Richard dans le camp Labrador.

Richard était encore evanoui dans une position peu conventionnelle sur le sol.

La pièce dans laquelle il se trouvait était 2 fois plus grande que sa cellule à bord de l'avion. Mais l'obsurité y étais totale désorientant ses occupants.

Leurs geolliers apprenaient vite de leurs erreurs, ils avaient séparés les deux mutants et suposant que l'un d'entre eux pouvait faire fondre le métal, ils les avaient enfermés dans des cellules qui ne comportait aucune pièce mettallique, tout était en plexiglass ou en plastique.

Argent-Man rampa a taton et trouva le mur, il frappa frotta.....
"Non, non,il me faut du metal, sinon que vais-je faire."
Il regarda autour de lui, pour la premiere fois dans sa vie, il aurait preféré etre avec sa famille en Angleterre, meme si elle le detesté pour se qu'il etait.
"Mon dieu, que vais faire, il me faut du metal...."
Il se mit en boule contre le mur se couvrant de ses haillons et se mit a reflechir.
*Bon apparament aucun d'entre eux n'as de famille donc pas de remord a les tuer. Mais il y a encore un aucun a prendre compte, aucun metal.... Merde, mais je veut pas mourir Ashern doit etre loin, ma force physique, n'est pas execptionnel, que faire.....*
Il se releva et s'assit contre le mur et se mit a regarder le noir devant lui....

Rien ne se passait, au bout de plusieurs heures, Richard s'accomodait peu à peu à la lumière et parvint à entrevoir quelques formes, il trouva même la porte, qui était en bois et ne comportait aucune ouverture.

La pièce était parfaitement propres, elle vait du être construite spécialement pour des résidants spéciaux comme il l'était e n'avoir jamais servi.

Il se releva et dit:

"Les portes quelle, quelle soit ne retiennent jamais bien longtemps les Ecossais."

Il se cala contre le mur, arqua ses jambes et courut droit sur la porte.... Et s'y ecrasa violament, la porte avait ressentis le choc, mais n'avait pas broncher. Richard quand a luio c'etait presque instantement raidit sous le choc et tomba en ariére a la maniére d'une planche de bois dans un gros "Boum". Sa main commença a se deplacer a ntaton chechant la fiasque a whisky, du puzzle mille piéce auqelle elle apartenait. Les yeux fermé, il ser rendit compte que la fiasque etait absente. Il rouvrit brutallement les yeux et dit:

"Ah, les bougres d'anes...."

Il se releva et s'avanca au plus pret de la porte, contre laquelle sont nez se retroussa sous l'imonde, l'atroce, l'insuportable.....

"Par tous les saints, mon dieu, le sacrilége du Chene Anglais, damned...."

Il se mit a crier:

"Deja que le coup de la fiasque, vous couterez la vie, le chene anglais sa c'est le piurgatoire direct... Allez en enfer, chiens de ricains....."

Il se remit a tapper de toute ses forces contre la porte.....

*C'est elle ou moi, pensa-t-il, je suis Ecossais, mes ancetre faisait s'effondré les Fort Anglais a coup de poing.*

HJ: J'ai pensé qu'ecrire la suite la suite serait deplacer, a vous de choisir si la porte tient ou pas....

HJ : tu t'es arrété là où il fallait, c'est parfais.

Au bout d'un long moment, Richard entendit des cliquetis, la porte s'ouvrait. Mais aucune lumière ne pénétra dans la pièce un dinosaure humain était dans l'encadrure, le genre de personne qui fait penser à cette celèbre citation : "Quand certaines personnes de 100 Kg parlent, les personnes de 6O Kg les écoutent."

Richard le regarda perplexe et dit:

"Fallait pas vous déranger, mon seigneur. Pourquoi t'en d'effort..... Retourner vous reposez, mon seigneur..... "

Il recula, passa les main dans le dos et commenca a prier dans sa tête:

*Seigneur vous qui etes au cieux, que votre nom soit sanctifier, que votre règne vienne sur Terre, comme dans les cieux.... Pardonner moi de mes péchés et si vous plait faite que cette brute ne soit pas anglais....*

Il serrat les poings et regarda l'homme droit dans les yeux et dit:

"Euh... Euh... Vous me voulez quoi, monseigneur? Non, parce que vut votre ramage, si je me rapporte a votre plumage, vous etes l'hote de ses bois.....

Il sourit niasement et se dit interieurement:

*Tu croit que ces le moment pour faire de l'humour?....*

John Caffey fit un pas en avant, la lumière penétra enfin dans la pièce, Richard était ebloui et fut obligé de fermer les yeux.

"Fais pas le plus malin avec moi, tu n'es pas en position de force mon ami."

Il attrape les haillons de Richard et le souleva 10 cm au dessus du sol,

"On va être sympa si tu fais pas de vagues, tu pourras même prendre une douche et changer de... vêtements."

Richard sourit et dit:

"Je suppose que pars sympas vous atrtendez me laisser dissequer...."

*A se prix la je prefere pas, pensa-il...*

Il regarda l'homme et comprit, c'etait une abruti, un simple executant, il e savait rien, il obeisser, cela voulez dire deux chose il avait une chance et le grand patron devant etre une ordure. Il reflechit et dit:

"J'aime bien, mes vetements et mon odeur, ne me derange pas... Quant a me faire dissequer ezn silence je ne suis pas vraiment pour...."

Il regarda droit dans les yeux et dit:

"Je me calmerais un peu si, tu m'amene a manger et a boire..."

*Pour vie qui soit assez bete pour m'amener du fer...*

Il le regarda dans un aire de defis, il savait que cela allais finir par faire ceder sa volonté. Il avait certainement etaity envoyer pour s'arranger avec le mutant, donc il ne lui ferais pas de mal. Où une chance sur dix....

"Non"

Le mot avait été laché comme une violente claque et fit le même effet qu'une vrai à Richard.

"Je dois t'emmener voir celui avec qui tu es venu ici."

Il attrapa Argent-Men et le traina jusqu'à la salle d'interrogatoire.

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