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Un périple mouvementé
Mar 28 Aoû 2007 - 13:18
Debout, les mains vers le ciel, la tête levé, les yeux clos, des larmes coulant le long de ses joues, Enric était là attendant sa fin, attendant que tout s’arrête pour ne plus sentir aucune souffrance. Mais il n’en fut pas ainsi. Alors que quelques minutes plus tôt, il se trouvait dans une rue étroite et sombre de Kiel, en Allemagne, tout autour de lui changea rapidement. Mais il ne le remarqua pas de suite. Sentant un vent froid lui glacé les os, il ne comprit pas très bien comment dans une rue aussi étroite il pouvait y avoir du vent. Alors qu’il ouvrait les yeux, pensant toujours à l’horrible accident qui s’était produit deux heures plus tôt, il remarqua que l’endroit qu’il pensait voir avait quelque peu… changé. Il se frotta les yeux pour se les sécher, et renifla doucement alors qu’il tournait la tête, observant l’endroit dans lequel il était. C’était, d’après son impression, une vieille usine vide. Il y avait des cartons par-ci par-là, et de vieilles machines qui ne se vendraient plus maintenant. C’était un endroit plutôt sombre ou, des fenêtres cassées assez basses étaient condamnées avec de vieilles planches.
La moitié du toit était à découvert et de l’eau gisait sur le sol de l’usine telle une petite marre. Le jeune garçon du se pincer pour le croire. Il regarda autour de lui, et essaya de parler. Mais il n’y arriva pas. Sa gorge était serré et asséché tellement il était dans un état de tristesse et de désolation. Il réussit néanmoins à demander s’il y avait quelqu’un. Aucune réponse ne se fit. Il décida de se diriger vers l’extérieur du bâtiment. Le soleil allait se coucher et il ne voyait presque rien. Arrivant à la porte principale du grand bâtiment, il passa sa tête dehors, en prenant soin de ne pas glisser à cause de l’eau qui lui barrait la route devant lui. Il y avait une route complètement déserte droit devant lui, et sur sa droite, énormément d’arbre. Il en déduit qu’il s’agissait soit d’un petit bois soit d’une forêt. Ne sachant pas trop quoi faire, il fit quelques pas en arrière et se décida à sauter par-dessus la flaque d’eau.
Il s’élança ensuite, en bon coureur qu’il était, pour sauter par-dessus la grande flaque d’eau. Il réussit l’épreuve de justesse, évitant ainsi de se faire mouiller. Dehors, il faisait tout aussi froid qu’à l’intérieur, comme si le vent vous fouettait les os. C’était plus que désagréable. Enric essaya de se réchauffer en continuant à courir vers la route, ne sachant pas ou aller. Tout ici était étrange pour lui. Ces derniers évènements l’avait beaucoup perturbé et il ne savait pas où il en était… Il avait perdu sa mère et son petit frère, il avait envoyé balader son meilleur ami, il n’avait plus de toit ou dormir et pour conclure le tout, il se trouvait dans un endroit inconnu à se les geler sur place avec un vent horriblement sec.
* Qu’est-ce que je dois faire… continuer par la route et errer en attendant une voiture qui risquerait de me prendre pour un tueur… ou rester ici à mourir de froid ? Ou alors, aller dans la forêt et rencontrer des bêtes sauvages…*
Enric fit de grands yeux effrayés en pensant à la dernière conclusion. Il se mit à claquer des dents et pria le seigneur de le laisser en vie. Il se décida donc, après avoir entendu un hurlement de chien, à se diriger vers la route. Enric se mit à marcher sur la droite vers l'inconnu, avec aucun but en tête.
La moitié du toit était à découvert et de l’eau gisait sur le sol de l’usine telle une petite marre. Le jeune garçon du se pincer pour le croire. Il regarda autour de lui, et essaya de parler. Mais il n’y arriva pas. Sa gorge était serré et asséché tellement il était dans un état de tristesse et de désolation. Il réussit néanmoins à demander s’il y avait quelqu’un. Aucune réponse ne se fit. Il décida de se diriger vers l’extérieur du bâtiment. Le soleil allait se coucher et il ne voyait presque rien. Arrivant à la porte principale du grand bâtiment, il passa sa tête dehors, en prenant soin de ne pas glisser à cause de l’eau qui lui barrait la route devant lui. Il y avait une route complètement déserte droit devant lui, et sur sa droite, énormément d’arbre. Il en déduit qu’il s’agissait soit d’un petit bois soit d’une forêt. Ne sachant pas trop quoi faire, il fit quelques pas en arrière et se décida à sauter par-dessus la flaque d’eau.
Il s’élança ensuite, en bon coureur qu’il était, pour sauter par-dessus la grande flaque d’eau. Il réussit l’épreuve de justesse, évitant ainsi de se faire mouiller. Dehors, il faisait tout aussi froid qu’à l’intérieur, comme si le vent vous fouettait les os. C’était plus que désagréable. Enric essaya de se réchauffer en continuant à courir vers la route, ne sachant pas ou aller. Tout ici était étrange pour lui. Ces derniers évènements l’avait beaucoup perturbé et il ne savait pas où il en était… Il avait perdu sa mère et son petit frère, il avait envoyé balader son meilleur ami, il n’avait plus de toit ou dormir et pour conclure le tout, il se trouvait dans un endroit inconnu à se les geler sur place avec un vent horriblement sec.
* Qu’est-ce que je dois faire… continuer par la route et errer en attendant une voiture qui risquerait de me prendre pour un tueur… ou rester ici à mourir de froid ? Ou alors, aller dans la forêt et rencontrer des bêtes sauvages…*
Enric fit de grands yeux effrayés en pensant à la dernière conclusion. Il se mit à claquer des dents et pria le seigneur de le laisser en vie. Il se décida donc, après avoir entendu un hurlement de chien, à se diriger vers la route. Enric se mit à marcher sur la droite vers l'inconnu, avec aucun but en tête.
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Re: Un périple mouvementé
Mer 29 Aoû 2007 - 1:06
Au loin, Enric entendit des sirènes qui hurlait, celles-ci se rapprochaient à vive allure. Sur le chemin qui quittait le hangar où se trouvait le mutant, il vit apparaitre un camion militaire.
En faisant un peux plus attention à son environement, Enric pu constater que le sol était jonché de cartouches. Il ne lui fallut alors que peu de temps pour faire le lien entre la voiture et le décor. Il se trouvait sur une base militaire, une base qu'il connaissait pour avoir y emmener son petit frère décédé la visiter lors de portes ouvertes.
L'appréhensio s'empara alors de lui, il savait que la base était en activité et que les militaire du coin n'étaient pas des comiques troupiers, qu'allait-il lui arriver mais surtout comment avait-il pu arriver là?
En faisant un peux plus attention à son environement, Enric pu constater que le sol était jonché de cartouches. Il ne lui fallut alors que peu de temps pour faire le lien entre la voiture et le décor. Il se trouvait sur une base militaire, une base qu'il connaissait pour avoir y emmener son petit frère décédé la visiter lors de portes ouvertes.
L'appréhensio s'empara alors de lui, il savait que la base était en activité et que les militaire du coin n'étaient pas des comiques troupiers, qu'allait-il lui arriver mais surtout comment avait-il pu arriver là?
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Re: Un périple mouvementé
Ven 31 Aoû 2007 - 15:17
De la lumière et des bruits étranges arrivèrent jusqu’aux yeux et jusqu’aux oreilles du jeune homme. Ce dernier pensait que c’était sa mère qui venait le réveiller dans ce qu’il pensait être un rêve, qu’elle entrait dans sa chambre, allumait la lumière, et allait le secouer pour lui demander s’il avait bien dormit. Mais il n’en fut pas ainsi. C’était bien plus différent. Le bruit qu’il entendait… il le reconnu facilement. Ce qui l’aida fut ce qui apparut devant lui, sur la route qu’il suivait. Un camion militaire, arrivant sur lui comme une bête féroce, avec les sirènes allumées. Il y eu alors un déclic en voyant ces douilles de cartouches sur le sol… des images défilèrent alors dans son esprit. Il était avec son petit frère qui était sur ses épaules, visitant cet endroit, il y a quelques temps de cela. Maintenant qu’Enric savait ou il était, un frisson de terreur s’empara de lui alors qu’il ne savait pas quoi faire. Se demandant toujours comment il avait pu atterir ici, ses pensées étaient troublés et il n’avait pas la moindre idée de la façon dont il allait se sortir de tout ça. La seule chose qu’il pouvait faire, était d’aller se cacher dans la forêt.
La voiture des militaires n’était pas encore arrivé et il se doutait qu’on ne l’avait pas remarqué. Il n’eut pas d’autre alternative pour le moment… mais, il y avait un problème : ses jambes refusaient de bouger. Il avait beau essayer de se forcer, l’angoisse et l’étonnement ne faisait pas bon effet sur Enric. L’adolescent faisait des grimaces alors qu’il usait de ses mains pour essayer de marcher. Il réussit à faire quelques pas jusq’au bord de la route, mais sans plus. Voyant la voiture approché rapidement, il décida donc de se laisser tomber sur le côté de la route ou il y avait de l’herbe. Il ne se fit pas de mal heureusement. Regardant ainsi ce qui allait se passer, le jeune garçon espèrait que les militaires ne le voient pas. S’ils le voyaient, ils allaient sans doute lui tirer dessus ou le torturer pour le faire parler… enfin, c’était ce qu’Enric pensait. Et il avait vraiment peur dans ce genre de situation très, très critique.
* Mais qu'est-ce que je peux bien faire ?! Courir ? non, ils me tireraient dessus comme un lapin... Je peux aller les voir. Mais après, comment je leur expliquerais que je suis arrivé ici ? Et bien, j'ai fermé les yeux alors que je criais puis en les rouvrant j'étais là tout simplement... non ils ne me croiront jamais et me prendront pour un fou ou autre.*
Toutes les questions avaient une réponse stupide de la part d'Enric. Ce dernier pria le seigneur que les militaires l'épargne. Le garçon retint son souffle attendant que les militaires finissent de passer devant l'endroit ou il était couché, les yeux fermés.
La voiture des militaires n’était pas encore arrivé et il se doutait qu’on ne l’avait pas remarqué. Il n’eut pas d’autre alternative pour le moment… mais, il y avait un problème : ses jambes refusaient de bouger. Il avait beau essayer de se forcer, l’angoisse et l’étonnement ne faisait pas bon effet sur Enric. L’adolescent faisait des grimaces alors qu’il usait de ses mains pour essayer de marcher. Il réussit à faire quelques pas jusq’au bord de la route, mais sans plus. Voyant la voiture approché rapidement, il décida donc de se laisser tomber sur le côté de la route ou il y avait de l’herbe. Il ne se fit pas de mal heureusement. Regardant ainsi ce qui allait se passer, le jeune garçon espèrait que les militaires ne le voient pas. S’ils le voyaient, ils allaient sans doute lui tirer dessus ou le torturer pour le faire parler… enfin, c’était ce qu’Enric pensait. Et il avait vraiment peur dans ce genre de situation très, très critique.
* Mais qu'est-ce que je peux bien faire ?! Courir ? non, ils me tireraient dessus comme un lapin... Je peux aller les voir. Mais après, comment je leur expliquerais que je suis arrivé ici ? Et bien, j'ai fermé les yeux alors que je criais puis en les rouvrant j'étais là tout simplement... non ils ne me croiront jamais et me prendront pour un fou ou autre.*
Toutes les questions avaient une réponse stupide de la part d'Enric. Ce dernier pria le seigneur que les militaires l'épargne. Le garçon retint son souffle attendant que les militaires finissent de passer devant l'endroit ou il était couché, les yeux fermés.
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Re: Un périple mouvementé
Mar 4 Sep 2007 - 19:05
Les pneus crissèrent sur le sol dans un bruit strident, les sirènes s'arretèrent, caché dans le sous bois, Enric pu entendre les militaire sauter des camions et le sergent donner des ordres.
"Fouillez moi ce batiment, un intrus y a été détécté et plus vite que ça."
Les bruits de pas des soldats claquaient dans les flaques boues. Après un brouhaha de quelques minutes, les hommes ressortirent pour fair leur rapport.
"Batiment sécurisé, rien à signaler Sergent."
"Fouillez moi ce batiment, un intrus y a été détécté et plus vite que ça."
Les bruits de pas des soldats claquaient dans les flaques boues. Après un brouhaha de quelques minutes, les hommes ressortirent pour fair leur rapport.
"Batiment sécurisé, rien à signaler Sergent."
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Re: Un périple mouvementé
Mar 4 Sep 2007 - 23:02
Enric, assit contre un arbre, de la sueur dégoulinant de son front, ravalait sa salive alors qu’il était crispé et qu’il écoutait le moindre bruit de souffle en dehors du sous bois. Les militaires étaient arrivé à l’ancienne usine où Enric était apparut sans en comprendre la manière. Les soldats fouillèrent en peu de temps l’endroit, ne trouvant pas le garçon qui était assez bien caché pour ne pas être aperçut par les hommes. Le fameux « sergent » aurait pu être déçu de cette réponse et il n’allait sans doute pas en rester là.
Enric savait que les militaires n’étaient pas stupide au point de s’arrêter maintenant. C’est pourquoi il se mit une main devant sa bouche, essayant de retenir sa respiration. Alors qu’il ne bougeait plus, et qu’il regardait, toujours caché, les militaires, un bruit, de son côté, se fit entendre. C’était un écureuil qui passait tel un kamikaze, dans le coin. Enric aurait pourtant été sur qu’il n’y avait aucun animal ici. Il s’était trompé et le bruit de l’écureuil allait sans doute attirer les militaires vers lui.
" Oh non ! qu’est-ce que je dois faire ?!"
Alors qu’il commençait à stresser, une main toujours devant sa bouche, s’empêchant de respirer, il se dit que les militaires n’étaient pas stupide et qu’ils se douteraient que des animaux étaient dans les parages.
Qu’allait-il se passer à ce moment présent ? Enric essaya de trouver la moindre solution. Que fallait-il faire ? se mettre à courir, se dévoiler ? les émotions le parcouraient alors qu’il sentait que les militaires s’approchaient de l’endroit où il était caché.
EDIT : Voila j'ai édité.
Enric savait que les militaires n’étaient pas stupide au point de s’arrêter maintenant. C’est pourquoi il se mit une main devant sa bouche, essayant de retenir sa respiration. Alors qu’il ne bougeait plus, et qu’il regardait, toujours caché, les militaires, un bruit, de son côté, se fit entendre. C’était un écureuil qui passait tel un kamikaze, dans le coin. Enric aurait pourtant été sur qu’il n’y avait aucun animal ici. Il s’était trompé et le bruit de l’écureuil allait sans doute attirer les militaires vers lui.
" Oh non ! qu’est-ce que je dois faire ?!"
Alors qu’il commençait à stresser, une main toujours devant sa bouche, s’empêchant de respirer, il se dit que les militaires n’étaient pas stupide et qu’ils se douteraient que des animaux étaient dans les parages.
Qu’allait-il se passer à ce moment présent ? Enric essaya de trouver la moindre solution. Que fallait-il faire ? se mettre à courir, se dévoiler ? les émotions le parcouraient alors qu’il sentait que les militaires s’approchaient de l’endroit où il était caché.
EDIT : Voila j'ai édité.
- FondateurFac
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Re: Un périple mouvementé
Mer 5 Sep 2007 - 17:43
Tu veux bien jouer juste ton perso, les militaires c'est moi, à la limite, je te laisse l'ecureuil mais les militaires c'est moi.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Un périple mouvementé
Jeu 6 Sep 2007 - 10:57
Les militaires étaient habitués aux différents bruits de la forêts, les petits animaux faisaient toujours du bruit dans les sous-bois. Plus attentifs aux bruits inhabituels, il quelques uns perçurent la voix de Jim qui submergé par le stress avait pensé à voix haute.
"Qui va là?" dit l'un des hommes les plus proches de Enric en braquant son arme dans les sous bois.
"Vous êtes dans une base militaire, l'accès est interdit à tous les civils. Montrez-vous pour ne pas empirer votre cas!"
"Qui va là?" dit l'un des hommes les plus proches de Enric en braquant son arme dans les sous bois.
"Vous êtes dans une base militaire, l'accès est interdit à tous les civils. Montrez-vous pour ne pas empirer votre cas!"
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Re: Un périple mouvementé
Jeu 6 Sep 2007 - 22:44
Enric n’avait pas fait attention et venait de penser trop fort. Il s’en voulu et se mordit la lèvre inférieur, comprenant qu’il avait été repéré. Le garçon écouta attentivement les soldats qui étaient dans le coin. L’un d’eux ouvrit la bouche pour dire quelques paroles qui glacèrent le dos d’Enric.
L’adolescent n’aurait pas bouger d’un pouce si le soldat n’avait pas rajouter ces mots là. Les secondes passèrent et Enric se décida enfin. Prenant son courage à deux mains, il se leva, faisant donc du bruit, et sortit de sa cachette, l’air complètement stressé, avec des tics au niveaux des mains qui tremblaient violemment, à cause du froid, du vent sec, et de la peur qu’il avait en ce moment même. Il regarda les militaires puis baissa les yeux alors qu’il se mordait toujours autant les lèvres jusqu’à en saigner… Le jeune homme avait un air débattu et pas du tout sur de lui. Il ne dit rien, attendant de voir la suite des évènements.
L’adolescent n’aurait pas bouger d’un pouce si le soldat n’avait pas rajouter ces mots là. Les secondes passèrent et Enric se décida enfin. Prenant son courage à deux mains, il se leva, faisant donc du bruit, et sortit de sa cachette, l’air complètement stressé, avec des tics au niveaux des mains qui tremblaient violemment, à cause du froid, du vent sec, et de la peur qu’il avait en ce moment même. Il regarda les militaires puis baissa les yeux alors qu’il se mordait toujours autant les lèvres jusqu’à en saigner… Le jeune homme avait un air débattu et pas du tout sur de lui. Il ne dit rien, attendant de voir la suite des évènements.
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Re: Un périple mouvementé
Mar 11 Sep 2007 - 21:19
Une fois qu'il fut sorti du fossé, tous le smilitaires braquèrent leurs armes sur Enric qui leva les mains sans attendre.
"Qui êtes-vous? Comment êtes vous entré ici? Pourqui..."
La tension déjà pesante de la situation empira encore quand Enric fut mis en joue par les militaires. Les yeux fermés, le peur grandissante, Enric n'entendit pas la fin de la phrase du sergent de la section. Les bruits aussi avait changé, le vent dans les feuilles fut remplcé par un grincement.
"Mais qu'es-ce que tu fous là, ça fait une heure qu'on te cherche partout." dit Korentin en claquanr la porte de sa chambre
A la sortie de la ville dans la camp militaire, tous les soldats restèrent ébahis pendan plusieurs minutes. Dans un fouip, le jeune homme avait disparu.
"Que personne ne dise un mot de tout ça à qui que ce soit, personne ici n'a envie de flinguer sa carrière pour une histoire comme ça!" abboya le chef de la section.
"Qui êtes-vous? Comment êtes vous entré ici? Pourqui..."
La tension déjà pesante de la situation empira encore quand Enric fut mis en joue par les militaires. Les yeux fermés, le peur grandissante, Enric n'entendit pas la fin de la phrase du sergent de la section. Les bruits aussi avait changé, le vent dans les feuilles fut remplcé par un grincement.
"Mais qu'es-ce que tu fous là, ça fait une heure qu'on te cherche partout." dit Korentin en claquanr la porte de sa chambre
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A la sortie de la ville dans la camp militaire, tous les soldats restèrent ébahis pendan plusieurs minutes. Dans un fouip, le jeune homme avait disparu.
"Que personne ne dise un mot de tout ça à qui que ce soit, personne ici n'a envie de flinguer sa carrière pour une histoire comme ça!" abboya le chef de la section.
- InvitéInvité
Re: Un périple mouvementé
Sam 15 Sep 2007 - 15:19
La tension montait. En voyant ce que les militaires avaient dans les mains qu’ils pointaient sur lui, il ravala sa salive alors que sa gorge était serré comme jamais. Le jeune homme sentait ses yeux tournés dans leurs orbites un moment alors qu’un soldat commença à lui pose des questions. Au bout de la troisième, dont il n’entendit même pas la fin. Il avait déjà sentit cette sensation. C’était comme lorsqu’il avait disparut de cette ruelle pour apparaître dans l’usine d’entraînement. Cette fois, il avait disparut de l’avant bois pour apparaître à un endroit qu’il connaissait. C’est en entendant ce grincement si familier et en se rendant compte qu’il faisait chaud, qu’il comprit qu’il s’était encore passé quelque chose. Enric ouvrit les yeux et entendit, derrière lui, la voix d’un être qu’il connaissait. Il se retourna, voyant Korentin juste devant lui, lui demandant ce qu’il faisait ici. Même Enric n’en savait pas plus que lui.
Le garçon, les mains toujours en l’air, les baissa puis tomba à genoux, se mordant les lèvres, les yeux remplit de larmes. Dans sa tête, les images de sa mère et de son petit frère mort, imaginé par Enric, ainsi que l’image des soldats déformé par l’esprit d’Enric, les rendant tels des monstres fit pleurer le jeune homme. Celui-ci, se lança sur Korentin, le tenant fermement, pour ne pas le lâcher, versant des larmes, tout en s’excusant de ce qu’il lui avait dit, qu’il regrettait… Le garçon ne pleurait jamais. Il avait apprit à être solide, mais là, c’était de trop. Tous ces évènements l’avaient trop bouleversé. Il regarda ensuite Korentin dans les yeux et renifla bruyamment tel un vrai enfant.
" Tu sais... il s'est passé quelque chose que je... snif... te raconter..."
Enric se calme légèrement après avoir bien pleurer. Il avait du mal à parler ayant toujours la gorge serrée. Il se mit alors à lui conter ce qu'il s'était passé. Le fait qu'il a couru jusqu'à une rue sombre pour ensuite apparaître à un endroit qui servait de camp d'entrainement à des soldats. Il lui décrivit l'arrivé des soldats, sa cachette, puis ce qui se passa après, et la fin. Les militaires pointant leurs armes sur le jeune homme.
Le garçon, les mains toujours en l’air, les baissa puis tomba à genoux, se mordant les lèvres, les yeux remplit de larmes. Dans sa tête, les images de sa mère et de son petit frère mort, imaginé par Enric, ainsi que l’image des soldats déformé par l’esprit d’Enric, les rendant tels des monstres fit pleurer le jeune homme. Celui-ci, se lança sur Korentin, le tenant fermement, pour ne pas le lâcher, versant des larmes, tout en s’excusant de ce qu’il lui avait dit, qu’il regrettait… Le garçon ne pleurait jamais. Il avait apprit à être solide, mais là, c’était de trop. Tous ces évènements l’avaient trop bouleversé. Il regarda ensuite Korentin dans les yeux et renifla bruyamment tel un vrai enfant.
" Tu sais... il s'est passé quelque chose que je... snif... te raconter..."
Enric se calme légèrement après avoir bien pleurer. Il avait du mal à parler ayant toujours la gorge serrée. Il se mit alors à lui conter ce qu'il s'était passé. Le fait qu'il a couru jusqu'à une rue sombre pour ensuite apparaître à un endroit qui servait de camp d'entrainement à des soldats. Il lui décrivit l'arrivé des soldats, sa cachette, puis ce qui se passa après, et la fin. Les militaires pointant leurs armes sur le jeune homme.
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Re: Un périple mouvementé
Lun 17 Sep 2007 - 21:16
Korentin n'était vraiment pas d'humeur, il avait passé plusieurs heures au poste de police interoggé à propos de la disparition suspecte d'Enric.
"Tu vas arrêter tes conneries, on est pas là pour rire. Tu n'a pas pu aller au camp militaire, il est à plusieurs dizaine de kilomètre de chez toi."
Korentin prit un air grave.
"Tu dois aller à la Police, il te soupçonne d'avoir incendié la maison de tes parents. Ils croient ton beau-père..."
Le silence se fit dans la chambre du jeune allemand.
"Tu vas arrêter tes conneries, on est pas là pour rire. Tu n'a pas pu aller au camp militaire, il est à plusieurs dizaine de kilomètre de chez toi."
Korentin prit un air grave.
"Tu dois aller à la Police, il te soupçonne d'avoir incendié la maison de tes parents. Ils croient ton beau-père..."
Le silence se fit dans la chambre du jeune allemand.
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Re: Un périple mouvementé
Jeu 20 Sep 2007 - 23:04
Enric arrêta net de pleurer en entendant les paroles de son ami qui était plutôt froides et sec. Il avait vécu quelque chose d’effroyable, et la seule chose qu’il avait à dire, c’était qu’ils n’étaient pas là pour rire. Enric aurait rit s’il en avait eu la force tellement cette remarque était stupide. Le jeune homme écouta le garçon qui était en face de lui, qu’il ne reconnaissait plus.
Cette attitude ne lui ressemblait pas mais c’était assez compréhensible quand on voyait ce qu’il s’était passé. Tous ces évènements étaient très bouleversant, autant pour Enric que pour Korentin. Le jeune garçon aux pouvoirs spéciaux remua les lèvres pour dire quelque chose mais un son à peine audible sortit de sa bouche. En se concentrant un peu, il réussit à dire alors qu’il avait la gorge serrée :
" Tu… tu as raison… je dois aller dire à la police la vérité…"
Enric ne savait même pas ce qu’il pensait de l’accident qui avait provoqué l’incendie. Ce n’était pas lui qui l’avait provoqué bien sur, mais dans son esprit, il se croyait coupable de cet acte qu’il n’aurait jamais pu faire. Malgré le fait que son beau-père l’ait renvoyé avec un coup de pied aux fesses, il n’aurait jamais pu faire ça.
Le garçon sortit donc de la chambre de Korentin après avoir prit un manteau de ce dernier. Le regard vide, il ne dit aucun mot. Il n'en avait pas la force et pas le courage. A présent, il devait faire face à la police qui le soupconnait d'avoir produit quelque chose d'impossible pour Enric.
Cette attitude ne lui ressemblait pas mais c’était assez compréhensible quand on voyait ce qu’il s’était passé. Tous ces évènements étaient très bouleversant, autant pour Enric que pour Korentin. Le jeune garçon aux pouvoirs spéciaux remua les lèvres pour dire quelque chose mais un son à peine audible sortit de sa bouche. En se concentrant un peu, il réussit à dire alors qu’il avait la gorge serrée :
" Tu… tu as raison… je dois aller dire à la police la vérité…"
Enric ne savait même pas ce qu’il pensait de l’accident qui avait provoqué l’incendie. Ce n’était pas lui qui l’avait provoqué bien sur, mais dans son esprit, il se croyait coupable de cet acte qu’il n’aurait jamais pu faire. Malgré le fait que son beau-père l’ait renvoyé avec un coup de pied aux fesses, il n’aurait jamais pu faire ça.
Le garçon sortit donc de la chambre de Korentin après avoir prit un manteau de ce dernier. Le regard vide, il ne dit aucun mot. Il n'en avait pas la force et pas le courage. A présent, il devait faire face à la police qui le soupconnait d'avoir produit quelque chose d'impossible pour Enric.
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Re: Un périple mouvementé
Ven 21 Sep 2007 - 19:45
Dehors, le vent froid venu de l'est piquait les lèvres gercée du mutant, il remonta le col du blouson de son ami, mit ses mains dans ses poches commença à marcher vers le poste de police du centre ville.
Sur la route il triturait un briquet présent dans la poche de Korentin. Au bout d'un demi-heure, il arriva au poste de police où une fois qu'il se fut présenté, on le menotta pour l'enfermer dans une salle d'interrogatoire après l'avoir fouillé.
Il dut encore attendre une bonne heure avant qu'un policier daigne venir le voir.
- Tu t'es mis dans de beau draps gamin.
Sur la route il triturait un briquet présent dans la poche de Korentin. Au bout d'un demi-heure, il arriva au poste de police où une fois qu'il se fut présenté, on le menotta pour l'enfermer dans une salle d'interrogatoire après l'avoir fouillé.
Il dut encore attendre une bonne heure avant qu'un policier daigne venir le voir.
- Tu t'es mis dans de beau draps gamin.
- InvitéInvité
Re: Un périple mouvementé
Mar 25 Sep 2007 - 21:46
Le silence en apparence, mais des cris intérieurement. Voilà ce que vivait Enric en ce moment même. Il marchait sans savoir il passait, suivant juste son ami alors qu’il était dans ses pensées. Un moment il croyait ne pas être partit de chez Korentin, mais en fait, il avait déjà parcourut une bonne moitié de kilomètre. Il se passa rapidement un coup de langue sur les lèvres, ce qui eut un effet encore pire qu’il l’aurait espérer.
Arriver au post, c’était comme si on vous préparait pour votre sentence. Il fut placer seul dans une salle d’interrogatoire. Le jeune garçon avait les paupières lourdes. A ce moment ce qu’il aurait aimé, c’était dormir sur un bon lit moelleux dans des couvertures chaudes… alors qu’il rêvassait, un policier entra enfin, le sortant de ses rêveries. Le jeune garçon regarda l’homme et dit tout simplement.
" Je ne comprends pas… pourquoi vous m’accusez d’avoir brûlé la maison de ma mère et de mon beau-père ?"
C’est tout ce qu’il voulait savoir. La réponse était logique. Les policiers croyaient les dire de son beau-père. Ils ne croiraient, en plus de ça, jamais un adolescent qui avait fui.
Arriver au post, c’était comme si on vous préparait pour votre sentence. Il fut placer seul dans une salle d’interrogatoire. Le jeune garçon avait les paupières lourdes. A ce moment ce qu’il aurait aimé, c’était dormir sur un bon lit moelleux dans des couvertures chaudes… alors qu’il rêvassait, un policier entra enfin, le sortant de ses rêveries. Le jeune garçon regarda l’homme et dit tout simplement.
" Je ne comprends pas… pourquoi vous m’accusez d’avoir brûlé la maison de ma mère et de mon beau-père ?"
C’est tout ce qu’il voulait savoir. La réponse était logique. Les policiers croyaient les dire de son beau-père. Ils ne croiraient, en plus de ça, jamais un adolescent qui avait fui.
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Re: Un périple mouvementé
Lun 1 Oct 2007 - 17:04
Le flic s'installa sur la chaise en face de Enric de l'autre coté de la table.
"Je vais t'expliquer la situation."
Il posa le dossier sur la table et l'ouvrit, Enric pu entrevoir un procès verbal.
"J'ai là le PV du chef des pompiers qui ateste que cet incendi est criminel. Comme tion beau-père t'a accusé nous avons fait une enquête de voisinage qui n'est pas en ta faveur du fait des tes relations avec lui."
Il tourna la page suivante.
"Voilà ici, la PV d'une voisine qui t'a formelement reconnu, t'enfuyant de chez toi juste avant l'incendie, avec ce blouson."
La page suivante représentait une empreinte digitale agrandie.
"Pour finir, nous avons analysé ton briquet dans ta poche et il a été mis en relation avec l'incendie avec les résidus retrouvés sur lui. Qu'as-tu à dire pour ta défense? Toi qui t'es enfuie quand tu a été accusé."
"Je vais t'expliquer la situation."
Il posa le dossier sur la table et l'ouvrit, Enric pu entrevoir un procès verbal.
"J'ai là le PV du chef des pompiers qui ateste que cet incendi est criminel. Comme tion beau-père t'a accusé nous avons fait une enquête de voisinage qui n'est pas en ta faveur du fait des tes relations avec lui."
Il tourna la page suivante.
"Voilà ici, la PV d'une voisine qui t'a formelement reconnu, t'enfuyant de chez toi juste avant l'incendie, avec ce blouson."
La page suivante représentait une empreinte digitale agrandie.
"Pour finir, nous avons analysé ton briquet dans ta poche et il a été mis en relation avec l'incendie avec les résidus retrouvés sur lui. Qu'as-tu à dire pour ta défense? Toi qui t'es enfuie quand tu a été accusé."
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Re: Un périple mouvementé
Ven 12 Oct 2007 - 20:53
Le jeune garçon garda ses mains sur ses cuisses alors qu’il observait chaque mouvement du policier qui lui faisait face. Il l’observait, ravalant sa salive juste avant que l’homme ne prenne la parole. Il écouta alors ce que l’homme avait à lui dire, expliquant ainsi la situation. Ce qu’il avait prit pour un accident n’était donc pas accidentel mais criminel. Enric essaya de se rappeler qu’il fallait qu’il demande quelle était la cause du départ de feu. Puis, l’homme expliqua que l’un des voisins avait témoigné comme témoin de la scène comme quoi Enric s’était bien enfuit en courant. Le jeune homme allait l’expliquer quand le policier le coupa pour dire à nouveau quelque chose.
Ce qu’il lui expliqua, c’était la réponse d’une des question qu’il aurait voulu poser. Le briquet serait donc à l’origine de tout ça ? Enric se mordit la lèvre inférieur. Son esprit était parasité à cause de tout ça. Il ferma les yeux et serra ses poings qui étaient sur ses genoux puis d’un coup, il ouvrit les yeux et regarda le policier. Son regard était remplit de larmes. Il n’en pouvait plus. Toutes ces questions, c’était trop pour lui. Il se mit à parler tout en pleurnichant.
" Si je suis partit en courrant déjà, c’est à cause du choc. De plus… mon beau père… il… il… il m’a frappé..."
Tout en continuant à pleurnicher, Enric souleva son pull, montrant un bleu sur les côtes, et se permit de baisser son pantalon pour montrer un autre bleu à la jambe. Puis, il se rassit et continua son explication. Il affirma que le matin même son beau-père lui avait crié dessus, lui demandant de s’en aller définitivement de la maison. Il expliqua les raisons : Son petit frère avait faillit avaler des produits chimiques par sa faute.
Il ne l’avait pas surveiller et l’enfant avait faillit en boire. Le jeune garçon continua son récit qui était sincère en affirmant qu’il aimait trop son frère et sa mère pour qu’il puisse faire un tel acte. Il affirma ensuite que le briquet ne lui appartenait pas… Enric ne fumait pas, en revanche son beau-père si… Le jeune homme ne le précisa pas, oubliant légèrement ce détail important.
Ce qu’il lui expliqua, c’était la réponse d’une des question qu’il aurait voulu poser. Le briquet serait donc à l’origine de tout ça ? Enric se mordit la lèvre inférieur. Son esprit était parasité à cause de tout ça. Il ferma les yeux et serra ses poings qui étaient sur ses genoux puis d’un coup, il ouvrit les yeux et regarda le policier. Son regard était remplit de larmes. Il n’en pouvait plus. Toutes ces questions, c’était trop pour lui. Il se mit à parler tout en pleurnichant.
" Si je suis partit en courrant déjà, c’est à cause du choc. De plus… mon beau père… il… il… il m’a frappé..."
Tout en continuant à pleurnicher, Enric souleva son pull, montrant un bleu sur les côtes, et se permit de baisser son pantalon pour montrer un autre bleu à la jambe. Puis, il se rassit et continua son explication. Il affirma que le matin même son beau-père lui avait crié dessus, lui demandant de s’en aller définitivement de la maison. Il expliqua les raisons : Son petit frère avait faillit avaler des produits chimiques par sa faute.
Il ne l’avait pas surveiller et l’enfant avait faillit en boire. Le jeune garçon continua son récit qui était sincère en affirmant qu’il aimait trop son frère et sa mère pour qu’il puisse faire un tel acte. Il affirma ensuite que le briquet ne lui appartenait pas… Enric ne fumait pas, en revanche son beau-père si… Le jeune homme ne le précisa pas, oubliant légèrement ce détail important.
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Re: Un périple mouvementé
Jeu 18 Oct 2007 - 16:12
Les pleurs d'Enric n'attendrirent pas le moins du monde.
"Voilà tout ce qui nous manquaiet : un mobile. J'avoue que nous ne comprenions pas vraiment pourquoi tu avais fait ça mais voilà. Peut-être que le juge te trouvera des circonstances atténuantes mais j'en doute. Un enfant est mort à cause de toi."
Un sourire victorieux s'était inscrit sur le visage du policer pendant qu'il parlait.
"Voilà tout ce qui nous manquaiet : un mobile. J'avoue que nous ne comprenions pas vraiment pourquoi tu avais fait ça mais voilà. Peut-être que le juge te trouvera des circonstances atténuantes mais j'en doute. Un enfant est mort à cause de toi."
Un sourire victorieux s'était inscrit sur le visage du policer pendant qu'il parlait.
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Re: Un périple mouvementé
Jeu 18 Oct 2007 - 20:24
Le jeune garçon fut abasourdit. Au lieu de le croire, le policier ne dit rien d’autre qu’une stupide phrase qui allait le baisser encore plus face au juge. Enric posa sa main gauche sur sa bouche comme pour arrêter de pleurer et regarda le policier droit dans les yeux avant de les détourner, trop dégoûter par ce qu’il venait d’entendre. Il ne put s’empêcher de dire d’une voix tremblante.
" Mon frère était la seule famille que j’avais… pourquoi est-ce que j’aurais fais une telle chose… Je n'aurais jamais pu tenter de tuer mon beau père, même à ce moment là..."
Sa question n’avait pas pour but d’avoir une réponse puisqu’il n’en cherchait pas. Il était abattu et c’est pourquoi il ne dit plus rien en attendant que le policier lui pose d’autres questions. Enric baissa la tête et le visage de son tout petit frère souriant lui apparaissait. Il le voyait ramper jusque lui, disant des mots en langage de bébé. Il voyait son petit frère venir jusqu’à lui pour lui demander un câlin que Enric ne refusait jamais. Ces moments étaient les seuls qu’ils avaient aimé avec le peu de famille qu’il avait. Puis, tout d’un coup, son frère lui glissait des mains.
Il allait tomber mais il n’arrivait pas à le rattraper. Le bébé le regardait avec des yeux étonné, le regard complètement perdu. Puis, il voyait le bébé brûlé ainsi que sa mère qui essayait de le sauver. Il revoyait ensuite son beau-père à la place du policier, le questionnant sur la mort de son petit frère. Le jeune homme hurla dans sa rêverie… son beau père disparut. Le jeune homme sortit de sa torpeur en sentant de la sueur coulé le long de son front. Il tourna son regard vers le policier se demandant ce qui allait suivre.
" Mon frère était la seule famille que j’avais… pourquoi est-ce que j’aurais fais une telle chose… Je n'aurais jamais pu tenter de tuer mon beau père, même à ce moment là..."
Sa question n’avait pas pour but d’avoir une réponse puisqu’il n’en cherchait pas. Il était abattu et c’est pourquoi il ne dit plus rien en attendant que le policier lui pose d’autres questions. Enric baissa la tête et le visage de son tout petit frère souriant lui apparaissait. Il le voyait ramper jusque lui, disant des mots en langage de bébé. Il voyait son petit frère venir jusqu’à lui pour lui demander un câlin que Enric ne refusait jamais. Ces moments étaient les seuls qu’ils avaient aimé avec le peu de famille qu’il avait. Puis, tout d’un coup, son frère lui glissait des mains.
Il allait tomber mais il n’arrivait pas à le rattraper. Le bébé le regardait avec des yeux étonné, le regard complètement perdu. Puis, il voyait le bébé brûlé ainsi que sa mère qui essayait de le sauver. Il revoyait ensuite son beau-père à la place du policier, le questionnant sur la mort de son petit frère. Le jeune homme hurla dans sa rêverie… son beau père disparut. Le jeune homme sortit de sa torpeur en sentant de la sueur coulé le long de son front. Il tourna son regard vers le policier se demandant ce qui allait suivre.
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Re: Un périple mouvementé
Lun 22 Oct 2007 - 15:48
Le policier detestait ce genre d'affaires où le prévenu ne comprenait rien à ce qui lui arrivait.
*Ils croient tous que c'est un complot mais qu'est-ce que j'y peux s'ils n'atteignent pas leurs cibles.*
"Qui t'a dit que nous pensions que tu avais tué ton frère avec prémiditation? J'ai bien compris que tu visais ton père mais malheureusement tu a tué 2 personnes innocentes."
Le Policier commença à écrire sur une feuille qu'il tendit à Enric une fois qu'il eut terminé.
"Signe ta déposition maintenant, je n'ai pas qu ça à faire."
Sur la feuille était inscrit les aveux de Enric.
"Je, soussigné Enric Endro, affirme avoir mis le feu à mon domicile ce jour pour mettre fin aux jours de mon beau-père. J' n'ai pas voulu tuer mon frère et ma mère, je regrette."
*Ils croient tous que c'est un complot mais qu'est-ce que j'y peux s'ils n'atteignent pas leurs cibles.*
"Qui t'a dit que nous pensions que tu avais tué ton frère avec prémiditation? J'ai bien compris que tu visais ton père mais malheureusement tu a tué 2 personnes innocentes."
Le Policier commença à écrire sur une feuille qu'il tendit à Enric une fois qu'il eut terminé.
"Signe ta déposition maintenant, je n'ai pas qu ça à faire."
Sur la feuille était inscrit les aveux de Enric.
"Je, soussigné Enric Endro, affirme avoir mis le feu à mon domicile ce jour pour mettre fin aux jours de mon beau-père. J' n'ai pas voulu tuer mon frère et ma mère, je regrette."
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Re: Un périple mouvementé
Lun 22 Oct 2007 - 22:36
Enric ne put laisser s’échapper un soupir qui confirmait son début de lassitude mêlé à de la fatigue. Il regarda le papier sur lequel l’homme face à lui écrivait quelque chose. Le policier lui tendit ce papier et lui présenta un crayon à côté pour qu’il signe ce torchon… Le garçon lu rapidement ce qu’il y avait d’écrit et leva la tête, cachant ses sentiments à ce moment au policier. Il prit le crayon, et posa la mine sur le papier puis il écrivit quelque chose. Il tourna la feuille vers le policier qui pu voir des gribouillages :
Je, soussigné Enric Endro, affirme ne pas avoir mis le feu à mon domicile ce jour pour mettre fin aux jours de mon beau-père. J' n'ai pas voulu tuer mon frère et ma mère, je regrette de ne pas être compris."
Puis, le garçon se leva ayant pour idée de quitter la pièce. Peu importe ce que le policier ferait, il sortirait. Il tourna ses yeux vers ceux du policier et dit froidement. Sa tristesse avait été remplacé par une sorte de haine, d’incompréhensibilité. Il ne put s’empêcher de dire.
" Nous sommes en Allemagne, pays libre, et vous n’avez aucun droit de mettre ce que je n’ai jamais dis. Tout homme a droit à un avocat. Je ne me laisserais pas faire comme ça. Si vous refusez… vous aurez la mort d’un garçon sur la conscience. Ce garçon s’appelle Enric Endro, et c’est un innocent !"
Ses paroles avaient été pesées, il avait bien réfléchit avant de les dire et il savait ce qu’il disait. C’était quelque chose de très lourd vis à vis de son procès. Avant d’essayer de partir par la porte, il écouta l’homme pour connaître sa réponse tout en ne montrant pas son intention de partir.
Il réfléchit rapidement à une solution au cas ou le policier ne voudrait pas qu’il est un avocat. Il scruta ses vêtements, ses chaussures… comme une idée derrière la tête.
Je, soussigné Enric Endro, affirme ne pas avoir mis le feu à mon domicile ce jour
Puis, le garçon se leva ayant pour idée de quitter la pièce. Peu importe ce que le policier ferait, il sortirait. Il tourna ses yeux vers ceux du policier et dit froidement. Sa tristesse avait été remplacé par une sorte de haine, d’incompréhensibilité. Il ne put s’empêcher de dire.
" Nous sommes en Allemagne, pays libre, et vous n’avez aucun droit de mettre ce que je n’ai jamais dis. Tout homme a droit à un avocat. Je ne me laisserais pas faire comme ça. Si vous refusez… vous aurez la mort d’un garçon sur la conscience. Ce garçon s’appelle Enric Endro, et c’est un innocent !"
Ses paroles avaient été pesées, il avait bien réfléchit avant de les dire et il savait ce qu’il disait. C’était quelque chose de très lourd vis à vis de son procès. Avant d’essayer de partir par la porte, il écouta l’homme pour connaître sa réponse tout en ne montrant pas son intention de partir.
Il réfléchit rapidement à une solution au cas ou le policier ne voudrait pas qu’il est un avocat. Il scruta ses vêtements, ses chaussures… comme une idée derrière la tête.
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Re: Un périple mouvementé
Mar 23 Oct 2007 - 10:08
Face à la réaction prévisible d'Enric, le policier resta impassible, assis face à la table, il laissa le garçon passer dans son dos pour rejoindre la porte et répondit aux affabulations du mutant.
"Si tu passes cette pore maintenant, vous serai un fugitif. J'ai assez de preuves contre toi pour te mettre au trous pour de nombreuses années alors, ne joue pas au héro, tu n'en es pas un."
Le policier n'avait toutjours pas fait un geste décidant de parler à Enric comme à un fantôme.
"Si tu passes cette pore maintenant, vous serai un fugitif. J'ai assez de preuves contre toi pour te mettre au trous pour de nombreuses années alors, ne joue pas au héro, tu n'en es pas un."
Le policier n'avait toutjours pas fait un geste décidant de parler à Enric comme à un fantôme.
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Re: Un périple mouvementé
Mar 23 Oct 2007 - 21:22
Enric comprit que ce qu’il venait de dire n’avait été qu’ignorer par le policier qui se contenta simplement de lui dire ce qui se passerait si il sortait de cette pièce. Enric, la main tremblante sur la poignée sentait des gouttes de transpiration perler le long de sa joue gauche. Alors que le silence se mit à régner dans la pièce, Enric enleva lentement sa main de la poignée. Il baissa la tête, puis, resta là, pour se calmer. Les secondes passèrent. Au bout de quelques minutes, il se retourna le sang froid et se dirigea vers sa chaise. Il s’assit, posa ses mains sur ses cuisses et ravala sa salive. Il avait la tête baissé, et sa bouche s’ouvrit pour laisser s’échapper des mots. Enric parlait de façon énigmatique. Il avait l’air lunatique.
" Excuser moi… j’aimerais savoir… avez-vous une famille ? Si non, c’est bien dommage. Si oui… j’aurais aimé connaître la mienne."
Le garçon ne cherchait pas à gagner quoi que ce soit… il voulait juste parler… Il repensa alors à Korentin. Il se demandait ce qu’il avait du subir lors de l’interrogatoire, à cause de lui. Puis, tout d’un coup, il se rappela de quelque chose. Son sang se mit à bouillir et il releva la tête très lentement vers l’inspecteur à qui il dit d’un ton mielleux.
" Vous avez dit que vous saviez exactement comment le crime avait été commis ou pas ? Et savez-vous à quelle heure il a été commis exactement ? Ecouter moi bien maintenant : Après être partis de la maison, je suis aller directement chez mon ami : Korentin. J’ai couru et je suis arrivé chez lui en à peine 10 minutes. Je suis resté chez lui tout le temps, puis, le soir, en regardant aux informations, j’ai vu le drame qui avait été commis et dont vous m’accusez.
Vous êtes persuadé que c’est moi qui ai commis le crime car je suis le plus apte à être le criminel : Je me suis fais jeter de chez moi, mon beau-père m’a giflé. Mais ce n’est pas le cas. Je n’aurais jamais pu faire de mal à qui que ce soit, même à mon beau-père. De plus, le briquet que vous avez retrouver ne m’appartient pas. Il faisait froid dehors et Korentin m’a prêté l’un de ses blousons dans lequel il y avait ce briquet je n’ai pas arrêté de toucher durant l’aller pour venir au poste de police. Vous pourrez demander à Korentin, il vous dira la même chose… En ce qui concerne le briquet, vu qu'il était dans la poche du manteau à Korentin, et qu'il me l'a prêté pour venir ici, je n'avais pas le manteau en sortant de chez moi, donc, pas de briquet..."
Enric espérait au moins que le policier l’avait écouté malgré qu’il ai vu ce genre d’affaire des dizaines de fois. Il espérait que le policier est un peu de cœur et de logique. Il espérait que ce policier était un bon détective. Toutes ces preuves, qui innocentait Enric ne pouvait être ignorer. Dans la loi, il y avait un article comme quoi l'homme avait le droit à la liberté d'expression, et la liberté de se défendre lors d'un procet. Or, à cet instant, c'est ce que Enric faisait. Tous ses changements d'humeur étaient étrange. Il était passé de la tristesse, à l'incompréhensibilité, à la colère jusqu'à ce qu'il se mette à réfléchir pour trouver une solution...
" Excuser moi… j’aimerais savoir… avez-vous une famille ? Si non, c’est bien dommage. Si oui… j’aurais aimé connaître la mienne."
Le garçon ne cherchait pas à gagner quoi que ce soit… il voulait juste parler… Il repensa alors à Korentin. Il se demandait ce qu’il avait du subir lors de l’interrogatoire, à cause de lui. Puis, tout d’un coup, il se rappela de quelque chose. Son sang se mit à bouillir et il releva la tête très lentement vers l’inspecteur à qui il dit d’un ton mielleux.
" Vous avez dit que vous saviez exactement comment le crime avait été commis ou pas ? Et savez-vous à quelle heure il a été commis exactement ? Ecouter moi bien maintenant : Après être partis de la maison, je suis aller directement chez mon ami : Korentin. J’ai couru et je suis arrivé chez lui en à peine 10 minutes. Je suis resté chez lui tout le temps, puis, le soir, en regardant aux informations, j’ai vu le drame qui avait été commis et dont vous m’accusez.
Vous êtes persuadé que c’est moi qui ai commis le crime car je suis le plus apte à être le criminel : Je me suis fais jeter de chez moi, mon beau-père m’a giflé. Mais ce n’est pas le cas. Je n’aurais jamais pu faire de mal à qui que ce soit, même à mon beau-père. De plus, le briquet que vous avez retrouver ne m’appartient pas. Il faisait froid dehors et Korentin m’a prêté l’un de ses blousons dans lequel il y avait ce briquet je n’ai pas arrêté de toucher durant l’aller pour venir au poste de police. Vous pourrez demander à Korentin, il vous dira la même chose… En ce qui concerne le briquet, vu qu'il était dans la poche du manteau à Korentin, et qu'il me l'a prêté pour venir ici, je n'avais pas le manteau en sortant de chez moi, donc, pas de briquet..."
Enric espérait au moins que le policier l’avait écouté malgré qu’il ai vu ce genre d’affaire des dizaines de fois. Il espérait que le policier est un peu de cœur et de logique. Il espérait que ce policier était un bon détective. Toutes ces preuves, qui innocentait Enric ne pouvait être ignorer. Dans la loi, il y avait un article comme quoi l'homme avait le droit à la liberté d'expression, et la liberté de se défendre lors d'un procet. Or, à cet instant, c'est ce que Enric faisait. Tous ses changements d'humeur étaient étrange. Il était passé de la tristesse, à l'incompréhensibilité, à la colère jusqu'à ce qu'il se mette à réfléchir pour trouver une solution...
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Re: Un périple mouvementé
Sam 27 Oct 2007 - 1:54
Le policier se leva enfin. Il aggrippa le jeune graçon et le plqua sur sa chaise violemment.
"Maintenant, tu vas m'ecouter. Ton ami Korentin, nous a tout raconté, il nous a dit que pendant une bonne demi-heure il ne t'a pas vu. Pendant ce temps, tu avais le temps d'aller mettre le feu chez toi et de revenir tranquillement."
La voix du flic se fit plus douce.
"Malheureusement, ton ami pensais que le feu s'était déclaré plus tard, il pensais te protéger mais nous avons établi que ce briquet a allumé le feu à une heure concordant parfaitement au moment ou vous vous êtes perdu de vu avec Korentin."
L'homme s'avança vers la porte qu'il ouvrit pour sortir. Avant de refermer pour laisser Enric seul face à lui-même, l'inspecteur donna ses dernier conseils.
"Médite la dessus, si tu reconnais tes torts, tu ne finiras peut-être pas toute ta vie en prison."
"Maintenant, tu vas m'ecouter. Ton ami Korentin, nous a tout raconté, il nous a dit que pendant une bonne demi-heure il ne t'a pas vu. Pendant ce temps, tu avais le temps d'aller mettre le feu chez toi et de revenir tranquillement."
La voix du flic se fit plus douce.
"Malheureusement, ton ami pensais que le feu s'était déclaré plus tard, il pensais te protéger mais nous avons établi que ce briquet a allumé le feu à une heure concordant parfaitement au moment ou vous vous êtes perdu de vu avec Korentin."
L'homme s'avança vers la porte qu'il ouvrit pour sortir. Avant de refermer pour laisser Enric seul face à lui-même, l'inspecteur donna ses dernier conseils.
"Médite la dessus, si tu reconnais tes torts, tu ne finiras peut-être pas toute ta vie en prison."
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Re: Un périple mouvementé
Ven 2 Nov 2007 - 22:05
HJ : Désolé si j'ai rien répondu mais je sais vraiment mais vraiment pas quoi répondre à ton message Oo...
- FondateurFac
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Re: Un périple mouvementé
Sam 3 Nov 2007 - 14:54
Eh bien trouve, c'est n RP interactif, les autres ne changeront pas leurs post parce que tu ne sais pas quoi dire.
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