Jardin secret

Si les portes de la générosité sont fermé, celles du Paradis sont ouvertes ....

L'ange coloré profita de l'agitation pour s'éclipser, sans que le papillons s'en aperçoivent ses poiles prirent le relief de la forêt, les couleur de la nature s'imbibe dans son pelage, aussi involontaire qu'un réflexe défensif .
Machaon recule lentement, les observe parlé, ils sont soudés, ensemble, pas comme lui, le petit papillon chétif, aussi fragile qu'une feuille, défiguré par la haine et la tristesse.
Ses "camarades" ne font pas attention à lui, tant mieux, personne ne s'intéresse à lui même pas ces écervelée rouillés, qu'est ce qu'il a d'intéressant ? Rien du tout, plus aucune famille, aucun amis, aucun foyer, et ce n'est certainement pas ce refuge pour "mutants abandonnés" où se trouve sa maison.

Regarder fixement les cieux.
Dans cet enfer qui tient tes mains attachées
Sacrifieras-tu ton confort.
Et feras tu ton chemin en terre étrangère ?
Lutte avec ton obscurité.
Les anges appellent ton nom.
Peux-tu entendre ce qu'ils disent ?
Seras-tu toujours le même ?

Il était naïf, son amour était comme du sucre, artificiellement doux, il a été trompé par l’emballage, attrapée dans sa toile, Godollo a appris comment saigner, on l'a dévoré complètement.
S'éloigner, tout ce que ce misérable sait faire, s'éloigner, perdre le contrôle, tout ces murs le foudroient de l'intérieur.
Il devrait savoir, qu'il a été utilisé comme un amusement, comment voir a travers cette fumée d'illusions ?
Maintenant qu'il lèche ses blessures, que le venin s'infiltre, est il encore prisonnier ?
Va il craquer, accro à son attrait, besoin de se soigner, soigner son âme aussi, à chaque pas qu'il franchi, il s'enfonce dans l'erreur.
Chaque fois qu'il prends l'air, il s'étouffe de désespoir, ce n'est jamais finis.
Pour échapper au cauchemar, il laisse s'échapper des prières silencieuses.
Il ne peux pas réparer, cet orage intérieur, mérite il cette brûlure lente ?

Souviens-toi; souviens-toi, n'oublie jamais.
Toute ta vie a été un essai.
Tu trouveras la porte qui est ouverte.
Même à travers ton esprit fermé.
Ouvre mon coeur.
Et fait parler mes lèvres.
Apporte le paradis et les étoiles.
Sur Terre pour moi.
Le créateur vit au-dessus des anges.
Et ils se nourissent tous de son esprit.
Les généreux savent vraiment.
Ce qui seras donné.
Si ils n'arrêtent pas, tu sais.
Les portes du Paradis sont toujours ouvertes.
Et il y a ce Dieu dans le ciel et les anges.
Comment ils sont assis, tu sais, face à la lumière.
Et voila de quoi il est sujet...

En regardant le ciel, ses yeux pleuvent, percevoir le soleil a travers d'épais nuages est difficile mais essayer est bien plus simple. Son dos se courbe, ses mains lézardés attrapes ses ailes, d'un coup brutal, elles les arrachent.
Une douleur minime, aucune sensation, il sent le sang dans sa bouche , le bruit des os qui se brise résonne dans ses oreilles, l'image de deux trous dans le dos et gravé dans son cerveau, il ne voit que ça.
Le mutilé veut s'enlever la peau maintenant, puis ses oreilles, il redeviendras enfin normal, plus de racisme, plus d'insultes, plus de violences, ça serai bien.
Ce papillon est né avec le printemps, va il mourir avec les roses, ce qui est sûr c'est qu'il n'iras plus au ciel chercher la volupté.

(Hj : c'est mon petit post qui explique ce qui lui arrive, je pense arrêter temporairement academy x car j'arrive plus à suivre et car je n'ai pas beaucoup de temps. Quand je reviendrais, je posterais dans ce sujet et j'expliquerai ce qui c'est passé.
Sur ce j'espère que ce forum va bien continuer car il est géniale, je vous aime tous, a bientôt !!)

Ses larmes de lamentations ont disparus a la lumière du soleil, il ne se sent plus comme le tonnerre qui fait peur a tout le monde, as t-il besoin du ciel quand le sol s'ouvre tout grand ?
Le papillon a descendu cette route , il regarda les signes en y allant, il a suivis le soleil, tout le monde ne descends pas sa propre route, tout le monde n'a pas regardé les signes, il n'est jamais comme tout le monde et il ne le seras jamais, finalement le machaon a suivis son coeur, c'est un très bonne endroit pour (re)commencer.
Le ciel va au paradis, pourquoi ce monstre ne l'a pas suivis, le papillon n'a pas encore oublié comment rêvé.
Pourquoi souris il, des larmes sont si pleines d'amour, il n'a plus besoin de lumière car ses yeux sont pleins d'obscurité, comme l'eau suis la lune, il suis et continue.
Va il voir autre chose que ce que ses yeux veulent bien voir, la vie n'est pas ce qu'il désire, perdre son temps avec les regrets et la haine ne l'intéresse plus, être brisé, être de glace, il change, il ouvre son coeur.

Godollo erra mélancoliquement dans ses souvenirs, il cherchait des songes ou des fantasmes pour lui rappeler ce qu'il est, la chasse ne fut pas bonne, il ne rapporta pas de gibier.
Le papillon a été apprivoisée très rapidement par l'institut, seul il ne peut plus rien faire, il n'a rien et n'aura rien seul.
Même si il ne ressens aucun plaisir à retourner là bas, c'est la seul solution pour (sur)vivre un peu plus longtemps.
Le Machaon a trop fréquenté la mort, il s'en ait lassé, ce rapprochait d'elle le plus prés possible ne l'a jamais excité, le mutant l'a fait car la souffrance était une nouvelle sensation, il a voulu faire connaissance.

Les aiguilles de l'horloge ont avancé, Godollo s'approcha doucement de l'institut, elle sent un parfum unique, tout est particulier, il y a quelque chose dans l'air qui rends de bonne humeur, ça lui a manqué d'être heureux.
Quand Godollo s'est éloigné, il a cru que le monde était plat, même si monsieur Galilée le conteste, revenir lui a redonner la foi, elle n'est pas poétique, elle a des défauts, mais c'est une fleur dans son coeur.
La vie est une collection de souvenirs, il ne se rappelle de rien plus de plus qu'elle, c'est la meilleure chose qui lui est arrivé, dans le profane et dans le sacré.

Le mutant a trop de questions qui n'ont pas de solutions, il a perdu ses illusions et il veut une explication, il y a aucune compréhension que son crâne est une isolation, quand il voit toute la destruction ce qu'il veut c'est une célébration.
Après avoir transformé son coeur en cage, après avoir libéré sa rage, son père est mort, sa mère aussi, maintenant il doit exister, se lier d'amitié, ressusciter et se réinventer.

Hall