurait dit un vagabond. Le jardinier n'eut pas le coeur à renvoyer le mutant à son sort.
"Oui c'est bien lui, je lui ai fait faire quelques travaux en forêt, c'est plus de mon âge..." répondit-il, suffisamment convaincant pour que la vitre se referme, et que la voiture poursuive son chemin dans l'allée menant au manoir.
Owen McCreedy se tourna alors vers Matas :
"Ca te dirait de te faire un peu d'argent de poche ?"
"Mouaif... Ca serait pas la première fois qu'un touriste pénètre le parc privé de M'sieur Bishop..." dit-il légèrement plus doucement. Il fit une pause, durant laquelle il jaugea le gringalet su regard. Matas n'a pas l'air dangereux une fois qu'on le regardait avec attention.
"Bon... Suis-moi, je vais te reconduire à la sortie." dit-il en baissant enfin le canon de son arme, qu'il épaula sans effort.
Le parc était très soigné. Les armes en étaient taillés avec précision, aucune feuille morte ou mauvaise herbe ne semblait avoir sa place dans ce décor géométrique.
La résidence de "M'sieur Bishop" était un manoir luxueux, d'architecture millenium. Le gardien, ou le jardinier, quelle qu'était sa fonction, mena Matas le long d'allées de gravier, qui contournaient le bâtiment vers la façade de la propriété. Une fois arrivé devant les grilles de fer forgé, le solide gaillard, qui portait une barbe aussi grisonnante que ses cheveux bouclés, se mit légèrement sur le côté de l'allée principale pour laisser passer une voiture de luxe d'un noir métallisé étincelant.
Le véhicule s'arrêta sans un bruit à son niveau, et la vitre arrière, teintée, cela allait de soi, descendit de quelques centimètres pour laisser apercevoir un regard intense, et quelques centimètres de peau blanche, légèrement ridée.
"M. McCreedy, est-ce là l'apprenti en architecture paysagère dont vous m'aviez parlé ?" demanda une voix forte et profonde.
Le vieil homme jeta un coup d'oeil aux vêtements sales et déchirés par endroits que portait Matas depuis sa fugue. Son visage était crasseux, ses ongles noirs, ses cheveux en bataille. On aurait dit un vagabond. Le jardinier n'eut pas le coeur à renvoyer le mutant à son sort.
"Oui c'est bien lui, je lui ai fait faire quelques travaux en forêt, c'est plus de mon âge..." répondit-il, suffisamment convaincant pour que la vitre se referme, et que la voiture poursuive son chemin dans l'allée menant au manoir.
Owen McCreedy se tourna alors vers Matas :
"Ca te dirait de te faire un peu d'argent de poche ?"
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Re: La fugue
Ven 15 Juin 2007 - 0:35
Matas réfléchit à la proposition quelques instants. * Si j'accepte j'aurai de l'argent, un toit où rester et de la nourriture à manger. Par contre, je ne pourrai sur ment jamais me rendre à l'institut pour mutant!*
"D'accord, mais je vais être nourrit et logé?"
Matas regarda la voiture s'éloigner au loin sur l'allé principal. Il se demandait qui était cet homme mystérieux. Il avait l'air étrange.
* Je vais devoir ma petite recherche sur lui, car il ne m'inspire pas tellement confiance...*
Matas se retourna vers l'homme prénommé Owen. *Je ferai mieux de ne pas lui donné mon vrai nom pour plus de prudence.*" Mon nom c'est... Erik. Que voudriez vous que je fasse comme travail pour vous aider???
"D'accord, mais je vais être nourrit et logé?"
Matas regarda la voiture s'éloigner au loin sur l'allé principal. Il se demandait qui était cet homme mystérieux. Il avait l'air étrange.
* Je vais devoir ma petite recherche sur lui, car il ne m'inspire pas tellement confiance...*
Matas se retourna vers l'homme prénommé Owen. *Je ferai mieux de ne pas lui donné mon vrai nom pour plus de prudence.*" Mon nom c'est... Erik. Que voudriez vous que je fasse comme travail pour vous aider???
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Re: La fugue
Ven 15 Juin 2007 - 11:58
Le dénommé Owen eut un hochement de tête bourru : l'homme n'était pas un mauvais bougre apparemment.
"Il faudra te contenter de la chambre que j'ai de libre. M'sieur Bishop a eu la bonté de m'aménager un petit mobilhome dans un coin de la propriété." expliqua-t-il en pointant la direction du canon de son fusil.
"Viens avec moi, on va commencer par te redonner forme humaine, tu peux pas bosser pour M'sieur Bishop comme ça." dit-il en prenant la direction qu'il venait d'indiquer. Sur le chemin, il continua :
"Ca faisait un moment que j'avais parlé de prendre un apprenti sous mon aile au patron. La propriété est immense, y a un bois privé, un parc avec plein de parterres de fleurs à entretenir, des haies à tailler, la pelouse à tondre et j'en passe. Je m'occupe aussi de tout ce qui est bricolage sur la propriété et le manoir, je suis un peu l'homme à tout faire, et je peux te dire que c'est un boulot à plein temps quand en plus de ça on garde la propriété.
Tu m'as l'air d'un pauv' pti' gars, alors si tu me donnes un coup de main, M'sieur Bishop et moi on sera pas ingrats. Mais va falloir m'expliquer d'où tu sors pour être dans cet état, je veux pas avoir les services sociaux sur le dos, moi !"
"Il faudra te contenter de la chambre que j'ai de libre. M'sieur Bishop a eu la bonté de m'aménager un petit mobilhome dans un coin de la propriété." expliqua-t-il en pointant la direction du canon de son fusil.
"Viens avec moi, on va commencer par te redonner forme humaine, tu peux pas bosser pour M'sieur Bishop comme ça." dit-il en prenant la direction qu'il venait d'indiquer. Sur le chemin, il continua :
"Ca faisait un moment que j'avais parlé de prendre un apprenti sous mon aile au patron. La propriété est immense, y a un bois privé, un parc avec plein de parterres de fleurs à entretenir, des haies à tailler, la pelouse à tondre et j'en passe. Je m'occupe aussi de tout ce qui est bricolage sur la propriété et le manoir, je suis un peu l'homme à tout faire, et je peux te dire que c'est un boulot à plein temps quand en plus de ça on garde la propriété.
Tu m'as l'air d'un pauv' pti' gars, alors si tu me donnes un coup de main, M'sieur Bishop et moi on sera pas ingrats. Mais va falloir m'expliquer d'où tu sors pour être dans cet état, je veux pas avoir les services sociaux sur le dos, moi !"
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Re: La fugue
Sam 16 Juin 2007 - 1:03
" Eh bien,,, ehhh j'ai eu comme ehhh quelque problèmes avec ma mère. Mon père et mort lorsque j'avais quatre ans et disons que j'ai eu des problèmes aussi à l'école. À cause de ça, j'ai disons ehhhh fugué." dit Matas un peu embêté par la question.
Matas évita le regard du vieux Owen espérant qu'il ne lui pose pas plus de question et qu'il ne découvre pas son pouvoir mutant. Il essaya de repérer le petit mobil home. Il ne l'apercevait pas dans cette obscurité presque totale. C'est alors qu'il se rappela.
* Oh non, mes billes!!! Comment vais-je faire pour me défendre maintenant !? Il faut que je les retrouve des demain matin.*
" M. McCreedy, j'avais l'intention de me rendre dans une institut, c'est pour cela que j'ai traversé votre parc. Je devrai donc partir dans peu de temps. Je ne sais pas encore combien, mais j'accepte tout de même de travaillé dur pour vous et je respecte toujours mes paroles.*
Matas évita le regard du vieux Owen espérant qu'il ne lui pose pas plus de question et qu'il ne découvre pas son pouvoir mutant. Il essaya de repérer le petit mobil home. Il ne l'apercevait pas dans cette obscurité presque totale. C'est alors qu'il se rappela.
* Oh non, mes billes!!! Comment vais-je faire pour me défendre maintenant !? Il faut que je les retrouve des demain matin.*
" M. McCreedy, j'avais l'intention de me rendre dans une institut, c'est pour cela que j'ai traversé votre parc. Je devrai donc partir dans peu de temps. Je ne sais pas encore combien, mais j'accepte tout de même de travaillé dur pour vous et je respecte toujours mes paroles.*
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Re: La fugue
Sam 16 Juin 2007 - 20:35
Lorsque Matas parla de fugue, son hôte parut bien embêté. L'homme se gratouilla la barbe, les lèvres pincées, en marmonnant un "hmm..." pensif. Ce n'est que lorsque le mutant parla d'un institut qu'il parut rassuré.
"Un institut, hein ? Je suppose que personne m'en voudra si je te donne un petit coup de pouce... Ca me paraît honorable." conclut Owen après un moment.
"Tu m'aideras à faire les gros travaux du moment et puis je t'enverrai directement dans ton école avec quelques sous en poche. Et puis dieu sait que cette propriété a besoin d'un peu de sang neuf ! On voit pas souvent des jeunes par ici ! En fait, depuis la mort de M'dame et Miss Bishop..."
Il s'interrompit, comme s'il en avait trop dit.
"Nous y sommes." dit-il en sortant une paire de clés de la poche de son manteau. Il déverrouilla la porte du Bungalow, alluma une lumière et invita Matas à entrer.
"C'est pas grand chose mais on y est bien." dit-il en désignant une petite kitchenette, un coin salon et une petite arcade menant à la chambre.
"Les canapés sont convertibles." dit-il en farfouillant dans les placards.
"Je vais nous faire une bonne soupe pour nous réchauffer. Va te décrasser, la douche est là-bas. Je vais te prêter des vêtements." dit-il en mettant une casserole sur le feu.
"Un institut, hein ? Je suppose que personne m'en voudra si je te donne un petit coup de pouce... Ca me paraît honorable." conclut Owen après un moment.
"Tu m'aideras à faire les gros travaux du moment et puis je t'enverrai directement dans ton école avec quelques sous en poche. Et puis dieu sait que cette propriété a besoin d'un peu de sang neuf ! On voit pas souvent des jeunes par ici ! En fait, depuis la mort de M'dame et Miss Bishop..."
Il s'interrompit, comme s'il en avait trop dit.
"Nous y sommes." dit-il en sortant une paire de clés de la poche de son manteau. Il déverrouilla la porte du Bungalow, alluma une lumière et invita Matas à entrer.
"C'est pas grand chose mais on y est bien." dit-il en désignant une petite kitchenette, un coin salon et une petite arcade menant à la chambre.
"Les canapés sont convertibles." dit-il en farfouillant dans les placards.
"Je vais nous faire une bonne soupe pour nous réchauffer. Va te décrasser, la douche est là-bas. Je vais te prêter des vêtements." dit-il en mettant une casserole sur le feu.
- InvitéInvité
Re: La fugue
Mar 19 Juin 2007 - 4:06
Matas entra dans une toute petite pièce avec une douche pas vraiment propre à l'intérieur. Il entra, ouvrit l'eau pour la mettre à la bonne température. Il enleva ses vêtements déchirés et il entra dans la douche.
Matas se rappela tout le parcours qu'il avait fait durant les derniers temps.
*Je suis partit de la maison de ma mère à cause de mes pouvoirs et la je travail chez un riche pour allé parfaire mes pouvoirs dans un institut pour mutant. Je reste chez un inconnu et je me lave dans sa douche. Au moins, il est sympathique. Je vais essayer de me ramasser assez d'argent pour survivre quelque temps s’il ne m'accepte pas à cet institut. Mais pour l'instant je dois paraître propre.*
Matas laissa coulé l'eau chaude sur son corps afin de se reposer un peu. Après quelques minutes, il sortit et il se sécha avec l'aide d'une serviette pas très confortable. Il trouva des vêtements un peu trop grand pour lui et une bonne soupe aux tomates sur la table. Il décida d'engager la conversation.
" Elle est très bonne votre soupe M'sieur McCreedy! Vous devriez vous en aller dans la restauration. Juste comme ça, comment voulez-vous m'aider à allé dans l'institut???"
Matas se rappela tout le parcours qu'il avait fait durant les derniers temps.
*Je suis partit de la maison de ma mère à cause de mes pouvoirs et la je travail chez un riche pour allé parfaire mes pouvoirs dans un institut pour mutant. Je reste chez un inconnu et je me lave dans sa douche. Au moins, il est sympathique. Je vais essayer de me ramasser assez d'argent pour survivre quelque temps s’il ne m'accepte pas à cet institut. Mais pour l'instant je dois paraître propre.*
Matas laissa coulé l'eau chaude sur son corps afin de se reposer un peu. Après quelques minutes, il sortit et il se sécha avec l'aide d'une serviette pas très confortable. Il trouva des vêtements un peu trop grand pour lui et une bonne soupe aux tomates sur la table. Il décida d'engager la conversation.
" Elle est très bonne votre soupe M'sieur McCreedy! Vous devriez vous en aller dans la restauration. Juste comme ça, comment voulez-vous m'aider à allé dans l'institut???"
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Re: La fugue
Mar 19 Juin 2007 - 23:01
[hrp : personne n'a dit que la douche était sale, etc... Essaie de moi extrapoler, c'est au courtier de te donner ces détails. S'il ne le fait pas, c'est qu'il n'a pas jugé ça utile.]
Owen sourit, ce qui accentua les pattes d'oies qu'il avait au coin des yeux.
"Bof, tu sais à mon âge, on aime plus trop le changement." répondit-il en buvant une gorgée de soupe.
"Ca fait des années que je travaille ici, M'sieur Bishop a été chic avec moi..."
Il se tut un moment, mangeant en silence, puis il reprit :
"Pour toi mon gars, tout ce que je peux faire c'est m'assurer que tu arriveras à destination. Je peux rien faire de plus... Je suis pas ton père."
Sur ces mots, il termina son bol.
"Bon, on ferait mieux d'aller se coucher. La journée commence très tôt pour nous demain." dit-il en se mettant à faire la vaisselle.
"Défais la banquette, je t'ai mis une couverture." dit-il.
5h30 du matin. Owen secoua Matas sur le canapé, la brosse à dent dans la bouche.
"Debout, petit, on doit aller inspecter la propriété, et ensuite jardinage intensif." dit-il en retournant à la salle de bain, laissant Matas se réveiller. Du pain et de la confiture étaient posés sur la table de la cuisine.
Owen sourit, ce qui accentua les pattes d'oies qu'il avait au coin des yeux.
"Bof, tu sais à mon âge, on aime plus trop le changement." répondit-il en buvant une gorgée de soupe.
"Ca fait des années que je travaille ici, M'sieur Bishop a été chic avec moi..."
Il se tut un moment, mangeant en silence, puis il reprit :
"Pour toi mon gars, tout ce que je peux faire c'est m'assurer que tu arriveras à destination. Je peux rien faire de plus... Je suis pas ton père."
Sur ces mots, il termina son bol.
"Bon, on ferait mieux d'aller se coucher. La journée commence très tôt pour nous demain." dit-il en se mettant à faire la vaisselle.
"Défais la banquette, je t'ai mis une couverture." dit-il.
5h30 du matin. Owen secoua Matas sur le canapé, la brosse à dent dans la bouche.
"Debout, petit, on doit aller inspecter la propriété, et ensuite jardinage intensif." dit-il en retournant à la salle de bain, laissant Matas se réveiller. Du pain et de la confiture étaient posés sur la table de la cuisine.
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Re: La fugue
Mer 20 Juin 2007 - 19:40
Matas entendit Owen lui dire de se lever. Il n'avait pas bien entendu l'heure qu'il était, tous ce qu'il avait entendu c'est qu'il y avait du pain et de la confiture sur la table.
Il ouvrit les yeux, se leva et il s'étira. Il regarda autour de lui pour voir comment était le bungalow, car il ne l'avait pas très bien vu la nuit dernière. Il alla à la cuisine et il s'assit à la table.
Il commença à déguster son toast tout en attendant Owen. Ça lui prit cinq minute en tout pour finir de manger. Owen était pas encore là donc Matas décida de ce pratiquer. Il prit le couteau et il essaya de le rapetisser. Il essaya ensuite de lui donner une forme plus tranchante lorsqu'il entendit un bruit derrière lui. Il redonna la forme normale au couteau et il se retourna pour voir si Owen l'avait vu.
* Si il m'a vu il va sur ment appeler la police ou pire encore... Je devrai alors me défendre!*
Matas prit le couteau dans sa main et il le serra très fort...
Il ouvrit les yeux, se leva et il s'étira. Il regarda autour de lui pour voir comment était le bungalow, car il ne l'avait pas très bien vu la nuit dernière. Il alla à la cuisine et il s'assit à la table.
Il commença à déguster son toast tout en attendant Owen. Ça lui prit cinq minute en tout pour finir de manger. Owen était pas encore là donc Matas décida de ce pratiquer. Il prit le couteau et il essaya de le rapetisser. Il essaya ensuite de lui donner une forme plus tranchante lorsqu'il entendit un bruit derrière lui. Il redonna la forme normale au couteau et il se retourna pour voir si Owen l'avait vu.
* Si il m'a vu il va sur ment appeler la police ou pire encore... Je devrai alors me défendre!*
Matas prit le couteau dans sa main et il le serra très fort...
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Re: La fugue
Sam 23 Juin 2007 - 14:55
Les aventures de Matas avaient dû le rendre paranoïaque : Owen arriva derrière lui et commença à ranger la nourriture en sifflotant tranquilement.
"Tiens, mets-ça dans l'évier." dit-il en désignant le couteau d'un coup de menton.
Ceci fait, il mit ses chaussures, un gilet matelassé par-dessus sa chemise à carreau, décrocha sa carabine du mur et s'apprêta à sortir.
"Bon, d'abord on fait le tour de la propriété pour voir que tout est en ordre. Le vent souffle assez fort par ici, ça abîme parfois les arbres ou les clotures. On verra pour la suite." dit-il en menant Matas jusqu'à une petite remise, où il stockait divers outils de jardinage et autres. Il y prit une pelle, une hache, un mahiet, un rouleau de fil barbelé. Il confia les instruments à Matas tandis qu'il chargeait le grillage sur son épaule.
"On y va, gamin !" dit-il avec jovialité en suivant un sentier, qu'il avait sûrement creusé avec le temps, et qui semblait contourner la bâtisse de leur employeur, ainsi que la propriété en elle-même.
McCreedy prenait son travail au sérieux. Il contrôlait la pousse de la végétation, la taille des haies, notait les coins à mauvaises herbes. Leur marche était longue et le matériel assez lourd. Cela n'empêchait pas le vieil homme de décrire les améliorations apportées au paysage depuis le début de sa carrière, bien des années plus tôt. Ils s'arrêtèrent près d'un morceau de grillage dans lequel s'était empêtré un animal sauvage, un petit marcassin pour être exact : la forêt n'était pas loin, la pauvre bête avait dû s'éloigner de sa harde et poussait des hurlements à fendre l'arme, tout en essayant de se dégager.
Owen jeta son fardeau au sol.
"Aïe, celui-là a pas eu de chance... Regarde-moi ça, il s'est complètement entortillé dans les barbelés... Et moi qui n'ait pas ramené de pince... Attends-moi ici et essaie de l'empêcher de se blesser plus. Je retourne chercher des cisailles, je reviendrai avec la voiture de gold de M'sieur Bishop, ça ira plus vite." dit-il avec un petit sourire à la pensée de conduire le véhicule.
"Mais fais attention, petit, les sangliers aiment pas trop les humains." ajouta-t-il avant de laisser Matas seul face à la bête.
"Tiens, mets-ça dans l'évier." dit-il en désignant le couteau d'un coup de menton.
Ceci fait, il mit ses chaussures, un gilet matelassé par-dessus sa chemise à carreau, décrocha sa carabine du mur et s'apprêta à sortir.
"Bon, d'abord on fait le tour de la propriété pour voir que tout est en ordre. Le vent souffle assez fort par ici, ça abîme parfois les arbres ou les clotures. On verra pour la suite." dit-il en menant Matas jusqu'à une petite remise, où il stockait divers outils de jardinage et autres. Il y prit une pelle, une hache, un mahiet, un rouleau de fil barbelé. Il confia les instruments à Matas tandis qu'il chargeait le grillage sur son épaule.
"On y va, gamin !" dit-il avec jovialité en suivant un sentier, qu'il avait sûrement creusé avec le temps, et qui semblait contourner la bâtisse de leur employeur, ainsi que la propriété en elle-même.
McCreedy prenait son travail au sérieux. Il contrôlait la pousse de la végétation, la taille des haies, notait les coins à mauvaises herbes. Leur marche était longue et le matériel assez lourd. Cela n'empêchait pas le vieil homme de décrire les améliorations apportées au paysage depuis le début de sa carrière, bien des années plus tôt. Ils s'arrêtèrent près d'un morceau de grillage dans lequel s'était empêtré un animal sauvage, un petit marcassin pour être exact : la forêt n'était pas loin, la pauvre bête avait dû s'éloigner de sa harde et poussait des hurlements à fendre l'arme, tout en essayant de se dégager.
Owen jeta son fardeau au sol.
"Aïe, celui-là a pas eu de chance... Regarde-moi ça, il s'est complètement entortillé dans les barbelés... Et moi qui n'ait pas ramené de pince... Attends-moi ici et essaie de l'empêcher de se blesser plus. Je retourne chercher des cisailles, je reviendrai avec la voiture de gold de M'sieur Bishop, ça ira plus vite." dit-il avec un petit sourire à la pensée de conduire le véhicule.
"Mais fais attention, petit, les sangliers aiment pas trop les humains." ajouta-t-il avant de laisser Matas seul face à la bête.
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Re: La fugue
Mar 26 Juin 2007 - 4:36
[hrp: Je ne sais pas trop quoi dire^^ ]
Matas regarda le petit animal pris dans les barbelés. Il devait sur ment avoir très mal. *Je devrai soulager un peu ses douleurs en rétrécissant les pics du barbelé sans tout fois le défaire. Sinon Owen sans rendrait compte. Il risque cependant aussi de sans rendre compte si les pics ont rapetissé aussi. Tans pis je le fais.*
Matas s'agenouilla près du corps. Il toucha les pics afin de les rétrécir.
Il sentit son pouvoir lui courir le long des bras allez jusqu'au bout des doigts. Il s'entait le métal froid sous son toucher. Il les sentit rétrécir, il les sentit sortir de la peau de l'animal et il les sentit libérer la chair.
* C'est vrai je n'est plus mes billes. Il faut absolument que je l'ai retrouve, car il me sont habituellement d'une grande aide pour me sortir du pétrin.*
Matas regarda autour de lui afin de trouver ses petites boules...
Matas regarda le petit animal pris dans les barbelés. Il devait sur ment avoir très mal. *Je devrai soulager un peu ses douleurs en rétrécissant les pics du barbelé sans tout fois le défaire. Sinon Owen sans rendrait compte. Il risque cependant aussi de sans rendre compte si les pics ont rapetissé aussi. Tans pis je le fais.*
Matas s'agenouilla près du corps. Il toucha les pics afin de les rétrécir.
Il sentit son pouvoir lui courir le long des bras allez jusqu'au bout des doigts. Il s'entait le métal froid sous son toucher. Il les sentit rétrécir, il les sentit sortir de la peau de l'animal et il les sentit libérer la chair.
* C'est vrai je n'est plus mes billes. Il faut absolument que je l'ai retrouve, car il me sont habituellement d'une grande aide pour me sortir du pétrin.*
Matas regarda autour de lui afin de trouver ses petites boules...
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Re: La fugue
Mar 26 Juin 2007 - 23:05
[hrp : c'est au courtier de juger de la réussite de tes actions, ne l'oublie pas]
Via son pouvoir, Matas avait réussi à retirer l'épieu le plus profondément enfoncé dans l'abdomen de la bête, et à le tordre sur le côté. Le sanglier était toujours blessé, mais il serait plus facile de le déloger une fois Owen de retour. Cependant, en retirant le bout de ferraille, Matas se rendit bien vite compte qu'il venait d'ouvrir en grand les vannes d'hémoglobine. Le sang du marcassin commençait à couler de la plaie.
Le domaine était immense, et les petites boules de Matas, si elles existaient bel et bien, pouvaient se trouver à des lieux de là. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
Via son pouvoir, Matas avait réussi à retirer l'épieu le plus profondément enfoncé dans l'abdomen de la bête, et à le tordre sur le côté. Le sanglier était toujours blessé, mais il serait plus facile de le déloger une fois Owen de retour. Cependant, en retirant le bout de ferraille, Matas se rendit bien vite compte qu'il venait d'ouvrir en grand les vannes d'hémoglobine. Le sang du marcassin commençait à couler de la plaie.
Le domaine était immense, et les petites boules de Matas, si elles existaient bel et bien, pouvaient se trouver à des lieux de là. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
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Re: La fugue
Mar 7 Aoû 2007 - 21:52
[hrp: Désolé pour le retard j'étais à mon chalet et je n’avais pas internet. Je vais être encore absent jusqu'a lundi mais après ça devrai être ok]
Matas vit bien vite que le sang commençait à coulé de la plaie.
* Il faut vite que je bouche le trou, mais avec quoi?
Matas regarda autour de lui cherchant désespérément quelque chose qui pourrait faire l'affaire. Il regarda par terre et il eut une idée. Il prit des morceaux de gazon, il les roula en boule et il les enfonça dans la plaie de l'animal. Il attendit pour voir si ça allait marcher...
Matas vit bien vite que le sang commençait à coulé de la plaie.
* Il faut vite que je bouche le trou, mais avec quoi?
Matas regarda autour de lui cherchant désespérément quelque chose qui pourrait faire l'affaire. Il regarda par terre et il eut une idée. Il prit des morceaux de gazon, il les roula en boule et il les enfonça dans la plaie de l'animal. Il attendit pour voir si ça allait marcher...
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Re: La fugue
Mar 7 Aoû 2007 - 22:33
Tentant le diable, Matas saisit une motte d'herbe et s'approcha de l'animal blessé. Il mit en pratique son plan douteux. Le marcassin rua de douleur tant le traitement du mutant le faisait souffrir et empirait son état. Dans sa frénésie, il donna un violent coup de patte dans l'abdomen du jeune homme, qui partit à la renverse, le souffle coupé.
La douleur était atroce, si bien que c'est à peine conscient que Matas vit arriver la voiture de golf dont avait parlé Owen. Le jardinier bondit hors de la petite voiture, une paire de cisailles à la main et se précipita vers Matas.
"Hé, petit ! Qu'est-ce qui t'est arrivé ?!" eut-il le temps d'entendre, avant de sombre dans l'inconscience, le hurlement du marcassin moribond dans les oreilles.
Lorsqu'il s'éveilla, Matas crut d'abord rêver : il était allongé dans un lit à baldaquin, dont les tentures aux couleurs rosées ondulaient soyeusement au gré d'une légère bise qui soufflait dans la vaste chambre luxueuse où il était endormi. Le lit était confortable, moelleux, et les draps sentaient bons. S'il n'avait pas eu cette horrible douleur au ventre, Matas aurait pu être heureux comme il ne l'avait pas été depuis longtemps. Le sol de la chambre était fait d'un parquet ouvragé, et la tapisserie assortie aux voilages du lit. Que faisait-il ici ?
La douleur au ventre l'empêchait de bouger.
La douleur était atroce, si bien que c'est à peine conscient que Matas vit arriver la voiture de golf dont avait parlé Owen. Le jardinier bondit hors de la petite voiture, une paire de cisailles à la main et se précipita vers Matas.
"Hé, petit ! Qu'est-ce qui t'est arrivé ?!" eut-il le temps d'entendre, avant de sombre dans l'inconscience, le hurlement du marcassin moribond dans les oreilles.
Lorsqu'il s'éveilla, Matas crut d'abord rêver : il était allongé dans un lit à baldaquin, dont les tentures aux couleurs rosées ondulaient soyeusement au gré d'une légère bise qui soufflait dans la vaste chambre luxueuse où il était endormi. Le lit était confortable, moelleux, et les draps sentaient bons. S'il n'avait pas eu cette horrible douleur au ventre, Matas aurait pu être heureux comme il ne l'avait pas été depuis longtemps. Le sol de la chambre était fait d'un parquet ouvragé, et la tapisserie assortie aux voilages du lit. Que faisait-il ici ?
La douleur au ventre l'empêchait de bouger.
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Re: La fugue
Mar 7 Aoû 2007 - 22:44
Matas essaya de se lever, mais la douleur le clouait au lit. Il respira un bon coup afin de reprendre ses esprits. Il leva la tête et regarda à nouveau autour de lui pour voir si un détail ne lui avait pas échappé. Il lança alors un cris:
"HHÉÉÉÉHHHOOO IL A QUELQU’UN?"
Matas attendit quelque seconde pour voir s’il allait avoir une réponse. En attendant, il réfléchit aux évènements qui c'était passé ces derniers jours. Il réfléchit aussi à propos de l'institut pour mutant. Comment allait-il la trouver? Allait-il être accepter? Tout ces questions se bousculaient dans sa tête...
"HHÉÉÉÉHHHOOO IL A QUELQU’UN?"
Matas attendit quelque seconde pour voir s’il allait avoir une réponse. En attendant, il réfléchit aux évènements qui c'était passé ces derniers jours. Il réfléchit aussi à propos de l'institut pour mutant. Comment allait-il la trouver? Allait-il être accepter? Tout ces questions se bousculaient dans sa tête...
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Re: La fugue
Mer 8 Aoû 2007 - 22:48
Au bout d'un moment, un vieil homme moustachu en complet noir ouvrit la porte richement décorée de la chambre, et passa la tête à l'intérieur.
"Oh !" fit-il, avant de se retourner vers l'extérieur. "Monsieur ! Venez, il s'est réveillé !" dit-il, avant d'ouvrir grand la porte et de s'effacer pour laisser passer le maître des lieux, que Matas avait entre-aperçu dans la berline la veille. A présent il pouvait mieux discerner ses traits durs. Il devait avoir la cinquantaine, cheveux grisonnant, regard intense.
Owen entra dans la pièce sur ses talons. Il semblait inquiet et légèrement penaud devant son employeur.
"Eh bien, tu nous as fait une frayeur, jeune homme." lança monsieur Bishop en entrant dans la pièce d'un bon pas, un pas d'homme affairé. Il s'approcha du lit.
"Comment te sens-tu ? Un médecin t'a examiné, tu as une côte fêlée, tu devrais éviter de bouger." dit-il sans trop regarder Matas. En réalité, il regardait la chambre comme s'il n'y était pas entré depuis longtemps, l'air songeur. Ce qu'Owen avait dit sur la famille Bishop au mutant lui revint soudain en mémoire.
"Oh !" fit-il, avant de se retourner vers l'extérieur. "Monsieur ! Venez, il s'est réveillé !" dit-il, avant d'ouvrir grand la porte et de s'effacer pour laisser passer le maître des lieux, que Matas avait entre-aperçu dans la berline la veille. A présent il pouvait mieux discerner ses traits durs. Il devait avoir la cinquantaine, cheveux grisonnant, regard intense.
"Eh bien, tu nous as fait une frayeur, jeune homme." lança monsieur Bishop en entrant dans la pièce d'un bon pas, un pas d'homme affairé. Il s'approcha du lit.
"Comment te sens-tu ? Un médecin t'a examiné, tu as une côte fêlée, tu devrais éviter de bouger." dit-il sans trop regarder Matas. En réalité, il regardait la chambre comme s'il n'y était pas entré depuis longtemps, l'air songeur. Ce qu'Owen avait dit sur la famille Bishop au mutant lui revint soudain en mémoire.
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Re: La fugue
Ven 10 Aoû 2007 - 22:25
Matas regarda l'homme droit dans les yeux. Avec son air autoritaire, il lui donnait froid dans le dos. Matas fit un sourire afin de montrer sa reconnaissance.
*Je comprends, ça devait être la chambre de sa femme. Mais pourquoi on dirait-il qu'il n'a pas remit les pieds dans cette chambres depuis. Il voulais probablement garder tout intacte.*
" Savez vous combien de temps devrais-je rester au lit? Car pendant ce temps je ne peux aidez Owen à faire les travaux dans la propriété."
Matas essaya de se relever à nouveau malgré les conseilles de monsieur Bishops, mais la douleurs lui en empêcha.
*Je comprends, ça devait être la chambre de sa femme. Mais pourquoi on dirait-il qu'il n'a pas remit les pieds dans cette chambres depuis. Il voulais probablement garder tout intacte.*
" Savez vous combien de temps devrais-je rester au lit? Car pendant ce temps je ne peux aidez Owen à faire les travaux dans la propriété."
Matas essaya de se relever à nouveau malgré les conseilles de monsieur Bishops, mais la douleurs lui en empêcha.
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Re: La fugue
Sam 11 Aoû 2007 - 15:03
Les paroles de Matas tirèrent monsieur Bishop de ses pensées. Il retourna son visage vers celui du mutant pour rencontrer son regard.
"Une côte fêlée ne se soigne qu'avec le repos, mon garçon. Owen se débrouillera... Mais en attendant la fin de ton apprentissage, tu pourras m'assister, mon assistant est en vacances et j'ai besoin de quelqu'un." répondit-il. Owen avait fait passer Matas pour un apprentis jardinier se souvint Matas. Lorsque la douleur fit retomber le mutant en arrière, il remarqua qu'un gros nounours, probablement de la série Bisounours, était posé sur le côté gauche de son coussin. A y regarder de plus près, d'autres décorations enfantine parsemaient la pièce, comme une maison de poupée ancienne près de la coiffeuse par exemple.
"Une côte fêlée ne se soigne qu'avec le repos, mon garçon. Owen se débrouillera... Mais en attendant la fin de ton apprentissage, tu pourras m'assister, mon assistant est en vacances et j'ai besoin de quelqu'un." répondit-il. Owen avait fait passer Matas pour un apprentis jardinier se souvint Matas. Lorsque la douleur fit retomber le mutant en arrière, il remarqua qu'un gros nounours, probablement de la série Bisounours, était posé sur le côté gauche de son coussin. A y regarder de plus près, d'autres décorations enfantine parsemaient la pièce, comme une maison de poupée ancienne près de la coiffeuse par exemple.
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Re: La fugue
Sam 11 Aoû 2007 - 16:40
Matas regarda de plus près la pièce. Elle était tellement décorée pour un enfant que Matas changea un peu sa réflexion.
* Je crois plutôt que cette chambre appartenait plus à son enfant qu'a sa femme. Mais pourquoi Owen ne m'en a pas parlé si telle est le cas? Peut-être est telle morte violemment et sa la causé une trop grande douleur. Je vais devoir enquêter la dessus...*
"Vous n'avez qu'a-m’e dire quoi faire et je le ferai. Mais tout d'abord je crois que je vais dormir encore un peu car ma côte me fait extrêmement mal..."
* Je crois plutôt que cette chambre appartenait plus à son enfant qu'a sa femme. Mais pourquoi Owen ne m'en a pas parlé si telle est le cas? Peut-être est telle morte violemment et sa la causé une trop grande douleur. Je vais devoir enquêter la dessus...*
"Vous n'avez qu'a-m’e dire quoi faire et je le ferai. Mais tout d'abord je crois que je vais dormir encore un peu car ma côte me fait extrêmement mal..."
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Re: La fugue
Mar 14 Aoû 2007 - 18:09
Bishop et Owen hochèrent la tête.
"Le médecin a dit qu'il te fallait du repos. Nous commencerons demain." annonça Bishop en quittant la pièce.
Ils laissèrent Matas récupérer de son choc. La journée se passa sans histoire dans la chambre de fillette. Une salle de bain jouxtait la chambre, et Matas put aller faire sa toilette une fois qu'il fut suffisamment reposé pour marcher. Il remarqua un bleu énorme sur son abdomen là où le sanglier l'avait frappé.
Le soir venu, le domestique vint lui apporter à manger sur un plateau dans la chambre. Les affaires de Matas avaient été transférées du mobilhome d'Owen à la chambre du manoir.
Le lendemain matin, Matas fut conduit par le domestique, Hector, jusqu'au bureau de monsieur Bishop. L'homme y était assis, visiblement en pleine conversation téléphonique. Il fit signe à Matas de s'asseoir. Lorsqu'il eut fini, il dévisagea le mutant un moment, puis prit la parole :
"Je me doute qu'un apprentis jardinier ne soit pas formé à un poste d'assistant, mais je pense que tu devrais pouvoir tirer de cette expérience. Parle-moi un peu de toi, nous n'avons même pas eu le temps de nous présenter." invita-t-il Matas avec un regard encourageant.
Bishop avait l'air dur, mais semblait plutôt sociable en fin de compte, du moins avait-il été pris de sympathie pour le jeune Matas.
"Le médecin a dit qu'il te fallait du repos. Nous commencerons demain." annonça Bishop en quittant la pièce.
Ils laissèrent Matas récupérer de son choc. La journée se passa sans histoire dans la chambre de fillette. Une salle de bain jouxtait la chambre, et Matas put aller faire sa toilette une fois qu'il fut suffisamment reposé pour marcher. Il remarqua un bleu énorme sur son abdomen là où le sanglier l'avait frappé.
Le soir venu, le domestique vint lui apporter à manger sur un plateau dans la chambre. Les affaires de Matas avaient été transférées du mobilhome d'Owen à la chambre du manoir.
Le lendemain matin, Matas fut conduit par le domestique, Hector, jusqu'au bureau de monsieur Bishop. L'homme y était assis, visiblement en pleine conversation téléphonique. Il fit signe à Matas de s'asseoir. Lorsqu'il eut fini, il dévisagea le mutant un moment, puis prit la parole :
"Je me doute qu'un apprentis jardinier ne soit pas formé à un poste d'assistant, mais je pense que tu devrais pouvoir tirer de cette expérience. Parle-moi un peu de toi, nous n'avons même pas eu le temps de nous présenter." invita-t-il Matas avec un regard encourageant.
Bishop avait l'air dur, mais semblait plutôt sociable en fin de compte, du moins avait-il été pris de sympathie pour le jeune Matas.
- InvitéInvité
Re: La fugue
Mar 14 Aoû 2007 - 18:57
Matas ne savait pas quoi dire. Il ne savait pas s'il devait lui dire toute la vérité ou lui mentir en trahissant la confiance de son hôte.
*Je pourrais dire qu'un peu de la vérité je ne suis pas obliger de tout dire. Je vais lui dire seulement le bout de ma fugue,. Je pourrais aussi dire le moment ou Owen ma recueillit. Je vais aussi lui dire ma destination finale.*
" En faite tout a commencé il y a quelques temps. à l'école, je me faisais ridiculiser. Ma mère ne le savait pas, car je ne voulais pas lui dire de peur qu'elle est honte de moi. J'ai donc décidé de prendre la fuite. Je suis partit du Québec et je me suis rendu jusqu'ici à pied. J'ai survécu en mangent ce que je trouvais. Un jour dans un restaurant j'ai entendu des personnes parlées d'un institut, Ils recueillaient des gens comme moi. J'ai décidé de m'y rendre. Mais un soir je me promenais dans u parc. C'était le vôtre, mais je ne le savais pas. Il faisait noir et j'ai entendu quelqu'un. J'ai alors crié à celui-ci de se montrer. C'était Owen. Il m'a dit de raconter mon histoire je l'ai conté et il m'a dit qu'il allait m'aider. Le reste vous le savez autant que moi."
Matas attendit de voir se que monsieur Bishop allait dire avant de peut-être lui révéler le reste de l'histoire le bout de lui qui était en vérité un mutant...
*Je pourrais dire qu'un peu de la vérité je ne suis pas obliger de tout dire. Je vais lui dire seulement le bout de ma fugue,. Je pourrais aussi dire le moment ou Owen ma recueillit. Je vais aussi lui dire ma destination finale.*
" En faite tout a commencé il y a quelques temps. à l'école, je me faisais ridiculiser. Ma mère ne le savait pas, car je ne voulais pas lui dire de peur qu'elle est honte de moi. J'ai donc décidé de prendre la fuite. Je suis partit du Québec et je me suis rendu jusqu'ici à pied. J'ai survécu en mangent ce que je trouvais. Un jour dans un restaurant j'ai entendu des personnes parlées d'un institut, Ils recueillaient des gens comme moi. J'ai décidé de m'y rendre. Mais un soir je me promenais dans u parc. C'était le vôtre, mais je ne le savais pas. Il faisait noir et j'ai entendu quelqu'un. J'ai alors crié à celui-ci de se montrer. C'était Owen. Il m'a dit de raconter mon histoire je l'ai conté et il m'a dit qu'il allait m'aider. Le reste vous le savez autant que moi."
Matas attendit de voir se que monsieur Bishop allait dire avant de peut-être lui révéler le reste de l'histoire le bout de lui qui était en vérité un mutant...
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