Belgique ---- Aeroport de Zaventem (bruxelle)

Mais que faisait un japonnais dans un aéropor Bruxellois, bon alors peu être est-ce un touriste, un persone qui s'est égarrée par la par hassard, un femme d'affaire ou la femme d'un homme d'affaire.
Bon pour être précit Tenshi Shiro est un jeune femme, un trés jeuen femme d'affaire puisqu'elle a a peine 18 ans, mais comme elle parrais plus vielle et qu'elle est asez intelligente la jeuen femme a ouvert un entreprise d'oeuvre d'art et d'antiquité. Les antiquité se vende trés bien et de fait la jeune femme était a présent assez riche.

Mais pourquoi a Bruxelle , dans se petit pays pluvieux qu'est la belgique. En fait la jeune femme avait crut trouver ici un affaire juteusse et c'était retrouvée le nez dans le , non je ne dirait pas mot que vous penser. Berf la jeune femme se retrouvait gros gens comme devant, sans rien a se mettre dans les poches.

Elle avait alors décider de se rendre a l'aéroport pour prendre un billet, ou mais pour ou, depuis quelque temps elle voulait changer d'horrizon, de vie.

Dans la file qui la menait au guichet la jeune femme avait choisit sa destination. Enfin c'était son tour.

" Un billet pour New-York le plus tôt possible."

Enfin elle eu son billet elle partait demain. Le sourire au lévre elle marcha dans le hall de l'aéroport.

[ Je ne suis pas sur pour l'orthographe de Zawentten. Mais je sais qu'il existe.^^]

Que d'agitation pour un petit aéroport international... ça fourmillait et grouillait de partout, rumeurs due aux nombreuses discussions, annonces aux hauts parleurs, comptoirs d'enregistrement, halls d'embarquement, ponctué par les sifflements des avions au décollage : leurs nouveaux réacteurs étant infiniement moins bruyants que les anciens.

C'est paradoxalement dans les endroits les plus bondés qu'on se sent le plus seul : personne ne faisait attention à elle. Bien sûr, beaucoup de gens la voyaient, mais personne ne la regardait. Cette mi-présence, mi-absence rendait les gens un peu transparents, disait une chanteuse d'un siècle passé.

Un lieu aussi bondé n'était pas très agréable non plus... Beaucoup d'émotions dans l'air : stress de départ, fatigue, anxiété, personnes apeurées par l'avion, lasses du travail, en attente de vacances, bébés qui hurlent...
Tenshi était assaillie d'émotions, et les répercutait aux gens autour d'elle, si bien que l'anxiété allait crescendo, s'amplifiant, se propageant... L'explosion était pour bientôt.

La préposée du guichet la regarda partir avec les yeux ronds, mais dehors, un peu à l'écart des gens, les choses se calmèrent pour Tenshi.

Un avion passa au dessus d'elle dans un sifflement léger. Une famille passa près d'elle : curiosité, peur, compassion. A croire qu'ils la prenaient pour une droguée, mais de toutes façons, ils passèrent sans lui prêter aucune attention.

Puis une jeune femme en tenue d'accueil de sa compagnie aérienne vint la voir :

"ça va aller mademoiselle ? Vous êtes sortie comme ça, ma collègue au guichet s'est inquiêtée. Vous savez, nous avons fréquemment des cas d'agoraphobie, nous avons un bureau particulier pour ces cas."

La jeune femme détestai qu'on la regarde ainsi, souvent quand elle était plus jeune les gens avait les même regard les même sentiment a son égard, cela l'avait mise dans des rages t'elle qu'il lui fallait de heure d'entrainement pour ce calmer. Heureusement a présent elle était plus calme, et se contrôlait mieux, enfin ces émotion car ces pouvoir c'était limite, elle avait faillit causer une émeute dans l'aéroport.

La jeuen femme se redressa et respira fortement la pression dans sa tête s'était appaissé. Quand la personne vint lui parler, elle pencha la tête sur le coté et écouta ce qu'elle disait, un léger sourire apparut sur ces lévre, si la pauvre femme savait, si elle savait la vrai raison de sa fuite.

" Je vous remercie mademoiselle, mais ca vas mieux, il me fallait simplement un peu d'air , je vais rentrer a l'hôtel."

La jeune femme eu un grand sourire et s'éloigna d'un pas presque alerte, et elle héla un taxi.

L'hôtesse d'accueil lui rendit son sourire, puis lui tendit son billet, qu'elle avait échappé dans la folie du moment.

"Voici, mademoiselle. Vous l'avez laissé tomber tantôt. Je vous dit donc à demain pour votre embarquement, et vous souhaite par avance un bon voyage"

Commerce, et sourire, telles étaient les devises des centres de formation... qui n'avait probablement pas vu passer le chauffeur de taxi.

Une icône sortie d'un autre époque. Un peu bedonnant, un peu bouffi, chauve en rémission, moustache aussi gauloise que le mégot qu'il avait collé aux lèvres, le tout dans un taxi qu'il avait affectueusement appelé "l'aimant à gonzesses" du fait des chromes rutilants et de la cylindrée aussi ronronnante que ses ronflements.

"Montez ma jolie, Cedric va vous emmener où vous voulez, au bout de la rue comme au paradis ! Pour vous, ce s'ra quoi ?"

Empathiquement, du désir, un peu de luxure, et de la résignation.