Dans la campagne hongroise

Le ciel est sombre et humide au dessus de Cécilia se soir. Une nuit sans étoile, sans lune, mais pas sans lumière. La foudre frappe le sol au loin et la pluie commence légèrement à tomber. Cécilia lève la tête, elle aime sentir ces goûtes perler et couler le long de son visage, pour elle c’est comme si le ciel lui donnait l’occasion de pleurer. Le ciel lui ressemble beaucoup se soir, il pleure, il crie et frappe tout sont désespoir, il est si beau.
Après un bref moment à contempler le ciel, la jeune fille reprend sa tache, chercher au fond d’une vieille poubelle pour trouver de quoi se nourrir. Ceci la dégoûte, mais son corps absorbe n’importe quelle matière nutritive sans aucune notion de goût. Qu’importe, plus rien n’est pareil maintenant, plus rien n’a de goût ni d’odeur, tout est si fade, la nourriture, les couleurs et même la vie. Seule cette pluie qui aurait été un calvaire il y a quelque mois en arrière, devient alors sa seule amie.
Et puis non, elle lance la poubelle en arrière, elle n’en veut plus de cette bouffe, et même si elle n’a plus aucun goût elle garde un minimum de dignité. Elle regarde autour d’elle, et c’est la campagne hongroise qu’elle voit. A part elle et la pluie, rien ne bouge sur des kilomètres à la ronde. Elle se dit qu’elle pourrait très bien aller voler un petit truc à manger dans une des fermes environnantes, elle sait bien que les fermiers du coin ne sont pas des plus sympathiques et rien que marcher sur leurs terres suffit largement à se faire plomber les fesses au gros sel. Mais elle aimerait tellement quelque chose de plus consistant que le reste d’une poubelle.
Une ferme se trouve non loin d’elle, peut-être pourrait-elle y trouver quelque chose de bon à manger, en tout cas bien moins horrible que la dernière poubelle qu’elle à vidé. Elle passe la clôture, traverse le champ de maïs et s’approche lentement de la ferme. A quelque metre d’elle se trouve un potager avec quelques arbres fruitiers. Elle s’approche lentement pour ne pas se faire repérer, elle imagine déjà manger une bonne tomate bien juteuse, et même si elle ne sentira rien, elle se concentrera très fort et se rappellera de la dernière tomate qu’elle avait mangé.
Le fruit est dans sa main quand soudain…

Un coup de feu retentit, et la tomate explosa littéralemt. La surprise sauva Cécilia, son pouvoir s'étais activé malgré elle et son corps avait absorbé la balle metalique

Le paysans, propriètaire de la tomate, trembalit de peur.

*Mais je l'ai pas loupé, sinon, la tomate n'aurait pas explosé...*


"Sortez imméditement de ma proprièté" cria-t-il d'un voie mal assurée et tremblante.

Cécilia était pris de panique, elle était tous aussi surprise et effrayée que ce pauvre paysan. C’était maintenant la deuxième fois que sont pouvoir c’était dévoilé depuis qu’elle avait tentée de ce suicider. Sans réfléchir une second, elle se retourna et couru en direction du champ de maïs.

Après avoir traversé le champ de Maïs, Cécilia rejoint la ville, en fin, si on pouvait appeller ça une ville. 5 maisons se attant en duel et 2 commerces, une epicerie-boulangerie et un bar-presse.

La rue était deserte et Cécilia avançait prudemment pour eviter de rencontrer quelqu'un.

L'histoire avec le fermier lui avait fait peur, elle aurait pu être blesser ou peu être même tuer. Elle avait pris ça comme une leçon, il ne faut pas volé les gents, et elle comprenait la réaction du fermier et ne lui en voulait pas du tout.

Maintenant elle se trouvait dans un village, elle savait que c'était risqué. Que faire? Si elle était repérée, les gents pourraient la prendre pour un extra terrestre ou peu être un mutant. Mais Elle se rendait bien compte qu’ils ne seraient sûrement pas très compréhensifs avec une étrangère comme elle.
Cécilia se posait beaucoup de question, elle avait peur, et ne savait pas vraiment quoi faire.
Le jour allait se lever dans quelque heur, à se moment là il faudra pour elle qu'elle soit caché. Mais d'abord il lui fallait manger. Elle fut surprise de voir l'épicerie allumée, puis elle se rappela que les boulangers se levait tôt pour faire leurs pains. Elle regarda l'argent qui lui restait dans son porte-monnaie, un billet de 20 euro et un billet de 10, sans compter quelques pièces. Peu être pouvait elle marchander avec le boulanger à travers la fenêtre pour lui acheter un petit quelque chose à manger, sans montrer sa véritable apparence.
Elle approcha de la fenêtre allumé, se couvera le visage avec ses habits et frappa trois fois à la fenêtre.

Au bout de plusieurs minute, le boulanger sortit pour voir se qui pouvait faire autant de bruit à sa fenetre. Quand il sortit il vit une ombre de dos, une silhouette de femme.

"Que voulait vous mademoiselle, nous sommes fermé encore."

Une voiture passa alors dans la rue éclairant Cécilia. Montrant ainsi au boulager que la mutante était de face et non de dos comme il le croyait. Le boulanger sourut dans sa boutique et revint avec une carabine.

"Casse-toi monstre, on ne veut pas de ça ici."

La jeune fille resta figée quelques secondes. C'était déjà la deuxième fois aujourd'hui qu'un fusil pointait sur elle. Elle avait envie de fuir devant l'arme, mais voulait tenter de négocier. Peu être arriverait t'elle à avoir un petit quelque chose à manger, pour assouvir sa faim qui devenait douloureuse.

"E'é'excusez moi monsieur, je'je'je ne veux n'y vous faire de mal, n'y'n'y'ny vous effrayer. C'est mê'mê'même moi qui suis effrayé."
Dit t'elle en bégayant.
"J'ai de l'argent, 30 euro, je voulais juste vous demander à manger, j'ai très faim, je meure de faim."
"Juste un petit truc, un sandwich, ou un morceau de pain, s'il vous plais, après je m'en vais, vous ne me reverrez plus jamais."

"NON" s'énerva le boulanger, tu te casse ou je te colle une balle entre les 2...."

Le boulanger s'arreta alors honteux et furieux d'être humilié de la sorte.

"Dégage, il n'y a pas de Mutos à Cologny et il n'y en aura jamais"

ll fit un pas en avant pour coller son fusil contre le peau de Cécilia.

Autant d'agression, autant de méchanceté, pourquoi?
Cécilia venait de faire fasse pour la première fois à cette haine, cette peur qu'on les humains enverre les mutants. Se fût un grand choque. Aurait-elle était si méchante avec un mutant en temps qu’humaine? Elle n'arrivait pas à y répondre. Etait-elle encore humaine?
Ce n’était pas vraiment le moment de se poser trop de question, il fallait fuir encore une fois, et fuir loin. Deux personne l'avait vu le fermier et le boulanger, sa devenait beaucoup trop dangereux pour elle ici. La douleur de sa faim avait presque disparue sous l'angoisse provoquée par le fusil.

Elle passa rapidement sous le fusil, le coup partit, mais sans conséquence, les plombs volèrent en dessus d'elle. Elle attrapa le fusil et le pointa vers le ciel, l'homme tira une deuxième fois. Puis Cécilia frappa la tête du boulanger avec son propre fusil. Il était maintenant par terre, légèrement assommé, mais pas grièvement blessé. La jeune fille était surprise, comment avait elle pu faire cella? Elle ne s'en croyait pas du tout capable. Son nouveau corps était bien plus rapide et plus agile.

Il ne fallait pas rester là, les deux coups de fusil avaient réveillé tout le village. Elle rentra vite dans l'épicerie, pris deux sandwichs, deux poires et un soda, puis elle posa un billet de 10 euro sur la caisse.

Quand elle sortit du bâtiment, les gents commençaient à sortir dans la rue. Il fallait fuir et se cacher. Elle couru dans le boit qui se trouvait derrière le village. Heureusement pour elle personne d'autre ne l'avait vu. Il ne fallait pas s'arrêter de courir, après la forêt il y avait un champ, puis une route, puis un autre champ, et une autre route... Elle devait bien avoir couru trois kilomètres avant de tomber sur une vieille usine désaffectée. C'était une planque idéale pour se cacher la journée.

Cécilia entra dans l’usine, et se cacha à l'intérieur dans une pièce sombre. Elle manga avec plaisir son repas, puis s'endormit comme une masse. La nuit avait été longue pour Cécilia.

Cécilia était arrivée dans l'usine desafectée depuis maintenant plusieurs heures, elle commençait à fatiguer.

Un brouhaha semblait se rapprocher d'elle. Quand elle ragarda à la fenêtre, les hommes du village, la poursuivait. Des chiens avait pisté son odeur et il n'allait pas tarder à le rajoindre.

Cécilia fût réveillé en sursaut, les chiens étaient existé à l’approche de leur proie et le faisaient entendre à toute la région. Elle se précipita à la fenêtre et vu qu’il était trop tard pour fuir, et elle était de toute façon beaucoup trop faible. En plus elle en avait mare de fuir, toujours fuir, au moindre problème. Sa vie n’avait plus de sens pour elle, manger, boire, se cacher et courir, toujours courir, mais à quoi bon? Ses gents venaient tuer un monstre, le monstre qu’elle était devenue. Mais était-elle vraiment un monstre? Elle ne savait pas vraiment, mais elle comprenait ses gents, ils avaient peur, peur pour leurs familles, leurs villages, leurs vies. Et elle qu’avait-elle a protégé? Plus rien maintenant, même sa vie ne l’intéressait plus.
Le temps de se poser toute ses questions les hommes étaient déjà rentrés dans l’usine. Les chiens allaient la trouver dans quelque minute. Il ne lui restait plus grand-chose à faire, elle ne voulait plus vivre, mais elle ne voulait pas souffrir sous les crocs cruels de ses chiens. Elle monta le plus haut possible de l’usine, grimpa sur le toit et se rapprocha l’entement du bord. Elle avait déjà sauté une fois, sans succès, que faire maintenant? L’idée de mourir ne la dérangeait plus, mais elle ne voulait pas souffrir, elle avait trop souffert. Le temps de se rapprocher de la corniche, les hommes et les chiens était arrivé sur le toit. Les hommes criait et pointait leur fusil sur la jeune mutante, les chiens montraient leurs crocs et aboyaient, la fin était proche. Il n’y avait plus d’issue, plus que la mort, enfin.
Cécilia regarda avec pitié les visages de ceux qui voulaient la tuer, et elle se laissa tomber en arrière dans le vide. Durant sa chute elle pria la mort de venir la prendre.

La chute fut longue et Cécilia s'enfouça dans le sol terreux comme si elle s'anfonçait dans un gros matelas. Elle sentit un petit choc comme si elle passait à travers un matériaux plus dur puis retrouva l'air libre.

En fait, il n'était pas si libre que ça, elle se trouvait dans une boite de bois dont les parois internes était molletonnée. Elle se trouvait en la chamante compagnie d'un squellette.

L'usine dans laquelle elle séatit réfigiée avait été construite sur un ancien cimetière et il n'vait certainement pas retirés toutes les dépouilles.

Quand on veux se retrouver morte et enterrée, voilà comment on se retrouve vivante et entérrée.

Que c'est-il passé? Où est-elle? Pourquoi fait-il si noire? Est-elle devenue aveugle? Est-elle morte? La mutante était complètement déboussolée, ses mouvements étaient lents, comme ceux d'une personne qui venait de se faire renverser par un camion, et qui cherche lentement les points douloureux de son corps. Elle avait de la peine à respirer, sa peau lui faisait mal. Sa main caressa lentement la surface au dessus d'elle, c'était doux et soyeux. Elle effleura toute la surface pour se rendre compte des dimensions, et elle se rendit rapidement compte qu'elle était dans une boite. Dans son dot il y avait quelque chose de plus dure, pas vraiment confortable comme le reste de la boite. L'entement elle chercha à comprendre ce que c'était, jusqu'au moment ou elle compris.
Cécilia fut pris d'une panique soudaine, elle frappa de toute ses forces se piège autour d'elle, elle criait le plus fort qu'elle pouvait, elle était devenue complètement hystérique. Le cri affolé devint agoni quand la peau qui lui recouvrait la bouche se déchira. La douleur était horrible, jamais elle n'avait souffert autant. Son cri se transforma en râle, ses poumons respirait de nouveau par la bouche, et non plus par la peau. Elle commença à tousser, comme une fille qui c'était presque noyer et qui venait d'être sortie de l'eau, mais l'aire ambiant était poussiéreux et le sang qui coulait de ses plaies rendait la respiration encore plus difficile. En quelque minute son corps devint presque inerte, seule un long soupir douloureux s'échappait de sa bouche. Pourquoi devait-elle mourir comme ça? Pourquoi devait-elle souffrir autant? Pourquoi la vie était si injuste avec elle?

Ainsi la mort était-elle, on décide de la rejoindre pour ne pas vivre seul mais on se retrouve enfermé seul avec soi-mêmes six pied sous-terre, pleine de souffrance aussi bien physique que mentale.

Cécilia était enfermée dans ce cerceuil et pour s'en sortir, elle alait devoir renaitre, elle allait devoir vivre, chose qu'elle a totalement oublié ces dernières temps.

A la surface, les villageois de Coligny qui avaient assisté à la chuteet ne trouvant aucun corps firent des battues dans les champ entre l'usine et le village à la recherche de lamutante.

Le couvercle du cercueil était déjà bien fragiliser par le temps, puis les coups de points reçut qu'elle minute plus tôt facilitèrent se qui devait arriver. Le couvercle céda sur Cécilia, la terre envahi immédiatement cette nouvelle prison. La jeune fille sombra immédiatement dans le coma.
Cette tragédie, aurait tuer n'importe qu'elle humain normal, mais elle fut plus que bénéfique pour la mutante. Sa peau absorba toute matière nutritive se trouvant à porté d'elle, eau, oxygène, mais aussi vers, insecte, larve... t'elle une amibe Cécilia ingurgitait tout se qui pouvait la nourrir.
Une heure après son corps avait retrouvé assez de force, et la jeune fille se réveilla. Apparemment se corps ne voulait pas mourir, il avait quelque chose à faire dans se monde, il y avait une place pour lui. Quand Cécilia compris ça, elle voulu vivre, vivre pour découvrir son bute, le bute de se corps qu'elle n'arrivait pas à aimer, vivre pour réussir à aimer se corps.
Et pour la première fois de sa vie de mutante, Cécilia essaya son pouvoir, elle se concentra un maximum, essaya de se rappeler de chaque sensation de ses fusions passé, et tenta de ressentir une nouvelle fois son corps fusionner. D'un seul coup elle sentit sont être se transformer, elle n'était plus dans la terre, mais elle était devenus la terre. Elle voyait le sol quelque mettre au dessus d'elle. Puis elle commença son voyage vers la surface. Malheureusement son déplacement était très lent et la fusion ne tenait plus, et elle sentit son corps qui voulait reprendre ça forme initiale. A se moment, elle prit énormément de vitesse et grimpas très rapidement, comme une bulle d'aire qu'on aurait lâcher au font d'une piscine. Ce qu'elle ne savait pas c'est qu'il lui est impossible de reprendre ça véritable enveloppe au milieu de la matière, c'est pour ceci qu'elle était éjecté de la sorte.
Quand elle atteignît l'aire libre, toute sa masse fut projeter à 2 mettre, puis elle retomba lourdement sur l'herbe. Elle resta coucher un moment comme ça sur le dot, à contempler le ciel. Qu’est ce qui venait de se passer? Elle n'en savait trop rien, mais elle désirait plus que tout explorer son pouvoir. Elle passa sa main gauche sur son visage, la plais était toujours là, mais une croûte recouvrait maintenant sa bouche, apparemment sa peau allait cicatriser rapidement.
Elle n'avait plus vraiment envie de bouger, alors elle resta là, sur l'herbe, tranquillement, à contempler le ciel et ses nuages.

Le vent balayait la plaine entrainant avec lui beaucoup de papiers et de poussière.
Un papier particulier lui tomba sur le visage, il s'agissait de la sentinelle, on y faisait référence à un institut pour mutants aux Etas-Unis.

Cécilia resta allongé sur la pelouse, elle ne se souciait même pas du soleil qui c'était levé. Elle était nue, à peine cacher par un tuilât. Mais rien ne semblait l'inquiéter en se moment. Elle était intriguée à la lecture du fameux journal.
C'était incroyable, des mutants très agressifs agissaient sur le nouveau continent. Ca parlait de meurtre d'attenta terroriste, et tout ceci perpétré par des personnes très évolué. Pourquoi faisaient-ils cella? Comme cher les humaine, ils devaient exister des mutants dangereux et fou, ce disait-elle. Mais plus la lecture avançait et plus le canard lui paraissait douteux, surtout l'idée proposer par la personne interviewer, un certain Zachary:
Utiliser les mutants comme esclave.
Qu'elle idée horrible, ceci voulait dire que les mutants n'étaient plus des humains, qu'ils n'étaient plus que des monstres. Elle comprenait que les mutants réagisses violemment quant un journal publié dans le monde entier ce permettait ce genre d'article.
Le torchon parlait aussi d'une certaine université pour mutant. L'idée lui parue intéressante au début, mais totalement illusoire en y réfléchissant bien. Cette école était peux être dangereuse, et entraînait peux être des mutants pour des actes terroristes. Comment savoir? En plus, il était impossible à Cécilia d'aller au état uni. L'avion et le bateau lui était interdit de par son apparence, et elle avait déjà du mal à survire dans sont pays, alors dans le nouveau monde elle imaginait même pas.

Un cloché au pas trop loin commença à sonner les 9h. Ce n'était pas celui du village, car le son venait d'un autre angle. La jeune fille se dit qu'elle pourrait peux être tenter sa chance là-bas, les hommes d'églises sont souvent plus ouvert d'esprits et plus charitable que les autre gents. Tout d'abord il lui fallait trouver quelque chose pour se couvrir, se qu'elle ne mi pas très longtemps à chercher. Une grande toile d'isolation ferait une très bonne cape pour l'instant. Elle se cacha dessous et se dirigea dans la direction des cloches.

Cette route l'amena à un couvant. Ca lui semblait encore mieux qu'une église, il y aurait sûrement plus d'âme charitable pour l'aider. Elle approcha de la porte, se couvrit bien tout le corps et même le visage et frappa par trois fois.

Au bout d'un moment, une trappe dans le porte s'ouvrit, Cécilia vit 2 yeux de femmes qui diparurent aussitot. Elle avait reclaqué l'ouverture. Ensuite, après un très court silence, Cécilia entendit des pas rapide qui s'éloignait.
Ensuite, pour la première fois elle entendit la voix de la soeur.

"C'est la diablesse de Cologny appelez le village pour les prevenir qu'elle nous attaque."

Ses mots étaient trop durs pour Cécilia, même les personnes sensées être les plus gentilles ne voulait pas d'elle. La jeune fille s'effondra sur la porte, les genoux à terre, les mains et le front appuyé sur le boit. Elle voulait pleurer, elle voulait crier, alors elle s'exprima violemment, avec toute la tristesse qui l'étouffait.

"Je ne suis pas une diablesse, je ne suis pas un monstre, je suis un être humain que votre dieu à punis pour je ne sais qu'elle raison. Je ne veux de mal à personne, je ne souhaite de mal à personne, je veux juste vivre. Mais je ne veux pas vivre seule, je ne veux pas être seule. Pourquoi tout le monde me veut du mal? Pourquoi même l'église ne veut m'aider? Sûrement par se que c'est vous les monstres. OUI! C'est ça! C'EST VOUS LES MONSTRES! Vous croyez voire en moi un diable, un monstre, mais en faite vous ne voyer que le reflet de votre pourriture sur ma peau, et c'est ça qui vous fait si peur. Vous vous cacher les yeux, vous ne voulez pas voire, mais c'est vous les êtres monstrueux, c'est vous qui en veulent à une pauvre jeune fille qui ne demande que de l'aide. Vous êtes hideux, horrible. Votre esprits c'est reste enfermé dans sa prison de principe qu'il à lui même créé, et vous osez me traiter de monstre. C'EST VOUS LES MONSTRES! C'est vous les monstres! C'est vous les monstres."

Sur ses mots, Cécilia se releva et partit en courant sans vraiment chercher à comprendre ou elle allait, si bien qu'elle chutait à chaque obstacle qu'elle croisait. Mais à chaque fois, elle se relevait, et elle continuait sa course folle.
Sans regarder, elle se précipita sur une route, ou un camion à pleine vitesse ne pue l'éviter. Le corps de Cécilia fut projeter à plusieurs mettre. Une fois le camion arêté le chauffeur se précipita sur la victime, il fut surpris de voire une fille à la peau violette sur le sol. Dans un dernier effort, la jeune mutante tourna la tête vers le chauffeur et lui dit, merci.