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- Jason RedclifOnyX
- Age : 34
Nom de code : Tatoo
Date d'inscription : 21/01/2009
des longueurs contre les langueurs
Lun 12 Oct 2009 - 19:26
Au début, à leur retour, jason avait froid.. tout le temps.. par contraste. Ca lui fournissait d'ailleurs une bonne excuse pour réclamer un peu de chaleur corporelle à son amant. Et puis, petit à petit, son corps s'était de nouveau acclimaté à la température locale, de même que son esprit s'acclimatait aux nouvelles du monde mutant et humain.
Il avait besoin de s'abrutir de sport, et de sentir glisser sur lui l'eau et les émotions. C'est donc tout naturellement qu'il se dirigea vers la piscine, afin de profiter de cette journée ensoleillée. Dans à peine deux mois, ce ne serait sans doute plus possible. Espérant secrètement qu'un ou une casse pied viendrait rompre sa solitude sportive, il se deshabilla, et plongea. Enfin... fit un superbe plat, car il n'etait pas du tout concentré sur son plongeon. Bon.. ben maintenant, plus qu'a faire du crawl, le temps que la rougeur disparaisse de sa poitrine et son ventre... La douleur avait eut au moins le mérite de le recentrer.
C'est avec une certaine délectation qu'il se mit à faire des longueurs, sentant son rythme cardiaque s'accélérer, l'eau glisser sur lui, et ses pensées se remettrent à tournoyer. Il y avait un problème qui commençait à le tourmenter. Luther. Bien sur c'était toujours génial avec lui, au lit. ou .. ailleurs.. Mais ça ne suffisait pas.. ça ne suffisait plus à jason, il voulait plus, il voulait partager autre chose que leurs ébats physiques et ne savait pas comment aborder la question avec le québécois. Surtout que ce dernier avait tendance à ne pas être très expensif dès qu'il sagissait de sentiments. Jason savait pertinament que luther avait été traumatisé, au même titre que la plupart des étudiants, sur genosha, mais il faisait comme d'habitude, affichant son superbe sourire à qui voulait bien le voir. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'il remettait LA discussion à plus tard, trouvant toujours une bonne excuse.. Comme maintenant, la, par exemple... Faut dire qu'a chaque fois qu'il se sentait pret à mettre les pieds dans le plat, luther, lui, mettait sa main sur ses hanches ou .. ailleurs.. et.. bref.. ça partait sur autre chose...
Il avait évité comme la peste la cuisine, chippant honteusement à jeremiah des morceaux de ses réserves, car il avait du mal à ne plus voir Hjordis aux fourneaux.. Quant au foyer, même si c'était l'occasion parfaite pour se sentir moins seul, en fin de compte... il ne s'y sentait pas à l'aise. Les "nouveaux" était très simpa et Jason était heureux qu'ils amènnent leur énergie et leur bon vouloir dans les murs de l'institut. Il avait eut ainsi de nouveaux sujets d'etudes pour son projet de portrait, même si il ne s'était pas encore lancé la dedans.
Les études.. IL avait ENFIN pu s'inscrire en arts plastiques, en dehors de l'école, et ça lui procurait autant de plaisir que naguère. IL avait pris en plus une option arts appliqués, histoire de pas perdre ce qu'il avait appris avant.
Fatigué, il se mit sur le dos, en flotaison, matérialisant un petit coussin psychique, les bras croisés, les jambes s'agitant mollement pour garder son assiette, et se laissa bercer par l'eau et le soleil.
Il avait besoin de s'abrutir de sport, et de sentir glisser sur lui l'eau et les émotions. C'est donc tout naturellement qu'il se dirigea vers la piscine, afin de profiter de cette journée ensoleillée. Dans à peine deux mois, ce ne serait sans doute plus possible. Espérant secrètement qu'un ou une casse pied viendrait rompre sa solitude sportive, il se deshabilla, et plongea. Enfin... fit un superbe plat, car il n'etait pas du tout concentré sur son plongeon. Bon.. ben maintenant, plus qu'a faire du crawl, le temps que la rougeur disparaisse de sa poitrine et son ventre... La douleur avait eut au moins le mérite de le recentrer.
C'est avec une certaine délectation qu'il se mit à faire des longueurs, sentant son rythme cardiaque s'accélérer, l'eau glisser sur lui, et ses pensées se remettrent à tournoyer. Il y avait un problème qui commençait à le tourmenter. Luther. Bien sur c'était toujours génial avec lui, au lit. ou .. ailleurs.. Mais ça ne suffisait pas.. ça ne suffisait plus à jason, il voulait plus, il voulait partager autre chose que leurs ébats physiques et ne savait pas comment aborder la question avec le québécois. Surtout que ce dernier avait tendance à ne pas être très expensif dès qu'il sagissait de sentiments. Jason savait pertinament que luther avait été traumatisé, au même titre que la plupart des étudiants, sur genosha, mais il faisait comme d'habitude, affichant son superbe sourire à qui voulait bien le voir. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'il remettait LA discussion à plus tard, trouvant toujours une bonne excuse.. Comme maintenant, la, par exemple... Faut dire qu'a chaque fois qu'il se sentait pret à mettre les pieds dans le plat, luther, lui, mettait sa main sur ses hanches ou .. ailleurs.. et.. bref.. ça partait sur autre chose...
Il avait évité comme la peste la cuisine, chippant honteusement à jeremiah des morceaux de ses réserves, car il avait du mal à ne plus voir Hjordis aux fourneaux.. Quant au foyer, même si c'était l'occasion parfaite pour se sentir moins seul, en fin de compte... il ne s'y sentait pas à l'aise. Les "nouveaux" était très simpa et Jason était heureux qu'ils amènnent leur énergie et leur bon vouloir dans les murs de l'institut. Il avait eut ainsi de nouveaux sujets d'etudes pour son projet de portrait, même si il ne s'était pas encore lancé la dedans.
Les études.. IL avait ENFIN pu s'inscrire en arts plastiques, en dehors de l'école, et ça lui procurait autant de plaisir que naguère. IL avait pris en plus une option arts appliqués, histoire de pas perdre ce qu'il avait appris avant.
Fatigué, il se mit sur le dos, en flotaison, matérialisant un petit coussin psychique, les bras croisés, les jambes s'agitant mollement pour garder son assiette, et se laissa bercer par l'eau et le soleil.
- Charis HeldOnyX
- Age : 31
Equipe : OryX
Nom de code : Liquid
Date d'inscription : 26/12/2008
Re: des longueurs contre les langueurs
Lun 12 Oct 2009 - 20:18
La piscine... Quel endroit serait plus adapté qu'un trou avec de l'eau? Ok, c'était très résumé, mais elle n'avait pas besoin de plus que ça pour se détendre un minimum. Quoique pour Charis, il ne s'agissait pas de faire du barbotage mais plutôt de s'entraîner un minimum. Les longues vacances lui avait servie au moins pour ce qui était du sport. Un petit détour par chez papa pour se délecter des glaciers et de quelques descentes proches de la folie furieuse en snowboard, Enfin pour les coins praticable, parce que pour le reste, c'était plutôt chaise longue dans les alpages avec verre de jus de fruits sous la main.
D'ailleurs, à ce titre, elle avait scrupuleusement éviter tous les sujets tendus avec son père. Même si les question fusaient, il valait mieux s'en détacher le plus possible. Elle était allée passer une seule semaine en Suisse pour prouver qu'elle allait bien physiquement. Moralement... Elle n'allait pas en parler à son père pour lui filer des ennuis supplémentaires. Et puis il fallait bien avouer que la fondue de mémé, même en plein été, c'était juste le pied complet. Seul bémol, elle n'avait pas parlé d'Abaigh. Une vieille crainte de voir les gens mal prendre le fait qu'elle soit tombée sous le charme d'une fille... Comment son père aurait pu le prendre? Elle n'avait pas envie de le savoir pour le moment. Il n'empêchait qu'elle se sentait coupable vis-à-vis d'Abaigh de ne pas l'avoir présentée à mémé Held qui aurait sans doute apprécié de faire découvrir sa fondue à quelqu'un d'autre. Mais enfin...
De toute manière, pour le moment, elle préférait les vacances à l'Institut, là où elle pouvait utiliser par moment ses pouvoirs sans avoir se demander si elle devait se mettre à courir dès que quelqu'un la surprenait en plein petit jeu. Ici au moins, entre mutants, on pouvait plus facilement se comprendre. Dire que l'hiver dernier, elle avait au contraire redouté cette proximité avec des gens aux pouvoirs qu'elle pouvait parfois juger effrayants, mais là... Adieu les soucis superficiels!
En maillot deux pièces façon sport, avec un bas qui ressemblait d'ailleurs plus à un short qu'autre chose, Charis s'avançait vers la piscine, une serviette posée sur l'épaule pour constater qu'il y avait déjà quelqu'un sur place. Ah ben tien! Jason en maillot de bain... Il n'y avait pas à dire, certains garçons de l'Institut étaient vraiment bien faits. Charis aussi, elle voulait des plaquettes de chocolat! Mais elle ne perdait pas espoir.
"Salut!"
Elle fit un signe de la main et abandonna sa serviette un peu plus loin par terre, pour s'assoir sur le bord du bassin et laisser ses jambes traîner dans l'eau.
"Je te déranges pas, j'espère?"
D'ailleurs, à ce titre, elle avait scrupuleusement éviter tous les sujets tendus avec son père. Même si les question fusaient, il valait mieux s'en détacher le plus possible. Elle était allée passer une seule semaine en Suisse pour prouver qu'elle allait bien physiquement. Moralement... Elle n'allait pas en parler à son père pour lui filer des ennuis supplémentaires. Et puis il fallait bien avouer que la fondue de mémé, même en plein été, c'était juste le pied complet. Seul bémol, elle n'avait pas parlé d'Abaigh. Une vieille crainte de voir les gens mal prendre le fait qu'elle soit tombée sous le charme d'une fille... Comment son père aurait pu le prendre? Elle n'avait pas envie de le savoir pour le moment. Il n'empêchait qu'elle se sentait coupable vis-à-vis d'Abaigh de ne pas l'avoir présentée à mémé Held qui aurait sans doute apprécié de faire découvrir sa fondue à quelqu'un d'autre. Mais enfin...
De toute manière, pour le moment, elle préférait les vacances à l'Institut, là où elle pouvait utiliser par moment ses pouvoirs sans avoir se demander si elle devait se mettre à courir dès que quelqu'un la surprenait en plein petit jeu. Ici au moins, entre mutants, on pouvait plus facilement se comprendre. Dire que l'hiver dernier, elle avait au contraire redouté cette proximité avec des gens aux pouvoirs qu'elle pouvait parfois juger effrayants, mais là... Adieu les soucis superficiels!
En maillot deux pièces façon sport, avec un bas qui ressemblait d'ailleurs plus à un short qu'autre chose, Charis s'avançait vers la piscine, une serviette posée sur l'épaule pour constater qu'il y avait déjà quelqu'un sur place. Ah ben tien! Jason en maillot de bain... Il n'y avait pas à dire, certains garçons de l'Institut étaient vraiment bien faits. Charis aussi, elle voulait des plaquettes de chocolat! Mais elle ne perdait pas espoir.
"Salut!"
Elle fit un signe de la main et abandonna sa serviette un peu plus loin par terre, pour s'assoir sur le bord du bassin et laisser ses jambes traîner dans l'eau.
"Je te déranges pas, j'espère?"
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: des longueurs contre les langueurs
Lun 12 Oct 2009 - 20:29
Le rythme semblait redevenir le même que celui de l'avant Génosha. La vie reprenait son cours lentement. De nouveaux étaient arrivés à l'Institut, d'autres étaient partis. Des "figures" pour lui comme Anna ou Ivy. Une habitude de l'île lui était pourtant restée même si initialement elle lui venait de la chaleur : se tremper les pieds dans l'eau.
Il arriva donc à la piscine avec son sac à dos, même si la température extérieure était loin d'être exagérément chaude. Il faisait encore un peu trop chaud au goût de Kala, mais c'était acceptable. Se détendre les petons dans l'eau serait très agréable en cet après-midi ensoleillé. D'ailleurs Jason se reposait dans la piscine, sur le dos, les bras croisés. Il devait réfléchir à des choses importantes ou essayer de faire le vide. Il y avait aussi Charis, assise au bord. Elle venait d'arriver surement.
L'Inuit lança un petit "coucou" timide pour ne pas trop les déranger, puis remonta son panta-court jusqu'au genoux avant de s'asseoir au bord de l'eau pour tremper ses jambes, pas trop loin de la jeune fille, mais pas trop près non plus. Il les remua lentement pour sentir les pressions de la force liquide s'appliquer et lui masser doucement les pieds. Il observa un instant le corps musclé de Jason et se dit qu'il était loin d'être comme ça. Peut être que Kitty aimerait ? Kala était loin d'être athlétique. Mais il n'était pas non plus gras. Il était assez mince étant donné le peu qu'il mangeait. Il sortit d'ailleurs de son sac à dos son paquet de biscuits ronds fourrés au chocolat et en mordilla pensivement un en regardant ses pieds remuer.
Kitty et lui devaient se retrouver un peu plus tard dans l'après-midi. Mais peut-être qu'elle se lasserait de son absence ? Leur relation avait évolué dans le sens où ils avaient connu leurs premières disputes. Kalalli était loin de porter la culotte dans le couple. Il n'aimait pas donner des ordres et n'avait pas la force de faire la tête bien longtemps. Il préférait être dans une situation calme et oublier ou ignorer ce qui n'allait pas. C'était simplement une tolérance à l'erreur aussi. L'Inuit essayait d'éviter les situations qu'il savait conflictuelles. Les filles parfois, ça s'énervait sans raison. Puis ça faisait beaucoup la tête pour se faire courir après. Bref, c'était très compliqué.
Mais c'était tellement agréable de savoir quelque part que quelqu'un attendait de nous voir avec impatience. Qu'on pensait à nous. Qu'on s'inquiétait de façon sincère pour soit. Qu'on prenne soin de l'autre. La découverte d'une tendresse charnelle autre que maternelle qui avait des effets sur le corps encore très gênants même si c'était dissimulable. Kitty ne devait rien avoir remarqué. Enfin il l'espérait.
Il arriva donc à la piscine avec son sac à dos, même si la température extérieure était loin d'être exagérément chaude. Il faisait encore un peu trop chaud au goût de Kala, mais c'était acceptable. Se détendre les petons dans l'eau serait très agréable en cet après-midi ensoleillé. D'ailleurs Jason se reposait dans la piscine, sur le dos, les bras croisés. Il devait réfléchir à des choses importantes ou essayer de faire le vide. Il y avait aussi Charis, assise au bord. Elle venait d'arriver surement.
L'Inuit lança un petit "coucou" timide pour ne pas trop les déranger, puis remonta son panta-court jusqu'au genoux avant de s'asseoir au bord de l'eau pour tremper ses jambes, pas trop loin de la jeune fille, mais pas trop près non plus. Il les remua lentement pour sentir les pressions de la force liquide s'appliquer et lui masser doucement les pieds. Il observa un instant le corps musclé de Jason et se dit qu'il était loin d'être comme ça. Peut être que Kitty aimerait ? Kala était loin d'être athlétique. Mais il n'était pas non plus gras. Il était assez mince étant donné le peu qu'il mangeait. Il sortit d'ailleurs de son sac à dos son paquet de biscuits ronds fourrés au chocolat et en mordilla pensivement un en regardant ses pieds remuer.
Kitty et lui devaient se retrouver un peu plus tard dans l'après-midi. Mais peut-être qu'elle se lasserait de son absence ? Leur relation avait évolué dans le sens où ils avaient connu leurs premières disputes. Kalalli était loin de porter la culotte dans le couple. Il n'aimait pas donner des ordres et n'avait pas la force de faire la tête bien longtemps. Il préférait être dans une situation calme et oublier ou ignorer ce qui n'allait pas. C'était simplement une tolérance à l'erreur aussi. L'Inuit essayait d'éviter les situations qu'il savait conflictuelles. Les filles parfois, ça s'énervait sans raison. Puis ça faisait beaucoup la tête pour se faire courir après. Bref, c'était très compliqué.
Mais c'était tellement agréable de savoir quelque part que quelqu'un attendait de nous voir avec impatience. Qu'on pensait à nous. Qu'on s'inquiétait de façon sincère pour soit. Qu'on prenne soin de l'autre. La découverte d'une tendresse charnelle autre que maternelle qui avait des effets sur le corps encore très gênants même si c'était dissimulable. Kitty ne devait rien avoir remarqué. Enfin il l'espérait.
- Jason RedclifOnyX
- Age : 34
Nom de code : Tatoo
Date d'inscription : 21/01/2009
Re: des longueurs contre les langueurs
Mer 14 Oct 2009 - 13:06
Interrompu dans sa rêverie, Jason se retourna un peu trop précipitemment et bu une bonne gorgée d'eau légèrement chlorée...
"kof kof" reprenant son souffle, il avisa Charis, l'hydrokinesiste et accessoirement petite amie de son ex coéquipière. Il n'avait pas vraiment eut l'occasion de discutter avec elle. Il l'a connaissait, comme tous les jeunes de l'institut et avait partagé des moments aux foyer avec elle et bien sur Abaigh parlait d'elle de façon élogieuse, mais en quelque sorte il n'avait pas eut l'occasion lui même d'apprécier la jeune fille.
"nonon tu me déranges pas du tout, t'inquietes". Il fit une petite brasse coulée pour se rapprocher d'elle, lui souriant à pleine dent. Très jolie fille au demeurant, abaigh avait gagné le premier prix !
"alors, ces vacances, c'était chouette ? je connais pas ton coin.. et je suis pas très doué pour tout ce qui est glisse sur neige, mais ça doit être plutôt chouette..." il se rapprocha et mis ses coudes sur le bord de la piscine, proche des jambes de charis.
Sur ces entrefaits, le ptit inuit arrivait, avec son air timide habituel. Jason lui sourit à son tour, ce ptit bonhomme allait faire des ravages dans quelques années.
"salut, toi ! comment ça va ? et kitty ? tout roule ? t'es de plus en plus craquant tu sais ? je te donne pas 3 ans avant de briser les espoirs des filles et des garçons du coin" fit il avec un clin d'oeil malicieux.
"faut profiter du soleil tant qu'il y en a.. Et toi charis, l'abeille te fait pas trop tourner la tête ? remarque j'ai beau jeu de dire ça, avec mon québécois..." il fit alors une moue, assez indéfinissable. Pour masquer sa gêne, il s'immergea totalement dans l'eau, puis une fois le fond touché, donna une bonne impulsion afin d'avoir l'élan nécéssaire pour sortir en se servant de ses mains, en appuis sur le parapet. Il alla alors se caler de la meme façon que charis et kalali, les yeux un peu flous...
"kof kof" reprenant son souffle, il avisa Charis, l'hydrokinesiste et accessoirement petite amie de son ex coéquipière. Il n'avait pas vraiment eut l'occasion de discutter avec elle. Il l'a connaissait, comme tous les jeunes de l'institut et avait partagé des moments aux foyer avec elle et bien sur Abaigh parlait d'elle de façon élogieuse, mais en quelque sorte il n'avait pas eut l'occasion lui même d'apprécier la jeune fille.
"nonon tu me déranges pas du tout, t'inquietes". Il fit une petite brasse coulée pour se rapprocher d'elle, lui souriant à pleine dent. Très jolie fille au demeurant, abaigh avait gagné le premier prix !
"alors, ces vacances, c'était chouette ? je connais pas ton coin.. et je suis pas très doué pour tout ce qui est glisse sur neige, mais ça doit être plutôt chouette..." il se rapprocha et mis ses coudes sur le bord de la piscine, proche des jambes de charis.
Sur ces entrefaits, le ptit inuit arrivait, avec son air timide habituel. Jason lui sourit à son tour, ce ptit bonhomme allait faire des ravages dans quelques années.
"salut, toi ! comment ça va ? et kitty ? tout roule ? t'es de plus en plus craquant tu sais ? je te donne pas 3 ans avant de briser les espoirs des filles et des garçons du coin" fit il avec un clin d'oeil malicieux.
"faut profiter du soleil tant qu'il y en a.. Et toi charis, l'abeille te fait pas trop tourner la tête ? remarque j'ai beau jeu de dire ça, avec mon québécois..." il fit alors une moue, assez indéfinissable. Pour masquer sa gêne, il s'immergea totalement dans l'eau, puis une fois le fond touché, donna une bonne impulsion afin d'avoir l'élan nécéssaire pour sortir en se servant de ses mains, en appuis sur le parapet. Il alla alors se caler de la meme façon que charis et kalali, les yeux un peu flous...
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Mer 14 Oct 2009 - 18:19
Alixtide revenait tranquillement de sa promenade gastronomique dans le quartier. Il avait visité les poubelles et les caniveaux. Il portait bien évidemment certains vêtements-reliques qu'il affectionnait : la culotte et le débardeur sport de Georgia, une salopette d'égoutier qu'il avait mis en culture dans le fond d'un conteneur à déchets ménagers, le gilet de sauvetage trouvé dans les ruines de Génosha, et une paire de chaussures volées dans un sac de récolte de vêtement, normalement destiné à une association de charité.
Ses cheveux étaient gras, huileux, sa figure entièrement noircie de cirage en couches épaisses, et ses bras nus maculés de crasse et de tâches. De lui exhalait bien sûr une odeur indescriptible de décharge millénaire.
Le Breton étouffa un rot de satisfaction digestive, puis fureta un peu autour du portail de l'Institut, en quête de journaux frais. Malheureusement il n'y avait rien pour l'heure. Soit on avait déjà fait la récolte, soit le facteur n'était pas passé. Le jeune homme attendait impatiemment la publication de son nom dans le journal de Paul Van Paul.
Il prolongea sa promenade jusqu'à la piscine, et fut on ne sait pourquoi intéressé par la présence de trois morceaux de couples. Jason, Charis et Kalalli. Alixtide se dirigea donc résolument vers eux.
Ils étaient alignés sur le bord du bassin et trempaient leurs pieds. Notre Breton crut bon de les héler. Il se frappa le front.
"Oh purin ! J'avais oublié la corvée de piscine !! Venez m'aider Gason, Charisse et Kalkuli !"
Et sans autre transition il se mit à courir, et comme si ça vie en dépendait il fit un saut vertigineux dans la piscine, crevant bientôt de tout son poids la calme surface de l'eau.
Ses cheveux étaient gras, huileux, sa figure entièrement noircie de cirage en couches épaisses, et ses bras nus maculés de crasse et de tâches. De lui exhalait bien sûr une odeur indescriptible de décharge millénaire.
Le Breton étouffa un rot de satisfaction digestive, puis fureta un peu autour du portail de l'Institut, en quête de journaux frais. Malheureusement il n'y avait rien pour l'heure. Soit on avait déjà fait la récolte, soit le facteur n'était pas passé. Le jeune homme attendait impatiemment la publication de son nom dans le journal de Paul Van Paul.
Il prolongea sa promenade jusqu'à la piscine, et fut on ne sait pourquoi intéressé par la présence de trois morceaux de couples. Jason, Charis et Kalalli. Alixtide se dirigea donc résolument vers eux.
Ils étaient alignés sur le bord du bassin et trempaient leurs pieds. Notre Breton crut bon de les héler. Il se frappa le front.
"Oh purin ! J'avais oublié la corvée de piscine !! Venez m'aider Gason, Charisse et Kalkuli !"
Et sans autre transition il se mit à courir, et comme si ça vie en dépendait il fit un saut vertigineux dans la piscine, crevant bientôt de tout son poids la calme surface de l'eau.
- Charis HeldOnyX
- Age : 31
Equipe : OryX
Nom de code : Liquid
Date d'inscription : 26/12/2008
Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 15 Oct 2009 - 2:03
Ah, mince... Le but n'était pas de faire boire la tasse à Jason. Bon ben la prochaine fois elle tâchera de trouver un moyen moins étouffant de signaler son arrivée. Elle lui lança un petit sourire crispé, désolée de l'avoir sorti aussi brutalement de ses pensées. Il n'empêche, elle le connaissait si peu... Quant à son petit ami, Luther, c'était... Comment dire... Elle l'appréciait beaucoup, il était courageux, efficace, tout le contraire de Charis! Et surtout, il avait été blessé parce qu'elle n'avait pas été foutue de gérer convenablement une mission. Mouais, il lui faudrait peut-être encore un peu de temps avant de pouvoir à nouveau regarder Luther en face. Mais bon, il n'était pas là, et elle devait apprendre à connaître Jason plus que ce qu'elle en savait ou en avait vu.
Au moins, elle ne dérangeait pas. Il y avait du bon. Rassurée, elle se contenta d'agiter un peu ses pieds dans l'eau. C'était frais! La prochaine étape serait de s'y glisser entièrement. Ouais, le soleil était quand même mieux pour le moment. Quant au sujet des vacances, hm... Chouette, c'était le mot. Même si les défis et la compétition lui manquaient un peu. C'était moins drôle de se faire des sauts seule quand on pouvait le faire à plusieurs avec les commentaires et les rires qui s'en suivaient.
"C'était bien! Mais je n'ai pas vu beaucoup la neige. En montagne aussi on se dore la pilule sur un transat, même si la terrasse d'un chalet remplace le sable et la mer. Il n'empêche, c'était bon de retrouver un peu les pistes."
Et puis revoir la grand-mère aussi active qu'à ses soixante-dix ans, ça valait le détour. A croire que le temps n'avait pas d'emprise sur elle.
"Et toi? Il paraît que tu as repris les cours, je me trompe? C'est comment?"
Charis avait aussi les oreilles qui traînaient, de temps à autre. Mais comme disait mémé, tant que personne s'encouble dessus, elles peuvent aller partout. Entre temps, Kalalli était arrivé, pour s'assoir non loin d'eux, avec des biscuits au chocolat... Non, Charis, ne soit pas faible, tu t'es envoyé un demi-kilo de 75% à la montagne pendant les vacances, c'est pas raisonnable... Elle lui rendu son salut, avec un large sourire. La piscine rencontrait des adeptes! D'ailleurs, il valait mieux qu'elle se mette à l'eau. Et hop! Une hydrokinésiste à la maison ou presque. Tien, elle aurait dû demander à Abaigh de venir aussi. Dans un joli maillot de bain. Ah non, on chasse les pensées qui n'ont rien à voir avec le contexte. Et puis de toute manière, qu'est-ce qu'elle pourrait en faire, elle, l'inculte de la tendresse un peu trop poussée?
Charis glissa la tête sous l'eau avant de se laisser flottouiller en douceur vers l'Inuit. Dire qu'avec Kitty, ils formaient e plus jeune couple de l'Institut. C'était beau, cet âge où on pouvait se contenter d'aimer sans se prendre la tête sur comment passer à l'étape suivant! Il n'empêche que le commentaire de Jason sur l'aspect craquant de Kalalli manqua de faire rire la suissesse. Oh, il avait parfaitement raison, mais dit comme ça, et si on ignorait que Jason était avec Luther, ça aurait fait quand même séance de séduction cachée. Elle vint s'agripper au bord de la piscine, à côté de Kalalli.
"Pourquoi Kitty n'est pas venue profiter de l'eau avec toi?"
C'était vrai, ça! Bon, d'accord, les couples n'étaient pas censés être collés 24h sur 24, mais ils allaient tellement bien ensemble. Quant à la question de Jason. Abaigh... Ah la la. Jamais encore elle n'avait été aussi bien avec quelqu'un, mais... Ouais, il y avait toujours un "mais" dans toutes les situations. Tout un été en amoureuses et... Rien. En même temps, Charis trouvait facilement des excuses pour ne pas aller plus loin. ça l'angoissait quand même sérieusement. Peut-être qu'il n'était pas trop tard pour se faire nonne.
"Heu... Ben... C'est clair qu'Abaigh est moins... Démonstrative que Luther."
Ou peut-être que Charis manquait de charme pour ça. Ce devait être ça surtout.
Ils auraient pu parler encore longtemps d'histoires de couples si un étrange fumet n'était ps venu titiller leurs narines, suivit instantanément d'une expression unique en son genre, comme celui qui l'avait prononcé, d'ailleurs. Charis se reporta sur Alixtide au moment où il piquait un sprint. Attendez, il allait quand même pas sauter, ou bien? Si? La suissesse se glissa immédiatement sous l'eau le temps d'esquiver remouds et éclaboussures qui auraient pu lui faire boire la tasse. Et au moment de ressortir la tête, un gros dilemme... Fallait-il sortir de l'eau en toute urgence au risque de paraître franchement insultante ou valait mieux prendre un risque probablement inexistant en restant immobile? A voir...
"C'est gentil d'avoir averti!"
Au moins, elle ne dérangeait pas. Il y avait du bon. Rassurée, elle se contenta d'agiter un peu ses pieds dans l'eau. C'était frais! La prochaine étape serait de s'y glisser entièrement. Ouais, le soleil était quand même mieux pour le moment. Quant au sujet des vacances, hm... Chouette, c'était le mot. Même si les défis et la compétition lui manquaient un peu. C'était moins drôle de se faire des sauts seule quand on pouvait le faire à plusieurs avec les commentaires et les rires qui s'en suivaient.
"C'était bien! Mais je n'ai pas vu beaucoup la neige. En montagne aussi on se dore la pilule sur un transat, même si la terrasse d'un chalet remplace le sable et la mer. Il n'empêche, c'était bon de retrouver un peu les pistes."
Et puis revoir la grand-mère aussi active qu'à ses soixante-dix ans, ça valait le détour. A croire que le temps n'avait pas d'emprise sur elle.
"Et toi? Il paraît que tu as repris les cours, je me trompe? C'est comment?"
Charis avait aussi les oreilles qui traînaient, de temps à autre. Mais comme disait mémé, tant que personne s'encouble dessus, elles peuvent aller partout. Entre temps, Kalalli était arrivé, pour s'assoir non loin d'eux, avec des biscuits au chocolat... Non, Charis, ne soit pas faible, tu t'es envoyé un demi-kilo de 75% à la montagne pendant les vacances, c'est pas raisonnable... Elle lui rendu son salut, avec un large sourire. La piscine rencontrait des adeptes! D'ailleurs, il valait mieux qu'elle se mette à l'eau. Et hop! Une hydrokinésiste à la maison ou presque. Tien, elle aurait dû demander à Abaigh de venir aussi. Dans un joli maillot de bain. Ah non, on chasse les pensées qui n'ont rien à voir avec le contexte. Et puis de toute manière, qu'est-ce qu'elle pourrait en faire, elle, l'inculte de la tendresse un peu trop poussée?
Charis glissa la tête sous l'eau avant de se laisser flottouiller en douceur vers l'Inuit. Dire qu'avec Kitty, ils formaient e plus jeune couple de l'Institut. C'était beau, cet âge où on pouvait se contenter d'aimer sans se prendre la tête sur comment passer à l'étape suivant! Il n'empêche que le commentaire de Jason sur l'aspect craquant de Kalalli manqua de faire rire la suissesse. Oh, il avait parfaitement raison, mais dit comme ça, et si on ignorait que Jason était avec Luther, ça aurait fait quand même séance de séduction cachée. Elle vint s'agripper au bord de la piscine, à côté de Kalalli.
"Pourquoi Kitty n'est pas venue profiter de l'eau avec toi?"
C'était vrai, ça! Bon, d'accord, les couples n'étaient pas censés être collés 24h sur 24, mais ils allaient tellement bien ensemble. Quant à la question de Jason. Abaigh... Ah la la. Jamais encore elle n'avait été aussi bien avec quelqu'un, mais... Ouais, il y avait toujours un "mais" dans toutes les situations. Tout un été en amoureuses et... Rien. En même temps, Charis trouvait facilement des excuses pour ne pas aller plus loin. ça l'angoissait quand même sérieusement. Peut-être qu'il n'était pas trop tard pour se faire nonne.
"Heu... Ben... C'est clair qu'Abaigh est moins... Démonstrative que Luther."
Ou peut-être que Charis manquait de charme pour ça. Ce devait être ça surtout.
Ils auraient pu parler encore longtemps d'histoires de couples si un étrange fumet n'était ps venu titiller leurs narines, suivit instantanément d'une expression unique en son genre, comme celui qui l'avait prononcé, d'ailleurs. Charis se reporta sur Alixtide au moment où il piquait un sprint. Attendez, il allait quand même pas sauter, ou bien? Si? La suissesse se glissa immédiatement sous l'eau le temps d'esquiver remouds et éclaboussures qui auraient pu lui faire boire la tasse. Et au moment de ressortir la tête, un gros dilemme... Fallait-il sortir de l'eau en toute urgence au risque de paraître franchement insultante ou valait mieux prendre un risque probablement inexistant en restant immobile? A voir...
"C'est gentil d'avoir averti!"
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
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Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 15 Oct 2009 - 21:25
Retirant le biscuit de sa bouche, Kalalli releva les yeux vers Jason qui le saluait. Il lui répondit doucement :
" Ca va tranquillement. "
Tout simplement. Tant que ça n'allait pas mal, c'est qu'on allait à priori bien. Puis il demanda comment ça allait avec Kitty. Son regard changea sans doute un peu à la pensée de la petite télépathe. Il baissa les yeux en rougissant un peu et se contenta d'un simple :
" Ca va aussi. "
A croire qu'il en avait honte. Mais c'était évidemment tout le contraire. Il était fier d'être avec elle mais étrangement, il était toujours un peu gêné d'en parler. Sans doute parce que ça touchait quelque chose d'un peu plus personnel. Ou quelque chose auquel il tenait. Ou les deux !
Mais la suite par contre amplifia sa couleur pivoine. Jason venait de dire qu'il était craquant. Ca lui faisait plaisir d'avoir un compliment sur son physique en ces moments de remises en question face à l'autre. Avant il se moquait de ce que les autres pensaient de lui, tant qu'ils ne l'ennuyaient pas par rapport à ça. Mais maintenant que Kitty était avec lui, il ne voulait pas lui faire honte ou qu'elle le trouve ringard ou bien nul. Et puis il se demandait aussi pourquoi est-ce qu'elle l'aimait. Il était gentil, elle le lui disait souvent. Mais le physique devait jouer aussi non ?
Flatté par ce qui suivit, comme quoi il ferait chavirer bien des coeurs dans les années à venir, il essaya de rester concentrer sur l'objectif actuel à savoir Kit', et corrigea :
" Tant que je garde le coeur d'une personne en particulier, ça me va. " avant de remettre en bouche son biscuit qu'il grignotait volontairement très lentement pour l'économiser.
Charis se laissa porter jusqu'à lui alors que Jason s'asseyait comme eux au bord de l'eau et lui demanda pourquoi Kitty n'était pas venue avec lui. Un peu surpris, il lâcha juste un "Heu..." sans savoir trop quoi répondre. La jeune fille avait quelques trucs à faire. Ils se rejoindraient plus tard dans l'après midi lorsqu'elle aurait terminé. Lui ne voulait pas paraître collant à lui demander sans cesse ce qu'elle faisait. Et jaloux, encore moins, en demandant avec qui elle était. A part Thomas, personne n'avait réellement leur âge. Alors il n'avait pas grand chose à craindre.
Kala n'eut pas le temps de répondre qu'une bombe humaine se jetait à l'eau. Si ça avait été une personne quelconque, l'Inuit n'aurait pas réagi mais lorsque c'était Alixtide qui rentrait en contact avec l'eau, il valait mieux ne pas rester dedans ! Il leva donc les jambes en hâte comme une femme voyant une souris courir sous la table, mais sans le hurlement strident, et les plaça sur le bord de la piscine en rentrant la tête alors qu'il se faisait éclabousser par le porcin.
Charis était sous l'eau pour ne pas subir les remous de l'eau. Si dans quelques heures elle choppait des verrues, elle saurait pourquoi. L'eau bien que chlorée ne tarderait sans doute pas à jaunir ! Finissant son biscuit de deux coups de dents, Kalalli se frotta les bras pour étaler les gouttes afin qu'elles sèchent plus vite. Autant les jambes, il s'en moquait, mais les bras, il n'aimait pas les voir mouillés en dehors du contexte de lavage.
Surpris de voir Alixtide dans de l'eau qui pourrait le laver, il demanda, surpris et curieux :
" Tu prends ton bain annuel ? "
" Ca va tranquillement. "
Tout simplement. Tant que ça n'allait pas mal, c'est qu'on allait à priori bien. Puis il demanda comment ça allait avec Kitty. Son regard changea sans doute un peu à la pensée de la petite télépathe. Il baissa les yeux en rougissant un peu et se contenta d'un simple :
" Ca va aussi. "
A croire qu'il en avait honte. Mais c'était évidemment tout le contraire. Il était fier d'être avec elle mais étrangement, il était toujours un peu gêné d'en parler. Sans doute parce que ça touchait quelque chose d'un peu plus personnel. Ou quelque chose auquel il tenait. Ou les deux !
Mais la suite par contre amplifia sa couleur pivoine. Jason venait de dire qu'il était craquant. Ca lui faisait plaisir d'avoir un compliment sur son physique en ces moments de remises en question face à l'autre. Avant il se moquait de ce que les autres pensaient de lui, tant qu'ils ne l'ennuyaient pas par rapport à ça. Mais maintenant que Kitty était avec lui, il ne voulait pas lui faire honte ou qu'elle le trouve ringard ou bien nul. Et puis il se demandait aussi pourquoi est-ce qu'elle l'aimait. Il était gentil, elle le lui disait souvent. Mais le physique devait jouer aussi non ?
Flatté par ce qui suivit, comme quoi il ferait chavirer bien des coeurs dans les années à venir, il essaya de rester concentrer sur l'objectif actuel à savoir Kit', et corrigea :
" Tant que je garde le coeur d'une personne en particulier, ça me va. " avant de remettre en bouche son biscuit qu'il grignotait volontairement très lentement pour l'économiser.
Charis se laissa porter jusqu'à lui alors que Jason s'asseyait comme eux au bord de l'eau et lui demanda pourquoi Kitty n'était pas venue avec lui. Un peu surpris, il lâcha juste un "Heu..." sans savoir trop quoi répondre. La jeune fille avait quelques trucs à faire. Ils se rejoindraient plus tard dans l'après midi lorsqu'elle aurait terminé. Lui ne voulait pas paraître collant à lui demander sans cesse ce qu'elle faisait. Et jaloux, encore moins, en demandant avec qui elle était. A part Thomas, personne n'avait réellement leur âge. Alors il n'avait pas grand chose à craindre.
Kala n'eut pas le temps de répondre qu'une bombe humaine se jetait à l'eau. Si ça avait été une personne quelconque, l'Inuit n'aurait pas réagi mais lorsque c'était Alixtide qui rentrait en contact avec l'eau, il valait mieux ne pas rester dedans ! Il leva donc les jambes en hâte comme une femme voyant une souris courir sous la table, mais sans le hurlement strident, et les plaça sur le bord de la piscine en rentrant la tête alors qu'il se faisait éclabousser par le porcin.
Charis était sous l'eau pour ne pas subir les remous de l'eau. Si dans quelques heures elle choppait des verrues, elle saurait pourquoi. L'eau bien que chlorée ne tarderait sans doute pas à jaunir ! Finissant son biscuit de deux coups de dents, Kalalli se frotta les bras pour étaler les gouttes afin qu'elles sèchent plus vite. Autant les jambes, il s'en moquait, mais les bras, il n'aimait pas les voir mouillés en dehors du contexte de lavage.
Surpris de voir Alixtide dans de l'eau qui pourrait le laver, il demanda, surpris et curieux :
" Tu prends ton bain annuel ? "
- Jason RedclifOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 16 Oct 2009 - 10:42
C'était assez agréable comme situation. Les pieds dans l'eau, barbotant, le soleil sur la peau, jason écoutant ses camarades, les yeux plissés et un sourire de satisfaction sur le visage. Il jeta un regard en coin à Kalali, amusé de le voir rougir et se reconnaissant quelque peu dans cette attitude il n'y a pas si longtemps. Charis lui demandait comment se passaient les cours..
"a vrai dire, ça me fait bizarre. Jveux dire... avant je faisais surtout de l'art appliqué, de la communication visuelle. Je faisais des portraits de temps en temps, j'ai même fait un tableau dont je suis à peu près satisfait, avant de venir à l'institut, mais rien de probant... Et puis sur genosha j'ai eut envie de peindre, de dessiner, pour .. j'sai pas... enlever un peu du moche que je voyais ? Alors quand on est rentré ici, j'ai inversé la tendance : cours d'arts plastiques, et option communication visuelle, pour pas perdre la main... Pour le moment c'est assez frustrant, car, comme avant, la moitié des profs adorent mon trait brouillé et l'autre me le reproche. J'ai croisé viconia plusieures fois la bas, mais malheureusement on est pas ensemble. Je vai me débrouiller pour prendre une UV ou deux optionnelles pour arranger ça, j'aimerai mieux la connaitre et ya rien de mieux pour ça que de faire de l'art ou un truc s'y approchant. Elle a l'air douée."
Ensuite, bien sur, étant donné que chaque représentant de leur petit groupe constituait finalement la moitié d'un couple ou un truc y ressemblant, les conversations tournaient fatalement à un moment ou un autre autour du sujet. "Ah ça, pour être démonstratif, il est démonstratif, luther... mais... jveux dire... c'est tellement frustrant. jveux dire, physiquement c'est le pied, et il est si beau... mais il m'ouvre pas son coeur, et tourne en dérision chacune de mes tentatives pour le faire, faisant semblant de pas entendre, ou détournant la conversation, ou me mettant la main .. euh.. enfin bref... je suis amoureux, mais je pense pas que ce soit réciproque.. ça me fait mal la " il mis la main rapidement près du coeur, puis haussa les épaules. "je suis un incorrigible romantique et je suis pas sur que ce soit compatible avec le fait d'etre un homo malheureusement..."
Avant de se ridiculiser, il préféra reporter son attention sur l'inuit, alors que charis s'immergeait dans l'eau. "c'est bien, kalali, jte félicite. C'est pas parceque tu es tout mimi qu'il faut te transformer en don juan... Par contre tu devrais pas bouffer trop de ces saloperues, c'est plein de..." il fut interrompu par un splatch retentissant, et une voix qu'il n'avait que trop bien reconnue, puisque c'était une des premières qu'il avait entendu en arrivant à l'institut.
Mu par un réflexe, comme si sa vie en dépendait, il retira prestement ces pieds de l'eau, se rappellant le BABA avec alixtide, comme le lui avait appris Camille.
"salut, le breton... corvée de piscine hein ? et je suppose que vraiment, tu fais ça de mauvais coeur ? Charis, je serai toi, je resterait pas la dedans, je suis pas sur que le chlore résiste très longtemps à Alix... et ensuite je suis pas sur que tu résiste très longtemps à ce que sera alors l'eau de la piscine." il soupira bruyamment. Au début il avait de la peine pour le breton, il se sentait lui même un peu minable de réagir comme ça, le fuyant plus ou moins. Il le pensait bien seul. Et puis, entre les commentaires de ses camarades, camille étant sans doute la plus virulente à l'époque, et bien que Georgia semblait s'être beaucoup rapprochée de lui, il avait vite compris que le porcher breton s'amusait beaucoup à tourmenter ses camarades en leur imposant sa.. euh.. dégueulasserie. Il était forcémment gagnant : si on ne disait rien, on subissait, si on répliquait, on était intolérant... Facile..
"désolé, alix, mais j'ai pas envie de jouer à ce jeu... bah.. j'aurai au moins pu profiter un peu de la piscine avant qu'elle soit complètement inutilisable, c'est déjà ça... A part cette fausse corvée ? quoi de neuf ?"
"a vrai dire, ça me fait bizarre. Jveux dire... avant je faisais surtout de l'art appliqué, de la communication visuelle. Je faisais des portraits de temps en temps, j'ai même fait un tableau dont je suis à peu près satisfait, avant de venir à l'institut, mais rien de probant... Et puis sur genosha j'ai eut envie de peindre, de dessiner, pour .. j'sai pas... enlever un peu du moche que je voyais ? Alors quand on est rentré ici, j'ai inversé la tendance : cours d'arts plastiques, et option communication visuelle, pour pas perdre la main... Pour le moment c'est assez frustrant, car, comme avant, la moitié des profs adorent mon trait brouillé et l'autre me le reproche. J'ai croisé viconia plusieures fois la bas, mais malheureusement on est pas ensemble. Je vai me débrouiller pour prendre une UV ou deux optionnelles pour arranger ça, j'aimerai mieux la connaitre et ya rien de mieux pour ça que de faire de l'art ou un truc s'y approchant. Elle a l'air douée."
Ensuite, bien sur, étant donné que chaque représentant de leur petit groupe constituait finalement la moitié d'un couple ou un truc y ressemblant, les conversations tournaient fatalement à un moment ou un autre autour du sujet. "Ah ça, pour être démonstratif, il est démonstratif, luther... mais... jveux dire... c'est tellement frustrant. jveux dire, physiquement c'est le pied, et il est si beau... mais il m'ouvre pas son coeur, et tourne en dérision chacune de mes tentatives pour le faire, faisant semblant de pas entendre, ou détournant la conversation, ou me mettant la main .. euh.. enfin bref... je suis amoureux, mais je pense pas que ce soit réciproque.. ça me fait mal la " il mis la main rapidement près du coeur, puis haussa les épaules. "je suis un incorrigible romantique et je suis pas sur que ce soit compatible avec le fait d'etre un homo malheureusement..."
Avant de se ridiculiser, il préféra reporter son attention sur l'inuit, alors que charis s'immergeait dans l'eau. "c'est bien, kalali, jte félicite. C'est pas parceque tu es tout mimi qu'il faut te transformer en don juan... Par contre tu devrais pas bouffer trop de ces saloperues, c'est plein de..." il fut interrompu par un splatch retentissant, et une voix qu'il n'avait que trop bien reconnue, puisque c'était une des premières qu'il avait entendu en arrivant à l'institut.
Mu par un réflexe, comme si sa vie en dépendait, il retira prestement ces pieds de l'eau, se rappellant le BABA avec alixtide, comme le lui avait appris Camille.
"salut, le breton... corvée de piscine hein ? et je suppose que vraiment, tu fais ça de mauvais coeur ? Charis, je serai toi, je resterait pas la dedans, je suis pas sur que le chlore résiste très longtemps à Alix... et ensuite je suis pas sur que tu résiste très longtemps à ce que sera alors l'eau de la piscine." il soupira bruyamment. Au début il avait de la peine pour le breton, il se sentait lui même un peu minable de réagir comme ça, le fuyant plus ou moins. Il le pensait bien seul. Et puis, entre les commentaires de ses camarades, camille étant sans doute la plus virulente à l'époque, et bien que Georgia semblait s'être beaucoup rapprochée de lui, il avait vite compris que le porcher breton s'amusait beaucoup à tourmenter ses camarades en leur imposant sa.. euh.. dégueulasserie. Il était forcémment gagnant : si on ne disait rien, on subissait, si on répliquait, on était intolérant... Facile..
"désolé, alix, mais j'ai pas envie de jouer à ce jeu... bah.. j'aurai au moins pu profiter un peu de la piscine avant qu'elle soit complètement inutilisable, c'est déjà ça... A part cette fausse corvée ? quoi de neuf ?"
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 16 Oct 2009 - 12:00
Alixtide surnageait, flotouillant dans son gilet de sauvetage dont le col lui arrivait au menton vu que le Breton l'avait mal fixé. Les cheveux ruisselants, il observait avec curiosité les volutes noires et sombres qui rayonnaient de lui dans l'eau claire et bleuté. Le combat de l'ombre contre la lumière. Le sourire vainqueur que le porcher adressa à Jason put confirmer à celui-ci sa théorie du comportement alixtidien.
Il fit quelques mouvements dans l'eau, provoquant à chaque fois de nouveaux remous brunâtres.
"Je teste mon pouvoir. J'avais envie de voir un peu jusqu'où il va maintenant. Mon pouvoir est invisible, donc c'est très dur de savoir."
Répondit-il à l'audacieux Kalalli qui avait replié ses jambes sur la terre ferme. Le Breton scruta les jambes du garçon avec un air sournois.
"Il va de plus en plus loin à ce que je purin vois. Purin, beaucoup plus loin qu'au tout début ! Je crois que c'est à forces des preuves qu'on nous fait passer à l'Institut. On rogne chaque jour en puissance. Qui de vous a rogné en puissance depuis qu'il est à l'Institut ?"
Le mutant porcher s'alarma soudain des avertissements de Jason pour Charis. Il essuya d'un revers de main la couche de cirage qui avait envahi son front et ses yeux.
"Non Charisse, reste car on doit se traîner à faire des combos de pouvoir. Pour être les plus efficaces en mission."
Et il fit signe à la jeune fille de s'approcher de lui. Il arrêta de bouger, alourdi par ses vêtements qui le traînaient au fond malgré le gilet de sauvetage. La question anodine de Jason avait certes désarçonné le Breton. C'était sans doute la première personne depuis longtemps à lui dire "quoi de neuf, à part les trucs dégueu que tu fais pour nous gâcher la vie ?". C'était une demande très paradoxale.
Aussi le Breton prit-il le temps de la réflexion, avec quelques œillades vers le corps athlétique de l'artiste. Il frotta ses bras pour en décoller la boue immonde et pâteuse.
"Voilà voilà, rien de neuf chez moi... Je... j'essaie de faire de la musculature..."
Et il observa ses bras suintants avec une certaine satisfaction, tout en vérifiant si Jason aussi regardait.
Il fit quelques mouvements dans l'eau, provoquant à chaque fois de nouveaux remous brunâtres.
"Je teste mon pouvoir. J'avais envie de voir un peu jusqu'où il va maintenant. Mon pouvoir est invisible, donc c'est très dur de savoir."
Répondit-il à l'audacieux Kalalli qui avait replié ses jambes sur la terre ferme. Le Breton scruta les jambes du garçon avec un air sournois.
"Il va de plus en plus loin à ce que je purin vois. Purin, beaucoup plus loin qu'au tout début ! Je crois que c'est à forces des preuves qu'on nous fait passer à l'Institut. On rogne chaque jour en puissance. Qui de vous a rogné en puissance depuis qu'il est à l'Institut ?"
Le mutant porcher s'alarma soudain des avertissements de Jason pour Charis. Il essuya d'un revers de main la couche de cirage qui avait envahi son front et ses yeux.
"Non Charisse, reste car on doit se traîner à faire des combos de pouvoir. Pour être les plus efficaces en mission."
Et il fit signe à la jeune fille de s'approcher de lui. Il arrêta de bouger, alourdi par ses vêtements qui le traînaient au fond malgré le gilet de sauvetage. La question anodine de Jason avait certes désarçonné le Breton. C'était sans doute la première personne depuis longtemps à lui dire "quoi de neuf, à part les trucs dégueu que tu fais pour nous gâcher la vie ?". C'était une demande très paradoxale.
Aussi le Breton prit-il le temps de la réflexion, avec quelques œillades vers le corps athlétique de l'artiste. Il frotta ses bras pour en décoller la boue immonde et pâteuse.
"Voilà voilà, rien de neuf chez moi... Je... j'essaie de faire de la musculature..."
Et il observa ses bras suintants avec une certaine satisfaction, tout en vérifiant si Jason aussi regardait.
- Charis HeldOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 16 Oct 2009 - 19:11
Heu... Bon ben c'était déjà un début de réponse! Après tout, les couples n'avaient pas de raison d'être systématiquement à deux partout. Jason et elle étaient bien venus faire trempette seuls après tout. Et puis Jason avait d'autres choses, donc Kalalli et Kitty aussi sûrement. En tous les cas, la suissesse eut une petite pensée pour Viconia et confirma d'un hochement de tête que la jeune fille était douée. Jason devait en tout cas apprécier ses cours, ça faisait plaisir à voir. Avec l'enfer qu'ils avaient tous vécu un peu de plaisir n'était pas de trop.
Mais elle e pu qu'être pensive quand il parla de sa relation avec Luther. Dire qu'en apparence ils avaient juste l'air parfaits ensemble... Hélas, rien n'était jamais irréprochable. Mais tout de même! Luther uniquement physique? Avec Abaigh, elles avaient de la tendresse, du romantisme, de la complicité, mais pour ce qui était du physique, en revanche, c'était pas encore ça. L'idéal serait donc un couple à cheval entre le sien et celui de Jason? Ah la la... C'était toujours compliqué ces choses-là. Surtout quand on y connaissait rien et qu'on découvrait les choses petit à petit. Charis préféra ne pas vraiment faire de commentaire. Après tout, elle pourrait en discuter avec Jason un peu plus tard, à l'écart. ça leur ferait du bien à tous les deux, peut-être.
Mais là, avec de jeunes oreilles et un truc qui a fait "splash" avec effets spéciaux en plus... Charis recula dans l'eau en réalisant qu'un truc sombre semblait s'étaler autour d'Alixtide. C'était dangereux ce truc-là? Non pas qu'elle craignait de tomber malade, mais les démangeaisons et les plaques rouges, c'était franchement désagréable. Et puis elle ne savait pas du tout si elle pouvait isolé un liquide dans un liquide. D'ailleurs Jason ne lui permit pas vraiment d'hésiter plus longtemps. Désolée de devoir agir de la sorte, et malgré la demande dAlixtide, Charis sorti de l'eau presque un peu trop précipitamment, mais resta au bord de la piscine.
"Je peux faire des combos depuis le plancher des vaches. En revanche, je ne sais pas si ton pouvoir pourrait me faire du mal. Désolée, Alix."
Le pire, c'était qu'elle était vraiment désolée. Si elle devait commencer par fuir un camarade pour pouvoir associer leurs pouvoirs, c'était pas terrible. Et quant à la question sur la puissance, c'était une très bonne question en fait! Charis réfléchit quelques instants. Elle contrôlait un peu mieux, c'était vrai. Et ses jets avaient gagné en force. Mais elle n'était pas encore satisfaite et conservait cette impression d'inutilité. Liam en était la preuve. La jambe de Niko et l'arcade de Luther aussi. Cette pensée lui arracha un frisson désagréable et elle s'accroupit au bord de l'eau qui peu à peu changeait de couleur. Bon ben pour la piscine, c'était compromis le temps que quelqu'un nettoie le bassin et change l'eau. Les élèves pouvaient le faire où seul un professionnel y avait le droit? Pendant un vague instant, Charis eut la vision d'un humain en short avec une perche, entrant à l'Institut pour faire son boulot et jetant des coups d'oeil inquiets autour de lui en se demandant ce qui pourrait lui tomber accidentellement dessus. Nan, aucun employé prudent ne voudrait venir travailler dans un environnement peuplé de mutants. Question de survie. Quoique, avec madame Shenzie...
Charis baissa les yeux sur l'eau, perplexe face à la tâche sombre. Elle se concentra un peu, histoire de voir si elle arrivait à faire reculer les émanations vaporeuses d'Alixtide dans l'eau. Rien ne se passa. Bon ben elle s'y prenait sans doute pas comme il fallait.
"Tu vas gagner en masse musculaire alors. Heu... tu voulais faire quoi comme combo? Des jets de produits hautement toxiques?"
Ce serait efficace en combat? Si ça faisait tourner de l'oeil des ennemis potentiels, pourquoi pas.
Mais elle e pu qu'être pensive quand il parla de sa relation avec Luther. Dire qu'en apparence ils avaient juste l'air parfaits ensemble... Hélas, rien n'était jamais irréprochable. Mais tout de même! Luther uniquement physique? Avec Abaigh, elles avaient de la tendresse, du romantisme, de la complicité, mais pour ce qui était du physique, en revanche, c'était pas encore ça. L'idéal serait donc un couple à cheval entre le sien et celui de Jason? Ah la la... C'était toujours compliqué ces choses-là. Surtout quand on y connaissait rien et qu'on découvrait les choses petit à petit. Charis préféra ne pas vraiment faire de commentaire. Après tout, elle pourrait en discuter avec Jason un peu plus tard, à l'écart. ça leur ferait du bien à tous les deux, peut-être.
Mais là, avec de jeunes oreilles et un truc qui a fait "splash" avec effets spéciaux en plus... Charis recula dans l'eau en réalisant qu'un truc sombre semblait s'étaler autour d'Alixtide. C'était dangereux ce truc-là? Non pas qu'elle craignait de tomber malade, mais les démangeaisons et les plaques rouges, c'était franchement désagréable. Et puis elle ne savait pas du tout si elle pouvait isolé un liquide dans un liquide. D'ailleurs Jason ne lui permit pas vraiment d'hésiter plus longtemps. Désolée de devoir agir de la sorte, et malgré la demande dAlixtide, Charis sorti de l'eau presque un peu trop précipitamment, mais resta au bord de la piscine.
"Je peux faire des combos depuis le plancher des vaches. En revanche, je ne sais pas si ton pouvoir pourrait me faire du mal. Désolée, Alix."
Le pire, c'était qu'elle était vraiment désolée. Si elle devait commencer par fuir un camarade pour pouvoir associer leurs pouvoirs, c'était pas terrible. Et quant à la question sur la puissance, c'était une très bonne question en fait! Charis réfléchit quelques instants. Elle contrôlait un peu mieux, c'était vrai. Et ses jets avaient gagné en force. Mais elle n'était pas encore satisfaite et conservait cette impression d'inutilité. Liam en était la preuve. La jambe de Niko et l'arcade de Luther aussi. Cette pensée lui arracha un frisson désagréable et elle s'accroupit au bord de l'eau qui peu à peu changeait de couleur. Bon ben pour la piscine, c'était compromis le temps que quelqu'un nettoie le bassin et change l'eau. Les élèves pouvaient le faire où seul un professionnel y avait le droit? Pendant un vague instant, Charis eut la vision d'un humain en short avec une perche, entrant à l'Institut pour faire son boulot et jetant des coups d'oeil inquiets autour de lui en se demandant ce qui pourrait lui tomber accidentellement dessus. Nan, aucun employé prudent ne voudrait venir travailler dans un environnement peuplé de mutants. Question de survie. Quoique, avec madame Shenzie...
Charis baissa les yeux sur l'eau, perplexe face à la tâche sombre. Elle se concentra un peu, histoire de voir si elle arrivait à faire reculer les émanations vaporeuses d'Alixtide dans l'eau. Rien ne se passa. Bon ben elle s'y prenait sans doute pas comme il fallait.
"Tu vas gagner en masse musculaire alors. Heu... tu voulais faire quoi comme combo? Des jets de produits hautement toxiques?"
Ce serait efficace en combat? Si ça faisait tourner de l'oeil des ennemis potentiels, pourquoi pas.
- Kalalli RenandOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 16 Oct 2009 - 22:02
Alixtide testait son pouvoir. C'est vrai qu'il devait lui être difficile de savoir où il en était. Il avait beau résister au quotidien aux trucs dans lesquels il se trainait, l'évolution ne devait pourtant pas lui être évidente. Voyant tout le monde qui esquivait la marais noir, le porcin pensa immédiatement que son pouvoir était plus efficace et demanda qui pensait "rogner" son pouvoir maintenant, ce qui devait sûrement vouloir dire être plus puissant ou mieux le maîtriser. Quelque chose comme ça.
Kalalli (avec un l au début, et deux à la fin :p ) leva doucement la main. S'il n'était pas venu ici, il n'aurait jamais vraiment utilisé aussi intensivement son don et n'aurait jamais pu avoir son niveau actuel quoiqu'encore bas d'après lui. Surtout que depuis leur retour de Génosha, il n'avait pas eu besoin de s'en servir. Le calme plat. Voilà ce que ça avait été.
Alors Charis et Jason discutaient tantôt ensembles, tantôt avec Alixtide, l'Inuit entendit un appel dans son communicateur de la part de Jay. Il plaça sa main sur son oreille et apprit que Vadim souhaitait voir l'équipe dans la cuisine sans en préciser la raison. Peut être un briefing ? Mais c'était bizarre comme lieu. Ou alors il voulait leur faire goûter un plat ? Niko arriverait premier, ça ne faisait aucun doute alors !
Prenant de son sac une petite serviette, il s'essuya rapidement les jambes avec de remettre ses chaussures et se leva en lançant juste :
" Je dois retrouver mon équipe maintenant. A plus tard ! "
Ni une ni deux, il s'en alla presque précipitamment. Il était curieux de savoir de quoi il s'agissait. Et de toute façon, Kala n'était jamais contre se retrouver avec toute son équipe. Ca faisait tellement longtemps qu'ils ne l'avaient pas vraiment été avec leur professeur principal.
Cuisine
Kalalli (avec un l au début, et deux à la fin :p ) leva doucement la main. S'il n'était pas venu ici, il n'aurait jamais vraiment utilisé aussi intensivement son don et n'aurait jamais pu avoir son niveau actuel quoiqu'encore bas d'après lui. Surtout que depuis leur retour de Génosha, il n'avait pas eu besoin de s'en servir. Le calme plat. Voilà ce que ça avait été.
Alors Charis et Jason discutaient tantôt ensembles, tantôt avec Alixtide, l'Inuit entendit un appel dans son communicateur de la part de Jay. Il plaça sa main sur son oreille et apprit que Vadim souhaitait voir l'équipe dans la cuisine sans en préciser la raison. Peut être un briefing ? Mais c'était bizarre comme lieu. Ou alors il voulait leur faire goûter un plat ? Niko arriverait premier, ça ne faisait aucun doute alors !
Prenant de son sac une petite serviette, il s'essuya rapidement les jambes avec de remettre ses chaussures et se leva en lançant juste :
" Je dois retrouver mon équipe maintenant. A plus tard ! "
Ni une ni deux, il s'en alla presque précipitamment. Il était curieux de savoir de quoi il s'agissait. Et de toute façon, Kala n'était jamais contre se retrouver avec toute son équipe. Ca faisait tellement longtemps qu'ils ne l'avaient pas vraiment été avec leur professeur principal.
Cuisine
- Jason RedclifOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Sam 17 Oct 2009 - 11:58
Jason ne pu s'empêcher de faire un sourire amusé. C'était de bonne guerre, il n'était pas dupe, et Alixtide non plus. C'est pas compliqué, il avait entendu quelques détails du duel alixtide / camille, et dans son cas, jason aurait perdu c'est sur et certain. Alixtide maniait la dégueulasserie comme un artiste son pinceau. Jason devait bien le reconnaitre, sur ce point la, il était totalement imbatable.
C'est donc résigné qu'il voyait se diluer les volutes sombres dans l'eau naguère propre de la piscine. Essayant tout de même d'être un minimum sociable, jason commenta les nouvelles envies du breton. "tu veux te mettre à la musculation ? ben je peux qu'aprouver, hein, si c'est une vraie envie, ça peux faire que du bien. Par contre, ton pouvoir est peut etre invisible, mais je te rassure, tu fais tout pour qu'on le remarque, odorama garantis. Tu peux être fier de toi à ce niveau la. Bien entendu, par soucis d'équité je préfère te dire tout de suite que j'ai longtemps réfléchi à tout un arsenal adapté, avec les bons conseils de camille, si toutefois tu voulais devenir plus.. tactile avec moi. Gants de crin psychiques, brosses psychiques, lessiveuse psychique" et il lui fit son plus beau sourire, l'air de dire "amuses toi autant que tu veux, mais garde tes distances".
Avant même d'avoir eut le temps de dire "inuit", le petit kalalli se carrapata vite fait ailleurs, prétextant une excuse totalement bidon. Oh la petite peste ! Il ne restait donc que la suisse et l'irlande face à la bretagne, et cette dernière partait avec quelques longueurs d'avance.
"rogné en puissance ? hmm... un peu... je maitrise mieux.. et peux faire des trucs plus variés, pour frotter, lustrer, laver, decrasser et tout un tas de trucs comme ça." un petit clin d'oeil. Il ne pouvait cependant pas ne pas trouver le breton simpathique. Quel dommage qu'il se protège ainsi en attaquant, mais il savait aussi que d'une certaine façon, jouer un peu sur son terrain, et donc lui tenir en quelque sorte tête, lui procurait une plus grande satisfaction que de l'apitoiement. En d'autres circonstances, et avec l'image qu'avait eut de lui Kate à leur rencontre, à savoir une sorte de "monsieur propre" qui desintegrait toute matière toxique, jason aurait trouvé à Alix un certain charme. En même temps, c'est justement le fait qu'il soit obligé d'agresser comme ça pour se préserver d'une certaine empathie que le breton était... touchant ? Bon en tout cas, hors de question de se laisser toucher, lui... Jason était pret à déployer des tresors d'ingénuosité pour garder une distance de sécurité entre lui et la marrée noire.
Charis ne semblait pas se douter dans quel jeu elle s'était engagée, mais jason lui laissait faire ses mouvements, espérant que ça n'aille pas trop loin.
C'est donc résigné qu'il voyait se diluer les volutes sombres dans l'eau naguère propre de la piscine. Essayant tout de même d'être un minimum sociable, jason commenta les nouvelles envies du breton. "tu veux te mettre à la musculation ? ben je peux qu'aprouver, hein, si c'est une vraie envie, ça peux faire que du bien. Par contre, ton pouvoir est peut etre invisible, mais je te rassure, tu fais tout pour qu'on le remarque, odorama garantis. Tu peux être fier de toi à ce niveau la. Bien entendu, par soucis d'équité je préfère te dire tout de suite que j'ai longtemps réfléchi à tout un arsenal adapté, avec les bons conseils de camille, si toutefois tu voulais devenir plus.. tactile avec moi. Gants de crin psychiques, brosses psychiques, lessiveuse psychique" et il lui fit son plus beau sourire, l'air de dire "amuses toi autant que tu veux, mais garde tes distances".
Avant même d'avoir eut le temps de dire "inuit", le petit kalalli se carrapata vite fait ailleurs, prétextant une excuse totalement bidon. Oh la petite peste ! Il ne restait donc que la suisse et l'irlande face à la bretagne, et cette dernière partait avec quelques longueurs d'avance.
"rogné en puissance ? hmm... un peu... je maitrise mieux.. et peux faire des trucs plus variés, pour frotter, lustrer, laver, decrasser et tout un tas de trucs comme ça." un petit clin d'oeil. Il ne pouvait cependant pas ne pas trouver le breton simpathique. Quel dommage qu'il se protège ainsi en attaquant, mais il savait aussi que d'une certaine façon, jouer un peu sur son terrain, et donc lui tenir en quelque sorte tête, lui procurait une plus grande satisfaction que de l'apitoiement. En d'autres circonstances, et avec l'image qu'avait eut de lui Kate à leur rencontre, à savoir une sorte de "monsieur propre" qui desintegrait toute matière toxique, jason aurait trouvé à Alix un certain charme. En même temps, c'est justement le fait qu'il soit obligé d'agresser comme ça pour se préserver d'une certaine empathie que le breton était... touchant ? Bon en tout cas, hors de question de se laisser toucher, lui... Jason était pret à déployer des tresors d'ingénuosité pour garder une distance de sécurité entre lui et la marrée noire.
Charis ne semblait pas se douter dans quel jeu elle s'était engagée, mais jason lui laissait faire ses mouvements, espérant que ça n'aille pas trop loin.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Mer 21 Oct 2009 - 17:49
"Oh purin je ne voudrais pas pouvoir te faire du mal, puisque nous serions en tant que collaborantins dans une mission !"
Répondit du tac au tac Alixtide à la remarque de Charis. L'aquamutante venait de sortir de l'eau souillée de la piscine, et le Breton en était un peu irrité. Il observa en barbotant dans l'eau le départ enthousiaste de Kalalli. Les dires de Jason intéressèrent bien d'avantage le natif de Merdrignac.
*Avec les bons conseils de Camille ?*
Se répéta-t-il en pensées. Il regarda Tatoo avec de grands yeux ronds. Celui-ci semblait au courant de tout ! Mieux, il avait opéré une sorte de fusion mentale avec la bien-aimée Bretonne, devenant en quelque sorte sa réincarnation.
Alixtide, même s'il s'était bien gardé de le montrer, avait souffert du départ inexplicable de sa meilleure amie non réciproque. Camille était celle qui l'accompagnait le mieux dans l'évolution de son pouvoir. Elle lui en montrait les limites et les effets sur l'humanité. Elle était un point de repère dans la vie du porcher. L'exemple vivant que l'on pouvait aimer mentalement mais haïr physiquement quelqu'un. Elle représentait ce combat de tous les jours que menaient les amis, amours et simples connaissances d'Alixtide Pitre. Oui, c'était un grand témoin de sa vie qui avait disparu à l'horizon. Et nul ne pouvait remplacer ce rôle magnétique repoussoir, douloureux mais salutaire, qu'elle avait joué dans l'existence de son compatriote.
Aussi l'espoir renaquit.
Le discours, le ton, le clin d'œil et le sourire de Jason. Tout portait en lui la flamme de Camille Le Guern. En mieux bien sûr. Alixtide le sentait, le savait. il en était ému de bonheur. Mais il gardait la tête froide.
Alixtide entama un crawl parfaitement maîtrisé - rendu toutefois un peu pataud par le poids du gilet de sauvetage et des vêtements mouillés - pour rejoindre le bord opposé à Jason et Charis. Il s'appuya et remonta gauchement, ruisselant d'eau brunâtre. Une fois debout il frotta son visage strié de cirage dilué, comme pour en enlever les dernières traces. Il pointa alors les deux mutants du doigt.
"Ok purin, on va voir comment tous les trois nous avons rogné en puissance aussi bien que vous le dites."
Il enleva son misérable gilet de sauvetage, qui tomba à ses pieds.
"Ce sera un combo difficile, donc oui Charisse, ce sera sûrement purin hautement toxique. Alors voilà ce qu'on va faire..."
Son regard, extrêmement sérieux, oscillait entre les deux mutants.
"Charisse tu vas mettre de l'eau sur moi en courant alternophile. Et Jason tu feras, ben, exactement ce que tu as dit, les trucs variés là. Enfin si tu en es capable. De le faire sur un être humain."
Il toisa le mutant d'un air de défi et écarta légèrement les bras, dans une position d'attente. Son cœur battait à cent à l'heure.
"Je suis prêt. Purin. Allez-y."
Répondit du tac au tac Alixtide à la remarque de Charis. L'aquamutante venait de sortir de l'eau souillée de la piscine, et le Breton en était un peu irrité. Il observa en barbotant dans l'eau le départ enthousiaste de Kalalli. Les dires de Jason intéressèrent bien d'avantage le natif de Merdrignac.
*Avec les bons conseils de Camille ?*
Se répéta-t-il en pensées. Il regarda Tatoo avec de grands yeux ronds. Celui-ci semblait au courant de tout ! Mieux, il avait opéré une sorte de fusion mentale avec la bien-aimée Bretonne, devenant en quelque sorte sa réincarnation.
Alixtide, même s'il s'était bien gardé de le montrer, avait souffert du départ inexplicable de sa meilleure amie non réciproque. Camille était celle qui l'accompagnait le mieux dans l'évolution de son pouvoir. Elle lui en montrait les limites et les effets sur l'humanité. Elle était un point de repère dans la vie du porcher. L'exemple vivant que l'on pouvait aimer mentalement mais haïr physiquement quelqu'un. Elle représentait ce combat de tous les jours que menaient les amis, amours et simples connaissances d'Alixtide Pitre. Oui, c'était un grand témoin de sa vie qui avait disparu à l'horizon. Et nul ne pouvait remplacer ce rôle magnétique repoussoir, douloureux mais salutaire, qu'elle avait joué dans l'existence de son compatriote.
Aussi l'espoir renaquit.
Le discours, le ton, le clin d'œil et le sourire de Jason. Tout portait en lui la flamme de Camille Le Guern. En mieux bien sûr. Alixtide le sentait, le savait. il en était ému de bonheur. Mais il gardait la tête froide.
Alixtide entama un crawl parfaitement maîtrisé - rendu toutefois un peu pataud par le poids du gilet de sauvetage et des vêtements mouillés - pour rejoindre le bord opposé à Jason et Charis. Il s'appuya et remonta gauchement, ruisselant d'eau brunâtre. Une fois debout il frotta son visage strié de cirage dilué, comme pour en enlever les dernières traces. Il pointa alors les deux mutants du doigt.
"Ok purin, on va voir comment tous les trois nous avons rogné en puissance aussi bien que vous le dites."
Il enleva son misérable gilet de sauvetage, qui tomba à ses pieds.
"Ce sera un combo difficile, donc oui Charisse, ce sera sûrement purin hautement toxique. Alors voilà ce qu'on va faire..."
Son regard, extrêmement sérieux, oscillait entre les deux mutants.
"Charisse tu vas mettre de l'eau sur moi en courant alternophile. Et Jason tu feras, ben, exactement ce que tu as dit, les trucs variés là. Enfin si tu en es capable. De le faire sur un être humain."
Il toisa le mutant d'un air de défi et écarta légèrement les bras, dans une position d'attente. Son cœur battait à cent à l'heure.
"Je suis prêt. Purin. Allez-y."
- Charis HeldOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Mer 21 Oct 2009 - 20:48
Et voilà que Kalalli se carapatait. Le mot "équipe" fit tilt dans la tête de Charis. Restait-il encore vraiment des équipe? La conférence dans l'amphithéâtre lui avait fait comprendre que, si les équipe n'étaient peut-être pas entièrement révolues, il y aurait un changement certain. Qu'allait-il advenir des X-plorer's? Elle n'avait fait qu'une seule mission avec eux, et pourtant... Pourtant, elle avait aimé faire équipe avec Wind, Yriah, Jonas, Rachel, Liam... Liam qui ne ferait plus jamais de mission parce qu'elle n'avait pas couru assez vite pour l'empêcher de se faire tuer. Peut-être qu'il valait effectivement mieux que les équipes soient dissoutes, pour éviter que ce genre de chose ne se reproduise encore et encore. Pour la peine, elle en était venue à fixer bêtement le vide devant elle alors que Jason répondait à Alixtide. Elle ferma quelques secondes es yeux, chassant les images et surtout ce sifflement persistant d'arme qu'elle entendait heureusement de moins en moins souvent. Abaigh devait y être pour quelque chose, à la rassurer sans même s'en rendre compte.
Le crawl d'Alixtide l'obligea à rouvrir les yeux, pour le voir s'extirper hors de la piscine définitivement hors service. Certains allaient râler en voyant que le bassin était devenu inutilisable pour les personnes sensibles aux produits hautement toxiques. Il leur lançait un défi? Charis ouvrit de grands yeux quelque peu surprise. Ici? En plein air? Charis avait peut-être légèrement progressé, mais elle restait encore limitée pour le moment. Elle baissa les yeux sur le gilet de sauvetage qui avait chuté au sol, puis sur l'eau aux couleurs pas très ragoutante, ses mains toujours posées sur ses genoux, encore accroupie au bord du bassin. Il avait quoi en tête exactement?
L'explication ne tarda pas à arriver. Et le dictionnaire était-il fourni avec? Il voulait de l'eau sur lui, ok. Mais comment? En spirale façon tornade? Elle arriverait à faire ça? Et puis il falait qu'il puisse respirer, donc il fallait que l'eau reste à une certaine distance de ses voies respiratoires. Et Jason? Des trucs variés. Ouais... ça manquait un peu de clarté tout ça. Un peu beaucoup, même. Mais une question primordiale taraudait quand même Charis.
"Heu... Si on balance des liquides toxiques un peu partout hors du bassin, on risque pas de se faire taper sur les doigts? C'est pas que je suis pas volontaire pour un petit entraînement, mais ce serait pas mal d'éviter de faire trop de dégâts..."
Mais pour prouver qu'elle n'avait rien contre le fait de faire un peu appel à ses pouvoirs, elle se redressa en position debout, baissant une fois encore les yeux sur l'eau brunâtre qui commençait gentiment à faire des vagues en partant de son côté du bassin pour aller vers le côté où se tenait Alixtide.
"Et tu voudrais quoi exactement? de l'eau tourbillonnante autour de toi? Je suis pas certaine de pouvoir le faire. MAis je peux au moins essayer de soulever une sorte de mur."
Elle se reporta un instant sur Jason. Lui aussi serait volontaire ou il préférait se faire porter pâle?
Le crawl d'Alixtide l'obligea à rouvrir les yeux, pour le voir s'extirper hors de la piscine définitivement hors service. Certains allaient râler en voyant que le bassin était devenu inutilisable pour les personnes sensibles aux produits hautement toxiques. Il leur lançait un défi? Charis ouvrit de grands yeux quelque peu surprise. Ici? En plein air? Charis avait peut-être légèrement progressé, mais elle restait encore limitée pour le moment. Elle baissa les yeux sur le gilet de sauvetage qui avait chuté au sol, puis sur l'eau aux couleurs pas très ragoutante, ses mains toujours posées sur ses genoux, encore accroupie au bord du bassin. Il avait quoi en tête exactement?
L'explication ne tarda pas à arriver. Et le dictionnaire était-il fourni avec? Il voulait de l'eau sur lui, ok. Mais comment? En spirale façon tornade? Elle arriverait à faire ça? Et puis il falait qu'il puisse respirer, donc il fallait que l'eau reste à une certaine distance de ses voies respiratoires. Et Jason? Des trucs variés. Ouais... ça manquait un peu de clarté tout ça. Un peu beaucoup, même. Mais une question primordiale taraudait quand même Charis.
"Heu... Si on balance des liquides toxiques un peu partout hors du bassin, on risque pas de se faire taper sur les doigts? C'est pas que je suis pas volontaire pour un petit entraînement, mais ce serait pas mal d'éviter de faire trop de dégâts..."
Mais pour prouver qu'elle n'avait rien contre le fait de faire un peu appel à ses pouvoirs, elle se redressa en position debout, baissant une fois encore les yeux sur l'eau brunâtre qui commençait gentiment à faire des vagues en partant de son côté du bassin pour aller vers le côté où se tenait Alixtide.
"Et tu voudrais quoi exactement? de l'eau tourbillonnante autour de toi? Je suis pas certaine de pouvoir le faire. MAis je peux au moins essayer de soulever une sorte de mur."
Elle se reporta un instant sur Jason. Lui aussi serait volontaire ou il préférait se faire porter pâle?
- Jason RedclifOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 22 Oct 2009 - 12:59
Et voila.. ce qui devait arrivé arriva. Si on octroyait UN PEU d'attention au breton, il vous bouffait tout cru. En même temps, comment lui en vouloir ? il faisait suer son monde, certes, mais son pouvoir l'avait transformé, il avait BESOIN de ces immondices pour vivre... Et ça, il n'y pouvait rien. ça ne changeait rien au fait que Jason n'avait pas du tout envie de se laisser marcher sur les pieds par le breton. Mais pas non plus du tout envie de lui faire du mal.. enfin.. pas trop...
Inspirant un bon coup, étant donné qu'il pouvait encore le faire, vu que loin de la fosse sceptique humaine, il enchaina
"ecoutes, Alix. Si c'est vraiment ce que tu veux. Mais je veux pas te faire de mal, alors j'y vai molo ok ? Et tu m'excuseras, mais je suis pas d'humeur la.. donc .. voila.. prend ça..;et après basta.. je pars sur les traces de mon mec... enfin.. mon amant..."
Se retournant vers Charis
"je vai former des plaques nanties de brosses psychique autour de lui, et les resserer, en changeant leur taille, tout en les faisant tourner. Je laisserai suffisamment d'espace pour voir, car je veux pas non plus le saigner, et toi, tu peux faire tourner de l'eau dedans, a haute pression ? comme des kircher ? entre ça et mon action abrasive rotative, ça devrait le calmer pour un moment.. il va ressortir avec une peau de bébé."
Plissant les yeux, il se concentra donc pour matérialiser autant de plaques qu'il le pouvait, en suspension autour d'alixtide. Chaque plaque était striée de picots souples, comme des brosses à métal, mais en moins rigide. Tout en les matérialisant, il les faisaient tourner de plus en plus vite, entamment leur changement de taille pour les resserrer autour du breton. Lorsque l'hydrokinesiste entrerait en action, il les resserrerait au max, pour frotter la peau du breton, mais pas non plus l'ecorcher . heureusement le breton n'était pas nu, ni meme en maillot de bain. Donc ça laissait juste des morceaux de peau apparents. ça lui demanderait une grosse concentration, aussi quelques gouttes de sueurs commencèrent à perler sur sa tempe.
Inspirant un bon coup, étant donné qu'il pouvait encore le faire, vu que loin de la fosse sceptique humaine, il enchaina
"ecoutes, Alix. Si c'est vraiment ce que tu veux. Mais je veux pas te faire de mal, alors j'y vai molo ok ? Et tu m'excuseras, mais je suis pas d'humeur la.. donc .. voila.. prend ça..;et après basta.. je pars sur les traces de mon mec... enfin.. mon amant..."
Se retournant vers Charis
"je vai former des plaques nanties de brosses psychique autour de lui, et les resserer, en changeant leur taille, tout en les faisant tourner. Je laisserai suffisamment d'espace pour voir, car je veux pas non plus le saigner, et toi, tu peux faire tourner de l'eau dedans, a haute pression ? comme des kircher ? entre ça et mon action abrasive rotative, ça devrait le calmer pour un moment.. il va ressortir avec une peau de bébé."
Plissant les yeux, il se concentra donc pour matérialiser autant de plaques qu'il le pouvait, en suspension autour d'alixtide. Chaque plaque était striée de picots souples, comme des brosses à métal, mais en moins rigide. Tout en les matérialisant, il les faisaient tourner de plus en plus vite, entamment leur changement de taille pour les resserrer autour du breton. Lorsque l'hydrokinesiste entrerait en action, il les resserrerait au max, pour frotter la peau du breton, mais pas non plus l'ecorcher . heureusement le breton n'était pas nu, ni meme en maillot de bain. Donc ça laissait juste des morceaux de peau apparents. ça lui demanderait une grosse concentration, aussi quelques gouttes de sueurs commencèrent à perler sur sa tempe.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 22 Oct 2009 - 13:27
Alixtide était très content de susciter la motivation de l'hydrokinésiste et du créateur psychique. Il eut néanmoins un geste d'impatience devant les réticences de la jeune fille.
"Mais non il n'y aura aucun débat toxique ou autre, purin..."
Heureusement que Jason - il était la clairvoyance même - avait tout compris et s'employait à réexpliquer le principe de l'entraînement à Charis. Avec tout ça Gargoyle commençait à avoir froid, dans ses vêtements trempés. Il opina du chef à la question de Tatoo.
"Oui oui, moi aussi je dois partir sur les terrasses du foyer ou autre. Je dois voir dans quel journal on a reçu je suis en entreview avec Paul VANPOL. Il me suivait partout purin à Ganosha pour que je réponde à ses purins questions de..."
Il déglutit en voyant se former des objets psychiques bleus hautement menaçants autour de lui.
"... de comment j'ai purin fait pour convaincre les robots ... et autres... sauver la gamine ... Je veux voir que je suis toujours le héros quand même... Et lui téléphoner si jamais..."
Il eut un léger mouvement de recul, suite au tremblement nerveux de ses jambes qui semblaient vouloir se dérober sous lui. Mais le Breton resta droit dans ses bottes. Il ferma fort les yeux et se crispa, serra les poings et coupa sa respiration. Il attendit non sans appréhension que Charis opère...
"Mais non il n'y aura aucun débat toxique ou autre, purin..."
Heureusement que Jason - il était la clairvoyance même - avait tout compris et s'employait à réexpliquer le principe de l'entraînement à Charis. Avec tout ça Gargoyle commençait à avoir froid, dans ses vêtements trempés. Il opina du chef à la question de Tatoo.
"Oui oui, moi aussi je dois partir sur les terrasses du foyer ou autre. Je dois voir dans quel journal on a reçu je suis en entreview avec Paul VANPOL. Il me suivait partout purin à Ganosha pour que je réponde à ses purins questions de..."
Il déglutit en voyant se former des objets psychiques bleus hautement menaçants autour de lui.
"... de comment j'ai purin fait pour convaincre les robots ... et autres... sauver la gamine ... Je veux voir que je suis toujours le héros quand même... Et lui téléphoner si jamais..."
Il eut un léger mouvement de recul, suite au tremblement nerveux de ses jambes qui semblaient vouloir se dérober sous lui. Mais le Breton resta droit dans ses bottes. Il ferma fort les yeux et se crispa, serra les poings et coupa sa respiration. Il attendit non sans appréhension que Charis opère...
- Charis HeldOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 22 Oct 2009 - 21:40
Ah ouais, donc il voulait VRAIMENT créer une lessiveuse à échelle humaine. Le concept paraissait étrangement... Étrange aux yeux de Charis. Mais pourquoi pas, après tout. Sauf que c'était pas un peu dangereux pour Alixtide? Après tout, les immondices, c'était à peu près tout sa vie, non? Mais bon, Jason avait déjà un plan, il restait à l'appliquer. Au moins ça, elle devrait pouvoir le faire normalement. Bah ok. Elle allait s'y mettre, mais avant...
"Il a vraiment publier cette interview?? J'irai avec toi pour voir ce qui a été écrit alors."
Elle n'allait rien dire sur l'aspect fort héroïque d'Alixtide poursuivit par le journaliste. Au fait, c'était pas lui qui avait beuglé pour trouver monsieur au nom de vampire-Paul? Enfin peu importe. Lui avait besoin de son instant de gloire peut-être plus que les autres, mais il n'était pas moins vrai qu'Alicxtide avait effectivement agit en héros, comme tous les mutants à Génosha. Bref, elle se reporta plus sérieusement sur l'eau salie du bassin tandis que Jason faisait apparaître des... Brosses. Ahaha!! Un Alixtide nettoyé! Y'avait pas à dire, le concept restait quand même diablement abstrait.
En tous les cas, elle recula de quelques pas, le courant se fit plus violent, puis l'eau s'éleva en partie, dans une sorte de jet qu'elle tâcha de diriger avec un maximum de précision non pas sur Alixtide, mais autour de lui, formant d'abord une ceinture, qui grossissait peu à peu en prenant de la vitesse dans sa rotation. C'était parti! Elle n'avait plus qu'à essayer de maintenir de genre de chose tout en évitant de faire du mal au mutant. Pour le moment, pour ce qui était de la hauteur, elle ne chercha pas à dépasser les épaules.
"Il a vraiment publier cette interview?? J'irai avec toi pour voir ce qui a été écrit alors."
Elle n'allait rien dire sur l'aspect fort héroïque d'Alixtide poursuivit par le journaliste. Au fait, c'était pas lui qui avait beuglé pour trouver monsieur au nom de vampire-Paul? Enfin peu importe. Lui avait besoin de son instant de gloire peut-être plus que les autres, mais il n'était pas moins vrai qu'Alicxtide avait effectivement agit en héros, comme tous les mutants à Génosha. Bref, elle se reporta plus sérieusement sur l'eau salie du bassin tandis que Jason faisait apparaître des... Brosses. Ahaha!! Un Alixtide nettoyé! Y'avait pas à dire, le concept restait quand même diablement abstrait.
En tous les cas, elle recula de quelques pas, le courant se fit plus violent, puis l'eau s'éleva en partie, dans une sorte de jet qu'elle tâcha de diriger avec un maximum de précision non pas sur Alixtide, mais autour de lui, formant d'abord une ceinture, qui grossissait peu à peu en prenant de la vitesse dans sa rotation. C'était parti! Elle n'avait plus qu'à essayer de maintenir de genre de chose tout en évitant de faire du mal au mutant. Pour le moment, pour ce qui était de la hauteur, elle ne chercha pas à dépasser les épaules.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Jeu 22 Oct 2009 - 21:44
Cuisine
Tout l'été, la piscine avait été le centre d'intérêt et de rencontres de la plupart des élèves, sportifs ou superficiels, intellos ou amants de la nature. Aussi, c'était après une très courte réflexion que la Zambienne se dirigea vers la piscine, toujours inquiète quant aux disparitions des Unders. Voyant des silhouettes -étonnamment peu nombreuses-, près de la piscine, loin devant elle, Sahari demanda à la cantonade :
"Bonjour les jeunes! Alors! L'eau est b..."
Les quelques enjambées qu'avait faites Sahari le temps de dire ces quelques mots lui permirent d'apprécier la scène plus en détail. L'eau de la piscine semblait impropre à la baignade et Jason, dans une attitude probablement vengeresse le frottait avec de petites plaques psychiques, devant une Charis à l'expression difficilement interprétable.
Sahari fut choquée une seconde puis s'exclama en marchant à vive allure vers les jeunes, pendant que Charis ajoutait son grain de sel à la situation déjà précaire pour les fesses des deux mutants.
"Mais qu'est-ce qui? Redclif! Je n'y crois pas! Qu'est-ce qui vous est passé par la tête? Laissez donc ce pauvre Alixtide tranquille... Sa mutation n'est pas facile pour personne, vous devriez le savoir!"
L'air particulièrement fâchée, Sahari était en fait très déçue du comportement de Jason. Jamais elle n'aurait cru qu'il pourrait s'en prendre ainsi à un autre élève. Désormais au bord de la piscine, elle tourna un oeil noir vers Charis.
"Miss Held, pourquoi aidez-vous Monsieur Redcliff? Ne savez-vous pas que le Bullying n'est pas toléré à l'institut? J'attends des explications de vous deux, rapidement!"
Cette phrase fit revenir à son esprit le souvenir d'Alixtide, Georgia et Camille, dans une sombre histoire de violon.
Tout l'été, la piscine avait été le centre d'intérêt et de rencontres de la plupart des élèves, sportifs ou superficiels, intellos ou amants de la nature. Aussi, c'était après une très courte réflexion que la Zambienne se dirigea vers la piscine, toujours inquiète quant aux disparitions des Unders. Voyant des silhouettes -étonnamment peu nombreuses-, près de la piscine, loin devant elle, Sahari demanda à la cantonade :
"Bonjour les jeunes! Alors! L'eau est b..."
Les quelques enjambées qu'avait faites Sahari le temps de dire ces quelques mots lui permirent d'apprécier la scène plus en détail. L'eau de la piscine semblait impropre à la baignade et Jason, dans une attitude probablement vengeresse le frottait avec de petites plaques psychiques, devant une Charis à l'expression difficilement interprétable.
Sahari fut choquée une seconde puis s'exclama en marchant à vive allure vers les jeunes, pendant que Charis ajoutait son grain de sel à la situation déjà précaire pour les fesses des deux mutants.
"Mais qu'est-ce qui? Redclif! Je n'y crois pas! Qu'est-ce qui vous est passé par la tête? Laissez donc ce pauvre Alixtide tranquille... Sa mutation n'est pas facile pour personne, vous devriez le savoir!"
L'air particulièrement fâchée, Sahari était en fait très déçue du comportement de Jason. Jamais elle n'aurait cru qu'il pourrait s'en prendre ainsi à un autre élève. Désormais au bord de la piscine, elle tourna un oeil noir vers Charis.
"Miss Held, pourquoi aidez-vous Monsieur Redcliff? Ne savez-vous pas que le Bullying n'est pas toléré à l'institut? J'attends des explications de vous deux, rapidement!"
Cette phrase fit revenir à son esprit le souvenir d'Alixtide, Georgia et Camille, dans une sombre histoire de violon.
- Jason RedclifOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 23 Oct 2009 - 11:21
Cela prenait joliment tournure. Une fois que Charis s'était mis de la partie, le concept de lessiveuse psy devenait réalité. Un peu angoissé tout de même, jason était sur le point de toucher la peau de Alixtide avec une des brosses quand Melle Fouba déboula et l'invectiva vertement. Tout s'évanouit d'un seul coup. La bouche grande ouverte, les yeux ronds, la machoire qui ne tenait plus que par miracle au reste de sa tête d'ahuri, jason tenta vaguement de résumer la situation
"mais.. mamzelle.. non .. C'est pas... je... c'est, il voulait qu'on teste nos pouvoirs en synchro... je veux dire..." il regardait alternativement Sahari et Alixtide, comprenant avec une accuité glaciale ce qu'elle pouvait bien penser de lui à l'instant.
"il me l'a demandé... j'veux dire.. Vous pensez quand même pas que.. Oh merde, vous PENSEZ VRAIEMNT QUE J'ai" une main sur l'épaule, bras replié, l'autre devant la bouche, consterné, les jambes flageolantes, il avait l'impression de se retrouver devant son père, pour une nième fois, comparant son frère Hayden, le magnifique, le parfait Hayden, avec Jason, le bon à rien, le décevant Jason...
"il nous l'a DEMANDE, je..." incapable de prononcer un mot de plus, la gorge nouée, il tentait bravement de regarder sa prof dans les yeux, sans y arriver... et sans arriver non plus a regarder alixtide dans les yeux. Oui, le breton leur avait demandé, mais il n'était pas obligé de le faire.. IL l'avait fait parceque.... il prenait plaisir à le faire, à lui apprendre à pourrir la vie des autres.. Il avait honte de lui, à l'instant.. Il tentait de trouver la main de son frère, comme toujours, après un savon de son père, mais il n'y avait rien.
Crispant la machoire, il attendit la suite.
"mais.. mamzelle.. non .. C'est pas... je... c'est, il voulait qu'on teste nos pouvoirs en synchro... je veux dire..." il regardait alternativement Sahari et Alixtide, comprenant avec une accuité glaciale ce qu'elle pouvait bien penser de lui à l'instant.
"il me l'a demandé... j'veux dire.. Vous pensez quand même pas que.. Oh merde, vous PENSEZ VRAIEMNT QUE J'ai" une main sur l'épaule, bras replié, l'autre devant la bouche, consterné, les jambes flageolantes, il avait l'impression de se retrouver devant son père, pour une nième fois, comparant son frère Hayden, le magnifique, le parfait Hayden, avec Jason, le bon à rien, le décevant Jason...
"il nous l'a DEMANDE, je..." incapable de prononcer un mot de plus, la gorge nouée, il tentait bravement de regarder sa prof dans les yeux, sans y arriver... et sans arriver non plus a regarder alixtide dans les yeux. Oui, le breton leur avait demandé, mais il n'était pas obligé de le faire.. IL l'avait fait parceque.... il prenait plaisir à le faire, à lui apprendre à pourrir la vie des autres.. Il avait honte de lui, à l'instant.. Il tentait de trouver la main de son frère, comme toujours, après un savon de son père, mais il n'y avait rien.
Crispant la machoire, il attendit la suite.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 23 Oct 2009 - 14:49
La colonne d'eau se formait et avançait sur Alixtide, qui gardait les yeux bien fermés. Charis manifestait son intérêt pour l'article de Paul Van Paul. Espérait-elle y être mieux lotie que Gargoyle, qui avait pourtant sauvé Génosha ? Ces pensées étaient confuses et confinées dans le cerveau retourné du Breton.
L'eau avait déjà commencé à l'enserrer, formant un courant froid et des rigoles sournoises partout sur lui. Etourdi et transi, le Breton attendit l'impact des brosses psychiques sur son corps. Mais tout s'arrêta tout à coup. Les spirales d'eau s'interrompirent, laissant le mutant trempé, dégoulinant et tremblant.
Il ouvrit un œil. Les trucs bleus avaient disparu. Sahari Fouba était là, avec Jason et Charis. Alixtide se laissa choir dans un transat, le cœur battant, les jambes flageolantes.
Il se redressa péniblement, souhaitant bien entendu venir au secours de ses camarades devant le courroux de l'Africaine. Il dit la main sur le coeur.
"Aaah Madame Fouba... purin... c'est la morvée... corvée de piscine... C'est Camille qui a donné à Gason une bonne idée pour son pouvoir sur moi. Pour que je ne m'approche pas trop de lui et de son mec, heu, son amant... Oui. Hein Gason ? Il a dit qu'il ne voulait pas me faire du mal mais qu'il n'étais pas d'humeur alors voilà. Il faut l'excuser. Charisse aussi. Charisse voulait voir sa puissance. Et après partir au foyer pour lire le journal Vanpol. Elle aussi purin sur Ganosha. Elle a bien rogné en puissance !"
Il s'essuya le visage, et prit soudain conscience de quelque chose. Sahari, son ex-mère infanticide adoptive, l'avait sauvé du danger ! Même trempé, Alixtide restait néanmoins prudent, et sioux. Il posa donc une question innocente l'air de rien.
"Madame Fouba, vous me cherchiez qui, au départ ?"
Il tituba jusqu'au petit groupe, semant mille gouttes d'eau sale.
L'eau avait déjà commencé à l'enserrer, formant un courant froid et des rigoles sournoises partout sur lui. Etourdi et transi, le Breton attendit l'impact des brosses psychiques sur son corps. Mais tout s'arrêta tout à coup. Les spirales d'eau s'interrompirent, laissant le mutant trempé, dégoulinant et tremblant.
Il ouvrit un œil. Les trucs bleus avaient disparu. Sahari Fouba était là, avec Jason et Charis. Alixtide se laissa choir dans un transat, le cœur battant, les jambes flageolantes.
Il se redressa péniblement, souhaitant bien entendu venir au secours de ses camarades devant le courroux de l'Africaine. Il dit la main sur le coeur.
"Aaah Madame Fouba... purin... c'est la morvée... corvée de piscine... C'est Camille qui a donné à Gason une bonne idée pour son pouvoir sur moi. Pour que je ne m'approche pas trop de lui et de son mec, heu, son amant... Oui. Hein Gason ? Il a dit qu'il ne voulait pas me faire du mal mais qu'il n'étais pas d'humeur alors voilà. Il faut l'excuser. Charisse aussi. Charisse voulait voir sa puissance. Et après partir au foyer pour lire le journal Vanpol. Elle aussi purin sur Ganosha. Elle a bien rogné en puissance !"
Il s'essuya le visage, et prit soudain conscience de quelque chose. Sahari, son ex-mère infanticide adoptive, l'avait sauvé du danger ! Même trempé, Alixtide restait néanmoins prudent, et sioux. Il posa donc une question innocente l'air de rien.
"Madame Fouba, vous me cherchiez qui, au départ ?"
Il tituba jusqu'au petit groupe, semant mille gouttes d'eau sale.
- Charis HeldOnyX
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Nom de code : Liquid
Date d'inscription : 26/12/2008
Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 23 Oct 2009 - 18:35
Charis restait encore dubitative sur l'utilité d'un tel entraînement. Bon, au moins, elle pouvait voir si elle était capable de se montrer précise avec de l'eau. Pour l'instant, elle arrivait à maintenir le tourbillon à la hauteur qu'elle voulait, et à ne pas enserrer Alixtide dedans. Et lui, qu'allait-il faire pour se défendre contre la lessiveuse infernale? En tout cas, elle ne forcerait rien. Si attaque il y aurait, ce serait en douceur. Hors de question de mettre le boxon sous prétexte d'expérimenter leurs capacités. Et une voix outragée coupa court à tout entraînement.
Charis eut un sursaut de surprise, faisant chuter au sol l'eau qu'elle maintenait dressée. D'abord surprise, son regard passa de Mademoiselle Fouba à Jason. Ouh la boulette! Il y avait un malentendu monstrueux et elle ne pu que virer au rouge cramoisi en réalisant qu'elle et Jason était juste en train de passer pour des tortionnaires sadiques.
"Mais... Mais... Mais non!!"
Bon, ça manquait d'argumentaire, là. Déjà Jason était lui aussi surpris, et surtout choqué qu'on puisse penser ça de lui, mais en même temps, étant donné la situation, il était difficile de penser logiquement qu'ils étaient juste en train de faire ce qu'Alixtide avait suggéré. Elle se reporta sur Alixtide qui visiblement avec les jambes flageolante. Charis fit le tour de la piscine pour se rapprocher, et tant pis si elle chopait de l'eczéma aux pieds pour avoir marché dans les restes d'eau sale.
"Alixtide, ça va?"
Et non, elle avait pas voulu vraiment le lessiver. Constatant que même Jason ne savait plus quoi dire, et que la sortie d'Alixtide n'était pas nécessairement faite pour les innocenter.
"On a pas voulu lui faire du mal, il a lui-même demandé à ce qu'on lui fasse ça, pour voir si on pouvait faire des combos, et pour tester nos capacités mutuelles. Vous pensez vraiment qu'on pourrait lui faire du mal juste parce qu'il n'est pas comme nous hygiéniquement parlant?"
Ouais, cette accusation là était quand même un peu injuste et Charis fronça les sourcils en voyant Jason dans cet état. Elle se tourna vers la professeur.
"Je suis vraiment désolée pour la méprise, on ne fera plus jamais ce genre de chose sans la surveillance d'un professeur."
Même s'ils étaient accusés, il fallait bien avoué que s'ils s'étaient abstenus de faire étalage de leurs pouvoirs, aucun d'entre eux ne serait dans cette situation.
Charis eut un sursaut de surprise, faisant chuter au sol l'eau qu'elle maintenait dressée. D'abord surprise, son regard passa de Mademoiselle Fouba à Jason. Ouh la boulette! Il y avait un malentendu monstrueux et elle ne pu que virer au rouge cramoisi en réalisant qu'elle et Jason était juste en train de passer pour des tortionnaires sadiques.
"Mais... Mais... Mais non!!"
Bon, ça manquait d'argumentaire, là. Déjà Jason était lui aussi surpris, et surtout choqué qu'on puisse penser ça de lui, mais en même temps, étant donné la situation, il était difficile de penser logiquement qu'ils étaient juste en train de faire ce qu'Alixtide avait suggéré. Elle se reporta sur Alixtide qui visiblement avec les jambes flageolante. Charis fit le tour de la piscine pour se rapprocher, et tant pis si elle chopait de l'eczéma aux pieds pour avoir marché dans les restes d'eau sale.
"Alixtide, ça va?"
Et non, elle avait pas voulu vraiment le lessiver. Constatant que même Jason ne savait plus quoi dire, et que la sortie d'Alixtide n'était pas nécessairement faite pour les innocenter.
"On a pas voulu lui faire du mal, il a lui-même demandé à ce qu'on lui fasse ça, pour voir si on pouvait faire des combos, et pour tester nos capacités mutuelles. Vous pensez vraiment qu'on pourrait lui faire du mal juste parce qu'il n'est pas comme nous hygiéniquement parlant?"
Ouais, cette accusation là était quand même un peu injuste et Charis fronça les sourcils en voyant Jason dans cet état. Elle se tourna vers la professeur.
"Je suis vraiment désolée pour la méprise, on ne fera plus jamais ce genre de chose sans la surveillance d'un professeur."
Même s'ils étaient accusés, il fallait bien avoué que s'ils s'étaient abstenus de faire étalage de leurs pouvoirs, aucun d'entre eux ne serait dans cette situation.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 23 Oct 2009 - 20:12
L'Africaine s'était peut-être emportée un peu vite... En fait, elle s'était peut-être même trompée, mais les professeurs ne devant pas montrer de faiblesse ou de signe d'erreur, Sahari ne fit que se détendre, se décrispant à demi, et fit mine d'accepter les excuses et explications des trois protagonistes.
En même temps, Charis et Jason semblaient réellement désolés et au travers les propos incohérents d'Alixtide, on semblait discerner qu'il excusait lui-même ses collègues. Ou du moins il tentait de dire que Jason ne lui voulait pas de mal et qu'il fallait les excuser, Charis et lui.
Elle finit par leur sourire, à tous les trois.
"Très bien, il y a eu méprise, vous semblez tous les trois d'accord sur ce point. Je suis désolé de m'être emportée si rapidement, mais je vous prierais de ne pas recommencer... Et je crains qu'aucun professeur de l'école ne cautionne ou n'accepte de surveiller un futur essai, en raison des risques encourus par Alixtide! Jason, vous pouvez me regarder en face : je n'ai pas encore un regard qui tue." fit-elle avec un air plus maternel qu'à son habitude.
En écho aux inquiétudes de Charis et à la question du mutant puant, Sahari s'adressa à Alixtide :
"Je ne suis venue ici pour voir personne en particulier. Simplement des élèves qui connaîtraient des gens sur Génosha... mais avant de parler de tout ça, Alixtide, vous devriez nous rassurer tous les trois sur votre état... Ça n'a pas vraiment l'air d'être la forme!"
Et Sahari calcula mentalement si la benne à ordure ou la poubelle de la cuisine était la plus près d'ici... au cas où le jeune homme devrait reprendre des forces.
En même temps, Charis et Jason semblaient réellement désolés et au travers les propos incohérents d'Alixtide, on semblait discerner qu'il excusait lui-même ses collègues. Ou du moins il tentait de dire que Jason ne lui voulait pas de mal et qu'il fallait les excuser, Charis et lui.
Elle finit par leur sourire, à tous les trois.
"Très bien, il y a eu méprise, vous semblez tous les trois d'accord sur ce point. Je suis désolé de m'être emportée si rapidement, mais je vous prierais de ne pas recommencer... Et je crains qu'aucun professeur de l'école ne cautionne ou n'accepte de surveiller un futur essai, en raison des risques encourus par Alixtide! Jason, vous pouvez me regarder en face : je n'ai pas encore un regard qui tue." fit-elle avec un air plus maternel qu'à son habitude.
En écho aux inquiétudes de Charis et à la question du mutant puant, Sahari s'adressa à Alixtide :
"Je ne suis venue ici pour voir personne en particulier. Simplement des élèves qui connaîtraient des gens sur Génosha... mais avant de parler de tout ça, Alixtide, vous devriez nous rassurer tous les trois sur votre état... Ça n'a pas vraiment l'air d'être la forme!"
Et Sahari calcula mentalement si la benne à ordure ou la poubelle de la cuisine était la plus près d'ici... au cas où le jeune homme devrait reprendre des forces.
- Jason RedclifOnyX
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Re: des longueurs contre les langueurs
Ven 23 Oct 2009 - 21:32
Cherchant du regard Charis, de qui viendrait surement le salut, les filles ça sait toujours mieux réagir sur le coup que les garçons, Jason entendit en arrière plan Alixtide qui les disculpaient !. Alixtide ! Qui les disculpaient !
Deuxième choc de suite, Jason tourna immédiatement la tête vers le breton, ne comprenant plus rien. Et il le vit, à peu près dans le même état émotionnel que lui, bien que pour d'autres raisons. Charis réagit effectivement à ce moment la, et expliqua de façon plus rationnelle la situation, en se dirigeant vers le porcher breton. N'empêche, Jason n'en menait pas large. Et puisque Son ex prof référente le lui demandait, il redressa fièrement la tête, se mordant la lèvre, et la regarda. Ses yeux brillaient, pas parcequ'il était pris en faute, pas parcequ'il avait mis sa fierté au placard, pas parcequ'il avait le plus profond respect pour Mamzelle fouba. Mais parceque soudain, comme lorsqu'un film lui révélait une vérité ou une émotion qu'il ne s'attendait pas à trouver en le regardant, il pris conscience d'une chose. Alixtide pouvait vraiment être en danger sans son environnement si particulier. Une énorme différence. Il pouvait rendre les gens malades, leur filer la gerbe, des champignons ou une fièvre de 3 jours, mais il ne les mettaient pas en danger. Jason, dans son inconscience et sa vanité, si l'expérience était allé jusqu'au bout, aurait réellement pu faire du mal au breton.
Sachant d'avance qu'il allait regretter ça, et planifiant la suite, à base de douches et autres antibiotiques de sureté, il inspira un bon coup et se dirigea sans sourciller vers le breton, fixant ses yeux clairs comme un phare au milieu de la marée noire.
"chui désolé alix. Je me rendait pas compte, à quel point c'était ... jveux dire... chui désolé." il ne lui demanda rien. Il le pris simplement dans ses bras, faisant fit, alors qu'il ne s'en croyait pas capable, de la saleté, et le porta, un bras calé sous ses genoux, l'autre lui tenant le dos, et il avait passé le bras de alixtide sur ses propres épaules, pour afirmer la prise.
"mamzelle fouba ? on va la cuisine ? pour.. euh.. les détritus... c'est comme pour nous non ? vaut mieux prévenir que guérir . Sinon si ça va, ben , je propose le foyer. il reste toujours de vieux morceaux de pizza degueu la bas, et ton journal y sera à coup sur. Bon et puis faudra netoyer la piscine hein... parceque tout le monde à pas la chance de pouvoir résister à ça longtemps. Sinon, ben , maame fouba, j'ai fait beaucoup de travaux la bas, et j'ai pu agir sous les directives de comodo, et discutter déco avec Rainbow, chouette fille. Bien sur, il doit y avoir amethyste et les autres, sur place." et , malgré l'odeur, il repris un peu de fierté et trouva même suffisament d'humour à la situation pour sourire. Regardant alixtide "et puis comme ça on fera une entrée remarqée, quoi qu'il arrive".
Il n'avait pas trouvé de main à serrer, alors à la place il fit un bras d'honneur à son cher papa.
Deuxième choc de suite, Jason tourna immédiatement la tête vers le breton, ne comprenant plus rien. Et il le vit, à peu près dans le même état émotionnel que lui, bien que pour d'autres raisons. Charis réagit effectivement à ce moment la, et expliqua de façon plus rationnelle la situation, en se dirigeant vers le porcher breton. N'empêche, Jason n'en menait pas large. Et puisque Son ex prof référente le lui demandait, il redressa fièrement la tête, se mordant la lèvre, et la regarda. Ses yeux brillaient, pas parcequ'il était pris en faute, pas parcequ'il avait mis sa fierté au placard, pas parcequ'il avait le plus profond respect pour Mamzelle fouba. Mais parceque soudain, comme lorsqu'un film lui révélait une vérité ou une émotion qu'il ne s'attendait pas à trouver en le regardant, il pris conscience d'une chose. Alixtide pouvait vraiment être en danger sans son environnement si particulier. Une énorme différence. Il pouvait rendre les gens malades, leur filer la gerbe, des champignons ou une fièvre de 3 jours, mais il ne les mettaient pas en danger. Jason, dans son inconscience et sa vanité, si l'expérience était allé jusqu'au bout, aurait réellement pu faire du mal au breton.
Sachant d'avance qu'il allait regretter ça, et planifiant la suite, à base de douches et autres antibiotiques de sureté, il inspira un bon coup et se dirigea sans sourciller vers le breton, fixant ses yeux clairs comme un phare au milieu de la marée noire.
"chui désolé alix. Je me rendait pas compte, à quel point c'était ... jveux dire... chui désolé." il ne lui demanda rien. Il le pris simplement dans ses bras, faisant fit, alors qu'il ne s'en croyait pas capable, de la saleté, et le porta, un bras calé sous ses genoux, l'autre lui tenant le dos, et il avait passé le bras de alixtide sur ses propres épaules, pour afirmer la prise.
"mamzelle fouba ? on va la cuisine ? pour.. euh.. les détritus... c'est comme pour nous non ? vaut mieux prévenir que guérir . Sinon si ça va, ben , je propose le foyer. il reste toujours de vieux morceaux de pizza degueu la bas, et ton journal y sera à coup sur. Bon et puis faudra netoyer la piscine hein... parceque tout le monde à pas la chance de pouvoir résister à ça longtemps. Sinon, ben , maame fouba, j'ai fait beaucoup de travaux la bas, et j'ai pu agir sous les directives de comodo, et discutter déco avec Rainbow, chouette fille. Bien sur, il doit y avoir amethyste et les autres, sur place." et , malgré l'odeur, il repris un peu de fierté et trouva même suffisament d'humour à la situation pour sourire. Regardant alixtide "et puis comme ça on fera une entrée remarqée, quoi qu'il arrive".
Il n'avait pas trouvé de main à serrer, alors à la place il fit un bras d'honneur à son cher papa.
- InvitéInvité
Re: des longueurs contre les langueurs
Dim 25 Oct 2009 - 14:30
Les paroles sensées et véhémentes de Charis glissèrent sur Alixtide comme l'eau sur les galets. Tout ce qu'il nota, c'est le déplacement dans l'espace de l'hydrokinésiste. Le Breton scrutait surtout la réaction de Sahari, et il saisit avec acuité et jalousie le beau regard plein de tendresse que l'africaine accorda à Jason.
"Moi je connais des gens ! J'en ai sauvé !! Kelbopétrole je connais ! Il est sur Ganosha, je peux vous en parler tout de suite ! Posez-moi les quest.."
Répliqua-t-il immédiatement à la question de la référente OryX. Mais il s'interrompit dans ses pensées brouillonnes, car Jason le fixait maintenant d'un air... déterminé. Oui c'était le mot. Il allait droit sur lui, vers une collision inévitable. Et ce qu'il prononçait ne faisait aucun sens pour le Breton.
Néanmoins, pendant ce cours laps de temps, le porcher ne vit que cette athlétique et puissante silhouette parsemée de tatouages mystiques et de gouttelettes d'eau brillantes comme des diamants, et les deux yeux vert émeraude qui .... pas d'erreur ... fixaient bien les siens.
Puis Alixtide reprit conscience de son corps, qui ne touchait plus le sol, mais qui était désormais entouré de Jason. La voix de Jason, plus forte, confirma la proximité suprême du bel OryX. Le Breton sursauta presque, et faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il s'accrocha donc à son sauveur.
Il frissonnait, sûrement à cause de ses habits trempés de pied en cape.
"Heu oui je veux bien faire une entrée remorquée avec toi au foyer quand tu seras libre."
Il cligna des yeux et se rappela la présence des deux autres femmes. Créatures insondables et étranges. Alixtide remarqua que contrairement à Niko ou Georgia, qu'il avait étreins par le passé, Jason n'avait pas des formes aussi moelleuses et rondes. Au contraire, ses épaules, son torse et ses bras avaient une consistance ferme et musclée. Tout cela lui inspira une sensation de stabilité et de chaleur protectrice. Ainsi en comparaison, les masses corporelles de Niko et Georgia semblaient beaucoup plus étouffantes qu'autre chose. Oui Jason avait quelque chose de ... beaucoup mieux.
Alixtide d'ailleurs n'hésitait pas à mettre à l'épreuve les épaules de l'Oryx avec son bras de miraculé.
Il tendit le cou pour faire néanmoins un grand sourire à Sahari.
"Je crois Madame Fouba que tout va très bien et même bien mieux. Charisse et Gason m'ont aidé et il se fait que je contrôle mon pouvoir."
Il désigna du menton, la piscine d'eau brune, pour preuve de ses dires. Puis reposa sa tête fatiguée dans le cou de Jason.
"Ca m'a quémandé beaucoup d'énergie... Mais maintenant, Gason, tu pourrais par exemple dire à Camille qu'elle ne te dise plus de ne pas me laisser t'apporcher. Dis lui que par exemple je n'avais jamais purin vu tes tatouages avant là... et que si maintenant je les trouve purin très atristiques et très beaux, c'est bien une purin preuve de je contrôle mon pouvoir. Et mon ami de Ganosha, Kelbopétrole, pourra aussi te le dire."
"Moi je connais des gens ! J'en ai sauvé !! Kelbopétrole je connais ! Il est sur Ganosha, je peux vous en parler tout de suite ! Posez-moi les quest.."
Répliqua-t-il immédiatement à la question de la référente OryX. Mais il s'interrompit dans ses pensées brouillonnes, car Jason le fixait maintenant d'un air... déterminé. Oui c'était le mot. Il allait droit sur lui, vers une collision inévitable. Et ce qu'il prononçait ne faisait aucun sens pour le Breton.
Néanmoins, pendant ce cours laps de temps, le porcher ne vit que cette athlétique et puissante silhouette parsemée de tatouages mystiques et de gouttelettes d'eau brillantes comme des diamants, et les deux yeux vert émeraude qui .... pas d'erreur ... fixaient bien les siens.
Puis Alixtide reprit conscience de son corps, qui ne touchait plus le sol, mais qui était désormais entouré de Jason. La voix de Jason, plus forte, confirma la proximité suprême du bel OryX. Le Breton sursauta presque, et faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il s'accrocha donc à son sauveur.
Il frissonnait, sûrement à cause de ses habits trempés de pied en cape.
"Heu oui je veux bien faire une entrée remorquée avec toi au foyer quand tu seras libre."
Il cligna des yeux et se rappela la présence des deux autres femmes. Créatures insondables et étranges. Alixtide remarqua que contrairement à Niko ou Georgia, qu'il avait étreins par le passé, Jason n'avait pas des formes aussi moelleuses et rondes. Au contraire, ses épaules, son torse et ses bras avaient une consistance ferme et musclée. Tout cela lui inspira une sensation de stabilité et de chaleur protectrice. Ainsi en comparaison, les masses corporelles de Niko et Georgia semblaient beaucoup plus étouffantes qu'autre chose. Oui Jason avait quelque chose de ... beaucoup mieux.
Alixtide d'ailleurs n'hésitait pas à mettre à l'épreuve les épaules de l'Oryx avec son bras de miraculé.
Il tendit le cou pour faire néanmoins un grand sourire à Sahari.
"Je crois Madame Fouba que tout va très bien et même bien mieux. Charisse et Gason m'ont aidé et il se fait que je contrôle mon pouvoir."
Il désigna du menton, la piscine d'eau brune, pour preuve de ses dires. Puis reposa sa tête fatiguée dans le cou de Jason.
"Ca m'a quémandé beaucoup d'énergie... Mais maintenant, Gason, tu pourrais par exemple dire à Camille qu'elle ne te dise plus de ne pas me laisser t'apporcher. Dis lui que par exemple je n'avais jamais purin vu tes tatouages avant là... et que si maintenant je les trouve purin très atristiques et très beaux, c'est bien une purin preuve de je contrôle mon pouvoir. Et mon ami de Ganosha, Kelbopétrole, pourra aussi te le dire."
- Luther PollenderJustiX
- Age : 35
Equipe : JustiX
Nom de code : Synergy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: des longueurs contre les langueurs
Dim 25 Oct 2009 - 17:40
"Ben c'est du propre ça Jason..."
marmonna Luther l'air écœuré de la voir en compagnie aussi intime avec Alixtide. La chose néfaste et nauséabonde... Pour le coup, Jason n'était pas près de ravoir Luther dans ses bras ! Il n'avait pas du tout envie d'attraper la crasse, la gale, la peste bubonique ou le tétanos. Ou tout ça en même temps.
Atterré, il regarda la piscine, dont l'apparence trahissait une utilisation par la seule personne au monde qui ne devait pas l'utiliser...
Il se tourna alors vers Sahari, qui s'interrogeait des accointances des élèves pour les Génoshéens, et s'élança alors.
"Moi Mlle Fouba ! Moi je connais les Génoshéens. Qui y'avait... Y devait y avoir une couple de gars que j'ai trèèèèèèèèèès bien connu. Chu sûr que je peux retrouver leurs prénoms et leurs numéros de téléphone dans mes affaires de cet été." expliqua-t-il en lançant un regard appuyé à Jason. Tout ceci n'était pas forcément vrai, mais à jaloux, jaloux et demi.
"Pis aussi les morons qui voulaient me faire tomber de mon fauteuil de plage, pis ptet encore un autre chummy ou deux. C'était cool les vacances. J'adore la plage."
Et un sourire charmeur pardessus ça...
marmonna Luther l'air écœuré de la voir en compagnie aussi intime avec Alixtide. La chose néfaste et nauséabonde... Pour le coup, Jason n'était pas près de ravoir Luther dans ses bras ! Il n'avait pas du tout envie d'attraper la crasse, la gale, la peste bubonique ou le tétanos. Ou tout ça en même temps.
Atterré, il regarda la piscine, dont l'apparence trahissait une utilisation par la seule personne au monde qui ne devait pas l'utiliser...
Il se tourna alors vers Sahari, qui s'interrogeait des accointances des élèves pour les Génoshéens, et s'élança alors.
"Moi Mlle Fouba ! Moi je connais les Génoshéens. Qui y'avait... Y devait y avoir une couple de gars que j'ai trèèèèèèèèèès bien connu. Chu sûr que je peux retrouver leurs prénoms et leurs numéros de téléphone dans mes affaires de cet été." expliqua-t-il en lançant un regard appuyé à Jason. Tout ceci n'était pas forcément vrai, mais à jaloux, jaloux et demi.
"Pis aussi les morons qui voulaient me faire tomber de mon fauteuil de plage, pis ptet encore un autre chummy ou deux. C'était cool les vacances. J'adore la plage."
Et un sourire charmeur pardessus ça...
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