Repos dans le salon

Jay venait de se choisir une chambre, mais il n'avait pas très envie d'y rester. La curiosité le poussait à visiter les lieux, afin de voir les autres personnes vivant ici, les autres mutants.
Ne sachant pas trop où aller, et voulant éviter les inspecteurs, car de toute façon il n'avait rien à leur dire, il décida d'aller dans le salon. Il s'installa dans un fauteuil, pour voir les élèves qui passaient, et puis pour voir ce que les autres faisaient ici.
Il ne se sentait pas totalement à l'aise, car il ne connaissait pas grand chose à tout cet environnement. Certains pouvaient parler dans la tête des autres et il y avait une espèce d'intelligence artificielle du nom de Cérébra... C'en était un peu trop d'un seul coup, enfin sans parler du corps qu'il y avait dans le jardin.
Mais heureusement, ce salon semblait tout à fait normal.

**je me demande vraiment comment le reste va se passer. Je n'ai même pas de quoi payer une scolarité... Oups**

Il commença à se demander si les frais ici étaient payant, et si jamais, comment il allait les payer. Après tout, il fallait bien pouvoir payer tout l'équipement et la nourriture et les salaires...

**je me disais bien que c'était trop beau... je vais vite finir dehors... enfin bon, en attendant, profitons-en!**

Il s'enfonça dans le fauteuil, prêt à faire une petite sieste, en attendant que des personnes arrivent.

Des pas feutrés glissèrent sur la moquette alors qu'un jeune homme blond grand et maigre entrait dans la pièce. Il était vêtu d'une paire de chaussettes vertes, d'un pantalon aussi jaune paille que ses cheveux, et d'un tshirt noir savamment déformé sur lequel était écrit en lettres jaunes "Born to be weird" avec un gros smiley dessus.

Il arpenta la pièce un instant, à la recherche de quelque chose que lui seul connaissait, puis s'arrêta en voyant Jay. Il tourna d'abord la tête à droite, puis à gauche, puis il le regarda à nouveau d'un regard bleu appuyé et insistant en pivotant légèrement la tête comme s'il essayait de ne le voir qu'avec un seul oeil. Une situation hautement destabilisante.

Brusquement, il tourna les talons et alla se munir d'un magasine qui trainait ici, l'un des siens, car la couverture était écrite en norvégien, et présentait un homme moustachu habillé en pêcheur qui arborait fièrement une vieille godasse au bout de sa canne à pêche. Il roula consciencieusement le magazine, s'approcha de Jay, se pencha pour mieux voir en plissant les yeux, et finalement, asséna un coup de magasine roulé sur la tête de l'innocent mutant.

"Ah non... Vous êtes réel, excusez-moi. J'ai cru que vous étiez un de ces monstres illusoires qui habitent les fauteuils et qui terrorisent les petits enfants."

Jay venait d'avoir son premier contact avec Sven.

Jay venait à peine de voir entrer une personne, qu'il se demandait déjà s'il avait bien fait de venir s'installer ici. Celui-ci le regardait bizarement puis lui mit un coup de magazine. Et enfin, lui parla dans sa tête.

**mais il est malade ce type ou quoi?**

Jay se leva, légèrement énervé.

-Mais ça vous prend souvent de taper sur les gens comme ça? Et c'est quoi cette histoire de monstres?

Il n'y comprenait absolument rien. S'il y avait quelque chose d'irréel ici, ce serait plutôt ce mec, assez bizarrement vêtu. Au moins lui était habillé de manière plus conventionnelle, jean et pull noir. Mais lui était trop bizarre.

-Et vous êtes qui? Et pourquoi vous m'avez parlé comme ça, ce n'est pas pour être méchant, mais je préfère quand on me parle normalement, je ne suis pas encore habitué...

Alors que Jay répondait à Sven, l'attention de ce dernier fut attirée par ce qui semblait être une feuille manuscrite sur la table basse du salon, et qu'il n'avait jusqu'ici jamais remarquée :

Jon Parker a écrit:Suite à l'incident de cet après-midi, je me rends compte que l'institut ne pourra rien m'apporter. Depuis mon arrivée les malheurs s'accumulent. J'ai fait de mon mieux pour utiliser mes pouvoirs pour faire le bien. Mais on ne peut faire le bien avec ce qui vient du mal. Une fille est morte cet après-midi, elle s'est sacrifiée et face au bornement de certaines personnes, ses efforts pour sauver ses amis et son honneur sont vains. Je ne puis tolérer un tel comportement et refuse de m'identifier à ces personnes. Je désire tirer un trait là-dessus. Karen a légué la moitié de ses biens à l'institut et le reste me fut laissé. Je n'accepte pas cet argent et le laisse aux mains de la justice.

Sven eut un pas de recul. S'il y a bien une chose qu'il n'aimait pas, c'est quand les choses et les gens bougeaient trop vite et parlaient fort. Déjà, ça faisait mal aux oreilles, et en plus, il n'était pas sourd, scrogneugneu.

Toutefois, il eut un regard plein de compassion pour cet individu qui ne connaissait pas les monstres.

"Ce sont des sofasphares l'ermite bambinophages. Ils sont illusoires, mais pour se nourrir, ils parasitent un sofa, et mangent les gens qui se trouvent dessus. Comme une murène."

Il marqua un temps d'arrêt, ne comprenant pas exactement de quoi Jay parlait.

"Ah moi, je m'appelle Sven. J'habite ici... Enfin... je crois."

Il oublia ensuite subitement la présence de Jay quand il remarqua la lettre sur la table basse.

"Ah, une lettre. Le facteur ouvre le courrier."

Il s'empara de la feuille de papier et la lut. Puis il la retourna, et la relut, puis il la prit à l'envers, et la lu encore tout en ponctuant sa lecture de "mmh mmh" sonores.

Il marmonna en norvegien des choses inintelligibles, puis remarqua à nouveau la présence de Jay.

"Je ne comprends pas" lui dit-il "c'est toi qui a mis cette lettre ? Si tu es là, c'est que tu n'es pas parti. Et c'est quoi cette histoire d'apporter... Il a du confondre l'Institut Xavier avec Xavier, le livreur de pizza. Sans doute une lettre de réclamations... Je devrais la donner à quelqu'un."

[HJ: désolé un problème avec les règles d'écrture, je croyais que tu me parlais par télépathie...]

Jay regarda Sven en se disant que ce mec avait vraiment l'air bizarre. Puis il se mit à coté de lui pour essayer de lire la lettre, avant que celui-ci n'aille la donner à quelqu'un d'autre.

-Je ne suis pas le facteur, et je n'ai pas écrit de lettre. Mais si elle est là, c'est qu'elle nous est destiné, à toi ou à moi.

Il essaya de lire la lettre, mais ne réussit qu'à en lire quelques mots.

**Karen, ça me dit quelque chose... la fille!**

Il se rappela la fille qu'il avait vu dans le jardin quand il était arrivé, et son nom était bien Karen, enfin il lui semblait.
Il regarda Sven avait un grand sourire.

-Je crois avoir compris... enfin c'est pas sûr mais bon. C'est une personne que j'ai vue quand je suis arrivé, enfin y avait un attroupement autour... et j'ai pas tout compris, mais le fait est qu'il n'est pas content, et qu'il part.

Il attendit une réaction de la part de Sven, pour voir si celui-ci était d'accord avec lui, ou tout simplement s'il l'avait écouté.

Sven regardait ailleurs, pendant que Jay parlait. Il regardait vers le jardin et l'agitation qui y regnait. Face au retour inopiné du silence, il se retourna.

"Mmh. Tu as vu, il y a plein de bazar dans le jardin, et les chinois du FBI. Je me demande ce qui a pu se passer pendant que j'étais en bas. Je suis sûr que cette lettre est une pièce à conviction. Que dit-elle déjà ?"

Il reprit le papier, et le relut.

"Karen ? Je croyais que c'était une fille. Pourquoi partirait-il alors ? Note que s'il est mort, il est bel et bien parti. Mais ce style pédant et égocentrique me rappelle plutôt l'autre grand dadais là qui rembarrait tout le monde pour se donner de l'importance. Sans doute de la famille..."

Il plia la feuille de papier en huit, puis la posa sur la petite table. Il retourna alors à la fenêtre, sa silhouette longiligne se découpant sur la baie vitrée.

"C'est fou ça, je ne reconnais personne... Ah, y'a Ivy qui passe, c'est une fille intelligente Ivy. Beaucoup de bon sens. Je pense qu'elle saura de quoi il retourne."

Il ramassa la feuille, puis sortit de la pièce, se souciant guère de savoir si Jay le suivait.

Foyer

Hall

Ernest arriva dans le salon ...Il dut s 'arrêter pour constater que ces pensées était fondées. Le salon etait magnifique, le luxe des temps anciens. Ernest ne regrettait pas sa maisonette en Pologne, pourtant y repenser le plongea dans une certaine nostalgie, sa mère allait-elle bien ? Il lui avait laisser de quoi vivre et évidemment il lui avait parler de son départ mais rien d'approfondie

" Je lui écrirai a l'occasion ..."

Ernest avanca , un bras serrer derriere le dos, il tatonna du doigt l'un des fauteuilos et finit par s'asseoir en croisant les jambes, ramenant ces mains sous son menton


* C est étrange tout de même , les éleves présents semble vivre ici dans une harmonie parfaite sans aucun adulte, totalement indépendant malgré les risques cité dans le journal, aucun ne semble avoir de séquelles ... tout le monde il est joli , tout le monde il est beau ...c'est de l'inconscience.. et l'encadrement laisse a désirer , ils aurait put imposer l'uniforme *

Ernest fronca les sourcils , il n'avait demander a personne le droit de s'installer ... comme les autres d'ailleurs ...

Jay avait écouté Sven puis l'avait regardé s'éloigner. Il ne comprenait absolument pas ce qu'il racontait mais il le trouvait marrant.

**y a vraiment des gens bizarre par ici...**

Alors qu'il s'apprêtait à sortir, car il voulait aller se reposer, il vit quelqu'un d'autre entrer. Quelqu'un qui avait l'air un peu plus... normal. Celui-ci s'installa dans un fauteuil, tranquillement.

**au moins certaines personnes ont l'air normal, mais bon je ne sais pas s'il sait ce qu'il se passe par ici... et principalement, s'il sait qu'il y a une morte entre nos murs...**

Jay finissant sa réfléxion, haussa les épaules et regarda vers la porte, en se demandant où Sven avait bien pû aller. Mais ne le voyant pas, il décida de se remettre dans l'un des fauteuils, pour l'instant.

Ernest n'avait absolument pas fait attention a Jay jusqu a maintenant , pour être honnête il ne l'avait pas du tout remarquer

Il jeta un bref regard sur ce dernier

* Encore un qui as l'air désemparé ...fameux .. Ils ont tous une case en moins dans cet institut, ou y en as au moins un qui sait pour qu'elle raison il est ici *

Le ridicule de la situation commencait a amuser Ernest, l"école recevait des ados dont la moitié ne comprenait pas leur présence en ces lieux, c'était pourtant simple...Il finit de fixer Jay , et laissant sa tête retomber sur une de ces mains il se décida a prendre la parole

" Bonjour "

Arnest sourit, c'etait la mondre des politesses

" Ernest Magguire, en chanté, et vous êtes ? "

Jay entendit une personne parler, c'était celle qui était entrée au moment où Sven sortait. Il leva la tête vers lui.

-Jay Sirian, enchanté également.

Il ne savait pas si celui-ci était aussi nouveau ou si ça faisait longtemps qu'il était là. Mais avec un peu de chance, il pourrait l'éclairer sur ce qui se passait ici.

-Dis-moi, tu connais quelque chose à ce lieu? Parce que les maigres explications qu'on m'a donné n'étaient pas vraiment clair, alors si jamais...

**ma question n'est pas clair non plus j'ai l'impression...**

-Enfin bon, pour faire plus simple... t'es nouveau?

**et après je me demande s'il y en a qui sont normaux, moi-même je me prendrais pour un dingue pour tourner autour du pot comme ça...**

Il attendit sa réponse, en espérant pouvoir une réponse plus clair que ne l'avait été le début de sa question.

Ernest se redressa, et posa gracieusement sa main sur l'accoudoir du fauteuil de Jay avant de se pencher sur lui

"Nouveau ...ca dépend le sens que tu y donnes...Si pour toi les " nouveaux " ce sont ces jeunes qui débarquent ici avec toutes leur excentricités, leurs sourires a gogos, leur fausses sympathies et leur questions stupides dont la plus célebres est " Mais qu est ce que je fais ici ? " alors non je ne suis pas nouveau. Je viens d'arriver certes mais je sais exactement ce que je cherche ici."

Ernest se détacha de Jay et parcouru la salle , un bras croiser derriere le dos

" Nous sommes dans un institut qui propose aux personnes possédant un don de mieux le maitriser dans un but de pouvoir plus tard, vivre en parfaite harmonie avec le reste des gens, du moins c est ce que disent certains journeaux a propos de cet institut. Le problême ne se pose évidemment pas pour moi, JE vit déja en parfaite harmonie avec le reste des gens. "

Ernest sourit et ferma les yeux

" Ca c'est ce que certains journaux disent .. d'autre parle de cet institut différemment .. un cirque de monstres ou un télépathe tyrannique les forme a se battre. Quoiqu il en soit ta présence ici ne fait aucun doute, par je ne sais quel moyen tu es dans ce salon , tu est donc une personne qui s'est entiché d'un don. Ils appelent ca un " mutant ". Je n'apprécie personnelement pas ce terme."

Jay était plutôt de cette réponse même s'il l'aurait préféré plus concise. Et puis il n'appréciait pas forcément le ton que semblait ce donner cet Ernest, après tout, ce n'était pas de sa faute s'il n'était au courant de rien.
Mais ce n'était qu'une première impression.
Malgré tout, il avait enfin trouvé quelqu'un qui pouvait lui répondre, et qui ne répondait pas à coté.

-Oui, je suis un nouveau, j'ai un don comme tu dis, mais je pense que t'en as un aussi, puisque tu es là.

**à moins que ce soit l'un des enqueteurs? Non, je ne pense pas, il l'aurait dit avant...**

Il se redressa, et suivit toujours Ernest des yeux, tout en regardant la porte pour voir si quelqu'un d'autre venait. Il regardait Ernest avec un sourire, et une vraie sympathie, sûrement plus dût à la curiosité qu'autre chose.

-Toi, tu dis savoir pourquoi t'es ici? Je me demande bien ce qui peut pousser quelqu'un à venir...

**franchement qui peut venir ici de son plein gré? Si j'avais pût, je serais rester chez moi...**

Il attendit une réponse, en espérant qu'il en donne une.

la salle des dangers
Une voix, froide et mielleuse se fit entendre à la porte. Une personne apparut et répondit à la question de Jay.

" La haine, la souffrance… voilà ce que nous, mutants, fuyont. Nous recherchont, en venant ici, un toit où être à l’abri, des gens qui croient en nous et surtout… des amis, de l’amour et une famille. J’espère avoir bien répondu à ta question."

L’homme qui avait parlé marcha vers les deux personnes en leur proposant une poignée de main amicale. Assez grand, plutôt mince, la peau très pâle, les joues un peu creuses, les cheveux rouge sang, habillé avec un pull-over rouge, et un pantalon noir ainsi que des chaussures en cuir neuves.

" Je m’appelle Jim, Jim Endro. J’ai 22 ans et je suis allemand. A ce que j’ai pu entendre sans le vouloir, vous venez juste d’arriver n’est-ce pas ? "

Jim balaya la pièce du regard et s’assit sur l’un des sièges qui étaient assez confortable et non prit. Il avait en main, lun journal, qu’il posa sur le sol, à côté. Il croisa les bras, et, d’un œil perçant, jugea un peu du regard les deux hommes qui étaient avec lui.

* L’un d’eux doit avoir le même age que moi… par contre, l’autre, doit avoir quelques année de moins, mais rien de méchants. J’espère que ce qu’il s’est passé dehors ne les as pas trop choqués. *

En effet, Jim savait ce qu’il s’était passé car, dans les couloirs, alors qu’il revenait de la salle d’entraînement, Cérébra était apparut et lui avait un peu expliqué ce qui s’était passé. Bien sur, cela s’était passé sous la demande polie de Jim. Jim tourna son regard ensuite vers la fenêtre qui était sur sa gauche et vit alors le jardin qui n’était pas très… accueillant pour les nouveaux venus. Jim était venu ici pour ne pas avoir affaire au FBI étant donné qu’il avait fait trop de… bêtises quelques temps auparavant.

Ernest fronca les sourcils a la question de Jay mais avant de pouvoir y répondre, un ton mielleux se fit entendre... et ce qui en sortit allait en contradictions avec ce que pensait Ernest, puis le jeune homme qui avait parler finit par entrer dans la piece et leur serra la main.

Ernest regarda sa main apres avoir serrer celle de Jim, en vérité Ernest considérait qu' il n'y avait rien de plus répugnant que quelqu un qui touche une parcelle de sa peau sans son accord, il leva ces yeux sur l'allemand

*Tu ne te différencie visiblement pas des autres, avec tes cheveux teinté de rouge et tes lentilles de contact, et ta facon de penser que tu es le martyr dans l'histoire ...J'espere au moins qu il plaisante! Je n ai certainement pas quitter ma mere pour trouver une famille d'Ado et un encore moins de...l'amour... *

Ernest toussota et forca une voix douce

" Oui nous venons d'arriver...Enchanté Monsieur Endro, Ernest Magguire et ..."Ernest se tut et laissa le soin a Jay de se présenter lui même

Jay avait regardé l'autre arriver, puis lui avait serré la main. Au moins, cette personne était vraiment polie.
Arpès avoir écouté la réponse, puis ayant entendu Ernerst se présenter, il fit de même.

-Je m'appelle Jay Sirian, je suis anglais, et je suis effectivement nouveau...

Il y avait beaucoup de monde ici, vraiment, ils allaient et venaient à leur guise, c'était plutôt sympa.
Il avait parlé d'abri, et c'était vrai que lui pour lui, c'était principalement ça. Il ne savait pas où aller, ni comment fuir ceux de dehors. Ils étaient donc plusieurs dans cette situation.

-T'as bien bien répondu, c'est vrai. Mais tu parles d'abri, mais il y en a qui vienne ici pour d'autre raison, non?

En disant cela, il regarda Ernest qui après tout avait dit qu'il était venu de son plein gré, ce n'était peut-être donc pas que pour se cacher.

Le regard de Jay etait inssuportable, il attendait visiblement sa réponse, et pour Ernest, il était hors de question de dévoiler le fond de sa pensée

Ernest ferma les yeux et se gratta le coin du sourcil

" Je suis ici temporairement...Je suis l'un des cousins du fils du rédacteur en chef d'Eastern News, le journal plaidant en faveur de la "cause mutante". Je suis des études de littératures et pour obtenir une place de rédacteur a l'âge des mes dix huit ans, mon oncle m'as demander de vivre aupres de vous quelques mois et de rediger un article. "

Ernest fixa Jay, il eu soudain une profonde envi de se serrer lui même, il etait on ne peut plus fier de son mensonge

" Ne t'inquiete pas cependant, je ne rédige rien sur l'intimité des mutants, ce n'est pas du voyeurisme ce sera surtout, un résumé des cours, des loisirs, qui montreront qu au final rien ne nous différencie vraiment du reste de la population. "

Foyer
Ses cheveux flottant derrière elle comme un étendard, Ivy entra comme à son habitude en trombe dans le salon, pour tomber sur Jim, le nouveau riche et ce qui semblait être un autre nouveau.
Ca grouillait vraiment de partout dernièrement ! A son arrivée, elle n'entendit que des bribes de conversation, et seul la dernière phrase d'Ernest fut compréhensible pour la jeune fille.

"Oh, je dirai qu'y a certaines différences entre nous et le reste de la population..." lança Ivy d'un ton léger en désignant Wood-chat qui la suivait à la trace. "Mais j'admets que c'est une question de point de vue..." ajouta-t-elle avec un petit rire enfantin. Elle commençait à s'habituer à être suivie par une meute d'animaux. L'écureuil nauséeux était toujours blotti au creux de sa main.

"Y en a pas un qui peut communiquer avec les animaux parmi vous ?" demanda-t-elle à la cantonnade, sachant pertinemment que Jim n'était pas doté de ce pouvoir. Les deux nouveaux par contre, pourraient peut-être les aider à résoudre leur épineuse énigme.

Foyer

D'un bond agile et assuré, Wood le chat atterit sur un pouf, non loin d'Ernest. De ses deux grosses billes vaironnes, il le fixa étrangement puis bailla avant d'entamer une toilette acharnée de son pelage pourtant propre.

**hummm, c'est confortable... Vais pitêtre me faire une petite sieste, moi ^_____^**

Jim tapa doucement sur l’accoudoir gauche avec ses doigts comme s’il était stressé. Il ne lacha pas du regard Ernest qui répondit à sa question de façon très… élégante et se présenta aussi. Puis, ce fut au tour de l’autre personne de dire son nom : Jay Sirian, apparemment. Jim écouta ce que ce que Jay avait à dire et le mutant aux cheveux rouges hocha doucement la tête pour affirmer ses pensées qu’il avait dévoiler aux deux mutants présents avec lui. Jay tourna son regard vers Ernest et lui lança un regard interrogateur par rapport à ce qu’il venait de dire. Celui-ci se mit à conter le pourquoi, de sa visite ici.

* Et bien en voilà une bonne nouvelle. Quelqu’un qui veut faire un article sur nous et montrer dans le journal de son cher papa ce que nous faisons ici… tout ça pour un but personnel. Ce jeune homme ne me déplaît pas mais il a façon qui me déstabilise beaucoup de penser… il n’est pas de la catégorie des pauvres apparemment. Voilà une grosse différence entre nous déjà. Je vais en parler avec Anna
a, elle pourra le surveiller plus facilement que moi.*

Jim s’apprêtait à répondre à ce que Ernest avait dit, mais une personne entra, c’était une de ses camarades de son équipe, Ivy. Cette dernière lui rendit le sourire qu’il avait perdu à cause de la fatigue de l’entraînement. Quand Ivy demanda si quelqu’un savait parler aux animaux, Jim haussa les épaules étant donné que ce n’était pas vraiment le cas. Il regarda l’écureuil qui était dans la main de Ivy et qui tourna les yeux vers Jim. L’animal ne bougea alors pas pendant quelques secondes, puis, il se mit à se gigoter dans tous les sens et alla sous la robe de Ivy pour aller se cacher. Puis, il regarda Ernest et lui fit un sourire moqueur. Puis, il se tourna vers Jay et lui dit en regardant sa coéquipière.

" Voici Ivy, une demoiselle qui est là depuis aussi longtemps que moi. Nous faisons partis d’une même équipe. Et Ivy, voici Jay Sirian, un jeune homme qui vient juste d’arriver comme tu le sais."


PS : Wood, je n’ai pas vraiment compris ce qu’un chat à avoir ici ?

Ernest fronca les sourcils lorsque Icy pénetra dans le salon et se permit de répondre a Ernest comme si elle avait suivi le début de la conversation

*Qu'elle impolitesse, cette gamine a le don de m'éxasperer...d'abord elle m as fuit pire que la peste et maintenant elle revient a la charge, je croyais pourtant avoir etez suffisamment clair lors de mon arrivée, je refuse de fréquenter les arrierés mentaux ! *

Il laissa néammoins Ivy finir, et alors qu il s appretait a lui répondre de facon courtoise qu elle ferait mieux de se mêler de ces jupons en feuilles de bananier des philippines, il fut de nouveau déstabiliser par.. un chat ! Moche a son gout en plus

Il emit un petit son et chassa d'un geste le chat qui avait entamer sa toilette

Jim pris alors de nouveau la parole et apres avoir adresser un sourire moqueur a Ernest, d ailleurs celui ci fut hautement surpris

* Mouiii ? Il cherche a me faire remarquer son dentifrice ? Ou alors le bout de salade entre ces deux dents peut etre *

Jim finit par présenter Ivy a Hay

" Bien , te rencontrer Jay fut chose agréable j'espere pouvoir te recrosier, c'est un hommage de faire votre connaissance Ivy , car dans le jardin vous m aviez semblez en retrait, j espere ne pas en avoir etez la cause , merci Jim d'avoir eclairé le but de notre présence ici : fuir.. ce n'est pas mon cas mais c etait bien tenter tout de même, je vous prie de m'excuser je vais maintenant me retirer, j aspire a du repos et je n ai toujours aps connaissance de ou je vais dormir "

Il ferma les yeux, et d un geste gracieux réajusta le col de sa chemise , avant de prendre son manteau sur son bras et de quitter le salon , une main derriere le dos

chambres

"Pfffffffff...", feula Wood, les poils légèrement hérissés, mécontent de se faire chasser par cet aristocat aristocrate apparemment pas commode avec les animaux de compagnie. Ses oreilles se mirent en arrière, signe chez le felix cattus ridiculus qu'il n'était pas très content et grifferait le premier individu qui passerait à sa portée. Heureusement, Ernest quitta la salle et Wood alla se réinstaller ailleurs, sur un gros fauteuil délaissé. Il s'étira longuement, puis, après avoir fait trois fois le tour autour de lui même, il se roula en boule, bailla, examina la salle avec attention puis finit enfin par fermer les yeux.

Wood ne dormait pas pour autant, fait commun chez les chats, ils aiment bien faire semblant pour mieux rester inaperçu... Aux aguets de chaque bruit perceptible, de chaque odeur sensible, il s'affairait à rester concentrer sur le spectre odorant d"Ivy ainsi que le timbre de sa voix. Dès qu'elle s'agiterait trop ou qu'elle partirait, il la suivrait. Amoins qu'il ne s'endorme vraiment...

Jay avait écouté les diverses réponses d'Ernest et de Jim, quand il vit quelqu'un d'autre arriver, suivit par... un chat...
Avant qu'il n'ait eut le temps de poser une question, Ivy demanda si quelqu'un savait parler aux animaux, puis Ernest partit.
Il ne savait pas si son histoire de journal était vrai, après tout pourquoi des personnes iraient dans un lieu protégé, au risque de donner des informations confidentiel... Ça ne tenait pas trop la route selon lui, mais il ne voyait aucun moyen de savoir si c'était la vérité ou non.

Après le départ d'Ernest, il regarda le chat se mettre dans un fauteuil, puis souria à Ivy.

-Désolé, je ne sais pas parler aux animaux, mais s'il te suit, c'est peut-être que tu le connais, non?

Ça pouvait paraître bête mais comme ce lieu était plein de bizarrerie, il n'en était plus à une prêt.

-Peut-être que c'est un nouveau mutant...

Il regarda le chat, puis se leva et s'accroupit devant lui. Il aimait bien les chats, ça pouvait faire n'importe quoi et puis ça réussissait à survivre dans des villes qui les rejetait. Celui-ci avait les yeux fermé, et semblait dormir.

-Ou bien, c'est peut-être qu'un chat après tout et qui t'aime bien...

"Miaouuuu", rétorqua Wood, pas très content, tiré d'un début de sommeil salvateur et félin de surcroît. D'un petit bond majestueux et gracile, il attérit sur le sol et alla se planquer derrière un canapé. Quelques secondes plus tard, c'est la touffe blonde de ses cheveux en pétards qui fit son apparition en premier, bientôt suivie de sa tête et de son torse nu.

"Hé ! Mais tu es géniale Ivy, je n'y avais pas pensé ! Tu crois que je pourrais lui parler ?"

Wood regarda Jay et lui parla à son tour.

"Enchanté, je m'appelle Wood ! Wood Smith... Ah, ben vous savez quoi ? Si on arrive à résoudre l'énigme de l'écureuil qui venait du froid, je vous invite tous à manger des crêpes au chocolat... Avec du lait, une bonne écuelle de lait, hummmm..."



A sa dernière réflexion, le jeune mutant vérifia s'il était bien humain ou s'il était encore un chat. Comment pouvait-il avoir envie de lait dans une écuelle ? C'est en pouffant de rire qu'il se concentra. Il fallait penser noisette, arbre, Spip... Oui, Spip...



Il ne fallut pas très longtemps pour l'agile écureuil de grimper sur le canapé et d'apercevoir cette charmante petite brune (Euh, ben l'écureuil qui venait du froid est une fille, non ?). il Clignota des yeux à deux reprises et partit à sa rencontre...

"Salut, vous habitez quel arbre ? Superbe panache que vous avez là, ma belle !", dit-il à son homologue féminin, sur la table basse, tout en la reniflant, comme tout bon animal qui se respecte lorsqu'il aperçoit un de ses congénères...

* : en langue écureuil