Jon à Los Angeles

Sur Venice Beach, Jon et quelques amis sont assis à un bar en terrasse. Ils boivent de la bière

"Franchement, je m'ennuie là! Y a vraiment rien à faire sur cette plage.
- C'est vrai que les nanas sont de plus en plus rares par ici Jon! On devrait peut-être aller chez toi?
- Et pour faire quoi? En plus ma mère a son "kiné".
- Encore? Mais elle l'a pas eu hier aussi
- Oui, elle est très souffrante, du coup il reste dormir à la maison. Mon père est encore à Paris cette semaine
- On peut aller sur santa Monica boulevard
- Bonne idée, y a un nouveau centre commercial qui vient d'ouvrir, on peut y faire un tour, au moins ça nous occupera"

Ils descendent du bar et se retrouvent sur Lincoln boulevard. Un vieux assis parterre leur demande de l'argent. Il est saoule. Jon le regarde et se met à rire

"Alors papy, on a besoin d'argent pour s'acheter sa bière de clodo. T'as qu'à te trouver un travail! Mais je suis quelqu'un de très gentil"

Il sort un bille de 50$ et le montre au clochard puis il le déchire en plusieurs morceaux

"Si tu y tiens tellement, tu arriveras à le recoller"

Puis il s'en va avec ses amis en riant


*J'crois que je suis saoul!*

Il monte ensuite avec ses amis dans sa voiture, garée sur Palms Blvd. C'est une voiture de sport dernier cri. Mais voilà, Jon est un peu bouré....
Il démarre donc et prend par Rose avenue mais voilà, il est arrêté au croisement avec Walgrove. Deux policiers le font se garer sur le côté et lui demandent de descendre.

Jon descend l'air énervé, regarde ses amis puis prend un ton condescendant

"Ecoutez-vous savez qui je suis?
- On s'en fout, papier du véhicule s'il vous plait!
- Non mais vous m'écoutez?!
- Vous êtes ivre?
- Mais qu'est-ce que vous racontez?"

Le policier sort un écran plat

"Vous allez regarder fixement cet écran et on saura si vous êtes saouls
- Il n'en est pas question. J'vais appeler mon père, il règlera ça avec vous.
- Ecoute, petit merdeux, on va pas se laisser acheter par un gosse de riche minable, tu vas regarder cet écran et tu vas nous suivre jusqu'au commissariat!"

Le jeune homme semblant ne vouloir obéir aux ordres des policiers, l'un d'eux sort une paire de menottes

"Euh, vous comptez faire quoi avec ça
- Pour outrage à agent, refus de coopérer et ivresse au volant je vous arrête
- Vous délirez là! J'irais nulle part! C'est pas des cops comme vous qui allez m'embarquer"

L'un des policiers sort alors un revolver

"Je vais devoir vous endormir si vous refusez de nous suivre"

Jon est paniqué face à l'arme

"Mais qu'est-ce que vous faites! Baissez votre arme! J'suis pas un criminel moi!
- Laissez-moi vous mettre les menottes alors!
- Espèce de ripoux"

Le ton hausse encore et la situation est tendu, le policier menace toujours Jon avec son arme et ce dernier panique de plus en plus!

Tout à coup, l'arme part en poussière. Les policiers le regardent étrangement, des gens commencent à venir voir ce qui se passe...

hrp : ok pour ton amorce d'histoire, mais à l'avenir essaye de laisser un peu plus d'ouverture pour que le courtier te réponde.

Le premier policier n'en crut pas ses yeux. Le second reprit le dessus et dégaina son arme pour mettre Jon en joug.

"Plus un geste, t'es en état d'arrestation. Je te préviens t'es en train d'aggraver ton cas."

Il fit un signe de menton à son collègue pour qu'il menotte l'arriviste. Une troupe de badaux étaient maintenant très intéressés par la tournure que prenait l'affaire. Les amis de Jon, toujours dans la voiture, hésitent quant à la marche à suivre.

(hrp: oui désolé, c'est vrai que la situation semble bloquée, j'ai pas encore l'habitude du courtier)

"Mais j'ai rien fait, j'ai touché à rien, j'y suis pour rien, j'comprends plus rien à votre histoire."

Il semble se laisser faire

"Ok, j'vous suis juste qu'au commissariat, mais je vous préviens que c'est votre dernière semaine de travail, mon père vous fera virer, sales flics!"

Il lève les mains

Pendant que l'autre garde en joue Jon, un des policiers serre fermement les menottes autour d'un poignet du mutant, lui tord le bras dans le dos puis serre l'autre menotte autour de l'autre poignet. Jon est maintenant totalement immobilisé et les policiers le traine en remontant la rue.

Au moment où, Jon et ses geoliers passent devant un SDF, celui se léve pour insulter le mutant. Les policiers après avoir discuté apprennent les agissements du jeune homme, il décide alors de ramasser les morceaux de billets dans un sachets pour pièces à conviction, en effet, les billets de banque sont le proprièté de l'état et les détruire est interdit, ce qui ne devrait pas faciliter les choses pour Jon.

"Mais qu'est-ce que vous faites avec ce billet?! Juste parce que je l'ai déchiré. Pfff, ça change quoi, de toute manière j'en ai plein de billets comme ça, j'peux en donner un autre à ce sale clodo, du moment qu'il me touche pas!! Vous comptez me faire faire tout le tour de LA! J'ai une réputation, moi!"

[bien le coup des billets de banque ]

Quand nos amis des forces de l'ordre entendirent ce jeune pouris parler, ils ne purent que très difficilement retenir leur envie de lui foure un point dans la gueule.

"Ecoute-moi bien petit merdeux, ce clodo comme tu dis vaut 1 000 fois plus que tout ce que tu pourras te payer et ton argent, tu peux te le foutre là où je pense, pour les délits que tu as commis aujourd'hui, peut-être que ton cher papa pourras t'éviter d'avoir des ennuis mais en attendant qu'il puisse réagir, tu vas voir ce que c'est que de ne rien avoir."

Pendant que William parlai à Jon, Peter le fit entrer sans menagement dans la voiture de police mai il oublia malenconteusement de lê forcer à baisser la tête qui percuta violemment le montant de la voiture.

"Et maintenant, tu la ferme si tu ne veux pas te retrouver en tole."

Jon saigne du nez à cause du choc violent

"Putain de fils de p..."

Il s'arrête et fixe les policiers dans les yeux

"Mon père vous fera virer et après, pour m'avoir pété le nez je vous viderai de tout votre fric et je m'acheterai une porsche avec, alors que vous crèverez de faim! On verra bien qui rira!"

*Sale flics pourris! Quand je pense que pendant ce temps, ma mère se tappe le kiné!! J'espère que je pourrai la joindre du commissariat pour qu'elle appelle papa*

Les deux policiers emmenèrent Jon jusqu'au comissariats central et le jetèrent en cellule de dégrisement avec tous les SDF qui boivent pour ne pas mourir de froid la nuit, l'odeur eétait effroyable dans la cellule mais qui cela pouvait-il deranger puisque le surveillants des cellules se trouvait de l'autre coté de la caméras qui se trouvait dans un coin de la pièce.

"Bonne nuit, désolé si on ne peut pas te donner une cellule individuelle avec vue sur la mer mais elle est déjà prisen alors au revoir."

Sans laisser une seconde à Jon, les policiers sortrent de la pièce et fermèrent la porte afin que personne ne puisse entendre quoique se soit de l'extérieur.

Jon tape sur la porte comme un dingue mais personne ne l'entend.

*Ca pue ici!!! J'ai envie de gerber*

Il va gerber dans un coin de la cellule puis va à l'autre bout, dans un coin où il n'y a pas trop d'SDF puis il se met le T-Shirt sur le nez pour ne pas sentir le puanteur. Il est recroquevillé(oulala, l'ortho).

La meute de clochards, habitués de la cellule commença à s'approcher de Jon. D'abord, intimidés, ils faisaient quelques pas puis repartaient dans leur coin au moindre mouvement. Un bruissement, une rumeur, ils parlaient entre eux, bien que leur language fut difficilement compréhensible.

Puis ce fut des mains, effleurant les chaussures de Jon, puis sa veste, ses vêtements.
Puis une voix grasse, pâteuse et rocailleuse se fit entendre.

"Alors mon poulet... On a quitté la basse-cour, c'est pas bien ça..."

La situation devenait complexe pour Jon.

Jon commençait à avoir vraiment peur

"Me touchez pas, vous!"

Il se recroquevilla encore plus, en espérant qu'on vienne rapidement le chercher. Il espérait oublier l'odeur, chose assez difficile. Le clochard qui lui parlait avec les cheveux gras, le visage sales, portait des haillons et sentait l'alcool ainsi que la cigarette froide
Jon avait encore envie de vomir, il se tourna sur sa droite pour le faire mais il n'avait plus rien dans le ventre, il ne sort plus que de la bile. Sa gorge le brûler ainsi que ses yeux. Il étouffait dans son coin espérant que le cauchemar se terminerait bientot.

Ces clochards, le regardant de haut depuis la première fois le terrifier de plus en plus. Il avait déjà été au commissariat, mais jamais enfermé dans une cellule, qui plus est avec les clochards. Il craignait leurs effleurements, en espérant qu'ils n'en voulaient qu'à sa veste ou ses chaussures. Il avait envie de pleurer, pour la première fois depuis bien longtemps, depuis la mort d'Helen en fait. Mais il se jure d'être fort, le plus fort possible afin que les clochards n'abusent pas de la situation.

Les clochards s'enhardirent, alors que Jon perdait légèrement ses moyens. D'autres s'approchèrent, et tirèrent sur sa veste, pour la lui arracher, tiraient sur ses souliers, ou essayaient de le sortir de son coin.

Le chef de la bande cracha par terre juste devant lui et s'exclama :

"Alors milord ? Vous êtes venus dans la cour des miracles, mais ici, c'est moi qui dirige... Plus vous avec vos vêtements de marque et votre air prétentieux... Et vous savez ce qu'on fait aux jeunes blancs becs qui ne sont pas dans les jupes de leur mère ici..."

Il eut un petit rire en se frottant sa barbe de 3 jours, son autre main reposant négligemment sur sa boucle de ceinture, les autres prisonniers éclatèrent d'un rire gras, en perspective de ce qui allait arriver.

Jon se tourne vers la caméra de la cellule. Il la fixe une seconde en espérant que les policiers viendront. Il se dit que même ces policiers ne laisseraient pas faire une chose pareille. Il ne sait pas comment s'en sortir. Il repousse tant bien que mal les mains des clochards qui se baladent sur ses vêtements. Jon avait beau être un jeune homme fier, arrogant, imbu de sa personne, il ne faisait plus le malin. Il avait dessaoulé et se rendait compte de la tournure que prenait les événements. Lorsque le chef des clochards cracha à ses pieds, il eut un rictus montrant son dégout. Lorsque le clochard posa sa main sur la boucle de sa ceinture, Jon compris que seul un miracle pourrait le sauver. Les secondes paraissent durant des heures, il jetait de temps à autre un regard sur la porte, espérant qu'elle s'ouvre. Attendre, il ne lui restait plus que ça à faire.

[HJ: Juste une question d'orientation si la situation empire encore lol (débouclage de ceinture par ex): Penses-tu que je doive faire usage de mes pouvoirs? Dans quelle mesure(intensité)? Merci]

(HJ : Tu fais ce que tu veux, le courtier n'est pas là pour jouer à ta place, mais pour permettre à l'Histoire de se continuer... Il n'y a pas de destin mais ce que les joueurs font :p)

Les policiers étaient officiellement partis en pause. A vrai dire, ils s'en fichaient un peu de ce qui pourrait arriver à Jon, ils se disaient que passer un peu de temps avec des clochards lui apprendrait la vie.
Dans la cellule, l'ambiance était très tendue. Les ivrognes s'enhardissaient de plus en plus et ressemblaient à une meute de chien qui se bagarrait pour savoir qui aurait les meilleurs morceaux laissés par le chef qui avait détaché sa ceinture, et qui la retirait des passants de son pantalon.
Une fois la lanière de cuir dans sa main, il prit les deux bouts dans la même main et s'accroupit devant Jon, prenant son fin visage dans une de ses mains calleuses et crasseuses. Il parla d'une voix presque amicale, tout en passant le morceau de cuir contre son oreille, descendant sur le cou.

"Je suis sûr que t'as pas l'habitude de ce genre de choses, petit morveux... Mais mes copains, ils ont bien envie de se défouler... Faut pas compter sur les matons ici, ils sont quasiment aussi ivrognes que nous."

Et il partit d'un rire gras et sonore.

Lorsque la main du clochard toucha la peau de Jon, ce dernier frémit. L'odeur était insupportable et la peur le tétanisait. Quand le cuir caressa son visage de manière malsaine et presque perverse, il leva ses yeux vers le chef de la meute. De larges cernes se dessinaient sous les yeux de Jon, ses lèvres étaient collées l'un à l'autre, comme scellées. Avec un grand mal, il ouvre la bouche et dit d'une voix hésitante.

"Si c'est mes chaussures que vous voulaient ou ma veste, tenez, prenez-les"

Jon enlève sa veste et la jette aux pieds du chef des clochards.

"Ca ne me sert à rien ici. Maintenant, rangez vos ceintures et laissez moi tranquille"

Il se recroqueville à nouveau dans son coin

Deux mendiants semblables à ces espèces de chiens stupides se jetèrent sur la veste et se battirent à moitié, l'arrachant pour savoir qui pourrait la porter.

Le chef de la bande, toujours accroupi devant Jon, lui murmura.

"Regarde dans quel état tu les mets... de vraies gonzesses... C'est pas très gentil de ta part..."

Il se leva alors, et s'éloigna d'un pas pour se retourner d'un coup sec, administrant un cinglant coup de ceinture (sans la boucle) au niveau de la taille de Jon. L'instrument était mal étudié, il faisait mal, mais n'avait pas déchiré la chemise.

Le coup de ceinture avait brulé la peau de Jon, heureusement qu'il avait sa chemise, sinon le cuir l'aurait marqué encore plus gravement. Il poussa un cri de douleur lors du coup. Dans un cri désespéré il lança:

"Foutez moi la paix!!!!!"

La ceinture que tenait le bourreau partit alors à l'autre bout de la salle. Jon resta bouche bée, ne sachant pas vraiment qu'il en était le responsable. Il profita de ce moment d'inattention collective pour sauter de son coin et se diriger vers la porte. Il remuait la poignée tant qu'il pouvait mais celle-ci était bien trop solide pour qu'elle se casse. Un clochard aux dents crasses et plombées sourit perversement. Jon donna des coups de poing sur les la porte en hurlant

"Ouvrez-moi bord** de me***!!!!!!!!!!!"

Mais personne ne pouvait l'entendre de l'autre côté. Il essaya encore d'ouvrir la porte en remuant la poignée, mais bien sur, rien n'y fit. Il y mit toutes ses forces, en vain.

"Saleté de poignée!! Tu vas casser"

Puis tout à coup, la poignée disparut. La porte s'ouvrit et Jon tomba à plat ventre sur le sol hors de la cellule. Il rampa sur un mètre puis se releva péniblement.

La ceinture volant à travers la pièce surpris les clochards qui s'immobilisèrent un instant, répit qu'utilisa Jon pour s'enfuir en dissolvant la poignée de porte.

Voyant le carré de lumière de la porte se découper, les hommes reprirent rapidement leurs esprits, et foncèrent vers la liberté, remettant Jon par terre et lui marchant dessus dans une scène digne des cartoons du XXe siècle.

Après un temps qui parut infiniment long à Jon, il put voir une paire de pieds devant sa tête, surmontés d'un pantalon d'uniforme bleu marine.

"Décidément, vous avez le chic pour aggraver votre cas..."

Jon relève la tête

"Je vous signale que je n'ai rien fait, j'suis tombé et cette horde de sales clodos puant m'ont marché dessus. Je peux vous dire que c'est vous qui avez aggravé votre cas et vous regretterez de m'avoir enfermé alors que je n'ai commis aucun crime"

*Quant à ces clochards, je les ferai tuer les uns après les autres. Voilà pourquoi l'argent l'emporte toujours*

Le policier releva rudement Jon par le col et le retourna contre le mur.

"Et la porte, elle s'est ouverte toute seule peut-être ? C'est toi qui a arraché la poignée ! tss... Ces "sales clodos puants", en voilà une façon de parler de tes frères et soeurs..."

Il lui tordit un bras dans le dos et le poussa dans le couloir.

"Tu vas finir au trou pour avoir tenté de t'évader... Tant pis pour toi !"

Il l'emmena alors vers la salle de douche, qui était remarquablement propre, mais n'offrait aucune intimité dans la mesure où c'est une agent de police tenant de la nageuse est-allemande qui tenait une lance à incendie, et qui s'occupa de Jon.

"A poil mon chéri, tu es dégoûtant de vomi... Vraiment, les jeunes, ils ne tiennent plus l'alcool. Oh, et ne t'occupe pas de tes fringues, on te filera des vêtements... plus appropriés..."

*Enfin une douche, j'aurais préféré être seul quand même.*

Jon commençait à en avoir marre de la prison. Il se remémorait ce que lui avait dit le policier "tes frères et soeurs". Comment pouvait-il le comparer à ces clochards. Il hésita un instant à enlever ses vêtements, mais l'odeur de la cellule les avait imprégné. Ca l'avait déjà fait vomir à plusieurs reprises. Il regarda désespérement ses chaussures neuves
*Je les ai acheté avant-hier et elles sont déjà bonnes pour partir à la poubelle*
Il envela ses chaussures puis ses chaussettes qu'il jeta dans un coin de la pièce. Puis ce fut son jean; il déboutona sa chemise et l'enleva. Heureusement, seuls ses vêtements furent entrés en contact avec le vomi. Il se retrouva en boxer. Puis il regrada d'un air inquiet la nageuse soviétique:

"Ca aussi je dois l'enlever?"

Face à l'air impassible de la policière, Jon se résigna et baissa sa boxer qu'il jeta sur le tas de vêtements sales qu'il compte brûler une fois rentrer chez lui. Il se sentait vraiment gêné dans cette position.

*J'y crois pas, elle va me laver au karsher!!! Moi, Jon Parker! J'espère qu'après j'aurais le droit à mon coup de fil*

Un jet d'eau digne des enseignes "elephant bleu" aspergea Jon qui eut à subir des instruction telles que "levez les bras" "tournez-vous", ou autres choses du genre, alors qu'il se faisait recurrer comme une vieille 4L. Une fois la douche finie, une soufflerie d'air chaud secha la pièce et Jon, et l'agent vint avec une tunique orange une pièce, sans sous-vêtements qu'elle lui tendit.

"Enfilez ça et passez dans la prochaine pièce. Je me charge de vos vêtements."

"Je vous conseille de les brûler mes vêtements!"

Le jet d'eau lui a fait mal mais au moins il ne sent plus l'alcool. Il vit la tunique orange et s'écria

"Mais c'est quoi, ça? C'est pas pour les meurtriers l'orange?"

Puis voyant que de toute manière, c'était les seuls vêtements qui étaient à sa disposition, Jon les enfila sans même attendre la réponse de l'agent de police. Puis il se tourne vers elle

"Normalement, j'ai le droit d'appeler qqun, pourriez-vous m'indiquer le téléphone s'il vous plait?"

Elle le regarda d'un air incrédule, puis parti d'un petit rire, et singea Jon.

"Normalement, j'ai le droit d'appeler quelqu'un, pourriez-vous m'indiquer le téléphone..... Nan mais et puis quoi encore ? Le service d'étage ? Un café et 2 croissants ? Tu te crois où mon chéri !? Je vais t'indiquer comment on fait pour que tu aies une fiche criminelle, et après, j'appelerai un avocat pour toi."

Elle le guida alors vers une pièce blanche munie de différents capteurs, et d'un gros robot, munie d'une fente et d'oculaires.

"Mets ta main là-dedans, et regarde la lumière dans cette lunette. Maintenant, je veux ton identité complète."