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Re: Chambre de Daniel et Yuhigi
Mer 28 Jan 2009 - 3:26
Iacobo défroissait patiemment son nouveau pantalon dont il se plut à imaginer le prix équivalent à celui de la ferme familiale et perdue d'Alixtide. L'évocation même de son nom et de son estomac infesté lui rappelèrent ses nombreuses provocations, notamment autour du vol d'un de ses caleçons : il se promit de le châtier brutalement dans les semaines à venir. Infâme et sordide petite créature toxique.
Pendant ce temps là, Joachim se confessait comme le dernier des teenagers américains vierges, amateurs de bières, de films peu catholiques avec une pointe de rationalisme extrême et gothique. Il se prit presque de pitié pour Claire et les futures nuits qu'elle allait subir au cœur des expérimentations anatomiques de son nouveau petit copain moustachu.
Joachim s'efforça à ne pas s'imaginer en l'état actuel des choses...il avait raison. Involontairement, il transmit à Iacobo ses extrapolations éroticoratées. Le serbe murmura un juron serbe.
Qu'avait-il pu faire jusqu'à présent à part jouer de la guitare, décortiquer des oiseaux morts et empoisonner les animaux domestiques de ses voisins ? Une éducation à refaire... une fois de plus, triste Claire : elle allait sans doute subir.
Toutefois l'ancien prostitué n'avait pas oublié les moqueries bravaches de son colocataire et estima donc qu'il était temps de lui faire payer en profitant de son inexpérience dans la matière sensuelle.
"Laisse tomber, cela ne sert à rien d'y penser. Ceci sera mon seul conseil petite raclure : sors de cette chambre, va voir ta dulcinée. Fixe la quelques secondes droit dans les yeux : si elle fait de même, plaque la contre le mur le plus proche tout en apposant une main sur sa cuisse et tourne à vitesse régulière ta langue dans sa bouche"
Bonne soirée Claire...
Pendant ce temps là, Joachim se confessait comme le dernier des teenagers américains vierges, amateurs de bières, de films peu catholiques avec une pointe de rationalisme extrême et gothique. Il se prit presque de pitié pour Claire et les futures nuits qu'elle allait subir au cœur des expérimentations anatomiques de son nouveau petit copain moustachu.
Joachim s'efforça à ne pas s'imaginer en l'état actuel des choses...il avait raison. Involontairement, il transmit à Iacobo ses extrapolations éroticoratées. Le serbe murmura un juron serbe.
Qu'avait-il pu faire jusqu'à présent à part jouer de la guitare, décortiquer des oiseaux morts et empoisonner les animaux domestiques de ses voisins ? Une éducation à refaire... une fois de plus, triste Claire : elle allait sans doute subir.
Toutefois l'ancien prostitué n'avait pas oublié les moqueries bravaches de son colocataire et estima donc qu'il était temps de lui faire payer en profitant de son inexpérience dans la matière sensuelle.
"Laisse tomber, cela ne sert à rien d'y penser. Ceci sera mon seul conseil petite raclure : sors de cette chambre, va voir ta dulcinée. Fixe la quelques secondes droit dans les yeux : si elle fait de même, plaque la contre le mur le plus proche tout en apposant une main sur sa cuisse et tourne à vitesse régulière ta langue dans sa bouche"
Bonne soirée Claire...
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Re: Chambre de Daniel et Yuhigi
Mer 28 Jan 2009 - 9:41
(HRP : J'ai posté en conscience du fait que c'est sûrement une des pires solutions qui s'offraient à moi. Si ça ne semble pas possible n'hésite pas à m'en faire part j'éditerais, mais tu me connais ^^ De même vis-à-vis de la résolution)
Joachim regardait Iacobo s'habiller. Il pensait en même temps à toute sa soirée et à ce que tout ça pourrait amener. Il écouta le conseil de Iacobo avec intérêt et essaya de s'imaginer un peu les choses. Néanmoins c'était compliqué, ça engageait qu'il se permette beaucoup de choses. Il posa ses yeux sur Iacobo et son pantalon presque défroissé.
Soudain il s'approcha du serbe et doucement mais avec néanmoins une poigne dont il ne faisait que peu souvent preuve et qui serait un peu insoupçonnée chez lui, il le retourna et le plaqua contre l'armoire qui contenait les vêtements du serbe lui et son pantalon. Il s'approcha de lui encore plus langoureusement, son autre main venant se poser doucement, presque dans une caresse, sur la jambe encore sans pantalon avec une gêne inexistante. Joachim ne trouvait presque tout contre lui et le regardait dans les yeux. Il approcha son visage se penchant un peu sur son colocataire, celui-ci filant droit vers sa bouche tout en faisant descendre la main d'épaule sur le bras et remonter un peu l'autre, pour finalement esquiver les lèvres du prostitué et se retrouver leurs visages côte-à-côte. Il murmura à l'oreille de Iacobo. Avec une voix étrange qui laissait filtrer à la fois l'hésitation et l'interrogation, et aussi un sourire et une certaine confiance. Un mélange étrange, sûrement un peu inquiétant.
"Quelque chose comme ça ? Je te passe le tournage de langue, moyennement envie que tu sois mon premier baiser et que tu te sentes torturé toute la soirée de m'avoir loin de toi au cas où je serais bon et dégoûté dans l'autre cas plus probable."
Il s'écarta ensuite assez vivement gageant qu'il ne fallait pas abuser d'un profit de l'effet de surprise qui se dissiperait assurément bientôt. En l'espace de quelques secondes il se retrouvait à nouveau à un mètre au moins du serbe, une main dans les cheveux et son sourire aux lèvres avec un regard qui le suivait toujours porté sur son colocataire. Puis dans une attitude un peu gamine mais en restant toujours attentif au mouvements du serbe. Joachim se tordit comme un enfant gêné, mains jointes, bras tendus entre des jambes dont les genoux rentrés vers l'intérieur. Ridicule, autant qu'une petite fille qui a du mal avec la sucette qu'elle doit choisir, les taches de rousseur, les couettes, la robe et les souliers rouges en moins pour le coup.
"Je sais pas si je pourrais faire ça devant elle..."
Joachim regardait Iacobo s'habiller. Il pensait en même temps à toute sa soirée et à ce que tout ça pourrait amener. Il écouta le conseil de Iacobo avec intérêt et essaya de s'imaginer un peu les choses. Néanmoins c'était compliqué, ça engageait qu'il se permette beaucoup de choses. Il posa ses yeux sur Iacobo et son pantalon presque défroissé.
Soudain il s'approcha du serbe et doucement mais avec néanmoins une poigne dont il ne faisait que peu souvent preuve et qui serait un peu insoupçonnée chez lui, il le retourna et le plaqua contre l'armoire qui contenait les vêtements du serbe lui et son pantalon. Il s'approcha de lui encore plus langoureusement, son autre main venant se poser doucement, presque dans une caresse, sur la jambe encore sans pantalon avec une gêne inexistante. Joachim ne trouvait presque tout contre lui et le regardait dans les yeux. Il approcha son visage se penchant un peu sur son colocataire, celui-ci filant droit vers sa bouche tout en faisant descendre la main d'épaule sur le bras et remonter un peu l'autre, pour finalement esquiver les lèvres du prostitué et se retrouver leurs visages côte-à-côte. Il murmura à l'oreille de Iacobo. Avec une voix étrange qui laissait filtrer à la fois l'hésitation et l'interrogation, et aussi un sourire et une certaine confiance. Un mélange étrange, sûrement un peu inquiétant.
"Quelque chose comme ça ? Je te passe le tournage de langue, moyennement envie que tu sois mon premier baiser et que tu te sentes torturé toute la soirée de m'avoir loin de toi au cas où je serais bon et dégoûté dans l'autre cas plus probable."
Il s'écarta ensuite assez vivement gageant qu'il ne fallait pas abuser d'un profit de l'effet de surprise qui se dissiperait assurément bientôt. En l'espace de quelques secondes il se retrouvait à nouveau à un mètre au moins du serbe, une main dans les cheveux et son sourire aux lèvres avec un regard qui le suivait toujours porté sur son colocataire. Puis dans une attitude un peu gamine mais en restant toujours attentif au mouvements du serbe. Joachim se tordit comme un enfant gêné, mains jointes, bras tendus entre des jambes dont les genoux rentrés vers l'intérieur. Ridicule, autant qu'une petite fille qui a du mal avec la sucette qu'elle doit choisir, les taches de rousseur, les couettes, la robe et les souliers rouges en moins pour le coup.
"Je sais pas si je pourrais faire ça devant elle..."
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Re: Chambre de Daniel et Yuhigi
Jeu 29 Jan 2009 - 4:14
Il y a plusieurs années de la scène présente, Iacobo s'était fait la réflexion, allongé sur un lit double et spacieux, un verre de scotch à la main, que par une cause probablement sociologique, il ne serait amené dans sa vie à ne rencontrer que des individus instables ou dérangés.
Traverser l'Atlantique ne bouleversait pas sa théorie douteuse le moins du monde : trois ans plus tard, il était devenu le colocataire d'un tordu à l'esthétique aussi douteuse que ses théories bistrophilosophiques.
Soit, il s'était brutalement fait plaquer contre sa propre armoire avant de subir les maladroites caresses des mains rudes de Joachim. Certes, ses dernières expériences homosexuelles remontaient à plus d'un an, son interlocuteur ne lui plaisant pas pour toutes les cartes de crédit de la planète et sa récente relation avec Wind l'ayant détourné de toute autre source de désir. Elle s'était accaparé sans le vouloir de toute sa féroce fougue de jeunesse pour la concentrer sur sa fragile personne.
Ce qui le troubla réellement fut ses gémissement suivis d'étranges torsions. On aurait dit un dérangé. Lucide sur sa personne, Iacobo percevait totalement toute la dimension du rôle et de l'image que voulait se donner le gothique moustachu auprès de sa propre personne, et notamment tenter de se mettre sur le même pied d'estale du vice que le serbe. Mais sa comédie était si réelle qu'il y avait plus que du jeu à travers ces petits gestes mongoles.
Une image soudaine lui vint à l'esprit : Joachim cloué contre la porte et le suppliant de le relâcher. Il l'oublia, préférant le plus strict calme tout en continuant à défroisser son pantalon comme si rien ne s'était passé. Un observateur pointilleux aurait remarqué le léger tremblement de ses doigts qui trahissait sa grande nervosité et l'envie à présent pressante de faire part à Wind de tout son talent à la danse.
"Pas terrible. Ne te surestimes pas trop dans le dégout, j'ai connu bien pire, et bien plus longtemps.
J'espère que ce n'est pas l'image de ta nouvelle fiancée qui t'inspire une aussi grosse virilité dans tes gestes, sinon et bien.. tu dois les aimer costaudes.
Cela fera l'affaire. Si elle parait vouloir se dégager de ton étreinte, ne cède pas. Les femmes résistent toujours au départ avant de trouver le courage pour faire le grand plongeon"
Bonne nuit Claire...
Il n'eut pas le temps de savourer les anticipations de la nuit atroce de la jeune femme, une voix se fit entendre dans le silence qui s'installait dans la pièce. Il tendit l'oreille, instinctivement attiré par le chant, il se rua à la porte pour s'y coller.
Le son cristallin de l'ange le saisit à la gorge. Il ne pouvait plus parler. Ses membres se détendirent. Il oublia Joachim. Soudain lesté d'un poids, peut-être le fardeau de la vie lui-même, il se laissa lentement glisser le long de la porte. Ses jambes n'avaient plus la force de le porter sous les coups successifs du brillant opéra personnalisé qui avait lieu.
Affalé le dos contre la porte, il écoutait simplement Wind. C'était brillant, et pur. Tellement pur que son visage rougit sous les coups de fouets invisibles que lui infligeait la sublime.
Ses battements de cœur s'accélèrent, son pouls battait si fort que se cage thoracique semblait bien trop étriquée. Il faillit s'évanouir à la répétition déchirante du mot douleur.
Ses os faisaient à présent des vagues tout le long de ses avant bras. C'était une seringue musicale qu'il venait de s'injecter, ou plutôt qu'on venait de lui injecter. Il ne faisait que réagir aux effets secondaires, terribles mais exquis. Il avait juste eu le temps de relever ses manches en sentant le sommet orchestral arriver.
Il se releva, replaça ses manches et rouvrit la porte.
Elle était là, devant lui. Dans cette vision de classicomane triste mais enchanté, Claire avait disparu. Il se contenta de tendre sa fine main à l'anglaise tout en la fixant.
Folie, folie, folie. Son esprit étouffa ces naissances de pensées personnelles. Métaphoriquement drogué, il ne pensait plus.
"Il est temps d'aller danser la valse des enfers Orphée. Ne te retourne surtout pas"
Couloir des chambres
Traverser l'Atlantique ne bouleversait pas sa théorie douteuse le moins du monde : trois ans plus tard, il était devenu le colocataire d'un tordu à l'esthétique aussi douteuse que ses théories bistrophilosophiques.
Soit, il s'était brutalement fait plaquer contre sa propre armoire avant de subir les maladroites caresses des mains rudes de Joachim. Certes, ses dernières expériences homosexuelles remontaient à plus d'un an, son interlocuteur ne lui plaisant pas pour toutes les cartes de crédit de la planète et sa récente relation avec Wind l'ayant détourné de toute autre source de désir. Elle s'était accaparé sans le vouloir de toute sa féroce fougue de jeunesse pour la concentrer sur sa fragile personne.
Ce qui le troubla réellement fut ses gémissement suivis d'étranges torsions. On aurait dit un dérangé. Lucide sur sa personne, Iacobo percevait totalement toute la dimension du rôle et de l'image que voulait se donner le gothique moustachu auprès de sa propre personne, et notamment tenter de se mettre sur le même pied d'estale du vice que le serbe. Mais sa comédie était si réelle qu'il y avait plus que du jeu à travers ces petits gestes mongoles.
Une image soudaine lui vint à l'esprit : Joachim cloué contre la porte et le suppliant de le relâcher. Il l'oublia, préférant le plus strict calme tout en continuant à défroisser son pantalon comme si rien ne s'était passé. Un observateur pointilleux aurait remarqué le léger tremblement de ses doigts qui trahissait sa grande nervosité et l'envie à présent pressante de faire part à Wind de tout son talent à la danse.
"Pas terrible. Ne te surestimes pas trop dans le dégout, j'ai connu bien pire, et bien plus longtemps.
J'espère que ce n'est pas l'image de ta nouvelle fiancée qui t'inspire une aussi grosse virilité dans tes gestes, sinon et bien.. tu dois les aimer costaudes.
Cela fera l'affaire. Si elle parait vouloir se dégager de ton étreinte, ne cède pas. Les femmes résistent toujours au départ avant de trouver le courage pour faire le grand plongeon"
Bonne nuit Claire...
Il n'eut pas le temps de savourer les anticipations de la nuit atroce de la jeune femme, une voix se fit entendre dans le silence qui s'installait dans la pièce. Il tendit l'oreille, instinctivement attiré par le chant, il se rua à la porte pour s'y coller.
Le son cristallin de l'ange le saisit à la gorge. Il ne pouvait plus parler. Ses membres se détendirent. Il oublia Joachim. Soudain lesté d'un poids, peut-être le fardeau de la vie lui-même, il se laissa lentement glisser le long de la porte. Ses jambes n'avaient plus la force de le porter sous les coups successifs du brillant opéra personnalisé qui avait lieu.
Affalé le dos contre la porte, il écoutait simplement Wind. C'était brillant, et pur. Tellement pur que son visage rougit sous les coups de fouets invisibles que lui infligeait la sublime.
Ses battements de cœur s'accélèrent, son pouls battait si fort que se cage thoracique semblait bien trop étriquée. Il faillit s'évanouir à la répétition déchirante du mot douleur.
Ses os faisaient à présent des vagues tout le long de ses avant bras. C'était une seringue musicale qu'il venait de s'injecter, ou plutôt qu'on venait de lui injecter. Il ne faisait que réagir aux effets secondaires, terribles mais exquis. Il avait juste eu le temps de relever ses manches en sentant le sommet orchestral arriver.
Il se releva, replaça ses manches et rouvrit la porte.
Elle était là, devant lui. Dans cette vision de classicomane triste mais enchanté, Claire avait disparu. Il se contenta de tendre sa fine main à l'anglaise tout en la fixant.
Folie, folie, folie. Son esprit étouffa ces naissances de pensées personnelles. Métaphoriquement drogué, il ne pensait plus.
"Il est temps d'aller danser la valse des enfers Orphée. Ne te retourne surtout pas"
Couloir des chambres
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Re: Chambre de Daniel et Yuhigi
Jeu 29 Jan 2009 - 12:36
[i]Joachim gardait son regard sur Iacobo alors que celui-ci lui répondait. Ca y est, ça ne l'amusait plus. C'était amusant comme on pouvait se lasser. Il avait presque espéré que Iacobo s'emporte. Il ne s'attendait pas à de la révérence ou de l'estime, mais il aurait apprécié un minimum de respect ou de réactivité. Pourtant il continuait de sourire. Il gloussa même un petit peu. Iacobo défroissait à nouveau son pantalon avec nervosité. Soit il était déstabilisé, soit il était pressé. Joachim ne savait pas trop quoi dire.... enfin... pressé sûrement.
L'ambiance se tendait et ça se sentait pourtant Joachim ne répondit pas. Soudain une voix mélodieuse se fit entendre, un opéra étouffé par la porte de leur chambre. Iacobo courut se coller à celle-ci et au vu de son expression et de son attitude, c'était Wind qui chantait, c'était sûr. Joachim posa ses yeux sur le serbe. Alors c'était ça? Aussi tôt qu'il entendait sa dulcinée arriver il se sentait faible. Le X-rays se rappela comment il se sentait quand Claire était là. Finalement ce n'était peut-être pas si différent... sauf que Iacobo était un passionné, corps et âme dans ce qu'il faisait. C'était sûrement ça, et c'était sûrement pour ça que la londonienne était devenue les sujet où, dès qu'il était abordé, il montrait les crocs. Joachim commençait à comprendre certaines choses et si certains auraient pu croire que c'était une honte d'être avec elle. dans l'esprit de Iacobo il s'agissait sûrement plus d'une honte de lui-même qui se sentait tout petit face à elle : une honte d'être avec lui ? Avait-il si peu d'estime pour lui-même ? Joachim ne fit pas de commentaire.
Quand Iacobo ouvrit la porte, l'opéra s'arrêta et il s'y engouffra se m'y à parler comme un acteur. Joachim le suivit.
Couloir des chambres
L'ambiance se tendait et ça se sentait pourtant Joachim ne répondit pas. Soudain une voix mélodieuse se fit entendre, un opéra étouffé par la porte de leur chambre. Iacobo courut se coller à celle-ci et au vu de son expression et de son attitude, c'était Wind qui chantait, c'était sûr. Joachim posa ses yeux sur le serbe. Alors c'était ça? Aussi tôt qu'il entendait sa dulcinée arriver il se sentait faible. Le X-rays se rappela comment il se sentait quand Claire était là. Finalement ce n'était peut-être pas si différent... sauf que Iacobo était un passionné, corps et âme dans ce qu'il faisait. C'était sûrement ça, et c'était sûrement pour ça que la londonienne était devenue les sujet où, dès qu'il était abordé, il montrait les crocs. Joachim commençait à comprendre certaines choses et si certains auraient pu croire que c'était une honte d'être avec elle. dans l'esprit de Iacobo il s'agissait sûrement plus d'une honte de lui-même qui se sentait tout petit face à elle : une honte d'être avec lui ? Avait-il si peu d'estime pour lui-même ? Joachim ne fit pas de commentaire.
Quand Iacobo ouvrit la porte, l'opéra s'arrêta et il s'y engouffra se m'y à parler comme un acteur. Joachim le suivit.
Couloir des chambres
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Re: Chambre de Daniel et Yuhigi
Ven 30 Jan 2009 - 21:47
Iacobo entendit son communicateur grésiller, puis la voix impatiente de Sahari :
"Iacobo? Wind? Nous vous attendons sur scène!"
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Chambre de Daniel et Yuhigi
Dim 31 Jan 2010 - 19:09
Hall
Yuhigi avait suivit speedy Robin jusqu'à sa chambre plaçait en bout de couloir. A l'intérieur, il n'y avait rien d'extraordinaire, c'était une chambre ordinaire. D'un côté il y a des affaires déjà d'installer.
"Je suppose que je vais prendre le coin qui semble vide" dit il en entrant dans la pièce.
Il avança jusqu'à son lit et il y posa son sac. Il n'y avait pas grand chose à l'intérieur, le peu qu'il avait était sûrement déjà partit en fumer. Il essaya le lit en s'asseyant dessus. Il ne remarqua rien de déplaisant, sauf peut être le fait qu'il n'a toujours pas vu avec qui il est.
*Bon maintenant je suis installé, on peut dire qu'en j'en aurais fait du chemin pour venir ici.
Les yeux de Yuhigi s'arrêtèrent sur le lit de Daniel. Il ne put s'empêcher d'imaginer quelle genre de personne il était et si il allait bien s'entendre avec lui, surtout après ses premières rencontres au sein de l'académie.
*Je me demande si ils sont tous aussi speed que Robin, car j'ai un peu de mal à suivre.*
Il se coucha sur le lit, contemplant le plafond, je touchant l'estomac criant famine.
Yuhigi avait suivit speedy Robin jusqu'à sa chambre plaçait en bout de couloir. A l'intérieur, il n'y avait rien d'extraordinaire, c'était une chambre ordinaire. D'un côté il y a des affaires déjà d'installer.
"Je suppose que je vais prendre le coin qui semble vide" dit il en entrant dans la pièce.
Il avança jusqu'à son lit et il y posa son sac. Il n'y avait pas grand chose à l'intérieur, le peu qu'il avait était sûrement déjà partit en fumer. Il essaya le lit en s'asseyant dessus. Il ne remarqua rien de déplaisant, sauf peut être le fait qu'il n'a toujours pas vu avec qui il est.
*Bon maintenant je suis installé, on peut dire qu'en j'en aurais fait du chemin pour venir ici.
Les yeux de Yuhigi s'arrêtèrent sur le lit de Daniel. Il ne put s'empêcher d'imaginer quelle genre de personne il était et si il allait bien s'entendre avec lui, surtout après ses premières rencontres au sein de l'académie.
*Je me demande si ils sont tous aussi speed que Robin, car j'ai un peu de mal à suivre.*
Il se coucha sur le lit, contemplant le plafond, je touchant l'estomac criant famine.
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