Paris ==> Un nouveau départ

Un bruit sonore et désagréable réveilla Makoto qui par pur reflexe balança son réveil a terre pour que le bruit s'arrête. Il se leva ensuite sur son lit et regarda par la fenetre. La rue, inondé de lumiére grouillait de monde car c'était le jour du marché. Makoto farfouilla dans sa mémoire désordonné pour se souvenir de quelque chose...

*Acheter ... Acheter...... Un kilo de pomme de terre ? A non, il faut que je me rachéte juste du riz...*

Le matin, Makoto ne pensez très souvent qu'à manger et l'après midi a dormir. Et entre deux, il pense a travailler. La matiné passa sans probléme, juste un voyou qui lui fouilla les poches de son manteau, mais qui ne trouvera rien car le jeune japonais mettait toujours son argent dans les poches de son pantalon. Il se dégotta un sandwidche a midi, histoire de pouvoir rester dans les rues de la somptueuse capitale avant d'aller travailler. Il s'étira et baîlla un grand coup. L'envie de dormir commençait a annoncer sa visite quotidienne. Bien qu'il ai l'air un peu stupide, il ne faut pas sous estimer Makoto, en effet, il est très intelligent. Il est en effet assez intelligent pour apprendre a parler français alors qu'il a vécu toute son enfance au Japon.

*Bon et bien mon vieux, va falloir encore aller travailler. A que vais je avoir encore comme client ? Une petite vieille qui se fait piquer son sac a main où un gosse de riche qui désire retrouver son bien ? Bah, peut importe, tant que je gagnerai de quoi vivre et que je rende service...*

Sur ses pensés un peu futile, il se dirigea vers la demeure de son prochain client qui habitait dans les quartiers aisés de la ville. La nuit commença a tomber au fur et a mesure qu'il se raprocha de sa destination. Lorsqu'il frappa enfin a la porte de son futur client, il était nuit noire. Les nuits a Paris sont lumineuses, mais les voyous qui y regorgeais n'hésitait pas a braver cette lumiére histoire de piquer des objets de valeurs a leurs victime. Parfois, ils agressent les personnes a l'intérieurs de leur voiture, les foutent dehors et les achévent pour prendre une malheureuse voiture. Un majordome daigna enfin ouvrir a Makoto après quelques minutes d'attentes et le fit entrer.

[HRP : Voilà, si tu veux je peux completer encore mais je préfére te laisser décidé de ce qui va se passer ensuite.]

Le majordome lui ouvrit et le fit entrer avec rien de plus que les formalités d'usage dans une bâtisse hors d'âge à la décoration raffinée. Finalement, il fut introduit dans un cabinet cossu et à la décoration plusieurs fois centenaire. Derrière un bureau de bois et de dorures massif l'attendait un homme qui avait manifestement un peu plus de chemin derrière lui que devant, mais qui gardait une carrure et un style assez imposant. Un militaire ?

Le majordome referma la porte derrière Makoto, l'invita à prendre place sur un fauteuil, puis alla se placer tout près de la porte de sortie, sans faire le moindre bruit.

Un silence quelque peu pesant s'installa alors.

Makoto n'aima pas du tout le silence oprésant du vieux français qui avait plus l'air d'un militaire que d'un "bourgeois". De plus, pourquoi s'était t-il placé près de la porte de sortie ? Avait t-il était retrouvé par la police ? On dirai bien. Cependant Makoto ne s'asseya pas et regarda le vieil homme droit dans les yeux en parlant d'une voix sévére mais dénué d'hostilité.

"Parlons peu mais parlons bien. Vous m'avez appellé pour une raison bien précise. Et ma premiére question sera : suis je ici pour que vous me demander de résoudre un de vos probléme ou est ce que vous m'avez préparé un piége ? Vous n'êtes pas très discret, et votre aspect a plus l'air d'un gars de l'armé que d'un homme riche."

Tout en disant cela, Makoto avait contourné le bureau et se retrouvé a l'opposé de la porte par laquelle il avait entré. L'air extremement calme il interrogea du regard l'homme qui avait l'air de vouloir s'enfuir.

"Une deuxiéme question : pourquoi ? "

[HRP : Tu peux me décrire un peu plus la piéce stp ? ( Aire de la pièce, s'il y a d'autre meuble que le bureau, s'il y a des fenêtre... ) Merci bien ^^ ]

(Note : Je n'ai aucunement été catégorique sur le fait que ton interlocuteur était un militaire. A titre personnel, je te déconseille d'être aussi vindicatif envers des employeurs potentiels, sans quoi tu risques de rapidement te retrouver à la rue.)

Pendant le silence, Makoto avait pu voir la pièce : un cabinet comme il en existe beaucoup d'autre dans les ors des palais français : plusieurs portes, une cheminée monumentale, des tapis, des tapisseries, des consoles avec des miroirs, de grandes vitres avec des vitraux en oeilleton au dessus. Le bureau, monumental, trônait au milieu de la pièce, avec le fauteuil du maître, et ceux pour ses interlocuteurs. Dans un coin de la pièce, d'autres fauteuils autour d'un guéridon, sans doute pour des réunions.

Son interlocuteur croisa les bras, signe que la discussion s'amorçait mal.

"J'ai en effet été officier de l'armée de terre, et je suis maintenant revenu à la vie civile où je vis sur des rentes familiales. Aux derniers nouvelles, ce n'est pas un crime. Asseyez-vous maintenant, et écoutez-moi, si vous ne voulez pas que je fasse donner la garde pour vous mettre dehors."

Son ton et son regard était dur et froid. Il était plus que manifeste que Makoto n'avait pas d'autre option que de ravaler sa fierté, tout mutant qu'il était.

Makoto sourit au militaire avant d'aller s'assoir.

"Excusez moi, c'est le silence pensant qui m'a rendu nerveux, d'habitude l'ambiance avec mes clients est plus détendu. Mais comme vous êtes militaire je comprend parfaitement a présent. J'espére que vous m'en voudrais pas mais je comprendrais que vous soyez faché. Bien venons aux faites. Que souhaiter vous que je fasse pour vous ?"

Makoto s'émerveillé du luxe de la pièce : ses miroirs, ses tapiseries représentant surement l'histoire française, ses fauteuils de grande beauté et surement très confortable, peut être même plus que celui sur lequel il y est assis, un bureau et une cheminée monumentals. Le jeune mutant écouta avec attention l'ancien militaire.

[C'est vrai tu a raison, je suis trop direct. Mais j'aime bien mettre les cartes sur table dés le début de la "partie"]

Son client ne lui adressa pas le moindre sourire. Avoir des subordonnés étant sans doute dans ses habitudes. Il fit un petit hochement de tête, et le majordome vint poser une valise sur le bureau et l'ouvrit. Makoto ne put pas voir son contenu, car celle-ci était ouverte coté militaire. Celui-ci prit la parole.

"Je souhaite vous confier une mission qui va requérir la plus grande confidentialité. Vous allez embarquer dans le prochain bateau en direction de New-York. Vous devrez y rencontrer une usurpatrice qui aura probablement pris le nom de Gina Stephane, ou approchant."

Il retourna la valise. Elle contenait des billets de banque, une carte de crédit, et les billets de bateau.

"Elle s'est emparé d'un certain nombre de données qui vont requérir une récupération rapide, discrète et efficace. Je n'ai malheureusement pas plus de détails à vous donner. L'objet est une carte mémoire, semblable à une carte de crédit comme celle-ci, mais non sérigraphiée."

Il referma la valise, et attendit une réponse.

"J'ai l'impression que votre probléme ne vous concerne pas personellement. Enfin, ce n'est qu'une impression n'est ce pas ? J'accepte votre affaire, dans quel circonstance je vais devoir rencontré cette usurpatrice ?"

Il écouta la récompense du général et regarda les billets du bateau pour voir a quel heure son embarquation quitter le port. Il prit ensuite les billets et la carte de crédit pour les mettres dans sa poche. Il referma ensuite la valise et se leva.

"Pourriez vous me faire une faveur quand je reviendrai ? J'aimerai que vous me dite pourquoi je dois récupéré votre carte mémoire. Voyez vous, j'aime bien savoir pourquoi je travaille. Je ne suis pas un simple mercenaire vous comprenez ? Si jamais vous ne souhaitez pas me confier votre secret ce n'est pas grave. Sur ce je vais prendre congé si vous me le permettez."

Il se dirigea vers la porte de sortit et regarda le majordome.

L'homme lui octroya un simple sourire qui était beaucoup plus long que ses paroles :

"je ne sais pas. C'est une espionne et voleuse professionnelle. Elle peut prendre bien des apparences. Nous avons fait appel à vous parce que vous avez bonne réputation, et que vous êtes spécial. Pour ce qui est de la récupération, je peux simplement vous dire que c'est parce qu'elle contient des données qui me sont très précieuses."

Le majordome le conduisit sans un mot sur le chemin du retour. Ce n'est qu'à l'extérieur de la bâtisse qu'il lui demanda :

"Monsieur souhaite-t-il que je l'emmène directement au port, ou bien devons nous passer chercher vos affaires ?"

Makoto souria au majordome et lui montra la valise.

"Si vous me le permettez, nous irons chez moi pour déposer ça. Ensuite vous me déposerez au port. Ne vous inquiété pas, ce n'est pas si loin d'ici."

Il grimpa dans la voiture et commença a réfléchir sur la situation.

* Une voleuse capable de se déguiser de maniére varié et différente... Ferait elle partit de ces mutants... Et est ce que j'en ferais partit moi aussi ? J'ai de la force, beaucoup trop pour un humain normal... Cette mission me permettra de faire le point sur moi même et sur mes capacités... Peut être qu'après la mission je pourrais aller a Salem, dans ce centre de mutant, histoire de vérifier... Ah, voilà mon bateau...*

[HRP : Je voulais pas faire de message trop court. Excuse moi >_<]

Le majordome l'emmena sans un bruit, au moyen d'une très luxueuse limousine qui devait coûter une fortune en carburant à son propriétaire. Après quelques temps d'un trajet tranquille, ils arrivèrent chez lui.

Une fois que Makoto eut ramassé ses affaires, il fut conduit au port, toujours en voiture. Et après 4h d'un trajet fluide et dans le plus parfait silence, il fut déposé devant un hall d'embarquement où se pressait une foule de personnes fortunées, pour la plupart, âgées : le hall des 1ere classe. Il fallait maintenant passer les formalités douanières, ce à quoi se pliaient les mamies avec un certain dégoût à l'idée d'exhiber le contenu de leur sac à main.

Le majordome l'apporta chez lui et Makoto descendit du véhicule pour aller dans son appartement où il prit quelques affaires, son passeport et dépossa 90 % du contenu de la valise dans un coffre. Il choisit de garder 10 % sur lui pour le voyage. Le majordome le conduisit ensuite au port.

Il penetra dans le hall des premiéres classes : un hall bien propre mais innondés de riches vaniteux et de vieillard impatient de profiter de leurs dernier jours a bord d'un bateau bien confortable pour pouvoir observer le coucher de soleil. Makoto s'aprocha de la douane ( remarquant le regard dédaignaux des personnes sur son aspect bien modeste par rapport a eux. ) Et ouvrit son sac qui ne contenait que des vêtements et des affaires d'usages quotidients ( brosse a dent, dentifrice, shampoing et gel douche. ) Il présenta aussi son passe port.

*Bon normalement, je n'atirerai pas trop l'attention, mais j'espére juste que j'aurai pas a avoir me battre.*

(HJ : pas de paranoïa : si je ne fais aucune référence à cela dans mon post, c'est que les gens ne te remarquent pas.)

Les quelques formalités accomplies, il fut conduit jusqu'à un monstrueux paquebot dernier cri, via une passerelle semblable à celle des avions... semblable à de nombreuses autres toutes aussi remplies de gens d'aspects variés : 2e, 3e, 4e classe... Depuis que l'avion était si cher, le bâteau était revenu sur le marché, et s'était popularisé au vu des services supplémentaires qu'il proposait.

Manifestement, pour les premières classes, le "service supplémentaire" consistait en des hôtesses particulièrement jolies qui le menèrent à sa cabine, et lui demandèrent d'y rester jusqu'à la sortie de la jetée qui lui serait indiquée par un voyant lumineux vert au dessus de sa porte.

En attendant, il était seul dans une cabine grande comme une chambre d'hôtel, et tout aussi luxueuse : lit deux places, boiseries, miroirs, salle de bain toute en marbre, minibar, hublot donnant une belle vue sur la mer...

Au bout de quelques dizaines de minutes, le voyant au dessus de sa porte passa au vert. Il avait trois jours avant de finalement accoster à New York.

*Cette cabine est vraiment luxueuse, mon client souhaite vraiment mon confort. Peut être pour s'assurer que je vais accomplir ma mission a bien en gage de reconnaisance ?*

En attendant de pouvoir sortir de sa cabine, Makoto déposa ses affaires sur le lit et se regarda dans le miroir. Il avait sentit beaucoup de changement dans son corps ces temps ci, il se sent plus fort, plus résistant. Comme s'il était un surhomme, pour l'instant, il mettait cela sur le fait qu'il soit un adolescent et que c'était sa puberté qui le perturbait un peu. Mais il ne pouvait ignorer l'existance des mutants et la probalité qu'il pouvait en être un. Il observa donc réguliérement son corps par pur paranoïa. Voyant que le voyant vert se ralluma, il observa le hublot deux secondes et chercha ses lunettes de soleils dans sa valise. La couleur des verres le rend un peu marginal puisqu'elles sont violettes, mais Makoto les apréciait beaucoup car c'est un cadeau de sa premiére et seule petite amie qu'il a eu au lycée de Tokyo. Il y avait trois jours avant d'arriver a New York.

*Pourquoi ne pas visiter le bateau en attendant ? Je n'ai rien d'autre a faire.*

Sur cette pensé, il passa la porte de sa cabine et la referma a clef avant de commencer a visiter le bateau.

[Dis moi, tu n'aurait pas une idée derriére la tête ? XD
C'est pas William cette fois ^^ donc le coup des hotesse .... ]

(HJ : j'ai toujours une idée derrière la tête)

Le bateau était positivement gigantesque. Des cabines à perte de vue dans certains ponts, mais pour toutes les zones publiques, c'était une vraie ville... ou plutôt, un vrai quartier de loisirs : des restaurants chics partout, une scène de cabaret, des casinos, des piscines, jacuzzis, centres de massages, et même un cinéma ! Et partout, du personnel souriant et accueillant.

[Attention les hotesses tueuses vont passer a l'attaque XD]

*Et bien, ce n'est plus un paquebot où je suis mais une forteresse flottante. Après le chateau ambilant voila le chateau flottant...*

Makoto aimait beaucoup les classiques cinématographique des années 2000. Il regarda les prix des restaurants, cabarets cinémas et autres. Il regretta alors de n'avoir pris que 10 % du contenu de sa valise.

*Nannnnnnnn ! C'est presque hors de prix, et en plus les films ne sont pas interresant ce soir. Je me laisserai bien tenter par le massage a cause de mon stress habituel avant le déroulement d'une mission. Mais vu le prix... Il me reste plus qu'a essayer de trouver une occupation jusqu'à ce soir...*

Il choisit d'aller au cabaret où l'entrée était gratuite, il prendrait une consomation pas trop cher.

Dans ce genre de palace flottant, toutes les entrées étaient gratuites, mais les consommations ne l'étaient malheureusement pas. Ils ne servaient que du champagne, du vin, et des cigares. Et que des trucs millésimés !

En tout cas, le spectacle commença. Un spectacle assez osé où les filles étaient fort court-vêtues, et les garçons aussi. Une petite amourette légère et délurée, des danses, des numéros de cirque, et un joli final.

La meneuse de revue était particulièrement excellente dans son rôle de paumée rêveuse qui passait au milieu des tables de spectateurs tout en chantant et en aguichant les riches clients qui se trouvaient ici.

Le spectacle terminé, au bout de trois heures, sous un tonnerre d'aplaudissements, les différents acteurs, méconnaissables car habillés en civil, se joignirent au reste des festivités.

Makoto rougisait violament tout en observant le spectacle.

*Mais qu'est ce qui m'a prit de venir ici. J'ai vraiment honte de continuer a regarder. Mais bon, après tout je suis un humain comme les autres... Enfin, concernant mes goûts sur les filles en tout cas...*

Il commanda un verre de vin, et il précisa bien " un verre " de peur de se faire anarquer. Il continua d'observer les dances des jeunes femmes et aplausisa doucement a la fin du spectacle. Les acteurs étaient alors habillés en civiles pour se joindre aux autres personnes. Il remarqua alors l'une des actrice dans le groupe et leva son verre dans sa direction pour la féliciter de sa prestance sur la scene. Mais il eut bien peur qu'elle ne le remarqua pas.

*Bon, j'ai trois jours sur ce bateau, j'espére bien qu'elle me remarquera pendant la traversé... Mais a quoi je pense moi ? Concentration ! Je dois pas penser a autre chose !*

Sa cible ne la remarqua évidemment pas, mais une paire de bras l'enlacèrent directement. Vêtus de longs gants en velour noir brillant.

"Bonsoir... Je suis Tina. Comment vous appelez-vous ?"

Elle se déplaça finalement pour s'assoir en face de lui. Une sympathique blonde bouclée en robe fourreau noire fendue quasiment jusqu'aux fesses. Pas un rôle principal, pas la plus douée du lot, mais remarquable tout de même.

"Le spectacle vous a plu ?

Makoto fut très surpris et rougis lorsque les bras l'enlacérent. Il reprit sa couleur normal lorsque les bras le lachérent.

"Je m'appelle Himura Makoto, enchanté de faire votre connaisance mademoiselle, il lui sourit avant d'ajouter, oui le spectacle ma beaucoup plus. Je regrette cependant de ne pas vous avoir vu un peu plus, vous étiez remarquable."

Il posa son verre. Il savait que c'était un moyen de le faire consommer mais il la regarda en lui demandant :

"Vous désirez boire quelque chose en ma compagnie ? Je ne compte pas rester lontemps mais de la compagnie ne me déplairait pas du tout pendant ce court laps de temps."

Elle croisa sensuellement les jambes, et étala ses bras sur le dossier de son fauteuil histoire de mieux mettre sa poitrine en valeur.

"Hmm, pourquoi pas... Mais uniquement si c'est vous qui invitez."

Elle fit un signe à un serveur qui aurait pu poser sans honte dans une publicité pour des sous-vêtements minimalistes en lui murmurant un léger "comme d'habitude"

"Un homme doit toujours invitez une femme en France n'est ce pas ?"

Le serveur apporta la commande de Tina. Makoto leva son verre et prononça :

"Portons un toast a votre futur succès et a notre rencontre !"

Le jeune mutant faisait tout son possible pour que son regard ne dévie pas sur la sublime poitrine de la jeune femme.

*Elle me drague ou quoi ? Sans doute pour que je lui paye un verre mais bon. Elle est obligé d'étaler sa marchandise de cette façon. Je ne comprendais jamais les occidentalles. Au Japon les filles sont plus atrayante parce qu'elle sont plus pur... Hmmm, ça doit être du C au moin... AAAAAAAAHHHHHHH jai regardé !*

Makoto détacha son bref regard des seins de la jeune femme et lui sourit avant de lui demander.

"Vous travaillez sur ce bateau ou vous allez en Amérique ?"

Tina haussa les épaules, avec un sourire malicieux :

"Je ne sais pas, je suis allemande... Les manières françaises sont si étranges, et si follement désuettes... "

Elle but une gorgée de son liquide bleuâtre servi dans un verre conique avec un petit parapluie. Faisant la gênée que Makoto la matte de la sorte.

"Hmm... Je travaille ici oui, mais j'en profite pour traverser. J'espère faire carrière aux Etats-Unis."

Elle croisa subtilement ses jambes.

"Et vous... Vous êtes là pour traverser, ou pour avoir un peu de bon temps ?"

[Tu dois (pas) être très subtile dans la vie ^^ ]

Makoto ria un peu a la remarque de Tina. Il la regarda dans les yeux et répondit d'une voix douce.

"Je suis là pour traverser, mais je compte bien prendre un peu de bon temps. Parce que trois jour sur un bateau, c'est long. Alors un peu de bonne compagnie fait passer le temps plus vite vous ne croyez pas ?"

Il regarda avec interet les yeux de la jeune femme en esperant y voir une quelqu'onque emotion.

(HJ : je ne te permets aucun commentaire sur ma vie privée. Le passé simple de rire est : rit)

Ses yeux bleus montraient une seule émotion particulière : la lubricité. Tina était vraiment une allumeuse de première. Elle se releva alors, son verre était fini.

"Vous avez l'embarras du choix sur ce bateau : spectacles, casinos, cinémas, détente, en solitaire, ou à plusieurs... C'est uniquement à votre bon vouloir."

Elle mit la main à son corsage, en sortant une sorte de carte de crédit. Elle la rangea, puis en sortit une autre du même endroit... Combien de cartes tenaient entre ses seins ? Mystère... En tout cas, elle donna cette carte au serveur.

*Ahhhh, quel manque de chance, je suis tombé sur une perverse... mais d'où ellle sort ces cartes de crédit ? C'est une mutante ou quoi ?*

Comme il avait finit son verre il se leva et peya son verre et celui de Tania en liquide. Il lui tandis la main ensuite comme pour l'inviter a la prendre.

"J'aimerais bien prendre un peu de bon temps avec quelqu'un. Si vous êtes seule ce soir je peux vous demandez de m'accompagner s'il vous plait ?"