Arrivée de Iacobo à New York

Fin de matinee , notre avion atterit sur la ville de New York . C'est la premiere fois que je sors des Balkans , je suppose que je devrais etre impressionne en voyant ces centaines de grattes ciels , cette population fourmillante . Mais seules les hotesses de l'American Airline me font de l'effet .

Je remercie le gouvernement americain pour ne pas encore effectuer de controle du sang sur les passagers , j'aurai ete immediatement envoye dans une de leurs prisons vu ma teneur en heroine . Grace a celle ci , j'avais dormi la moitie du voyage , fantasmant sur les hotesses . James Burnsfield avait ete tres silencieux , lisant de nombreux magazines , regardant quelques films , entrecoupes de whiskys .

Arrivee a l'aeroport , bagages , douane . Je passe faire un tour dans les boutiques americaines , achete quelques vetements griffes grace a l'argent que j'avais garde de Serbie . Je m'adresse ensuite a James :

" James . Je te suivrai n'importe ou si tu m'indiques un endroit ou j'ai la possibilite d'acheter de la drogue et un nouveau materiel de fixe . "

Celui ci acquiesca apres un soupir de consternation , me disant que je m'autodetruisais a grande vitesse . Il me parla d'un hotel assez repute pour vendre tout type de produits illicites .

Il indiqua l'adresse au chauffeur du taxi qui nous emmena la bas .

Une heure plus tard , je me trouvais devant l'immeuble a moitie delabre , degageant une odeur a la fois de tabac , de dechet et de parfum bon marche .

Je m'avancais en compagnie de James dans le hall ...

[il faudra que tu fasses attention aux accents et à la conjugaison. Evite les mélanges de temps ]

Les deux hommes s'avancèrent dans le hall d'un hôtel miteux. "Motel Inn" était le nom qu'ils avaient pu voir sur l'enseigne. En entrant,ne forte odeur de tabac, de déchets et de parfum bon marché s'entremêlaient pour agresser les narines. Le papier peint élimé montrait l'état de délabrement des lieux aussi sûrement que l'extérieur de la bâtisse qui semblait prête à s'écrouler. Mieux valait ne pas rester trop longtemps ici. James, sûr de lui, s'avança vers le type derrière le comptoir.

"Salut Pete. Tu sais où est Jeff?"

Pete, l'hôtelier secoua la tête.

"Il s'est fait arrêter le mois dernier. Il était au coin de la rue à côté de l'hôtel. On a eu de la chance.. Un peu plus, et je fermais. En tout cas, plus question de ce genre de deal pour moi."

Il était clair, à voir la tête de Pete qu'il avait failli faire sur lui de frousse. Il avait eu chaud, il le savait. Il enchaina:

"Je trempe plus là dedans. Et Jeff est au trou pour un bon moment. Ils étaient après lui depuis 6 mois."

James se retourna vers son employé.

"Désolé mec, je crois que tu vas devoir t'en passer, pour une fois. Ca te fera pas de mal, de toute façon..."

[ J'aurai bien voulu l'ami , seulement il m'aurait fallu un clavier azerty , toutes mes excuses . Quant au style d'ecriture , je trouvais ces changements impromptus plutot designs , je me modererais dans les postes suivants ]


"Désolé mec, je crois que tu vas devoir t'en passer, pour une fois. Ca te fera pas de mal, de toute façon..."

Iacobo devisagea James de facon insistante , ses yeux vides scrutaient les siens :

" J'ai du mal a croire qu'on ne trouve pas ce genre de produits , meme ici , dans un pays que je ne connais pas . Si ce Peter s'est arrete , son voisin a probablement repris le business , c'est la loi de la rue , il y aura toujours quelqu'un pour servir les idiots et les malheureux souhaitant oublier leurs vies . Tu m'as l'air inquiet , je ne vais pas chercher les ennuis des maintenant . Emmene moi a l'endroit dont tu m'as parle , j'en trouverai forcement la bas , chaque civilisation a ses vices . "

Il regarda une derniere fois l'hotelier puis s'avanca dans la rue .

Iacobo semblait bien pressé, d'un coup de partir pour aller retrouver ceux dont james lui avait parlé. Celui-ci le regarda, se demandant si ça ne cachait pas quelque chose. Certes, il n'était pas comme lui. Il était un de ces... mutants dont tout le monde cherchait à se débarasser. Mais malgré tout, ce n'était pas un mauvais bougre. Il porta une main à son menton pour réfléchir un peu.

"Je ne connais pas l'adresse de cet endroit. Il va falloir que tu te renseignes. J'ai une affaire à régler avant de pouvoir t'aider."

[pas de soucis Par contre, il faudra que tu lies ta fiche dans ta signature]

"Je ne connais pas l'adresse de cet endroit. Il va falloir que tu te renseignes. J'ai une affaire à régler avant de pouvoir t'aider."


"Tout ca m'a tout bonnement l'air d'etre un plan parfaitement fait a l'arrache mon ami . Il y a un jour a peine , tu etais tout excite a l'idee de m'envoyer chez mes futurs copains difformes , et maintenant tu me dis que tu ne connais meme pas l'adresse ? Et tu me laisses en plus ? Bwarf , on ne peut compter sur personne en ce monde . On se rejoint ici meme a minuit . Vous n'y voyez pas d'inconvenients cher client amateur de jeunes garcons mutants ? "

Sa question qui n'en etait pas vraiment une fut suivie d'un sourire mesquin a son egard puis Iacobo quitta le hall sans laisser le temps a James de repondre quoique ce soit .

Quelques blocs d'appartements plus tard , Iacobo s'assit sur un banc non loin d'un clochard et fouilla sa poche a la recherche d'un paquet de cigarette qui n'existait pas .

* Bah , toute cette petite aventure casse ma routine , je pourrais toujours en profiter pour ameliorer mon anglais et me trouver deux ou trois clients . Apres tout , qu'est ce que cela change , entre ici et la Serbie , personne ne remarquera ni ma presence ni mon absence , peut etre mes parents pendant quelques semaines , eventuellement certains de mes meilleurs clients . Peut etre un client de perdu chez mon dealer ?

Cette ville s'appelle New York , je n'en sais pas grand chose mis a part les cliches habituels , la statue de la Liberte , le Chrysler building ... Comment trouver cette putain d'ecole ?

Si , je savais . Lorsque je travaillais encore dans une maison close en Serbie , la directrice etait une mine d'informations , l'une des meilleures du pays . Tous les clients importants de la Maison s'y relaxaient , laissaient tomber leurs masques . On apprennait toute sortes de secret la bas , et la ville n'avait plus de secrets pour la directrice : tout lieu digne d'interet etait note dans son petit ordinateur portable , au bout de quelques annees elle etait devenue la Reine du Chantage .

Il fallait que je trouve l'adresse d'une maison close new yorkaise . Je me trouvais apparemment dans un quartier mal fame , il etait certain que j'en trouverai une dans le coin . *

Iacobo decida de faire le tour du quartier et apres une petite demi heure de recherche je trouvai enfin l'enseigne :

" Gogo Bordello "

Trois prostituees en portes jartelles aguichaient les passants de leurs voix lascives , on entendait une musique sortir du batiment , de l'electro ?

Iacobo s'avanca , ignora les prostituees et entra calmement dans le batiment . Il avait un plan en tete et s'assit au comptoir , a cote d'un motard moustachu et tres muscle . Il appella la serveuse d'un leger signe de main .

Il prit la parole en accentuant au maximum son accent slave :

" Bonjour , je m'appelle Vladimir et le patron vient de m'embaucher . Il m'a mis a l'essai hier et j'ai couche avec un certain Sam , la quarantaine je dirai . Il etait defonce et en voulant me donner ses coordonnes , il s'est vomi dessus et m'a seulement dit qu'il residait a l'Institut pour mutants . Les mutants me font flipper et je sais pas si c'en est un , mais il etait accro a moi et je crois que ca vaut le coup de le rappeller , et je pourrai prouver au patron que je suis utile ici . Tu connaitrais pas l'adresse de cet ... Institut ? Je pourrai aller faire un tour histoire d'aller repecher ce pervers ."

Son petit discours se finit par un sourire amical et il se passa une main dans les cheveux pour simuler une certaine gene .

[Hj = Si j'ai pris trop d'initiatives vis a vis de la description , dis le moi , j'editerai . J'ai fais ca histoire de ne pas ecrire un post de deux lignes ou Iacobo cherche quelquechose , de plus je ne fais parler aucun pnj ]

[normalement, c'est moi qui détermine ce que tu trouves ]

Le jeune Serbe finit par trouver ce qu'il cherchait. Il parvint sans trop de mal à pénétrer à l'intérieur des lieux et se retrouva face à un type qui semblait s'occuper de l'accueil des clients et de la caisse. Iacobo le questionna direct sur l'Institut après que l'hôte l'eut salué. Celui-ci poussa un cri en entendant parler des mutants et du leu qui leur servait de repaire.

"Un-un mutant? Oh mon Dieu! Nous sommes dans un sale pétrin..." gromela-t-il avant d'abandonner son poste pour aller chercher quelqu'un.

Iacobo se retrouvait à présent seul dans le sas d'entrée, devant le bureau que l'homme venait de quitter. Derrière lui, quelques siègesavec une table basse sur laquelle se trouvaient quelques journaux.

"Un-un mutant? Oh mon Dieu! Nous sommes dans un sale pétrin..."

L'homme partit soudainement dans l'arriere boutique ,probablement pour chercher un autre .

" Hey raclure ! Tu pourrais me repondre avant de fuir comme ca ! "

*Mais c'est qui ce mec ? Il a du probablement aller chercher un superieur , tant mieux pour moi mais j'ai tout interet a leur prouver que je suis susceptible de travailler ici . Je vais doubler mes chances , je vais voir si je peux trouver quelquechose chez les habitues . On va se marrer *


Iacobo se passa une main dans les cheveux , inspira fortement et se concentra sur la musique .

Il retira tout ses vetements a l'exception de son boxer bleu ciel qu'il plia soigneusement et posa sur le comptoir . Le barman parti dans l'arriere salle , il prit deux journaux avec lesquels il fit des torchons longs et fins qu'il enduit de vodka . Il prit ensuite une boite d'allumette disponible pour les clients et grace a l'une d'elle enflamma les deux torchons .

Il courut vers la table basse , sauta dessus . Il regarda tout autour de lui avant de se lancer dans sa danse .
Combien de fois avait-il fait ce tour , lors de soirees ou dans une chambre d'hotel , il l'avait appelle "L'etreinte enflammee " .
Son corps muscle ondulait gracieusement tandis que ses bras balancaient en long et en large les torchons de feu , les passant sous ses jambes , autour de sa tete . Il etait concentre , observait les clients autour tout en leur souriant . Son metier n'etait pas le plus vieux du monde pour rien .

Personne ne revenait. Visiblement, le mot "mutant" faisait aussi peur aujourd'hiu que les mots "fantomes", "vampires", ou "loup-gaous" autrefois. Iacobo s'était déshabillé et dissimulé quelque peu derrière deux feuilles de papier journal, mais il avait fait ça en vain. Personne ne semblait vouloir venir s'occuper de lui. Ce n'était visiblement pas la bonne marche à suivre.

Iacobo fut tres etonne de ne voir personne reagir a son spectacle : tout y etait pourtant pour exciter les foules et les pousser a venir lui parler .

Il souria legerement , descendit de la table et se rhabilla rapidement . Il prit la bouteille qu'il avait utilise pour mouiller les torchons et la brisa le plus silencieusement possible derriere le comptoir , de facon a garder un long morceau de verre aiguise dans sa veste .

Il prit la meme direction dans le bordel que celle de l'homme qui avait crie avant de fuir .

Au fur et à mesure qu'il avançait à l'intérieur du bâtiment, Iacobo pouvait voir les personnes devant lui fuir à son approche. Le mec de l'accueil avait répété à tout le monde qu'il avait été en contact avec un mutant et, pour les personnes mal cultivées qui le fréquentaient, la mutanité était une maladie contagieuse. Les regards qu'on lui jetait étaient paniqués, affolés. Il aurait dit à l'entrée qu'il était mutant, l'effet aurait été le même. Il ne pourrait pas compter sur ces gens pour le renseigner. Certains avaient laissé tomber des journaux dans leur fuite, d'autres des vêtements. Une télévision allumée dans une chambre diffusait les dernières informations et parlait d'un astéroïde tombé en Sibérie.

La nouvelle fut transmise rapidement , trop rapidement . Alors que tout le monde le fuyait , parfois le bousculant en direction de la sortie , Iacobo ne put s'empecher d'avoir une crise de fou rire .

" Bandes d'enfoires ! Il suffit qu'on vous dise qu'un individu lambda est un mutant pour que vous soyez si effrayes ! Haha , moutons , moutons , moutons ! Peuple decadent , vous n'avez pas connu la misere depuis si longtemps que vous vous barricadez chez vous a la premiere menace ha ha . Rien qu'une bande de loosers obeses et securitaires , ha ha ... "

L'idee de trancher la gorge du premier venu et le regarder se noyer dans son sang germa rapidement dans la tete du jeune serbe mais ce dernier se resolut vite a quitter le batiment sans meurtre , la police arriverait probablement bientot vu le rafut qu'il avait occasionne . Il quitta le batiment et marcha rapidement dans les rues voisines . Iacobo avait conserve le morceau de verre aiguise au cas ou une envie le prenait , ou au moins pouvoir faire pression sur un individu potentiellement apte a lui donner certaines informations .

Le nouveau plan de Iacobo etait simple , se rendre dans le cybercafe le plus proche et effectuer quelques recherches internet , au sujet des mutants , d'un Institut , d'eventuels services sociaux ou organisations protectrices des mutants aux Etats Unis .

A la recherche du cybercafe dans les rues , Iacobo faisait jouer ses veines des bras , pour tenter d'activer ces fameux os qui le rendaient si particulier ... mutant .

[tu l'as chopé comment, le morceau de verre?]

Personne dans la maison close ne lui at répondu, mais tous l'avaient regardé avec frayeur. Le jeune homme finit par sortir de l'établissement. En chemin, un homme le bouscula et, de surprise, il lâcha le bout de verre. Mais il n'eut pas le temps de s'en formaliser qu'il aperçut son but à deux portes de là. Un cybercafé. Le jeune homme pénétra à l'intérieur et demanda un poste internet. Le responsable le regarda d'un oeil vide.

"Pour combien de temps?"

[Pour le bout de verre , cf il y a deux posts : " Il prit la bouteille qu'il avait utilise pour mouiller les torchons et la brisa le plus silencieusement possible derriere le comptoir , de facon a garder un long morceau de verre aiguise dans sa veste " . Apparemment tu ne souhaites pas me voir avec une arme , la facon de le perdre me parait bien etrange , mais bon apres tout , vous etes leeeee maiiiitreeee ]


Iacobo avait rapidement trouve le cybercafe , il s'avanca a l'interieur lorsque son gerant l'interpella :

"Pour combien de temps?"

"Une heure "

Il lui donna rapidement la monnaie avant de s'enfoncer dans le cybercafe , la ou il pourrait effectuer ses recherches le plus tranquillement possible .

Iacobo avait une certaine experience avec les ordinateurs : la majorite des business men avec qui il avait pu "travaille" lui pretait volontiers leurs outils de travail afin qu'il se divertisse pendant que ces derniers profitaient de la matinee pour dormir une derniere fois avant leur retour .

Il se rendit sur le plus grand moteur de recherche mondial et debuta ses recherches en tapant les mots clefs suivants :

Mutants , Institut pour mutants , Services sociaux mutants , Organisations protectrices des mutants Etats Unis .

Il esperait ainsi trouver des renseignements a propos de ce fameux institut dont James lui avait parle ...

La page de recherche afficha un nombre incalculable de résultats plus de 12 millions de résultats. Il faudrait beaucoup de patience au jeune homme pour tous les lire. Il put ainsi découvrir quelques précisions sur l'histoire de son 'espèce' et, après un affinage des recherches sur la région de New York un article donnant l'adresse de ce fameux institut. Mais, le temps d'y parvenir, l'heure était terminée. Il eut tout juste le temps de noter l'adresse que la connexion était coupée.

Comme il l'avait espere , le moteur de recherche afficha un nombre incalculable de pages a propos des mutants . Il put ainsi collecter de nombreuses informations : le phenomene mutant etait recent , il avait veritablement explose ces derniers mois . Partout dans le monde , des individus etaient reperes apres des accidents "etranges" relates dans differents journaux . Il en nota un , "La Sentinelle" ; apparement le plus celebre hebdomadaire americain a propos des mutants .

Sa recherche se termina sur ce qu'il cherchait le plus : l'adresse du fameux centre d'integration pour mutants du docteur Olivier Fleury.

51 Greymalkin Lane , Salem Center , Etat de New york .

Il eut juste le temps de noter l'adresse avant que sa connection soit interrompu . Il quitta le cybercafe afin de rejoindre l'hotel devant lequel il avait rendez vous avec James .

Il nota son numero de telephone en promettant de le rappeller prochainement , eventuellement pour une "seance" .

Il se rendait a present a la gare la plus proche , direction Salem Center.

Lorsque Iacobo revint à l'hôtel, il put remarquer que James n'était pas encore revenu. En même temps, l'heure du rendez-vous était encore loin. Un message l'attendait cependant sur son lit:

Désolé, vraiment, de ne pouvoir t'aider tout de suite. Je ne sais pas si tu seras là, encore, quand je vais rentrer. Mais je te souhaite de trouver ce que tu es venu chercher ici. N'hésite pas à m'appeler...

Le jeune homme attrapa ensuite ses affaires et prit la direction de la station du tramway qui le mènerait à destination.

[tu y es presque]

L'adresse en poche , Iacobo n'avait plus rien a faire a New York . Il ressera sa veste sur sa taille , prit sa petite valise lisse et noire avant de se diriger vers la station de Tramway .

Il acheta son billet avant de s'asseoir sur un banc pres du quai . Il inspira puis expira fortement : le decalage horaire commencait a se faire sentir mais il se promit de rester eveille , il y avait bien trop d'elements imprevisibles dans ce pays qu'il venait de decouvrir en urgence .

Sa main se dirigea a nouveau en direction d'une poche de son pantalon a la recherche d'un suppose paquet de cigarettes qu'il ne trouva evidemment pas .

* Qu'est ce l'avenir me reserve ? Je dois bien avouer que tout est alle tres vite ces derniers jours , je n'ai pas pris enormement de recul sur ma situation . Qu'est ce que je veux enfait ? Je me laisse completement porter par les evenements , etrangement je n'en ai rien a foutre . Je suis creux , terriblement creux . L'heroine me rend vide et c'est probablement une bonne chose *

Le tramway arriva quelques minutes après que le jeune homme ait acheté son billet et se soit rassit pour l'attendre. Il avait de la chance. A cette heure-ci, ce n'était pas l'abondance et il put trouver une place assise dans le wagon. Bientôt, il put entendre la station qu'il recherchait.

"Salem Center."

Il ne lui restait plus qu'à trouver la rue de l'institut.

[tu as le droit de poster ici]