[JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
+2
Lucas Shaam
Esther Kofman
6 participants
Page 1 sur 2 • 1, 2
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
- Age : 45
Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
Date d'inscription : 09/09/2008
[JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 20 Avr 2010 - 1:43
Esther était restée silencieuse, comme à son habitude avant toute mission, pendant le temps du trajet en X-Jet.
Une fois sur les lieux, son équipe avait été présentée au Directeur Feuerstürm, un homme assez peu courtois qui semblait toujours être en train de fumer une cigarette.
Le rapport du policier était assez effrayant : les autorités locales avaient laissé les coudées franches au PISS, mais ce dernier organisme avait bien du mal à élaborer un plan d'assaut. Manque de personnel, manque de potentiel... Tout juste avaient-ils pu investir un périmètre autour du petit village de manière à ce que personne n'en rentre ou n'en sorte.
Mais comme le disait Feuerstürm : c'est comme si les criminels retranchés dans ce village attendaient qu'on vienne les chercher.
Aucune information sur les lieux, aucun cliché, rien... Nemo avait fait le ménage : le lieu apparaissait tout au plus sur les cartes de la région, sans le moindre détail. Et pour dire : il n'avait même plus de nom.
Esther observa une dernière fois ses troupes avant de lancer :
"Bon, inutile de faire dans la discrétion. Ils m'att... Pardon. Ils nous attendent. Lucas, je vous charge de vos camarades. Ne perdez pas de temps. Je vais tenter de faire une diversion pour vous décharger un petit peu. Mais n'oubliez pas les cibles : van Damme, Renn et Cromwell. Beaucoup de gens comptent sur nous et..."
Elle marqua une légère pause, détournant le regard.
"Quoi qu'il se passe aujourd'hui, ce sera la fin de Nemo. Je vous le promets"
Aleph s'éloigna en direction du village, cherchant tant bien que mal à masquer sa progression.
Il ne restait plus au groupe qu'à investir lui même la place.
[Lucas ouvre les tours. Le tour dure 7 jours maximum. N'hèsitez pas à me prévenir en cas de difficultés et... Bon jeu !]
- Lucas ShaamLeX
- Age : 35
Equipe : LeX
Nom de code : Rock
Date d'inscription : 12/10/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 20 Avr 2010 - 11:36
Ça y est, le grand jour était arrivé. Celui qui marquerait la fin d’une ère et en même temps le début d’une époque. Aujourd’hui serait un jour à marquer d’une pierre blanche, car même si le sang allait couler, il serait synonyme de la fin de Nemo, les oppresseurs virulents de la nation mutante, ces idéalistes extrémistes aux idées dangereuses, ces terroristes odieux, ces tueurs lâches. Oui, ça serait difficile, oui, ça serait dangereux pour chacun des mutants présents, mais ils devaient réussir. Ils n’avaient pas le choix ! De partance de l’institut en X-Jet, Lucas avait tout fait pour être en bonne forme aujourd’hui. Il savait pertinemment que ça serait dur, physiquement et mentalement, et voulait se sentir prêt à toute éventualité. Ainsi, bonne nuit de sommeil, jus d’orange matinal et exercices d’étirements au réveil avaient été de rigueur, avant d’enfiler la combinaison de mission qui ne ressemblerait sans doute plus à rien en fin de journée. Mais c’était un moindre mal… à l’instar d’Esther, il était resté relativement silencieux dans le X-Jet. C’était souvent comme ça, en mission. Une sorte de calme avant la tempête, une ambiance lourde, un stress palpable et les pensées de chacun qui se perdaient entre espoir et craintes…
Lorsqu’ils arrivèrent sur les lieux, un peu courbaturés par le voyage, le désormais légendaire Feuerstürm, leur patron du jour, leur fut présenté. La clope au bec, il formait une belle paire avec Esther, et Lucas ne fut pas étonné de les savoir en relation, quelle qu’elle fut… Qui se ressemble s’assemble, après tout. Même si Esther avait mieux à sa portée que ce vieux flic sur le déclin physique.
Mais telle n’était pas la question du jour : leur seul objectif était de neutraliser les trois géants du village sans nom qu’ils allaient devoir envahir, évitant les robots de Max Renn, les attaques télékinésiques et illusoires des deux autres, ainsi que tout autre coup tordu, sbires et hommes de main dont ils s’étaient parés pour défendre leur vie et leurs intérêt… Et visiblement, les ennemis de l’Institut semblaient décidés à camper sur leurs positions : ils n’avaient pas l’intention de quitter le village… Peut-être Protagoras était-il dans un état lamentable, tout comme Manners l’avait été, sur son lit de mort, et donc impossible à transporter. C’était l’hypothèse la plus plausible, et certainement la plus encourageante. De penser que c’était parce qu’ils avaient bâti là une forteresse imprenable était totalement contreproductif. D’autant qu’aucun mur minéral n’arrêterait Lucas : la discrétion allait être mise de côté, tel que l’avait suggéré Esther. S’ils s’attendaient à ce qu’ils entrent par des portes surprotégées, ils se fourraient le doigt dans l’œil. C’était par les murs que les assaillants mutants plongeraient, assoiffés de vengeance.
Ils y étaient, tous, prêts à participer à cette vendetta. Lucas savait pertinemment que ces enflures ne se rendraient pas. Ils devraient aller jusqu’au bout. Et même s’il en avait le cœur au bord des lèvres, il le ferait. Esther lui confia les LeX. Cette responsabilité, il la considérait avec soin : il ne devait rien leur arriver, et s’en fit un serment personnel. Alors que leur référente partait en reconnaissance pour effectuer une diversion, Lucas lui souffla :
« Bonne chance ! Soyez tout de même prudente… »
Et il la laissa partir en se tournant vers l’équipe.
« Bon… On y est. Même si on doit foncer dans le tas aujourd’hui, il faut le faire intelligemment et prudemment. Ne mettons pas inutilement nos vies en danger. On essaie de rester en groupe, et si on doit se séparer à un moment, il faut qu’on soit minimum deux. Hors de question de laisser quelqu’un en arrière tout seul… Allez, let’s Rock ! »
Oui, cette fois sa petite touche personnelle était donnée oralement. Car aujourd’hui, ça allait vraiment remuer, bouger. Et ils en seraient les coupables…
Faisant signe aux LeX de le suivre, il avança en trottinant tête baissée vers le village tout en activant son pouvoir diamantin. En tant que première ligne, il se devait d’être protégé. Par chance, son costume était de la couleur de la terre, et se fondait donc assez bien dans le paysage… Ce qui n’était hélas pas le cas de tous ses coéquipiers… Enfin, il espérait qu’ils passeraient inaperçus… Son but était d’atteindre la première maison du village, à l’abri du mur de celle-ci, afin de s’approcher du coin de la maison pour observer la disposition des lieux, et les éventuels ennemis déjà présents…
Avançant sous sa forme de diamant, le reste de l'équipe à distance raisonnable, Lucas put rallier la première maison sans rencontrer âme qui vive.
Il n'y avait pas de nom sur la boîte aux lettres et d'épais rideaux aux fenêtres empêchaient de voir si la maison était habitée.
Observant les lieux, planqué derrière le portail, Rock put voir que la rue qui se terminait au niveau de cette maison montait légèrement pour terminer non loin de l'église. Et là encore, nulle trace de la moindre activité humaine... Tout était très silencieux... Jusqu'au moment où...
La porte de la maison s'ouvrit. Une main apparut puis le reste du corps d'une jeune fille... Le corps d'une jeune fille que Lucas avait serré si souvent contre lui... Le corps d'une jeune fille qui n'était personne d'autre que...
"On m'a vite remplacée, c'est ça Lucas ?"
C'était dit d'un ton sec, sans émotion. La fille dévisageait avec une drôle de lueur dans le regard, le petit groupe mutant. Croisant les bras, elle émit un petit rire sonore et ajouta :
"Bienvenue en Enfer ! Vous ne sortirez jamais de cet endroit..."
Lorsqu’ils arrivèrent sur les lieux, un peu courbaturés par le voyage, le désormais légendaire Feuerstürm, leur patron du jour, leur fut présenté. La clope au bec, il formait une belle paire avec Esther, et Lucas ne fut pas étonné de les savoir en relation, quelle qu’elle fut… Qui se ressemble s’assemble, après tout. Même si Esther avait mieux à sa portée que ce vieux flic sur le déclin physique.
Mais telle n’était pas la question du jour : leur seul objectif était de neutraliser les trois géants du village sans nom qu’ils allaient devoir envahir, évitant les robots de Max Renn, les attaques télékinésiques et illusoires des deux autres, ainsi que tout autre coup tordu, sbires et hommes de main dont ils s’étaient parés pour défendre leur vie et leurs intérêt… Et visiblement, les ennemis de l’Institut semblaient décidés à camper sur leurs positions : ils n’avaient pas l’intention de quitter le village… Peut-être Protagoras était-il dans un état lamentable, tout comme Manners l’avait été, sur son lit de mort, et donc impossible à transporter. C’était l’hypothèse la plus plausible, et certainement la plus encourageante. De penser que c’était parce qu’ils avaient bâti là une forteresse imprenable était totalement contreproductif. D’autant qu’aucun mur minéral n’arrêterait Lucas : la discrétion allait être mise de côté, tel que l’avait suggéré Esther. S’ils s’attendaient à ce qu’ils entrent par des portes surprotégées, ils se fourraient le doigt dans l’œil. C’était par les murs que les assaillants mutants plongeraient, assoiffés de vengeance.
Ils y étaient, tous, prêts à participer à cette vendetta. Lucas savait pertinemment que ces enflures ne se rendraient pas. Ils devraient aller jusqu’au bout. Et même s’il en avait le cœur au bord des lèvres, il le ferait. Esther lui confia les LeX. Cette responsabilité, il la considérait avec soin : il ne devait rien leur arriver, et s’en fit un serment personnel. Alors que leur référente partait en reconnaissance pour effectuer une diversion, Lucas lui souffla :
« Bonne chance ! Soyez tout de même prudente… »
Et il la laissa partir en se tournant vers l’équipe.
« Bon… On y est. Même si on doit foncer dans le tas aujourd’hui, il faut le faire intelligemment et prudemment. Ne mettons pas inutilement nos vies en danger. On essaie de rester en groupe, et si on doit se séparer à un moment, il faut qu’on soit minimum deux. Hors de question de laisser quelqu’un en arrière tout seul… Allez, let’s Rock ! »
Oui, cette fois sa petite touche personnelle était donnée oralement. Car aujourd’hui, ça allait vraiment remuer, bouger. Et ils en seraient les coupables…
Faisant signe aux LeX de le suivre, il avança en trottinant tête baissée vers le village tout en activant son pouvoir diamantin. En tant que première ligne, il se devait d’être protégé. Par chance, son costume était de la couleur de la terre, et se fondait donc assez bien dans le paysage… Ce qui n’était hélas pas le cas de tous ses coéquipiers… Enfin, il espérait qu’ils passeraient inaperçus… Son but était d’atteindre la première maison du village, à l’abri du mur de celle-ci, afin de s’approcher du coin de la maison pour observer la disposition des lieux, et les éventuels ennemis déjà présents…
Avançant sous sa forme de diamant, le reste de l'équipe à distance raisonnable, Lucas put rallier la première maison sans rencontrer âme qui vive.
Il n'y avait pas de nom sur la boîte aux lettres et d'épais rideaux aux fenêtres empêchaient de voir si la maison était habitée.
Observant les lieux, planqué derrière le portail, Rock put voir que la rue qui se terminait au niveau de cette maison montait légèrement pour terminer non loin de l'église. Et là encore, nulle trace de la moindre activité humaine... Tout était très silencieux... Jusqu'au moment où...
La porte de la maison s'ouvrit. Une main apparut puis le reste du corps d'une jeune fille... Le corps d'une jeune fille que Lucas avait serré si souvent contre lui... Le corps d'une jeune fille qui n'était personne d'autre que...
"On m'a vite remplacée, c'est ça Lucas ?"
C'était dit d'un ton sec, sans émotion. La fille dévisageait avec une drôle de lueur dans le regard, le petit groupe mutant. Croisant les bras, elle émit un petit rire sonore et ajouta :
"Bienvenue en Enfer ! Vous ne sortirez jamais de cet endroit..."
- Jolène FerjaultLeX
- Age : 31
Equipe : Lex
Nom de code : Nerve
Date d'inscription : 03/02/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Dim 25 Avr 2010 - 10:09
Jolène déglutit. Voila elle se trouvait dans un jet en direction d'un village paumé...pour y accomplir quelque chose dont elle se sentait totalement étrangère. La plupart des personnes présentes avaient assisté au début de l'histoire, elle, n'arrivait que pour le dénouement de ce cauchemar. Elle regarda ses mains avec circonspection avant de balayer l'assemblée présente du regard. Ils contrôlaient tous leurs pouvoirs, arrivaient à faire quelque chose avec, elle aurait dût faire en sorte de pouvoir être plus efficace. La confiance qu'elle pouvait avoir en elle fondait peut à peut. Elle n'avait aucun doute mais l'appréhension la gagnait. Elle ne le montrerait pas. Son visage resterait de marbre, elle ne supporterait pas de perdre encore une fois ses moyens. Insidieusement de mauvais souvenirs tentaient de remonter à la surface mais n'y arrivèrent pas. Ce n'était pas le moment d'être dans ce qui s'était passé. Elle ne devait pas se déconcentrer de cette manière.
Tout semblait se passer au ralentit depuis qu'elle s'était levée et elle ne supportait pas cela. Arriver au plus vite sur place et ne plus avoir cette attente insoutenable voila tout ce qu'elle souhaitait. Le dénouement ne changerait pas, autant qu'il vienne le plus rapidement possible.
Pendant le trajet elle n'avait pas ouvert la bouche, n'avait quasiment pas bougée, restant insensible à ce qui aurait pu se passer à l'extérieur de ses pensées. Seul son regard avait parcouru quelques fois les visages de ses camarades.
Une fois le X-jet arrivé à bon port, le Directeur Feuerstürm leur fut présenté. Un homme négligé toujours la cigarette à la bouche. Il leur fit un rapport de la situation actuelle. Le PISS n'avait pas put intervenir, maintenant le village en quarantaine. Cette fois ils y étaient. Une fois toutes les informations obtenues, Esther s'en alla de son côté. Elle sentit son coeur se serrer, ça l'aurait rassurée qu'elle soit avec eux mais elle devait faire confiance à ses camarades.
Lucas s'avança dans la ville, s'approchant de la première maison. Tout était calme, les rideaux étaient tirés, on aurait dit une ville fantôme. Jolène regardait de tous les côtés craignant que des robots ou elle ne savait pas trop quoi leur tendent une embuscade. Au lieu de cela c'est une jeune femme blonde qui sortit de la maison en question. Elle semblait connaitre Lucas. Simple illusion ou ancienne alliée qui avait changée de camp? Elle n'en savait trop rien.
"Qui êtes vous?"
Elle se plaça en tête du groupe, les yeux rivées sur elle, prête à sauter sur la femme au moindre mouvement agressif de cette dernière, prête à faire bouclier de son corps si il le fallait.
La jeune inconnue esquissa un sourire entendu.
"Je m'appelais River Smith. Il fut un temps - assez lointain - où j'étais membre de l'Institut. A cette époque je vivais, je respirais, je chantais et je parlais aux animaux... Mais tout cela, ce n'est que de l'histoire... N'est ce pas Lucas ? Combien de cœurs brisés as-tu laissé sur ton chemin ? Qui sont-elles les pauvres âmes que tu as troublé ?"
Tandis que la jeune femme murmurait son discours plein de ressentiment et d'amertume, le groupe remarqua un drôle de bruit. Comme un grondement lointain... Le même son que pourrait faire une vague. Et cela venait de la direction de l'église.
"Votre karma est pourri. Nous sommes les damnés. Oui, les damnés de la Terre. Il n'est de salut que dans l'au-delà. Il n'est de salut que dans la maison d'où je viens..."
Elle se tourna vers la bâtisse d'où elle était sortie quelques instants auparavant.
"Il est inutile de poursuivre la mission. Elle ne peut être qu'un échec. Vous vous croyez forts mais une fois qu'ils en auront terminé avec vous, vous ne serez plus que des coquilles vides... Nous vous proposons une dernière chance : entrez immédiatement dans cette maison et vous aurez la vie sauve. Résistez et vous serez broyés"
Les mutants remarquèrent que River cherchait à dissimuler ses mains. Son regard venait de se figer et son visage était soudainement devenu inexpressif. Quelque chose d'impitoyable était en chemin...
Tout semblait se passer au ralentit depuis qu'elle s'était levée et elle ne supportait pas cela. Arriver au plus vite sur place et ne plus avoir cette attente insoutenable voila tout ce qu'elle souhaitait. Le dénouement ne changerait pas, autant qu'il vienne le plus rapidement possible.
Pendant le trajet elle n'avait pas ouvert la bouche, n'avait quasiment pas bougée, restant insensible à ce qui aurait pu se passer à l'extérieur de ses pensées. Seul son regard avait parcouru quelques fois les visages de ses camarades.
Une fois le X-jet arrivé à bon port, le Directeur Feuerstürm leur fut présenté. Un homme négligé toujours la cigarette à la bouche. Il leur fit un rapport de la situation actuelle. Le PISS n'avait pas put intervenir, maintenant le village en quarantaine. Cette fois ils y étaient. Une fois toutes les informations obtenues, Esther s'en alla de son côté. Elle sentit son coeur se serrer, ça l'aurait rassurée qu'elle soit avec eux mais elle devait faire confiance à ses camarades.
Lucas s'avança dans la ville, s'approchant de la première maison. Tout était calme, les rideaux étaient tirés, on aurait dit une ville fantôme. Jolène regardait de tous les côtés craignant que des robots ou elle ne savait pas trop quoi leur tendent une embuscade. Au lieu de cela c'est une jeune femme blonde qui sortit de la maison en question. Elle semblait connaitre Lucas. Simple illusion ou ancienne alliée qui avait changée de camp? Elle n'en savait trop rien.
"Qui êtes vous?"
Elle se plaça en tête du groupe, les yeux rivées sur elle, prête à sauter sur la femme au moindre mouvement agressif de cette dernière, prête à faire bouclier de son corps si il le fallait.
La jeune inconnue esquissa un sourire entendu.
"Je m'appelais River Smith. Il fut un temps - assez lointain - où j'étais membre de l'Institut. A cette époque je vivais, je respirais, je chantais et je parlais aux animaux... Mais tout cela, ce n'est que de l'histoire... N'est ce pas Lucas ? Combien de cœurs brisés as-tu laissé sur ton chemin ? Qui sont-elles les pauvres âmes que tu as troublé ?"
Tandis que la jeune femme murmurait son discours plein de ressentiment et d'amertume, le groupe remarqua un drôle de bruit. Comme un grondement lointain... Le même son que pourrait faire une vague. Et cela venait de la direction de l'église.
"Votre karma est pourri. Nous sommes les damnés. Oui, les damnés de la Terre. Il n'est de salut que dans l'au-delà. Il n'est de salut que dans la maison d'où je viens..."
Elle se tourna vers la bâtisse d'où elle était sortie quelques instants auparavant.
"Il est inutile de poursuivre la mission. Elle ne peut être qu'un échec. Vous vous croyez forts mais une fois qu'ils en auront terminé avec vous, vous ne serez plus que des coquilles vides... Nous vous proposons une dernière chance : entrez immédiatement dans cette maison et vous aurez la vie sauve. Résistez et vous serez broyés"
Les mutants remarquèrent que River cherchait à dissimuler ses mains. Son regard venait de se figer et son visage était soudainement devenu inexpressif. Quelque chose d'impitoyable était en chemin...
- Abaigh Mc CullohLeX
- Age : 32
Equipe : OryX
Nom de code : Fíaìn
Date d'inscription : 08/07/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 26 Avr 2010 - 11:07
Cette fois, ils y étaient : La dernière bataille contre Nemo. A la fin de cette mission tout changerait. Comment? Cela allait dépendre des vainqueurs.
Les quelques jours qui avaient précédé la mission avaient eu un goût de déjà-vu pour l'Abeille. Tout comme elle s'était entraînée avec ses clones pour la bataille de Genosha, elle s'était entraînée avec ses clones pour la bataille qui allait se dérouler dans ce village. Elle avait décidé de se concentrer sur le problème de la douleur que ses clones lui transmettaient quand ils étaient blessés : Rien de grave n'était arrivé suite à ça à Babylone mais cela aurait pu être le cas. Aussi, elle avait pris le temps de faire le nécessaire et le résultat avait été plutôt concluant : Non seulement elle avait réussi à faire disparaître la transmission de la douleur mais en plus, elle avait réussi à créer un lien télépathique permanent entre elle et ses clones ce qui allait lui être utile : Plus la peine de donner des ordres à haute voix. Cela pouvait donner, au moment voulu, un bon effet de surprise.
Elle était donc plus sûre d'elle lorsqu'ils partirent tous pour l'Europe. Elle avait passé la veille collée à Charis qui elle aussi devait partir en mission. On aurait pu croire qu'avec le temps et l'habitude, l'Abeille se serait habituée à la séparation, au danger qui rôdait autour de Charis, mais non : Elle était à chaque fois dans le même état de peur. C'est donc à tout ça qu'elle avait pensé pendant le trajet. Elle n'avait pas dis un mot, beaucoup trop préoccupée. Et puis, lorsqu'ils furent arrivés, elle balaya mentalement la peur qu'elle avait pour Charis : Elle devait à présent se concentrer sur leur propre mission afin de revenir en un seul morceau auprès de sa belle. Ils furent présentés au Directeur Feuerstürm qui fit un rapport assez peu rassurant sur la situation. Cela dit, ils savaient que rien n'allait être simple et qu'il y avait beaucoup de risques. L'Abeille observa le village et un frisson lui parcourut le corps : La réalité de ce qu'ils étaient sur le point de faire venait de véritablement la frapper.
Esther s'adressa une dernière fois à eux en lui rappelant les cibles à ne pas oublier et s'éloigna pour essayer de leur faciliter leur approche en faisant diversion. Le coeur de l'Abeille se serra mais elle avait confiance en son professeur : Elle était puissante et ne se laisserait pas faire. Lucas prit alors la parole pour donner les dernières instructions et l'Irlandaise posa son regard sur lui. Lorsqu'il prononça la dernière phrase, un petit clin d'oeil à son propre nom de code, l'Abeille acquiessa d'un signe vif de la tête en lui adressant un sourire entendu : Ca allait chauffer dans les chaumières. Il se recouvrit de diamant et fit signe à l'équipe d'avancer. Ils restèrent à une distance assez raisonnable de Lucas et ils arrivèrent assez rapidement à une première maison : Ils n'avaient croisé personne sur le chemin. Rassurant? Pas tellement, non.
Quand la porte de la maison s'ouvrit, l'Abeille se tourna vivement, poings serrés, prête à bondir mais au lieu de sauter sur l'intrus, elle écarquilla les yeux et fit un pas en arrière : Elle n'aimait pas les fantômes... Jolène se plaça en tête du groupe pour demander au fantôme qui elle était. Parce que c'était bien de cela qu'il s'agissait, non? River était morte. Elle ne pouvait pas se trouver devant eux. Et puis s'il s'agissait d'un métamorphe qui avait juste pris l'apparence de River, comment pouvait-il savoir tout ce qu'il savait sur eux, sur Lucas?... L'Abeille sentit un frisson lui remonter le long du dos au moment où un étrange grondement se fit entendre au loin : Un grondement qui semblait se rapprocher. Ca, c'était pas bon signe du tout.
River-fantôme enchaîna en disant au groupe que leur mission allait être un échec mais qu'ils pouvaient saisir une dernière chance et s'en sortir. Pour cela, il suffisait d'entrer dans la maison : Bah bien sûr! Et depuis quand on écoutait les conseils des fantômes?... A ce moment-là, l'Abeille remarqua que River-fantôme tentait de dissimuler ses mains. Elle pouvait très bien planquer une arme. Oui, mais si c'était un fantôme... Oh et puis zut! Fantôme ou pas, ils ne pouvaient pas prendre de risque.
L'Abeille fit apparaître un clone et lui ordonna mentalement de bondir sur River et de lui saisir tout de suite les poignets afin de l'empêcher d'utiliser ce qu'elle planquait. Bon, en même temps, ça allait vérifier la théorie du fantôme, parce que techniquement, un fantôme, on passe au travers, donc...
River ne cilla pas quand le clone apparut. Tout au plus, le groupe put sentir une certaine forme d'empressement chez la jeune femme. Quand Abaigh 2 bondit sur la créature pour la maitriser, cette dernière ramena ses mains devant elle, sauf que ces dernières n'étaient plus réellement des mains : à la place se tenaient deux drôles d'armes à feu qui semblaient être de véritables extensions de ses bras. Abaigh 2 réussit à se saisir de l'une d'elle... Quand à l'autre... Disons qu'Abaigh 2 était un bon bouclier pour le groupe. River était prête à faire feu à bout portant dans le ventre du clone.
"Ainsi soit-il" commenta simplement le fantôme alors qu'il serrait le corps d'Abaigh 2, prête à la tuer. A ce titre, Abaigh comprit que l'apparition était forte. Anormalement forte.
"Ainsi soit-il" répéta-t-elle tandis que le groupe pouvait observer que le grondement était bel et bien une vague. Celle-ci s'était formée derrière l'église et descendait la grande rue pour déferler sur les mutants...
Les quelques jours qui avaient précédé la mission avaient eu un goût de déjà-vu pour l'Abeille. Tout comme elle s'était entraînée avec ses clones pour la bataille de Genosha, elle s'était entraînée avec ses clones pour la bataille qui allait se dérouler dans ce village. Elle avait décidé de se concentrer sur le problème de la douleur que ses clones lui transmettaient quand ils étaient blessés : Rien de grave n'était arrivé suite à ça à Babylone mais cela aurait pu être le cas. Aussi, elle avait pris le temps de faire le nécessaire et le résultat avait été plutôt concluant : Non seulement elle avait réussi à faire disparaître la transmission de la douleur mais en plus, elle avait réussi à créer un lien télépathique permanent entre elle et ses clones ce qui allait lui être utile : Plus la peine de donner des ordres à haute voix. Cela pouvait donner, au moment voulu, un bon effet de surprise.
Elle était donc plus sûre d'elle lorsqu'ils partirent tous pour l'Europe. Elle avait passé la veille collée à Charis qui elle aussi devait partir en mission. On aurait pu croire qu'avec le temps et l'habitude, l'Abeille se serait habituée à la séparation, au danger qui rôdait autour de Charis, mais non : Elle était à chaque fois dans le même état de peur. C'est donc à tout ça qu'elle avait pensé pendant le trajet. Elle n'avait pas dis un mot, beaucoup trop préoccupée. Et puis, lorsqu'ils furent arrivés, elle balaya mentalement la peur qu'elle avait pour Charis : Elle devait à présent se concentrer sur leur propre mission afin de revenir en un seul morceau auprès de sa belle. Ils furent présentés au Directeur Feuerstürm qui fit un rapport assez peu rassurant sur la situation. Cela dit, ils savaient que rien n'allait être simple et qu'il y avait beaucoup de risques. L'Abeille observa le village et un frisson lui parcourut le corps : La réalité de ce qu'ils étaient sur le point de faire venait de véritablement la frapper.
Esther s'adressa une dernière fois à eux en lui rappelant les cibles à ne pas oublier et s'éloigna pour essayer de leur faciliter leur approche en faisant diversion. Le coeur de l'Abeille se serra mais elle avait confiance en son professeur : Elle était puissante et ne se laisserait pas faire. Lucas prit alors la parole pour donner les dernières instructions et l'Irlandaise posa son regard sur lui. Lorsqu'il prononça la dernière phrase, un petit clin d'oeil à son propre nom de code, l'Abeille acquiessa d'un signe vif de la tête en lui adressant un sourire entendu : Ca allait chauffer dans les chaumières. Il se recouvrit de diamant et fit signe à l'équipe d'avancer. Ils restèrent à une distance assez raisonnable de Lucas et ils arrivèrent assez rapidement à une première maison : Ils n'avaient croisé personne sur le chemin. Rassurant? Pas tellement, non.
Quand la porte de la maison s'ouvrit, l'Abeille se tourna vivement, poings serrés, prête à bondir mais au lieu de sauter sur l'intrus, elle écarquilla les yeux et fit un pas en arrière : Elle n'aimait pas les fantômes... Jolène se plaça en tête du groupe pour demander au fantôme qui elle était. Parce que c'était bien de cela qu'il s'agissait, non? River était morte. Elle ne pouvait pas se trouver devant eux. Et puis s'il s'agissait d'un métamorphe qui avait juste pris l'apparence de River, comment pouvait-il savoir tout ce qu'il savait sur eux, sur Lucas?... L'Abeille sentit un frisson lui remonter le long du dos au moment où un étrange grondement se fit entendre au loin : Un grondement qui semblait se rapprocher. Ca, c'était pas bon signe du tout.
River-fantôme enchaîna en disant au groupe que leur mission allait être un échec mais qu'ils pouvaient saisir une dernière chance et s'en sortir. Pour cela, il suffisait d'entrer dans la maison : Bah bien sûr! Et depuis quand on écoutait les conseils des fantômes?... A ce moment-là, l'Abeille remarqua que River-fantôme tentait de dissimuler ses mains. Elle pouvait très bien planquer une arme. Oui, mais si c'était un fantôme... Oh et puis zut! Fantôme ou pas, ils ne pouvaient pas prendre de risque.
L'Abeille fit apparaître un clone et lui ordonna mentalement de bondir sur River et de lui saisir tout de suite les poignets afin de l'empêcher d'utiliser ce qu'elle planquait. Bon, en même temps, ça allait vérifier la théorie du fantôme, parce que techniquement, un fantôme, on passe au travers, donc...
River ne cilla pas quand le clone apparut. Tout au plus, le groupe put sentir une certaine forme d'empressement chez la jeune femme. Quand Abaigh 2 bondit sur la créature pour la maitriser, cette dernière ramena ses mains devant elle, sauf que ces dernières n'étaient plus réellement des mains : à la place se tenaient deux drôles d'armes à feu qui semblaient être de véritables extensions de ses bras. Abaigh 2 réussit à se saisir de l'une d'elle... Quand à l'autre... Disons qu'Abaigh 2 était un bon bouclier pour le groupe. River était prête à faire feu à bout portant dans le ventre du clone.
"Ainsi soit-il" commenta simplement le fantôme alors qu'il serrait le corps d'Abaigh 2, prête à la tuer. A ce titre, Abaigh comprit que l'apparition était forte. Anormalement forte.
"Ainsi soit-il" répéta-t-elle tandis que le groupe pouvait observer que le grondement était bel et bien une vague. Celle-ci s'était formée derrière l'église et descendait la grande rue pour déferler sur les mutants...
- Edouard LeblancJustiX
- Age : 33
Nom de code : Animus
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 26 Avr 2010 - 19:17
Edouard passe le voyage de Jet à se demander comment ça se passerait, il essayait de cacher son malaise et sa nervosité en souriant à tout le monde et en tentant de faire un peu connaissance, si bien qu'il avait une petite idée de la personnalité de chacun. Au moins un petit quelque chose sur lequel se baser, parce que déjà, pour les noms, il était chanceux d'avoir retenu Jolène... !
Alors donc, tout sourire, il tentait de se battre avec lui même pour retenir les noms en regardant tout le monde. Ça viendrait bien avec le temps. En priant pour que ce ne soit pas un problème sur le terrain.
Le jet se pose, tout le reste se passe rapidement, il est un peu dépassé par les évènements et tente tant bien que mal de comprendre ce que dit Furs...Fourst...Fursto ? L'homme à la cigarette... et suit les autres, un peu au centre du groupe, il fixe partout.
*Mais... qu'est-ce que j'fais ici... pour l'amour...C'est tout juste si je peux grogner !*
Quand la femme apparait et parle directement à Rock (Ça c'était un surnom facile à retenir !) il promène son regard entre les deux, et, pris de court par la rapidité de la suite, il reste immobile en voyant un clone de la belle Irlandaise se faire prendre en otage.
Les émotions trop fortes... L'angoisse d'être dans ce lieu sans expérience de combat... La pression est forte sur Edouard. Très exité et énervé, il se met à courrir sans réfléchir vers la ravisseuse et l'otage... à mesure qu'il avançait, sans trop se rendre compte, il avait en tête l'image d'un loup... Il remarquait à peine la vague qui fonçait vers eux, tout ce qu'il avait en tête : mordre River à la gorge.
Alors donc, tout sourire, il tentait de se battre avec lui même pour retenir les noms en regardant tout le monde. Ça viendrait bien avec le temps. En priant pour que ce ne soit pas un problème sur le terrain.
Le jet se pose, tout le reste se passe rapidement, il est un peu dépassé par les évènements et tente tant bien que mal de comprendre ce que dit Furs...Fourst...Fursto ? L'homme à la cigarette... et suit les autres, un peu au centre du groupe, il fixe partout.
*Mais... qu'est-ce que j'fais ici... pour l'amour...C'est tout juste si je peux grogner !*
Quand la femme apparait et parle directement à Rock (Ça c'était un surnom facile à retenir !) il promène son regard entre les deux, et, pris de court par la rapidité de la suite, il reste immobile en voyant un clone de la belle Irlandaise se faire prendre en otage.
Les émotions trop fortes... L'angoisse d'être dans ce lieu sans expérience de combat... La pression est forte sur Edouard. Très exité et énervé, il se met à courrir sans réfléchir vers la ravisseuse et l'otage... à mesure qu'il avançait, sans trop se rendre compte, il avait en tête l'image d'un loup... Il remarquait à peine la vague qui fonçait vers eux, tout ce qu'il avait en tête : mordre River à la gorge.
- Kanata YunLeX
- Age : 33
Date d'inscription : 04/07/2009
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 26 Avr 2010 - 23:45
Le village des tarés. Ils y allaient. Le jour J était arrivé. Voyage en Jet pour aller se faire trucider. Pour une fois le Yun était calme. Il avait la trouille. Mais ça c'était dans sa tête. Comme d'hab, il cachait tout. Puis ils avaient rencontré un type qui était le père spirituel de dame clope. Et... leur prof était partie après un discours d'encouragement bien à elle. Trop cool. Restons groupés ! Je pars pas là, seule. Super.
Rock prenait les commandes, comme d'hab. Il allait foncer dans le tas. Il s'en foutait, il était en diamant lui. Mr Couproc avait beau être de la partie, c'était pas super pratique pour prendre les balles à la place de son bide.
Kanata suivait le groupe jusqu'au moment où il lâcha un "Putain." en voyant River Smith. Il la connaissait depuis pas longtemps grâce à sa blondinette. Mais ce qu'il savait, c'est qu'elle était morte. Une illusion sacrément bien foutue. C'était du Van damne ça surement. Dans le genre illusion, il semblait être costaud d'après le brief.
Jojo faisait parler l'illusion qui laissait un agréable message digne de l'avocat du néant. Des gens charmants décidément. Abaigh envoyait un clone qui maîtrisait moyennement la situation. Et surtout, un grondement se faisait entendre. Y'avait de quoi se croire à la mer. Et soudain, il vit la vague. C'était aussi une illusion et rien qu'une illusion. Ca pouvait qu'être ça. Qu'est ce que fouterait toute cette eau ici ?
Dans le doute, le Yun décida de se mettre à l'abris en haut d'un escalier le long de la rue ou à défaut d'en avoir un à portée, se mettre dans un embranchement entre deux maisons. Un truc pour éviter de se faire happer par la déferlante quoi. Il préférait éviter de se retrouver à 2km d'ici.
Rien n'était vrai. Tout n'était qu'illusion. Van damne jouait avec eux. Il ne fallait pas se laisser berner. Même si tout était si vrai...
Rock prenait les commandes, comme d'hab. Il allait foncer dans le tas. Il s'en foutait, il était en diamant lui. Mr Couproc avait beau être de la partie, c'était pas super pratique pour prendre les balles à la place de son bide.
Kanata suivait le groupe jusqu'au moment où il lâcha un "Putain." en voyant River Smith. Il la connaissait depuis pas longtemps grâce à sa blondinette. Mais ce qu'il savait, c'est qu'elle était morte. Une illusion sacrément bien foutue. C'était du Van damne ça surement. Dans le genre illusion, il semblait être costaud d'après le brief.
Jojo faisait parler l'illusion qui laissait un agréable message digne de l'avocat du néant. Des gens charmants décidément. Abaigh envoyait un clone qui maîtrisait moyennement la situation. Et surtout, un grondement se faisait entendre. Y'avait de quoi se croire à la mer. Et soudain, il vit la vague. C'était aussi une illusion et rien qu'une illusion. Ca pouvait qu'être ça. Qu'est ce que fouterait toute cette eau ici ?
Dans le doute, le Yun décida de se mettre à l'abris en haut d'un escalier le long de la rue ou à défaut d'en avoir un à portée, se mettre dans un embranchement entre deux maisons. Un truc pour éviter de se faire happer par la déferlante quoi. Il préférait éviter de se retrouver à 2km d'ici.
Rien n'était vrai. Tout n'était qu'illusion. Van damne jouait avec eux. Il ne fallait pas se laisser berner. Même si tout était si vrai...
- InvitéInvité
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 27 Avr 2010 - 1:14
Comme d'habitude, Yanis était resté silencieux durant le voyage, n'ayant rien de particulier à dire à ses camarades et pour une fois, l'ambiance du X-jet lui avait relativement donné raison.
Une fois à terre, il avait salué Feuerstürm d'un hochement de tête, observant le bonhomme de loin en restant un peu à l'écart des élèves. Allah semblait avoir lié son destin à celui de ce fumeur invétéré. Ils s'étaient rendus des services mutuels, et jusqu'ici, le directeur du PISS n'avait jamais manqué une seule fois à sa parole. Yanis ne pouvait pas en dire autant pour tout le monde. Mais l'Algérien relégua cette question en arrière-plan : il avait une mission à mener à bien, des élèves à ramener sains et saufs à l'Institut. Les pensées parasites étaient à proscrire. Nemo le disait robot, c'était parfois utile de pouvoir s'affranchir aussi facilement de questions existentielles.
Suivant les LeX, le JustiX, il observa la jeune fille se présenter. Il trouva une concordance avec un nom stocké dans sa mémoire, et lut sur l'une des tombes de l'Institut. Il s'agissait peut-être là encore d'une tentative de résurrection cybernétique... Toujours était-il qu'il contempla non sans appréciation l'habileté avec laquelle elle avait su métamorphoser ses mains en arme. Le Parangon, et maintenant ce robot. Il avait un peu de retard à rattraper au niveau létalité.
"D'accord..." dit-il en hochant la tête une fois en voyant la vague géante dépasser l'église. Plutôt que d'essayer de savoir s'il s'agissait d'une illusion ou non, Cobalt saisit Nerve et Fiain par le col de leur costume et les attira avec lui sur le côté gauche, où semblait être fixée une barre métallique à laquelle ils pourraient s'agripper.
L'auteur de cette vague ne faisait apparemment que peu cas de ses troupes, qui risquaient de boire la tasse au même titre que l'équipe.
Une fois à terre, il avait salué Feuerstürm d'un hochement de tête, observant le bonhomme de loin en restant un peu à l'écart des élèves. Allah semblait avoir lié son destin à celui de ce fumeur invétéré. Ils s'étaient rendus des services mutuels, et jusqu'ici, le directeur du PISS n'avait jamais manqué une seule fois à sa parole. Yanis ne pouvait pas en dire autant pour tout le monde. Mais l'Algérien relégua cette question en arrière-plan : il avait une mission à mener à bien, des élèves à ramener sains et saufs à l'Institut. Les pensées parasites étaient à proscrire. Nemo le disait robot, c'était parfois utile de pouvoir s'affranchir aussi facilement de questions existentielles.
Suivant les LeX, le JustiX, il observa la jeune fille se présenter. Il trouva une concordance avec un nom stocké dans sa mémoire, et lut sur l'une des tombes de l'Institut. Il s'agissait peut-être là encore d'une tentative de résurrection cybernétique... Toujours était-il qu'il contempla non sans appréciation l'habileté avec laquelle elle avait su métamorphoser ses mains en arme. Le Parangon, et maintenant ce robot. Il avait un peu de retard à rattraper au niveau létalité.
"D'accord..." dit-il en hochant la tête une fois en voyant la vague géante dépasser l'église. Plutôt que d'essayer de savoir s'il s'agissait d'une illusion ou non, Cobalt saisit Nerve et Fiain par le col de leur costume et les attira avec lui sur le côté gauche, où semblait être fixée une barre métallique à laquelle ils pourraient s'agripper.
L'auteur de cette vague ne faisait apparemment que peu cas de ses troupes, qui risquaient de boire la tasse au même titre que l'équipe.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
- Age : 45
Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 27 Avr 2010 - 1:53
Édouard, s'élançant dans la direction de la bagarre entre River et Abaigh 2, enclencha son pouvoir et se dota de crocs tout à fait lupins. Dans sa rage animale, il ne remarqua même pas que River venait de tirer un coup mortel dans l'abdomen du malheureux clone, qui tomba au sol, inanimé... Mais cela importait peu : le temps que l'apparition se débarrasse de son assaillante, Édouard était déjà accroché à sa gorge.
C'était une bien drôle de viande : pas tendre comme pourrait l'être du gibier classique. Non. C'était dur. Et ses crocs avaient du mal à s'enfoncer dans ce qui n'était qu'en surface organique. Passé la fausse peau, le faux sang, il tomba sur - comme qui dirait - un os : des circuits imprimés, du câblage, du métal en pagaille...
River tomba au sol en compagnie d'Animus. Elle se débattait comme une furie, envoyant des coups désordonnés dans le vide. C'était inéluctable : il allait bien finir par la décapiter et...
"BZZZ. Intégrité physique programme River Smith menacée. Demande centre de contrôle autorisation pour procéder à autodestruction. BZZZ" lança River d'une voix qui était devenue brutalement mécanique.
Pendant ce temps, la vague continuait à approcher du reste de l'équipe. Kanata fut le plus rapide à agir et alla se réfugier sur les marches d'un petit escalier sur sa gauche, s'accrochant à la poignée de la porte d'entrée de la maison pour éviter d'être emporté. Avant que la vague ne le dépasse, il crut entendre du bruit à l'intérieur de la bâtisse. Comme des psalmodies. Ou des murmures.
Yanis attrapa, quant à lui, Jolène et Abaigh et les conduisit contre la rambarde métallique. Le trio d'amis put s'agripper à cette dernière et supporter le passage de la vague sans trop de problèmes : ils étaient juste trempés et légèrement secoués.
Si Edouard qui luttait sous sa forme partiellement animale dans la cour n'était pas concerné par la vague, Lucas avait l'avantage d'être protégé par sa forme diamantine qui lui permit de rester à peu près stable sur ses deux pieds...
Il demeura après le passage de la vague une dizaine de centimètres d'eau au sol. Une forme en émergea soudainement.
C'était une forme féminine et tourbillonnante. Une élémentaire. Et au fur et mesure qu'elle ondulait sur elle même à quelques centimètres du sol des gouttes s'envolaient pour se fondre dans sa masse. Plus les instants passaient, plus elle semblait se solidifier.
C'était une bien drôle de viande : pas tendre comme pourrait l'être du gibier classique. Non. C'était dur. Et ses crocs avaient du mal à s'enfoncer dans ce qui n'était qu'en surface organique. Passé la fausse peau, le faux sang, il tomba sur - comme qui dirait - un os : des circuits imprimés, du câblage, du métal en pagaille...
River tomba au sol en compagnie d'Animus. Elle se débattait comme une furie, envoyant des coups désordonnés dans le vide. C'était inéluctable : il allait bien finir par la décapiter et...
"BZZZ. Intégrité physique programme River Smith menacée. Demande centre de contrôle autorisation pour procéder à autodestruction. BZZZ" lança River d'une voix qui était devenue brutalement mécanique.
Pendant ce temps, la vague continuait à approcher du reste de l'équipe. Kanata fut le plus rapide à agir et alla se réfugier sur les marches d'un petit escalier sur sa gauche, s'accrochant à la poignée de la porte d'entrée de la maison pour éviter d'être emporté. Avant que la vague ne le dépasse, il crut entendre du bruit à l'intérieur de la bâtisse. Comme des psalmodies. Ou des murmures.
Yanis attrapa, quant à lui, Jolène et Abaigh et les conduisit contre la rambarde métallique. Le trio d'amis put s'agripper à cette dernière et supporter le passage de la vague sans trop de problèmes : ils étaient juste trempés et légèrement secoués.
Si Edouard qui luttait sous sa forme partiellement animale dans la cour n'était pas concerné par la vague, Lucas avait l'avantage d'être protégé par sa forme diamantine qui lui permit de rester à peu près stable sur ses deux pieds...
Il demeura après le passage de la vague une dizaine de centimètres d'eau au sol. Une forme en émergea soudainement.
C'était une forme féminine et tourbillonnante. Une élémentaire. Et au fur et mesure qu'elle ondulait sur elle même à quelques centimètres du sol des gouttes s'envolaient pour se fondre dans sa masse. Plus les instants passaient, plus elle semblait se solidifier.
- Lucas ShaamLeX
- Age : 35
Equipe : LeX
Nom de code : Rock
Date d'inscription : 12/10/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mer 28 Avr 2010 - 18:10
À première vue, ce village était complètement désert, abandonné de toute âme vivante. Mais Lucas savait pertinemment que ce n’était qu’une apparence trompeuse, le calme avant la tempête promise par Esther ! La première maison était sensiblement similaire au reste du village : paisible. Des rideaux masquaient l’intérieur, et l’allée donnait sur une ruelle en pente ascendante qui donnait sur une église assez pittoresque. Il avait déjà eu son compte de ville fantôme et d’église désaffectée renfermant dans son sous-sol un laboratoire ‘high tech’ tout récent en Orégon… Mais le scénario semblait sur le point de se répéter. Il espérait tout de même qu’elle serait moins létale cette fois-ci que la fois d’avant : il n’avait pas du tout envie de revivre la mort d’un ou de plusieurs coéquipiers.
Enfin peu importait, car ce qui arriva alors marqua une croix définitive sur la progression à l’identique de la mission de sauvetage d’Adam : la porte venait de s’ouvrir sur une personne que Lucas ne s’attendait pour rien au monde à revoir, que ce fût ici ou ailleurs, une personne qu’il avait aimée et qui était morte, une personne qu’il ne pourrait jamais oublier : River Smith. Cette vision le fit se tétaniser sur place, et ses yeux s’exorbitèrent. Ce n’était pas possible, pas réel. Ça ne pouvait se produire. Toutes les causes possibles d’une telle apparition défilèrent dans son esprit : un robot de Max Renn, une illusion de Protagoras, un polymorphe asiatique et farceur qui ne tenait pas à sa vie… mais rien n’y faisait, l’image de River se substituait toujours à ces pensées, sans qu’il puisse leur accorder le moindre crédit.
La demoiselle semblait lui reprocher de l’avoir « remplacée » par Jade, si peu de temps après son trépas. Et elle poursuivit par une menace ouverte à toute l’équipe qui le suivait. Non, ça n’était pas River, le doute se dissipait petit à petit, mais il restait paralysé par la surprise. L’imitation de River tentait de convaincre les LeX d’abandonner la mission, de laisser tout en plan et de fuir tant qu’il en était encore temps. Les magnats de Nemo redoutaient donc cet assaut. Sous leurs menaces impressionnantes, ils tremblaient lamentablement. Non, ils ne se rendraient pas. Ils étaient là pour en finir avec ces assassins, et ils allaient aller jusqu’au bout.
Abaigh et Edouard marquèrent cette décision en sautant littéralement sur River, qui ne s’avéra être qu’un vulgaire automate aux mains armées. Le robot venait d’être mis KO, et Lucas reprenait petit à petit son esprit, même si tout son corps grondait désormais d’une rage interne presque visible dans es yeux gris. Et c’est à ce moment là qu’il se rendit compte que le grondement qu’il percevait n’était pas qu’intérieur : une vague aquatique énorme descendait la rue à toute vitesse pour foncer droit sur eux. Les LeX réussirent à en réchapper en s’attachant plus ou moins à ce qu’ils trouvèrent, et Lucas, pris un peu de court, se prit la vague de plein fouet. Heureusement, son poids diamantin lui permit de résister à l’assaut de l’eau, et il tint sur ses deux guiboles, non sans devoir se pencher vers l’avant pour résister à la pression. Il n’en fut pas moins trempé de la tête aux pieds, qui baignaient désormais dans de la flotte, qui commença à se mouvoir pour faire naître une silhouette ondoyante. Il ne faisait presque aucun doute qu’il s’agissait là d’une élémentaire d’eau, à moins que Protagoras ait trouvé un moyen de faire paniquer l’équipe. Amie, ennemie ? Dans ce village, il y avait peu de chance de tomber sur des alliés potentiels… Et cette furie aqueuse les avait très clairement attaqués avec sa vague.
Il ne voyait pas qui parmi eux pourrait vaincre un élémentaire d’eau. La seule personne qui y était capable ici, c’était Esther, qui aurait réduit cette intruse en vapeur en un clin d’œil. Hélas, elle n’était pas là, attirant l’attention des ennemis dans un autre point du village. La seule solution qu’il entrevit n’était que temporaire, sans doute. Il soupira et se retourna en hâte vers ses coéquipiers.
« Courez vous planquer dans un endroit sec ! »
Et sur ces mots, il fonça droit sur la silhouette de l’élémentaire pour passer à travers elle et fuir plus loin en amont, espérant la répandre en milliers de gouttelettes qui mettraient à nouveau autant de temps pour se reconstituer. Suffisamment de temps, il l’espérait, pour permettre à l’équipe de se planquer plus haut dans la rue.
Tandis que l'élémentaire était en pleine (re)constitution aqueuse, Rock lui fonça dessus. Contrairement à ses attentes, le suédois percuta quelque chose qui était partiellement solide. Ceci dit, la violence du choc eut tout de même pour effet de disperser la créature aux alentours. Les gouttes qui étaient précédemment en ascension retombèrent instantanément au sol : l'eau dans la rue n'était plus sous contrôle mental de la chose. Lucas s'arrêta à quelques mètres du point d'impact.
Derrière lui, une silhouette venait d'apparaître.
C'était une silhouette humaine qui était née des gouttes d'eau. L'élémentaire avait repris sa forme de jeune fille. C'était... Charis. Elle observa d'un regard noir le groupe et lâcha d'une voix glaciale :
"Nous pouvons prendre l'apparence de qui l'on veut. Nous savons qui vous êtes et quels sont vos angoisses ou vos espérances. Une fois que vous serez morts, nous vous remplacerons et nous torturerons vos proches. Voilà, ce qu'il en coute pour avoir osé défié Cornelius van Damme"
Enfin peu importait, car ce qui arriva alors marqua une croix définitive sur la progression à l’identique de la mission de sauvetage d’Adam : la porte venait de s’ouvrir sur une personne que Lucas ne s’attendait pour rien au monde à revoir, que ce fût ici ou ailleurs, une personne qu’il avait aimée et qui était morte, une personne qu’il ne pourrait jamais oublier : River Smith. Cette vision le fit se tétaniser sur place, et ses yeux s’exorbitèrent. Ce n’était pas possible, pas réel. Ça ne pouvait se produire. Toutes les causes possibles d’une telle apparition défilèrent dans son esprit : un robot de Max Renn, une illusion de Protagoras, un polymorphe asiatique et farceur qui ne tenait pas à sa vie… mais rien n’y faisait, l’image de River se substituait toujours à ces pensées, sans qu’il puisse leur accorder le moindre crédit.
La demoiselle semblait lui reprocher de l’avoir « remplacée » par Jade, si peu de temps après son trépas. Et elle poursuivit par une menace ouverte à toute l’équipe qui le suivait. Non, ça n’était pas River, le doute se dissipait petit à petit, mais il restait paralysé par la surprise. L’imitation de River tentait de convaincre les LeX d’abandonner la mission, de laisser tout en plan et de fuir tant qu’il en était encore temps. Les magnats de Nemo redoutaient donc cet assaut. Sous leurs menaces impressionnantes, ils tremblaient lamentablement. Non, ils ne se rendraient pas. Ils étaient là pour en finir avec ces assassins, et ils allaient aller jusqu’au bout.
Abaigh et Edouard marquèrent cette décision en sautant littéralement sur River, qui ne s’avéra être qu’un vulgaire automate aux mains armées. Le robot venait d’être mis KO, et Lucas reprenait petit à petit son esprit, même si tout son corps grondait désormais d’une rage interne presque visible dans es yeux gris. Et c’est à ce moment là qu’il se rendit compte que le grondement qu’il percevait n’était pas qu’intérieur : une vague aquatique énorme descendait la rue à toute vitesse pour foncer droit sur eux. Les LeX réussirent à en réchapper en s’attachant plus ou moins à ce qu’ils trouvèrent, et Lucas, pris un peu de court, se prit la vague de plein fouet. Heureusement, son poids diamantin lui permit de résister à l’assaut de l’eau, et il tint sur ses deux guiboles, non sans devoir se pencher vers l’avant pour résister à la pression. Il n’en fut pas moins trempé de la tête aux pieds, qui baignaient désormais dans de la flotte, qui commença à se mouvoir pour faire naître une silhouette ondoyante. Il ne faisait presque aucun doute qu’il s’agissait là d’une élémentaire d’eau, à moins que Protagoras ait trouvé un moyen de faire paniquer l’équipe. Amie, ennemie ? Dans ce village, il y avait peu de chance de tomber sur des alliés potentiels… Et cette furie aqueuse les avait très clairement attaqués avec sa vague.
Il ne voyait pas qui parmi eux pourrait vaincre un élémentaire d’eau. La seule personne qui y était capable ici, c’était Esther, qui aurait réduit cette intruse en vapeur en un clin d’œil. Hélas, elle n’était pas là, attirant l’attention des ennemis dans un autre point du village. La seule solution qu’il entrevit n’était que temporaire, sans doute. Il soupira et se retourna en hâte vers ses coéquipiers.
« Courez vous planquer dans un endroit sec ! »
Et sur ces mots, il fonça droit sur la silhouette de l’élémentaire pour passer à travers elle et fuir plus loin en amont, espérant la répandre en milliers de gouttelettes qui mettraient à nouveau autant de temps pour se reconstituer. Suffisamment de temps, il l’espérait, pour permettre à l’équipe de se planquer plus haut dans la rue.
Tandis que l'élémentaire était en pleine (re)constitution aqueuse, Rock lui fonça dessus. Contrairement à ses attentes, le suédois percuta quelque chose qui était partiellement solide. Ceci dit, la violence du choc eut tout de même pour effet de disperser la créature aux alentours. Les gouttes qui étaient précédemment en ascension retombèrent instantanément au sol : l'eau dans la rue n'était plus sous contrôle mental de la chose. Lucas s'arrêta à quelques mètres du point d'impact.
Derrière lui, une silhouette venait d'apparaître.
C'était une silhouette humaine qui était née des gouttes d'eau. L'élémentaire avait repris sa forme de jeune fille. C'était... Charis. Elle observa d'un regard noir le groupe et lâcha d'une voix glaciale :
"Nous pouvons prendre l'apparence de qui l'on veut. Nous savons qui vous êtes et quels sont vos angoisses ou vos espérances. Une fois que vous serez morts, nous vous remplacerons et nous torturerons vos proches. Voilà, ce qu'il en coute pour avoir osé défié Cornelius van Damme"
- Edouard LeblancJustiX
- Age : 33
Nom de code : Animus
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mer 28 Avr 2010 - 20:41
Animus repris rapidement ses esprits. Le goût du liquide n'en était pas un du sang, et son instinct animal s'était amenuisé petit à petit, pour laisser un Edouard crachant de dégoût et bien surpris d'entendre encore parler le robot.
"Demande centre de contrôle autorisation pour procéder à autodestruction"
- Oh...merde...
Se relevant, il voit la formation de l'élémentaire d'eau et Rock qui fonce dessus en invitant tout le monde à fuir : la panique reprend le dessus.
- Cyborg en explosion ! Chaud devant !
*Cheval... Cheval Cheval Cheval !!!*
En tentant la transformation, Animus ouvre la marche en direction des filles et de Cobalt. Il ouvre les bras prêt à prendre une fille dans ses bras et la porter sur son dos.
Il renâcle ensuite, et se prépare à attraper au passage Jolène ou Abaigh pour bifurquer ensuite vers la coline, sauf qu'une voix derrière lui le fait stopper son élan. Il se retourne pour voir l'élémentaire déjà reprendre forme, alors il se prépare à attaquer si l'ordre contraire est donné.
"Demande centre de contrôle autorisation pour procéder à autodestruction"
- Oh...merde...
Se relevant, il voit la formation de l'élémentaire d'eau et Rock qui fonce dessus en invitant tout le monde à fuir : la panique reprend le dessus.
- Cyborg en explosion ! Chaud devant !
*Cheval... Cheval Cheval Cheval !!!*
En tentant la transformation, Animus ouvre la marche en direction des filles et de Cobalt. Il ouvre les bras prêt à prendre une fille dans ses bras et la porter sur son dos.
Il renâcle ensuite, et se prépare à attraper au passage Jolène ou Abaigh pour bifurquer ensuite vers la coline, sauf qu'une voix derrière lui le fait stopper son élan. Il se retourne pour voir l'élémentaire déjà reprendre forme, alors il se prépare à attaquer si l'ordre contraire est donné.
- Abaigh Mc CullohLeX
- Age : 32
Equipe : OryX
Nom de code : Fíaìn
Date d'inscription : 08/07/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Jeu 29 Avr 2010 - 11:46
Des flingues... Des flingues à la place des mains!
L'Abeille s'attendait à voir River tenir une arme, ou des armes, mais pas à ce que ces armes soient une partie de sa propre personne. Enfin, personne... Tout est relatif. Le clone parvint à maîtriser l'une des armes, mais pas les deux. Edouard se jeta alors sur la gorge de River-plus-fantôme-parce-qu'on passe-pas-au-travers et le coup partit. Le clone fut touché en plein abdomen et l'Abeille cilla un instant, ayant peur de ressentir la douleur. Même si à l'entraînement elle avait réussi à passer au stade supérieur, elle avait quand même un peu peur... Pour rien! Elle ne ressentit rien et soupira de soulagement. Soulagement de courte durée car la vague, qui semblait être bel et bien une vague et pas une illusion fonçait à présent vers le groupe en descendant la rue.
Oh, oh...
*On fait quoi? ON FAIT QUOI?! Non parce que nager, d'accord, mais là...*
Et hop : Elle fut tirée par le col et ramenée sur la gauche près d'une rambarde où elle pouvait à présent s'accrocher. Elle tourna le tête et vit que Yanis était l'auteur de ce sauvetage in extremis et qu'en plus, il avait aussi ramené Jolène près de la rambarde. Du coup, quand la vague frappa, ils ne furent pas emportés. Ils furent juste secoués par la vitesse et la pression de l'eau. La vague passée, il restait une dizaine de centimètres d'eau au sol et l'Abeille se redressa : Elle était trempée, mais au moins, elle était toujours là, et entière. Une forme émergea alors de l'eau et l'Abeille observa le phénomène : Ca devait être un élémentaire d'eau, comme sa belle.
Lucas leur ordonna d'aller se planquer dans un endroit au sec juste avant de foncer sur la forme qui se solidifiait de plus en plus. L'Abeille ne bougea cependant pas : Avant d'entrer dans le village, ils avaient décidé de ne jamais laisser quelqu'un seul et même si Lucas était le leader, hors de question de le laisser. Quand Lucas heurta la créature, elle fut dispersée aux alentours mais l'Abeille ne s'attarda pas là-dessus parce qu'une silhouette venait d'apparaître, et cette silhouette, elle la connaissait. Oh oui, elle la connaissait même très bien. Née des gouttes d'eau, Charis se tenait là. Le coeur de l'Abeille s'emballa et pendant une brève seconde, elle eut envie de courir vers elle, de la serrer dans ses bras, de l'embrasser. Pendant cette seconde, l'Abeille ne pensa pas à une réplique, trop heureuse de voir celle qu'elle aimait devant elle. Mais quand Charis ouvrit la bouche pour leur parler d'une voix glaciale, l'Abeille se reprit et remit toutes ses idées en place : Jamais Charis n'aurait parlé de cette façon, et ce regard... Non, ce n'était pas le regard de celle qu'elle aimait. Soudainement, une vague de colère submergea l'Abeille : Elle ne supportait pas de savoir que les ennemis utilisaient l'apparence de Charis. Elle jeta à la réplique un regard noir de colère.
-La ferme!
Ca montait, ça montait même sévère.
-Ton Cornelius van Damme, on va lui faire la peau!
Et sur ces mots, elle fit apparaître plusieurs clones qui foncèrent tout droit vers la réplique de Charis. Un petit plaquage dans les règles de l'art? Pourquoi pas s'ils en avaient le temps et si la réplique ne se transformait pas en eau. Mais il fallait au moins essayer parce qu'il fallait se débarasser de "ça" avant d'espérer pouvoir continuer.
L'Abeille s'attendait à voir River tenir une arme, ou des armes, mais pas à ce que ces armes soient une partie de sa propre personne. Enfin, personne... Tout est relatif. Le clone parvint à maîtriser l'une des armes, mais pas les deux. Edouard se jeta alors sur la gorge de River-plus-fantôme-parce-qu'on passe-pas-au-travers et le coup partit. Le clone fut touché en plein abdomen et l'Abeille cilla un instant, ayant peur de ressentir la douleur. Même si à l'entraînement elle avait réussi à passer au stade supérieur, elle avait quand même un peu peur... Pour rien! Elle ne ressentit rien et soupira de soulagement. Soulagement de courte durée car la vague, qui semblait être bel et bien une vague et pas une illusion fonçait à présent vers le groupe en descendant la rue.
Oh, oh...
*On fait quoi? ON FAIT QUOI?! Non parce que nager, d'accord, mais là...*
Et hop : Elle fut tirée par le col et ramenée sur la gauche près d'une rambarde où elle pouvait à présent s'accrocher. Elle tourna le tête et vit que Yanis était l'auteur de ce sauvetage in extremis et qu'en plus, il avait aussi ramené Jolène près de la rambarde. Du coup, quand la vague frappa, ils ne furent pas emportés. Ils furent juste secoués par la vitesse et la pression de l'eau. La vague passée, il restait une dizaine de centimètres d'eau au sol et l'Abeille se redressa : Elle était trempée, mais au moins, elle était toujours là, et entière. Une forme émergea alors de l'eau et l'Abeille observa le phénomène : Ca devait être un élémentaire d'eau, comme sa belle.
Lucas leur ordonna d'aller se planquer dans un endroit au sec juste avant de foncer sur la forme qui se solidifiait de plus en plus. L'Abeille ne bougea cependant pas : Avant d'entrer dans le village, ils avaient décidé de ne jamais laisser quelqu'un seul et même si Lucas était le leader, hors de question de le laisser. Quand Lucas heurta la créature, elle fut dispersée aux alentours mais l'Abeille ne s'attarda pas là-dessus parce qu'une silhouette venait d'apparaître, et cette silhouette, elle la connaissait. Oh oui, elle la connaissait même très bien. Née des gouttes d'eau, Charis se tenait là. Le coeur de l'Abeille s'emballa et pendant une brève seconde, elle eut envie de courir vers elle, de la serrer dans ses bras, de l'embrasser. Pendant cette seconde, l'Abeille ne pensa pas à une réplique, trop heureuse de voir celle qu'elle aimait devant elle. Mais quand Charis ouvrit la bouche pour leur parler d'une voix glaciale, l'Abeille se reprit et remit toutes ses idées en place : Jamais Charis n'aurait parlé de cette façon, et ce regard... Non, ce n'était pas le regard de celle qu'elle aimait. Soudainement, une vague de colère submergea l'Abeille : Elle ne supportait pas de savoir que les ennemis utilisaient l'apparence de Charis. Elle jeta à la réplique un regard noir de colère.
-La ferme!
Ca montait, ça montait même sévère.
-Ton Cornelius van Damme, on va lui faire la peau!
Et sur ces mots, elle fit apparaître plusieurs clones qui foncèrent tout droit vers la réplique de Charis. Un petit plaquage dans les règles de l'art? Pourquoi pas s'ils en avaient le temps et si la réplique ne se transformait pas en eau. Mais il fallait au moins essayer parce qu'il fallait se débarasser de "ça" avant d'espérer pouvoir continuer.
- Jolène FerjaultLeX
- Age : 31
Equipe : Lex
Nom de code : Nerve
Date d'inscription : 03/02/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Ven 30 Avr 2010 - 23:23
C'était un fantôme? Ou plus certainement une illusion ou quelque chose dans le genre. Elle ne savait pas trop ce qu'elle aurait préféré des deux solutions. En tout cas, cette...chose...n'était pas saine. Sa façon de parler, ses expressions, ses gestes, tout lui semblait menaçant, surtout ce qu'elle trafiquait avec ses mains. Et il y avait ce bruit de fond qui semblait se rapprocher de plus en plus. Jolène n'eut pas l'occasion de se poser plus de questions que cela, Abaigh envoya un de ses clones sur la dénommée River, la forçant à montrer ses mains, devenues maintenant des armes. Quelques secondes après l'assaut d'Abaigh, Edouard la suivi, des crocs à la place des dents, tranchant la gorge de la jeune femme qui tira en plein dans le ventre d'Abaigh, enfin de son clone. Voyant cela, Jolène ne put s'empêcher de marquer un temps d'arrêt. Elle savait bien que ce n'était pas la vraie mais...la voir se faire trouer le flanc de cette manière était plus que déstabilisant pour l'écossaise. Finalement Animus vint à bout de ce qui était en réalité un robot.
Jo' nota enfin la vague qui arrivait vers eux lorsqu'elle se sentit tirée en arrière par Cobalt qui les mettait, elle et Abaigh, à l'abri de l'eau, près d'un endroit où ils pourraient s'accrocher. Finalement trempés par l''eau, elle fit un signe de tête rapide à Yanis pour le remercier.
*Il n'aurait pas dût être avec les Justix?*
Elle oublia bien vite ces préoccupations déplacées pour se concentrer sur ce qui semblait être une femme aquatique sortie de la vague. Le point positif c'est qu'au moins Jolène était sure qu'il ne s'agissait pas d'un robot...le point négatif c'est que les deux propositions restantes, un véritable élémentaire d'eau ou une illusion, ne l'enchantaient pas beaucoup plus.
Rock réagit au quart de tour, fonçant sur la créature, la dispersant complétement. Il avait raison, si ils se trouvaient dans un lieu moins humide, la chose serait moins puissante. La dite chose se reconstitua rapidement, prenant l'apparence d'une des élèves de l'institut. Ainsi ils allaient tous y passer. Qui aurait le droit à la prochaine transformation? Edouard? Kanata? Elle? C'était pas franchement le moment d'y réfléchir. Pour le moment ils devaient s'occuper du truc qui se trouvait en face d'elle, truc dont les paroles l'énervaient au plus haut point. Elle voulait la faire taire. Occultant sa raison qui lui disait que contre de l'eau elle ne pourrait pas faire grand chose, elle fonça sur la créature, main ouverte, prête à lancer une décharge de pouvoir sur ce qui servait de figure à la chose en face d'elle. Elle ne devait avoir aucun muscle mais si jamais son pouvoir pouvait lui permettre d'engourdir son visage pour qu'elle se taise...juste qu'elle la ferme et arrête le tir. C'était l'unique chose qu'elle souhaitait en ce moment.
Jo' nota enfin la vague qui arrivait vers eux lorsqu'elle se sentit tirée en arrière par Cobalt qui les mettait, elle et Abaigh, à l'abri de l'eau, près d'un endroit où ils pourraient s'accrocher. Finalement trempés par l''eau, elle fit un signe de tête rapide à Yanis pour le remercier.
*Il n'aurait pas dût être avec les Justix?*
Elle oublia bien vite ces préoccupations déplacées pour se concentrer sur ce qui semblait être une femme aquatique sortie de la vague. Le point positif c'est qu'au moins Jolène était sure qu'il ne s'agissait pas d'un robot...le point négatif c'est que les deux propositions restantes, un véritable élémentaire d'eau ou une illusion, ne l'enchantaient pas beaucoup plus.
Rock réagit au quart de tour, fonçant sur la créature, la dispersant complétement. Il avait raison, si ils se trouvaient dans un lieu moins humide, la chose serait moins puissante. La dite chose se reconstitua rapidement, prenant l'apparence d'une des élèves de l'institut. Ainsi ils allaient tous y passer. Qui aurait le droit à la prochaine transformation? Edouard? Kanata? Elle? C'était pas franchement le moment d'y réfléchir. Pour le moment ils devaient s'occuper du truc qui se trouvait en face d'elle, truc dont les paroles l'énervaient au plus haut point. Elle voulait la faire taire. Occultant sa raison qui lui disait que contre de l'eau elle ne pourrait pas faire grand chose, elle fonça sur la créature, main ouverte, prête à lancer une décharge de pouvoir sur ce qui servait de figure à la chose en face d'elle. Elle ne devait avoir aucun muscle mais si jamais son pouvoir pouvait lui permettre d'engourdir son visage pour qu'elle se taise...juste qu'elle la ferme et arrête le tir. C'était l'unique chose qu'elle souhaitait en ce moment.
- InvitéInvité
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Sam 1 Mai 2010 - 12:33
Les cheveux plaqués par la déferlante, Yanis se redressa finalement et se passa une main sur le visage pour dégager sa vision. Ce n'était pas une illusion en fin de compte. Il y avait bien un fac-similé de Charis devant eux. Et la blonde qui s'était adressée directement à Lucas quelques instants plus tôt. L'Algérien se demandait comment ces robots avaient pu avoir accès à des informations aussi personnelles que l'identité de cette élève morte il y avait presque un an de cela et sa relation avec Rock. Quel que soit le moyen utilisé, il s'agissait d'une intrusion, psychique ou physique, mais une intrusion à l'Institut, le nano-mutant ne voyait que cette hypothèse plutôt préoccupante.
Les deux robots ralentissaient considérablement leur progression, en plus de les mettre en danger et de les destabiliser. L'alerte était donnée, puisque la fausse Charis était arrivée de derrière l'église. Ils perdaient un temps précieux durant lequel le trio de criminels risquait de prendre tranquillement la tangente.
Cobalt n'avait pas l'intention de laisser les faire en toute impunité. Ces hommes devaient passer en procès. L'Algérien s'éloigna un peu du coeur des hostilités en faisant quelques pas dans la rue montant vers l'église, et se concentra pour assembler son oeil gauche et un capteur thermographique. Ainsi, il pourrait balayer le secteur, dissocier les machines et les illusions, et débusquer leurs cibles.
Les deux robots ralentissaient considérablement leur progression, en plus de les mettre en danger et de les destabiliser. L'alerte était donnée, puisque la fausse Charis était arrivée de derrière l'église. Ils perdaient un temps précieux durant lequel le trio de criminels risquait de prendre tranquillement la tangente.
Cobalt n'avait pas l'intention de laisser les faire en toute impunité. Ces hommes devaient passer en procès. L'Algérien s'éloigna un peu du coeur des hostilités en faisant quelques pas dans la rue montant vers l'église, et se concentra pour assembler son oeil gauche et un capteur thermographique. Ainsi, il pourrait balayer le secteur, dissocier les machines et les illusions, et débusquer leurs cibles.
- Kanata YunLeX
- Age : 33
Date d'inscription : 04/07/2009
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 3 Mai 2010 - 1:14
Salopris ! Il avait été à un poil de se faire tremper les pattes ! Ca venait d'où ce raz de marée ? Une illusion ou autre chose ? En voyant la tronche des autres, on en doutait limite. A moins que le Yun les voit mouillés parce que c'était la suite logique pour son esprit ? Bref, bizarre.
Surtout l'élémentaire d'eau qui dansait au milieu de tout ça. Heureusement, un plaquage made in Rock lui remit les gouttes en place ! C'était une Charis version vilaine mais toujours belle qui leur adressait la parole un peu énervée. Ils connaissaient leurs craintes et leurs espérances ? Ha ha... Comment pouvait-on faiblir quand on n'avait peur de rien et qu'on n'avait plus aucune espérance en ce monde ?
Kanata se releva alors qu'Abaigh 1, 2, 3 et d'autres foutaient une beigne au clone de sa tendre. Son couteau toujours en main, il leva les bras en l'air et se transforma en ce fameux Van Damme. Il commença à l'appeler. " Cornelius ! Je suis toi ! Je suis ta propre mort et tu vas te prendre un couteau dans la gueule. Ta fin est arrivée, t'es mourant ! Tu vas crever ! " Et sans plus de cérémonie, il commença à monter le chemin de l'église aux côtés de Cobalt.
Utiliser des visages connus pour les faire fuir, ça l'avait enragé. Surtout celui de Smith. Ils s'étaient débarrassés de Lange & Manners, et leurs prochaines cibles, c'étaient ces parasites qui se regroupaient en espérant finir leur vie calmement... Mais c'était trop tard. Cromwell, Van Damme et Renn allaient se faire défoncer.
Cornelius-Kanata serait l'assassin de Cornelius-Cornelius ! Et se faire tuer par soi-même, c'était quand même classe à faire en tant que vengeur.
Surtout l'élémentaire d'eau qui dansait au milieu de tout ça. Heureusement, un plaquage made in Rock lui remit les gouttes en place ! C'était une Charis version vilaine mais toujours belle qui leur adressait la parole un peu énervée. Ils connaissaient leurs craintes et leurs espérances ? Ha ha... Comment pouvait-on faiblir quand on n'avait peur de rien et qu'on n'avait plus aucune espérance en ce monde ?
Kanata se releva alors qu'Abaigh 1, 2, 3 et d'autres foutaient une beigne au clone de sa tendre. Son couteau toujours en main, il leva les bras en l'air et se transforma en ce fameux Van Damme. Il commença à l'appeler. " Cornelius ! Je suis toi ! Je suis ta propre mort et tu vas te prendre un couteau dans la gueule. Ta fin est arrivée, t'es mourant ! Tu vas crever ! " Et sans plus de cérémonie, il commença à monter le chemin de l'église aux côtés de Cobalt.
Utiliser des visages connus pour les faire fuir, ça l'avait enragé. Surtout celui de Smith. Ils s'étaient débarrassés de Lange & Manners, et leurs prochaines cibles, c'étaient ces parasites qui se regroupaient en espérant finir leur vie calmement... Mais c'était trop tard. Cromwell, Van Damme et Renn allaient se faire défoncer.
Cornelius-Kanata serait l'assassin de Cornelius-Cornelius ! Et se faire tuer par soi-même, c'était quand même classe à faire en tant que vengeur.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
- Age : 45
Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 3 Mai 2010 - 10:41
Simili-cheval bipède, Edouard déguerpit juste avant que l'explosive robot River ne lui pète à la gueule, laissant un cratère fumant en lieu et place de sa plastique mécanique.
Il alla se positionner non loin des quatre Abaigh qui maintenaient pieds et poings au sol l'élémentaire d'eau. Cette dernière tempêtait, pestait, crachait, fulminait... Sa colère allait être homérique et sa fureur sans fin... Heureusement, Jolène en posant ses mains sur le doux front de "Charis" fit bon usage de son pouvoir : la tête de cette dernière partit en tout sens et, finissant par se cogner à même le sol s'assomma elle-même...
Ce qu'Abaigh tenait entre les mains n'étaient plus qu'une jeune fille particulièrement laide et rondouillarde : rien à voir avec sa chère et tendre, il s'agissait bien d'une copie... De chair et de sang mais d'une copie !
Les capteurs de Yanis travaillèrent plein pot : il repéra un certain nombre de robots dont les restes de River Smith et une petite machine roulant près du parvis. Il y avait également pas mal d'organismes vivants dans la zone : la fausse Charis bien sur, mais aussi un certain nombre de personnes dans les "habitations".
Il en repéra deux types : d'une part deux individus, chacun au rez-de-chaussée de deux habitations situées à sa gauche. Ils étaient assis et ne bougeaient pas. Ils semblaient tous deux être juste à côté d'une grosse machine, façon ordinateur de haute technologie ; d'autre part, Yanis identifia deux trios situés eux aussi dans deux habitations, cette fois situées à sa droite. Chacun des trios était composé d'individus assis en tailleur et ne faisant également aucun mouvement.
Arrivés sur la place de l'église, Yanis et Kanata purent avoir un visuel du robot précédemment détecté. Il s'agissait d'une machine de guerre. Celle-ci roula quelque peu en leur direction avant de s'arrêter. La voix mécanique du robot retentit.
"Demande confirmation visuelle à centre de commande : Cornelius van Damme en vue accompagné d'un assaillant. Directive première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
Les canons étaient pointés sur Kanata et Yanis mais la créature mécanique ne semblait pas résolu à tirer...
[en bleu les robots détectés par Yanis, en rouge les humains]
Il alla se positionner non loin des quatre Abaigh qui maintenaient pieds et poings au sol l'élémentaire d'eau. Cette dernière tempêtait, pestait, crachait, fulminait... Sa colère allait être homérique et sa fureur sans fin... Heureusement, Jolène en posant ses mains sur le doux front de "Charis" fit bon usage de son pouvoir : la tête de cette dernière partit en tout sens et, finissant par se cogner à même le sol s'assomma elle-même...
Ce qu'Abaigh tenait entre les mains n'étaient plus qu'une jeune fille particulièrement laide et rondouillarde : rien à voir avec sa chère et tendre, il s'agissait bien d'une copie... De chair et de sang mais d'une copie !
Les capteurs de Yanis travaillèrent plein pot : il repéra un certain nombre de robots dont les restes de River Smith et une petite machine roulant près du parvis. Il y avait également pas mal d'organismes vivants dans la zone : la fausse Charis bien sur, mais aussi un certain nombre de personnes dans les "habitations".
Il en repéra deux types : d'une part deux individus, chacun au rez-de-chaussée de deux habitations situées à sa gauche. Ils étaient assis et ne bougeaient pas. Ils semblaient tous deux être juste à côté d'une grosse machine, façon ordinateur de haute technologie ; d'autre part, Yanis identifia deux trios situés eux aussi dans deux habitations, cette fois situées à sa droite. Chacun des trios était composé d'individus assis en tailleur et ne faisant également aucun mouvement.
Arrivés sur la place de l'église, Yanis et Kanata purent avoir un visuel du robot précédemment détecté. Il s'agissait d'une machine de guerre. Celle-ci roula quelque peu en leur direction avant de s'arrêter. La voix mécanique du robot retentit.
"Demande confirmation visuelle à centre de commande : Cornelius van Damme en vue accompagné d'un assaillant. Directive première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
Les canons étaient pointés sur Kanata et Yanis mais la créature mécanique ne semblait pas résolu à tirer...
[en bleu les robots détectés par Yanis, en rouge les humains]
- Lucas ShaamLeX
- Age : 35
Equipe : LeX
Nom de code : Rock
Date d'inscription : 12/10/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mer 5 Mai 2010 - 15:56
Mince, il venait d’exploser une simili-Charis ! Mince alors, il espérait qu’Abaigh ne lui en voudrait pas, même si ça n’était pas la vraie. D’ailleurs, elle changea complètement de tête (et de corps !) lorsqu’elle finit par se faire mettre KO par les clones de l’abeille en question, qui n’en voudrait visiblement pas trop à Lucas. Mais la mission continuait, et était même loin d’être terminée : tout ça sonnait assez faux, dans ce village, et il craignait sans oser se l’avouer à lui-même, et encore moins aux autres, de voir débarquer une Cassandre démoniaque prête à les dézinguer sans préavis. Il serait mal barre, qu’ils s’en sortent ou pas : S’ils se faisaient battre, ben… ils se faisaient battre, et c’était un mal nettement autosuffisant, mais s’ils parvenaient à la vaincre, tous les LeX seraient au courant de sa passion inavouée pour la psychologue de l’institut, et il devrait rendre des comptes à pas mal de monde…
Enfin bon, malgré cette angoisse inconsciente, il fallait poursuivre : Yanis et Kanata-Protagoras s’étaient avancés jusqu’à l’église, et semblaient en proie à un ennemi semi-pacifique : un robot destructeur qui semblait ne pas différencier Kanata de la copie qu’il imittait, et qui attendait les ordres de ce dernier pour réduire Yanis en charpie. Le Yun et l’homme-robot s’en sortiraient sans problème contre ce mini-tank mitrailleur.
Derrière lui, la fausse Charis était désormais assommée, et le robot-River complètement explosé. Ceux-là ne poseraient plus de soucis, désormais. Par prudence, il héla tout de même Fiain :
« Abaigh, laisse un de des clones à proximité de l’assommée, au cas où elle se réveille… Les autres, on ferait mieux d’avancer ! »
Il se tourna alors vers l’église et commença à avancer, tout en prenant garde de ne pas entrer dans la ligne de mire du robot mitrailleur. Ce qu’il voulait, c’était pénétrer dans une des maisons adjacente, celle sur sa gauche, juste avant le parvis de l’église, par exemple.
Ainsi, il se posta devant la porte, et posa ses mains diamantées dessus afin de l’enfoncer tout bonnement en poussant un coup sec afin de déboiter cette huche de ses gonds.
Il espérait qu’Abaigh, Édouard et Jolène le suivent dans cette entreprise… Il voulait voir ce que cachaient ces baraquements…
La porte vola en éclats et laissa apparaître une pièce unique et sombre. En son centre se tenait un homme qui marmonnait, assis derrière un ordinateur. Des fils semblaient relier sa tête à la machine. Il ne réagit pas à l'intrusion de Lucas. En fait, il ne semblait réagir à rien et se contentait de parler dans le vide :
"...première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
Enfin bon, malgré cette angoisse inconsciente, il fallait poursuivre : Yanis et Kanata-Protagoras s’étaient avancés jusqu’à l’église, et semblaient en proie à un ennemi semi-pacifique : un robot destructeur qui semblait ne pas différencier Kanata de la copie qu’il imittait, et qui attendait les ordres de ce dernier pour réduire Yanis en charpie. Le Yun et l’homme-robot s’en sortiraient sans problème contre ce mini-tank mitrailleur.
Derrière lui, la fausse Charis était désormais assommée, et le robot-River complètement explosé. Ceux-là ne poseraient plus de soucis, désormais. Par prudence, il héla tout de même Fiain :
« Abaigh, laisse un de des clones à proximité de l’assommée, au cas où elle se réveille… Les autres, on ferait mieux d’avancer ! »
Il se tourna alors vers l’église et commença à avancer, tout en prenant garde de ne pas entrer dans la ligne de mire du robot mitrailleur. Ce qu’il voulait, c’était pénétrer dans une des maisons adjacente, celle sur sa gauche, juste avant le parvis de l’église, par exemple.
Ainsi, il se posta devant la porte, et posa ses mains diamantées dessus afin de l’enfoncer tout bonnement en poussant un coup sec afin de déboiter cette huche de ses gonds.
Il espérait qu’Abaigh, Édouard et Jolène le suivent dans cette entreprise… Il voulait voir ce que cachaient ces baraquements…
La porte vola en éclats et laissa apparaître une pièce unique et sombre. En son centre se tenait un homme qui marmonnait, assis derrière un ordinateur. Des fils semblaient relier sa tête à la machine. Il ne réagit pas à l'intrusion de Lucas. En fait, il ne semblait réagir à rien et se contentait de parler dans le vide :
"...première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
- Edouard LeblancJustiX
- Age : 33
Nom de code : Animus
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Ven 7 Mai 2010 - 18:59
Edouard avait observé l'élémentaire reprendre forme... plutôt laide, et s'était retourné vers Lucas pour attendre une autre directive. Ce dernier longeant le bâtiment, Edouard entend le robot se déplacer et fait comme Lucas pour se garder hors de portée.
Le robot commence à parler et la porte vole en éclat. Edouard en profite pour entrer accroupis derrière Lucas et se place à ses côtés. Il observe rapidement l'homme, les câbles, puis l'ordinateur.
"...première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
Edouard tourne la tête sur sa droite, perplexe. Il regarde Rock et dit à son attention.
- On le déconnecte ou on bousille l'ordinateur ? Tu crois qu'on peut s'en servir à sa place ?
Edouard s'avança vers l'homme, prêt à tirer sur les câbles. Il allait laisser Rock détruire l'ordinateur si c'est ce qu'il entendait faire.
Le robot commence à parler et la porte vole en éclat. Edouard en profite pour entrer accroupis derrière Lucas et se place à ses côtés. Il observe rapidement l'homme, les câbles, puis l'ordinateur.
"...première en opposition avec directive seconde. Demande instructions"
Edouard tourne la tête sur sa droite, perplexe. Il regarde Rock et dit à son attention.
- On le déconnecte ou on bousille l'ordinateur ? Tu crois qu'on peut s'en servir à sa place ?
Edouard s'avança vers l'homme, prêt à tirer sur les câbles. Il allait laisser Rock détruire l'ordinateur si c'est ce qu'il entendait faire.
- Jolène FerjaultLeX
- Age : 31
Equipe : Lex
Nom de code : Nerve
Date d'inscription : 03/02/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Sam 8 Mai 2010 - 15:36
"Charis" était maintenant hors-d'état de nuire. D'ailleurs elle n'avait plus grand chose à voir avec la jeune fille maintenant qu'elle avait repris sa forme initiale. Jolène poussa un soupir de soulagement. Agir sans réfléchir pouvait avoir du bon parfois. C'était une entrave de moins dans leur progression, ils allaient pouvoir passer à la suite. Maintenant elle se demandait qui allait être la prochaine victime d'une de leur mauvaise farce vu que Rock et Abaigh y était déjà passé, prête à tenter d'arrêter n'importe qui qui n'aurait pas dû être là pour qu'ils puissent continuer.
En regardant vers l'Eglise, elle nota que Kanata, maintenant transformé en l'homme qu'ils devaient chasser, et Yanis se trouvaient face à une sorte de mini-robot armé. Le point positif était que si il ne s'était encore rien passé on pouvait espérer qu'il n'arrive rien de plus. C'était surement le genre de bout de ferraille qui pouvait donner l'alerte d'un moment à un autre, mieux valait ne pas trop l'affoler. POur l'instant ils n'étaient tombés que sur des ennemis solitaires, ils s'en sortiraient surement moins bien face à plusieurs en même temps.
Rock s'avança vers la maison de gauche située proche de l'église et l'ouvrit violemment après avoir suggéré à Abaigh de laisser un de ses clones. Précaution qui semblait nécessaire dans cette ville où la moindre goutte d'eau cherche à vous tuer. Elle se rapprocha discrètement pour ne pas se faire voir du robot. Un homme branché à un ordinateur...Elle estima que les deux hommes forts du groupe arriveraient sans problèmes à s'occuper de lui si ils le considéraient comme gênant.
Ceci dit, Rock voulait certainement fouiller les maisons une part une, au cas où le rat se trouverait à l'intérieur de l'une d'entre elle. Après avoir fait quelques signes à ses camarades elle se dirigea vers la maison d'en face.
Jolène s'approcha de la porte de la maison et colla son oreille contre la porte, au cas où elle pourrait entendre quelque chose de bizarre qui pourrait lui indiquer un danger important, on était jamais trop prudent.
Une fois vérifié que tout était à peu près normal au premier abord elle appuya sur la poignée pour ouvrir la porte le plus violament possible, n'ayant pas les capacités de Rock elle espérait qu'il n'y aurait pas de verrou.
En écoutant à la porte, Jolène ne put percevoir que des murmures indistincts : comme si plusieurs individus étaient en train de marmonner une drôle de chanson... à mi chemin entre un chant religieux et une comptine pour enfants. C'était étrange.
Utilisant son épaule en guise de bélier, la jeune mutante dut s'y reprendre à deux fois avant de réaliser que la porte n'était pas verrouillée et de pouvoir pénétrer dans l'habitation.
Elle découvrit une pièce nue dans laquelle se trouvaient trois hommes en soutane blanche. Ils marmonnaient des paroles incompréhensibles et ne firent pas la moindre attention à Jolène... Pourtant, quelque chose dans leurs paroles troubla la jeune fille. Sa vision se brouilla et elle se sentit vaciller sur ses pieds.
Quand la mutante reprit ses esprits, elle était toujours au même endroit en compagnie des mêmes personnes... Sauf que... La porte qu'elle avait emprunté avait disparu et...
Devant elle se trouvait un long couloir éclairé par une lumière qui n'était pas celle du jour ! Tout au fond, une ouverture sombre : quelque chose d'angoissant se trouvait tapi au bout, Jolène le savait, même si elle ignorait d'où elle tenait ça...
En regardant vers l'Eglise, elle nota que Kanata, maintenant transformé en l'homme qu'ils devaient chasser, et Yanis se trouvaient face à une sorte de mini-robot armé. Le point positif était que si il ne s'était encore rien passé on pouvait espérer qu'il n'arrive rien de plus. C'était surement le genre de bout de ferraille qui pouvait donner l'alerte d'un moment à un autre, mieux valait ne pas trop l'affoler. POur l'instant ils n'étaient tombés que sur des ennemis solitaires, ils s'en sortiraient surement moins bien face à plusieurs en même temps.
Rock s'avança vers la maison de gauche située proche de l'église et l'ouvrit violemment après avoir suggéré à Abaigh de laisser un de ses clones. Précaution qui semblait nécessaire dans cette ville où la moindre goutte d'eau cherche à vous tuer. Elle se rapprocha discrètement pour ne pas se faire voir du robot. Un homme branché à un ordinateur...Elle estima que les deux hommes forts du groupe arriveraient sans problèmes à s'occuper de lui si ils le considéraient comme gênant.
Ceci dit, Rock voulait certainement fouiller les maisons une part une, au cas où le rat se trouverait à l'intérieur de l'une d'entre elle. Après avoir fait quelques signes à ses camarades elle se dirigea vers la maison d'en face.
Jolène s'approcha de la porte de la maison et colla son oreille contre la porte, au cas où elle pourrait entendre quelque chose de bizarre qui pourrait lui indiquer un danger important, on était jamais trop prudent.
Une fois vérifié que tout était à peu près normal au premier abord elle appuya sur la poignée pour ouvrir la porte le plus violament possible, n'ayant pas les capacités de Rock elle espérait qu'il n'y aurait pas de verrou.
En écoutant à la porte, Jolène ne put percevoir que des murmures indistincts : comme si plusieurs individus étaient en train de marmonner une drôle de chanson... à mi chemin entre un chant religieux et une comptine pour enfants. C'était étrange.
Utilisant son épaule en guise de bélier, la jeune mutante dut s'y reprendre à deux fois avant de réaliser que la porte n'était pas verrouillée et de pouvoir pénétrer dans l'habitation.
Elle découvrit une pièce nue dans laquelle se trouvaient trois hommes en soutane blanche. Ils marmonnaient des paroles incompréhensibles et ne firent pas la moindre attention à Jolène... Pourtant, quelque chose dans leurs paroles troubla la jeune fille. Sa vision se brouilla et elle se sentit vaciller sur ses pieds.
Quand la mutante reprit ses esprits, elle était toujours au même endroit en compagnie des mêmes personnes... Sauf que... La porte qu'elle avait emprunté avait disparu et...
Devant elle se trouvait un long couloir éclairé par une lumière qui n'était pas celle du jour ! Tout au fond, une ouverture sombre : quelque chose d'angoissant se trouvait tapi au bout, Jolène le savait, même si elle ignorait d'où elle tenait ça...
- Kanata YunLeX
- Age : 33
Date d'inscription : 04/07/2009
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Dim 9 Mai 2010 - 1:49
Ho putain ! Une mitraillette sur chenilles les regardait droits les yeux avec son canon ! Là il était content d'être Van Damme. Le robot savait même pas quoi faire. Il demandait confirmation de devoir tirer. Il fallait agir rapidement avant qu'il soit sûr de devoir le faire, c'était évident. Si la machine le prenait pour le vrai Van Damme, c'était peut être l'occasion de continuer.
Kanata Damme se transforma en Kanata Renn et ordonna alors à la machine " Détruit la porte de l'église pour moi. " en se détachant un peu de Yanis histoire d'éviter qu'eux deux se fassent shooter d'un coup, au cas où.
Les robots, c'était Max Renn. Donc normalement la machine l'écouterait. Normalement.
La machine à roulette parut interloqué l'espace d'un instant... Elle émit un drôle de vrombissement avant d'orienter son canon directement sur Kanata.
"Demande confirmation à centre de commande pour extermination individu métamorphe"
Kanata Damme se transforma en Kanata Renn et ordonna alors à la machine " Détruit la porte de l'église pour moi. " en se détachant un peu de Yanis histoire d'éviter qu'eux deux se fassent shooter d'un coup, au cas où.
Les robots, c'était Max Renn. Donc normalement la machine l'écouterait. Normalement.
La machine à roulette parut interloqué l'espace d'un instant... Elle émit un drôle de vrombissement avant d'orienter son canon directement sur Kanata.
"Demande confirmation à centre de commande pour extermination individu métamorphe"
- InvitéInvité
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Lun 10 Mai 2010 - 20:10
Le capteur de Yanis fonctionnait comme prévu. Enhardi par cet essai transformé, l'Algérien était arrivé sur la place de l'église et repérait maintenant les lieux de son oeil humain, son oeil gauche n'étant plus qu'une cavité d'un bleu miroitant.
Le reste du groupe devait s'en sortir, puisqu'il n'avait reçu pour l'instant aucun appel à l'aide. Seul Kanata s'était aventuré à ses côtés.
Le robot avait immédiatement assimilé Yanis à un ennemi malgré son oeil cybernétique. Ca commençait mal. L'accueil de la colonie pénitentiaire était déjà plus chaleureux à son égard que ce bled sans nom.
Lorsque la machine braqua ses canons vers Kanata, Yanis s'accroupit derrière le muret encadrant l'escalier de l'église.
"A couvert." lança-t-il platement de sa voix de synthèse à son partenaire du moment.
Sur ces mots, il tendit sa main gauche par-dessus le muret, visa la machine et tenta de lui asséner une décharge électrique pour créer une sur-tension ou un court-circuit.
Le reste du groupe devait s'en sortir, puisqu'il n'avait reçu pour l'instant aucun appel à l'aide. Seul Kanata s'était aventuré à ses côtés.
Le robot avait immédiatement assimilé Yanis à un ennemi malgré son oeil cybernétique. Ca commençait mal. L'accueil de la colonie pénitentiaire était déjà plus chaleureux à son égard que ce bled sans nom.
Lorsque la machine braqua ses canons vers Kanata, Yanis s'accroupit derrière le muret encadrant l'escalier de l'église.
"A couvert." lança-t-il platement de sa voix de synthèse à son partenaire du moment.
Sur ces mots, il tendit sa main gauche par-dessus le muret, visa la machine et tenta de lui asséner une décharge électrique pour créer une sur-tension ou un court-circuit.
- Esther KofmanEthnopsychologue [LeX]
- Age : 45
Equipe : LeX
Nom de code : Aleph
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mer 12 Mai 2010 - 10:20
Abaigh avait rejoint Lucas et Edouard dans la petite maison, juste au moment où l'animorphe débranchait manu militari les câbles électriques qui reliaient la tête de l'inconnu à l'ordinateur.
L'homme tressaillit et sa tête partit sur le côté. Pourtant, il demeura silencieux.
L'examen de la pièce ne laissa voir rien de particulier. Sauf... Quelque part sur le plancher, dans un coin sombre de la salle poussiéreuse, il y avait... une trappe !
Alors que la machine allait pour faire feu sur Kanata / Renn, elle s'arrêta net. La rafale de Yanis vint percuter le robot immobile et vu les étincelles qui se dégageaient de la machine, nul doute qu'elle venait de subir un court-circuit fatal.
Le parvis de l'église était maintenant revenu à un calme absolu.
Jolène était toujours dans la salle avec les trois hommes. Ils avaient interrompu leurs chants. Et l'un d'eux sourit perversement à la jeune fille.
Une voix grave et grinçante retentit dans l'air. La jeune fille ne vit pas les lèvres des trois moines bouger : la voix venait d'ailleurs.
"Le millénaire approche. Les étoiles sont dans la bonne configuration. Azathoth t'appelle, Ô toi sa promise, pour que tu viennes t'installer à la droite de son trône céleste. Suis la route de la lumière pour être changée à jamais et le rejoindre au centre de l'univers"
Le long couloir semblait l'appeler. Jolène en eut des frissons.
L'homme tressaillit et sa tête partit sur le côté. Pourtant, il demeura silencieux.
L'examen de la pièce ne laissa voir rien de particulier. Sauf... Quelque part sur le plancher, dans un coin sombre de la salle poussiéreuse, il y avait... une trappe !
*
**
**
Alors que la machine allait pour faire feu sur Kanata / Renn, elle s'arrêta net. La rafale de Yanis vint percuter le robot immobile et vu les étincelles qui se dégageaient de la machine, nul doute qu'elle venait de subir un court-circuit fatal.
Le parvis de l'église était maintenant revenu à un calme absolu.
*
**
**
Jolène était toujours dans la salle avec les trois hommes. Ils avaient interrompu leurs chants. Et l'un d'eux sourit perversement à la jeune fille.
Une voix grave et grinçante retentit dans l'air. La jeune fille ne vit pas les lèvres des trois moines bouger : la voix venait d'ailleurs.
"Le millénaire approche. Les étoiles sont dans la bonne configuration. Azathoth t'appelle, Ô toi sa promise, pour que tu viennes t'installer à la droite de son trône céleste. Suis la route de la lumière pour être changée à jamais et le rejoindre au centre de l'univers"
Le long couloir semblait l'appeler. Jolène en eut des frissons.
- Lucas ShaamLeX
- Age : 35
Equipe : LeX
Nom de code : Rock
Date d'inscription : 12/10/2007
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Jeu 13 Mai 2010 - 11:32
La porte ne se révéla pas être d’une grande résistance, et rompit aussitôt sous le choc diamantin. La pièce où il arriva, et où Edouard et Abaigh le rejoignirent assez vite, était sombre et ne comportait que peu de choses : un ordinateur, un homme, et entre les deux, de nombreux fils les connectant visiblement l’un à l’autre via un casque étrange. Les paroles de l’homme ne faisaient aucun doute : il contrôlait un robot par la pensée : un esclave de Max Renn, à n’en pas douter par son état piteux. Il n’était sans doute pas là par volonté, et s’était sûrement fait laver le cerveau dans la colonie pénitentiaire. Edouard proposé de le débrancher, et Rock ne s’opposa pas à cette initiative. C’était en effet la solution qui correspondait sans doute le mieux à la situation. Lorsque l’étranger fut déconnecté de son ordinateur, sa tête tomba sur le côté, et il resta silencieux, inerte. La lobotomie qu’il avait sans doute subie était presque confirmée… Ce corps n’était plus qu’une coquille vide au service de Nemo…
Des autres membres des LeX, il n’avait pas beaucoup de nouvelles… Jolène ne les avait pas rejoints, et Kanata et Yanis étaient toujours face à ce robot mitrailleur, sans doute mis à mal par les pouvoirs conjugués des deux mutants. Esther non plus n’avait plus donné signe de vie depuis son écart pour ‘tentative de diversion’. Diversion qui n’avait visiblement pas été très remarquée, ou en tout cas dans ce quartier ci…
Pendant qu’Edouard débranchait l’homme, Lucas avait remarqué une trappe dissimulée dans l’ombre d’un coin de la pièce. Une cave ? Un passage ? Il n’y avait pas énormément de moyens de vérifier tout ça : il fallait s’y rendre, avec l’espoir de ne pas perdre un temps qui leur était précieux.
Mais avant tout, il devait s’assurer de la bonne survie de son équipe. En qualité de leader, bien sûr, mais aussi et surtout en qualité de compagnon inquiet du sort de ses congénères… Il brancha donc son communicateur sur la fréquence de tous les LeX, y compris Esther et Yanis, et leur parla.
« Allo ? Ici Rock, nous sommes dans une des maisons, et nous allons ouvrir une trappe pour en explorer le contenu. Pourriez-vous confirmer vos positions respectives ? »
Il espérait bien que sa consigne de ne laisser personne seul était respectée… Il ne voudrait pas qu’un d’eux tombe dans un piège indésirable sans aide potentielle à portée… Il coupa son communicateur et répondit à Edouard.
« Je ne sais pas si on peut utiliser ce casque. Ça me parait risqué, en fait, vu l’état du bonhomme. A moins que… »
Il se tourna vers sa coéquipière irlandaise.
« Fiain, branche le casque sur un de tes clones et vois ce que tu peux faire avec : vérifie ce que l’homme contrôlait, et vois si tu peux le contrôler également, voire accéder à d’autres contrôles sur d’éventuelles machines. »
Son job était fait, il pouvait donc se concentrer sur la trappe tapie dans l’ombre. Il s’avança vers elle et, une fois tout à côté, se pencha pour l’ouvrir, y mettant toute la force nécessaire si elle résistait. Il voulait voir ce qui se passait derrière cette porte au sol, et où elle menait…
Tandis qu'Abaigh était en train de se saisir du casque porté par l'homme pour le mettre à l'un de ses clones, Lucas ouvrit la trappe et descendit quelques marches d'un petit escalier. Rapidement, il se retrouva dans une drôle de pièce...
Les murs étaient recouverts de peintures décrivant des scènes abominables. Un homme, dans un coin, parut surpris de leur visite. Cet homme n'était pas un inconnu...
"Ainsi cette idiote d'Ève nous a trahi ? M. van Damme avait raison, une fois de plus. Quoi qu'il en soit mon atelier sera votre tombeau..." lança Max Renn, très sur de lui, en manipulant de sa main gauche l'un de ses gants. Quelque chose de noir et de liquide apparut au niveau de ses pieds et semblait remonter ses jambes en rampant.
"J'ai toujours eu envie d'essayer l'armure liquide de mon ami Arcade. Je crains que mes technologies ne s'arrêtent pas à la fabrication de quelques drones..."
Pendant que Renn semblait initier sa transformation, Lucas remarqua dans un autre coin de la pièce, la présence d'une jeune femme.
Prostrée sur une chaise, elle portait des gants noirs qui semblait mécaniques et de drôles de lunettes de soleil. Elle regardait un écran... Sur l'écran figurait le portrait d'une femme tourmentée.
Renn ricana.
"Ne faites pas attention à cette jeune fille. Nous lui téléchargeons la personnalité d'Efae Van Damme en elle. Vous avez de la chance : nous ne nous transformons pas tous les jours"
Des autres membres des LeX, il n’avait pas beaucoup de nouvelles… Jolène ne les avait pas rejoints, et Kanata et Yanis étaient toujours face à ce robot mitrailleur, sans doute mis à mal par les pouvoirs conjugués des deux mutants. Esther non plus n’avait plus donné signe de vie depuis son écart pour ‘tentative de diversion’. Diversion qui n’avait visiblement pas été très remarquée, ou en tout cas dans ce quartier ci…
Pendant qu’Edouard débranchait l’homme, Lucas avait remarqué une trappe dissimulée dans l’ombre d’un coin de la pièce. Une cave ? Un passage ? Il n’y avait pas énormément de moyens de vérifier tout ça : il fallait s’y rendre, avec l’espoir de ne pas perdre un temps qui leur était précieux.
Mais avant tout, il devait s’assurer de la bonne survie de son équipe. En qualité de leader, bien sûr, mais aussi et surtout en qualité de compagnon inquiet du sort de ses congénères… Il brancha donc son communicateur sur la fréquence de tous les LeX, y compris Esther et Yanis, et leur parla.
« Allo ? Ici Rock, nous sommes dans une des maisons, et nous allons ouvrir une trappe pour en explorer le contenu. Pourriez-vous confirmer vos positions respectives ? »
Il espérait bien que sa consigne de ne laisser personne seul était respectée… Il ne voudrait pas qu’un d’eux tombe dans un piège indésirable sans aide potentielle à portée… Il coupa son communicateur et répondit à Edouard.
« Je ne sais pas si on peut utiliser ce casque. Ça me parait risqué, en fait, vu l’état du bonhomme. A moins que… »
Il se tourna vers sa coéquipière irlandaise.
« Fiain, branche le casque sur un de tes clones et vois ce que tu peux faire avec : vérifie ce que l’homme contrôlait, et vois si tu peux le contrôler également, voire accéder à d’autres contrôles sur d’éventuelles machines. »
Son job était fait, il pouvait donc se concentrer sur la trappe tapie dans l’ombre. Il s’avança vers elle et, une fois tout à côté, se pencha pour l’ouvrir, y mettant toute la force nécessaire si elle résistait. Il voulait voir ce qui se passait derrière cette porte au sol, et où elle menait…
Tandis qu'Abaigh était en train de se saisir du casque porté par l'homme pour le mettre à l'un de ses clones, Lucas ouvrit la trappe et descendit quelques marches d'un petit escalier. Rapidement, il se retrouva dans une drôle de pièce...
Les murs étaient recouverts de peintures décrivant des scènes abominables. Un homme, dans un coin, parut surpris de leur visite. Cet homme n'était pas un inconnu...
"Ainsi cette idiote d'Ève nous a trahi ? M. van Damme avait raison, une fois de plus. Quoi qu'il en soit mon atelier sera votre tombeau..." lança Max Renn, très sur de lui, en manipulant de sa main gauche l'un de ses gants. Quelque chose de noir et de liquide apparut au niveau de ses pieds et semblait remonter ses jambes en rampant.
"J'ai toujours eu envie d'essayer l'armure liquide de mon ami Arcade. Je crains que mes technologies ne s'arrêtent pas à la fabrication de quelques drones..."
Pendant que Renn semblait initier sa transformation, Lucas remarqua dans un autre coin de la pièce, la présence d'une jeune femme.
Prostrée sur une chaise, elle portait des gants noirs qui semblait mécaniques et de drôles de lunettes de soleil. Elle regardait un écran... Sur l'écran figurait le portrait d'une femme tourmentée.
Renn ricana.
"Ne faites pas attention à cette jeune fille. Nous lui téléchargeons la personnalité d'Efae Van Damme en elle. Vous avez de la chance : nous ne nous transformons pas tous les jours"
- InvitéInvité
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Dim 16 Mai 2010 - 23:08
Lorsqu'il fut certain que la machine était hors circuit, Yanis se redressa. Il jeta un coup d'oeil vers Kanata pour s'assurer qu'il n'avait rien.
"Cobalt et Kitsune mobiles sur l'église. Terminé." répondit l'Algérien par communicateur à l'attention du reste de l'équipe.
Mieux valait s'assurer de ce que recelait ce gros tas de cailloux avant de lui tourner le dos. Analysant un moment l'imposante structure, il pensa alors que c'était sûrement le bâtiment le plus solide du village. De plus, il devait y faire relativement sombre.
Idéal donc, pour s'y cacher.
Il se retourna vers ladite église et darda son oeil cybernétique vers l'édifice afin de scanner les éventuelles présences à l'intérieur et d'informer son camarade de ses trouvailles.
Yanis après avoir transmis sa communication au reste de l'équipe fit un scan de l'église : comme il l'avait pressenti, la bâtisse était occupée. Deux signatures vivantes : l'une debout, à une vingtaine de mètre de sa position actuelle, l'autre assise un peu plus loin encore.
[Les cercles marrons figurent les positions des deux individus par rapport à l'église. Yanis et Kanata étant situé sur le parvis tout à gauche.]
"Cobalt et Kitsune mobiles sur l'église. Terminé." répondit l'Algérien par communicateur à l'attention du reste de l'équipe.
Mieux valait s'assurer de ce que recelait ce gros tas de cailloux avant de lui tourner le dos. Analysant un moment l'imposante structure, il pensa alors que c'était sûrement le bâtiment le plus solide du village. De plus, il devait y faire relativement sombre.
Idéal donc, pour s'y cacher.
Il se retourna vers ladite église et darda son oeil cybernétique vers l'édifice afin de scanner les éventuelles présences à l'intérieur et d'informer son camarade de ses trouvailles.
Yanis après avoir transmis sa communication au reste de l'équipe fit un scan de l'église : comme il l'avait pressenti, la bâtisse était occupée. Deux signatures vivantes : l'une debout, à une vingtaine de mètre de sa position actuelle, l'autre assise un peu plus loin encore.
[Les cercles marrons figurent les positions des deux individus par rapport à l'église. Yanis et Kanata étant situé sur le parvis tout à gauche.]
- Edouard LeblancJustiX
- Age : 33
Nom de code : Animus
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 18 Mai 2010 - 17:35
Et Edouard se tenait à côté de Rock en dévisageant la jeune fille pour tenter de la reconnaître. Il écoutait à peine Renn. Les morceaux se collaient dans sa tête. Il savait bien que le nom pouvait difficilement ne pas être en lien.
- Rock... j'ai déjà vu cette femme... il pointait l'écran. C'est la femme décédée de Van Damme...
Edouard se souvenait des paroles gravées sur la pierre d'EFAE.
"Une seule fausse note et l'alchimie sera faussée, tu te changeras en plomb et non en or !"
- On doit la sauver... faut couper le transfert !
Et Edouard observe autour, pour chercher un moyen de couper la transformation, aux aguets de ce que pourrait lui conseiller Rock.
- Rock... j'ai déjà vu cette femme... il pointait l'écran. C'est la femme décédée de Van Damme...
Edouard se souvenait des paroles gravées sur la pierre d'EFAE.
"Une seule fausse note et l'alchimie sera faussée, tu te changeras en plomb et non en or !"
- On doit la sauver... faut couper le transfert !
Et Edouard observe autour, pour chercher un moyen de couper la transformation, aux aguets de ce que pourrait lui conseiller Rock.
- Jolène FerjaultLeX
- Age : 31
Equipe : Lex
Nom de code : Nerve
Date d'inscription : 03/02/2010
Re: [JustiX + LeX 6.7.1] Combat d'amour dans le temps
Mar 18 Mai 2010 - 19:20
C'est bon la porte avait cédée. Même si elle avait dût s'y reprendre à plusieurs fois avant d'y arriver, et qu'elle était au final, déjà ouverte. Les murmures qu'elle avait entendus ne lui inspiraient rien de bon mais il fallait savoir ce qui pouvait se trouver dans la maison, elle ne souhaitait pas se faire attaquer dans le dos par une créature quelconque par manque de prudence.
Une fois dans la pièce, elle vit trois moines en bure. Ils ne semblaient pas dangereux mais leur mélopée lui intimait de rester prudente tout de même. Enfin bon, maintenant qu'elle avait vue ce qui se passait ici, elle pouvait aller rejoindre les aut...
Alors qu'elle allait sortir de la pièce, elle se sentit chanceler. Elle tenta de cherche quelque chose pour la retenir mais au bout de quelques secondes l'impression avait disparue. En rouvrant les yeux, elle remarqua que la porte avait disparue. Elle déglutit. Ou ces moines pouvaient modifier l'espace ou c'était une illusion. Elle avait l'impression de se retrouver dans une église gothique, ou quelque chose de ressemblant; un monastère peut-être? A part ce long couloir, elle n'avait nul part où aller mais elle sentait que quelque chose l'attendait, tapie dans l'ombre, et cette chose était mauvaise, elle ne savait. Elle ignorait d'où cette information provenait mais elle en était sûre et certaine.
Les chants s'étaient arrêtés. Les moines avaient l'air encore plus menaçants dans le silence pesant qui avait fait place aux murmures qui se trouvaient là avant. Une voix grondante brisa le mutisme qui avait prit place dans ces lieux. Cette voix était terrifiante mais elle se sentait attirée par elle, comme si ne pas la rejoindre aurait été la pire des choses à faire. Elle ne savait que faire pour se décider.
La voix de Rock dans le communicateur brisa ses indécisions. Pendant quelques secondes elle se rappela la mission et ce qu'ils devaient faire. Pendant quelques instants, puis elle lui répondit.
"Ici Nerve. Je suis dans la maison en face de la vôtre. Je crois qu'une illusion me bloque la porte mais...Continuez sans moi, je vais m'en sortir....la mission passe avant."
Puis elle s'arrêta. Il lui restait à ce décider ce qu'elle devait faire. Une partie d'elle lui disait de tout faire pour tenter de briser l'illusion, tandis que l'autre, celle attirée par la voix, lui disait qu'elle ne risquait rien à suivre les indications.
Elle devait tout de même tenter quelque chose. Elle posa ses deux mains sur ses yeux et leur lança une petite décharge, pour tenter de dissiper l'illusion visuelle par ce moyen. Elle avait à la fois envie que ce stratagème marche et rate. Elle inspira lentement et rouvrit les yeux. Si ça n'avait pas marché c'était dommage mais il ne lui restait pas d'autre solutions que de continuer tout droit.
L'espace d'un instant Jolène crut voir le couloir tel qu'il était réellement, c'est à dire sale, poussiéreux et mal éclairé. Puis l'illusion reprit ses droits...
Le corridor de lumière bifurquait sur la gauche. Une porte s'ouvrit au moment où elle posa le pied devant celle-ci. Une porte qui donnait sur...
... l'espace infini ! Devant elle, il n'y avait plus de sol, ni de notion de haut, de bas, de gauche ou de droite... Juste l'horreur de l'abime stellaire. Jolène ne reconnaissait ni constellation, ni étoile... C'était un territoire inconnu de l'homme et... Il était juste derrière cette porte.
Au centre (de l'univers ?) une masse protoplasmique flottait. Elle considérait la jeune mutante de sa myriade d'yeux. Et une voix, comme sortie de nulle part, tonna :
"Viens rejoindre ton promis, jeune humaine. Viens siéger au centre de toute chose en compagnie du Père-de-toutes-Choses, le Grand Azathoth"
Inutile de préciser que Jolène était terrifiée.
Une fois dans la pièce, elle vit trois moines en bure. Ils ne semblaient pas dangereux mais leur mélopée lui intimait de rester prudente tout de même. Enfin bon, maintenant qu'elle avait vue ce qui se passait ici, elle pouvait aller rejoindre les aut...
Alors qu'elle allait sortir de la pièce, elle se sentit chanceler. Elle tenta de cherche quelque chose pour la retenir mais au bout de quelques secondes l'impression avait disparue. En rouvrant les yeux, elle remarqua que la porte avait disparue. Elle déglutit. Ou ces moines pouvaient modifier l'espace ou c'était une illusion. Elle avait l'impression de se retrouver dans une église gothique, ou quelque chose de ressemblant; un monastère peut-être? A part ce long couloir, elle n'avait nul part où aller mais elle sentait que quelque chose l'attendait, tapie dans l'ombre, et cette chose était mauvaise, elle ne savait. Elle ignorait d'où cette information provenait mais elle en était sûre et certaine.
Les chants s'étaient arrêtés. Les moines avaient l'air encore plus menaçants dans le silence pesant qui avait fait place aux murmures qui se trouvaient là avant. Une voix grondante brisa le mutisme qui avait prit place dans ces lieux. Cette voix était terrifiante mais elle se sentait attirée par elle, comme si ne pas la rejoindre aurait été la pire des choses à faire. Elle ne savait que faire pour se décider.
La voix de Rock dans le communicateur brisa ses indécisions. Pendant quelques secondes elle se rappela la mission et ce qu'ils devaient faire. Pendant quelques instants, puis elle lui répondit.
"Ici Nerve. Je suis dans la maison en face de la vôtre. Je crois qu'une illusion me bloque la porte mais...Continuez sans moi, je vais m'en sortir....la mission passe avant."
Puis elle s'arrêta. Il lui restait à ce décider ce qu'elle devait faire. Une partie d'elle lui disait de tout faire pour tenter de briser l'illusion, tandis que l'autre, celle attirée par la voix, lui disait qu'elle ne risquait rien à suivre les indications.
Elle devait tout de même tenter quelque chose. Elle posa ses deux mains sur ses yeux et leur lança une petite décharge, pour tenter de dissiper l'illusion visuelle par ce moyen. Elle avait à la fois envie que ce stratagème marche et rate. Elle inspira lentement et rouvrit les yeux. Si ça n'avait pas marché c'était dommage mais il ne lui restait pas d'autre solutions que de continuer tout droit.
L'espace d'un instant Jolène crut voir le couloir tel qu'il était réellement, c'est à dire sale, poussiéreux et mal éclairé. Puis l'illusion reprit ses droits...
Le corridor de lumière bifurquait sur la gauche. Une porte s'ouvrit au moment où elle posa le pied devant celle-ci. Une porte qui donnait sur...
... l'espace infini ! Devant elle, il n'y avait plus de sol, ni de notion de haut, de bas, de gauche ou de droite... Juste l'horreur de l'abime stellaire. Jolène ne reconnaissait ni constellation, ni étoile... C'était un territoire inconnu de l'homme et... Il était juste derrière cette porte.
Au centre (de l'univers ?) une masse protoplasmique flottait. Elle considérait la jeune mutante de sa myriade d'yeux. Et une voix, comme sortie de nulle part, tonna :
"Viens rejoindre ton promis, jeune humaine. Viens siéger au centre de toute chose en compagnie du Père-de-toutes-Choses, le Grand Azathoth"
Inutile de préciser que Jolène était terrifiée.
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum