~Italie~ Padova

Enzo se promenait, seul, dans les rues de Padova.

C'était une idée de ses parents qui, la veille, lui avaient dit:
"Il serait temps que tu sorte et que tu te trouves des amis !" . C'est donc poussé par ses parents qu'Enzo s'était retrouvé ici. Le pire, c'est qu'ils lui avaient interdits de prendre Neve, son chien.
"Si tu le prends, tu restera avec lui et tu ne fera aucun efforts pour aller vers les autres" lui répondu sa mère quand il prit la laisse du chien dans l'entrée.
Mais il savait que, meme sans son chien, il ne ferait rien pour aller vers les personnes de son âge.

Il passa plusieurs heures dans un grand magasin de musique où il écoutait de vieux groupes de rocks qu'il adorait et où il restait de longues minutes devant d'éclatantes guitares électriques. Il acheta des partitions de guitare puis chercha un endroit où les apprécier.

Il s'installa sur un banc dans un parc de la ville afin de profiter de son achat.

[ HS: Désolé pour la signature je croyais que sa se faisait ]


"Bonjour" répondit Enzo "tu t'es fait mal ?"

Enzo se surpris à engager la conversation si facilement. Cette fille l'attirait, il ne savait pas pourquoi mais c'était la première personne vers qui il voulait se confier.
Il voyait bien que la jeune fille était génée. Il s'empressa de lui dire:

"Ne t'inquiète pas c'est pas grave ! Sa arrive a tout le monde de tomber...surtout en roller".

Il l'aida à se remettre debout, lui adressa un grand sourir et se dit que finalement, ses parents n'avait pas eut une mavaise idée.

Silvia se releva en forttant ses genous.

"Je vais me repose un peu" dit-elle en l'air se parlant à elle même puis s'adressa à Enzo.

"Je peux m'assoir à voté de toi, je m'appelle Silvia."

Enchanté. Moi c'est Enzo.

Il été heureux et à la fois géné que Sylvia s'assoit à coté de lui. Il ne savait pas quoi lui dire mais ne pouvait garder le silence.

Tu es toute seule ? Enzo se surpris lui meme en sortant cette phrase aussi ridicule. Il ne voulait que Sylvia croit qu'il était un vulgaire dragueur (ce qui est courant en Italie). Il ne savait plus où se mettre.

Son malaise pris de l'ampleur quand Enzo vit qu'elle s'était écorché le genou en tapant contre le banc. Il voulait la soigner mais il craiganit qu'elle ne fuit après avoir vu qu'il n'était pas "comme les autres".

Sa ne te fais pas trop mal ? Dit il en désignant la blessure.

HJ : Ne vas pas plus vite que la musique, elle n'est pas bléssé puisqu'elle est tombée sur toi donc je barre la dernière phrase.

Silvia gloussa en entendant la question que Enzo venait de poser d'une façon plus que maladroite et timide.

*A croire qu'il n'a jamais adressé la parole à une fille.*

"Suis-je seule, ça depend à quelle point de vue. Je ne t'avais jamais vu, tu habites le quartier?"

En voyant la tete que faisait Sylvia, il se rendait bien compte qu'il ramait totalement.

*Bon faut que j'arrète de me ridiculiser....*

Non en fait j'habite a l'extérieur de la ville.

Enzo indiqua la direction des "beaux quartiers" ou il habitait en espérant qu'elle ne le prenne pas pour le riche de service.

Et toi, tu viens souvent ici ?

*ARg! Je continue avec mes questions stupides !*

Plusieurs autre personnes en roller s'approchèrent.

"Tiens, voilà mes amis. Je vis dans le quartier d'à coté, tu vois l'immeuble là-bas, j'habite au troisième étage."

Elle se lava prête à s'élancer

"Peut-etre à une prochaine fois."

Elle poussa sur ses appuis pour se coincer les pieds dans le banc et s'étaler entre le sol et l'herbe s'empalant la cuisse sur la bordure en bois.

AAAAHHHHHHHH!!!, hurla-t-elle de douleur

Tout le monde fut pris de panique. Ses amis lui retirèrent la cuisse de la bordure et l'allongèrent dans l'herbe.
Enzo ne savait plus quoi faire. Il savait qu'il avait le pouvoir de calmer la douleur de Sylvia mais il ne voulait pas montrer aux autres qu'il était "différents".
Soudain, il eut une idée.

Toi, dit il en désignant un des amis de sylvia, Appelle les secours.

Mais sa ne capte pas, lui répondit le garçon en roller, le téléphone portable à la main.

Tu n'as qu'a bouger un peu d'ici! Les autres, vous allez attendre à l'entrée du parc pour indiquer le lieu à l'ambulance.

Alors que tout le monde était parti, Enzo se retourna vers Sylvia.

Je vais appuyer fort sur ta blessure, sa risque d'etre douloureux mais après sa ira mieux tu verra.

Enzo mis alors ses deux mains sur la plaie de Sylvia. Un éclair glacé traversa le corps d'Enzo comme si il venait de prendre une douche froide.
Puis il sentit une douleur à la cuisse, son jean se teinta en rouge à cette endroit puis la douleur disparu.

Enzo retira ses mains de la cuisse de Sylvia où la grande plaie pénétrante de tout a l'heure c'était transformé en écorchure superficielle. Il ne réalisa pas tout de suite ce qui venait de se passer mais Sylvia le sortit de ses pensées quand il vit qu'elle regardait avec insistance sa jambe pleine de sang.

Oh non ne t'inquiète pas ajouta Enzo pour la rassurer, J'ai du me salir avec ta plaie.

Mais Enzo savait pertinemment ce qui venait de se passer. Sylvia ne s'était pas encore rendue compte de ce qu'Enzo venait de faire. Il en était plutot content mais cela dura peu de temps.

[HRP : tu as un peu trop fait jouer des PNJ mais tu t'en sors bien alors je laisse passer mais c'est la dernière fois.]

Silvia souffrait un martyre, le fait que ses amis la retire de la bordure la soulagea quelque peu.

Puis, elle entendit la voix de Enzo qui aboyait des ordres à ses amis qu'ils ne connaissait pas. Quand ils furent tous les 2 seuls. Il appuya de toute ses forces sur la plaie.

*Mais il est completement malade, c pas comme ça qu'on fait un point de compression*

Curieusement, plus il appuyait et moins Silvia avait mal, elle reprit peu ) peu ses esprits.

"Qu'est ce que tu m'a fait? Tu es l'un d'entre eux, c'est ça? je l'ai lu dans le journal!"

Enzo avait espéré vainement que Sylvia ne se rende pas compte tout de suite de ce qu'il pouvait faire. Il ne savait plus ou se mettre et les dernières paroles de Sylvia n'avaient pas arrangées les choses.
Mais à présent, il n'y avait pas que la réaction de Sylvia qui le préoccupait. Elle venait de dire "L'un d'entre eux"...

*Je ne suis donc pas le seul, nous sommes assez nombreux pour qu'on en parle dans les journaux...*

Après un long silence il ajouta "Oui, je suis "différent". Mais je ne suis pas un monstre pour autant!
"

Dans un dernier élan d'espoir il lui dit "Si tu pouvais garder tout ce que tu as vu pour toi sa ne serait pas plus mal......"

Les amis de Silvia revenait à la charge. Personne n'avair réussi à joindre les moindre secours et ils avaient décider de la porter jusqu'à l'hopital.

Ils tombèrent né à né avec elle, debout, une bras autour du cou de Enzo qui la soutenait. Pour la ramener chez elle. Elle lui murmura alors à l'oreille.

"J'emporterai ton secret dans la tombe."

Puis elle s'adressa à ses amis.

"Enzo va m'aider à rentrer, continuez à vous amusez, tout va bien. j'ai juste une ecorchure et une petite douleur dans la jambe."

En entendant la réponse de Sylvia, Enzo était plus que soulagé.

*une fille qui accepte de garder un tel secret alors qu'on se connais à peine ne peut etre qu'extraordinaire* pensa Enzo.

"Ne vous inquiétez pas pour elle, tout va bien "dit il aux amis de Sylvia, puis, il se tourna vers celle ci et ajouta "Tu habites là bas c'est sa ?"

Alors qu'ils partaient tous les deux, Enzo se pencha vers Sylvia et lui murmura "J'ai une dette envers toi. Demande moi ce que tu veux..."

L'occasion était trop belle pour Silvia et soulager sa conscience.

"Et bien , je voudrais que tu me pardonnes, je t'ai mentie."

Enzo ne comprit pas tout de suite. Le temps qu'il réalise il vit que Sylvia avait les larmes aux yeux.

" Tu m'a menti? Mais sur quoi ?"

Bien que d'habitude il prend le mensonge en horreur, il savait qu'après ce que Sylvia avait fait pour lui, il lui pardonnerait tout.

Silvia baissa la tête

"Je n'habite pas où je t'ai dit, en fait ,e je viens du même quartier que toi mais la plupart du temps, les gens réagissent différemment, mes amis ne le serent peut etre pas si je leur avouait d'où je venais, je ne serai que le fille pourrie gatée de ses parents."

"Comme je connais ton secret, je te donne le mien et puis je sens que tu seras différent. Tu n'es pas faché?"

"Bien sur que non je ne suis pas faché" dit il en lui souriant.

Il n'était pas faché du tout. En fait, il était même déçu que le secret de Silvia soit "si peu" important ....

"Bon je te ramène "chez nous !""

Enzo repassa son bras autour de Silvia et l'aida à avancer

Doucement, Enzo et Silvia retournèrent dans leur quartier, il passèrent devant la maison de Enzo au moment où sa mère rentrait, elle ne le vit pas mais le chien de Enzo ne rata pas l'occasion de rejoindre son mettre.

Silvia habitait quelques patés de maison plus loin,

"Viens chez moi, je vais te presenter à mes parents, ils seront content de voir que je me suis fais un nouvel ami, surtout content qu'il soit de la même classe sociale que nous pour une fois, même si moi je m'en fou."