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- Le courtier temporelConscience collective
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Akira au camp Labrador
Lun 3 Juil 2006 - 16:34
Akira se réveilla quelques heures plus tard attaché par des chaînes à un mur. Il était également maintenu par le cou par une laisse et un collier métallique. Il ne ressemblait qu'à un vulgaire chien.
La même voix qu'il avait entendu un peu plus tôt dans le camion retentit de nouveau.
" Bonjour M. Hinomura. Bien dormi? Excusez nous pour la chambre, mais la suite nuptial est occupée. J'espère que cela vous conviendra, de toute façon vous feriez mieux de vous y habituer. Une dernière chose, nous savons que vous tirer votre pouvoir de l'eau, veillez a ne pas gaspillez votre salive. "
La même voix qu'il avait entendu un peu plus tôt dans le camion retentit de nouveau.
" Bonjour M. Hinomura. Bien dormi? Excusez nous pour la chambre, mais la suite nuptial est occupée. J'espère que cela vous conviendra, de toute façon vous feriez mieux de vous y habituer. Une dernière chose, nous savons que vous tirer votre pouvoir de l'eau, veillez a ne pas gaspillez votre salive. "
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Mar 4 Juil 2006 - 11:33
Akira crut percevoir une voix un peu mécanique, comme si elle provenait d'un interphone ou quelque chose dans ce genre...
Il se réendormi et se réveilla quelques heures plus tard une fois que les sédatifs eurent finis de faire effet.
Il était enchainé comme un chien, un collier métallique et une chaine au cou...
*Qu'est-ce que c'est que ce binz'??*
" Bonjour M. Hinomura. Bien dormi? Excusez nous pour la chambre, mais la suite nuptial est occupée. J'espère que cela vous conviendra, de toute façon vous feriez mieux de vous y habituer. Une dernière chose, nous savons que vous tirer votre pouvoir de l'eau, veillez a ne pas gaspillez votre salive. "
"Qui êtes vous et pourquoi me maintenir enchainé ici?? Et où allons-nous??"
Le jeune mutant avait des questions plein la tête et ne savait trop pas où commencer. Il se sentait affaibli...
*Foutues drogues...*
Il se réendormi et se réveilla quelques heures plus tard une fois que les sédatifs eurent finis de faire effet.
Il était enchainé comme un chien, un collier métallique et une chaine au cou...
*Qu'est-ce que c'est que ce binz'??*
" Bonjour M. Hinomura. Bien dormi? Excusez nous pour la chambre, mais la suite nuptial est occupée. J'espère que cela vous conviendra, de toute façon vous feriez mieux de vous y habituer. Une dernière chose, nous savons que vous tirer votre pouvoir de l'eau, veillez a ne pas gaspillez votre salive. "
"Qui êtes vous et pourquoi me maintenir enchainé ici?? Et où allons-nous??"
Le jeune mutant avait des questions plein la tête et ne savait trop pas où commencer. Il se sentait affaibli...
*Foutues drogues...*
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Ven 14 Juil 2006 - 16:07
L'interphone crépita à nouveau : un rire... froid, métallique, inhumain... Le genre de rire que seuls les savants fous démoniaques des films de James Bond sortent.
"Où allons-nous ? Demandez-vous plutôt où vous êtes... Vous êtes dans l'endroit sur Terre qui se rapproche le plus de l'enfer.
Je vois cela... Comme une répétition. Après tout, c'est la que le Seigneur enverra les abominations dans votre genre."
"Où allons-nous ? Demandez-vous plutôt où vous êtes... Vous êtes dans l'endroit sur Terre qui se rapproche le plus de l'enfer.
Je vois cela... Comme une répétition. Après tout, c'est la que le Seigneur enverra les abominations dans votre genre."
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Ven 14 Juil 2006 - 16:19
Akira eut un léger rire, un peu fou...
"L'enfer?? Je me marre, l'enfer je l'ai déjà connu! Il n'a pas voulu de moi! Fais moi sortir de là espèce de fumier, frise d'eunuque en gélatine!"
L'effet des drogues se dissipaient et Akira avait maintenant l'esprit clair.
Il devait sortir de là ar un moyen ou par un autre. Il essaya d'arracher les bracelets de métals qui retenaient ses poignets mais...Rien à faire, ils étaient trop solide.
Le mutant mis toutes ses forces et ses veines étaiet saillantes tellement l'effort fourni était important.
"L'enfer?? Je me marre, l'enfer je l'ai déjà connu! Il n'a pas voulu de moi! Fais moi sortir de là espèce de fumier, frise d'eunuque en gélatine!"
L'effet des drogues se dissipaient et Akira avait maintenant l'esprit clair.
Il devait sortir de là ar un moyen ou par un autre. Il essaya d'arracher les bracelets de métals qui retenaient ses poignets mais...Rien à faire, ils étaient trop solide.
Le mutant mis toutes ses forces et ses veines étaiet saillantes tellement l'effort fourni était important.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Ven 14 Juil 2006 - 22:32
Tout ce qu'Akira put gagner, c'est une douleur lancinante aux poignets qui commençaient à s'écorcher. Manifestement, le mouvement n'était pas une bonne idée.
De l'autre coté de l'interphone, la voix ne riait plus.
"Calmez-vous... Reposez-vous. Nous verrons demain qui est un ennuque..."
Et le silence se fit, alors que l'obscurité envahissait la pièce dans laquelle Akira se trouvait. Une terrible sensation, d'avoir des yeux et des oreilles fonctionnels, mais aucune information à capter de nulle part, que du noir, et un silence absolu. La pire des tortures est de se retrouver seul dans sa tête, sans aucun moyen de communiquer avec l'extérieur. Sa vue se brouillait, il voyait les petits vaisseaux de sa rétine, il entendait les battements de son coeur, et tous les bruits de son corps, mais il ne lui restait plus que ça.
De l'autre coté de l'interphone, la voix ne riait plus.
"Calmez-vous... Reposez-vous. Nous verrons demain qui est un ennuque..."
Et le silence se fit, alors que l'obscurité envahissait la pièce dans laquelle Akira se trouvait. Une terrible sensation, d'avoir des yeux et des oreilles fonctionnels, mais aucune information à capter de nulle part, que du noir, et un silence absolu. La pire des tortures est de se retrouver seul dans sa tête, sans aucun moyen de communiquer avec l'extérieur. Sa vue se brouillait, il voyait les petits vaisseaux de sa rétine, il entendait les battements de son coeur, et tous les bruits de son corps, mais il ne lui restait plus que ça.
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Sam 15 Juil 2006 - 1:48
La voix lanca une menace qu'Akira ignora puis...Plus rien...Le silence et l'obscurité absolu!
Akira tournait les yeux dans tout les sens esperant apercevoir une quelconque lueur mais rien que le néant...
Il tendit l'oreille pour tenter de percevoir un son...Le résultat ne fut pas meilleur...
Il ne sentait rien sinon la douleur dans ses poignets ensanglantés...
Il était totalement immobil.
"Calme toi...Ils veulent te rendre fou, ne leur donne pas satisfaction, reste maitre de toi et essaye de dormir..."
*Parler tout seul n'est-il pas un signe de folie? Quoique depuis l'invention du téléphone se serait plutôt un signe de statut social...*
Akira leva brusquement la tête.
"Qui est-là???"
*Ne fais pas semblant de ne pas savoir d'où viens cette voix! Tu l'as connais! Tu as toujours su que j'étais là mais tu m'a toujours ignoré...*
"Qui...qui es-tu ?? Montre toi fumier!!"
*Je suis toi crétin!! Je suis celui qui dort au fond de ton esprit, celui qui t'as permis de tuer tant de monde!*
"Qu...Quoi?!"
*Chaque fois que tu te battais, quand tout devenais blanc autour toi et que rien d'autre que le combat ne comptait...Je prenais le relais! C'est pour ça que tu avais l'impression de disparaitre et qu'une fois le combat fini tu t'étonnais du massacre commis!*
"Tu mens!"
*Tu crois? Sois honnête avec toi même, cesse de te voiler, je suis toi et tu es moi! Nous cohabitons dans ce corps...*
"Im...Impossible..."
*Et pourtant je suis bien là^^ Mais pauvre crétin que tu es, tu t'es arrangé pour te retrouver dans ce trou mobide et puant!
Aussi nous allons dormir et nous réfléchirons à un plan pour nous échapper...*
Sur ces mots de son esprit dérangé, Akira sombra dans un sommeil plus proche du coma qu'autre chose...
Akira tournait les yeux dans tout les sens esperant apercevoir une quelconque lueur mais rien que le néant...
Il tendit l'oreille pour tenter de percevoir un son...Le résultat ne fut pas meilleur...
Il ne sentait rien sinon la douleur dans ses poignets ensanglantés...
Il était totalement immobil.
"Calme toi...Ils veulent te rendre fou, ne leur donne pas satisfaction, reste maitre de toi et essaye de dormir..."
*Parler tout seul n'est-il pas un signe de folie? Quoique depuis l'invention du téléphone se serait plutôt un signe de statut social...*
Akira leva brusquement la tête.
"Qui est-là???"
*Ne fais pas semblant de ne pas savoir d'où viens cette voix! Tu l'as connais! Tu as toujours su que j'étais là mais tu m'a toujours ignoré...*
"Qui...qui es-tu ?? Montre toi fumier!!"
*Je suis toi crétin!! Je suis celui qui dort au fond de ton esprit, celui qui t'as permis de tuer tant de monde!*
"Qu...Quoi?!"
*Chaque fois que tu te battais, quand tout devenais blanc autour toi et que rien d'autre que le combat ne comptait...Je prenais le relais! C'est pour ça que tu avais l'impression de disparaitre et qu'une fois le combat fini tu t'étonnais du massacre commis!*
"Tu mens!"
*Tu crois? Sois honnête avec toi même, cesse de te voiler, je suis toi et tu es moi! Nous cohabitons dans ce corps...*
"Im...Impossible..."
*Et pourtant je suis bien là^^ Mais pauvre crétin que tu es, tu t'es arrangé pour te retrouver dans ce trou mobide et puant!
Aussi nous allons dormir et nous réfléchirons à un plan pour nous échapper...*
Sur ces mots de son esprit dérangé, Akira sombra dans un sommeil plus proche du coma qu'autre chose...
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Jeu 20 Juil 2006 - 15:33
Combien de temps avait-il dormi ? Une heure ? dix minutes ? Des jours ? Difficile à dire... En tout cas, une lumière blafarde regnait dans la pièce, toujours très silencieuse.
Quoi qu'il en soit, il avait mal partout, et la tête qui tourne. Etait-ce dû à sa position de papillon épinglé contre un mur, ou à autre chose ? En tout cas, il se sentait plus que bizarre... On lui avait fait quelque chose, il avait une perf au bras, et une sensation très désagréable à l'entrejambe.
Un regard vers le bas lui permit de remarquer un tube qui en sortait, une sonde, et un regard encore plus bas lui permit de constater que quelqu'un avait déposé un bocal rempli de formol en face de lui.
Sur le bocal était écrit : "Et maintenant, qui est un ennuque ?", et en effet, il put constater que le contenu du bocal confirmait sans doute possible l'étiquette.
Quoi qu'il en soit, il avait mal partout, et la tête qui tourne. Etait-ce dû à sa position de papillon épinglé contre un mur, ou à autre chose ? En tout cas, il se sentait plus que bizarre... On lui avait fait quelque chose, il avait une perf au bras, et une sensation très désagréable à l'entrejambe.
Un regard vers le bas lui permit de remarquer un tube qui en sortait, une sonde, et un regard encore plus bas lui permit de constater que quelqu'un avait déposé un bocal rempli de formol en face de lui.
Sur le bocal était écrit : "Et maintenant, qui est un ennuque ?", et en effet, il put constater que le contenu du bocal confirmait sans doute possible l'étiquette.
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Ven 21 Juil 2006 - 1:14
Akira se réveilla après un certain temps...Mais combien de temps? Il ne saurait le dire...Toujours est-il qu'il était cloué au mur et que des tuyaux lui sortaient du corps.
Il ressentait une douleur à l'entrejambe et vit un autre tuyau puis il aperçu un bocal contenant des bijoux personnels...SES bijoux...
*Oh! oh! Scoobi va se sentir bien seul maintenant...*
"Toi ta guele! Sale bratchni, détache moi et bats toi, je te jure que je ne me contenterais pas de te couper les yarbles, je te les ferai bouffer sale enfoiré!!"
*Que de hargne ...*
"Tu va la fermer oui!! Bordel ma tête..."
Le crâne d'Akira le faisait souffrir le martyr, il ressentait de vive douleur par à coups.
Il ressentait une douleur à l'entrejambe et vit un autre tuyau puis il aperçu un bocal contenant des bijoux personnels...SES bijoux...
*Oh! oh! Scoobi va se sentir bien seul maintenant...*
"Toi ta guele! Sale bratchni, détache moi et bats toi, je te jure que je ne me contenterais pas de te couper les yarbles, je te les ferai bouffer sale enfoiré!!"
*Que de hargne ...*
"Tu va la fermer oui!! Bordel ma tête..."
Le crâne d'Akira le faisait souffrir le martyr, il ressentait de vive douleur par à coups.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Jeu 27 Juil 2006 - 18:31
Un temps encore infini s'écoula. Mais cette fois-ci, ce n'était pas silencieux. On entendait un bruit d'eau. Non pas le bruit apaisant d'un ruisseau de montagne, mais le bruit lancinant et régulier d'une goutte d'eau qui tombe... un robinet qui fuit ? en tout cas, régulièrement, un "ploc" se faisait entendre... De quoi devenir dingue...
Alors même qu'Akira n'était plus forcément bien éveillé, une voix se fit encore entendre, pleine de réverbération, comme au travers d'une cavité bizarre.
"Menu noté..."
Et ces deux mots repartirent en écho se perdant dans l'esprit du mutant prisonnier.
Alors même qu'Akira n'était plus forcément bien éveillé, une voix se fit encore entendre, pleine de réverbération, comme au travers d'une cavité bizarre.
"Menu noté..."
Et ces deux mots repartirent en écho se perdant dans l'esprit du mutant prisonnier.
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Lun 7 Aoû 2006 - 13:13
[juste pour savoir si ce ptit jeu va durer longtemps ou si l'histoire va avancer...Non pas que ça me dérange, au contraire ça me fais marrer^^
Mais ça traine un peu en longueur et ce serait cool que ça avance un peu ]
Akira en avait ras la touffe...Il était encore tout comateux et cette foutue voix censée être lui même lui résonnait dans le crâne en sortant toutes sortes de conneries et d'insultes.
"Laissez moi sortir d'ici...Laissez...moi...SORTIR!!!!!"
La voix du mutant résonna dans toute la pièce et plusieurs canalisations dans le camp sautèrent sans qu'Akira n'en sache rien bien entendu...Il n'avait aucune idée précise de l'endroit où il était.
Mais ça traine un peu en longueur et ce serait cool que ça avance un peu ]
Akira en avait ras la touffe...Il était encore tout comateux et cette foutue voix censée être lui même lui résonnait dans le crâne en sortant toutes sortes de conneries et d'insultes.
"Laissez moi sortir d'ici...Laissez...moi...SORTIR!!!!!"
La voix du mutant résonna dans toute la pièce et plusieurs canalisations dans le camp sautèrent sans qu'Akira n'en sache rien bien entendu...Il n'avait aucune idée précise de l'endroit où il était.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Lun 11 Sep 2006 - 13:07
La porte de la cellule s'ouvrit brusquement.
" C'est l'heure de la petite ballade. "
Deux hommes portant des tenues de militaire saisirent Akira et lui injecterent une nouvelle drogue qui le laissa Groggy.
Ils le detacherent et le porterent. Akira put se rendre compte que le batiment dans lequel il se trouvait était bien plus impressionnant que ce qu'il avait imaginé.
Il y avait des centaines de cellules a l'interieur desquelles se trouvaient d'autres mutants comme lui.
Les deux hommes l'emmenerent dans une autre partie du bâtiment et le firent entrer dans un bureau.
Face a lui se trouvait un homme âgé d'une cinquantaine d'années aux cheveux poivre et sel et a l'allure impresionnante.
" M. Hinomura, c'est un plaisir de vous rencontrer. Je vous en prie asseyez je pense que nous devons parler."
" C'est l'heure de la petite ballade. "
Deux hommes portant des tenues de militaire saisirent Akira et lui injecterent une nouvelle drogue qui le laissa Groggy.
Ils le detacherent et le porterent. Akira put se rendre compte que le batiment dans lequel il se trouvait était bien plus impressionnant que ce qu'il avait imaginé.
Il y avait des centaines de cellules a l'interieur desquelles se trouvaient d'autres mutants comme lui.
Les deux hommes l'emmenerent dans une autre partie du bâtiment et le firent entrer dans un bureau.
Face a lui se trouvait un homme âgé d'une cinquantaine d'années aux cheveux poivre et sel et a l'allure impresionnante.
" M. Hinomura, c'est un plaisir de vous rencontrer. Je vous en prie asseyez je pense que nous devons parler."
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Sam 16 Sep 2006 - 2:08
Akira somnolait. L'utilisation de son pouvoir l'avait fatigué...
Il fut réveillé par le cliquetis d'une clé dans la serrure de la porte qui s'ouvrit laissant entrer un halo de lumière blanchâtre.
*Ô mon frère, je crois bien que nous avons une malenky visite. Il y a deux gaillards tout bolchoi à la porte de ta suite^^*
Akira leva la tête et fut saisi par deux armoires à glace qui lui injectèrent une nouvelle dose de drogue. Le mutant, déjà bien affaibli, fut complétement assomé par la piqure.
*Encore cette foutue drencrom...Ca me détruit le rassoudok cette saloperie >.<*
"Ferme là..."
La voix d'Akira était à peine audible.
Les gorilles l'emmenèrent dans un bureau et il se retrouva face à un homme qui était sorti de la fleur de l'âge. Celui-ci invita Akira à s'assoir. Le mutant accepta la proposition sans rechigner et s'affondra sur la chaise de plastique.
Akira fit un grand effort pour parler de manière articulée.
"De quoi voulez-vous parler?"
Il fut réveillé par le cliquetis d'une clé dans la serrure de la porte qui s'ouvrit laissant entrer un halo de lumière blanchâtre.
*Ô mon frère, je crois bien que nous avons une malenky visite. Il y a deux gaillards tout bolchoi à la porte de ta suite^^*
Akira leva la tête et fut saisi par deux armoires à glace qui lui injectèrent une nouvelle dose de drogue. Le mutant, déjà bien affaibli, fut complétement assomé par la piqure.
*Encore cette foutue drencrom...Ca me détruit le rassoudok cette saloperie >.<*
"Ferme là..."
La voix d'Akira était à peine audible.
Les gorilles l'emmenèrent dans un bureau et il se retrouva face à un homme qui était sorti de la fleur de l'âge. Celui-ci invita Akira à s'assoir. Le mutant accepta la proposition sans rechigner et s'affondra sur la chaise de plastique.
Akira fit un grand effort pour parler de manière articulée.
"De quoi voulez-vous parler?"
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Jeu 21 Sep 2006 - 17:28
" Vous vous demandez sans doute ce que vous faites là et pourquoi. Désolé mais pour ça, je ne vous répondrais pas. Cependant je pense que nous avons des choses a apprendre de vous. Comme vous avez pu le voir nous avons fais quelques petites expériences sur vous mais cela ne nous a pas permis d'obtenir des résultats concluants."
L'hommes se gratta la nuque, alluma un cigare et cracha sa première bouffée en plein visage d'Akira.
" Savez-vous que nous avons un but commun? D'un côté vous avez les pouvoirs, de l'autre nous en avons besoin. Il y aurait peut-être moyen de s'arranger. Qu'en dites-vous? Seriez-vous prêt à pactiser avec l'ennemi? "
L'homme haussa un sourcil, et cracha une énième bouffé de cigare en direction d'Akira, lui jetant un regard suffisant.
L'hommes se gratta la nuque, alluma un cigare et cracha sa première bouffée en plein visage d'Akira.
" Savez-vous que nous avons un but commun? D'un côté vous avez les pouvoirs, de l'autre nous en avons besoin. Il y aurait peut-être moyen de s'arranger. Qu'en dites-vous? Seriez-vous prêt à pactiser avec l'ennemi? "
L'homme haussa un sourcil, et cracha une énième bouffé de cigare en direction d'Akira, lui jetant un regard suffisant.
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Jeu 21 Sep 2006 - 19:51
Je n'écoute que d'une oreille distraite les conneries que me sort le vieux...Mais j'écoute. Je suis en train de péter les plombs, une voix me parle dans le rassoudok et je suis complétement défoncé aux saloperies qu'ils m'ont envoyés dans le corps.
Que faire? Gagner du temps? Pour en arriver où? Ces gars ne sont pas des rigolos, ça ne doit surement pas être aussi simple de filer à l'anglaise...
Cet empaffé me crache sa fumée à la guele, non pas que ça me dérange, ça me rappele juste que ça fait un sacré bout de temps que je ne me suis pas fumé une petite cancerette...
"Auriez-vous une cancerette à m'offrir ô mon frère?"
Je vais la jouer cool et sur de moi, on verra bien...Je sais encaisser, si il faut encaisser, j'encaisserai...
Que faire? Gagner du temps? Pour en arriver où? Ces gars ne sont pas des rigolos, ça ne doit surement pas être aussi simple de filer à l'anglaise...
Cet empaffé me crache sa fumée à la guele, non pas que ça me dérange, ça me rappele juste que ça fait un sacré bout de temps que je ne me suis pas fumé une petite cancerette...
"Auriez-vous une cancerette à m'offrir ô mon frère?"
Je vais la jouer cool et sur de moi, on verra bien...Je sais encaisser, si il faut encaisser, j'encaisserai...
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Jeu 5 Oct 2006 - 18:30
L'homme rigola, sorti une cigarette de son étui et la porta aux lèvres d'Akira, sans l'allumer.
" Etes-vous prêt oui ou non à pactiser? "
" Etes-vous prêt oui ou non à pactiser? "
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Jeu 5 Oct 2006 - 20:35
Ce connard me file une clope mais ne me l'allume et me demande si je veux pactiser...
"Si et je dis bien si ô mon frère, j'accepte votre malenky propositon...Qu'aurai-je donc à y gagner?"
Nom de dieu, il va me l'allumer cette cancerette...
*Haha, et bien on dirait que tu es sacrément en manque mon cher Akira^^*
**Ferme là...**
"Si et je dis bien si ô mon frère, j'accepte votre malenky propositon...Qu'aurai-je donc à y gagner?"
Nom de dieu, il va me l'allumer cette cancerette...
*Haha, et bien on dirait que tu es sacrément en manque mon cher Akira^^*
**Ferme là...**
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Akira au camp Labrador
Jeu 12 Oct 2006 - 18:12
Un homme entra alors.
" La président est là, monsieur. "
L'homme regarda Akira, réajusta sa cravate puis tout en mettant son veston précisa.
" Nous poursuivrons cette conversation plus tard. Remmetez-le en cellule."
Une fois enfermé, Akira fût de nouveau face à lui même mais une voix s'éleva de la celulle voisine.
" Cherche pas à essayer de t'enfuir, ça sert a rien. On sait pas ou on est de toute façon! Je m'appelle Kyrtal et toi? "
" La président est là, monsieur. "
L'homme regarda Akira, réajusta sa cravate puis tout en mettant son veston précisa.
" Nous poursuivrons cette conversation plus tard. Remmetez-le en cellule."
Une fois enfermé, Akira fût de nouveau face à lui même mais une voix s'éleva de la celulle voisine.
" Cherche pas à essayer de t'enfuir, ça sert a rien. On sait pas ou on est de toute façon! Je m'appelle Kyrtal et toi? "
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Sam 14 Oct 2006 - 14:17
UN bratchni en costard entra dans la pièce et annonca que le président était là...Le président? Alors cette putain de prison appartient donc à l'Etat?
Je suis tiré de ma chaise et je me retrouve à nouveau dans ma cellule mais cett fois je ne suis pas totalement seul avec l'autre bezoomy dnas ma tête...Une voix, bien réelle se fit entendre de la cellule voisine. Cette voix me dit s'appeler Kyrtal.
"Je suis Akira...Tu as une idée de ce que l'on fout là?"
Je suis tiré de ma chaise et je me retrouve à nouveau dans ma cellule mais cett fois je ne suis pas totalement seul avec l'autre bezoomy dnas ma tête...Une voix, bien réelle se fit entendre de la cellule voisine. Cette voix me dit s'appeler Kyrtal.
"Je suis Akira...Tu as une idée de ce que l'on fout là?"
- Kyrtal KInvité
Re: Akira au camp Labrador
Lun 6 Nov 2006 - 19:41
Kyrtal se remémore son départ de l'institut.
Le soir, après s'être pris la tête avec Anna, il avait fouillé les fichiers de l'institut. Son but : une cible. Rapidement, il trouva son bonheur : le lieu du crash de l'astéroïde M.
Un équipement sophistiqué et une base de donnée fiable en perspective. Kyrtal était sûr qu'il avait resisté à sa chute.
Très vite, les choses s'enchainent dans sa tête. Il dérobe une réplique du casque de Magneto qu'il enfile, prend un sac à dos et y met une carte ainsi que le maximum de nourriture possible. Surtout du non-périssable. Le chemin va être long. Il est prêt au petit matin, croise Ivy sans la remarquer et quitte l'institut.
Peut être a t'il été vu ou l'a t'on interpellé lors de sa sortie, mais il n'avait pas fait attention. Une seule chose comptait : sa destination.
Dès sa sortie, il se concentre sur son itinéraire.
Ne pas suivre les routes au début. Couper droit dans la forêt. Je devrais atteindre une autoroute dans 7 jours
Six jours plus tard, Kyrtal tombe sur ladite autoroute. Si les alentours de l'institut étaient boisés, il a vite déchanté devant les prés qu'il a traversé. Les nuits étaient difficiles.
Une fois au bord de la route, il range le casque et commence à faire du stop.
Ils doivent arrêter de me chercher, maintenant. Sans le casque, je suis détectable par Cerebra à ce que j'ai compris. Mais je ne peux pas le garder indéfiniment
Au bout de 4 heures, il est pris.
Les propriétaires de la voture sont un peu étonnés de son état mais ne disent pas un mot.
La radio crache une musique peu intéressante. Au bout d'une heure, les informations arrivent, dominées par les rumeurs sur les mutants.
Kyrtal n'en croit pas ses oreilles.
Qui?
Ca ne peut pas être Olivier. Ce n'est pas dans sa politique.
Il va falloir que je la joue serré. Si j'avais gardé mon casque, on m'aurait sûrement pris pour un mutant
En fin de journée, Kyrtal est déposé dans une bourgade.
Fait chier! Merci, Olivier! Enfoiré, oui!
J'ai pas un rond valable dans de pays pourri! J'ai même pas mon passeport et ma carte d'identité est à moitié foutue à cause de mes pouvoirs. Si je me fais choper par les flics, je suis dans la merde.
Il va faloir que je trouve un coin discret pour dormir et être pris en stop dès demain matin. Ca va pas être simple, tout le monde me regarde, ici. Un étranger arrive et on dirait qu'un race extra-terrestre essaie de prendre contact. Pff
Heureusement, Kyrtal tombe sur un routier qui doit faire une livraison. Son itinéraire suit celui de Kyrtal qui passe ainsi sa première nuit au chaud depuis une semaine.
3 jours plus tard.
L'amérique compte quelques beaux villages. Et rien que pour cela, Kyrtal commencerait presque à aimer ce pays.
Ici, dans ce patelin nommé Lonely Pepper, les nouvelles arrivent lentement. A cette époque, trouver un monde aussi rural devient un vrai miracle. Personne ne regarde la TV et l'un des rares journaux papiers existant encore est délivré toutes les semaines.
Un monde vivant presque en autarcie et qui meurt petit à petit. Les jeunes sont de plus en plus attirés par la ville et dans plusieurs années, le village n'existera sûrement plus.
En attendant, Kyrtal profite de l'incroyable hospitalité des gens d'ici.
Il est arrivé dans la jounée et a trouvé un hébèrgement pour le soit ainsi qu'on bon repas avec des gens accueillants.
Mary élève seule ses deux enfants de 8 ans, Denis et Katheryne. Mary est une jeune mère. Le père n'a pas reconnu les faux jumeaux. Ca n'a pas empêché la famille de Mary de l'aider à gagner son autonomie et un rude caractère. Mary passe ses journées à s'occuper de ses enfants et de sa petite exploitation.
Katheryne est une petite peste magnifique. Elle sait qu'elle est très belle et que plus tard, tous les garçons seont à ses pieds.
Denis est un garçon renfermé. Albinos, il a des amis dans le village mais a toujours eu peur de la réaction des autres vis à vis de sa condition.
La soirée de Kyrtal est très agréable. Il va se coucher avec un petit coup dans le nez et passe un excellente nuit.
Le lendemain matin, le journal arrive. Numéro double. Titre aguicheur : 'Les mutants sont parmis nous!'
Tout n'a pas basculé d'un coup. Non. En fait, la majorité de la population pensait à un canular. Le livreur a été assailli de questions et ses réponses approximatives n'ont pas vraiment convaincu.
Les enfants riaient de cette histoire. Le mot mutant leur était très peu connu. Quelques lires qui trainaient par-ci par-là. Une BD...
Lentement mais sûrement, le nom de Denis était sur leurs lèvres. Ils commençaient à se moquer, à raconter des histoires de plus en plus horribles.
Certains parents les grondaient, d'autres laissaient faire.
A midi, Denis était revenu en pleurs à la maison. Il était légèrement blessé. Sa mère a vite vu rouge et s'est déplacé chez les parents des enfants responsables.
Si quelques-uns la soutenaient, une majorité croissante la regardait avec dédain. Comme si elle avait mérité ce qui lui arrivait.
En quelques heures, l'ambiance s'était tendue. Denis ne voulait plus sortir.
Kyrtal avait convaincu tant bien que mal Mary de rester une soirée de plus. En espérant que sa présence puisse être utile.
Il s'endormit difficilement.
Le réveil fut violent. Les cris de Dénis, un bruit sourd, puis plus rien.
Lorsqu'il fut sorti, c'était trop tard. MAry le suivait et ils contemplaient tous les deux l'horrible spectacle.
Dénis gisait sur le sol, mort. Son corps était couvert de bleus.
Mary s'effondra. La femme forte et intransigeante fondit en larmes en prenant le corps de son fils.
Les enfants étaient encore là. C'était leur oeuvre. Certains riaient, se croyant encore en train de jouer. D'autres pleuraient. Ils venaient enfind e comprendre qu'ils faisaient une bétise.
Enfin, les plus agés restaient de marbre.
Les parents commençaient à sortir de chez eux, rameutés par le boucan. Quelques larmes, mais surtout beaucoup de silences d'approbation.
On pouvait lire sur leur visage que la ville alait enfin retrouver son calme.
C'en était trop pour Kyrtal. Il explosa, insulta tout le monde. Les rires des enfants cessèrent. Les pleurs s'intensifièrent. Certains adultes prirent de vieilles carabines, au cas où.
Kyrtal n'en pouvait plus. Il ne contenait plus ses pouvoirs. Des éclairs se dirigeaient vers les enfants. Aucun n'étaient touchés, mais leur visage se décomposea. Les gros durs se mirent eux aussi à pleurer et à implorer.
Les parents ne comprenaient pas. Certains mirent instinctivement Kyrtal en joue.
Dès qu'il les avisa, il les électrocuta. Ils s'évanouirent sur le coup. Certains étaient légèrement brûlés.
La rage de Kyrtal se concentra sur les enfants. Il se rapprochait d'eux, petit à petit, et eux reculaient au même rythme.
Une foule d'émotions lui montaient à la tête.
Il faut le venger! Quant aux parents, ils comprendront, eux aussi. Je ne peux pas laisser ce genre de choses passer! Pas une fois de plus!
Merde, ce sont des enfants! Oui des enfants, seulement des enfants. Et déjà si cruels. A cet âge.
Mieux vaut pour tous le monde que je m'en débarasse maintenant.
Non, ça n'avancerait à rien! La haine engendrera plus de haine.
Qu'importe!...
La voix de Mary arrêta ses réflexions.
"Arrête. Et va t'en, je t'en prie".
Elle suppliait presque.
Ce soir, un enfant était déjà mort. C'en était un de trop.
Kyrtal se calma progressivement. Sans un mot, il rentra chez Mary, prit ses affaires et ressortit.
Rien n'avait bougé. Les habitant retenaient leur respiration. Sans un mot, Kyrtal partit à pieds.
Une sorti de la ville, il laissa tout sortir. Sa colère, son chargin...
Cette nuit là, on pu voir de nombreux éclairs monter du sol vers le ciel.
Kyrtal continua son chemin, épuisé par ce qu'il venait de lâcher.
Ses vêtements commençaient à être abimés.
Finalement, il trouva un coin tranquille et s'y effondra pour se reposer.
Trois jours plus tard, il ouvrit à nouveau les yeux. Le ciel avait été remplacé par un plafond sombre.
Kyrtal était prisonnier du camp labrador.
Le soir, après s'être pris la tête avec Anna, il avait fouillé les fichiers de l'institut. Son but : une cible. Rapidement, il trouva son bonheur : le lieu du crash de l'astéroïde M.
Un équipement sophistiqué et une base de donnée fiable en perspective. Kyrtal était sûr qu'il avait resisté à sa chute.
Très vite, les choses s'enchainent dans sa tête. Il dérobe une réplique du casque de Magneto qu'il enfile, prend un sac à dos et y met une carte ainsi que le maximum de nourriture possible. Surtout du non-périssable. Le chemin va être long. Il est prêt au petit matin, croise Ivy sans la remarquer et quitte l'institut.
Peut être a t'il été vu ou l'a t'on interpellé lors de sa sortie, mais il n'avait pas fait attention. Une seule chose comptait : sa destination.
Dès sa sortie, il se concentre sur son itinéraire.
Ne pas suivre les routes au début. Couper droit dans la forêt. Je devrais atteindre une autoroute dans 7 jours
Six jours plus tard, Kyrtal tombe sur ladite autoroute. Si les alentours de l'institut étaient boisés, il a vite déchanté devant les prés qu'il a traversé. Les nuits étaient difficiles.
Une fois au bord de la route, il range le casque et commence à faire du stop.
Ils doivent arrêter de me chercher, maintenant. Sans le casque, je suis détectable par Cerebra à ce que j'ai compris. Mais je ne peux pas le garder indéfiniment
Au bout de 4 heures, il est pris.
Les propriétaires de la voture sont un peu étonnés de son état mais ne disent pas un mot.
La radio crache une musique peu intéressante. Au bout d'une heure, les informations arrivent, dominées par les rumeurs sur les mutants.
Kyrtal n'en croit pas ses oreilles.
Qui?
Ca ne peut pas être Olivier. Ce n'est pas dans sa politique.
Il va falloir que je la joue serré. Si j'avais gardé mon casque, on m'aurait sûrement pris pour un mutant
En fin de journée, Kyrtal est déposé dans une bourgade.
Fait chier! Merci, Olivier! Enfoiré, oui!
J'ai pas un rond valable dans de pays pourri! J'ai même pas mon passeport et ma carte d'identité est à moitié foutue à cause de mes pouvoirs. Si je me fais choper par les flics, je suis dans la merde.
Il va faloir que je trouve un coin discret pour dormir et être pris en stop dès demain matin. Ca va pas être simple, tout le monde me regarde, ici. Un étranger arrive et on dirait qu'un race extra-terrestre essaie de prendre contact. Pff
Heureusement, Kyrtal tombe sur un routier qui doit faire une livraison. Son itinéraire suit celui de Kyrtal qui passe ainsi sa première nuit au chaud depuis une semaine.
3 jours plus tard.
L'amérique compte quelques beaux villages. Et rien que pour cela, Kyrtal commencerait presque à aimer ce pays.
Ici, dans ce patelin nommé Lonely Pepper, les nouvelles arrivent lentement. A cette époque, trouver un monde aussi rural devient un vrai miracle. Personne ne regarde la TV et l'un des rares journaux papiers existant encore est délivré toutes les semaines.
Un monde vivant presque en autarcie et qui meurt petit à petit. Les jeunes sont de plus en plus attirés par la ville et dans plusieurs années, le village n'existera sûrement plus.
En attendant, Kyrtal profite de l'incroyable hospitalité des gens d'ici.
Il est arrivé dans la jounée et a trouvé un hébèrgement pour le soit ainsi qu'on bon repas avec des gens accueillants.
Mary élève seule ses deux enfants de 8 ans, Denis et Katheryne. Mary est une jeune mère. Le père n'a pas reconnu les faux jumeaux. Ca n'a pas empêché la famille de Mary de l'aider à gagner son autonomie et un rude caractère. Mary passe ses journées à s'occuper de ses enfants et de sa petite exploitation.
Katheryne est une petite peste magnifique. Elle sait qu'elle est très belle et que plus tard, tous les garçons seont à ses pieds.
Denis est un garçon renfermé. Albinos, il a des amis dans le village mais a toujours eu peur de la réaction des autres vis à vis de sa condition.
La soirée de Kyrtal est très agréable. Il va se coucher avec un petit coup dans le nez et passe un excellente nuit.
Le lendemain matin, le journal arrive. Numéro double. Titre aguicheur : 'Les mutants sont parmis nous!'
Tout n'a pas basculé d'un coup. Non. En fait, la majorité de la population pensait à un canular. Le livreur a été assailli de questions et ses réponses approximatives n'ont pas vraiment convaincu.
Les enfants riaient de cette histoire. Le mot mutant leur était très peu connu. Quelques lires qui trainaient par-ci par-là. Une BD...
Lentement mais sûrement, le nom de Denis était sur leurs lèvres. Ils commençaient à se moquer, à raconter des histoires de plus en plus horribles.
Certains parents les grondaient, d'autres laissaient faire.
A midi, Denis était revenu en pleurs à la maison. Il était légèrement blessé. Sa mère a vite vu rouge et s'est déplacé chez les parents des enfants responsables.
Si quelques-uns la soutenaient, une majorité croissante la regardait avec dédain. Comme si elle avait mérité ce qui lui arrivait.
En quelques heures, l'ambiance s'était tendue. Denis ne voulait plus sortir.
Kyrtal avait convaincu tant bien que mal Mary de rester une soirée de plus. En espérant que sa présence puisse être utile.
Il s'endormit difficilement.
Le réveil fut violent. Les cris de Dénis, un bruit sourd, puis plus rien.
Lorsqu'il fut sorti, c'était trop tard. MAry le suivait et ils contemplaient tous les deux l'horrible spectacle.
Dénis gisait sur le sol, mort. Son corps était couvert de bleus.
Mary s'effondra. La femme forte et intransigeante fondit en larmes en prenant le corps de son fils.
Les enfants étaient encore là. C'était leur oeuvre. Certains riaient, se croyant encore en train de jouer. D'autres pleuraient. Ils venaient enfind e comprendre qu'ils faisaient une bétise.
Enfin, les plus agés restaient de marbre.
Les parents commençaient à sortir de chez eux, rameutés par le boucan. Quelques larmes, mais surtout beaucoup de silences d'approbation.
On pouvait lire sur leur visage que la ville alait enfin retrouver son calme.
C'en était trop pour Kyrtal. Il explosa, insulta tout le monde. Les rires des enfants cessèrent. Les pleurs s'intensifièrent. Certains adultes prirent de vieilles carabines, au cas où.
Kyrtal n'en pouvait plus. Il ne contenait plus ses pouvoirs. Des éclairs se dirigeaient vers les enfants. Aucun n'étaient touchés, mais leur visage se décomposea. Les gros durs se mirent eux aussi à pleurer et à implorer.
Les parents ne comprenaient pas. Certains mirent instinctivement Kyrtal en joue.
Dès qu'il les avisa, il les électrocuta. Ils s'évanouirent sur le coup. Certains étaient légèrement brûlés.
La rage de Kyrtal se concentra sur les enfants. Il se rapprochait d'eux, petit à petit, et eux reculaient au même rythme.
Une foule d'émotions lui montaient à la tête.
Il faut le venger! Quant aux parents, ils comprendront, eux aussi. Je ne peux pas laisser ce genre de choses passer! Pas une fois de plus!
Merde, ce sont des enfants! Oui des enfants, seulement des enfants. Et déjà si cruels. A cet âge.
Mieux vaut pour tous le monde que je m'en débarasse maintenant.
Non, ça n'avancerait à rien! La haine engendrera plus de haine.
Qu'importe!...
La voix de Mary arrêta ses réflexions.
"Arrête. Et va t'en, je t'en prie".
Elle suppliait presque.
Ce soir, un enfant était déjà mort. C'en était un de trop.
Kyrtal se calma progressivement. Sans un mot, il rentra chez Mary, prit ses affaires et ressortit.
Rien n'avait bougé. Les habitant retenaient leur respiration. Sans un mot, Kyrtal partit à pieds.
Une sorti de la ville, il laissa tout sortir. Sa colère, son chargin...
Cette nuit là, on pu voir de nombreux éclairs monter du sol vers le ciel.
Kyrtal continua son chemin, épuisé par ce qu'il venait de lâcher.
Ses vêtements commençaient à être abimés.
Finalement, il trouva un coin tranquille et s'y effondra pour se reposer.
Trois jours plus tard, il ouvrit à nouveau les yeux. Le ciel avait été remplacé par un plafond sombre.
Kyrtal était prisonnier du camp labrador.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Akira au camp Labrador
Ven 10 Nov 2006 - 14:52
Akira n'eut pas le temps d'obtenir de réponse que la porte de sa cellule s'ouvrit à nouveau à la volée. Deux gardes militaires accompagné d'un petit homme à lunette et à la calvitie avancée portant une blouse de laboratoire blanche.
Il toisa Akira un moment avant de dire :
"Celui-là fera l'affaire." dit-il simplement avant de s'éloigner.
Les deux types prirent le mutant déjà passablement amôché et drogué et le traînèrent hors de la cellule sans mot dire.
Akira fut emmené à l'air libre, enfin ! Mais la vue qui s'imposa à lui n'était guère réjouissante : miradors, gardes en faction, mitraillettes... et pas un civil à l'extérieur. Les gardes le traînèrent entre différents baraquements, puis ils passèrent un poste de sécurité avant d'arriver à un autre bâtiment.
Arrivée là-bas, il fut dévêtu de force sans ménagement et sanglé sur une table d'opération fort peu accueillante. Des hommes habillés en médecin se penchèrent sur lui, placèrent une nouvelle perfusion à son bras ainsi qu'une multitude d'électrodes sur son corps.
Personne ne s'adressait à lui ou ne semblait réaliser qu'il était conscient, bien que groggy, et qu'ils étaient sur le point d'expérimenter sur un être humain.
"Fréquence 10, on va voir comment son corps réagit." fut la seule phrase intelligible que le mutant perçu. Un intense courant électrique traversa tout son corps tandis que les médecins observaient ses réactions sur les moniteurs.
"Hum... Rien pour l'instant, augmentez la puissance graduellement jusqu'à ce qu'on obtienne un résultat."
Il était impossible pour Akira de savoir combien de temps la séance de tortures avait duré. Au bord du coma, il fut finalement détaché et rejeté violemment dans sa cellule avec pour tout habit ses sous-vêtements. Sa tête heurta le sol et acheva de le faire sombrer dans l'inconscience.
Kyrtal, toujours plongé dans ses souvenirs, avait été le témoin impuissant du départ musclé d'Akira. Qu'avaient-ils bien pu lui faire ? Cette question l'effleura, mais il n'eut plus à se la poser lorsque sa propre porte s'ouvrit, pour révéler une escouade similaire.
"Il sera intéressant de tester la résistance de celui-là..." marmona le savant. Après un coup de crosse de fusil d'assaut qui eut pour effet d'amoindrir sa résistance, une aiguille s'enfonça dans sa chair et la même drogue qui avait frappé Akira pénétra l'organisme de Kyrtal. Visiblement, l'intérêt du scientifique à son égard concernant la résistance d'un mutant au pouvoir électrique à son élément. L'exposition fut très élevée, dépassant le seuil de protection à l'électricité du jeune mutant. De la même façon il fut balancé sans considération sur le sol gelé de sa cellule. Dans son inconscience, il se mit à nouveau à se remémorer les évènements antérieurs à son incarcération...
[hrp : comme vos deux courtiers sont indisponibles pour l'instant, je prend le relai pour vous faire avancer un peu]
Il toisa Akira un moment avant de dire :
"Celui-là fera l'affaire." dit-il simplement avant de s'éloigner.
Les deux types prirent le mutant déjà passablement amôché et drogué et le traînèrent hors de la cellule sans mot dire.
Akira fut emmené à l'air libre, enfin ! Mais la vue qui s'imposa à lui n'était guère réjouissante : miradors, gardes en faction, mitraillettes... et pas un civil à l'extérieur. Les gardes le traînèrent entre différents baraquements, puis ils passèrent un poste de sécurité avant d'arriver à un autre bâtiment.
Arrivée là-bas, il fut dévêtu de force sans ménagement et sanglé sur une table d'opération fort peu accueillante. Des hommes habillés en médecin se penchèrent sur lui, placèrent une nouvelle perfusion à son bras ainsi qu'une multitude d'électrodes sur son corps.
Personne ne s'adressait à lui ou ne semblait réaliser qu'il était conscient, bien que groggy, et qu'ils étaient sur le point d'expérimenter sur un être humain.
"Fréquence 10, on va voir comment son corps réagit." fut la seule phrase intelligible que le mutant perçu. Un intense courant électrique traversa tout son corps tandis que les médecins observaient ses réactions sur les moniteurs.
"Hum... Rien pour l'instant, augmentez la puissance graduellement jusqu'à ce qu'on obtienne un résultat."
Il était impossible pour Akira de savoir combien de temps la séance de tortures avait duré. Au bord du coma, il fut finalement détaché et rejeté violemment dans sa cellule avec pour tout habit ses sous-vêtements. Sa tête heurta le sol et acheva de le faire sombrer dans l'inconscience.
Kyrtal, toujours plongé dans ses souvenirs, avait été le témoin impuissant du départ musclé d'Akira. Qu'avaient-ils bien pu lui faire ? Cette question l'effleura, mais il n'eut plus à se la poser lorsque sa propre porte s'ouvrit, pour révéler une escouade similaire.
"Il sera intéressant de tester la résistance de celui-là..." marmona le savant. Après un coup de crosse de fusil d'assaut qui eut pour effet d'amoindrir sa résistance, une aiguille s'enfonça dans sa chair et la même drogue qui avait frappé Akira pénétra l'organisme de Kyrtal. Visiblement, l'intérêt du scientifique à son égard concernant la résistance d'un mutant au pouvoir électrique à son élément. L'exposition fut très élevée, dépassant le seuil de protection à l'électricité du jeune mutant. De la même façon il fut balancé sans considération sur le sol gelé de sa cellule. Dans son inconscience, il se mit à nouveau à se remémorer les évènements antérieurs à son incarcération...
[hrp : comme vos deux courtiers sont indisponibles pour l'instant, je prend le relai pour vous faire avancer un peu]
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Sam 11 Nov 2006 - 22:25
Merde, foutu mal de crâne...J'ai testé pas mal de saloperie dans ma vie mais leur drogue est vraiment costaude...Plus jamais ça...
La porte s'ouvre à la volée et deux armoires à glaces ainsi qu'un nain en blouse blanche entre. Le petit chauve me toise avec un air dédaigneux et signale aux deux gorilles de m'embarquer.
Je suis trainé dans les couloirs et pour la première fois depuis un sacré bout de temps je vois le ciel, je sens une brise légère qui caresse mon visage...Je me sens un peu mieux jusqu'à mon arrivée dans une sorte de bloc opératoire.
Les deux bratchnis me jettent sur une table et je reçois des décharges éléctrique de plus en plus corsées. Je fini par dégueler tripes et boyaux mais ces enfoirés ne s'arrêtent pas...Je ne saurai dire combien de temps cette torture aura duré...
Aprs ça, retour à la case départ, je me retrouve à nouveau dans cette foutue cellu avec pour seul vêtement mon caleçon...Ils me jettent à l'intérieur et je me cogne violemment la tête contre le sol glacée...Tout tourbillone et devient sombre...Je me laisse couler dans ces eaux troubles qui ont envahi mon esprit depuis quelques temps...
...
...
...
*Akiraaa...Mon ptit chou il serait grand temps de te réveiller tu ne crois pas?*
Encore cette voix...
*Akiraaaa...ne fais pas comme si tu ne m'entendais pas...Je sais que tu es de nouveau conscient^^ Allez lève toi, tu va pouvoir marcher un peu, ces imbéciles ne t'ont pas ligoté.*
Je me met sur mes jambes mais retombe aussitôt, après tout ce temps d'inactivité, je suis un peu engourdi, mes membres répondent relativement lentement mais après plusieurs minutes de concentration j'arrive enfin à me mettre debout..
Je me dirige vers cete putain de porte qui me coupe du monde depuis trop longtemps déjà et la martèle de coups de poing...
"Y'a quelqu'un?? Oh!! Répondez moi!! Dites moi ce que je fous là non de dieu!!"
La porte s'ouvre à la volée et deux armoires à glaces ainsi qu'un nain en blouse blanche entre. Le petit chauve me toise avec un air dédaigneux et signale aux deux gorilles de m'embarquer.
Je suis trainé dans les couloirs et pour la première fois depuis un sacré bout de temps je vois le ciel, je sens une brise légère qui caresse mon visage...Je me sens un peu mieux jusqu'à mon arrivée dans une sorte de bloc opératoire.
Les deux bratchnis me jettent sur une table et je reçois des décharges éléctrique de plus en plus corsées. Je fini par dégueler tripes et boyaux mais ces enfoirés ne s'arrêtent pas...Je ne saurai dire combien de temps cette torture aura duré...
Aprs ça, retour à la case départ, je me retrouve à nouveau dans cette foutue cellu avec pour seul vêtement mon caleçon...Ils me jettent à l'intérieur et je me cogne violemment la tête contre le sol glacée...Tout tourbillone et devient sombre...Je me laisse couler dans ces eaux troubles qui ont envahi mon esprit depuis quelques temps...
...
...
...
*Akiraaa...Mon ptit chou il serait grand temps de te réveiller tu ne crois pas?*
Encore cette voix...
*Akiraaaa...ne fais pas comme si tu ne m'entendais pas...Je sais que tu es de nouveau conscient^^ Allez lève toi, tu va pouvoir marcher un peu, ces imbéciles ne t'ont pas ligoté.*
Je me met sur mes jambes mais retombe aussitôt, après tout ce temps d'inactivité, je suis un peu engourdi, mes membres répondent relativement lentement mais après plusieurs minutes de concentration j'arrive enfin à me mettre debout..
Je me dirige vers cete putain de porte qui me coupe du monde depuis trop longtemps déjà et la martèle de coups de poing...
"Y'a quelqu'un?? Oh!! Répondez moi!! Dites moi ce que je fous là non de dieu!!"
- Kyrtal KInvité
Re: Akira au camp Labrador
Lun 13 Nov 2006 - 14:29
Je n'ai rien pu faire.
Ils sont entrés, m'ont fait leurs saloperies, et moi, je n'ai rien pu faire.
Merde! J'attendais ce moment depuis que je suis dans cette foutue cage! Pourquoi je rien n'est sorti?
Pourtant mes pouvoirs sont encore là. Merde!
Kyrtal était allongé sur le sol, il allait bientôt s'évanouir. Ses dernières pensées avant de retomber dans l'insconscience n'était que colère et questionnement.
Ils m'ont électrocuté... Et j'ai eu mal. C'est la première fois que ça m'arrive.
Lorsque je ne me contrôlais plus, j'avais pourtant atteint des voltages assez élevés. Comment est...
Merde! Mes pensées commencent a s'embrouiller.
Anna, espèce de catin, je te rotirai le cerveau!
Non, non. Concentration.
Penses a la physique.
Ton corps doit avoir une résistance varibale. C'est la seule explication.
Mais qu'est ce qui a changé entre ces deux situations? Le produit qu'il m'a injecté... Qu'est ce que ça pouvait bien être?
Il faudrait que j'étudie ça de plus....
Les pensées de Kyrtal s'arrêtèrent là.
Durant son incenscience, ses souvenirs sentrmèlerent si bien que le tout était extrêmement confus.
Anna et ses tortionnaires étaient ensemble, en train de martyriser sa famille. Il se vengeait et s'en prenait à leur chef : Olivier.
Ils sont entrés, m'ont fait leurs saloperies, et moi, je n'ai rien pu faire.
Merde! J'attendais ce moment depuis que je suis dans cette foutue cage! Pourquoi je rien n'est sorti?
Pourtant mes pouvoirs sont encore là. Merde!
Kyrtal était allongé sur le sol, il allait bientôt s'évanouir. Ses dernières pensées avant de retomber dans l'insconscience n'était que colère et questionnement.
Ils m'ont électrocuté... Et j'ai eu mal. C'est la première fois que ça m'arrive.
Lorsque je ne me contrôlais plus, j'avais pourtant atteint des voltages assez élevés. Comment est...
Merde! Mes pensées commencent a s'embrouiller.
Anna, espèce de catin, je te rotirai le cerveau!
Non, non. Concentration.
Penses a la physique.
Ton corps doit avoir une résistance varibale. C'est la seule explication.
Mais qu'est ce qui a changé entre ces deux situations? Le produit qu'il m'a injecté... Qu'est ce que ça pouvait bien être?
Il faudrait que j'étudie ça de plus....
Les pensées de Kyrtal s'arrêtèrent là.
Durant son incenscience, ses souvenirs sentrmèlerent si bien que le tout était extrêmement confus.
Anna et ses tortionnaires étaient ensemble, en train de martyriser sa famille. Il se vengeait et s'en prenait à leur chef : Olivier.
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Re: Akira au camp Labrador
Lun 13 Nov 2006 - 16:57
Cela faisait cinq bonnes minutes qu'Akira tambourinait à la porte quand le déclic du vérrou se fit entendre. La porte s'ouvrit à la volée, pour révéler deux geôliers de mauvais poil.
"Qu'est-ce qui te prend le mutos ? Tu trouves qu'on s'occupe pas assez de toi peut-être ?" vociféra le premier, un grand type noir à moustache. Il s'avança vers Akira, lui menotta les mains dans le dos et le fit sortir de la cellule à coup de pieds au derrière.
"T'es là parce que la racaille comme toi on en veut pas dehors. Allez avance !" s'écria son compagnon en indiquant l'extremité du couloir. Le jeune homme était toujours à moitié nu, et la perspective de sortir sans vêtements le refroidit légèrement.
Escorté des deux gardes, il sortit du baraquement après avoir passé un sasse de sécurité. L'air froid de la nuit mordit sa chair avec des mâchoires d'acier imaginaires, alors qu'il marchait dans le camp. Il régnait dehors un silence de mort terrifiant. La lumière des projecteurs de mirador éclairaient le camp de façon aléatoire. Les gardes menèrent Akira jusqu'au poste de commandement, où il fut à nouveau introduit dans le bureau du gradé qu'il avait rencontré.
"Alors Mr Hinomura, l'hospitalité américaine est-elle à votre goût ?" demanda-t-il en allumant un cigare.
"Laissez-nous." dit-il aux gardes avec un regard vers la porte.
"A vos ordres." Les deux hommes quittèrent la pièce non sans un regard dédaigneux vers le mutant.
"Les quelques tests que nous avons pratiqué sur vous ont révélé une très bonne résistance de votre organisme, vous êtes chanceux. Avez-vous réfléchi à ma proposition ?"
"Qu'est-ce qui te prend le mutos ? Tu trouves qu'on s'occupe pas assez de toi peut-être ?" vociféra le premier, un grand type noir à moustache. Il s'avança vers Akira, lui menotta les mains dans le dos et le fit sortir de la cellule à coup de pieds au derrière.
"T'es là parce que la racaille comme toi on en veut pas dehors. Allez avance !" s'écria son compagnon en indiquant l'extremité du couloir. Le jeune homme était toujours à moitié nu, et la perspective de sortir sans vêtements le refroidit légèrement.
Escorté des deux gardes, il sortit du baraquement après avoir passé un sasse de sécurité. L'air froid de la nuit mordit sa chair avec des mâchoires d'acier imaginaires, alors qu'il marchait dans le camp. Il régnait dehors un silence de mort terrifiant. La lumière des projecteurs de mirador éclairaient le camp de façon aléatoire. Les gardes menèrent Akira jusqu'au poste de commandement, où il fut à nouveau introduit dans le bureau du gradé qu'il avait rencontré.
"Alors Mr Hinomura, l'hospitalité américaine est-elle à votre goût ?" demanda-t-il en allumant un cigare.
"Laissez-nous." dit-il aux gardes avec un regard vers la porte.
"A vos ordres." Les deux hommes quittèrent la pièce non sans un regard dédaigneux vers le mutant.
"Les quelques tests que nous avons pratiqué sur vous ont révélé une très bonne résistance de votre organisme, vous êtes chanceux. Avez-vous réfléchi à ma proposition ?"
- InvitéInvité
Re: Akira au camp Labrador
Lun 13 Nov 2006 - 19:20
La porte s'ouvre enfin et les deux gorilles que je commence à connaitre, surtout leur poing, me foute dehors. Il me sorte, toujours à poil. Le froid vigoureux de la nuit me ronge mais je ne laisse rien paraitre, je ne leur ferai pas le plaisir de montrer que je souffre.
"T'es là parce que la racaille comme toi on en veut pas dehors. Allez avance !"
"Je comprend mieux pourquoi ils vous on filé ce boulot pourri, des gorilles comme vous, ça doit faire peur aux foules"
Ils m'emmènent à nouveau chez le petit con à cigare de l'autre fois.
"Alors Mr Hinomura, l'hospitalité américaine est-elle à votre goût ?"
"J'ai connu mieux..."
Il me parle d'une proposition...Quelle proposition? Merde j'ai l'esprit complétement dans le vague...Je crois me souvenirs de quoi il veut parler...Une alliance...Qu'il aille se faire foutre...mais d'abord...
"Ô mon frère, avant de te donner une réponse, aurais-tu l'exrtème amabilité de me m'allumer cette cancerette promise lors de notre dernier entretiens?"
"T'es là parce que la racaille comme toi on en veut pas dehors. Allez avance !"
"Je comprend mieux pourquoi ils vous on filé ce boulot pourri, des gorilles comme vous, ça doit faire peur aux foules"
Ils m'emmènent à nouveau chez le petit con à cigare de l'autre fois.
"Alors Mr Hinomura, l'hospitalité américaine est-elle à votre goût ?"
"J'ai connu mieux..."
Il me parle d'une proposition...Quelle proposition? Merde j'ai l'esprit complétement dans le vague...Je crois me souvenirs de quoi il veut parler...Une alliance...Qu'il aille se faire foutre...mais d'abord...
"Ô mon frère, avant de te donner une réponse, aurais-tu l'exrtème amabilité de me m'allumer cette cancerette promise lors de notre dernier entretiens?"
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Re: Akira au camp Labrador
Mar 14 Nov 2006 - 12:09
Le gradé eut un rictus qui s'apparentait à un sourire. Il ouvrit son tiroir, en sortit un paquet de cigarette et s'approcha d'Akira avec une lenteur calculée. Il sortit une cigarette du paquet, et la posa avec sadisme à l'oreille du mutant, qui, menotté dans le dos qu'il était ne pouvait pas l'atteindre.
"Considérez ceci comme la cigarette du condamné si vous refusez de collaborer M. Hinomura. Ce que nous attendons de vous est très simple : les mutants sont une plaie pour l'humanité... s'ils ne sont pas encadrés comme il se doit. Vos capacités doivent être disciplinées... Rejoignez le rang des mutants raisonnables et acceptez de travailler pour nous. Sinon, je pense qu'il vous faudra vous habituer à la déco de votre cellule, mon cher."
"Considérez ceci comme la cigarette du condamné si vous refusez de collaborer M. Hinomura. Ce que nous attendons de vous est très simple : les mutants sont une plaie pour l'humanité... s'ils ne sont pas encadrés comme il se doit. Vos capacités doivent être disciplinées... Rejoignez le rang des mutants raisonnables et acceptez de travailler pour nous. Sinon, je pense qu'il vous faudra vous habituer à la déco de votre cellule, mon cher."
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