Re: Japon, dans Tokyo

[HJ: Et dans la logique des événements, le policier t'aurait abattu. Des fois, on doit faire autrement...]

Le policier regarda Metsuki et lui dit

"Tu y étais presque. Je me suis renseigné et apparemment tu es ce qu'on appelle, un mutant, ces monstres qui terrorise les humains et les tuent. Le gouvernement japonais ne veut pas de vous. Par contre les américains se sont proposés. Ils s'occuperont de vous et feront le nécessaire"

Aka haussa un sourcil, septique.

- Hum hum... C'est bien parce que je ne veux pas du gouvernement japonnais non plus. Et entre toi et moi, les hommes se terrorise pas mal plus entre eux que je pourrais le faire... Sans compter que c'Est pas moi le manic qui tire partout je te ferai remarquer... Chouette... je vais quitter une bande de malade pour une autre, c'est vraiment la joie j'ai peine à y croire. Bon alors vous aller m'exporter quand? Pas que j'aime pas votre compagnie, mais j'ai deja rencontré des rats plus amicals dans les poubelles...

"Ecoute le mutos, si on avait envie d'avoir ton avis, on te l'aurait demandé. En attendant, j'ai encore une heure de tête à tête avec toi avant qu'on ne vienne te chercher. Et comme tu le dis si bien, je suis un maniac qui tire partout. J'ai vu que tu guérissais vite, tu crois que si je te coupe les couilles elles vont repousser? Alors tais-toi maintenant, tu vas bientôt être transféré... où, je n'en sais rien, mais je suppute déjà que ce sera dans un endroit fort peu agréable"

Une heure après, une dizaine de soldat arrivèrent. Les américains.

"Agent Wu, merci pour la capture du mutant, désormais nous nous en occupons"

Deux soldats utilisèrent des armes électriques pour immobiliser Metsuki alors qu'un autre lui mit des menottes aux poignets.

Aka ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais la referma aussitôt, tenant tout demême à ses bijoux de famille. Il resta bien sage, n'ayant pas vraiment le choix après tout. Le temps lui paraissait encore plus long que d'habitude dans ce genre de situation si peu agréable.

En voyant les dix soldats entré il ne fut pas vraiment étonné et se laissa patéhtiquement faire, n'ayant plus vraiment envie de tenter quoi que ce soit, étant profondément ennuyé et en ayant profondément marre. Il grogna un peu sous le manque de délicatesse des hommes.

- Hey ça va ça va je me laisse faire pas la peine d'être aussi violent je vous mangerai pas putain...

Un des policiers avec des rangers donna un violent coup de pied dans la tête de Metsuki

"Ta gueule le mutos!"

Ils le trainèrent en dehors de la salle et à travers les couloirs du commissariat. Une fois à l'extérieur, une grosse camionnette noire sortit d'un coin de rue et s'arrêta. Les soldats lancèrent Metsuki comme un vieux sac de patates à l'intérieur. Le camion se dirigeait vers le port.

"T'imagines pas combien tu vas souffrir, sale erreur de la nature!"

Aka grogna encore une fois de douleur, c'était devenu redondant depuis un certain temps. Il se laissa trainé, en ayant juste trop marre, se demandant même si ça vaudrait la peine d'essayer de se sortir de là. Il poussa un gros soupire, ignorant les soldat présent, repensant plutôt à ce qui c'était passé quelques années plutôt. Finallement son père et sa mère avaient eu en quelques sorte raison. Il n'était pas un démon... mais plutôt une abération craint par la société et donc un rat de laboratoire avec qui on s'amusera le temps qu'il soit divertissant et utile avant de s'en débarasser et passer à autre chose.

Il jeta un coup d'oeil aux soldats. Des américain en plus, décidément les choses ne pourraient pas être pire pour lui. Étant fan de chose morbide et sanglante, il n'avait pas de mal à imaginer toute les chose possible et innimaginable qu'ils pourraient s'amuser à lui faire. Et vue sa régénération, ce sertait encore pire.

- Au contraire, j'imagine que trop bien ce que des soldats américains pervert et sadique sont capable de faire...

Le soldat américain se mit à rire grassement en se moquant de Metsuki. Il enleva son casque laissant voir son crâne rasé. Agé de trente-cinq, peut-être quarante ans, le soldat jeta un regard qui en disait long. Metsuki allait souffrir... Il commençait à en avoir l'habitude, mais c'était un mutant, qui en plus dealait de la drogue. Les soldat s'adressa à son coéquipier

"Eh Jack, tu as entendu, ce chintok nous a traité de pervers et de sadiques"

Jack riant à gorge déployé s'approcha de Metsuki et sortit un canif

"Mais c'est qu'il a raison le mutos, nous sommes vraiment sadiques"

Il posa le couteau sous la gorge de Metsuki puis l'enleva immédiatement, toujours en riant...

"Allez, Charlie, on s'en s'en fout de lui, de toute manière ce sont pas les soldats les pires, ce sont nos chercheurs. Tu vas te faire disséquer"

La voiture se dirigeait vers l'aéroport.

Aka releva encore une fois les yeux vers eux avant de les baisser sur la lame qui était sur sa gorge. Il ne dit cependant rien. Il regarda autour de lui, malgré son dépespoire, il ne ne voulait pas mourrir, pas encore, il y avai encore trop de chose qu'il désirait vivre. Il regardait partout, cherchant des yeux un moyen quelconque qui lui permetrait de se sortir de là, même s'il doutait fort pouvoir en être capable.

- Hey! Je ne suis pas un CHINTOK je suis japonais. Si tu n'es pas assez inteligent pour faire la différence, tais toi au lieu de dire des bêtise. Ta mère t'as jamais enseigné ça?

Jack s'approcha avec son petit couteau et dit:

"Ecoute sale chintok, tu vas te la fermer et arrêter de nous parler comme ça..."

Charlie intervint alors:

"Jack, il ne faut pas l'abîmer, il faut qu'il soit en état de marche pour les expériences qu'il va subir... On s'en fout de ce qu'il dit, ce n'est qu'un fils du diable, un mutos! Regarde ses yeux..."

Il se mit alors à rire. Le camion s'arrêta alors, Jack se rapprocha de Metsuki

"Ca y est le Chintok, nous sommes arrivés"

Aka faillit sourire pour n'arguer l'homme, mais il n'en fit rien. Il ne broncha pas en voyant le petit couteau de l'homme, mais se figea en entendant qu'ils était arrivé. Son coeur battait à tout rompre et il avait peur, très peur. Il avait plus d'ambition que de finir su une table d'opération à se faire jouer dans le corps comme un vulgaire cadavre. De toute façon de ce qu'il pouvait savoir ses organes était tous tout a fait normal et il ne voulait pas vérifier non plus.

- Eh merde...

Il y avait trop de soldat pour qu'il puisse réussir à s'enfuire les mains attacher derrières le dos, c'était vraiment peine perdu.

Des soldats ouvrirent alors l'arrière du fourgon et sortirent de force Metsuki, sans ménagement, le trainant jusqu'au bateau. Certains le tenaient en jout. Une fois dans le bateau, Metsuki fut emmené jusqu'à une cage, relativement grande. Une femme avec un costume de l'armée s'assit devant la cage. Elle avait une arme avec elle. Jamais Metsuki n'a vu une tel arme et ignorait tout de son utilité, bien qu'il devait se douter qu'elle n'était pas là pour faire du bien.

"Metsuki Aka, je suis le lieutenant-Colonel Catherine Jones. Je suis chargée de vous surveiller durant la traversée. Demain, nous arriverons au port de Seattle où vous serez transférés dans l'hôpital St Georges. Si vous tentez de vous échappez de ce bateau, il explosera et vous avec, forcément. Le gouvernement américain refuse de prendre trop de risques..."

Aka résista un peu même si c'était peine perdu. Une fois dans le bateau il soupira, tournant la tête pour regarder une dernière son pays natal. Maintenant dans la cage il soupira et s'assit dans un coin, au fond, adoser sur une des parroit, les jambe replier et le visage dans ses genoux. Il haussa les épaules aux paroles de la femme.

- Bof si j'explose au moins j'aurai ma liberté...

Il garda le silence un moment, ne bougeant pas.

- J'imagine que vous avez pas le droit de me donner à manger... et pourquoi un hôpital? Si vous avez le droit de répondre. Et c'est pas pour te décevoir, mais je ne suis pas Hercule je suis pas pcable de détruire une cage alors tu vas t'ennuyer t'aurais du apporter un livre...

"Bien sur que j'ai le droit de vous donner à manger. Les soldats que vous avez croisé sont un peu rustres, mais ne vous en faites pas, nous ne sommes pas tous comme eux. Je vais vous faire apporter à manger, il ne faudrait pas que vous mourriez durant le transport. Le gouverment exige que vous soyez en bonne santé."

Catherine appuya sur un bouton

"En attendant, je vous conseille de vous reposer; quant à ce qui vous attend à l'hôpital, je n'en suis pas informé"

Aka releva la tête vers elle avec un air interloqué alor qu'elle lui dit qu'il pourrait manger. Il la regarda un instant avant de rebaisser la tête s'imaginant déja les horreurs qu'ils pourraient lui donner à manger.

- Je n'ai pas vraiment envie de me reposer, dans une cage, dans un bateau, qui m'ammène tres loin de chez moi. Et désolé, mais ma confiance en la race humaine est devenu dans les -0 kelvin depuis je sais pas trop quand, je ne sais même plus quand on est. Mais remercier le policier qui m'a tirer dessus je ne sais pas combien de fois pour ça et ma "bonne santé".

Il soupir et pencha la tête vers l'attière, l'appuyant contre un barreau en soupirant.

- Vous savez ce qu'on va me faire là-bas? De ce que je sais, ça ne sera pas un camp de vacance...

"Je vais vous répondre franchement"

La jeune femme ferma totalement son visage

"Vous êtes un mutant, l'agent Wu a fait son boulot en vous appréhendant. Sa méthode ne nous regarde pas, l'état dans leque vous êtes lorsqu'on vous a livré aux autorités américaines ne dépend pas de nouveau. Nous n'aggraverons pas votre cas. Quoiqu'il en soit, l'hôpital fera certainement des expériences sur vous, il ne faut pas vous leurrer là-dessus..."

La policière partit ensuite et rapporta à manger à Metsuki. Le voyage se fit sans autre encombre. Metsuki s'endormit, il y avait des médicaments dans la nourriture. Il se réveilla dans une pièce blanche accroché à un lit par des lanières en cuir.

Aka ouvrit lentement les yeux, se sentant encore un peu étrange. Il cligna des yeux et regarda autour avant de se raidir, un frisson d'horreur parcourant tout son être. Il tenta de bouger les bras et les jambes pour constater qu'il était attacher aux quatres membres. Il grogna un moment avant de soupirer sachant que trop bien que ça ne servirait à rien.

Il serra les poings, assez fort pour que ses ongles s'enfonce dans sa peau et que quelques gouttes de sang s'en échappa, mais les plaie se refermère aussitôt. Aka tourna la tête de coté, fixant un mur, se trouvant à souhaiter avoir été tuer par son père quelques années au paravant.

On ne pouvait pas faire confiance à personne dans ce monde, la seule personne qui aurait pu l'aider se trouvait très loin et il ne pouvait le contacter. Et même si il aurait pu, il ne l'aurait sans doute pas fait pour ne pas le mettre en danger lui aussi.

Aka fronça les sourcil et grogna encore une fois, tirant un bon coup encore une fois. Il n'allait tout de même pas se laisser faire par ces imbécile assoifé de pouvoir ou de peu importe ce qu'ils espéraient obtenir de lui. Il avait autant le droit de vivre en paix que n'importe qui, il n'avait jamais décidé d'être ce qu'il était et il ne passerait pas le reste de ses jour à servir de sujet d'expérimentation à des maniac.

Les liens ne cédaient pas, ils étaient trop solides et Aka aurait dû forcé bien plus. C'est alors que deux médecins entrèrent suivis d'un jeune femme. Ils étaient habillés en blanc et ils mirent de longs gants. L'un, le plus âgé se tournant vers la jeune femme

"Lise, scalpel s'il vous plait"

Il jeta un rapide coup d'oeil à Metsuki puis dit à voix haute

"Sujet 322, il est 22h30. Le sujet semble pouvoir cicatriser très rapidement."

Il prit alors le scalpel et entailla le bras droit de Metsuki sur 20 centimètres de longueur et plus d'un de profondeur. La blessure se refermait lentement.

"Hypothèse numéro 1 prouvé. Le sujet semble faire couler du sang de ses yeux, en permanence."

Il s'approcha avec scalpel et taillada très légèrement la paupière inférieure

"Source non trouvée. Il s'agit vraisemblablement de sang; faire des analyses plus profonde pour en trouver la cause"

Et la séance continua ainsi plusieurs heures. Metsuki se finit découper, percer, électrocuter. Diverses tortures plus douleureuses les unes que les autres. Au bout d'un moment, le docteur dit

"Séance terminée pour aujourd'hui"

Les médecins enlevèrent leurs gants puis quittèrent la pièce. Metsuki n'avait pu tout cicatriser pour le moment, mais ça allait venir, il fallait juste laisser le temps au temps. Une infirmière entra accompagnée de deux gardes. Elle accompagna Metsuki jusqu'à sa chambre qui avait une petite fenêtre avec des barreaux. Elle laissa Metsuki attachée puis quitta la chambre après avoir fermé la porte. S'il avait pu voir par la fenêtre, il se serait rendu compte qu'en fait, cet hôpital était en plein centre ville de Seattle et que lui ne se trouvait qu'au deuxième étage. L'insonorisation était très efficace. Deux gardes étaient potés devant la porte

Aka grogna en sentant qu'il n'était pas suffisemment fort pour les liens, puis il se figea et voyant les médecins entrer. Il se mit à trmbler et les regardait avec un air affolé.

- Non... non... bande de con sa prend pas un génie pour voir ça!!

En sentant la lame dans son bras il poussa un cri de douleure, sa respiration étant accéléré. Alors qu'ils aprochèrent la lame de son oeil il les ouvrit grand d'horreur avant de le refermer, criant encore une fois, essayant de se débattre comme un diable par la suite.

Alors que tout fut terminer pour la journée, il se laissa conduire à une chambre, ayant encore mal. Il soupira alors qu'on le laissa seul et ilk tourna la tête vers la fenêtre laissant quelques larmes se mélanger au sang de ses yeux. Il serra les dents, ferma les yeux, il aurait donné n'importe quoi en se moment précis pour sortir de là. Il ouvrit à demi les yeux et regarda vers la fenêtre encore, appercevant à peine un coin du ciel. Il poussa un grognement sourd, sa vision se brouillant de larmes, de rage et de désespoire.

Malgré sa douleur il rassembla toute les force qui lui restait à essayer de se sortir des liens désespérement, se fichant de la douleur et de la résistance du cuir. Il n'allait pas se laisser faire, supporter tout ça. Il ne voulait pas mourrir dans ce trou et encore moins y rester pendant des années à servir de sujet d'autopsy vivant.

Aka mettait toutes ses forces afin de se détacher. Finalement le lien de son poignet droit se brisa. Toujours seul dans cette pièce qui ne semblait pas équipée de caméro de vidéo-surveillance. Cependant, il y a avait toujours deux gardes à l'entrée et des barreaux à la fenêtre.

Aka regarda son poignet et faillit sourire. Il soupira soulager et alla déttacher son autre poignet pour pouvoir s'assoir. Il regarda autour et resta silencieux, essayant de trouver une quelconque façon de s'évader. Il regarda la fenêtre, c'était visibleemnt impossible qu'il puisse sortir par là. Il n'arriverait pas à arracher ou briser les bareau et encore moins à passer entre. Peut-être pourrait t'il s'occuper des gardes, mais comment ferait t'il pour sortir par la suite? Il soupira et pensa un instant. Finallement il se pencha et alla désserer les liens de ses pieds et se recoucha, repassant des bras dans les lanière de cuire lâche.

Il attendrai qu'on vienne le nourrir ou le martiriser. Quand ils serait prêt et la porte ouverte, il tenterait une évasion, avant cela, ça ne vallait pas la peine de gaspiller ses forces.

Metsuki attendit une bonne demie-heure puis la porte s'ouvrit. C'était une jeune infirmière, la trentaine, habillée tout en blanc avec un plateau et de la nourriture. Derrière elle, les deux gardes, armés, la surveillaient. Elle entra dans la pièce...

Aka resta plus ou moins tranquil, attendant patiement que quelque chose arrive. Il releva la tête alors qu'il vit la femme. Elle n'avait sans doute rien à voir avec eux... mais si elle était là elle n'était probablement pas contre son incarcération. Elle devait elle aussi croire qu'il était un monstre. Comme tout le monde d'ailleur. Il regarda les gardes, se demandant pendant un instant comment il allait bien pouvoir sortir de là. Il regarda la femme, puis les hommes et opta pour la solution qui lui semblait la plus efficace, bien qu' il doute qu'il réussirait à sortir, il arriverait sans doute une connerie pour le retenir encore ici. Il attendit un peu et se redressa rapidement et attrapa la femme, pressant une des lanière de cuire autour de son cou. Il lança un regard noir et détermné vers les deux gardes.

- Laissez moi passer!! Déposer vos armes!! Et ne tentez rien sinon je l'étrangle!!

Il se pencha à l'oreille de la femme et lui murmura d'un voix plus douce, pour que seul elle entende.

- Je suis désolé madame, mais je n'ai pas le choix je ne resterai pas ici à me faire torturer... je ne suis pas un monstre je n'ai voulu faire de mal à personne moi... Aidez moi je vous en pris et tout iras bien...

Il la tenait fermement pour faire sur qu'elle ne pourrait s'échaper, mais il avait peur, peur que ça ne marche pas et peur de devoir tuer cette femme. Il n'aurait eu aucun remord de prendre la vie d'un des docteurs qui c'était fait un plaisir fou à lui fair mal précédemment, mais cette femme... Elle n'avait peut-être rien à voir la dedans.

La jeune femme avait peur, elle disait à Aka

"Pitié, pitié, ne me tuez pas"

Alors que les policiers qui avaient sortis leurs teaser guns mettaient en jout Aka bien qu'ils ne pouvaient pas faire grand chose

"Calmez-vous et libérez cette femme, c'est un conseil que je vous donne"

Mais Metsuki semblait comme vous et sous la menace pesant sur la jeune femme, il reculèrent de la porte afin de laisser Metsuki s'enfuir. La jeune femme commençait à sangloter, envahit par la peur de mourir

Aka était paniqué intérieurement. Il avait peur de rester prit ici et d'avoir encore mal, il avait peur de ce qu'il devrait faire et il avait peur de ce qui lui arriverait une fois dehors.

Alors que les gardes s'écartèrent de la porte il sortit, gardant la femme en hotage et se mit en route vers la sortit. Il regarda la femme et lui murmura à l'oreille.

- Menez moi vers la sortit et je ne vous ferez aucun mal. Quand je serai sortis je vous relâcherai et vous ne me revêrai jamais... Je ne suis pas un monstre comme eux. Je ne veux pas vous faire de mal... mais je n'aurai pas le choix de le faire si on ne m'écoute pas...

Aka espérait que la jeune femme le guide, ça irait plus vite que de regarder les indications Il marchait rapidement, le lacet de cuir sur la gorge de la femme, restant alerte et sur ses gardes.

Alors qu'Aka était presque au bout du couloir, un garde tourna légèrement la tête et appuya sur son oreillette, il murmura alors

"Code orange 356889124 avec un 5986. Quels sont les ordres? Bien chef..."

Le soldat donna alors un coup de poing contre le mur qui s'ouvrit. De là en sortit un fusil à canon scié et le garde le point sur Aka et l'infirmière. Il tira un coup dans le ventre de la femme. La balle lui traversa le ventre et blessa, quoiqu'assez superficiellement, Metsuki. L'homme tira à nouveau dans le bras d'Aka, dans le coup de la jeune infirmière qui hurlait. Elle s'écroula au sol, sans vie. En effet, les gardes avaient eu pour consigne de tirer dans le tas.

Mais heureusement Aka est au bout du couloir et ses blessures ne l'empêcheraient pas de courir, sur sa droite un autre couloir vide et au milieu du couloir une porte qui conduit aux escaliers.