Dans un café à Belgrade (Yougoslavie)

Dim 2 Mar 2008 - 16:53

Youri sortait du boulot comme a son habitude il prenait sa moto électrique, la chevauchait et partit en trombe pour chez lui, il conduisit quelques minutes, jusqu'à se qu’il arrive jusqu'à une vieil battisse datant d’ont ne sait trop quant. Il gara sa bécane descendit, il gravi l’escalier, du devant, pour arriver dans le hall de l’immeuble. Il se dirigea vers la droite, entra dans l’ascenseur et direction le quatrième étages. Le petit « ting » caractéristique, de l’ascenseur retentit, alors les portes s’ouvrirent, il s’avança dans le couloir lugubre et ouvrit la porte de son appartement. Il jeta les clés contre la commode, et partit sous la douche ; une douche bien froide, pour se réveiller comme disait sa mère. Il alla dans la pièce réserver à son ordinateur, une pièce qui restait a la température constante de 10 degrés, pour ne pas que son super ordinateur ne parte en lambeaux.
Il s’installa devant et commença à pianoter quelques minutes, comme à son habitude, chat forum rpg, etc… Il avait arrêter de pirater, cela faisait maintenant 6 mois qu’il était clean, et qu’il n’avait rien fait d’illégal. Mais il s’ennuyait il décida donc d’aller au bar juste dans la rue dans face. Il attrapa sa canne et s’habilla comme a son habitude, veste noire, jean bleu, chemise et cravate, chaussures de cuirs noires et chapeau a l’Italienne enfoncer sur son crâne et il descendit les escaliers, il traversa la rue de son habituel pas boitant. Il entra dans le bar et s’assit tranquillement, regardant autour de lui, il aimait cet endroit. Alors qu’il réfléchissait une serveuse lui demanda se qu’il voulait, il répondit un café serrée. Il alluma sa clope et entama son café.

Dim 2 Mar 2008 - 22:16

(hrp : pourras-tu s'il te plaît mettre un lien vers ta fiche dans ta signature ?)

A peine entré dans le bar, Youri constata que ce qui était ses habitudes vestimentaires étaient fort loin du standard local. Pas seulement parce que les gens étaient habillés de façon beaucoup moins élégante, mais aussi parce que tous les regards s'étaient braqués sur lui : stupeur, curiosité, moquerie, désespoir... Tout était bien visible et présent.

Dès qu'il eut porté la cigarette à sa bouche, avant même qu'il ne l'eut allumé, quelqu'un lui beugla qu'il était interdit de fumer dans le bar. Visiblement, il était bien loin d'avoir les us et coutumes locales. La serveuse apporta son café, accompagné d'un croissant, et elle lui glissa.

"Cadeau d'une personne dans la salle qui veut garder l'anonymat paraît-il..."

Dim 2 Mar 2008 - 22:39

Et oui Youri contrairement à d'autres personnes en Yougoslavie, gagnait bien sa vie, et certaines personnes était jalouses de lui, mais vu l'appart ou il vie, on pourrait croire qu'il est pauvre. Il avait du ranger sa clope cette fois cela n'était pas passer, les bars n'acceptaient pas les clopes dans leurs établissements. A croire que les fumeurs étaient considérés comme des personnes que l'ont devait absolument éviter voir ne pas aimer.
Puis la charmante serveuse lui servit son café avec un croissant, selon la serveuse cela venait d'un homme dans la salle mais il voulait rester anonyme, cela intrigua fortement notre ami. Il sortit son porte monnaie pour payer son café et tendit trois billets pour graisser la patte à la serveuse, afin de savoir qui était le mystérieux anonyme, il regarda autour de lui, cherchant quelqu’un d’inconnu ou d’étranger, quelqu’un de riche quoi. Une musique électronique lui vrillait les tympan c’était assez énervant surtout pour lui. Il continua de fixer la salle de son regard.

Dim 9 Mar 2008 - 23:31

(HJ : je pense que tout se passera mieux si tu adoptes un ton plus factuel dans tes posts, et si tu n'inventes pas des musiques électroniques là où il n'y en a aucune)

La serveuse lui jeta un regard interrogateur quand elle vit le supplément, puis elle dit simplement merci, haussa les épaules, et alla mettre le jackpot dans le pot rouge servant à centraliser les pourboires. Visiblement, elle ne semblait pas encline à lui révéler l'identité de l'admirateur secret de Youri.

De son observation, il ne remarqua rien de particulier : le bar était occupé par la clientèle habituelle de l'endroit : petits vieux jouant aux cartes, personnes de passage, piliers de bistrots, pochtrons qui cuvaient, jeunes qui venaient éprouver leur foie... Personne ne semblait particulièrement notable à première vue.

Jeu 13 Mar 2008 - 12:46

Youri sourie en la voyant mettre le pourboire dans le petit pots sans rien lui dire, apparement elle n'avait pas l'air enclin a quoi que ce soit. Dommage pour li, mais bon. Il continua de regarder un peu partout, et finalement commenca a manger son croissant et a boire son café, tranquillement. Quant il eu finit, il ne remit pas de pourboire et se leva. Il remit son chapeau attrapa sa canne et sortit.

Une fois sortit il sortit une clope de son paquet et l'alluma avec son Zippo argenté, il commenca a tirer quelques lattes tranquilement, sans se soucier de quelques choses, son acheteur de croissant voulait surement rester anonyme et cela allait être mieux comme cela surement. Youri continua de fumer, en regardant son appartement juste en face.

(hrp : ok désoler, excusez moi pour se petit post mais je suis chez un potes et je vais bientot retourner en classe)

Jeu 13 Mar 2008 - 13:19

Une voix masculine retentit alors derrière lui.

"Vous ne devriez pas fumer vous savez... ça rend impuissant."

Derrière lui se tenait un homme d'une quarantaine d'années, d'allure un peu passe-partout. Peut-être était-il dans le bar juste avant ? Youri n'avait pas pu vraiment le remarquer.

"Et il serait très dommage que vous soyez impuissant pour... Ce qui vous attend."

La vision de Youri commençait à se flouter légèrement. Est-ce qu'il y avait eu un canard dans son café ? il avait l'impression de tourner, et d'être tout faible.

Sam 15 Mar 2008 - 18:51

Youri était entrain de fumer quant une voix masculine se fit entendre derrière lui il se retourna et un homme se tenait maintenant devant lui, un peu monsieur tout le monde, il avait l’air de passer inaperçu partout avec un physique pareil. Youri le regarda et l’homme parlait d’impuissance mais aussi de se qu’il allait se passer. Le Yougoslave se sentait mal, il voyait floue et se sentait faible, que se passait il ? Quelqu’un avait drogué sont café ?
Youri lâcha sa clope qui tomba a terre projetant des dizaines de cendres un peu partout. Il mis un genoux à terre en tremblant il se retenait avec sa canne mais il avait mal a sa jambe, terriblement mal.

Mais que se passe t’il que m’avez-vous fait ?

Sam 15 Mar 2008 - 19:01

Ce qui se passât ensuite, Youri n'en garderait aucun souvenir. Il se réveilla simplement dans une chambre miteuse, éclairée par la lueur blafarde d'un néon rouge. Les draps étaient défaits, et passablement chiffonés, et Youri se sentait plutôt courbaturé... Et c'était la nuit noire. De nombreuses heures étaient passées visiblement.

La porte de la chambre était fermée et vérouillée, et les étages étaient de toutes façons trop hauts pour sauter. Une porte donnait sur une salle de bains exigue, et d'une propreté approximative.

Dim 16 Mar 2008 - 13:46

Youri ouvrit un œil puis l’autre, il regarda autour de lui, il était dans une chambre miteuse, très peu éclairer, une chambre d’hôtel ? Si s’en était une il était sûrement encore en Yougoslavie. Il se mit en position assise,il avait une envie de tuer et il savait d’où cette envie venait. L n’avait pas fumé depuis trop longtemps, il s’alluma donc une clope en attendant patiemment. Que lui voulait on ? Etait ce pour son passé de Hackeur ? Ou pour son argent ? Il n’en savait rien. Il resta donc la a attendre que quelqu'un vienne pour lui expliquer, il essaya de se souvenir de la dernière personne qu'il avait vu. Un homme très... comme les autres, un mec qui passe partout comme on dit. Il soupira et se réallongea il chercha sa canne des yeux.

Sam 29 Mar 2008 - 23:20

(désolé du retard, je n'avais pas vu ton édition)

La pièce ne semblait pas très hospitalière, et dès qu'il eut allumé son briquet, une douche froide s'abattit sur lui, ruinant tous ses espoirs de s'adonner à son vice, alors qu'une voix synthétique annônait : "Pour votre sécurité, veuillez ne pas utiliser de sources d'ignition dans les chambres". S'il voulait passer une nuit dans un lit sec et chaud, c'était fichu pour ce soir...

Impossible de trouver sa canne aux alentours. Sans doute ses ravisseurs l'avait-elle retirée pour éviter qu'elle ne serve d'arme. Un léger bruit se fit entendre dans la serrure, et la porte s'ouvrit, laissant entrer un homme que Youri n'eut absolument aucun mal à reconnaître : la personne de la veille. L'homme au croissant. Il avait l'air toutefois nettement moins amical qu'au bar, et le regardait plus comme un morceau de viande.

"Bien... Ma nouvelle recrue. Youri, c'est ça ? Peu importe ton prénom... Je vais t'expliquer de façon très simple ce qui va se passer maintenant pour toi : des gens vont franchir cette porte. Des femmes, et des hommes. Ils attendront quelque chose de particulier de toi, et cette chose, tu devras la leur donner, sans ciller, et assouvir tous leurs désirs, parce qu'ils paient. Si tu as des scrupules, prends ce qu'il y a dans le tiroir de la table de chevet... ça t'évitera de réfléchir à ce qui se passe, et tu oublieras tout. Comme tout à l'heure."

Il retourna dans l'encadrement de la porte.

"Je t'ai testé. Tu étais satisfaisant, alors je t'embauche. Si tu travailles bien, tu auras à manger, et même de quoi t'habiller. Si tu ne donnes pas satisfaction, tu meurs. Si tu essaies de t'enfuir, tu meurs. Si tu essaies de te rebeller... n'essaie pas. Nous savons comment mater les gens."

Il lui adressa alors un sourire carnassier.

"Je suppose que tu n'as pas de questions..."

Lun 31 Mar 2008 - 14:25

Youri se fit arroser comme une fleur fanée depuis des jours entiers. Il jeta sa clope complétement dégouté et soupira un grand coup. Puis une voix se fit entendre, et ensuite un homme arriva et lui expliqua la conversation, tout ce qu'il lui dit lui fit pensé a quelque chose de sexuel, sa canne n'était pas la et il en aurait eu bien besoin. L'homme au regard de tueur lui dit que de toute facon il n'aurait pas de question. Et c'était exact, il n'avait pas de question et en plus il n'aurait pas eu la force de les prononcer, vu qu'il reflechissait a toute vitesse, il n'osait pas ouvrir la bouche, tout se qu'il voulait c'était une clope il en révait même. Il ne pouvait marccher sans canne alors il devrait rester la. A "les" attendre.

Il attendit, attendit, mais personne ne venait. Ce n'était pas le manque de client, non... A ce qu'il entendait, il y avait des pièces adjacentes, qui débordaient d'activité. A croire que certains n'hésitaient pas à en remettre une couche de simulation. Peut-être cela rajoutait-il du beurre dans les épinards ? Il eut aussi la surprise de constater qu'il y avait aussi des filles.

Et personne ne venait.

Le jour commençait à poindre à sa fenêtre quand il y eut du bruit à sa porte. Elle s'ouvrit. Fort heureusement, ce n'était pas un client, mais son nouveau patron, qui lui apportait une assiette de pâtes natures, et probablement pas très ragoutantes. Toutefois, avec seulement un croissant dans le ventre depuis des heures, il était plus que probable que Youri avait très faim.

"Bon... Pas de client pour toi ce soir. C'est normal... Les habitués n'aiment pas la nouveauté. Mange."

Il resta là, debout, à vérifier qu'il mangeait bien tout.

Youri avait de plus en plus peur en entendant les cris dans les chambres à coter, notre héros avait essayer de s’enfuit mais il ne pouvait même pas se lever, sa jambe lui faisait trop mal et sans canne impossible de se relever. Il avait donc attendu sans pouvoir dormir ou se relaxer, il n’avait pas fumer depuis longtemps, et il avait faim, il aurait eu ces deux jambes il aurait sûrement essayé de s’enfuir mais la il était comme une tortue sur le dos.

Youri avait déjà entendu parler de se genre de chose, des gens qui enlevait des pauvre pour en faire des objet de fantasme, mais il n’y avait pas trop cru. Mais maintenant… Il entendit un bruit, la porte s’ouvrit mais c’était son « patron », il lui apportait une assiette de pâtes bon marché nature et pas appétissante, mais Youri avait plus que faim. Il mangea entièrement l’assiette et fut heureux d’avoir fini, mais la encore la cigarette lui manquait. Il se mit assis et dit :

Qui êtes vous ? J’ai de l’argent je peut vous payer en échange de ma liberté, et puis ma boite va s’apercevoir que je suis absent et il vont envoyer la police. S’il vous plait laissez moi partir.

Le patron ne cilla pas face à la proposition de Youri. Il était très probable que beaucoup de ses victimes avaient fait ce genre de remarque.

"De l'argent ? A combien évalues-tu ta vie ? Combien crois-tu que tu vas me rapporter en restant là, sage et docile ?"

Il s'était rapproché beaucoup plus près, se penchant pour regarder Youri dans les yeux.

"Je doute que tu sois capable d'aligner une telle somme..." Il se redressa alors.

"Mais merci de m'avoir prévenu pour ton ex-travail... Je vais faire en sorte qu'ils t'oublient rapidement. C'est fou comme une liasse peut facilement fluidifier les relations sociales. Oh, et ne t'en fais absolument pas pour la police."

Youri avait peur de se mec, mais il ne fallait pas le lui montrer il resta donc digne et fort dans le désarrois. Il resta donc de marbre l venait de signer son arrêt de mort et il voulait sortir d'ici au plus vite, mais il n'avait aucune idée pour comment faire. Il resta donc allongé à attendre, il ne savait quoi ni qui et cela lui faisait peur, très peur.

Pourquoi moi ?

Dit il enfin allongé sur le lit, c'était la première question qui lui venait a l'esprit.

Patron haussa les épaules. Une autre question que tout le monde posait, semblait-il...

"Pourquoi toi ? Et pourquoi pas ? Tu as une bonne tête, tu devrais plaire aux clients. Et puis à ce que j'ai vu, tu aimes bien être un peu tape à l'oeil... Donc autant en profiter ! Tu vas pouvoir faire preuve de tout ton pouvoir de séduction."

Il éclata d'un rire faux, empreint d'une certaine touche de cruauté.

Youri sentit en lui une vague de haine envers l'homme devant lui, il voulait le tuer, et cel de la plus atroce des façon possible, mais il lui était impossible de réaliser se rêve, il était immobilisé sur le lit par cette stupide jambes. Si seulement il avait sa canne il aurrait frapper a mort son agrésseur. Il se remit assis et regarda l'homme devant lui et dit :

Donne moi ma canne et vient te battre sale lache e te jure que je te mettrait ta bran***, et que j'arriverait a te coller en prison.

Il continuait de regarder l'homme d'un air hainneux.

Le regard de son interlocuteur changea subitement. En un geste leste, il avait décollé Youri de son lit, et le maintenait plaqué au mur par le cou, l'étranglant. Nonchalamment, il sortit une arme à feu de sa veste, et posa le canon froid du révolver sur le front de Youri.

"Je te conseille d'apprendre le respect dans les plus brefs délais, si tu ne veux pas finir dans une poubelle bouffé par les rats." Il appuya l'arme plus fortement sur le front de Youri, lorsqu'un léger bruit se fit entendre de la porte, suivi par une autre voix masculine, légèrement plus jeune

"Presko est arrivé."

Youri sentit sont corps décollé et être plaqué contre le mur d'une main, l'homme l'étranglait, sans avoir peur comme si il s'agissait d'un rat qui devait être abattu au plus vite, il appuya le canon d'une arme sur le front d'une jeune Yougoslave, et lui dit que si il voulait vivre il devrait apprendre a le respecter. Youri ne pouvait pas se débattre et encore moins se battre, puis une voix masculine plus jeune annonça qu'un certain "Presko" était arrivé mais qui était se Presko ? Il essaya d'activer sa capaciter de vision thermique mais rien ni faisait il n'y arrivait pas, rien afaire contre la force que l'homme montrait contre Youri.

Le patron détourna le regard, puis rangea son arme, et laissa Youri retomber sur son lit comme s'il eut s'agit d'un sac de linge sale. Il s'en fut alors de la pièce sans un mot.

Le "messager" resta toutefois dans la salle. Il ne semblait pas beaucoup plus vieux que Youri, mais semblait être le type de personne qui aurait pu être recruté. Peut-être l'avait-il été ? Et avait ensuite eut droit à une promotion lui donnant la possibilité de gérer la ressource humaine, ou le secrétariat...

Il le regarda un instant, avant de rassembler la vaisselle de Youri tout en disant à voix basse :

"Tu es nouveau, alors tu n'as pas encore l'habitude... Mais je t'en prie, tiens-toi à carreaux. Il est assez contrarié ces temps-ci, alors n'en rajoute pas trop..."

Youri regarda l’homme de main lui parler, il se hissa dans son lit, comme un forcené il avait du mal et cela faisait un peu pitié en fait, il se mis sur le lit et s’assis il se massa le cou, il avait mal et il avait cru qu’il allait mourir. Youri soupira en regardant l’homme puis il dit :

Je ne laisserait pas ce lâche s’en tirer comme sa je n’en ai rien a fou*** qu’il soit stresser comment croit tu que je suis en ce moment ?

Il s’allongea en se demandant comment cette sordide histoire allait se terminer, bien ou mal ? Surement mal, mais il ne fallait pas tirer de solutions trop hâtives.

"Présentement ? Tu es sans doute terrorisé, paniqué, et plein de questions. Comme tous les jeunes qui arrivent ici."

Il posa le plateau sur lequel il avait rassemblé les affaires pour s'assoir un instant sur le lit de Youri.

"Certains craquent rapidement... Hurlent, pleurent. D'autres essaient de mettre fin à leur jour, avec les moyens du bord, ou en fâchant le patron. Mais la plupart finit par s'y mettre, et accepter la routine. Jusqu'à ce qu'ils se fassent remplacer par un nouveau. C'est ça ce boulot."

Il jeta un regard un instant absent au lit. Il était probable que Youri, lui-même, remplaçait quelqu'un.

Youri en avait assez de tout sa il voulait repartir chez lui repartir sur internet avec son matos, il ne voulait pas faire ce a quoi on l’obligerait, il voulait vivre sans sa, sans cette personne qui devait être son boss et qu’il avait envie de tuer, du plus profond de son âme, il voulait tuer cet homme et le ridiculiser avant. Mais il n’en avait pas la force.

Et toi tu était un nouveau avant ? Pourquoi ne m’aiderait tu pas a me sauver d’ici ? Je pourrais te payer.

Il regarda l’homme avec un regard implorant.

Visiblement, l'employé qui avait tenté de s'attendrir avait été fortement contrarié par la proposition de Youi : il se leva brusquement, et répliqua d'un ton sec.

"T'aider à quoi ? Et me faire descendre à la sortie ? Tu veux que je mette un prix sur le risque que ça me ferait prendre. Tu te crois donc si riche que tu peux tout te payer ? Redescends un peu sur terre. Tu as manqué de te prendre une balle dans la tête parce que tu as dit ce genre de trucs, et tu recommences..."

Il ricana, affichant tout le mépris qu'il éprouvait maintenant envers cet homme, ce raté, ce minable, qui n'avait pas encore compris l'horreur de la réalité dans laquelle il se trouvait, tout persuadé que le monde tournerait encore et toujours autour de lui.

Il récupéra le plateau, et s'en fut. Déclarant, dans l'encadrement de la porte.

"Ne tente rien de fâcheux. Je n'ai pas envie de renettoyer la chambre parce qu'un crétin se croit plus malin que les autres."

Puis il sortit, ferma la porte, et il y eut des bruits de verrous.

Youri était triste de c’être fâché avec le seul homme qui était gentil avec lui, il se ré allongea, il devait s’y faire, il était un esclave est sûrement pour toujours, il ne voulait même pas pleuré, il ne voulait pas se plaindre énormément de personne était dans de pires conditions que lui, il ne devait pas se plaindre et ne pas craquer.
Mais cela allait être dur il n’avait pas fumé depuis une éternité, il voulait fumer, il en avait ras le bol de cela, il voulait fumer, c’est la seul chose qui pourrait le faire tenir, il se mit assis et cria pour qu’on l’entende :

Ho hé quelqu’un !! Quelqu’un pourrait me faire fumé, je veut bien faire se que vous voulez mais laissez moi fumé s’il vous plait !!!

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