France, Paris

Joachim Destertres, 18 ans, provincial, provençal, jamais sorti de sa campagne

"...."
*Mouais voilà qui me résume bien pensa Joachim.*

10h39 : Premier pas hors de la "campagne" d'origine, premier pas dans une grande ville, premier pas en Gare de Lyon, et déjà, la situation est épineuse.

*Je pensais pas que paris ça faisais autant de monde....*

Joachim descendit du train en pensant cela. Eviter les gens dans un endroit si grand n'allait pas être commode, et puis..... où dormir?

*Papa m'a dit un jour qu'il avait un ami dans le coin.... j'ai bien fait de noter deux trois numéros utiles*

Il fouilla dans sa poche en tenant son sac par la bretelle de l'autre main, les gens le regardait bizzarement, son look gothique était encore en train de faire fureur

*J'aurais pas du mettre une robe aujourd'hui.....*

Il sortit finallement un petit bout de papier écorné du fond de la seule et unique poche de sa robe, il y avait autrefois pluseurs noms et numéros de téléphones écrits dessus. Mais avec la pluie et la chaleur, il n'arrivait plus à y lire quoique ce soit sinon des tâches d'encres.

"Bon! Et qu'est-ce que je fais maintenant?"(en chuchottant, sinon c'est gras)

Il leva les yeux au ciel et vit le panneau indiquant les lignes 1,14,28 et 30 du métro

*C'est un début!* Aussi se dépêcha-t-il vers les escalators d'où montaient, descendaient, allaient et venaient un ombre incommensurable de personnes toutes différentes.

*Bon la 1, la 14... allez la une, allons vers l'île de la cité, ça me permettra de voir un peu à quoi ressemble Paris.* Ainsi il s'engouffra dans la ligne une, en prévoyant de ne descendre qu'à Louvre-Rivoly. *Au moins je verrai le Louvre et j'éviterais les foules de Chatelet.*

***

"Palais Royal-Musée du Louvre"

"Mince!"

Le son s'échappa de la gorge de Joachim, tout le monde le regardait, il sortit en trombe du métro. Une fois dehors, il se dirigea vers le jardin des tuileries et de se laisser le temps de décider de ce qu'il allait faire. Là il s'assit sous un arbre et leva la tête vers les branchages en lachant un soupir de soulagement. Il avait réussi à passer la première épreuve, celle du métro.

Jusque là, tout s'était bien passé. Le jeune homme était parvenu à se contenir, ne déclenchant pas son pouvoir. Le métro était pourtant bondé, et les odeurs de transpiration, d'alcool et de tabacs étaient dominantes par rapport aux odeurs de campagne dont il avait l'habitude. Une fois sorti du métro, le jeune homme s'était dirigé vers le jardin des Tuileries et assis sous un arbre. Ce ne fut qu'alors, relâchant la pression qu'il sentit son pouvoir se déclencher. L'herbe sous lui pourrissait, et ses vêtements n'allaient pas tarder à faire de même étant donnée la tension qui l'envahissait.

Sentant que le pire allait se produire, c'est-à-dire la nudité, en plein milieu de paris, dans un des endroits les plus touristiques au monde. Aux alentours de midi qui plus est, le parc était...plus que rempli. Joachim, prenant son sac avec lui, il ne graignait pas pour son sac tant qu'il le tenait par la bandouilière en plastique noir, par contre le prendre différemment lui eut fait subir le même sort que ses propres vêtements, et sa guitare,elle-même dans une protection métal et kevlar (tellement commun en cette époque avancée que ce polymère si interessant de nos jours). Il courut, le plus vite possible se mettre le plus à l'endroit le plus abrité des regards possible. Il devait traverser la largeur du jardin pour l'atteindre, et il ne fut que moyennement surpris de sentir la fraicheur de l'air caresser sa peau à peine le bandeau de gazon du milieu du parc passé. Evidemment, bien en vue de la moitié des gens présents

*Et m**** (mince en plus vulgaire)*

Relativement "habitué" à ce genre de situation, encore que cela n'arrive généralement qu'en public plus restreint,il se mit à l'abri, et, une fois la crise passée, mit ses affaires devant lui et sorti au moins une robe de rechange de son sac. Malheureusement une grande partie de la ville avait pu l'observer dans une nudité totalle, etl'affaire risquer fort de mal tourner pour lui

Les gens s'arrêtaient, sur le passage du jeune homme, ne se rendant pas compte que sous ses chaussures, l'herbe pourrissait à vue d'oeil. Les passants étaient hilares. Personne ne songeait à prévenir les flics pour exhibitionnisme. Il fallait avouer qu'aujourd'hui, on voyait de plus en plus de gens excentriques. Quelques touristes japonnais, pourtant, le prirent en photo, pour se prouver qu'ils n'avaient pas rêvé, sans aucun doute.

Une fois un minimum dissimulé à la vue des autres, Joaquim sortit une nouvelle robe de son sac. Son espérance de vie serait-elle plus longue que celle de la précédente robe? Il l'enfila cependant avant de ressortir de sa cachette. Restait à savoir où aller, maintenant.

Rhabillé, reffroqué et surtout défait de sa dignité dès le premier jour dans l'endroit.... Maintenant allait-il falloir trouver un endroit où pourrait se réunir des gens comme lui.... et la tâche n'allait pas être simple

*Hmmmm..... Par où commencer ?*

Alors qu'il déambulait dans les rues, Joachim (et pas Joaquim...merci mister courtier) leva la tête poru regarder les indications, lorsque son regard s'arrêta sur un paneau portant la mention "COSEQUEM"

*COSEQUEM..... ça me dit quelquechose......il me seble qu'il travaille sur les mutant et qu'ils sont plutôt neutre..... Cela pourrait être un bon point de départ!*

Ainsi Joachim se mit à suivre les panneaux, espérant bien qu'il pourrait glaner des informations sur ce qu'il cherchait

[ ton courtier s'informait pour la suite à donner aux événements... ]

COSEQUEM. Organisation connue par de nombreux français. Tout du moins, tous ceux qui avaient une accointance avec les mutants. Le jeune homme, soulagé de reconnaître quelque chose dans cette grande ville qu'était Paris, suivit la direction indiquée par les panneaux. Il ne tarda pas à se retrouver devant le bâtiment renfermant les bureaux de la COSEQUEM et gardé par des militaires. Ceux-ci n'avaient guère l'air engageant. Fallait-il y aller, ou faire demi-tour et chercher autre chose?

[Non y a pas de problèmes.... faut bien que je vous charrie un peu.... >.< mouahahaha...enfin bref...vous trouviez Joachim ridicule? Il peut faire pire, et il va le faire]

Devant l'air peu.... affriol...engageant des militaires, Joachim pris peur 30 secondes. Il s'arrêta donc. Pendant les 30 secondes qui suivirent, il se demanda s'il ne s'agissait pas statues de cires ultra réalistes semblables aux gardes de Birmingham palace en Angleterre qu'il avait vu une fois à la télévision. Enfin quand il les vit bouger, il réalisa qu'il ne s'agissait pas de cire, ni même de statues, ou alors la conception était bien avancée.
Hésitant un instant, il se dit qu'il n'avait rien de mieux à faire..... Après s'être taté à tout simplement s'assoier contre le mur devant eux et attendre qu'on vienne voir ce qu'il faisait,il avança d'un pas à peu près assuré vers le batiment, en prenant néanmoins garde à son sac... des fois que ses malheurs du midi ne se reproduisent.

Et ils avaient bien failli se reproduire sous la poussée de la peur de Joachim. Sa robe était, maintenant, légèrement élimée aux coudes et aux poignets. Mais, fort heureusement, cela ne prêtait pas à conséquence. Alors que le jeune garçon s'avançait vers eux, l'un des soldats en faction interpela son copain:

"Hey! R'garde un peu s'qui s'amène... Un garçon en robe!"

Le deuxième soldat dévisagea Joachim et éclata de rire en ajoutant:

"Tu crois qu'il se prend pour une fille avec ses cheveux longs? Pourtant, les filles n'ont pas de barbes!"

Les deux militaires éclatèrent de rire de concert. Une chose était sûre, ils n'avaient pas cherché à être discrets et Joachim les avait parfaitement entendu d'où il se trouvait.

Déjà habitué à ce genre de remarque puériles, Joachim n'y prêta même pas attention. Il continua vers le batiment, et tant pis si ces bouseux de citadins v'avaient aucune notion de confort

[Faut préciser que c'est plutôt de sjupes d'habitude...j'ai fait une maldonne au niveau du vocabulaire j'assume...puis Joachim n'est pas trop poilu du torse donc ça passera]

"Hé! La fille! Qu'est-ce qui t'amène ici? Tu veux te faire passer pour un mutant qui change de sexe à volonté?"

De nouveau, les deux soldats éclatèrent de rire. Cependant, quand Joachim fit mine d'entrer, ils redevinrent sérieux et bloquèrent le passage immédiatement. On ne passait pas sans une raison valable.

Voyant les gardes bloquer le passage, Joachim prit légérement peur, encore plus quand l'un d'eux fit mine de tenter de le repousser de la main. Joachim fit un léger bon en arrière, très rapidement, très court, juste pour ne pas être touché, mais sous la tension qui régnait...

*Faites que ça ne se déclenche pas..... ou alors juste un manche,mais pas plus...plas plus!*

Il regarda le garde et lui tint à peu près ce langage

Je ne pense ni me prendre pour un mutant, ni être capable de changer de sexe...... par contre, je pense qu'il y a peu je me suis retrouvé dans une situation quelquepeu embarassante, et que s'il faut replanter du gazon dans Paris, ça pourrait être par ma faute.Je vous en prie, laissez-moi parler à quelqu'un de compétent pour aiguiller un mutant perdu. Si vous placez toujours sous l'hégide de la netralité dont vous vous vantez tant, cela est bien la moindre des choses! Non?

Joachim espérait bien ue son baratin marcherait, il le fallait.

Au fur et à mesure du discours de Joachim, les gardes passèrent du rire franc à la crainte. Ils se saisirent de leurs armes pour mettre en joue le jeune mutant.

"Toi, tu bouges d'un cil, je te transperce." fit l'un des deux tandis que l'autre appelait du renfort par son talkie.

Bientôt, plusieurs personnes arrivèrent. Des militaires, mais aussi un homme en costard qui détailla le jeune homme des pieds à la tête tandis que celui-ci commençait à transpirer à grosses gouttes. Finalement, l'homme en costard fit signe aux gardes d'abaisser leurs armes puis se retourna vers Joachim.

"Suis-moi, gamin."

[Raaah juste avant que je parte pour marseille et que j'ai moins le net pendant 2 semaines!!!!! je ne vous en veut pas.]

Joachim était tellement stressé alors qu'il prononcait son discours qu'il fut surpris de ne pas voir ses vêtements fondrent. Et malgré les injonctions des gardes sa robe ne souffrit que peu......

*Décidément je vais m'acheter des jupes..... et une chemise*

Quand il vit le soldat le mettre en joue et parler, il failli sursauter, mais il était désormais résolu, mieux valiat mourir que rester un danger !
Mais il fut grandement soulagé quand un homme en costume calma les gardes et le pria de le suivre

*Je n'ai rien à y perdre de toute façon... enfin j'espère*

Et Joachim entra.

L'homme conduisit Joachim à travers un dédale de couloirs. Un vrai labyrinthe cet endroit lorsqu'on ne le connait pas, ne pouvait s'empêcher de penser le jeune mutant. Enfin, ils arrivèrent dans un bureau vaste et meuble à l'ancienne. Il fit signe à Joachim de s'asseoir sur un fauteuil qu'il ne risquait pas de réduire en poussière. C'était, d'ailleurs, la seule chose qui ne collait pas avec l'atmosphère vieillote de la pièce. A peine le jeune homme fut-il assis, les mains sur les accoudoirs qu'il se retrouva attaché dessus grâce à des menottes. Ses pieds, eux aussi se retrouvèrent emprisonnés.

"Vous comprendrez, jeune homme, qu'avec le pouvoir que vous avez je ne peux que me protéger... Je n'aimerais pas finir en cendres comme votre chat..."

Un fin sourire se dessina sur son visage. Il semblait en savoir long sur le gothique. Il sortit un dossier de son tiroir qu'il posa sur le bureau avant de s'asseoir sur son propre siège.

"Nous vous surveillons depuis quelques temps. Vous êtes un danger pour les êtres normaux. Je ne dis pas que nous allons vous éliminer... Non, bien sûr que non... Vous nous seriez très utile, si vous acceptiez de collaborer avec nous."

Joachim fut un peu surpris d'être attaché ainsi, et sa robe risquait de ne pas y résister...... mais dans ce cas-là..... comment se cacher? Enfin, sa préoccupation changea lorsqu'il entendit l'homme lui parler. Collaborer? Il y avait d'autres moyens de demander de l'aide, et la manière présentement utilisée ne lui convennait que moyennement.

"Euh.....Joachim marqua une pause et si je refuse vous me proposez quoi?"

La provocation..... Joachim la sentait très mal.... mais qui ne tente rien n'a rien..... et le sourire ne révélait pas qu'une envie de faire joujou à faire pourir des brins d'herbes..... là cible risquait d'être.... plus grande, au plus grand damne de Joachim

Le fin sourire de l'homme s'étira encore tendit qu'il se penchait vers le jeune homme.

"Je serai obligé de vous enfermer avec d'autres mutants dangereux. Par contre, si vous acceptez de nous aider, vous serez libre, ensuite. Libre de rejoindre vos congénaires au Etats Unis..."

L'homme s'éloigna de Joachim et retourna s'asseoir derrière son bureau sur lequel il croisa ses doigts avant de poser son menton dessus.

"Alors, acceptez-vous mon offre? Elle n'est pas de celles qui se refusent, n'est-ce pas?"

"Alors, acceptez-vous mon offre? Elle n'est pas de celles qui se refusent, n'est-ce pas?"

Oui forcément vu comme ça il était difficile de répondre "Non" à cette proposition. Mais un point troublait Joachim, et un autre le préoccupait


"Bon!Joachim essayait d'avoir l'air sûr de lui. Je pense qu'il faut alors que vous clarifiez deux points pour moi. Primo : Je ne comprend pas trop ce que vous entendez par mes "congénaires" aux Etat-Unis, vous le savez, je ne suis qu'un pauvre provincial essayant de l'atendrir, et je ne suis pas très au courant des affaires et des aléas de ce monde. Joachim ravala sa salive tout en marquant une pause. Deuxio, et plus important : que voulez-vous dire par collaborer avec vous? Je ne veux pas tuer des êtres humains, je préférerais peut-être mourrir que d'être contraint à tant de cruauté!"

Joachim ne connaissait pas du tout la portée de ses actes, mais quitte à être dans la mouise, autant y danser un chouia!

L'homme sourit, satisfait de la réponse du mutant. Curieusement, celui-ci semblait n'avoir aucune idée de sa condition. Et pourtant... Mais peut-être se moquait-il simplement de lui? Quoiqu'il en soit, il fallait éclaircir certains points.

"Nous avons besoin de vous pour faire du... nettoyage, dirons-nous."

Il marqua un temps de silence après avoir souri étrangement. Un sourire qui ne présageait rien de bon, sans doute...

"Quand à votre condition, vous êtes un mutant, mon cher... Et aux Etats-Unis, vous pourrez trouver d'autres mutants. Je passerai d'ailleurs un coup de téléphone pour vous quand vous aurez accompli votre mission."

Joachim ne comprenait toujours pas très bien le coup des Etat-unis, mais bon.... d'autres gens comme lui, c'était toujours mieux que des gens "normaux" à perte de vue, peut-être ceux-ci pourrait-ils quelquechose pour lui

"Bon disons que j'accepte! Qu'est-ce que je dois faire plus précisemment pour pouvoir me lever de cette chaise qui me fait mal au poignets? Parce que là c'est trop serré et que j'ai des crampes......"

L'homme sourit plus encore et se leva de son siège après avoir pris une petite télécommande dans un tiroir. Après qu'il eu appuyé sur une certaine combinaison de touches, les menottes se détachèrent. Joachim était à nouveau libre de ses mouvements.

"Ravi de vous voir revenir à la raison, M. Destertres..."

Il appela ensuite ses hommes qui pénétrèrent dans le bureau. et vinrent encadrer Joachim.

"Certains documents très importants ont été volés. Voici mon équipe d'intervention. Votre mission est d'aller récupérer ces papiers, de les détruire, et de détruire toutes les copies. Manuscrites ou non. Avez-vous compris?"

Joachim voynt les liens se desserrer se releva, frottant ses poignets endoloris. Il se vit rapidement encadré par deux hommes à l'air......militaire.... avec toutes les qualités déficitaires que cela entraîne necessairement.

"Bon je ne sais pas où trouver ces documents, mais j'imagine que ces homes le savent. Par contre.....euh.... je pense que vous êtes, uisque vous semblez tout savoir sur moi, au courant que ma maitrise de mon pouvoir n'est pas parfaite? Aussi que dois-je faire dans le cas où je n'arrive pas à déclencher mes compétences sur ces jolis documents. Et puis..... s'il ne sont pas sur un support papier cela pourrait aussi poser des problèmes...."
Il marqua une pose, puis releva un eu la tête avec un sourire discret
"Vous comprenez je préfère tout régler avant de partir"

Un sourire carnassier se dessina sur le visage de l'homme.

"Vos compagnons d'arme feront en sorte que votre pouvoir se déclenche. Ne vous inquiétez pas pour ça. Et dites-vous que si vous échouez, vous n'irez pas très loin..."

Il marqua un temps de silence puis ajouta:

"Pas d'autres questions? Très bien, vous pouvez partir."

Un ton qui n'attendait aucune réponse. Joachim avait intérêt à obéir. D'ailleurs, les soldats l'entourraient, lui indiquant la sortie. Ils montère bientôt dans un mini-van aux vitres teintées. Ils parvinrent bientôt à destination. Joachim était bien incapable de se repérer. Ils pénétrèrent dans le bâtiment. Les hommes neutralisèrent les gardes et le menèrent dans un bureau. L'un d'eux força un coffre et se tourna vers le mutant.

"Fais ton taff..."

Dans le coffre, Joachim put trouver des documents papiers ainsi que trois microfilm. Visiblement, pour ces hommes, les bonnes vieilles méthodes étaient les meilleures...

Joachim avança, il commençait à avoir la pression

*Ne toucher personne, juste prendre les documents, et laisser la pression se relacher*

Joachim avança précautionneusement vers le coffre,il alait prendre d'abord les feuilles de papier, puis se dit qu'il était plus sûr de tout faire d'un coup, prenant garde de ne pas relâcher la pression, il sortit les bandes des microfilms juste un peu pour pouvoir tout toucher d'un coup. Pris le tout dans ses mains, les bandes dépassants et les papier et laissa la pression se relacher en pensant qu'il lui faudrait surement changer de vêtements. Il ferma les yeux pour se relaxer et laisser ce qui était en lui sortir et quand il les rouvrit il vit que....

(HJ : A toi courtier)

Joachim constata que ses vêtements avaient disparus (huhu), mais ce qu'il avait dans les mains aussi. Il ne restait plus des microfilms que leur support. Le mutant avait réussi. Les militaires qui l'accompagnaient le regardèrent un instant avec horreur avant d'éclater de rire en constatant qu'il était nu comme un ver. Ils arrachèrent un rideau qu'ils lui envoyèrent pour qu'il s'en drape et firent en sorte de faire croire à un cambriolage. Ils entrainèrent ensuite le jeune homme et le firent remonter dans le minivan. Retour à la case départ.

Une fois à nouveau dans le bureau, Joachim se retrouva face au même homme que précédemment.

"Tu as rempli ta mission. Je te garderais volontiers ici, masi je t'ai fait une promesse. Tu as une place dans un institut pour mutants. Tiens, voilà ton billet d'avion pour New York."

Il tendit le billet au jeune homme. Celui-ci était rangé dans un film plastique qu'il ne pouvait pas faire tomber en poussière. Il lui tendit aussi ses affaires.

"Change-toi et pars d'ici avant que je ne change d'avis..."