Montréal - une journée (presque) comme les autres

En ce matin du 18 janvier la neige recouvrait les rues de Montréal. Ce temps ne dérangeait absolument pas Lars, le temps Suédois était souvent plus froid que cela. Lars se réveilla vers les 9 heures du matin. Il mit directement ces lunettes puis enfila un sweetshirt des juniors de Montréal, un anorak, un bonnet, une pare de gens, un pantalon de jogging et une paire de basket et il partit comme tous les matin faire un footing dans le quartier.


Lars courait vers la boulangerie française qu'il avait découvert il y a peut. Une fois devant l'échoppe, Lars souffla sur ses mains pour réchauffé son nez rougit par le froid comme le reste de son visage, les 2 unique degrés de ce matin était éprouvent pour les zones non protégées. Il entra dans la boulangerie, il était le seul client, Lars commanda un pain au chocolat. La caissière lui tendit un petit sac qui sentait bon le pain, et dit en souriant . 80 cents, s'il vous plait.
Lars déposa un billet d'1$ sur le comptoir et balbutia dans un français approximatif.
Gardr'z la moné'
La commerçante lui sourit et encaissa le billet.
Lars enfouit le sachet dans une poche intérieure de sa parka. Puis il repartit en courent sa respiration envoyait des volutes de fumés devant lui. Une fois deux rues passé il retomba devant la résidence.


Il entra, et vit sur l'horloge de l'entrée 9 : 31. Lars déposa son blouson sur le porte manteau prevu a cet effet , sortit le sachet et monta les les éscalier 4 à 4 en pensant,
j'ai à peine une demi-heure pour manger et être en tenue sur la glace
Lars sortit la viennoiserie de son écrin et mordit à pleine dent e moin de 2 minute il ne restait plus que de miettes. Une fois dans sa chambre Lars pris son sac et partit pour la patinoire. Dans les vestiaires il retrouva les autres membres de l'équipe un des jeunes hommes lui lança en rigolant.
Alors Lars on s'est pas réveillé?
Lars lui répondit sur le même ton.
Non, non, c'est que moi le matin, je m'échauffe, contrairement a certains...
Des rires retentirent dans le vestiaire. Soudain l'entraineur, un homme massif d'une Quarantaines d'années, entra et hurla, comme a son habitude, Avec un fort accent canadien.
Bande de limasse vous êtes pas encore prêt!!! il vous reste 5 minutes pour être en place sur le terrain!!! et dix pompes pour chaque minutes de retard!!!


l'entrînement de passa normalement, Intensif mais efficace. A la fin le coach appela Lars d'un geste de la main. Lars se laissa glisser jusqu'à la rambarde ou l'attendait le coach. Une fois en place il attendit qu'il s'adresse à lui d'abord.

[Tout d'abord, évites de créer et de jouer de nouveaux PNJ, c'est mon boulot. Pour rendre le tout plus lisible, n'écris pas les lieux à chaque fois que tu changes de cette facon. Intègre le dans ton texte, ça sera beaucoup mieux de cette facon. Fais moi plaisir et dis qu'il parle québécois à la place français canadien.]

Le coach attendait patiemment Lars en bas de la rambade, un paquet et demi de gomme à mâcher dans la bouche. Visiblement très nerveux de la prochaine partie, il leva les yeux vers Lars lorsque finalement ce dernier arriva à sa hauteur. Il se gratta le nez, s'agitant nerveusement devant son jeune joueur. Il se tourna vers lui dit et dit:

"Bon l'grand! J't'aime ben, tu l'sais. J'ai quelqu'chose pour toi!"

Il savait que Lars avait eu de la difficulté avec l'élastique de ses lunettes qui s'étirait sans arrêt et qu'il devait sans arrêt ajuster pendant les pratiques. Il ne voulait pas que son joueur ait de problèmes de rétines pendant la partie! Le coach sortit alors des lunettes plus résistante et solide avec le logo de leur équipe. Il les lui tendit et au moment que Lars les prit dans ses mains, il l'attrappa par les épaules et le tourna vivement vers lui:

"Bon! Pas de niaisage aujourd'hui! Si on gagne cette partie là, on s'en va en finale! Et c'est pas n'importe où là! La finale est à New York! J'suis jamais allé à New York et j'y tiens beaucoup! J'veux acheter un t-shirt "I Love NY" à ma fille! Tu te débrouilles pour bien jouer là! Ok?"

Lars fût surpris de cette entrevue avec son entraineur jamais il ne l'avait vu dans un tel état d'énervement, il en était d'ailleurs très surpris, habituellement le coach était là pour calmer les joueurs un peut trop fous. Mais là, cette partie lui tenait tellement a cœur. Lars sentit soudain un poids peser sur ces épaules. Il posa ces yeux sur les lunettes ou brillait le "M" des Maroons. Puis il se releva et fixa l'entraineur dans les yeux, puis il dit:

"Coach, Moi aussi j'veut aller à New York et j'suis sur que tout le reste de l'équipe aussi. Vous inquiétez pas, ce match on va le gagner haut la main. On est la Maroons, oui ou non?!"

Il ne reçut pour seul réponse qu'un grognement, que Lars prit pour un encouragement. Il partit se changer. Il était 12 h 45 environ quand toute l'équipe portant tous le même survêtement au couleurs de l'équipe. Il était l'heure de manger. Les plats se succédaient d'abord la salade puis ensuite les spaghetti les steak hachés les yaourts et enfin les bananes. Tous mangeaient de bon appétit et dans la bonne humeur, les blagues potache fusaient de tous côté, tous sauf Lars, il mangeait certes, mais ne plaisantait pas il repensait sans cesse aux mots du coach, une fois le repas terminé à 13 h 30. Le coach pris la parole.
"Il va surement annoncer l'équipe et le capitaine pour cet aprem'" pensas Lars.

Lars s'y attendait un peut, au vue de ses récente bonnes performances, mais ça fait toujours plaisir d'entendre que ses effort sont récompensé.
Il prit son sac et comme le reste des 25 joueur de l'équipe il se dirigea vers la porte des vestiaires il était déjà concentré en pensait au discourt d'avent -match qu'il allait prononcer.
Le match se jouait a Montréal sur la patinoire ou ils avait l'habitude de s'entrainer toutes les conditions était la pour gagner néanmoins Lars avait un peut le trac on lui vait beaucoup parler des Bullies. Mais il n'était plus temps pour de ce poser des questions.Déjà Lars était assis sur un des banc du vestiaire. Il était 13 h 45 quand dans les couloirs on entendit les pas des adversaires Lars Mais il était déjà temps pour les Maroons de retrouver leur coach sur la patinoire, Le match ne commençait qu'à 15 h 30 mais visiblement l'entraineur voulait que ses joueurs soit prêts. Il les attendait déjà an centre de la patinoire comme a leur habitude avent les match les joueurs se mirent en rond autour du coach en se tenant par les épaules. Lars fût le dernier à rejoindre le cercle.
L'entraineur était là, du chewing-gomme plein la bouche une plaquette dans la main droite sur laquelle il avait surement préparé des tactiques et des stratégie de jeu, au milieu de ses joueur, ses "25 p'ti soldats" comme il aimait a les appelait. Il commença un discourt que peut dans l'équipe oublierait...

Tout en machant son chewing-gum, l'entraineur de l'équipe de Lars faisait ses dernières recommandations, tout était prêt, la stratégie, le marquage et le collectif. Le discours de l'entraineur ne dura pas plus d'une minute, tous se connaissait bien et il n'en fallait pas plus à ces jeunes savoir ce qu'il avait à faire.

Avant de laisser la place à Lars, le visage du coach s'embrumit et il une dernière déclaration.

"Vincent s'est plaint de l'inégalité de ce match, il a demandé à ce que l'arbitre soit Américains puisque nous jouions à domicile, ce n'est pas problématique sur le principe mais l'homme qui a été désigné est une fripouille de la pire espèce er j'ai bien peur que vous ayez à être totalement irréprochable."

Une fois cette dernière déclaration faite, l'entraineur quitta le groupe, son expérience de joueur lui avait appris que ces derniers moments entre les hommes qui combatterait pour la palet éaient indispensable pour la victoire.

Le coach repartit prudemment vers le banc de touche et s'y assit. Lars jeta un regard par dessus son épaule Et penssa.

"Je l'ait jamais vu aussi anxieux, Ce match lui tien vraiment à cœur, Va falloir se surpasser!"

Lars glissa au milieu du cercle, là même où se tenait l'entraineur un instant au paravent, il fit un tour sur lui même avent de parler il fixa tous les joueur dans les yeux; Aucun ne portait encore son casque.
Lars commença enfin son discourt, d'une voix forte pleine de détermination. Mais l'auditoire avait décelé une pointe d'inquiétude presque du doute dans sa voix, c'était normal, après tout, avent un match comme celui d'aujourd'hui.

"Bon, les gars, vous avez tous entendu le coach il a dit "irréprochable", ça veut pas dire complètement amorphe! ...Des marrons viril mais correct cet aprem'. OK?! Pendent le match, je veut pas voir un Bullies avec le palet! Il faut les servé de rondelle. Ils vont pas l'supporté. J'en suis sur. On va les pousser a la faute! si il veule marquer il faudra nous agresser. Quand ils commencerons les mauvais geste, il nous faudra rester calme. Si on peut pas compter sur l'arbitre, il faudra que leur fautes soit flagrantes!"

Lars bouillonnait de l'intérieur. Il regarda les joueur et vu la même ferveur que la sienne dans leur yeux. Il se mit d'abord face à Arthur et Daniel, deux frères québécois qui jouait arrière droit et gauche, Lars leur dit

Bon, Arth, Dan, vous savez c'que c'est qu'une mise en échec? Donc vous savez ce que vous devez faire!

Puis son regard se posa sur Eddie, le gardien, il lui glissa.

"Ok l'artiste, tu connais ton boulot y'aura pas un palet qui touchera tes filet, cet aprem'! je suis clair?"

Il se tourna ensuite vers Boris,l'ailier droit, et Jonas, l'avent-centre (Lars joue ailier gauche), et leur dit

"On va faire la technique en triangle comme on a vu à l'entrainement. Boris c'est toi le plus rapide donc tu sera le plus en retrait défensif, moi en position intermédiaire et Jonas en pointe. Ok?"

Puis il se retourna enfin vers les remplacent et dit

"On compte sur vous les gars, quand vous rentrez vous vous déchirez, je veut pas en voir un tire au flan!"


Lars leva son casque en hurlant, bientôt suivit par ces coéquipier.

"MAROONS!!! MAROONS!!! MAROONS!!! GOOOOOOOOO!!!!"

Tous enfilère leur casques et se mirent enplace pour l'échauffement.
Le coach se mit a crier les exercice a faire depuis le banc de touche. Mais l'heure approchait et les Bullies aussi était en place. seul l'arbitre manquait encore, mais pas pour longtemps.
Les gradins commençaient eux aussi à se remplir.
Bientôt on appellerait les équipe pour jouer.

[HJ : Je suis réellement désolé du délai...]
Pendant son discours, Lars put remarquer Eddy, un joueur de deuxième ligne, qui eut un faible rire sarcastique, comme si l'idée de gagner sur les fautes adverses lui semblait dérisoire. Mais personne ne fit de commentaire et ils se mirent tous en place dès que leur slogan fut lancé. Se dirigeant vers le banc, les numéros 25 et 72, Lévesque et Leclerc, s'échangeaient des remarques optimistes et encourageantes, alors que l'arbitre arrivait enfin sur la glace, la rondelle à la main.

"On va leur faire mordre la glace. Adams va r'gretter d'être parti..."
Et ils s'énervaient entre eux, de telle sorte qu'une fois sur le banc, ils hurlèrent des encouragements avec la foule, jusqu'à ce que le coach les fasse taire d'un simple regard.

L'arbitre leva la rondelle pour faire la mise au jeu et s'adressa aux deux avants centre, attardant son regard un peu plus longtemps sur Jonas que sur son adversaire. Même si l'arbitre n'avait pas parlé fort, Lars put entendre ce qu'il avait dit, accentuant le deuxième mot avec un fort accent américain.

"Good luck, misters!"

Il laissa tomber la rondelle, qui sembla se perdre quelques instants entre les bâtons et les patins, pour surgir finalement au bout de celui de Jonas qui avait réussi à prendre la mise au jeu, avait feinté une passe vers Lars et avait finalement passé à Boris, avant de s'élancer rapidement vers le but adverse. Boris ne bougea pas de sa position, ce qui était plutôt inhabituel, voulant faire croire aux Bullies qu'ils pourraient facilement lui prendre la rondelle, puis tira vers Lars, qui vit au même moment un colosse patiner en sa direction.

Le palet arriva devant Lars prèsque en même temps que le numéro 18 (le colosse en question). Par pur réflexe, Lars réussit à se décaler vers la droite, surprit le défenseur ne put que constater qu'il était battu.
Lars s'avance vers le but, mais les Bullies était bien replacés. Lars jeta un coup d'œil autour de lui et vit que Daniel remontait a toute vitesse droit vers le but, et du côté droit de la patinoire, Jonas. Mais en face d'eux c'était un mur bleu.
Lars décida de se lancer dans une manœuvre que certain appelle déjà le "Eriksson spécial". Elle consistait à se retourner et a patiner en reculant.
Mais deux Bullies était déjà sur lui. Lars fit une passe que peut de joueur aurait réussit a capter en direction de Daniel car il était déséquilibré par la percution des 2 deux défenseurs Bullies. avent de s'affaler sur la glace Lars hurla en direction de Daniel.

Va s'y Dan! Met le!


Hrp: C'est pas grave pour le retard. Les MJs aussi ont le droit de prendre des vacances.

Lars ne put savoir si Dan avait capté la passe. En effet, l'un des défenseur, plus grand encore que lui, l'avait mal plaqué et son épaule avait heurter le visage de Lars, ou plutôt ses lunettes, qui se brisèrent sous le choc.

Il vit alors des étoiles, littéralement, alors qu'il clignait des yeux, entendit la foule cesser ses clameurs, les patins des autres joueurs crisser plus ou moins faiblement sur la glace, selon la vitesse à laquelle ils freinaient, et finalement il entendit la rondelle heurter une bande, à quelque part. Il avait beau être costaud, cette double mise en échec l'avait sonné. Au bout de quelques secondes, un coup de sifflet retentit, annonçant un temps mort. Levant les yeux, Lars vit son coach, la main dans une poche de son blouson et l'air mécontent.

Puis, de la foule s'élevèrent de nouveaux cris. Loin des hués et des encouragements excités, on aurait plutôt dit des cris de peur. Ce ne fut qu'à ce moment que Lars ne comprit ce qui se passait : deux ronds lumineux, comme émis par une lampe de poche, suivaient son regard où qu'il aille.

Une drôle de sensation traversa l'esprit de Lars, pas de la peur quelque chose de différent un peut comme une impression de déjà vu. Mais sa réaction fut cette fois ci très différente. Il s'avança vers le coach l'arbitre s'était déjà approché de l'entraineur. Lars se stoppa a leur niveau et attendit que l'un des deux homme parle le premier en regardant vers le sol autant pour ne pas éblouir ses interlocuteur que pourne pas voir les regard terrifié des différente personne qui l'entouraient.

Lorsqu'il arriva à la hauteur de son coach et de l'arbitre, Lars s'aperçut qu'ils parlaient à une vitesse folle qui l'empêchait de bien discerner tous les mots. Il comprit tout de même un "mutant", et alors que le ton montait légèrement, ce fut le tour des spectateurs de réagir. Une canette vide atterrit sur l'épaule de l'arbitre, suivi par des snacks et des collations à en faire mourir d'envie le tiers-monde. Laissant le soin aux assistants arbitres de calmer la foule, l'arbitre en chef tira le coach des maroons et Lars à l'écart des projectiles comestibles.
En s'y rendant, l'entraîneur grogna à l'adresse de son joueur :

"Rétines sensibles? Mon oeil. Vous m'avez mentis!"

Il semblait avoir quelque chose à ajouter, mais fut interrompu par le coach des bullies, qui se protégeait la tête des mains :

"Alors on engage des mutos pour avoir plus d'chances d'gagner? J'pense qu'la foule trouve pas ça très fair-play!"

L'arbitre lui fit signe de se taire et croisa les bras devant lui, attendant une explication sur ce qui venait de se passer. L'entraîneur semblait trop furieux pour donner une explication et il faudrait bien que ce soit Lars qui s'en charge...

Lars tendit le bras dans les vestiaire de façon a récupérer son sac. Il en sortit son ancienne paire de lunette, pour pouvoir regarder l'arbitre en face.
Il prit une grande inspiration et s'adressa d'abord a l'arbitre.

Bon, je pense que vous vous doutez que je suis un mutant, mais mon seul pouvoir est d'envoyer de la lumière par mes yeux, c'est d'ailleurs pour ça que je met des lunettes. Prenez la décision que vous voulez en ce qui me concerne, mais, s'il vous plait, ne pénalisez pas mes coéqipier.

Il se retourna vers son coach et dit.

Oui. J'vous ai menti. Mais si j'vous aurait dit que j'était mutant vous m'auriez accepter de me prendre dans l'équipe?

Puis adressent à peine un regard au coach adverse. Il lui dit.

J'suis p't'être un Mutos mais même sans moi ils sont capable de vous écraser.

HRP: désolé pour le retard mais je suis en train de déménager et j'ai pas encore internet dans mon apart'.

Les deux coachs et l'arbitre attendirent que Lars aille dans le vestiaire reprendre une paire de lunettes, puis s'explique. Ce fut l'entraîneur adversaire qui réagit le plus vivement. Non pas à la légère provocation de Lars par rapport à la défaite des Bullies, mais plutôt aux propos qu'il avait tenus à l'arbitre.

"Seulement faire d'la lumière héhé... Et puis quoi encore? T'vas nous découper au laser, ouais! Sale monstre! Mon frère s'est fait attaqué par un mutant, hier. Un type étrange sous une cagoule. Sur la plage! Il avait la peau orange et en posant la main sur Al, il lui a foutu une entaille au visage, pas une p'tite qu'il m'a dit, et lui a brûlé les mains quand il a voulu s'défendre. Parc'qu'il lisait la sentinelle, en bon citoyen. Vous n'êtes tous qu'des salauds de fous furieux! Tu pense vraiment qu'on va gober que t'es incapable d'tuer quelqu'un, saleté de mut..."

Commençant à lever dangereusement le ton, ainsi que le points, et s'approchant du joueur aux lunettes de soleil, l'arbitre intervint.

"Hé là! On s'calme, compris? Il n'a fait de mal à personne et je ne peux permettre de violence sur la glace. Par contre, petit, je suis dans l'obligation de t'expulser, étant donné la confusion que tu as créée."

"Foutaises!" s'emporta le coach des Marroons, "Vous voulez juste nous donner une chance de moins de gagner! Saboteur! J'veux cinq minutes pour aller briefer ma team avant d'r'prendre le jeu..."

L'arbitre les lui accorda à contre-coeur, tout le monde étant maintenant autour d'eux.

Quelques minutes plus tard, la discussion battait son plein dans les vestiaires, mais l'ambiance était loin d'être festive. Entre les regards dégoutés et le fait que Lars était le seul sur son banc, mis à part le coach qui avait pris place à ses côtés, et les commentaires à voix basses qui s'échangeaient sans que Lars ne puisse les entendre, ce n'était pas la joie. Le coach réclama le silence par trois fois avant de l'obtenir.

"Lars a été exclu du match et j's'rais pas surpris qu'il soit exclu de l'association complète! À votre avis, que devrions-nous faire?"

"Gagner malgré tout", répondit l'allier droit, soulevant les commentaires positifs de ses coéquipiers.

"Lui, il aura qu'à rejoindre les gens de son espèce. Ils se rassemblent dans une pseudo-école, à Salem, et personne ne sait vraiment ce qu'ils font. Si ça se trouve..."

"Suffit, Jasmin. On sait tous qu't'aimerais prendre son poste. Pas b'soin d'lui cracher d'sus! T'en penses quoi, Lars? Tu dis rien..."

[HJ : pas de problèmes, je comprends!]

Quand le coach adverse s'avança vers lui, Lars eu d'abord un mouvement de recul puis serra les points en anticipant sur le combat qui pour lui semblait inévitable. Heureusement, l'arbitre intervint. Lars pensa

"Sur se coup la j'l'ais échappé belle. Ce mec était prêt a me tuer. Faudra que je vois s'qu'y s'écrit dans c'te feuille d'chou dont il a parlé "La sentinelle" qu'il a dit."

Il suivit son équipe dans le vestiaire et écouta les commentaire de chaque un quand le coach lui adressa la parole. Lars se tourna vers l'entraineur et lui répondit

Qu'est ce que j'en pense ? J'en pense que ce barjot à manquer de m'arraché la tête.

Il se tourna ensuite vers ces coéquipier (pour quelques instants encore).

Mais à part ça, je pense comme Boris, que vous êtes tous capable de gagner le championnat et que même sans moi les Bullies vont bouffer la glace. Sinon en ce qui me concerne personnellement, je pense que Jasmin a pas vraiment tort, je vais aller a Salem dès la fin de ce match, je préfère partir par moi même avent d'être virer comme un mal-propre de l'association. Donc, si vous avait quelque chose a me dire, faite-le maintenant. Soyons clair, je vous suivrait de loin donc z'avez pas intéret à perdre, sinon je reviendrait a Montréal vous botter le cul!

Lars se retourna vers l'entraineur qui avait vraiment l'air anxieux, il voulait lui dire des tas de chose mais il ne parvint qu'à lui glisser, d'une voix plaine de sanglot.

Désolé...

Il commença à se déséquiper pour aller se doucher tout en essayent de lutter pour ne pas pleurer, pas devant eux en tout cas.

Personne ne fit le moindre commentaire à Lars, mais l'atmosphère était lourde et se sentait presque autant que l'odeur de sueur que dégageaient les joueurs dans un endroit aussi confiné que les vestiaires. Le coach finit par briser le silence en encourageant ses joueurs à gagner la partie en cours, puis il se tourna vers Lars, lui mit une main sur l'épaule et lui dit.

"C'est moi qu'est désolé d'perdre un aussi bon joueur..." avant de le laisser se diriger vers les douches, lui-même se dirigeant vers la patinoire.

Après s'être douché, Lars put aller rejoindre les spectateurs dans les gradins, bien que ceux-ci s'appliquaient à laisser toujours une bonne distance entre le joueur des Maroons et eux-même, tout comme ils évitaient de croiser son regard. En s'asseoyant, Lars mit la main sur un journal ouvert qui trainait sur le banc. Un coup d'oeil au score lui fit comprendre que la partie était loin d'être gagnée : il affichait toujours 0 des deux côtés.

Lars lu quelques article et sentit monter en lui une colère, chose qui lui arrivait peut souvent. Des centaines d'idées lui passait par la tête mais la pensé dominante était.

"Pourquoi ces gens ont-il autant de haine contre les gens comme moi?... On est si effrayants que ça?..."

Il laissa rapidement tomber le journal sur le sol et se sentit bouillir de l'intérieur. Il se souvint des menace du coach des Bullies.

"Je vais montrer à quel point on est dangereux!!! "

Ces pensées le terrifièrent. Il secoua la tête pour remètre de l'ordre dans sa tête. Lars réussit tant bien que mal à se calmer.
A cet instant il prit une décision.

"Si il y a beaucoup de gens qui lise cet horreur, je risque d'avoir du mal à sortir d'ici en un sel morceaux"

Lars embrassa une dernière fois cette patinoire du regard. Cette glace, il y avait passé de très bon moments, mais dorénavant, il ne savait même pas si il remonterait un jour sur de la glace!
Puis commença à décentre les marches qui l'amènerait dans les vestiaire puis dans la résidence. Un dernier coup d'œil sur le Tableau de marque, Toujours 0-0.

Alors qu'il s'apprêtait à sortir, passant derrière les bancs des joueurs de son équipe, Lars pu voir que certains de ses camarades lui faisaient des moues désolés alors que d'autres, dont Jasmin, lui tournaient résolument le dos.

Le coeur gros, il se dirigea vers les vestiaires, mais fut interrompu, à l'abri des regards, par Nathalie, la soeur de Daniel et Arthur, à peine plus âgé qu'eux.

"Lars, qu'es'-tu fais là?" demanda-t-elle avec son accent prononcé du Lac St-Jean, les mains sur les hanches, sourcils froncés : image type d'une fille qui ne comprend rien.
Et dans le genre fille qui ne comprend rien, c'était là que l'image s'arrêtait. Nathalie était étudiante en génie physique. Elle avait un style très simple, sans maquillage (ou presque), les cheveux longs qui lui tombaient négligemment au milieu du dos. Derrière ses lunettes fines, son regard semblait vouloir enfoncer Lars sur place, comme un clou dans une planche de bois.

[HRP : Fais-moi signe quand tu auras de nouveau une connexion.]

Dans un premier temps se fût la surprise qui gagna Lars, une personne dans les vestiaires! Une fille qui plus est!
Lars leva la tête et reconnut sans mal la personne coupable de l'intrusion autant a son accent qu'a son physique.
Lars laissa un instant de silence et dit d'une façon qu'il aurait voulu plus joyeuse.

Nathalie, ce serait plus à moi de te poser la question, non?

Voyant que la "plaisanterie" ne fût qu'à moitié apprécier. Le jeune homme se demanda si il devait lui raconter la vérité ou un mensonge. Il obtura rapidement pour la première proposition en se disant que même si la réaction de Nathalie était aussi négative que celle du coach Bullies, elle au moins représenterait un danger plus facilement métrisable que le colosse qui avait essayer de le frapper 10 minutes au paravent.
Lars retira ces lunettes en prenant soin de ne pas viser le regard accusateur de son interlocutrice.
Il ajouta de façon assez ironique

"Ca repond à ta question?"

La jeune fille resta figée sur place.
Lars remit rapidement ses lunette et s'avencea au niveau de Nathalie, à laquelle il glissa

Dit à Arth de travailler sa vitesse...

[HRP] /me fait des grands signes. en hurlant j'ai une connection! j'ai une connexion! [/HRP]

"Techniqu'ment, chuis sur le seuil, Lars, chuis pas encore entrée" répondit Nathalie avec un sourire amusé. Elle avait raison, elle n'était pas réellement dans le vestiaire, même si elle pouvait le voir dans sa quasi-entièreté.

Lorsque le mutant enleva ses lunettes, il fut bien obligé de constater qu'ils avaient cessé d'émettre de la lumière. Nathalie le remarqua, forcément, et lui répondit d'un ton taquin.

"Pas pan toute. J'ai ben vu c'qui s'tait passé su'a glace, mais on dirait qu'c'était une bad luck pour toé..."

Lorsque Lars se rapprocha d'elle, Nathalie releva le menton sur un air de défi et lui répondit du tac au tac.

"J'va y dire, mais avant tu m'dis pourquoé qu'tu restes pas jusqu'à la fin d'la game, ok? Qu'est-c'tu veux faire de même?"

Elle avait totalement perdu son sourire et semblait plutôt soucieuse.

[HJ : Fais attention à ne pas faire jouer les PNJs à ma place, c'est mon rôle. Je vais rayer les passages qui ne fonctionnent pas dans ton dernier post, et n'en tiendrai pas compte.
Aussi, si mon joual est incompréhensible, je pourrai te le traduire en fin de message, si tu veux ]

Lars eu une une réaction de surprise, c'était la première fois qu'il "perdait" son pouvoir. Il passa une main, incrédule, devant son visage. Non, plus rien ne sortait de ces yeux. Lars s'obligea à réfléchir et surpasser cette surprise. Il remit ces lunettes pour cacher cette surprise, bien qu'après ce qu'il venait de faire nul doute que Nathalie avait remarquer son désappointement.

Il essaya de répondre aux questions de la jeune femme tout en cachant le certain agacement qu'elle lui causait.

Pourquoi j'reste pas jusqu'à la fin? T'était là quand je suis tomber donc t'a vu leur réactions? Tu pense vraiment qu'ils me laisserons partir comme ça?

Lars ne répondit consiament pas à la deuxième question, se disant que moins de personnes ici ne saurait où il allait mieux il se porterait, il ne savait pas pourquoi mais il en était convaincu.

"C'pas une raison d'partir en sauvage, Lars, voyons donc! D'toute façon, si c'pas eux, c'est moé qui t'laiss'ra pas partir d'même! Tu veux t'en aller où là?"

Elle s'éloigna du seuil de la porte, contournant le mutant sans cesser de le fixer. Peu à peu, Lars pu s'apercevoir que son regard n'était pas aussi dur qu'il se l'était imaginé et, en fait, elle semblait peut-être même s'inquiéter pour lui. Elle alla se placer entre lui et la sortie, message subliminal lui signifiant qu'elle ne le laisserait réellement pas partir.

Lars réfléchit un instant pour trouver une de ces répartie bien cinglante dont il avait le secret, mais il renonça. Après tout elle saurait, tôt ou tard, autant éviter à Arth et Dan un interrogatoire pénible. En plus de ça elle semblait vraiment inquiète. Il s'aprocha de Nathalie et lui posa une main sur l'épaule.

Je vais essayer de rejoindre une école pour les mutants, à Salem. Même si je sait pas encore comment les contacter... enfin voilà. Si tu veut en savoir plus, demande à Jasmin, c'est lui qui à lancer l'idée... Sur ce, moi j'y vais j'ai encore deux ou trois trucs à récupérer dans ma cambre.

Il commença à avencer en écartant la jeune fille, qui s'interposait entre lui et la porte, d'une seule main, sans brutalité, mais avec détermination.

Lars essaya de rendre le moment moins pénible avec une plaisanterie mais sans y mettre autant de cœur qu'a son habitude.

Et en plus je doute que tu fasse le poids pour m'empêcher de partir...

Il conclut sa boutade par un clin d'œil et ajouta

Au revoir Nath...

Il espérait vraiment la revoir... les revoir... tous.

"L'institut Xavier? En tout cas, y font pas mal parler d'eux ces temps-ci..."

Nathalie tourna lorsque Lars la repoussa, mais s'accrocha à son avant-bras, à la surprise du hockeyeur.

"Qui s'qui a dit que j't'empêch'rais d'partir? C'ment tu veux t'y rendre? J'ai mon char si tu veux un lift... Parait qu'leur technologie est sensass, j'veux voir ça! Ça d'vrait pas être trop dur à trouver, mon beau."

La jeannoise fit éclater une bulle de chewing-gum aussi rose que ses joues.

"T'as ton passeport? On dira aux douaniers qu'on fait une sortie entr'amoureux... Y sont pas mal poissons!"

La proposition, en plus d'être proposer avec malice par une jolie jeune fille, lui parue beaucoup plus intéressante que le voyage en train ou en avion qu'il projetait jusque là. Le mutant fit semblant de réfléchir et finit par afficher un large sourire que remplaçait sans ambigüité une réponse positive. L'annonce de la dernière phrase donna à Lars l'occasion de plaisenter une fois de plus et ne s'en priva pas.

J'avait bien l'intention d'aller le chercher, et c'est surement se que je vais faire si tu laisse mon sang atteindre a nouveau le bout de mes doigts.

Mais cette phrase avait aussi fait rougir le jeune homme jusqu'au oreille.