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- Jay SirianX-Rays
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Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Ven 26 Sep 2008 - 10:50
Alors que Jay était sûr d'avoir réussit, il était bien planqué et la tête du champignon s'était détaché, il se retrouva à manipuler absolument rien. Il était pourtant sûr qu'il le tenait, ce chapeau. Ce devait être l'homme qui avait fait ça, avant d'être mis à mal par Sahari.
**tu parles d'un type , il se prend pour le roi du monde et une baffe après il parle plus, il est vraiment nul comme type...**
Jay sorti de sa cachette, voulant savoir si le plan continuait ou s'ils allaient tout d'abord essayait de faire parler le type. Apparemment c'était la deuxième idée qui primait. Ce qui n'était pas du goût de certains élèves, ni du sien.
-Je suis d'accord avec eux, on le ramène chez nous et on casse tout. Enfin on casse tout et on le ramène, j'ai pas trop envie de revenir ici moi. Et pour sortir, il suffit de faire comme on est entré, sauf que maintenant, on a un bouclier.
Et pour affirmer ses propos, il montra l'homme d'un signe de tête, persuadé que personne ne leur ferait du mal s'ils le mettaient en première ligne.
**tu parles d'un type , il se prend pour le roi du monde et une baffe après il parle plus, il est vraiment nul comme type...**
Jay sorti de sa cachette, voulant savoir si le plan continuait ou s'ils allaient tout d'abord essayait de faire parler le type. Apparemment c'était la deuxième idée qui primait. Ce qui n'était pas du goût de certains élèves, ni du sien.
-Je suis d'accord avec eux, on le ramène chez nous et on casse tout. Enfin on casse tout et on le ramène, j'ai pas trop envie de revenir ici moi. Et pour sortir, il suffit de faire comme on est entré, sauf que maintenant, on a un bouclier.
Et pour affirmer ses propos, il montra l'homme d'un signe de tête, persuadé que personne ne leur ferait du mal s'ils le mettaient en première ligne.
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Sam 27 Sep 2008 - 2:01
Les prétentions de jeune commando du serbe avait finalement été plus ou moins fructueuses : il l'avait fait chuter de façon plutôt pitoyable mais le résultat était là : il l'avait desarconné tant bien que mal.
Le reste de l'équipe proposait à présent d'exploser tout simplement la tour ou au moins de la faire brûler, histoire de laisser un souvenir durable dans la capitale française.
Daedelion pétait les plombs, ce qui semblait être une caractéristique du jeune homme.
"Bon écoute jeune adolescent prépubère, Sahari n'a pas eu une enfance "classique", d'où son silence prolongé quant à ta crise actuelle mais tu ne vas pas continuer à mes les casser longtemps. Tu flashes totalement sur la petite rousse handicapée, tes hormones partent dans tous les sens, tu as eu le pantalon serré toute la mission et elle te fait disjoncter, c'est ton problème, vous ferez autant de galopettes que vous voulez de retour à la maison mais ferme la pour le moment"
Math avait profité de sa courte pause destinée à l'enseignement psychologique pour coller une rouste au stripteaser.
"C'est dingue cette équipe, ils nous ont collés tous les ados en rut ou quoi ?"
Il fallait passer à présent aux choses sérieuses. Il se rapprocha de la nouvelle victime tout en s'adressant à l'équipe.
"Il faut tout casser ici oui, d'une part parce que c'était le but, de l'autre parce que cela lui mettrait bien la rage je crois. Ensuite nous savons lui comme nous qu'il ne parviendra jamais jusqu'à notre institut : vous savez bien qu'on ne contrôle pas tout. Qui sait ? Une équipe l'attend peut-être dehors ? Il va nous sortir sa nouvelle machine volante ? Je n'ai pas confiance dans la tactiques de rapatriement, il vaut mieux le faire accoucher maintenant"
Il se rapprocha à nouveau du petit machiavel.
"Mes excuses pour le coup de poing, il était pitoyable"
Sa main vint se loger entre les deux cuisses de l'homme en costar pour finalement lui griffer lentement les cuisses à l'aide de ses os.
"Nous allons procéder plus rapidement : vous savez tout comme moi que nous ne quitterons pas le batiment sans au moins une petite information. A quoi auraient servis tous ces efforts, cette mobilisation mutante de grande envergure pour finalement repartir les mains vides ? Soyons raisonnables, faisons un échangé de bon procédé. Et puis cela m'évitera de remonter ma main et de vous broyer les testicules n'est ce pas ?"
Le reste de l'équipe proposait à présent d'exploser tout simplement la tour ou au moins de la faire brûler, histoire de laisser un souvenir durable dans la capitale française.
Daedelion pétait les plombs, ce qui semblait être une caractéristique du jeune homme.
"Bon écoute jeune adolescent prépubère, Sahari n'a pas eu une enfance "classique", d'où son silence prolongé quant à ta crise actuelle mais tu ne vas pas continuer à mes les casser longtemps. Tu flashes totalement sur la petite rousse handicapée, tes hormones partent dans tous les sens, tu as eu le pantalon serré toute la mission et elle te fait disjoncter, c'est ton problème, vous ferez autant de galopettes que vous voulez de retour à la maison mais ferme la pour le moment"
Math avait profité de sa courte pause destinée à l'enseignement psychologique pour coller une rouste au stripteaser.
"C'est dingue cette équipe, ils nous ont collés tous les ados en rut ou quoi ?"
Il fallait passer à présent aux choses sérieuses. Il se rapprocha de la nouvelle victime tout en s'adressant à l'équipe.
"Il faut tout casser ici oui, d'une part parce que c'était le but, de l'autre parce que cela lui mettrait bien la rage je crois. Ensuite nous savons lui comme nous qu'il ne parviendra jamais jusqu'à notre institut : vous savez bien qu'on ne contrôle pas tout. Qui sait ? Une équipe l'attend peut-être dehors ? Il va nous sortir sa nouvelle machine volante ? Je n'ai pas confiance dans la tactiques de rapatriement, il vaut mieux le faire accoucher maintenant"
Il se rapprocha à nouveau du petit machiavel.
"Mes excuses pour le coup de poing, il était pitoyable"
Sa main vint se loger entre les deux cuisses de l'homme en costar pour finalement lui griffer lentement les cuisses à l'aide de ses os.
"Nous allons procéder plus rapidement : vous savez tout comme moi que nous ne quitterons pas le batiment sans au moins une petite information. A quoi auraient servis tous ces efforts, cette mobilisation mutante de grande envergure pour finalement repartir les mains vides ? Soyons raisonnables, faisons un échangé de bon procédé. Et puis cela m'évitera de remonter ma main et de vous broyer les testicules n'est ce pas ?"
- Adam ZacharyDirecteur [X-Rays] / Administrateur
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Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Sam 27 Sep 2008 - 13:45
Edwards, au sol, s'apprêtait à répondre à Sahari lorsque Math lui décocha un coup de pied dans les côtes, qu'il encaissa avec un cri. Toutefois, quand Flare s'apprêta à lui décocher un coup de poing, le couteau qu'il avait toujours planté dans l'épaule se rappela à son bon souvenir ! une douleur fulgurante lui irradia le bras, et il put constater avec horreur qu'il se mettait à saigner vraiment beaucoup, malgré le bandage de fortune d'Ivy.
Ceci permit à Edwards de partir d'un rire étrange, face à l'apparent amateurisme de l'équipe en face de lui, quand bien même il était au sol. Il ferma les yeux, ne prêtant attention ni aux considérations de mode de Daedalion, aux idées pacifiques de Jay, ou encore à la déplorable tentative de Iacobo d'assouvir des pulsions sadiques qui firent monter une colère sans nom en Sahari.
Tout le sol de la salle se mit alors à frémir, de même que les murs. Toutes les écailles se mirent alors à bourdonner et à voler en tous sens, rapidement, les percutant comme s'il eut s'agit d'une averse de grêle. Rien de bien dangereux, ils s'en sortiraient avec quelques bleus... Puis tout cessa, tout était suspendu en l'air.
Un coup d'oeil vers Edwards, et ils purent constater que son expression semblait plus figée, et surtout, qu'il pleurait ? En tout cas, des larmes coulaient de ses yeux, de même qu'un peu de sang de sa bouche. Puis son regard se figea définitivement, fixant le plafond.
À nouveau, les murs et le plafond semblèrent tomber en pluie, mais plus doucement, les morceaux semblant se décomposer jusqu'à former une fine poussière métallique qui leur tombait dessus comme de la neige. Révélant ainsi les murs nus, le sol en lino d'un étage qui était en fait totalement vide, si cela n'avait pas été des créations du mutant sous lequel on pouvait voir s'étendre une flaque de sang.
Bien que Math était sérieusement blessé, l'overmind semblait définitivement détruit. Et son créateur... aussi. La mission était maintenant terminée. Iacobo constata avec amertume qu'il ne servirait plus à rien de continuer ses menaces, et Daedalion réalisa que le costard était maintenant hors d'usage.
Et qu'il y aurait un sacré coup de balai à passer !
~*~
Ceci conclut notre mode jeu. Je vous remercie pour votre participation, et j'espère qu'il vous aura plu, malgré sa difficulté un peu importante en matière de bourrinage !
Vous pouvez continuer à poster sur ce sujet en mode vie. Ordre des posts libres, et tout ça, le temps que tout le monde ait terminé, et qu'on passe à la suite des opérations.
En ce qui concerne les points :
- Sahari Fouba : 2pts : essaie d'être plus entreprenant
- Ivy O'Willow : 3pts : irréprochable comme d'habitude
- Math Whylbley : 1pt : améliore ton assiduité, et fais plus attention à ce qui se passe
- Alec O'Connor : 0pt : je ne t'ai pour ainsi dire pas vu, et tu as failli te faire descendre...
- Jay Sirian : 2pts : pas trop présent, mais généralement pertinent
- Daedalion March : 3pts : malgré un pouvoir pas assez développé, bon jeu dans l'ensemble
- Iacobo Milosevic : 1pt : tu joues bien, mais tu gagnerais à ne plus attendre le dernier moment pour poster...
Merci encore pour votre présence et votre participation. J'espère que ce mode jeu un peu plus offensif vous aura plu, bien qu'il était également assez difficile et que vous avez mis beaucoup de temps pour passer le sas. Edwards aurait pu être un challenge plus exhaltant si nous en avions eu le temps. En tout cas, j'espère que l'ambiance vous aura plu.
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Dim 28 Sep 2008 - 13:40
Sous le décor onirique d’une fine neige de métal, Daedalion constata horrifié sa magnifique acquisition vestimentaire se dégrader sous une coulée de sang. Bien que son audience eût certainement anticipé une réaction froide et détachée, c’est une mine plutôt grave et dessiné par la tristesse qui métamorphosa le faciès anciennement dédaigneux du Dandy revendiqué. « Moi qui espérais ne pas voir de cadavre ce soir… On peut s’en féliciter, déclara-t-il sur une note sarcastique, on l’a tabassé, menacé de castration et émit l’hypothèse de l’emprisonner dans une bâtisse remplie d’adolescents lunatiques habités par un désir vindicatif, mais on a complètement délaissé notre humanité pour l’abandonner à crever comme un chien ; j’attends beaucoup des enseignements à venir ».
Quetz se laissa choir sur le sol pour s’appuyer contre les armoires. Il enchaîna les bouffées de cigarettes avec un regard figé, ses pupilles fixant inlassablement le cadavre taquin de culpabilité. « Iacobo, lâcha-t-il sans détourner ses yeux de leur objectif, je n’ai pas adressé un mot à Sahari depuis l’entrée de truc. Cesse donc d’écouter les voix qui murmurent à l’intérieur de ton crâne et essaie de réfréner tes pulsions sadiques. Même toi tu peux trouver une personne consentante capable de satisfaire tes goûts excentriques». D’un mouvement horizontal de la tête, le garçon se força à regagner ses esprits.
Il délesta son mégot et l’écrasa sur la moquette. La salle avait perdu de son charme depuis sa soudaine métamorphose, et la solution consistant à réduire l’étage en un amas de cendres n’avait plus lieu d’être. La présence de l’équipe n’étant plus nécessaire, Daedalion se releva pour se diriger vers la porte. « Je vais faire un tour, j’ai besoin de marcher ». En vérité, il était facile de deviner que sous ses airs d’insensibles, le garçon ne supportait pas de se trouver dans une pièce où gisait le cadavre d’une indirecte victime.
Il sortit de la salle et se dirigea vers l’arbre qui obstruait le couloir. Il appliqua sa main sur la cime, se pencha en avant et émit de petits bruits de gorges signifiant une retenue douloureuse du contenue gastrique. Malgré tous ses efforts et ses pseudos auto transformations psychologiques, le mutant ne parvenait pas à supporter l’idée de causer la mort, même avec une implication minime de sa part. Il décida de rester à l’écart en attendant que l’équipe puisse rejoindre les autres et de rentrer en Amérique.
Quetz se laissa choir sur le sol pour s’appuyer contre les armoires. Il enchaîna les bouffées de cigarettes avec un regard figé, ses pupilles fixant inlassablement le cadavre taquin de culpabilité. « Iacobo, lâcha-t-il sans détourner ses yeux de leur objectif, je n’ai pas adressé un mot à Sahari depuis l’entrée de truc. Cesse donc d’écouter les voix qui murmurent à l’intérieur de ton crâne et essaie de réfréner tes pulsions sadiques. Même toi tu peux trouver une personne consentante capable de satisfaire tes goûts excentriques». D’un mouvement horizontal de la tête, le garçon se força à regagner ses esprits.
Il délesta son mégot et l’écrasa sur la moquette. La salle avait perdu de son charme depuis sa soudaine métamorphose, et la solution consistant à réduire l’étage en un amas de cendres n’avait plus lieu d’être. La présence de l’équipe n’étant plus nécessaire, Daedalion se releva pour se diriger vers la porte. « Je vais faire un tour, j’ai besoin de marcher ». En vérité, il était facile de deviner que sous ses airs d’insensibles, le garçon ne supportait pas de se trouver dans une pièce où gisait le cadavre d’une indirecte victime.
Il sortit de la salle et se dirigea vers l’arbre qui obstruait le couloir. Il appliqua sa main sur la cime, se pencha en avant et émit de petits bruits de gorges signifiant une retenue douloureuse du contenue gastrique. Malgré tous ses efforts et ses pseudos auto transformations psychologiques, le mutant ne parvenait pas à supporter l’idée de causer la mort, même avec une implication minime de sa part. Il décida de rester à l’écart en attendant que l’équipe puisse rejoindre les autres et de rentrer en Amérique.
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Dim 28 Sep 2008 - 21:52
Math vit toute la pièce s'évanouir en poussière de "métal" porté par un vent absent. La scène avait un petit air de mélancolie, mais Math n'était pas d'humeur à se laisser porter par se genre de sentiment. Pendant l'espace d'une seconde, il avait été d'accord avec Iacobo sur l'idée d'émasculé leur ennemi numéro un. Mais il se ravisa trouvant finalement la chose peu ragoutante. En plus, Math aurait surement eu mal pour lui... Peut être Iacobo devrait il prendre quelques séances de sophrologie pour apaiser son âme... Peut être que la mort du nem national de l'institut l'avait touché plus qu'il ne le laissait paraître... Impossible !!! Tout le monde sait que Iacobo est comme la crème de marron ! Personne n'aime ça et elles le rendent bien !
Daedalion se lança alors dans un discours qui aurait pu émouvoir l'assemblé de la convention de Genève sur l'état des prisonniers. L'équipe venait de passez pour un monstre de barbarie. Math n'avait rien d'un saint ! Et il ne voulait pas en être un ! Pour lui, se faire frapper sur la joue droite et tendre l'autre joue, c'était bon pour les délires sadomasochiste du serbe... Il était plus du genre œil pour œil, dent pour dent. Malheureusement, il n'avait pas eu le temps de rendre la monnaie de sa pièce à la gravure de mode en costard. Son épaule le faisant trop souffrir. Peut être que c'était mieux, il aurait surement démolie le visage bien ciselé de l'homme. Iacobo l'aurait surement insulté d'agent de la gestapo, Daedalion lui aurait sortit tous les articles des droits de l'homme, Ivy aurait protesté en une moue blasé, Alex aurait peut être couiné, Jay l'aurait probablement fermé et Sahari ... Impossible à dire, Sahari étant trop lunatique pour que Math puisse deviner ses réactions.
L'idée de tout faire cramer avait été abandonné et Math adopta un visage déçu. Ce n'était toujours pas le jour ou il pourrait montrer ses talents de pyromane. Daedalion s'écarta du groupe pour faire sa petite galette le long d'un des arbres d'Ivy. Math regarda son épaule gauche. Malgré le bandage de Dryade, le sang s'écoulait toujours, et son magnifique costume de catcher mutant était déchiré ! Il grimaça lorsqu'il effleura la plaie de sa main droite. Il était fatigué, il se mit à bailler.
"Bon ...Mission accomplit ! On remballe quand ?"
Dit-il sur un ton blasé. Il n'avait pas tellement envie de rester plus longtemps dans ce qu'il pourrait appeler "Le sanctuaire de la tentative du Génocide mutant !" Le grand méchant avait été poutré et l'équipe ne s'en était pas tiré trop mal, malgré le torse surement craquelé de Iacobo, le nouveau collier d'Alec et le piercing de Math. Ils n'avaient aucune raisons de rester plus longtemps. Il s'assit contre le mur nu de la salle et attendit que le reste de l'équipe bouge ....
Daedalion se lança alors dans un discours qui aurait pu émouvoir l'assemblé de la convention de Genève sur l'état des prisonniers. L'équipe venait de passez pour un monstre de barbarie. Math n'avait rien d'un saint ! Et il ne voulait pas en être un ! Pour lui, se faire frapper sur la joue droite et tendre l'autre joue, c'était bon pour les délires sadomasochiste du serbe... Il était plus du genre œil pour œil, dent pour dent. Malheureusement, il n'avait pas eu le temps de rendre la monnaie de sa pièce à la gravure de mode en costard. Son épaule le faisant trop souffrir. Peut être que c'était mieux, il aurait surement démolie le visage bien ciselé de l'homme. Iacobo l'aurait surement insulté d'agent de la gestapo, Daedalion lui aurait sortit tous les articles des droits de l'homme, Ivy aurait protesté en une moue blasé, Alex aurait peut être couiné, Jay l'aurait probablement fermé et Sahari ... Impossible à dire, Sahari étant trop lunatique pour que Math puisse deviner ses réactions.
L'idée de tout faire cramer avait été abandonné et Math adopta un visage déçu. Ce n'était toujours pas le jour ou il pourrait montrer ses talents de pyromane. Daedalion s'écarta du groupe pour faire sa petite galette le long d'un des arbres d'Ivy. Math regarda son épaule gauche. Malgré le bandage de Dryade, le sang s'écoulait toujours, et son magnifique costume de catcher mutant était déchiré ! Il grimaça lorsqu'il effleura la plaie de sa main droite. Il était fatigué, il se mit à bailler.
"Bon ...Mission accomplit ! On remballe quand ?"
Dit-il sur un ton blasé. Il n'avait pas tellement envie de rester plus longtemps dans ce qu'il pourrait appeler "Le sanctuaire de la tentative du Génocide mutant !" Le grand méchant avait été poutré et l'équipe ne s'en était pas tiré trop mal, malgré le torse surement craquelé de Iacobo, le nouveau collier d'Alec et le piercing de Math. Ils n'avaient aucune raisons de rester plus longtemps. Il s'assit contre le mur nu de la salle et attendit que le reste de l'équipe bouge ....
- Jay SirianX-Rays
- Age : 31
Equipe : KozaX
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Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Mar 30 Sep 2008 - 11:58
Jay n'en croyait pas ses oreilles, la voix de la raison était celle de Iacobo... du moins, il était le moins éloigné de la réalité, en essayant de toute expliquer. Jusqu'à ce qu'il le menace lui aussi.
**je me disais bien qu'il ne pouvait pas être calme à ce point-là**
Se demandant ce qu'il fallait faire, il attendait l'avis de Sahari, c'était sa partie du boulot, donner les ordres, alors il préférait attendre. Mais avant qu'ils aient pu faire quoique ce soit, la machine partait en morceau. Il crut d'abord à une nouvelle attaque mais ce n'était pas le cas, juste une désintégration pour laquelle il n'était pour rien. Puis la mort d'Edwards et la totale destruction des lieux. C'était fini. Ils pouvaient partir.
**au moins, il ne recommencera pas, on va être un peu tranquille, si les autres ont réussit aussi.**
-Je crois qu'on peut y aller maintenant, on espérant que personne ne nous attende en bas.
Il faut avouer qu'ils n'étaient plus forcement tous en état de faire une descente égale à la montée.
**je me disais bien qu'il ne pouvait pas être calme à ce point-là**
Se demandant ce qu'il fallait faire, il attendait l'avis de Sahari, c'était sa partie du boulot, donner les ordres, alors il préférait attendre. Mais avant qu'ils aient pu faire quoique ce soit, la machine partait en morceau. Il crut d'abord à une nouvelle attaque mais ce n'était pas le cas, juste une désintégration pour laquelle il n'était pour rien. Puis la mort d'Edwards et la totale destruction des lieux. C'était fini. Ils pouvaient partir.
**au moins, il ne recommencera pas, on va être un peu tranquille, si les autres ont réussit aussi.**
-Je crois qu'on peut y aller maintenant, on espérant que personne ne nous attende en bas.
Il faut avouer qu'ils n'étaient plus forcement tous en état de faire une descente égale à la montée.
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Mar 30 Sep 2008 - 21:59
Oversize ne s'était sûrement pas attendu à ce que les élèves lui passent sur le corps aussi vite, sinon il n'aurait pas mis sa tenue d'apparat !
Ivy ne comprit pas très bien ce qui se passait ; alors qu'elle inspectait le reste de la zone, tout se mit à trembler et des morceaux de murs tombèrent la croûte d'un bobo qu'on gratte.
La rouquine se recroquevilla instinctivement, mais se rappela bien vite que les écailles bizarres de la pièce ne lui feraient sûrement pas grand-chose sous cette forme.
Une fois le gros de la tornade passée, elle rejoignit les garçons, qui s'étaient réunis autour du cadavre d'Edwards. A peine vit-elle le corps étendu qu'elle posa ses mains en oeillère sur ses tempes et qu'elle détourna le regard. Des morts, elle ne voulait plus en voir. La vacuité de leur regard la dérangeait, de même que l'immobilisme de leurs corps. C'était peut-être pour ça qu'elle s'agitait toujours en tous sens.
Toujours était-il qu'elle ne voulait même pas savoir ce qui s'était passé.
"Je vais retrouver les autres, j'ai pas envie de prendre racine ici, on va se faire tirer comme des lapins." dit-elle, surprise de la légèreté avec laquelle Math contemplait le corps, alors qu'il pissait lui-même le sang. Même elle, ça la mettait mal à l'aise.
Sortant de la salle à la suite de Daedalion, Ivy actionna son communicateur.
"Psst' ! Miracle ! C'est moi ! Ca va ? Où s'que vous êtes ?!"
Ivy ne comprit pas très bien ce qui se passait ; alors qu'elle inspectait le reste de la zone, tout se mit à trembler et des morceaux de murs tombèrent la croûte d'un bobo qu'on gratte.
La rouquine se recroquevilla instinctivement, mais se rappela bien vite que les écailles bizarres de la pièce ne lui feraient sûrement pas grand-chose sous cette forme.
Une fois le gros de la tornade passée, elle rejoignit les garçons, qui s'étaient réunis autour du cadavre d'Edwards. A peine vit-elle le corps étendu qu'elle posa ses mains en oeillère sur ses tempes et qu'elle détourna le regard. Des morts, elle ne voulait plus en voir. La vacuité de leur regard la dérangeait, de même que l'immobilisme de leurs corps. C'était peut-être pour ça qu'elle s'agitait toujours en tous sens.
Toujours était-il qu'elle ne voulait même pas savoir ce qui s'était passé.
"Je vais retrouver les autres, j'ai pas envie de prendre racine ici, on va se faire tirer comme des lapins." dit-elle, surprise de la légèreté avec laquelle Math contemplait le corps, alors qu'il pissait lui-même le sang. Même elle, ça la mettait mal à l'aise.
Sortant de la salle à la suite de Daedalion, Ivy actionna son communicateur.
"Psst' ! Miracle ! C'est moi ! Ca va ? Où s'que vous êtes ?!"
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Ven 3 Oct 2008 - 3:10
Les jeunes faisaient des bêtises. D'un côté, Math qui empêchait l'overman de répondre à Sahari, en s'ouvrant de surcroit la plaie qu'il avait eue plus tôt. De l'autre, Iacobo faisait des menaces ignobles à l'homme. Non mais ils n'étaient pas censés être dans un pays civilisé? Et Deadalion l'insupportait. Si elle avait eu assez de bras, elle les aurait pris tous les trois par une oreille et les aurait amené dans un coin où elle leur aurait dit d'attendre sagement et silencieusement. Mais une tempête d'écailles s'abattit sur eux. Sahari se protégea du mieux possible de ses bras puis, lorsque tout cessa, elle constata que les gamins en avaient fini avec Edwards. Maintenant qu'il baignait au milieu de son sang, et que la pièce se dématérialisait sur eux, Sahari tenta de gérer un peu le petit monde autour d'elle.
[Communicateur d'Hwang]"Asklepios, où es-tu? Flare est très blessé, je te l'envoie avec Orion..."
Elle attendit la réponse et leur fit ensuite signe de se diriger où l'équipe du docteur Fleury se trouvait, quelques étages plus bas. Sortant en même temps que les élèves, Sahari rattrapa tout de même Deadalion et Iacobo, laissant Ivy et Jay sortir passer devant eux.
Elle s'adressa d'abord à Deadalion, qui avait visiblement grandi dans une cage dorée, sans aucune pitié pour ses états d'âmes actuels. Il était allé trop loin à son goût. Ou du moins quelqu'un était allé trop loin.
"Ce n'est pas parce que tu ne me parles pas que je n'entends pas tes sottises. Tu me feras le plaisir de garder le silence en ma présence au moins jusqu'à notre retour à l'institut, à moins que ce soit une question de vie ou de mort."
S'apercevant qu'elle était réellement fâchée, et devait paraître passablement intimidante, Sahari songea un instant qu'il était incroyable qu'elle n'ait pas encore transpercé qui que ce soit. Parvenait-elle enfin à se contrôler totalement? Elle se tourna vers Iacobo.
"C'est très délicat à toi de me défendre comme si je n'avais pas toute ma tête... Et ce l'est encore bien moins de proposer à un homme de le castrer. Je sais de quel milieu tu viens, mais je ne pensais pas que tu puisses penser à faire une telle chose... Je suis déçue et... frustrée. Ton comportement est totalement dégoûtant!"
Et dire que, durant l'aller vers la France, elle lui avait proposé de venir lui parler dans son bureau, si il éprouvait un quelconque problème ou questionnement avec son pouvoir...
Sans même leur laisser le temps de répliquer, pour leur mieux, elle les retourna par les épaules et les amena vers l'ascenceur, en contemplant avec un certain dégoût le gâchis dans la pièce. Direction l'institut.
[HJ : Faut pas s'tromper, j'vous aime les cocos!]
[Communicateur d'Hwang]"Asklepios, où es-tu? Flare est très blessé, je te l'envoie avec Orion..."
Elle attendit la réponse et leur fit ensuite signe de se diriger où l'équipe du docteur Fleury se trouvait, quelques étages plus bas. Sortant en même temps que les élèves, Sahari rattrapa tout de même Deadalion et Iacobo, laissant Ivy et Jay sortir passer devant eux.
Elle s'adressa d'abord à Deadalion, qui avait visiblement grandi dans une cage dorée, sans aucune pitié pour ses états d'âmes actuels. Il était allé trop loin à son goût. Ou du moins quelqu'un était allé trop loin.
"Ce n'est pas parce que tu ne me parles pas que je n'entends pas tes sottises. Tu me feras le plaisir de garder le silence en ma présence au moins jusqu'à notre retour à l'institut, à moins que ce soit une question de vie ou de mort."
S'apercevant qu'elle était réellement fâchée, et devait paraître passablement intimidante, Sahari songea un instant qu'il était incroyable qu'elle n'ait pas encore transpercé qui que ce soit. Parvenait-elle enfin à se contrôler totalement? Elle se tourna vers Iacobo.
"C'est très délicat à toi de me défendre comme si je n'avais pas toute ma tête... Et ce l'est encore bien moins de proposer à un homme de le castrer. Je sais de quel milieu tu viens, mais je ne pensais pas que tu puisses penser à faire une telle chose... Je suis déçue et... frustrée. Ton comportement est totalement dégoûtant!"
Et dire que, durant l'aller vers la France, elle lui avait proposé de venir lui parler dans son bureau, si il éprouvait un quelconque problème ou questionnement avec son pouvoir...
Sans même leur laisser le temps de répliquer, pour leur mieux, elle les retourna par les épaules et les amena vers l'ascenceur, en contemplant avec un certain dégoût le gâchis dans la pièce. Direction l'institut.
[HJ : Faut pas s'tromper, j'vous aime les cocos!]
- Georgia BeccariaX-Rays
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Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Ven 3 Oct 2008 - 18:35
Georgia Beccaria a écrit:"Ma petite nymphe des bois, on va bien... On est avec les gosses et on se prépare à évacuer ! Et toi, tu vas bien ? Je me préparais à faire une distribution de calins, tu en es ?"
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Ven 3 Oct 2008 - 18:46
[HJ : Je sais bien, ici aussi ]
Alors qu’il essayait de retenir sa culpabilité de s’extirper par l’orifice buccal, Sahari Fouba, figure autoritaire parsemée d’os, vint interrompre son exorcisme stomacal en le gratifiant de ses griefs accumulés au cours de la mission. Il parvenait à la voir, à distinguer cette vérité que tous ses reproches couvés maladroitement. Ils l’accablaient tous de sa bonne fortune, prétextant qu’une enfance normale ne puisse justifier un comportement tumultueux. Le mal ne provenait pas de son confort, au contraire, mais de sa mauvaise fortune qui prenait un récent plaisir à s’acharner sur ses épaules peu développées.
Pourtant, ils ignoraient jusqu’à quel point lui-même s’insupportait. Depuis son court passage dans les geôles gouvernementales, et l’incroyable rythme de vie qui accompagnait l’institut, le jeune homme se sentait chuter dans un précipice de folie qui ne cessait de se creuser à chaque fois qu’il s’apprêtait à s’écraser. Certes, il n’avait jamais eut un caractère très patient et courtois lorsqu’il rencontrait une secrétaire incompétente, mais jamais au point d’injurier quiconque lui adressait la parole. Il s’enfonçait invariablement dans son personnage agressif et, bientôt, il deviendrait son identité à l’institut.
S’étant promis, peu avant le départ en mission, de réagir le plus possible en soldat, il s’abstint de répondre à l’ordre de Sahari ni même de se débattre lorsqu’elle le conduisit, tel un sac de patates, vers l’ascenseur. Il ravala alors sa fierté, et entra dans la nacelle. Interdit de prononcer quoique ce soit, il se contenta d’attendre patiemment le retour à l’institut.
Pourtant, ils ignoraient jusqu’à quel point lui-même s’insupportait. Depuis son court passage dans les geôles gouvernementales, et l’incroyable rythme de vie qui accompagnait l’institut, le jeune homme se sentait chuter dans un précipice de folie qui ne cessait de se creuser à chaque fois qu’il s’apprêtait à s’écraser. Certes, il n’avait jamais eut un caractère très patient et courtois lorsqu’il rencontrait une secrétaire incompétente, mais jamais au point d’injurier quiconque lui adressait la parole. Il s’enfonçait invariablement dans son personnage agressif et, bientôt, il deviendrait son identité à l’institut.
S’étant promis, peu avant le départ en mission, de réagir le plus possible en soldat, il s’abstint de répondre à l’ordre de Sahari ni même de se débattre lorsqu’elle le conduisit, tel un sac de patates, vers l’ascenseur. Il ravala alors sa fierté, et entra dans la nacelle. Interdit de prononcer quoique ce soit, il se contenta d’attendre patiemment le retour à l’institut.
- InvitéInvité
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Sam 4 Oct 2008 - 13:17
La main osseuse et pointue du serbe se rapprochait peu à peu de sa cible tout en lui griffant les cuisses.
Il en souriait presque : encore quelques secondes et l'affreux serait obligé de lui déballer toute la compléxité du complot qui menaçait sa race.
Pas de chance, le bâtiment commençait à craquer et le machiavel en costard sombra dans l'abîme avec toutes ses créations obscures.
Il jura en serbe.
"Merde, j'étais certain qu'il nous filerait entre les doigts, qu'il aille crever le chien !"
Daedelion se chauffait et déplaisait de plus en plus au prostitué. Muni de quelques piques rhétoriques et une démarche de petit péteux, il s'évertuait à donner ça et là quelques leçons tout en réfrenant ses pulsions pour la rousse.
Toutefois il le vit s'éloigner, comme dégouté par la scène précedente. Ce garçon misait définitivement tout dans le style.
"Daedelion, tu es une tapette bavarde. Tu viens d'arriver dans l'équipe, tu la fermes et tu suis"
Ce fut ensuite le tour du sermon de Sahari sur le chemin du retour. Elle semblait véritablement dégoutée, ce qui fit rire ironiquement le jeune serbe.
"Vous êtes déçue ? Mais qu'attendiez-vous de moi ? Je suis ce qui se fait de pire en terme moral et vous comptiez sur moi pour de la bonté à l'égard d'un homme qui voulait nous trucider ? Ca n'a absolument aucune logique ! Vous butez des élèves, vous nous envoyez au front régler vos comptes entre pseudo prophètes de la mouvance mutante et vous nous faites des leçons de morale ! Vous vouliez des informations ? J'ai cherché l'efficacité, je n'ai absolument rien à faire des méthodes !
Tu crois que tu en as toi ?"
Son discours était d'une grave violence à l'égard du professeur, si bien qu'il avait fini par la tutoyer. Il la regarda furieusement puis s'écarta rapidement tout en tirant une cigarette.
Il en souriait presque : encore quelques secondes et l'affreux serait obligé de lui déballer toute la compléxité du complot qui menaçait sa race.
Pas de chance, le bâtiment commençait à craquer et le machiavel en costard sombra dans l'abîme avec toutes ses créations obscures.
Il jura en serbe.
"Merde, j'étais certain qu'il nous filerait entre les doigts, qu'il aille crever le chien !"
Daedelion se chauffait et déplaisait de plus en plus au prostitué. Muni de quelques piques rhétoriques et une démarche de petit péteux, il s'évertuait à donner ça et là quelques leçons tout en réfrenant ses pulsions pour la rousse.
Toutefois il le vit s'éloigner, comme dégouté par la scène précedente. Ce garçon misait définitivement tout dans le style.
"Daedelion, tu es une tapette bavarde. Tu viens d'arriver dans l'équipe, tu la fermes et tu suis"
Ce fut ensuite le tour du sermon de Sahari sur le chemin du retour. Elle semblait véritablement dégoutée, ce qui fit rire ironiquement le jeune serbe.
"Vous êtes déçue ? Mais qu'attendiez-vous de moi ? Je suis ce qui se fait de pire en terme moral et vous comptiez sur moi pour de la bonté à l'égard d'un homme qui voulait nous trucider ? Ca n'a absolument aucune logique ! Vous butez des élèves, vous nous envoyez au front régler vos comptes entre pseudo prophètes de la mouvance mutante et vous nous faites des leçons de morale ! Vous vouliez des informations ? J'ai cherché l'efficacité, je n'ai absolument rien à faire des méthodes !
Tu crois que tu en as toi ?"
Son discours était d'une grave violence à l'égard du professeur, si bien qu'il avait fini par la tutoyer. Il la regarda furieusement puis s'écarta rapidement tout en tirant une cigarette.
- Rachel McCallumX-Rays
- Age : 34
Nom de code : Warp
Date d'inscription : 30/09/2006
Re: [3.11]Paris - La Défense : Attaque
Sam 4 Oct 2008 - 17:14
"J'arrive! Je vous téléporterai tous vers notre équipe! On sera sain et sauf à l'extérieur!"
[ Sauvetage]
Rachel apparut tout sourire devant Sahari. Elle fit un tour sur elle même pour regarder tout le monde et envoya un sourire radieux à tous les élèves. Comme cela faisait du bien de les voir! Elle s'ennuyait horriblement des autres visages connus. Même Ivy. Elle lui envoya un signe de la main. Interrompant la "chicane" entre Iacobo et Sahari, elle dit d'une voix ensoleillée:
"Je suis votre billet de retour! Trois par trois! Faites vos équipes! Bon, ok je m'en charge!"
Elle regarda un moment Iacobo et Sahari qui se boudaient et s'avanca vers Daedalion, qu'elle ne connaissait pas du tout, mais qui semblait être parmis les plus silencieux. Elle ne se demandaient pas vraiment ce qui s'était passé ici...Des caractères aussi forts que Sahari, Iacobo et Ivy dans une même équipe, ca ne pouvait faire que des étincelles! La jeune femme prit le bras à Daedalion et lui fit un clin d'oeil. Elle lui envoya aussi un sourire radieux et l'entraina vers Jay et Ivy qu'elle prit aussi par les bras. Elle dit à l'intention de Daedalion:
"Je m'appelle Rachel! Bienvenue à l'Institut!"
Rachel tourna la tête vers Jay qu'elle regarda avec attention. Pas trop blessé. Une chance! Elle lui sourit doucement et fit la même vérification pour Ivy. Elle semblait être pas pire elle aussi. Heureusement...Malgré le fait que Ivy ne l'aime pas, elle ne la détestait pas...Elle était juste un peu irritée de se faire hair pour aucune raison. Qui ne le serait pas? Puis son regard se posa sur Math. C'était lui qu'ils devaient évacuer le plus rapidement. Elle avait oublié. De toute facon, un allé retour ne serait pas très long. Elle empoigna Alec à la dernière seconde. Elle l'avait vraiment pas vu! Elle s'exclama:
"Je reviens dans 20 secondes! Je te prendrai sur le dernier voyage, Math. Et vous aussi Mam'zelle Sahari. Et Iacobo. Essayez de ne pas vous crever les yeux par le temps que je reviennes."
Elle n'attendit pas la réaction immédiate de Sahari sur les paroles qu'elle lanca et disparut. Elle téléporta ses compagnons vers les autres, au pieds des arbres devant la bâtisse, à l'abris des regards.
[ Sauvetage]
Rachel réapparut, fidèle à ses promesses, une 20 aine de secondes plus tard. Elle prit Sahari par le bras et Iacobo par les épaules et les entraina auprès de Math. Elle leur envoya un sourire radieux et rassurant. Elle se pencha pour toucher Math et les téléporta tous sous l'arbre. Là, Hwang pourra soigner Math et ils seraient plus protégés qu'ici.
[ Sauvetage]
[ Sauvetage]
Rachel apparut tout sourire devant Sahari. Elle fit un tour sur elle même pour regarder tout le monde et envoya un sourire radieux à tous les élèves. Comme cela faisait du bien de les voir! Elle s'ennuyait horriblement des autres visages connus. Même Ivy. Elle lui envoya un signe de la main. Interrompant la "chicane" entre Iacobo et Sahari, elle dit d'une voix ensoleillée:
"Je suis votre billet de retour! Trois par trois! Faites vos équipes! Bon, ok je m'en charge!"
Elle regarda un moment Iacobo et Sahari qui se boudaient et s'avanca vers Daedalion, qu'elle ne connaissait pas du tout, mais qui semblait être parmis les plus silencieux. Elle ne se demandaient pas vraiment ce qui s'était passé ici...Des caractères aussi forts que Sahari, Iacobo et Ivy dans une même équipe, ca ne pouvait faire que des étincelles! La jeune femme prit le bras à Daedalion et lui fit un clin d'oeil. Elle lui envoya aussi un sourire radieux et l'entraina vers Jay et Ivy qu'elle prit aussi par les bras. Elle dit à l'intention de Daedalion:
"Je m'appelle Rachel! Bienvenue à l'Institut!"
Rachel tourna la tête vers Jay qu'elle regarda avec attention. Pas trop blessé. Une chance! Elle lui sourit doucement et fit la même vérification pour Ivy. Elle semblait être pas pire elle aussi. Heureusement...Malgré le fait que Ivy ne l'aime pas, elle ne la détestait pas...Elle était juste un peu irritée de se faire hair pour aucune raison. Qui ne le serait pas? Puis son regard se posa sur Math. C'était lui qu'ils devaient évacuer le plus rapidement. Elle avait oublié. De toute facon, un allé retour ne serait pas très long. Elle empoigna Alec à la dernière seconde. Elle l'avait vraiment pas vu! Elle s'exclama:
"Je reviens dans 20 secondes! Je te prendrai sur le dernier voyage, Math. Et vous aussi Mam'zelle Sahari. Et Iacobo. Essayez de ne pas vous crever les yeux par le temps que je reviennes."
Elle n'attendit pas la réaction immédiate de Sahari sur les paroles qu'elle lanca et disparut. Elle téléporta ses compagnons vers les autres, au pieds des arbres devant la bâtisse, à l'abris des regards.
[ Sauvetage]
Rachel réapparut, fidèle à ses promesses, une 20 aine de secondes plus tard. Elle prit Sahari par le bras et Iacobo par les épaules et les entraina auprès de Math. Elle leur envoya un sourire radieux et rassurant. Elle se pencha pour toucher Math et les téléporta tous sous l'arbre. Là, Hwang pourra soigner Math et ils seraient plus protégés qu'ici.
[ Sauvetage]
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