Chambre de Lucas et Alexander

[=>L'infirmerie]

Jim ouvrit la porte de sa chambre qu'il partagera désormait avec Godollo. Il alluma la lumière pour pouvoir ouvrir les volets qui étaient resté fermé jusqu'à maintenant. Jim lui fit alors découvrir son nouveau chez sois pour la nuit. Il y avait deux lits en effet, côté à côté, juste séparé de deux mètres. Il lui montra les petits-coins et la salle de bain. Il luit montra les petites commode où il pourrait mettre des affaires. Il lui dit alors.

" Mais fait donc comme chez toi puisque c'est chez toi maintenant !! Même si Olivier ne t'invite pas, moi je t'invite et M. le professeur ne m'empèchera pas de t'inviter à dormir içi. Tu es chez toi comme tous les mutants !"

Jim dit ensuite à Godollo qu'il allait redescendre à l'infirmerie pour prendre les bols et les ramener à la cuisine. Il alla donc dans la salle de bain et se regarda dans les miroirs. Il soupira puis sortit de la salle de bain, prit une robe de chambre qui était accroché à un porte robe de chambre. Il remarqua que le vêtement était de couleur rouge sang, comme il l'aimait. Jim alla à la porte, l'ouvrit, et se tourna vers Godollo

" Bon, Mimi, moi j'y vais. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis pas loin. Si tu as un problème, il suffira de descendre."

Godollo était très impressionné par la chambre, dans son école d'arts plastiques il y a un internat, et les chambres ne sont pas aussi vaste et agréable.
Le petit problème c'est qu'il n'a pas d'affaires, elles sont a Budapest, chez lui, donc il ne va pas prendre des heures à s'installer.
Machaon se mit sur le lit, sauta un peu pour voir si il rebondissait, en conclusion ce lit est très agréable et moelleux encore mieux qu'a l'infirmerie, des nuits douillettes s'annoncent.
Mimi est un jeune homme assez actif et légèrement extraverti qui adore sortir le soir, en ce moment il est trop fatigué pour ça mais à l'avenir peut être qu'avec les étudiants il en aurait l'occasion.
Machaon demanda à son colocataire :

"Je vais dormir un peu, à mon réveille je pourrais t'emprunter des vêtements ?"

Calligos se blottis dans son lit, ferma les yeux doucement, s'étala délicatement sur son lit, posa sa tête sur l'oreiller moelleux et le papillon plongea dans un gros dodo sans avoir même attendus la réponse à sa question.

(hj : ca va comme fin ?
Sinon le courtier pourras le jouer avec plaisir (pour moi) et a bientôt tout le monde et bonne vacances)

[HJ: C'est super je trouve et merci. Et bonne vacance à toi. ]

DJ: Jim regarda Godollo qui prenait ses aises. Jim eu un air satisfait et affirma alors tout simplement.

" En ce qui concerne les vêtements, je n'en ai pas des masses. Je compte aller en racheter au centre commercial, donc dit moi ce que tu aimes comme vêtement, et comme tu fais à peu pres ma taille... j'acheterais pour toi."

Jim regarda Godollo sauté sur son lit comme un petit enfant. Jim dit alors à Godollo de bien dormir. Celui-ci partit direction l'infirmerie pour aller à la cuisine.

[=> cuisine]

[=> cuisine]

Jim entra sur la pointe des pieds dans la chambre. Il vit que les rideaux avaient été rajusté et qu'il faisait sombre dans la pièce. Il ferma la porte derrière lui et regarda le lit de Godollo ou celui-ci était en train de dormir comme un vrai bébé. Jim fit un sourire et alla vers son propre lit. Il enleva sa robe de chambre et s'écroula de fatigue dans son lit.

[HJ : Bon, je fais comme Godollo étant donné que je suis aussi absent]

Quelques heures passèrent et Jim se réveilla en sursaut. Un mauvais rève.
Il se passa une main au visage et se leva ensuite doucement. Il prit la direction de la salle de bain. Il se regarda dans le mirroir pendant quelques minutes avant de se décider à prendre une douche. Quand il en ressortit, il s'habilla avec ses vêtements qu'il avait. Un pantalon tout simple, avec une chemise rouge sang et des chaussures neuves. Il regarda Godollo qui dormait toujours et qui n'était pas encore prêt à se réveiller. Il réfléchit pendant quelques minutes et dit alors tout simplement.

" Bonjour Cérébra. J'aimerais savoir ou sont les génésix s'il te plaît."

Une voix se fit alors entendre.

" Il y a Liven, Anna, Ivy et Sven au salon, Kitty dans sa chambre."

Jim remerçia alors Cérébra et sortit de sa chambre, direction, le salon.

[=> le salon]

Godollo pris un allé simple pour le pays des rêves, le lieu, une église de style baroque dans la campagne hongroise. Le papillon y entre, elle est déserte, une profusion de vitraux éclaire le bâtiments, ils sont rayonnants, envoûtants, chacun représentant des scènes de la bible.
Machaon se sens en sécurité et lui viens la lubie de s'adresser a dieu, s'en espérer de réponse mais juste pour se lâcher et avoir l'impression de libérer un désir qui le hante depuis longtemps, il lui dit :

"Pardonne nous nos offenses, pardonne à ceux qui nous ont offensés et donne nous aujourd'hui notre pain quotidien.
Quelle langue parles tu? Est ce que tu parles tout simplement ? Es tu le genre de truc qui relève ceux qui tombent ?
Eh, peux tu me dire pourquoi les chats se battent avec les chiens ? Vas tu à la mosquée ou à la synagogue ?
Et si nos destins sont tous enroulés autour de tes doigts et si c'est toi qui écris le scénario, pourquoi ensuite jouer les trouble-fêtes ?
He ! Ressens - tu notre souffrance et te mets- tu à notre place ?
T'es tu déjà senti affamé ou est ce que ton ventre est toujours plein ?
Combien de gens sont morts ou ont été blessés en ton nom ? Cela te rend-il fier ou honteux ? Qu'à toi reviennent le Royaume, le pouvoir et la Gloire. Amen. Comment vas tu ?Ca fait quoi d'être si haut ; es tu heureux ? Est ce que ca t'arrive de pleurer ? Tu as fait des erreurs et ça ira parce que tout le monde en fait, si je te pardonne tes erreurs, me pardonneras tu les miennes ?"

Il sentit son coeur libéré et se dirigea vers la sortie, le papillon ouvrit la porte et tamponna une bonne soeur, le maladroit la fis tombé et ses cheveux se révélèrent, ce n'était pas vraiment des cheveux mais plutôt des pétales de roses. Machaon sentit comme un coup de point dans le ventre venue de nul part, celle qui s'était juré d'oublier est là, à terre. Le mutant n'a pas oublier, elle est resté gravé à jamais, à quel suite s'attendre ? Godollo n'a pas le temps de répondre à sa question que son fantasme ce mets à parler :

"Non, n'essaye pas de t'excuser, ne cherches pas à insister.
Les excuses existaient avant toi. Non, ne me regarde pas comment avant, ne parle plus au pluriel. La rhétorique est ton arme la plus fatale.
Je vais te demander de ne jamais revenir, je regrette que tu puisses toujours me faire du mal, là,a l'intérieur.
Et qu'à ton âge tu saches si bien. Briser le coeur de quelqu'un comme cela.
Non, personne ne peut vivre avec autant de venin. L'espoir que ton amour m'a donné. Personne d'autre ne me l'avait donné.
Je le jure, je ne mens pas. Personne ne devrait dévouer son âme.
A chercher la réconciliation, la rage est plus lourde que le ciment
J'espère que tu n'espères pas de moi que je t'espère, ma patience s'est envolée. J'ai effeuillé une marguerite, tout en la regardant sans voir.
Pour découvrir si ça t'irriterait et si tu reviendra."

Machaon émue par la tristesse de la rose, il souffre d'une légère empathie pour elle mais il avait trop de choses à lui dire pour rester attendris toute sa vie.

"Ce que tu dis aurais un sens dans la réalité mais là tu es né de mon imagination, tu es ce que je désire mais tu n'est pas réel, c'est trop facile de t'avoir. Je ne veux pas devenir fou, je ne veux pas fuir la réalité, je ne veux plus de toi."

La rose le gifla, puis lui dis d'un ton autoritaire :

"Tu mens comme tu respire, tu me veux, tu me désir jusqu'au plus profonds de toi et tu le sais. Si tu ne fais que rêver ou est le mal, en allant dans ce couvent j'ai juré de rester vierge toute ma vie. Pour toi je suis capable de tout, je n'ait aucun complexes, plus aucune valeurs et zéro éducation. Je peux être obscène, vilaine fille, intellectuel, simple, sophistiqué, je suis tout en une seul."

Tallie lui sauta dans les bras , ses feuilles se transformèrent en lianes qui vinrent serrée Godollo, ses pétales s'amplifierais, plus belle que jamais, sous ses aires de déesse, la rose posa ses lèvres sur celle du papillon. Comme le veut la nature le papillon viens butiner la fleur, c'est inévitable mais .... soudainement Godollo éternua et se réveilla brusquement.
Il se précipita vers la salle de bain pour prendre une douche glacé dans le but de calmer ses nerfs. Après s'être essuyer et brosser ses poils avec grâce et délicatesse, il enfila les vêtements que Jim lui avait permis de prendre. Un polo sans manches noir avec une tête de diable au dos, et un jean en velours violet tenus par une ceinture léopards, il mis une paire de tong rouge bordeaux. Le papillon respira un grands coup et sortit pour parler au directeur, M.Fleury.

salon

Niko arriva enfin dans sa chambre. celle-ci paressait déjà occupée. il posa ses affaires sur le lit libre et alla se doucher.

"Ce que ça fait du bien" pensa t'il.

Il sorti peu de temps après les cheveux encore mouillés. Niko commença à s'habiller et se rappela qu'il n'avait pas prévenu son père pensant qu'il n'aurait plus de réseau, il lui écrivit une lettre pour le rassurer.

Au bout de six tentative, il décida que sa lettre était parfaite. Il l'a mis dans sa poche et se rendit compte qu'il avait faim. Bullet partit en direction de la cuisine.

[cuisine ]

[ terrains de sport]

Niko arriva dans sa chambre sans problème. A vrai dire, il n'avait jamais un aucun problème d'orientation. Ca devait être due à son pouvoir.

Il rentra tranquillement. A priori, son camarade de chambre n'était toujours pas arriver. il parti prendre sa douche.

Il resortit au bout d'un moment, il s'habilla difficilement car il commencer à avoir quelques courbatures à cause de son footing.

Puis il vit son sac, il y prit le reste de nourriture qu'il restait dedans et partit à la cuisine pour les remettre au frigo.

[Cuisine ]

En arrivant dans le dortoir, Niko se demanda si il pouvait aller donner le photos à Gabrielle, mais il se dit qu'elle devait déja être en train de dormir.

Il rentra donc dans sa chambre et se rendit compte que son coloc était décidement toujours absent.

" Je saurais pas à quoi il peut bien ressembler!"

Il s'amusa de cette pensée et déballa ses sacs et rangea ses habits. Puis il se jeta dans son lit pour faire une petite sieste. Avant qu'il n ait pu se changer, il était déja dans les bras de Morphée.

dans son sommeil, il se mit à réver de la journée qu'il avait passé avec Gabrielle.

Cuisine

Lucas arriva dans sa chambre. Son collocataire, Niko, n’était pas encore là. Il n’était peut-être pas si tard qu’il le pensait. Rapidement, il se dévêtit et prit une douche pour ensuite se brosser les dents. Encore une fois, il n’avait pas eu le temps d’aller au centre commercial pour s’acheter des vêtements lui correspondant mieux que ce pull à capuche, bien qu’il soit confortable et chaud. C’est donc encore une fois en boxer que Lucas se coucha dans ses draps, éteignant la lumière et laissant la pièce se baigner de l’obscurité de la nuit. Il était bien dans le noir, ça lui permettait de réfléchir, de se poser, de revivre toute sa journée. Quelques miettes de biscuits laissées là par son compagnon de chambre, qui ne se gênait pas pour engouffrer ses friandises sur le lit de Lucas, perturbèrent un instant la peau du jeune mutant, et il chassa celles-ci d’un revers de la main, les laissant tomber sur le sol, se promettant qu’il nettoierait ça le lendemain. Il revisita alors en tête tous les moments de sa journée, ses rencontres marquantes, ses activités qui sortaient de l’ordinaire…

Tout avait commencé le matin, très tôt, dans le salon. La bataille de nourriture entre Alixtide et Camille à laquelle il s’était joyeusement joint sous l’œil fatigué de Barthélémy. Ça n’avait pas duré, bien sûr, puisque les cours commençaient. L’après-midi, ça avait été la perte du sens de l’orientation dans les couloirs de l’institut, pendant que les autres nettoyaient les dégâts du salon. Il était arrivé après que tout soit lavé, et c’est alors qu’il s’était retrouvé dans la cuisine, grâce à Alixtide qui désespérément cherchait la psychologue : Cassandre Deneos…

Aaaah, Cassandre… Quelle n’avait pas été la réaction de Lucas quand elle s’était offerte à sa vue. Il était de suite tombé sous le charme de la prof. Sa taille, sa minceur, ses cheveux longs et sa peau pâle, tout avait plu à Lucas dès le premier regard. Et que dire du mystère de ces yeux à moitié clos qu’il n’avait pu apercevoir ? Il ne désirait maintenant plus que ça, il désirait pouvoir la contempler entièrement, à jamais. Elle était si belle…

Il remua un peu entre ses draps en pensant à la psychologue, puis, une pensée plus obscure naquit dans son esprit, un doute, une incompréhension…

*Si magnifique soit-elle, c’est une prof ! Elle doit avoir plus de dix ans en plus que moi ! Pourquoi est-ce qu’elle me plait autant ? Pourquoi n’ais-je pas su détourner mon regard de sa peau dans la cuisine ?*

Il ne parvenait pas à comprendre comment il pouvait ressentir une attirance aussi forte envers une personne plus âgée que lui de plusieurs années, même si on ne pouvait pas dire que Cassandre était une vieille peau, loin de là. Il refusait d’admettre ce sentiment naissant au fond de son cœur, qui lui avait pris les tripes et réchauffé la peau. Il ne se rendait pas compte qu’il venait de vivre un coup de foudre frappant, il ne savait pas que l’amour débutait en lui, alors qu’il ne la connaissait même pas…

Il s'endormit avec ses pensées d'elle, Cassandre, qui ne disparaissait plus. Il la vit dans de nombreuses situations, et elle l'accompagna dans ses rêves...

Ellipse temporelle

[ Premier post du 15/01 ]

Le matin était arrivé, et la pâleur du jour filtrait à travers les rideaux fermés dans la chambre de Niko et Lucas. Elle rayonnait d’ailleurs d’une étrange lueur, non habituelle, comme si elle venait du bas, du sol. Ayant suffisamment dormi, puisqu’il ne lui fallait pas énormément de sommeil pour récupérer, Lucas vit cette lumière diurne à travers ses paupières et il s’éveilla en ouvrant celles-ci avec précaution, plissant un peu les sourcils de peur d’être ébloui. Il bailla, s’étirant de tout son long dans ses chaudes couvertures d’hiver. Il se mit alors sur le dos en un soupir. D’après les ronflements, il ne faisait aucun doute que Niko dormait encore profondément du sommeil de l’enclume.

Dans ses draps encore tout chaud de la nuit, Lucas soupira à nouveau, repensant à ses songes nocturnes… Il avait encore rêvé de Cassandre ! Ça lui arrivait plus de deux fois par semaine, et à chaque fois au réveil, ses sentiments étaient mitigés. D’un côté, il se sentait terriblement bien de rêver d’une si splendide créature, et que dire du contenu parfois chaud de ses rêves inconscients qui le grisaient presque autant que ne l’aurait fait une amoureuse réelle. Mais d’un autre côté, il était inquiet…

Voilà près de trois mois qu’il avait vu pour la première fois la psychologue, et jamais depuis son intérêt et son attirance pour elle ne s’étaient ternis. À chaque fois qu’il la croisait, il en restait bouche bée, à chaque fois qu’elle était en même temps que lui dans la pièce, il ne savait en décrocher le regard. Pourtant il savait que ce n’était pas une femme pour lui. Elle était plus âgée, et il avait appris son rôle si important pour l’institut. Jamais elle ne le remarquerait… Aussi, Lucas s’était tenu au silence sur ses sentiments, ne les confiant à personne, le cachant à tous, sans savoir lui-même quoi faire. Mais il avait fini par l’accepter, il était tombé amoureux fou de Cassandre Deneos, et l’image de la prof le hantait régulièrement, nuit et jour, pendant son sommeil, pendant ses repas, pendant les cours, même, parfois. Il avait d’ailleurs parfois quelques moments d’absence, durant lesquels son esprit semblait s’évader de la pièce pour voguer à la poursuite de Cassandre… Mais les autres y étaient habitués, pour la plupart…

En trois mois, il avait énormément évolué, et n’était plus le garçon timide de ses débuts à l’institut. Certes il gardait toujours une certaine réserve qui était dans sa nature, mais il avait appris à connaître et à apprécier tout le monde ici, et il s’entendait bien avec la plupart des mutants. Il ne rougissait plus à la moindre parole et se sentait à l’aise parmi eux.

Après être resté cinq minutes allongé sur le dos, Lucas décida de se lever, avant d’être assommé par les ronflements tonitruants de son colocataire. Il n’était plus l’heure de se prélasser dans son lit ! Il s’avança doucement vers la fenêtre et écarta un peu les rideaux. Avec étonnement et ravissement, il constata que le parc de l’institut était recouvert d’un épais manteau blanc…

*Il a neigé ! Wouuhouuu trop fort !*

Quelques élèves étaient d’ailleurs déjà en train de s’amuser dans la neige… Lucas aimait la neige, beaucoup. Ça lui rappelait son enfance, en Suède, où le froid était mordant et où ils étaient parfois obligés de passer plusieurs semaines enfermés dans leur maison de la banlieue extérieure de Stockholm tant la poudreuse était tombée et bloquait portes et fenêtres.

Il prit de l’armoire quelques affaires, vêtements et serviettes propres, pour aller prendre sa douche rapidement, et en ressortit propre comme un sous neuf. Il avait enfilé un jeans bleu foncé un peu délavé sur le devant, ainsi qu’un épais pull noir qu’il affectionnait beaucoup depuis son achat au centre commercial de Salem. Avant de s’en aller de la chambre pour prendre son petit déjeuner, il eut une délicate attention pour Niko, qui ronflait toujours autant…

« Niko, il est l’heure de se lever… »

Et d’un coup sec, il tira les rideaux, laissant la vive lumière du jour pénétrer dans la chambre… Avec un petit rire moqueur, il sortit pour se diriger vers la cuisine.

Cuisine

(Premier post aussi du 15/01)

Niko dormait à poing fermés, il révait d'un noël en famille qu'il n'avait pu passé avec ses parents parce qu'ils étaient introuvable et de vitesse. Du coup, il était resté à l'institut pendant la période de noël et avait passé les fêtes avec une partie de son équipe chez Alicia. Il entendit lucas se lever, mais ne bougea pas, car il manquait de sommeil à cause de son pouvoir.

Niko avait appris à mieux comprendre son pouvoir, grâce en partie à Carrie qu'il appréciait assez. Il en avait toujours peur mais le contrôler de mieux en mieux.

Soudain il entendit son coloc crier qu'il neigeait. Niko ronchonna, il n'aimait pas la neige. c'était froid! Ca glissait quand on courrait dedans et plus c'était froid.

- Ronchuchhcchc!

se contenta-t'il de marmonner. Non seulement son coloc l'avait empécher de dormir une partie de la nuit, parce qu'il rêver en parlant cassandre. Mais en plus, il le réveiller tôt le matin. Ne portant aucuns intérets au temps, il préféra se rendormir et se mit rapidement à ronfler.

Mais Lucas faisait vraiment trop de bruit en se préparant. Niko s'enfonça plus dans sa couette pour atténuer le bruit.

Soudain la lumière envahit la salle tandis que on lui donner l'ordre de se relever. Perdant toute envie de se rendormir, le gros mutant se releva d'un bond et faillit tomber de son perchoir tandis que Lucas sortait en riant de sa blague.

- LUCAS!!! ESPECE DE... RAHHHH!

Il attrapa son oreiller et le balança contre la porte de leur chambre. Puis il se leva à son tour et activa son pouvoir pour se préparer plus rapidement. Puis il fouilla ous le lit de son coloc pour attraper un paquet de ses paquet biscuit qu'il planquait là de peur que Rock ne lui les prennent!

Ensuite, il prit la direction de la porte à la recherches d'Yvi pour lui demander un petit truc.

[ ==> chambre d'Yvi]

Niko rentra de nouveau dans sa chambre. Il ouvrit l'armoire et fouilla dedans à la recherches d'une vielle paire de basket et d'une vieille boite de clou qu'il avait utilisé pour solidifier son lit avec une ou deux planches.

Puis il s'asseya sur le lit de Lucas et commença à trouer la semelle de ses chaussures pour laisser dépasser les clou des semelles. En faisant ça, il laissa de petit morceau de caoutchouc tomber dans les draps de son colloc. Niko s'en apperçut et se dit.

" Ouais, il dira rien! Il à la peau dure!"

Puis il se leva et remit un bout de carton dans les chaussures pour ne pas se faire mal aux pieds. Puis essaya les chaussures. Les clous n'étaient pas assez grand pour faire des trous dans le sol ou pour géner ses mouvement, mais ils l'étaient suffisament pour pouvoir mieux s'accrocher au sol.

Ravi de sa trouvaille, Niko enleva ses nouvelles chaussures et les accrocha deux à deux par les lacets et les balança sur son épaule. Puis il saisit la liane et se dirigea vers la cuisine en attrapant du scocth et une ficelle sur son bureau.

[Cuisine==>]

Chambre de River


Lucas avait marché dans le couloir des filles pour rejoindre sa chambre. Mais arrivé à hauteur de l’escalier, il paniqua. Il se retourna une dernière fois vers la porte fermée de la jeune fille qu’il venait de quitter dans sa chambre, puis se mit à courir pour la courte distance qui le séparait des murs qui l’avaient accueilli voici plus de trois mois. Aussitôt dans sa chambre, il ferma la porte, s’appuyant sur celle-ci comme il l’avait fait en fermant la porte de River. Il soupira un grand coup. Ses mains tremblaient, et son teint rougeoyant d’il y a quelques minutes s’était métamorphosé en pâleur. Sa peau avait perdu toute ses couleurs, et des fines gouttes de sueur perlaient sur son front et dans son dos. Tout ça parce que dans le couloir,
Une image s’était formée dans son esprit : Cassandre, belle et froide, cruelle dans sa magnificence, inaccessible et parfaite. Dans sa vision, elle regardait avec une cruauté inégalée River, effondrée sur le sol en pleurs, répandant ses larmes chaudes sur le sol immatériel qui s’était formé en lui…

*River… Cassandre… Cassandre… River… Casser… Rivandre… Carré… Riverdance… Cendre… Joachim… NON !*

Il s’embrouillait dans ses pensées, il ne savait plus où il était. Sa tête tournait à l’intérieur, et ça se voyait à l’extérieur. Il avait l’impression que sa chambre, par son émoi, avait décidé de gondoler, même si il n’y avait pas de quoi rire, et de s’emplir d’une brume créée par son imagination…

*Stop !*

Tout s’arrêta, tout devint noir. Il ferma les paupières et se laissa glisser contre sa porte, à bout de souffle, même s’il n’avait réellement commis aucun effort physique important. Mais l’effort mental qu’il avait fourni pour faire disparaître toutes ces visions l’avait épuisé. River avait raison, il fallait qu’il prenne une douche, et que toutes ses pensées coulent le long de sa peau, enfin nettoyée de la sueur qui l’accablait.

Il se releva avec effort, entrant dans la salle de bain sans même prendre le temps de passer prendre des habits secs dans son armoire. Il se débarrassa de ses vêtements trempés qui lui gelaient les os, alors que l’eau de la douche était en train de chauffer. Il se mit en dessous dès qu’il fut nu, ses habits éparpillés partout dans la pièce, lui qui d’habitude était très soigné et soigneux avec ses affaires et lui-même. L’eau était encore glaciale, mais il s’en fichait. Elle hérissa sa peau, qui sembla hésiter une seconde à prendre sa forme minérale, mais rien ne se passa. Il avait appris à contrôler au mieux son pouvoir depuis son arrivée à l’institut, même s’il pouvait toujours améliorer ça.

L’eau prit petit à petit la température idéale, et il leva la tête vers le pommeau, les bras ballant, les yeux fermés, tourné vers son monde intérieur. River le rendait fou… Mais que cette folie était appréciable ! Et malsaine peut-être… Il ne comprenait toujours pas comment les deux mutants avaient pu si rapidement lier de tels liens, une telle complicité, commettre de telles choses, en si peu de temps. Mais il était heureux de les avoir faites, toutes ses choses. Même si en lui, ça s’affichait clairement comme une trahison envers l’idolâtrie qu’il avait eu pour la psychologue depuis qu’il avait croisé son chemin. Le matin même, il était persuadé qu’aucune fille existant au monde ne pouvait lui ôter Cassandre Deneos de l’esprit, et il s’était lourdement fourvoyé. Il n’avait pensé à la prof aveugle qu’une fois alors qu’il était avec River dans leurs ébats innocents, puis désireux.

Machinalement, il se savonna, repensant au moindre geste qu’ils avaient fait, à la moindre parole. Il ne comprenait pas… Il devait demander conseil à quelqu’un, mais à qui ? Cassandre ? C’était son métier certes, mais c’était exclu d’avance !! Qui d’autre pourrait savoir ? Personne, puisqu’il ne savait pas s’il avait le droit d’en parler. La seule personne à qui il pouvait se confier était le centre de ses pensées : River.

*Je dois lui parler, je dois comprendre…*

Fermant le robinet, il fut soudainement pris d’un doute affreux. Ignoble pensée qui vint s’interposer dans son esprit :

*Et si elle m’avait menti ? Dans ses actes, si elle avait joué avec moi, si elle n’était pas sincère.*

Il resta tétanisé un instant, restant accroché à la poignée de douche, avant que celle-ci, bouillante, ne lui brule la paume. Il retira alors avec une grimace des doigts de la poignée, et secoua la tête en signe de dénégation. Pour lui, il ne se pouvait pas qu’elle n’ait pas été sincère… Il l’aurait vu… Du moins, il le pensait !

Ça ne changeait rien au fait qu’il devait absolument retourner lui parler. Il ramassa hâtivement ses habits dispersés après s’être essuyé, et en enfila de nouveau, disposant soigneusement les humides sur le radiateur de la chambre. Il choisit dans sa garde robe un pull en coton épais, de couleur noire, comme toujours, avec un col échancré en ‘V’. Un jeans simple mais élégant termina son habillement, et il enfila ses chaussures sèches, laissant les détrempées sur le côté. Confiant, il inspira une grande bouffée d’air avant de la recracher d’un coup, prêt à faire face à River… Mais au moment où il allait sortir, il retourna près de son lit et en sortit la photo de Cassandre. Il la regarda avec dépit et admiration triste, avant de souffler doucement :

« Je suis désolé… »

Puis il partit vers la chambre des Smith.

Chambre de River

[ chambre de Hwang et Kalalli]

Après avoir laissé le jeune homme, River avait failli faire demi-tour. Il n'avait peut-être pas très envie de se retrouver seul. En même temps, elle voulait parler avec Lucas et, entre un presque inconnu et son petit ami, le choix était vite fait. Elle espérait qu'il aurait eu le temps de se calmer, d'ici à ce qu'elle le retrouve, ce qui risquait d'être difficile, vu qu'il ne lui avait pas répondu. Le chemin était court, de toute façon, entre les deux chambre. C'était la porte juste en face. La jeune fille n'avait eut qu'à traverser le couloir. Pourtant, avant de frapper à la porte pour savoir si Lucas était là elle se saisit de son communicateur pour la deuxième fois en quelques minutes. Le message, pourtant, ne serait pas pour sa soeur cette fois-ci, mais pour le colocataire de l'Inuit.

"Hwang, tu as un nouveau colocataire. Je viens tout juste de le laisser dans votre chambre..."

Elle coupa la communication et s'approcha de la porte à laquelle elle appuya son front. Etait-il là? Et s'il y était, comment réagirait-il en la voyant? Après tout, elle navait pas suivi, quand il était parti. Peut-être l'avait-il mal pris? L'angoisse lui nouait l'estomac. La jeune fille commençait à avoir du mal à supporter leurs sautes d'humeur à l'un comme à l'autre. Se retournant, se mettant dos à la porte, la jeune fille se laissa glisser le long de celle-ci, espérant que personne ne viendrait à ce moment-là. C'était dur à supporter. Elle avait envie d'une vie calme, sans soucis, sans Georgia, sans entrainements, sans pouvoirs. Et c'était maintenant qu'elle s'en rendait compte. Au bout de quelques instants de réflexion, elle prit la parole, sans savoir si elle aurait une réponse.

"Lucas? Tu es là?"

Et s'il y était? Et s'il ne voulait pas lui parler? Elle ne pourrait pas savoir. Si elle avait aucune réponse, il ne lui resterait qu'à aller le chercher ailleurs. Peut-être dans les salles de classe, encore? Ou bien dehors? Elle tourna la tête vers la fenêtre. L'hiver rendait les journées beaucoup plus courtes. Il faisait nuit déjà, presque. Enfin, en même temps, avec la lumière dans le couloir, il lui semblait qu'il faisait tout noir dehors. Elle était bien contente d'êter à l'intérieur.

"Aaaah!" cria presque la jeune fille en sentant la porte se dérober derrière sa tête et son dos.

Elle tomba à la renverse, dans les jambes de Lucas. Bon, au moins, il était là, c'était déjà ça. Elle le regarda un instant, d'en bas. Il semblait calmé, soucieux, certes, mais calmé. Au moins, il n'avait pas fait comme s'il n'était pas là, et c'était déjà énorme pour l'anglaise. Elle resta quelques secondes interdite, malgré sa question, sans bouger. Au bout de ce temps qui avait semblé durer une éternité pour elle, la jeune fille se décida à se relever. Après s'être remise sur ses pieds et s'être tournée face au jeune homme, elle épousseta ses vêtements pour reprendre ses esprits et ordonner ses pensées.

"Ca pourrait aller mieux, et ça ira." répondit-elle.

Dans sa tête, elle avait répondu à deux questions. La première concernait ses pensées, son humeur, la deuxième son état physique après sa chute. Mais cela pouvait aussi sembler comme dire que ça irait, qu'elle ferait tout pour ça, même si elle n'avait pas le moral pour l'instant. La jeune fille adressa un sourire peu convaincu au suédois avant de se demander ce qu'elle faisait là. Elle regarda la chambre qu'il partageait avec Niko et nota immédiatement les lits superposés. La configuration était différente de la chambre qu'elle partageait avec Wind et, à dire vrai, elle préférait très largement la chaleur de la pièce des deux anglaises, surtout qu'aucune d'elles n'était bordélique. Bon, de temps en temps, River laissait trainer un vêtement qu'elle avait écarté de sa garde-robe pour s'habiller le matin, mais c'était tout. Elle hésitait, en tout cas, à avancer dans la pièce.

"Je ne te dérange pas?"

Elle ne se sentait, curieusement, pas très à l'aise et attendait, anxieuse, la réponse de Lucas. A part ouvrir un peu trop fort la porte, à part lui demander si elle allait bien, il n'avait pas fait de geste vers elle. Elle se mordilla la lèvre, se disant qu'elle n'aurait peut-être pas dû réagir comme ça en début d'après midi, ni même venir. Elle se retourna vers la porte.

"Je... Ce... Je ne... "

Elle ne parvenait même pas à finir sa phrase, ce qui avait le don de l'énerver. Surtout que le jeune homme ne connaissait pas la langue des signes. Elle poussa un soupir agassé de ne pas réussir à se faire comprendre, puis retenta:

"J'aurais peut-être pas dû venir. Désolée..."

C'était sorti, au moins... C'était déjà ça. Mais elle ne se sentait pas soulagée pour autant. L'adolescente voulut se diriger vers la sortie, mais elle se sentait comme clouée au sol. Elle sentit l'émotion de la journée la rattraper comme dans le couloir, mais, cette fois, elle ne put se contenir. Brusquement, elle se retourna avant de se jeter dans les bras de Lucas, au risque de se faire repousser. Mais elle n'en avait cure. Plaquée contre le jeune homme, elle laissa les larmes couler. Si elle, elle s'était sentie plus qu'inutile lors de son entrainement la veille, elle avait bien entendu que le jeune homme avait tué quelqu'un au cours de celui-ci. Ce n'était pas la même chose, certes. Pourtant, River était la plus jeune de son équipe et avait un fort besoin de faire ses preuves, de se sentir utile. Et même en dehors, même pour son petit ami, elle n'avait pas réussi à l'être... Et elle l'avait rejeté alors qu'il avait besoin d'elle. Et pourtant, maintenant, c'était elle qui se jetait dans ses bras parce qu'elle avait besoin de lui. Elle s'écarta finalement avant de lâcher:

"Désolée, je ne suis qu'une égoïste..."