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- Mina KovacsLeX
- Age : 33
Equipe : Lex
Nom de code : lilith
Date d'inscription : 08/04/2008
Re: [17 septembre] Trépas en tête à queue
Dim 28 Fév 2010 - 13:50
Mina se rendait compte que le français porcher interprétait parfois les choses que les gens disaient. Notamment les choses expliquées avec un peu de subtilité. Comme il ne devait pas forcément maitriser l'anglais comme les autres, son esprit faisait certainement une association positive avec ce qu'il aurait voulu entendre. Ce qui était parfois génant pour tout le monde.
Par contre, celui ci avait percé à jour la petite faiblesse de Mina. Son goût particulier pour la viande faisandée, voir même particulièrement faisandée. Et puis Alixtide lui proposa de se cacher derrière ses ailes, lui et elle. Cela avait au moins le mérite de ne pas les exposer à la vue de tout le monde; au moins pour leur permettre de garder en eux leur petit déjeuner.
"Merci de ton attention Alix. Peu de gens pensent à ma "différence" et mes besoins spéciaux... Mais on aurait pu se faire ça plus discrètement, dehors.. Je t'aurais montré comment je procède pour garder mes petits secrets culinaires.. Tu ne manges pas avec moi? Car il n'y a qu'une seule assiette?..."
Mina déploya ses grandes ailes, pour se cacher un peu des autres. mais aussi pour leur épargner cette vue un peu dégradante de ses habitudes alimentaires.
En humant le fumet de ce que lui avait préparé affectueusement Alix, elle eut une pensée pour Cassandre qui l'avait aidé à parcourir tout ce chemin depuis la mort de Lars, et surtout l'acceptation d'elle même en tant que mutante et aussi jeune fille.
Par contre, celui ci avait percé à jour la petite faiblesse de Mina. Son goût particulier pour la viande faisandée, voir même particulièrement faisandée. Et puis Alixtide lui proposa de se cacher derrière ses ailes, lui et elle. Cela avait au moins le mérite de ne pas les exposer à la vue de tout le monde; au moins pour leur permettre de garder en eux leur petit déjeuner.
"Merci de ton attention Alix. Peu de gens pensent à ma "différence" et mes besoins spéciaux... Mais on aurait pu se faire ça plus discrètement, dehors.. Je t'aurais montré comment je procède pour garder mes petits secrets culinaires.. Tu ne manges pas avec moi? Car il n'y a qu'une seule assiette?..."
Mina déploya ses grandes ailes, pour se cacher un peu des autres. mais aussi pour leur épargner cette vue un peu dégradante de ses habitudes alimentaires.
En humant le fumet de ce que lui avait préparé affectueusement Alix, elle eut une pensée pour Cassandre qui l'avait aidé à parcourir tout ce chemin depuis la mort de Lars, et surtout l'acceptation d'elle même en tant que mutante et aussi jeune fille.
- Abaigh Mc CullohLeX
- Age : 32
Equipe : OryX
Nom de code : Fíaìn
Date d'inscription : 08/07/2007
Re: [17 septembre] Trépas en tête à queue
Lun 1 Mar 2010 - 23:17
L'Abeille n'en crut pas ses oreilles!
Juliette était en train de se faire tout un film de quelques malheureux mots qui en plus, au moment où l'Abeille les avaient prononcés, n'avaient pas du tout sonnés comme mal placés et incorrects! En plus, quand elle avait réalisé son erreur, elle s'était sincèrement excusée et elle était très gênée! N'empêche, l'Abeille avait bien fait de dire à Juliette de pas raconter des bêtises sur tout ça car l'Irlandaise avait vu juste : Juliette avait mal jugé les mots de l'Abeille et elle parlait déjà d'aller dire à Charis que l'Abeille lui avait été infidèle en fantasmant sur un professeur!
Elle en ouvrit même la bouche de surprise : Une mouche aurait pu pointer son nez et se poser sur sa langue tellement elle avait la mâchoire qui pendouillait.
Ca aurait pu rester de la surprise et de l'indignation -après tout, l'Abeille aimait bien Juliette, enfin, à la base- mais bientôt, c'est la colère qui fit son apparition. Colère, parce que Juliette prononça les mots qu'ils ne fallaient pas : "Et puis, Charis pourra compter sur moi et ma douceur pour la consoler de sa peine, car elle risque d’avoir besoin de beaucoup d‘affection après une telle nouvelle, c’est certain…". Le sang de l'Abeille ne fit qu'un tour et elle serra les poings.
-T'ES VRAIMENT IMMONDE!!!
Hurla-t-elle à pleins poumons à Juliette.
Elle baissa ensuite le ton, mais finalement, c'était encore plus mauvais signe : Si l'Abeille contenait sa colère, elle allait ressortir autrement que par les mots et en général, avec l'Irlandaise, ça se traduisait par de la violence physique. D'ailleurs, ses poings tremblaient à présent. Manifestement, si Juliette avait pensé à la plaisanterie, l'Abeille ne l'avait pas entendu de cette oreille et avait pris la chose au premier degré. En même temps, il y avait une chance sur deux pour que ça se produise.
-En fait, ça devrait pas m'étonner! J'croyais que t'étais une fille bien mais en fait, après ce qu'il s'est passé entre toi et Georgia alors qu'elle était encore avec Camille, le coeur de l'Abeille se serra quand elle parla de son amie Bretonne, j'aurais du comprendre que t'aimais briser les couples heureux!
Elle sentit la colère monter, et monter, et plutôt que de mettre son poing dans la tête de Juliette -oh, elle l'aurait peut-être évité mais bon-, elle tapa sur le plan de travail.
-Charis, je l'aime! C'est ma femme!
Oh, oh, oh!
Carrément.
-Et j'te laisserai pas mettre la zizanie! J'vais lui dire moi que j'ai parlé des parties de Milan sans le faire exprès et elle verra bien que je cherche pas ailleurs!
Abaigh, ou l'art et la manière de remettre les pieds dans le plat alors que c'était pas nécessaire. Elle se retourna vers le professeur, se rendant compte qu'elle avait encore gaffé. Cependant, on ne pouvait lire aucune trace de gêne sur son visage : Ses traits étaient trop tirés par la colère.
-J'suis vraiment désolée!
Elle observa tour à tour Alix, Mina et Jeckel et même si son visage était toujours autant crispé, elle eut un regard d'excuse.
-Excusez-moi... J'voulais pas gâcher votre repas...
Enfin, elle se tourna vers Juliette, la fusilla du regard -littéralement- et quitta la cuisine, les poings toujours serrés. Au moins, elle avait réussi à se contrôler et elle n'avait pas levé la main sur Juliette, c'était déjà ça. Charis avait une bonne influence sur l'Irlandaise car il était certain que quelques mois auparavant, elle aurait simplement foncé sur Juliette, sans penser aux conséquences : L'Abeille grandissait. Et maintenant, elle n'avait plus qu'une idée en tête : Trouver Charis avant Juliette! L'Abeille n'oubliait pas que la gothique romantique pouvait se transformer en brume et donc, arriver avant elle auprès de Charis pour lui raconter tout un tas d'idioties.
La fin de journée promettait d'être encore électrique.
Saut Temporel
Juliette était en train de se faire tout un film de quelques malheureux mots qui en plus, au moment où l'Abeille les avaient prononcés, n'avaient pas du tout sonnés comme mal placés et incorrects! En plus, quand elle avait réalisé son erreur, elle s'était sincèrement excusée et elle était très gênée! N'empêche, l'Abeille avait bien fait de dire à Juliette de pas raconter des bêtises sur tout ça car l'Irlandaise avait vu juste : Juliette avait mal jugé les mots de l'Abeille et elle parlait déjà d'aller dire à Charis que l'Abeille lui avait été infidèle en fantasmant sur un professeur!
Elle en ouvrit même la bouche de surprise : Une mouche aurait pu pointer son nez et se poser sur sa langue tellement elle avait la mâchoire qui pendouillait.
Ca aurait pu rester de la surprise et de l'indignation -après tout, l'Abeille aimait bien Juliette, enfin, à la base- mais bientôt, c'est la colère qui fit son apparition. Colère, parce que Juliette prononça les mots qu'ils ne fallaient pas : "Et puis, Charis pourra compter sur moi et ma douceur pour la consoler de sa peine, car elle risque d’avoir besoin de beaucoup d‘affection après une telle nouvelle, c’est certain…". Le sang de l'Abeille ne fit qu'un tour et elle serra les poings.
-T'ES VRAIMENT IMMONDE!!!
Hurla-t-elle à pleins poumons à Juliette.
Elle baissa ensuite le ton, mais finalement, c'était encore plus mauvais signe : Si l'Abeille contenait sa colère, elle allait ressortir autrement que par les mots et en général, avec l'Irlandaise, ça se traduisait par de la violence physique. D'ailleurs, ses poings tremblaient à présent. Manifestement, si Juliette avait pensé à la plaisanterie, l'Abeille ne l'avait pas entendu de cette oreille et avait pris la chose au premier degré. En même temps, il y avait une chance sur deux pour que ça se produise.
-En fait, ça devrait pas m'étonner! J'croyais que t'étais une fille bien mais en fait, après ce qu'il s'est passé entre toi et Georgia alors qu'elle était encore avec Camille, le coeur de l'Abeille se serra quand elle parla de son amie Bretonne, j'aurais du comprendre que t'aimais briser les couples heureux!
Elle sentit la colère monter, et monter, et plutôt que de mettre son poing dans la tête de Juliette -oh, elle l'aurait peut-être évité mais bon-, elle tapa sur le plan de travail.
-Charis, je l'aime! C'est ma femme!
Oh, oh, oh!
Carrément.
-Et j'te laisserai pas mettre la zizanie! J'vais lui dire moi que j'ai parlé des parties de Milan sans le faire exprès et elle verra bien que je cherche pas ailleurs!
Abaigh, ou l'art et la manière de remettre les pieds dans le plat alors que c'était pas nécessaire. Elle se retourna vers le professeur, se rendant compte qu'elle avait encore gaffé. Cependant, on ne pouvait lire aucune trace de gêne sur son visage : Ses traits étaient trop tirés par la colère.
-J'suis vraiment désolée!
Elle observa tour à tour Alix, Mina et Jeckel et même si son visage était toujours autant crispé, elle eut un regard d'excuse.
-Excusez-moi... J'voulais pas gâcher votre repas...
Enfin, elle se tourna vers Juliette, la fusilla du regard -littéralement- et quitta la cuisine, les poings toujours serrés. Au moins, elle avait réussi à se contrôler et elle n'avait pas levé la main sur Juliette, c'était déjà ça. Charis avait une bonne influence sur l'Irlandaise car il était certain que quelques mois auparavant, elle aurait simplement foncé sur Juliette, sans penser aux conséquences : L'Abeille grandissait. Et maintenant, elle n'avait plus qu'une idée en tête : Trouver Charis avant Juliette! L'Abeille n'oubliait pas que la gothique romantique pouvait se transformer en brume et donc, arriver avant elle auprès de Charis pour lui raconter tout un tas d'idioties.
La fin de journée promettait d'être encore électrique.
Saut Temporel
- InvitéInvité
Re: [17 septembre] Trépas en tête à queue
Jeu 4 Mar 2010 - 23:30
Jeckel écoutait religieusement Alixtide, il avait un peu l'impression de converser avec l'exemple parfait de la santé mentale, ce qui d'un point de vue extérieur n'avait rien de rassurant. Il commençais même à s'étonner qu'un type aussi formidable que celui-ci (odeur exceptée) puisse s'abaisser à partager sa science avec lui, qui malgré un look dantesque, il fallait bien le reconnaitre, n'avait pas toujours toutes les clefs pour comprendre ce monde.
Le Pitre était d'ailleurs carrément envahie par les amis d'après ses dires, et Jeckel se rendit alors compte que le génie n'isolait pas forcément. Des années à essayer de ne rien apprendre pour finalement se rendre compte que ce n'était pas si nuisible que ça... quelle désillusion !
Cependant les explications d'Alixtide laissaient une interrogation. Si son pouvoir était dans ses capacités mentales, pourquoi sentait il autant ?
Et par là même, est-ce que le savoir sentait mauvais ?
Difficile question dont Jeckel décida de s'occuper à un autre moment.
"Nan, ma dent j'ai pas pu la récupérer. Faudra qu'j'y retourne avec des tenailles..." déclara Jeckel dépité de ne pouvoir faire honneur à la demande et stupéfait d'apprendre que les dents faisaient de très bon ouvre boites.
Tricotant avec les asticots, Alixtide avait touché le jeune sino-américain au cœur. Révérer l'intelligence d'un imbécile, c'était aussi fort, par exemple, que de complimenter un boudin sur son physique. On sait bien qu'il y a un truc qui ne colle pas, mais sur le moment tout ça semble si évident.
"Merci d'tes compliments Le Pitre ! J'sais qu'je suis au moins aussi intelligent qu'un dentier complet, mais des fois on a l'impression qu'ça suffit pas. Surtout face à un seigneur du bel esprit et des grands mots comme toi. Tu causes tellement bien qu'des fois j'ai pas tout saisis... c'est dire !" dit Jeckel plein de naïve sincérité.
Finissant sa phrase il quitta sa chaise d'un bond, et se rapprocha de la porte. L'heure du tête-à-tête était venue et Jeckel sentait bien qu'un peu d'intimité était nécessaire. Il salua le départ d'Abaigh :
"C'était un plaisir d'te rencontrer, la cascadeuse. A une suivante." dit il en ponctuant le tout d'un petit signe de main.
Il se tourna ensuite vers le joyeux couple dans son cocon et, souriant de les voir en pleine bonheur gastronomique, sa gorge se contracta une dernière fois sur le coup de l'émotion, à moins que ce ne soit encore de dégout.
"Pis tous les deux amusez vous bien ! Ne faites rien que je ne ferais pas !" dit il en plaisantant, la minuscule liste de ces choses n'étant certainement pas recommandable.
Saut temporel.
Le Pitre était d'ailleurs carrément envahie par les amis d'après ses dires, et Jeckel se rendit alors compte que le génie n'isolait pas forcément. Des années à essayer de ne rien apprendre pour finalement se rendre compte que ce n'était pas si nuisible que ça... quelle désillusion !
Cependant les explications d'Alixtide laissaient une interrogation. Si son pouvoir était dans ses capacités mentales, pourquoi sentait il autant ?
Et par là même, est-ce que le savoir sentait mauvais ?
Difficile question dont Jeckel décida de s'occuper à un autre moment.
"Nan, ma dent j'ai pas pu la récupérer. Faudra qu'j'y retourne avec des tenailles..." déclara Jeckel dépité de ne pouvoir faire honneur à la demande et stupéfait d'apprendre que les dents faisaient de très bon ouvre boites.
Tricotant avec les asticots, Alixtide avait touché le jeune sino-américain au cœur. Révérer l'intelligence d'un imbécile, c'était aussi fort, par exemple, que de complimenter un boudin sur son physique. On sait bien qu'il y a un truc qui ne colle pas, mais sur le moment tout ça semble si évident.
"Merci d'tes compliments Le Pitre ! J'sais qu'je suis au moins aussi intelligent qu'un dentier complet, mais des fois on a l'impression qu'ça suffit pas. Surtout face à un seigneur du bel esprit et des grands mots comme toi. Tu causes tellement bien qu'des fois j'ai pas tout saisis... c'est dire !" dit Jeckel plein de naïve sincérité.
Finissant sa phrase il quitta sa chaise d'un bond, et se rapprocha de la porte. L'heure du tête-à-tête était venue et Jeckel sentait bien qu'un peu d'intimité était nécessaire. Il salua le départ d'Abaigh :
"C'était un plaisir d'te rencontrer, la cascadeuse. A une suivante." dit il en ponctuant le tout d'un petit signe de main.
Il se tourna ensuite vers le joyeux couple dans son cocon et, souriant de les voir en pleine bonheur gastronomique, sa gorge se contracta une dernière fois sur le coup de l'émotion, à moins que ce ne soit encore de dégout.
"Pis tous les deux amusez vous bien ! Ne faites rien que je ne ferais pas !" dit il en plaisantant, la minuscule liste de ces choses n'étant certainement pas recommandable.
Saut temporel.
- InvitéInvité
Re: [17 septembre] Trépas en tête à queue
Sam 6 Mar 2010 - 20:44
Alixtide se sentit tout gonflé de fierté devant les paroles douces et soumises de la femme-rapace. Elle proposait de livrer ses secrets, elle envisageait déjà une promenade romantique dans le jardin ! Elle voulait refaire la scène de la Belle et le Clochard en ne mangeant que dans une seule assiette !! Le Breton se demanda si elle n'était pas tombée folle amoureuse de lui. Il flottait sur un petit nuage tandis que l'orage d'Abaigh éclatait sur Juliette. Ces paroles véhémentes ne tombèrent pas dans l'oreille d'un sourd. Ainsi Juliette cassait les couples heureux ? Avait-elle donc un lien avec la disparition de Niko, son ex-amant ? Il faudrait y songer et surtout, la fuir comme la peste gothique.
Mais l'orage passa et c'est avec ravissement que le Breton écouta son meilleur ami. Celui-ci semblait tout plein de gratitude, une qualité qu'Alixtide appréciait beaucoup chez autrui. Il lui dit tellement de compliments que le porcher en rougit jusqu'aux oreilles.
"Hé ben, hé, viens me voir encore en cours de purin philo, Le Jacques, hein ! Hé ! Si tu veux être impersionné !"
Mais il ne savait même pas quoi ajouter tant les congratulations du LateX semblaient belles et sincères. Même Niko n'avait jamais vu aussi clairement dans les qualités intellectuelles et spirituelles de son ami ! Alixtide lui fit un signe maladroit de la main, gêné et gourmand.
"Hé ben oui ! On fera tout mais ... salut Le Jacques !"
Il avait déjà hâte de le revoir et de l'impressionner encore. Car il est toujours flatteur et agréable d'être adulé par ses pairs. Alixtide prit place en face de Mina qui déploya ses ailes noires autour d'eux deux. Il mit sa tête sur ses mains.
"Le Jacques a sûrement purin des habits sales et ne sait pas comment les mettre à la puanderie ?"
Dit-il tout haut, avant de revoir le plat de faisanderies et la jeune rapace. Il se souvint de sa requête.
"Ben oui je mange aussi ! Toi avec tes griffes couteau pas besoin de couverts, purin. Moi avec mes doigts aussi pas besoin. Heu tu disais quoi sur... des choses à faire purin discrèment dehors ?"
Et n'y tenant plus il alla chercher dans l'assiette centrale un dé de cerveau juteux et le goba avec délice.
"Tu me montreras d'abord toutes tes secrètes, et moi après je te montre les miens. En deuxième."
Il lui adressa un sourire tout en jetant un regard ému aux grandes toiles de peau noire de cuir qui les entouraient.
saut temporel
Mais l'orage passa et c'est avec ravissement que le Breton écouta son meilleur ami. Celui-ci semblait tout plein de gratitude, une qualité qu'Alixtide appréciait beaucoup chez autrui. Il lui dit tellement de compliments que le porcher en rougit jusqu'aux oreilles.
"Hé ben, hé, viens me voir encore en cours de purin philo, Le Jacques, hein ! Hé ! Si tu veux être impersionné !"
Mais il ne savait même pas quoi ajouter tant les congratulations du LateX semblaient belles et sincères. Même Niko n'avait jamais vu aussi clairement dans les qualités intellectuelles et spirituelles de son ami ! Alixtide lui fit un signe maladroit de la main, gêné et gourmand.
"Hé ben oui ! On fera tout mais ... salut Le Jacques !"
Il avait déjà hâte de le revoir et de l'impressionner encore. Car il est toujours flatteur et agréable d'être adulé par ses pairs. Alixtide prit place en face de Mina qui déploya ses ailes noires autour d'eux deux. Il mit sa tête sur ses mains.
"Le Jacques a sûrement purin des habits sales et ne sait pas comment les mettre à la puanderie ?"
Dit-il tout haut, avant de revoir le plat de faisanderies et la jeune rapace. Il se souvint de sa requête.
"Ben oui je mange aussi ! Toi avec tes griffes couteau pas besoin de couverts, purin. Moi avec mes doigts aussi pas besoin. Heu tu disais quoi sur... des choses à faire purin discrèment dehors ?"
Et n'y tenant plus il alla chercher dans l'assiette centrale un dé de cerveau juteux et le goba avec délice.
"Tu me montreras d'abord toutes tes secrètes, et moi après je te montre les miens. En deuxième."
Il lui adressa un sourire tout en jetant un regard ému aux grandes toiles de peau noire de cuir qui les entouraient.
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