Page 2 sur 2 • 1, 2
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mar 16 Déc 2008 - 2:25
Un frisson de peur lui parcourut le dos lorsque le charmant docteur barra la porte. Heureusement, si les chose devait tourner mal, ce practicien devrait non seulement sortir de son hébétitude, mais aussi dévérouiller la porte pour la suivre, si c'était bien par la porte qu'elle sortirait. La peur ainsi combattu, elle afficha un air serein sur son visage, qui n'était pas complétement faux.
Néanmoins, elle espérait ne pas arriver à de telle extrémité. Si tout ce passait bien, le gentil docteur la reconduirait lui-même à la porte, sans autre chose qu'un sourire charmeur.
Sans prendre soin de relever le problême de la porte barrer, elle s'installa confortablement dans une chaise qui était en face de son bureau. Aussitôt l'interrogatoire commencer, elle pris bien soin de garder une allure professionnelle.
La sonnerie de téléphone vint la déranger dans l'élaboration de ses mensonges. lorsqu'il mentionna le patient bizarroïde , elle eut un sentiment de victoire. Il fallait trouver une façon de communiquer l'information au autres sans éveiller les soupçon. Un éclair de génie lui vint.
Lorsqu'il reporta enfin son attention sur elle, elle sut aussitôt 2 chose. La première c'est qu'il fallait gagner le plus de temps possible. La seconde, c'est qu'il s'était sans doute passé quelque chose de grave pour que l'on saute le plan b et c pour aller dans un hypothétique plan z qui risquait de tous les anéantir.
- Vous m'avez posée certaines question auxquels je peux facilement vous répondre maintenant que nous sommes seules à seules et nous ne risquons pas d'être dérangé.
Elle jeta un coup d'oeil assez entendu sur le téléphone du bureau.
- Est-ce qu'il est possible de fermer ce téléphone, je ne dois pas être interrompu.
Puis, sans attendre sa réponse, elle enchaîna avec les siennes.
- Officiellement, notre patient souffre de trouble obsessionnelle compulsif du a une infection steptococcique bêta hémolytique de groupe a, parsemer de phobie expensive tel que parler et toucher les autres. C'est ce que j'ai du marquer sur sa fiche pour accommoder ses parents, et expliquer son état anormal. L'infection développer expliquait l'appartion soudaine des symptômes et les phobies faisaient en sorte que personne ne pouvait le touché et son absence de parole.
Sans laisser le temps au docteur de l'interrompe, elle enchaîna avec un autre mensonges, encore plus facilement qu'elle ne respirait en se moment.
- Par contre, après quelques observations, je ne doute pas de votre compétence, vous pourriez vous appercevoir que le patient n'est pas typiquement obsesionnel, ou autrement dit, son obsession est nom seulement psychologique, mais physique. Le patient est certain de pouvoir entendre ce que les gens pense. Très certain, même. Au début de ses symptôme, il se plaignait de mal de tête atroce. Mais ce qui étonnait les gens, c'est la justesse avec laquelle il décrivait ce que les gens pensait. Nous avons penser le mettre
Puis, suptilement, pendant qu'elle parlait, elle avait passé sa main dans ses cheveux, afin d'actionner le communicateur
- dans la salle d'isolement, loin des autres
Puis, elle le referma. Tout en continuant à parler.
- mais son état empirait. Il devenait agressif et violent, jusqu'a ce qu'il tombe dans un état de mutisme profond, et que son regard devienne vide. Des tic ont commencer à apparaitre, des grattements de tête, et des coups dans les murs. C'est alors que ses parents m'ont appeler et en constatant les traumatismes, je n'ai plus que commencer à visité les instituts psychiatrique pour déterminer la meilleurs où l'envoyer. Nous sommes encore en période de visite. Pour ce qui est de ses surprenante capacité, je me doute que les habitants de la maison ce sont fait dupé par un jeune hommes fort habile. Lorsque je l'ai vu pour la première fois, il était dans l'état d'hébétitude qu'il est maintenant.
Puis, un regard malicieux posé sur le docteur, elle continua. Ce dernier devait sans doute pour la prendre pour la plus grande parlante de monde, et c'était bien sur ça qu'elle comptait. Elle ne lui laissait aucun répis pour l'interrompe, et le bombarder d'information ne lui permettrait sans doute pas de revenir sur TOUT les petits détails.
- Pour ce qui est de mon aptitude mental, j'ai remarquer que certain de nos collègue plus vieux son parfois atteint d'une certaines sorte de folie. Par contre, vu mon manque d'expérience, et mes si peu années de services, je ne crois pas déjà être atteintes. Et votre, thèse, vous me disiez l'avoir fait sur la schizophénie?
Néanmoins, elle espérait ne pas arriver à de telle extrémité. Si tout ce passait bien, le gentil docteur la reconduirait lui-même à la porte, sans autre chose qu'un sourire charmeur.
Sans prendre soin de relever le problême de la porte barrer, elle s'installa confortablement dans une chaise qui était en face de son bureau. Aussitôt l'interrogatoire commencer, elle pris bien soin de garder une allure professionnelle.
La sonnerie de téléphone vint la déranger dans l'élaboration de ses mensonges. lorsqu'il mentionna le patient bizarroïde , elle eut un sentiment de victoire. Il fallait trouver une façon de communiquer l'information au autres sans éveiller les soupçon. Un éclair de génie lui vint.
Lorsqu'il reporta enfin son attention sur elle, elle sut aussitôt 2 chose. La première c'est qu'il fallait gagner le plus de temps possible. La seconde, c'est qu'il s'était sans doute passé quelque chose de grave pour que l'on saute le plan b et c pour aller dans un hypothétique plan z qui risquait de tous les anéantir.
- Vous m'avez posée certaines question auxquels je peux facilement vous répondre maintenant que nous sommes seules à seules et nous ne risquons pas d'être dérangé.
Elle jeta un coup d'oeil assez entendu sur le téléphone du bureau.
- Est-ce qu'il est possible de fermer ce téléphone, je ne dois pas être interrompu.
Puis, sans attendre sa réponse, elle enchaîna avec les siennes.
- Officiellement, notre patient souffre de trouble obsessionnelle compulsif du a une infection steptococcique bêta hémolytique de groupe a, parsemer de phobie expensive tel que parler et toucher les autres. C'est ce que j'ai du marquer sur sa fiche pour accommoder ses parents, et expliquer son état anormal. L'infection développer expliquait l'appartion soudaine des symptômes et les phobies faisaient en sorte que personne ne pouvait le touché et son absence de parole.
Sans laisser le temps au docteur de l'interrompe, elle enchaîna avec un autre mensonges, encore plus facilement qu'elle ne respirait en se moment.
- Par contre, après quelques observations, je ne doute pas de votre compétence, vous pourriez vous appercevoir que le patient n'est pas typiquement obsesionnel, ou autrement dit, son obsession est nom seulement psychologique, mais physique. Le patient est certain de pouvoir entendre ce que les gens pense. Très certain, même. Au début de ses symptôme, il se plaignait de mal de tête atroce. Mais ce qui étonnait les gens, c'est la justesse avec laquelle il décrivait ce que les gens pensait. Nous avons penser le mettre
Puis, suptilement, pendant qu'elle parlait, elle avait passé sa main dans ses cheveux, afin d'actionner le communicateur
- dans la salle d'isolement, loin des autres
Puis, elle le referma. Tout en continuant à parler.
- mais son état empirait. Il devenait agressif et violent, jusqu'a ce qu'il tombe dans un état de mutisme profond, et que son regard devienne vide. Des tic ont commencer à apparaitre, des grattements de tête, et des coups dans les murs. C'est alors que ses parents m'ont appeler et en constatant les traumatismes, je n'ai plus que commencer à visité les instituts psychiatrique pour déterminer la meilleurs où l'envoyer. Nous sommes encore en période de visite. Pour ce qui est de ses surprenante capacité, je me doute que les habitants de la maison ce sont fait dupé par un jeune hommes fort habile. Lorsque je l'ai vu pour la première fois, il était dans l'état d'hébétitude qu'il est maintenant.
Puis, un regard malicieux posé sur le docteur, elle continua. Ce dernier devait sans doute pour la prendre pour la plus grande parlante de monde, et c'était bien sur ça qu'elle comptait. Elle ne lui laissait aucun répis pour l'interrompe, et le bombarder d'information ne lui permettrait sans doute pas de revenir sur TOUT les petits détails.
- Pour ce qui est de mon aptitude mental, j'ai remarquer que certain de nos collègue plus vieux son parfois atteint d'une certaines sorte de folie. Par contre, vu mon manque d'expérience, et mes si peu années de services, je ne crois pas déjà être atteintes. Et votre, thèse, vous me disiez l'avoir fait sur la schizophénie?
- Jay SirianX-Rays
- Age : 31
Equipe : KozaX
Nom de code : Push
Date d'inscription : 21/10/2006
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mar 16 Déc 2008 - 17:55
Sans vraiment réfléchir des conséquences de son acte, Jay jeta Khafar et annonça son plan. Il n'était pas le chef, cela pouvait très bien se voir par les malades et en plus, ils n'avaient plus de guide. Mais le gamin était sauf, bien qu'il pouvait se débrouiller maintenant, il ne s'en occupait plus, l'urgence de la mission lui revenait. Il entendit le message de Yamina et essaya de se rappeler où ils étaient. Et ils étaient bloqués.
**mince, mais quelle idée, il pouvait pas le dire avant non?**
Il se tourna vers Niko, persuader quelque part que c'était de sa faute.
-Bon, on y va. Je cherche un peu le gamin, si tu pouvais ramener notre groupe, ce serait sympa!
Il se tourna ensuite vers les murs, ils venaient de la salle commune, mais ce n'était pas là qu'il fallait aller. Il regarda l'autre grille, celle qui était face à la salle d'isolement, si son souvenir était bon.
-Je casse ça puis tu me retrouves par là, okay?
N'attendant pas de réponse, il se concentra pour envoyer voler la grille. Se frayant un chemin au milieu des malades, dont certains avaient eu la présence d'esprit de se réfugier contre le mur extérieur, Jay enfonça la grille du dortoir puis la détacha complètement. Celle-ci s'écrasa à grand fracas contre la grille suivante.
Ensuite, laissant Biko à ses affaires, il regardera l'autre grille, pour essayer de bien regarder ce qu'il y a à l'intérieur.
**mince, mais quelle idée, il pouvait pas le dire avant non?**
Il se tourna vers Niko, persuader quelque part que c'était de sa faute.
-Bon, on y va. Je cherche un peu le gamin, si tu pouvais ramener notre groupe, ce serait sympa!
Il se tourna ensuite vers les murs, ils venaient de la salle commune, mais ce n'était pas là qu'il fallait aller. Il regarda l'autre grille, celle qui était face à la salle d'isolement, si son souvenir était bon.
-Je casse ça puis tu me retrouves par là, okay?
N'attendant pas de réponse, il se concentra pour envoyer voler la grille. Se frayant un chemin au milieu des malades, dont certains avaient eu la présence d'esprit de se réfugier contre le mur extérieur, Jay enfonça la grille du dortoir puis la détacha complètement. Celle-ci s'écrasa à grand fracas contre la grille suivante.
Ensuite, laissant Biko à ses affaires, il regardera l'autre grille, pour essayer de bien regarder ce qu'il y a à l'intérieur.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mar 16 Déc 2008 - 18:51
Niko écouta avec un certain amusement Kafhar essayé de lui montrer ses cas les plus drôle. Le plans de Niko était simple rendre l'infirmier jaloux afin d'en savoir le plus possible. Il lui parla d'une toupie humain. Tout en réveillant les instinct primitif du passe-mal-murail... Yamina pourrait finir comme ça si elle ne maitrisait pas son pouvoir.
Puis d'un coup, l'infirmier s'envola et frappa violamment le plafond avant de retomber tout aussi violament. Niko jeta un regard furieux a Jay.
" Mais pourquoi tu as fait ça, Peush! Je l'ai a la botte! Il m'aurait tout raconter! En plus tu m'as même pas laisser lui parler du cas de Robin! Ca l'aurait achever! Tu pouvais pas l'assomer tout doucement et gentiment! T'es qu'une sale brute! Mais c'est pas vrai qui est-ce qui m'a fichue une équipe pareil! Torpen!"
Niko shoota dans un truc qui trainé par terre. Puis Jay lui indiqua le plan a suivre. Niko leva les eux aux plafond en soupirant, il y avait un trace de sang a l'endroit de l'impact de Kafhar. Jay l'énervait de plus en plus
" Tu n'as pas d'ordre a me donner, je suis pas sur que tu y arrives tous seul le trainard! Mais bon ok, je vais aller voir les autres. Si tu n'arrives pas a bousillé la grille, Kaftiere a des clés sur lui. Ca peut toujours servir les clés! Oh et puis merde, ils ont qu'a se démerder! J'en ai marre de courir pour les autres!"
Niko envoya un message a Nan pour lui dire:
" Peush a envoyé volé Kafthier! Débarrasser vous d'Allah et rejoignez nous. On est au dortoir on se dirige vers la salle d'isolement. Si vous avez des emmerde, demande a Rasnoir de crier comme une fillette et j'arrive avec Rambo!"
Il se concentra pour se calmer et pouvoir se recouvrir de sa deuxième peau. Il fouilla a la vitesse d'une formule1 Kafhar pour trouver des clés ou quoi que ce soit qui pourrait servir plus tard. Niko trouva ainsi et sans difficultés le trousseau de clés du surveillant (équipées de petites étiquettes... écrites en hindi), ainsi qu'un paquet de cigarettes, un briquet, un téléphone.
Puis d'un coup, l'infirmier s'envola et frappa violamment le plafond avant de retomber tout aussi violament. Niko jeta un regard furieux a Jay.
" Mais pourquoi tu as fait ça, Peush! Je l'ai a la botte! Il m'aurait tout raconter! En plus tu m'as même pas laisser lui parler du cas de Robin! Ca l'aurait achever! Tu pouvais pas l'assomer tout doucement et gentiment! T'es qu'une sale brute! Mais c'est pas vrai qui est-ce qui m'a fichue une équipe pareil! Torpen!"
Niko shoota dans un truc qui trainé par terre. Puis Jay lui indiqua le plan a suivre. Niko leva les eux aux plafond en soupirant, il y avait un trace de sang a l'endroit de l'impact de Kafhar. Jay l'énervait de plus en plus
" Tu n'as pas d'ordre a me donner, je suis pas sur que tu y arrives tous seul le trainard! Mais bon ok, je vais aller voir les autres. Si tu n'arrives pas a bousillé la grille, Kaftiere a des clés sur lui. Ca peut toujours servir les clés! Oh et puis merde, ils ont qu'a se démerder! J'en ai marre de courir pour les autres!"
Niko envoya un message a Nan pour lui dire:
" Peush a envoyé volé Kafthier! Débarrasser vous d'Allah et rejoignez nous. On est au dortoir on se dirige vers la salle d'isolement. Si vous avez des emmerde, demande a Rasnoir de crier comme une fillette et j'arrive avec Rambo!"
Il se concentra pour se calmer et pouvoir se recouvrir de sa deuxième peau. Il fouilla a la vitesse d'une formule1 Kafhar pour trouver des clés ou quoi que ce soit qui pourrait servir plus tard. Niko trouva ainsi et sans difficultés le trousseau de clés du surveillant (équipées de petites étiquettes... écrites en hindi), ainsi qu'un paquet de cigarettes, un briquet, un téléphone.
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Ven 19 Déc 2008 - 0:29
Ouf ! Ali s'était calmé heureusement. L'Inuit entendit le message de Yamina qui semblait assez étrange, mais qui donnait au moins la position du gars à trouver. Un choc bizarre retentit d'ailleurs dans une autre salle, sans que le pervers ne réagisse. Peut être un patient maltraité. Ici, rien ne l'étonnerait sans doute. Lorsque Jay leur indiqua que le plan X était lancé, Kala resta surpris un instant.
C'était pas le pire scénario ça ? Alors qu'Ali s'approchait de lui pour tenter de le vêtir, l'illusionniste se dit qu'il faudrait sans doute le mettre hors d'état de nuire. Bien sûr, ce n'était pas lui qui pourrait lui faire bien mal, mais au moins l'occuper pour que Nanikana l'assomme.
Lorsque l'infirmier tenta donc de lui faire enfiler un des vêtements, et bien que tremblant de froid, il tenta de lui filer plusieurs violents coups de poings dans le visage en criant comme un forcené, se faisant presque mal à la gorge.
Le surveillant se laissa surprendre par un premier coup au menton, qui fit craquer le poing de l'Inuit plus que la mâchoire du gaillard. Puis il immobilisa rapidement les deux bras de Kalalli, en lui maintenant les poignets avec fermeté. Le mutant était clairement en infériorité musculaire devant la carrure de son adversaire. La tunique "propre" s'échoua sur le sol mouillé.
Décidément, faire le crétin avait au moins l'intérêt de permettre de faire n'importe quoi...
C'était pas le pire scénario ça ? Alors qu'Ali s'approchait de lui pour tenter de le vêtir, l'illusionniste se dit qu'il faudrait sans doute le mettre hors d'état de nuire. Bien sûr, ce n'était pas lui qui pourrait lui faire bien mal, mais au moins l'occuper pour que Nanikana l'assomme.
Lorsque l'infirmier tenta donc de lui faire enfiler un des vêtements, et bien que tremblant de froid, il tenta de lui filer plusieurs violents coups de poings dans le visage en criant comme un forcené, se faisant presque mal à la gorge.
Le surveillant se laissa surprendre par un premier coup au menton, qui fit craquer le poing de l'Inuit plus que la mâchoire du gaillard. Puis il immobilisa rapidement les deux bras de Kalalli, en lui maintenant les poignets avec fermeté. Le mutant était clairement en infériorité musculaire devant la carrure de son adversaire. La tunique "propre" s'échoua sur le sol mouillé.
Décidément, faire le crétin avait au moins l'intérêt de permettre de faire n'importe quoi...
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Sam 20 Déc 2008 - 2:12
Nan' approuva les paroles d'Ali d'un hochement de tête, se contentant d'un simple "Évidemment" et prit la brosse qu'il lui tendit. Il regarda ensuite l'indien tenter de rhabiller Kalalli lorsque les choses se passèrent très rapidement. D'abord la voix de Yamina retentit dans son oreille, pour dire simplement "Dans la salle d'isolement, loin des autres". Pourquoi lui avait-elle dit celà? Pour y emporter Kala? L'enfermer encore plus qu'ils l'étaient présentement? Ou bien elle voulait qu'ils s'y rendent pour une autre raison.
Venant de parvenir à cette conclusion, et commençant à faire le lien avec leur cible, Nan' fut de nouveau surpris par un bruit sourd, qu'Ali ne souleva pas, probablement habitué que les patient cognent contre les murs, ou fassent d'autres trucs du genre. Suivi d'un message de Niko qui indiquait qu'ils étaient dans le trouble...
Perplexe, il se retourna vers les deux autres personnes de la pièce pour voir Kala se jeter sur Ali, qui le maitrisa facilement. Il lança alors un regard qui se voulait éloquent à Ali et ramassa les vêtements.
-J'ai oublié de vous prévenir, il n'aime pas que n'importe qui lui enfile ses vêtements. Il n'a pas encore eu le temps de vous apprivoiser, on dirait... Pourriez-vous le retenir pendant que je m'en occupe? S'il continue, je crains qu'il ne faille le mettre en isolement, par contre...
Il s'approcha alors de Kalalli pour lui enfiler la tunique blanche en espérant que celui-ci continuerait de se débattre malgré les paroles de "l'infirmier au malade", et qu'Ali accepterait de les emmener docilement à la salle d'isolement :
-Monsieur, monsieur... calmez-vous... Shhhhh... tout va bien -ouch- arrêtez, monsieur. On va vous rhabiller et tout sera fini, ne vous inquiétez pas!
Nan' avait effectivement oublié le surnom que Maadi avait donné à Kala...
Venant de parvenir à cette conclusion, et commençant à faire le lien avec leur cible, Nan' fut de nouveau surpris par un bruit sourd, qu'Ali ne souleva pas, probablement habitué que les patient cognent contre les murs, ou fassent d'autres trucs du genre. Suivi d'un message de Niko qui indiquait qu'ils étaient dans le trouble...
Perplexe, il se retourna vers les deux autres personnes de la pièce pour voir Kala se jeter sur Ali, qui le maitrisa facilement. Il lança alors un regard qui se voulait éloquent à Ali et ramassa les vêtements.
-J'ai oublié de vous prévenir, il n'aime pas que n'importe qui lui enfile ses vêtements. Il n'a pas encore eu le temps de vous apprivoiser, on dirait... Pourriez-vous le retenir pendant que je m'en occupe? S'il continue, je crains qu'il ne faille le mettre en isolement, par contre...
Il s'approcha alors de Kalalli pour lui enfiler la tunique blanche en espérant que celui-ci continuerait de se débattre malgré les paroles de "l'infirmier au malade", et qu'Ali accepterait de les emmener docilement à la salle d'isolement :
-Monsieur, monsieur... calmez-vous... Shhhhh... tout va bien -ouch- arrêtez, monsieur. On va vous rhabiller et tout sera fini, ne vous inquiétez pas!
Nan' avait effectivement oublié le surnom que Maadi avait donné à Kala...
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 21 Déc 2008 - 1:24
Le docteur posa son menton sur ses mains croisées et écouta d'un air neutre les explications de sa consoeur. Le téléphone sonna à nouveau, mais obéissant au souhait de la demoiselle, le docteur coupa la sonnerie sans autre forme de procès. Il acquiesça de temps en temps, au fil de l'exposé. Il voulut interrompre quand Yamina évoqua le mutisme profond et les autres symptômes, mais le débit de la jeune femme l'en empêcha. Quand vint l'évocation de son sujet de thèse, ce fut comme s'il oubliait tout ce qui avait pu être dit avant.
Les voyants de son téléphone clignotaient toujours.
"La schizophrénie oui. C'est bien sûr un sujet très difficile. J'ai orienté mon étude sur les troubles du cours de la pensée. C'est ce qui me semblait le plus intéressant, tous les autres critères bleulériens de dissociation mentale étant désormais bien connus des spécialistes. Le syndrome dissociatif peut refléter une nouvelle fonction épisodologique dans le fonctionnement mental : pensée digressive, diffluente, désorganisée, barrages, appauvrissement intellectuel progressif, troubles du discours … là je vous parle surtout de néologisme, paralogisme, réponses « à coté », schizophasie ... Je pouvais travailler avec des sujets de New Delhi tout à fait passionnants, surtout pour un jeune débutant comme moi ! Le plus passionnant c'est que ce syndrome dissociatif se manifeste aussi dans la vie affective du sujet et dans le comportement. J'ai pu observer et dénombrer avec précision l'épisodologisme direct et immédiat de quelques uns, comme l'apragmatisme, les troubles des conduites avec bizarrerie, la discordance psychomotrice … Ce que l'on appelle grossièrement le maniérisme, les sourires immotivés, les stéréotypies motrices ..."
Il sourit et contempla son diplôme au mur avec une pointe de nostalgie.
"J'ai fait une étude de cas des sourires immotivés. Ils sont nombreux, quand on y pense. Dans le monorail de New Delhi j'ai pu dénombrer plus de 126 manifestations de sourires immotivés par wagon/jour. Vous-même, mademoiselle, m'avez gratifié de plusieurs sourires totalement immotivés. C'est une certitude ! J'ai étudié plus de 1000 cas. Vous avez donc, je dirais, 0.023% de chances d'être schizophrénique. Consommez-vous des substances psychoactives ?"
Dit-il avec un sourire motivé. Il reprit en même temps le combiné téléphonique qui s'excitait toujours lumineusement.
"Qu'y a-t-il ?"
Dit-il avec patience et amabilité.
"…"
"Ils vont directement le chercher ?? Grand bien leur fasse… qu'ils ne me dérangent pas alors."
"…"
"Oui qu'ils signent…"
Puis se tournant à nouveau vers Yamina, le regard pétillant.
"Vous mangez beaucoup de fruits confits ?"
****
Jay ne vit rien de particulier à travers les deux grilles. La zone d'isolement se composait de trois cabines aux parois épaisses, sans aucune ouverture hormis les serrures. Le système était dépourvu d'électronique. Lui et Niko pouvaient entendre les cris stridents de Kalalli.
Dans le dortoir quelques malades s'étaient levés et regroupés près de Niko et Jay, curieux de la suite des événements, ou tout simplement attirés par les deux atypiques personnages. D'autres gémissaient, parlaient à tue-tête, rassemblaient leurs affaires comme avant un cataclysme.
Nan et Ali parvenaient à maîtriser le malade. Ali eut un petit sourire attendri pour l'Inuit après avoir écouté les paroles apaisantes de Kabeyun.
"Allez mon petit oiseau. Ce serla comme vous voulez. On va pas vous habiller…"
Il adressa un regard appuyé sur la tunique propre puis à Nan pour lui dire de ne pas insister.
"On va vous mettrle tout seul à l'abrli… tu serlas bien au calme. Tu vas pourlvoirl te calmer…"
Susurra-t-il en tâtant exagérément les bras de l'Inuit. Puis il le tira vers la sortie, côté salle d'isolement. On entendit la grille entre la cuisine et la douche s'ouvrir en grinçant.
Comme Ali sortait de la douche en tirant Kalalli, il apparut dans le couloir à côté de l'isolement, et une voix grave et étouffée l'interpella, en provenance du couloir côté cuisine.
"Ecartez-vous, nous allons chercher un malade dangereux. Ecartez-vous…"
Dit la voix en anglais. Il s'agissait de deux silhouettes sombres et bien équipées.
Les voyants de son téléphone clignotaient toujours.
"La schizophrénie oui. C'est bien sûr un sujet très difficile. J'ai orienté mon étude sur les troubles du cours de la pensée. C'est ce qui me semblait le plus intéressant, tous les autres critères bleulériens de dissociation mentale étant désormais bien connus des spécialistes. Le syndrome dissociatif peut refléter une nouvelle fonction épisodologique dans le fonctionnement mental : pensée digressive, diffluente, désorganisée, barrages, appauvrissement intellectuel progressif, troubles du discours … là je vous parle surtout de néologisme, paralogisme, réponses « à coté », schizophasie ... Je pouvais travailler avec des sujets de New Delhi tout à fait passionnants, surtout pour un jeune débutant comme moi ! Le plus passionnant c'est que ce syndrome dissociatif se manifeste aussi dans la vie affective du sujet et dans le comportement. J'ai pu observer et dénombrer avec précision l'épisodologisme direct et immédiat de quelques uns, comme l'apragmatisme, les troubles des conduites avec bizarrerie, la discordance psychomotrice … Ce que l'on appelle grossièrement le maniérisme, les sourires immotivés, les stéréotypies motrices ..."
Il sourit et contempla son diplôme au mur avec une pointe de nostalgie.
"J'ai fait une étude de cas des sourires immotivés. Ils sont nombreux, quand on y pense. Dans le monorail de New Delhi j'ai pu dénombrer plus de 126 manifestations de sourires immotivés par wagon/jour. Vous-même, mademoiselle, m'avez gratifié de plusieurs sourires totalement immotivés. C'est une certitude ! J'ai étudié plus de 1000 cas. Vous avez donc, je dirais, 0.023% de chances d'être schizophrénique. Consommez-vous des substances psychoactives ?"
Dit-il avec un sourire motivé. Il reprit en même temps le combiné téléphonique qui s'excitait toujours lumineusement.
"Qu'y a-t-il ?"
Dit-il avec patience et amabilité.
"…"
"Ils vont directement le chercher ?? Grand bien leur fasse… qu'ils ne me dérangent pas alors."
"…"
"Oui qu'ils signent…"
Puis se tournant à nouveau vers Yamina, le regard pétillant.
"Vous mangez beaucoup de fruits confits ?"
****
Jay ne vit rien de particulier à travers les deux grilles. La zone d'isolement se composait de trois cabines aux parois épaisses, sans aucune ouverture hormis les serrures. Le système était dépourvu d'électronique. Lui et Niko pouvaient entendre les cris stridents de Kalalli.
Dans le dortoir quelques malades s'étaient levés et regroupés près de Niko et Jay, curieux de la suite des événements, ou tout simplement attirés par les deux atypiques personnages. D'autres gémissaient, parlaient à tue-tête, rassemblaient leurs affaires comme avant un cataclysme.
Nan et Ali parvenaient à maîtriser le malade. Ali eut un petit sourire attendri pour l'Inuit après avoir écouté les paroles apaisantes de Kabeyun.
"Allez mon petit oiseau. Ce serla comme vous voulez. On va pas vous habiller…"
Il adressa un regard appuyé sur la tunique propre puis à Nan pour lui dire de ne pas insister.
"On va vous mettrle tout seul à l'abrli… tu serlas bien au calme. Tu vas pourlvoirl te calmer…"
Susurra-t-il en tâtant exagérément les bras de l'Inuit. Puis il le tira vers la sortie, côté salle d'isolement. On entendit la grille entre la cuisine et la douche s'ouvrir en grinçant.
Comme Ali sortait de la douche en tirant Kalalli, il apparut dans le couloir à côté de l'isolement, et une voix grave et étouffée l'interpella, en provenance du couloir côté cuisine.
"Ecartez-vous, nous allons chercher un malade dangereux. Ecartez-vous…"
Dit la voix en anglais. Il s'agissait de deux silhouettes sombres et bien équipées.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 21 Déc 2008 - 19:33
Comme elle l'avait fait précédemment, le docteur l'inonda de paroles. Le débit était si intense et les mots si spécialisé qu'elle ne pu que le regarder parler, sans montrer qu'un signe d'intérêt. Elle avait saisit qu'elle était peut-être malade elle aussi, mais avec une chance si minime que s'en était ridicule. Et tout ça à cause de ses sourires polies!
Elle regarda le téléphone ne cessant pas de sonner , s'inquiétant de plus en plus. Était-ce pour lui annoncer que ses amis avaient été pris? Qu'ils les avaient maitriser? Que dans l'hopital reignaient un chaos et que la femme qu'il avait devant lui était une mutante dangereuse.
Elle cessa de respirer lorsqu'il pris le combiné, puis se rengaillardit en entendant ses propros. Par contre, les paroles du médecin n'étaient pas pour le rassurer.
- Oh, je me sens confuse tout à coup. Je vous empêche de vous occuper de votre hopital! Néanmoins,
Elle ne put s'empêcher de sourire , mais cette fois, non pas d'un sourire immotivé, mais d'un sourire très prononcer et sincère. Elle venait d'avoir une idée.
- Oh, mais j'y pense. Vous pourriez vraiment me faire plaisir. Ma thèse de doctorat, aux États-Unis... Je l'ai fait sur l'agréssivité maladive et la bipolarité des agents de la force. Vous savez, cette expérience qui a été fait, sur des étudiants placer en autorité? S'il vous plait, demander à ces....euhm... policier des violences spéciales de venir nous rejoindre! S'il vous plait, c'est d'un intéret scientifique incroyable! Étudier les policiers indien en service!
Encore une fois, elle activa son communicateur, au risque de passé pour quelqu'un ayant des tic nerveux:
les policiers des violences spéciales qui s'en viennent chercher le patient !
Elle le désactiva.
Elle avait maintenant l'excitation d'une petite fille qui préparait un mauvais coup, ce qui, somme toute, était ce qu'elle faisait. L'excitation d'attirer ces policiers pour les «étudier»
- S'il vous plait, aller les chercher, vous pourrez voir ce que je veux vous montrer. Je vais vous attendre ici pendant que vous y aller!
Elle regarda l'heure qu'il était, puis, pris un air surpris.
- Vous pourriez m'appeler un taxi avant de partir? Il attendra dehors que je finisse mes explications par contre! J'ai tant de choses à vous rencontrez... mais j'ai vraiment hâte de voir si le policier Indien seront comme mes sujets américains!
Elle attendit que le médecin lui réponde, mais aussi qu'il agisse.
Le médecin haussa un sourcil sceptique, et ne fit pas un seul mouvement pour se lever. Il répondit sans enthousiasme.
"Laissez-les donc faire leur travail... Nous sommes plus tranquilles ici, à parler théorie."
Elle regarda le téléphone ne cessant pas de sonner , s'inquiétant de plus en plus. Était-ce pour lui annoncer que ses amis avaient été pris? Qu'ils les avaient maitriser? Que dans l'hopital reignaient un chaos et que la femme qu'il avait devant lui était une mutante dangereuse.
Elle cessa de respirer lorsqu'il pris le combiné, puis se rengaillardit en entendant ses propros. Par contre, les paroles du médecin n'étaient pas pour le rassurer.
- Oh, je me sens confuse tout à coup. Je vous empêche de vous occuper de votre hopital! Néanmoins,
Elle ne put s'empêcher de sourire , mais cette fois, non pas d'un sourire immotivé, mais d'un sourire très prononcer et sincère. Elle venait d'avoir une idée.
- Oh, mais j'y pense. Vous pourriez vraiment me faire plaisir. Ma thèse de doctorat, aux États-Unis... Je l'ai fait sur l'agréssivité maladive et la bipolarité des agents de la force. Vous savez, cette expérience qui a été fait, sur des étudiants placer en autorité? S'il vous plait, demander à ces....euhm... policier des violences spéciales de venir nous rejoindre! S'il vous plait, c'est d'un intéret scientifique incroyable! Étudier les policiers indien en service!
Encore une fois, elle activa son communicateur, au risque de passé pour quelqu'un ayant des tic nerveux:
les policiers des violences spéciales qui s'en viennent chercher le patient !
Elle le désactiva.
Elle avait maintenant l'excitation d'une petite fille qui préparait un mauvais coup, ce qui, somme toute, était ce qu'elle faisait. L'excitation d'attirer ces policiers pour les «étudier»
- S'il vous plait, aller les chercher, vous pourrez voir ce que je veux vous montrer. Je vais vous attendre ici pendant que vous y aller!
Elle regarda l'heure qu'il était, puis, pris un air surpris.
- Vous pourriez m'appeler un taxi avant de partir? Il attendra dehors que je finisse mes explications par contre! J'ai tant de choses à vous rencontrez... mais j'ai vraiment hâte de voir si le policier Indien seront comme mes sujets américains!
Elle attendit que le médecin lui réponde, mais aussi qu'il agisse.
Le médecin haussa un sourcil sceptique, et ne fit pas un seul mouvement pour se lever. Il répondit sans enthousiasme.
"Laissez-les donc faire leur travail... Nous sommes plus tranquilles ici, à parler théorie."
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 21 Déc 2008 - 21:23
Son pouvoir toujours actif, Niko garda les affaires de son amis l'insecte.Il entendit les cris de Kala, ils n'avaient pas réussi à maitriser Allah. Dieu tout puissant, il était déja au courant que Razgriz était une nouille inouïs. Mais pour Nan, c'était un peu une surprise. Si ils passaient par ici, Allah verrait la grille et ils seraient fichus! Il regarda les malades qui l'entourer et leur dit en essayant de parlait le moins vite possible en employant d'un ton sec et mechant. En leur montrant la porte que venait d'ouvrir Jay et la tête de Kaftiére
" Allez les gars! Tirez vous! Vous êtes libre!... Etsivous grouillez pas! Mon potesvous fait la fête! Vous êteslibre! C'est unordre, bande de... de... euh... débiles! Ouaisdébilesc'estassezméchant! Grouillez! Et toile murophile passe aussi par la porte! et essaye detraverser les gens, ou change de pouvoir!"
Niko courut en vitesse en direction de la douche en passant devant les malades puis Jay en laissant la clé tombée au pied de son Coéquipier. Il espérait aussi faire peur aux maladex en disparaissant ainsi. Il ne fit pas attention a ce que pourrait dire son communicateur. L'heure était au plan G. On atomise, on sauve et on réatomise. Puis il accéléra d'un coup jusqu'à une vitesse proche du son pour s'occuper d'Ali en criant.
"RAZGRIZ,KABIOUNE!J'ARRIVE!"
Quand il aperçut les homme en noirs, il changea de cible et chargea les deux gus pour essayer de les assommer avec plusieurs coup de poing rapide Au pire il leur rentrerait directement dedans. Il essaya d'utiliser sa vision au ralentit pour éviter tout les obstacles qui se présenté a lui au dernier moment et sa capacité a courir sur les mur et le plafond pour les éviter. Plus de 100 kg a plus de 9OO Km/h, ça aller faire très mal. Niko serra les dents au moment du choc par pur précaution. Regrettant un instant de ne pas avoir l'armure en os de Iaccobo.
Le boulet de canon humain traça son chemin trop vite pour qu'on ne sente autre chose qu'un déplacement d'air. L'impact se fit brutal. Niko percuta la poitrine épaisse et rigide du premier garde, qui fut projeté sur le deuxième, qui termina dans le mur du fond. Des cliquetis divers accompagnèrent la chute de leurs armes.
Le premier garde avait pris une salve de coups de poings et ne bougeait plus. Celui qui s'était pris le mur de plein fouet ne donnait pas signe de vie. Un ou deux "patients" étaient malheureusement restés sur le passage de ce projectile d'humains.
Les deux gardes et Niko étaient donc désormais au bout du couloir, sous le regard des autres dizaines de malades amassés là. Niko était un peu sonné lui aussi.
" Allez les gars! Tirez vous! Vous êtes libre!... Etsivous grouillez pas! Mon potesvous fait la fête! Vous êteslibre! C'est unordre, bande de... de... euh... débiles! Ouaisdébilesc'estassezméchant! Grouillez! Et toile murophile passe aussi par la porte! et essaye detraverser les gens, ou change de pouvoir!"
Niko courut en vitesse en direction de la douche en passant devant les malades puis Jay en laissant la clé tombée au pied de son Coéquipier. Il espérait aussi faire peur aux maladex en disparaissant ainsi. Il ne fit pas attention a ce que pourrait dire son communicateur. L'heure était au plan G. On atomise, on sauve et on réatomise. Puis il accéléra d'un coup jusqu'à une vitesse proche du son pour s'occuper d'Ali en criant.
"RAZGRIZ,KABIOUNE!J'ARRIVE!"
Quand il aperçut les homme en noirs, il changea de cible et chargea les deux gus pour essayer de les assommer avec plusieurs coup de poing rapide Au pire il leur rentrerait directement dedans. Il essaya d'utiliser sa vision au ralentit pour éviter tout les obstacles qui se présenté a lui au dernier moment et sa capacité a courir sur les mur et le plafond pour les éviter. Plus de 100 kg a plus de 9OO Km/h, ça aller faire très mal. Niko serra les dents au moment du choc par pur précaution. Regrettant un instant de ne pas avoir l'armure en os de Iaccobo.
Le boulet de canon humain traça son chemin trop vite pour qu'on ne sente autre chose qu'un déplacement d'air. L'impact se fit brutal. Niko percuta la poitrine épaisse et rigide du premier garde, qui fut projeté sur le deuxième, qui termina dans le mur du fond. Des cliquetis divers accompagnèrent la chute de leurs armes.
Le premier garde avait pris une salve de coups de poings et ne bougeait plus. Celui qui s'était pris le mur de plein fouet ne donnait pas signe de vie. Un ou deux "patients" étaient malheureusement restés sur le passage de ce projectile d'humains.
Les deux gardes et Niko étaient donc désormais au bout du couloir, sous le regard des autres dizaines de malades amassés là. Niko était un peu sonné lui aussi.
- Jay SirianX-Rays
- Age : 31
Equipe : KozaX
Nom de code : Push
Date d'inscription : 21/10/2006
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mar 23 Déc 2008 - 17:55
Khafar était assommé et Niko ne comprenait rien. Jay leva tout d'abord les yeux au ciel mais ne se répendît pas en explication, ils étaient tous libre, c'était là l'important. Bien sûr, il n'avait pas entièrement tort, il y était allé fort mais le fait était qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient maintenant, dont libérer le russe. Ses ordres n'étaient pas très appréciés, bien qu'en fait, c'était plus une demande, il avait sûrement oublié de dire "s'il te plaît", dommage.
Mais avant de pouvoir réfléchir à la suite, Niko eut la bonne idée de lui donner les clés, ou plutôt de les mettre à terre. Il se baissa tout de suite pour les prendre.
**effectivement, ça va être plus simple comme ça! Comment j'eus l'air malin sans ça**
Se tournant vers les malades, il vit qu'ils étaient prêts à partir eux aussi ce qui le fit grandement sourire car il pensa aux Divas.. elles l'avaient aidé à sortir de là et il aidait maintenant des gens également dans le besoin. Il était pratiquement fier de lui. Cette mission ne pouvait pas mal se passer!
Il avait tort apparemment, étant donné que des personnes des forces spéciales venaient à présent et avec la chance qu'ils avaient, pour le même patient qu'eux. Mais il était devant la grille et il avait les clés, il suffisait d'être plus rapide! Il fit juste un signe aux "malades" de le suivre et il s'occupa à ouvrir la grille avec la clé, il fallait être discret pour ne pas effrayer le russe et surtout pour ne pas avoir les forces spéciales sur le dos.
Mais avant de pouvoir réfléchir à la suite, Niko eut la bonne idée de lui donner les clés, ou plutôt de les mettre à terre. Il se baissa tout de suite pour les prendre.
**effectivement, ça va être plus simple comme ça! Comment j'eus l'air malin sans ça**
Se tournant vers les malades, il vit qu'ils étaient prêts à partir eux aussi ce qui le fit grandement sourire car il pensa aux Divas.. elles l'avaient aidé à sortir de là et il aidait maintenant des gens également dans le besoin. Il était pratiquement fier de lui. Cette mission ne pouvait pas mal se passer!
Il avait tort apparemment, étant donné que des personnes des forces spéciales venaient à présent et avec la chance qu'ils avaient, pour le même patient qu'eux. Mais il était devant la grille et il avait les clés, il suffisait d'être plus rapide! Il fit juste un signe aux "malades" de le suivre et il s'occupa à ouvrir la grille avec la clé, il fallait être discret pour ne pas effrayer le russe et surtout pour ne pas avoir les forces spéciales sur le dos.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mer 24 Déc 2008 - 19:53
Ali insista pour sortir Kala sans l'habiller et Nan' accepta d'un hochement de tête, sans lancer un regard à l'inuit, pour continuer le jeu dans lequel ils s'étaient embarqués et qui se déroulait plutôt bien, malgré la loquacité extrême dont l'algonquin devait s'efforcer de faire preuve.
Une fois de plus la suave voix de Yamina retentit dans son communicateur pour leur faire part d'un indice, ou autre renseignement : ils étaient maintenant cernés par des gardes, qui semblaient s'être adressés à Ali et Kala devant lui.
Il y eut ensuite une sorte de vibration dans l'air, accompagnée d'un flou optique et il fallut quelques centisecondes pour que Nanikana comprenne que Niko venait de passer à toute vitesse dans le corridor. À entendre le raffut au bout de celui-ci, ça ne s'était pas terminé joliment pour Bullet.
Frustré par la situation, que ce soit Ali qui n'en faisait qu'à sa tête; Yamina qui ne faisait que flirté pour leur ramener des infos qui, au final ne faisait que A) confirmer ses soupçons ou B) les prévenir de ce qui était désormais sous leur nez ; Jay qui bourrinait et Niko qui, en toute non subtilité, passait en trombe dans le corridor pour assommer les gardes. Pas que ça soit mauvais en soit, mais tous ses beaux efforts pour se faire passer pour un gentil infirmier venaient de tomber en ruine. Enclenchant aussitôt le plan K et son communicateur en direction de Razgriz seulement, Nan' lui murmura :
-Bouge-toi
Il lui laissa ensuite une seconde et demie et tendit ses deux bras devant lui, afin d'envoyer une puissante bourrasque sur Ali et de le projeter contre le cadre de la porte ou le coin de l'armoire, pour l'assommer sans le tuer non plus... Il était mutant, pas meurtrier, après tout! Grognant un imperceptible Kibibonnoka entre ses dents, il tentera de maintenir Ali plaqué au mur jusqu'à ce qu'il soit certain qu'il était KO.
-Prends les clés et va chercher le russe!
Il garda alors une main paume pointée vers Ali, tandis que l'autre glissait dans sa poche, sans qu'il ne lâche son prisonnier pervers du regard, et en sortait Vadim qu'il tendit vers Kala, pour lui offrir de le prendre, s'il avait besoin de son aide...
Une fois de plus la suave voix de Yamina retentit dans son communicateur pour leur faire part d'un indice, ou autre renseignement : ils étaient maintenant cernés par des gardes, qui semblaient s'être adressés à Ali et Kala devant lui.
Il y eut ensuite une sorte de vibration dans l'air, accompagnée d'un flou optique et il fallut quelques centisecondes pour que Nanikana comprenne que Niko venait de passer à toute vitesse dans le corridor. À entendre le raffut au bout de celui-ci, ça ne s'était pas terminé joliment pour Bullet.
Frustré par la situation, que ce soit Ali qui n'en faisait qu'à sa tête; Yamina qui ne faisait que flirté pour leur ramener des infos qui, au final ne faisait que A) confirmer ses soupçons ou B) les prévenir de ce qui était désormais sous leur nez ; Jay qui bourrinait et Niko qui, en toute non subtilité, passait en trombe dans le corridor pour assommer les gardes. Pas que ça soit mauvais en soit, mais tous ses beaux efforts pour se faire passer pour un gentil infirmier venaient de tomber en ruine. Enclenchant aussitôt le plan K et son communicateur en direction de Razgriz seulement, Nan' lui murmura :
-Bouge-toi
Il lui laissa ensuite une seconde et demie et tendit ses deux bras devant lui, afin d'envoyer une puissante bourrasque sur Ali et de le projeter contre le cadre de la porte ou le coin de l'armoire, pour l'assommer sans le tuer non plus... Il était mutant, pas meurtrier, après tout! Grognant un imperceptible Kibibonnoka entre ses dents, il tentera de maintenir Ali plaqué au mur jusqu'à ce qu'il soit certain qu'il était KO.
-Prends les clés et va chercher le russe!
Il garda alors une main paume pointée vers Ali, tandis que l'autre glissait dans sa poche, sans qu'il ne lâche son prisonnier pervers du regard, et en sortait Vadim qu'il tendit vers Kala, pour lui offrir de le prendre, s'il avait besoin de son aide...
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mer 24 Déc 2008 - 20:57
Un douloureux coup de poing le blessa aux articulations. Celui-là, il l'avait senti passé ! Ali, lui, ça allait plutôt bien. Il devait être habitué à prendre des coups pour ne pas réagir plus que ça. Rapidement, l'Indou tenta de lui attraper les poignets, et parvint en quelques secondes à le bloquer. Kalalli était incapable de se défendre face à un tel gaillard.
" Mon petit oiseau "... Berk. L'Inuit lança un regard plein de dégoût à Ali, reprit d'une certaine panique de peut être risquer de rester ici pour toujours si la mission se passait mal.
Ses habits blancs étaient tombés sur le sol. Il ne les enfilerait pas. Mission à la c** pensa-t-il pour lui même. Certains avaient des missions dangereuses où chacun devait montrer le meilleur de lui même, et il héritait de celle où il y avait possibilité de se ridiculiser face aux autres. Et, évidemment, c'était lui qui héritait également de ce rôle. Le sort s'acharnait, c'était une certitude !
Ainsi, en boxer noir trempé, et toujours tremblant, quoi qu'un peu moins qu'auparavant grâce la température élevée en Inde, Kala sortit des douches, entrainé par Ali qui semblait prendre un malin plaisir à lui tâter l'avant bras. Cet "homme" était vraiment un porc.
Soudain, un voix grave retentit à leur gauche. Le jeune garçon sursauta de surprise en voyant des hommes cagoulés en tenue semi-militaire, arme de type mitraillette à la main. Là, ça rigolait plus. Il ecarquilla les yeux pour les regarder. Ils faisaient peur à voir avec leur grosse voix. Même s'ils avaient dis "Je suis blanche-neige et je viens prendre une bière avec les nains. ", il aurait eu les genoux qui auraient claqués.
Au final donc, il avait la mission stupide où il passait pour un crétin, se retrouvait quasi à poil avec un pervers puis lavé jusqu'à l'os avec de l'eau glacée, et maintenant entouré de mecs type milice qu'on sent corrompus jusqu'à la moelle, armés de fusils d'assaut avec lesquelles ils devaient souvent descendre les mémés qui traversent la rue lentement, et qui avaient une voix à la Dark Vador. A part ça, tout allait bien !
Soudain, l'Inuit sentit un vif courant d'air lui fouetter le corps encore humide, lui laissant échapper un petit "Hi" de surprise en rentrant les épaules et en fermant les yeux. C'était froiiiiiiiiiiiid !
Un choc énorme plus tard, il rouvrit un oeil, et vit Niko qui venait de mettre les deux Gogole India JOE hors d'état de nuire. Cette fois, c'était sûr, plus rien ne l'étonnerait. En plus tout le monde allait le voir dénudé... Chouette...
Tout à coup, il entendit un son parvenir de son communicateur. "Bouge-toi". Il reconnu immédiatement Nanikana et, toujours saisi par un poignet par l'affreux pédophile, il arracha soudainement son bras de ses griffes, profitant qu'il soit encore humide pour mieux glisser hors de son emprise d'un geste vif. S'il ne parvenait toujours pas à se défaire, il lui flanquerait un coup de poing (l'autre poing, pas celui brisé) dans les parties intimes. Là, au moins, à part si elles étaient en acier trempé, ça ferait mal !
Il profita de l'effet de surprise pour ensuite bondir derrière Nanikana et le laisser agir à son aise. Alors qu'Ali venait d'être plaqué par un souffle de vent, l'Inuit se dit qu'ils le faisaient exprès, c'était certain ! Niko puis Nan, qui produisaient des courants d'air alors que l'Inuit était humide et quasiment nu. Brrrrrrr.
Kabeyun sortit Vadim et le tendit à l'Inuit qui l'attrapa délicatement comme on prend dans sa main un hamster ou une souris. Kalalli se regarda un instant. Difficile de le mettre dans une "poche", et il doutait que son chef apprécie d'être placé dans un boxer. Donc il le plaça sur son épaule. Il pourrait toujours s'agripper à ses cheveux.
Il écouta ensuite son camarade et prit les clés dans la poche d'Ali, lui tirant la langue au passage en lâchant un petit " Mon p'tit oiseauuuu " sur le même ton qu'un "gna gna gna" d'enfant.
Aller chercher le Russe ? Il en avait de bonnes ! "Salut, je m'appelle Kalalli, je suis Inuit, je suis en boxer trempé dans un asile pour dingue, et le diable rouge sur mon épaule, c'est mon copain. Mais je viens te libérer de ces dingues ! Suis moi !" Top ! Foutue mission...
Se retournant, il aperçue soudain ses habits qu'il devait enfiler au sol. Rapidement il alla les mettre, et laissa Vadim sur son épaule. Qu'est ce que ca aurait été si c'était l'autre taré qui lui aurait mis...
Les clefs à la main, il commença à chercher la salle d'isolement où était sensé être le russe. Il lâcherait un " Hé ho ? Y'a quelqu'un ? Un russe ? On est les gentils mutants qui viennent te sauver... " lorsqu'il serait dans les blocs.
" Mon petit oiseau "... Berk. L'Inuit lança un regard plein de dégoût à Ali, reprit d'une certaine panique de peut être risquer de rester ici pour toujours si la mission se passait mal.
Ses habits blancs étaient tombés sur le sol. Il ne les enfilerait pas. Mission à la c** pensa-t-il pour lui même. Certains avaient des missions dangereuses où chacun devait montrer le meilleur de lui même, et il héritait de celle où il y avait possibilité de se ridiculiser face aux autres. Et, évidemment, c'était lui qui héritait également de ce rôle. Le sort s'acharnait, c'était une certitude !
Ainsi, en boxer noir trempé, et toujours tremblant, quoi qu'un peu moins qu'auparavant grâce la température élevée en Inde, Kala sortit des douches, entrainé par Ali qui semblait prendre un malin plaisir à lui tâter l'avant bras. Cet "homme" était vraiment un porc.
Soudain, un voix grave retentit à leur gauche. Le jeune garçon sursauta de surprise en voyant des hommes cagoulés en tenue semi-militaire, arme de type mitraillette à la main. Là, ça rigolait plus. Il ecarquilla les yeux pour les regarder. Ils faisaient peur à voir avec leur grosse voix. Même s'ils avaient dis "Je suis blanche-neige et je viens prendre une bière avec les nains. ", il aurait eu les genoux qui auraient claqués.
Au final donc, il avait la mission stupide où il passait pour un crétin, se retrouvait quasi à poil avec un pervers puis lavé jusqu'à l'os avec de l'eau glacée, et maintenant entouré de mecs type milice qu'on sent corrompus jusqu'à la moelle, armés de fusils d'assaut avec lesquelles ils devaient souvent descendre les mémés qui traversent la rue lentement, et qui avaient une voix à la Dark Vador. A part ça, tout allait bien !
Soudain, l'Inuit sentit un vif courant d'air lui fouetter le corps encore humide, lui laissant échapper un petit "Hi" de surprise en rentrant les épaules et en fermant les yeux. C'était froiiiiiiiiiiiid !
Un choc énorme plus tard, il rouvrit un oeil, et vit Niko qui venait de mettre les deux Gogole India JOE hors d'état de nuire. Cette fois, c'était sûr, plus rien ne l'étonnerait. En plus tout le monde allait le voir dénudé... Chouette...
Tout à coup, il entendit un son parvenir de son communicateur. "Bouge-toi". Il reconnu immédiatement Nanikana et, toujours saisi par un poignet par l'affreux pédophile, il arracha soudainement son bras de ses griffes, profitant qu'il soit encore humide pour mieux glisser hors de son emprise d'un geste vif. S'il ne parvenait toujours pas à se défaire, il lui flanquerait un coup de poing (l'autre poing, pas celui brisé) dans les parties intimes. Là, au moins, à part si elles étaient en acier trempé, ça ferait mal !
Il profita de l'effet de surprise pour ensuite bondir derrière Nanikana et le laisser agir à son aise. Alors qu'Ali venait d'être plaqué par un souffle de vent, l'Inuit se dit qu'ils le faisaient exprès, c'était certain ! Niko puis Nan, qui produisaient des courants d'air alors que l'Inuit était humide et quasiment nu. Brrrrrrr.
Kabeyun sortit Vadim et le tendit à l'Inuit qui l'attrapa délicatement comme on prend dans sa main un hamster ou une souris. Kalalli se regarda un instant. Difficile de le mettre dans une "poche", et il doutait que son chef apprécie d'être placé dans un boxer. Donc il le plaça sur son épaule. Il pourrait toujours s'agripper à ses cheveux.
Il écouta ensuite son camarade et prit les clés dans la poche d'Ali, lui tirant la langue au passage en lâchant un petit " Mon p'tit oiseauuuu " sur le même ton qu'un "gna gna gna" d'enfant.
Aller chercher le Russe ? Il en avait de bonnes ! "Salut, je m'appelle Kalalli, je suis Inuit, je suis en boxer trempé dans un asile pour dingue, et le diable rouge sur mon épaule, c'est mon copain. Mais je viens te libérer de ces dingues ! Suis moi !" Top ! Foutue mission...
Se retournant, il aperçue soudain ses habits qu'il devait enfiler au sol. Rapidement il alla les mettre, et laissa Vadim sur son épaule. Qu'est ce que ca aurait été si c'était l'autre taré qui lui aurait mis...
Les clefs à la main, il commença à chercher la salle d'isolement où était sensé être le russe. Il lâcherait un " Hé ho ? Y'a quelqu'un ? Un russe ? On est les gentils mutants qui viennent te sauver... " lorsqu'il serait dans les blocs.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Jeu 25 Déc 2008 - 2:39
Le Docteur balaya d'un revers de la main la tentative de Yamina de le faire sortir, et poursuivit sur le sujet de thèse. Il se pencha même pour appuyer sur le bouton ON de sa machine à café, signe qu'il comptait converser longtemps.
"L'agressivité maladive et la bipolarité des agents de la force ? C'est une thèse sur la Guerre des Etoiles que vous avez écrite ? Je subodore qu'il s'agit d'un pan de l'antipsychiatrie ? Nous allons nous heurter à un grand désaccord dans ce cas. Pour ma part je suis convaincu que l'enfermement et le traitement en milieu confiné sont le seul moyen de venir à bout des mystères des maladies mentales."
Il sortit deux tasses aux motifs floraux.
"Avez-vous lu l'article d'Åslung dans International Brain Research de décembre ? Il est vrai que c'est un neurologue de formation, mais son propos est très pertinent : il considère que le phénomène "mutant" s'explique par une excroissance paranoïaque aigue du cortex. Les sujets parviennent à se persuader de posséder un "pouvoir" extraordinaire, et le cerveau provoque la sécrétion d'enzymes qui débloquent des zones jusqu'alors non utilisées par l'humain. Car nous n'utilisons qu'un pourcentage infime de nos possibilités cérébrales. C'est donc une particulière angoisse qui déclenche ces phénomènes. Ainsi Åslung prophétise-t-il une "course à l'angoisse" chez toutes les personnes qui voudront avoir des "pouvoirs". Pour ma part Åslung n'a pas les moyens actuellement de prouver cette théorie. Qu'en pensez-vous ? Avez-vous étudié l'agressivité maladive sous cet angle ?"
La machine remplissait tranquillement les tasses de café.
Pendant ce temps, Jay essayait méticuleusement les différentes clés, avant de trouver la bonne qui lui ouvrit la grille. Il avait dû auparavant déplacer celle qu'il avait expulsée par télékinésie.
Deux malades du dortoir, des hommes vêtus de pyjamas jaunis et sales, s'élancèrent en criant peu après le départ de Bullet, sans doute conquis par son discours rebelle. Il prirent le même chemin que le mutant, poussant des "oh" et des "ah" d'excitation.
Dans les douches, Nan créa une bourrasque qui envoya Ali contre un coin de son armoire à brosses. Le surveillant lâcha donc prise en même temps et les petits poignets mouillés de Kalalli se libérèrent de leur étreinte oppressante. La bourrasque dirigée sur le coin du meuble eut raison de la solidité du crâne de l'infirmier. Le gaillard en garderait certainement une marque profonde et très douloureuse. Le choc fut suffisant pour le mettre KO.
Vadim se posta sur l'épaule de Kalalli, qui retrouva ses habits. Le prof semblait maîtriser tout à fait son équilibre, tel un roi du surf australien. Kalalli put ainsi rejoindre Jay. Munis chacun d'un trousseau de clé, ils visitèrent rapidement les deux premières cabines. La première contenait une femme endormie, à peine couverte. Dans la deuxième, la lumière du couloir permit de dévoiler un adolescent prostré contre le mur du fond, dans un état de choc. Le garçon avait le teint très blanc, les yeux clairs, des cheveux bouclés sales et en pagaille. Il portait la tunique de l'établissement, frêle et mangée de mites. Il avait l'air complètement hagard et ne réagit pas aux paroles de l'Inuit. Il se contenta de resserrer ses bras autour de ses genoux, et plonger sa tête dedans.
De son côté Niko s'était pris dans les incisives l'insigne en métal de la poitrine du garde. Un morceau de dent manquait à l'appel et sa mâchoire le lançait. Le gros mutant avait le désagréable goût du sang dans la bouche.
Les deux malades du dortoir le rejoignirent et se mirent à donner des coups de pied aux soldats assommés.
Dans le hall, Niko aperçut alors un troisième garde. L'infirmière de l'accueil poussa un cri lorsqu'il chargea son fusil et se mit en position de tir. Yamina et le Docteur entendirent ce cri, mais l'éminent scientifique n'y porta guère attention, sans doute habitué.
Les autres patients restaient contre les murs, se protégeant la tête et appelant vaguement au secours. Seuls quelques courageux se levèrent pour prêter main forte aux deux qui piétinaient les gardes assommés.
"L'agressivité maladive et la bipolarité des agents de la force ? C'est une thèse sur la Guerre des Etoiles que vous avez écrite ? Je subodore qu'il s'agit d'un pan de l'antipsychiatrie ? Nous allons nous heurter à un grand désaccord dans ce cas. Pour ma part je suis convaincu que l'enfermement et le traitement en milieu confiné sont le seul moyen de venir à bout des mystères des maladies mentales."
Il sortit deux tasses aux motifs floraux.
"Avez-vous lu l'article d'Åslung dans International Brain Research de décembre ? Il est vrai que c'est un neurologue de formation, mais son propos est très pertinent : il considère que le phénomène "mutant" s'explique par une excroissance paranoïaque aigue du cortex. Les sujets parviennent à se persuader de posséder un "pouvoir" extraordinaire, et le cerveau provoque la sécrétion d'enzymes qui débloquent des zones jusqu'alors non utilisées par l'humain. Car nous n'utilisons qu'un pourcentage infime de nos possibilités cérébrales. C'est donc une particulière angoisse qui déclenche ces phénomènes. Ainsi Åslung prophétise-t-il une "course à l'angoisse" chez toutes les personnes qui voudront avoir des "pouvoirs". Pour ma part Åslung n'a pas les moyens actuellement de prouver cette théorie. Qu'en pensez-vous ? Avez-vous étudié l'agressivité maladive sous cet angle ?"
La machine remplissait tranquillement les tasses de café.
Pendant ce temps, Jay essayait méticuleusement les différentes clés, avant de trouver la bonne qui lui ouvrit la grille. Il avait dû auparavant déplacer celle qu'il avait expulsée par télékinésie.
Deux malades du dortoir, des hommes vêtus de pyjamas jaunis et sales, s'élancèrent en criant peu après le départ de Bullet, sans doute conquis par son discours rebelle. Il prirent le même chemin que le mutant, poussant des "oh" et des "ah" d'excitation.
Dans les douches, Nan créa une bourrasque qui envoya Ali contre un coin de son armoire à brosses. Le surveillant lâcha donc prise en même temps et les petits poignets mouillés de Kalalli se libérèrent de leur étreinte oppressante. La bourrasque dirigée sur le coin du meuble eut raison de la solidité du crâne de l'infirmier. Le gaillard en garderait certainement une marque profonde et très douloureuse. Le choc fut suffisant pour le mettre KO.
Vadim se posta sur l'épaule de Kalalli, qui retrouva ses habits. Le prof semblait maîtriser tout à fait son équilibre, tel un roi du surf australien. Kalalli put ainsi rejoindre Jay. Munis chacun d'un trousseau de clé, ils visitèrent rapidement les deux premières cabines. La première contenait une femme endormie, à peine couverte. Dans la deuxième, la lumière du couloir permit de dévoiler un adolescent prostré contre le mur du fond, dans un état de choc. Le garçon avait le teint très blanc, les yeux clairs, des cheveux bouclés sales et en pagaille. Il portait la tunique de l'établissement, frêle et mangée de mites. Il avait l'air complètement hagard et ne réagit pas aux paroles de l'Inuit. Il se contenta de resserrer ses bras autour de ses genoux, et plonger sa tête dedans.
De son côté Niko s'était pris dans les incisives l'insigne en métal de la poitrine du garde. Un morceau de dent manquait à l'appel et sa mâchoire le lançait. Le gros mutant avait le désagréable goût du sang dans la bouche.
Les deux malades du dortoir le rejoignirent et se mirent à donner des coups de pied aux soldats assommés.
Dans le hall, Niko aperçut alors un troisième garde. L'infirmière de l'accueil poussa un cri lorsqu'il chargea son fusil et se mit en position de tir. Yamina et le Docteur entendirent ce cri, mais l'éminent scientifique n'y porta guère attention, sans doute habitué.
Les autres patients restaient contre les murs, se protégeant la tête et appelant vaguement au secours. Seuls quelques courageux se levèrent pour prêter main forte aux deux qui piétinaient les gardes assommés.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Ven 26 Déc 2008 - 17:06
Loin de satisfaire à sa requête, le docteur pris sur lui de lui offrir une petite tasse de café. S'il y avait quelqu'un d'obsédé ici, c'était bien ce docteur vis-à-vis les consommations. L'insistance qu'il avait à lui offrir à boire et à manger était presque épeurante. Voulait-il la drogué pour la prendre comme cobaye? Et étudier sa soi-disante Shchyzophrénie du à ses sourires? Il l'avait dit lui-même non, les sujets étudié l'étaient mieux dans des endroit confiné!
Elle se ressaisit. Décidément , cette endroit les rendraient tous fou. Elle était maintenant devenu paranoïac.
Confiné dans le petit bureau, avec cette idiot de docteur, elle angoissait de plus en plus. Pendant qu'elle se faisait offrir le café, ses amis, eux, faisait face à des policiers des violences spéciales. Elle en avait entendu parler, mais jamais vu. Par contre, elle se doutait bien que les garçons pourraient s'en tirer, s'il n'avait pas détruit leur couverture. N'empêche elle avait hâte de savoir ce qui se passait en déhors de sa prison.
Elle écoutait d'un oeil distrait les paroles du psychiatre, concentrée sur un plan d'invasion. Le mur derrière lui n'était peut-être pas des plus solide, et elle comptait peut-être s'échapper par la. Par contre, la porte était surement plus facile à traverser, et c'était sans doute plus sur. Il lui faudrait débarrer la porte pour pouvoir venir me rejoindre. Par contre, le dehors me laissait plus de temps pour lui échapper.
Ah... dilemne....Néanmoins, elle ne pouvait pas rester les bras croiser à attendre, tandis qu'il affrontait la mort.
* Il aurait quand même pu me donner des nouvelles*
En se levant, elle se mit à commenter les propos du docteur.
- Étudier les sujets dans un milieu naturel est selon moi plus interressant. Le côté plus artificiel du confinement corromp les résulats selon moi.
Elle prit la tasse qu'il lui tendait, celle la plus proche. Il ne fallait pas lui dévoiler ce qu'elle comptait faire. Toujours debout, elle alla proche du mur.
- Oui, le phénomène mutant est très interressant d'un côté neurologique. Je n,ai pas eu la chance de lire cette article malheureusement. Si j'ai bien compris, il suffirait de le croire bien fort pour que les gênes mutants se développe?
Elle s'appuya sur le mur et le cogna comme si c'était une porte.
- Sans preuve, essayons de regarder cela. Si par exemple, le fait de me retrouver coincer dans un bureau fermer à clé, avec vous, et que l'angoisse me gagnais. Ma première idée serait de me focusser sur un pouvoir tel que le.... je ne sais pas moi, oH Tiens! Si je pouvais passer a travers le mur, ce serait parfait non? Alors bon, je me sens angoisser, je m'appuierais fermement sur le mur et?
En disant cela, elle déclencha ses pouvoirs. Elle se retrouva alors dehors, tandis que la tasse de café se cassa la figure sur le sol. Mais Yamina n'entendit pas le bruit de sa chute, ni ne connut la réaction du docteur.
Elle contourna promptement le bâtiment pour rejoindre les autres par la salle d'isolement. Durant le trajet, elle avait pris soin de localiser les endroits de la map. Direction les isoloir.
Sur le chemin, elle eut tout le temps de parler à ses compagnons de ce qui était arriver: c'est à dire: qu'elle s'en venait à l'isoloir les aidés, qu'elle était maintenant hors de porté du docteur, et que la mission venait de prendre un tout autre tournant. Il fallait aussi les avertir de l'arrivée éminente du docteur dans le corridor.
Yamina traversa à nouveau le mur peu épais de l'hôpital et se retrouva dans la cabine d'isolement où se trouvait la femme endormie. Elle rejoignit ainsi Jay, Kalalli et Vadim.
Elle se ressaisit. Décidément , cette endroit les rendraient tous fou. Elle était maintenant devenu paranoïac.
Confiné dans le petit bureau, avec cette idiot de docteur, elle angoissait de plus en plus. Pendant qu'elle se faisait offrir le café, ses amis, eux, faisait face à des policiers des violences spéciales. Elle en avait entendu parler, mais jamais vu. Par contre, elle se doutait bien que les garçons pourraient s'en tirer, s'il n'avait pas détruit leur couverture. N'empêche elle avait hâte de savoir ce qui se passait en déhors de sa prison.
Elle écoutait d'un oeil distrait les paroles du psychiatre, concentrée sur un plan d'invasion. Le mur derrière lui n'était peut-être pas des plus solide, et elle comptait peut-être s'échapper par la. Par contre, la porte était surement plus facile à traverser, et c'était sans doute plus sur. Il lui faudrait débarrer la porte pour pouvoir venir me rejoindre. Par contre, le dehors me laissait plus de temps pour lui échapper.
Ah... dilemne....Néanmoins, elle ne pouvait pas rester les bras croiser à attendre, tandis qu'il affrontait la mort.
* Il aurait quand même pu me donner des nouvelles*
En se levant, elle se mit à commenter les propos du docteur.
- Étudier les sujets dans un milieu naturel est selon moi plus interressant. Le côté plus artificiel du confinement corromp les résulats selon moi.
Elle prit la tasse qu'il lui tendait, celle la plus proche. Il ne fallait pas lui dévoiler ce qu'elle comptait faire. Toujours debout, elle alla proche du mur.
- Oui, le phénomène mutant est très interressant d'un côté neurologique. Je n,ai pas eu la chance de lire cette article malheureusement. Si j'ai bien compris, il suffirait de le croire bien fort pour que les gênes mutants se développe?
Elle s'appuya sur le mur et le cogna comme si c'était une porte.
- Sans preuve, essayons de regarder cela. Si par exemple, le fait de me retrouver coincer dans un bureau fermer à clé, avec vous, et que l'angoisse me gagnais. Ma première idée serait de me focusser sur un pouvoir tel que le.... je ne sais pas moi, oH Tiens! Si je pouvais passer a travers le mur, ce serait parfait non? Alors bon, je me sens angoisser, je m'appuierais fermement sur le mur et?
En disant cela, elle déclencha ses pouvoirs. Elle se retrouva alors dehors, tandis que la tasse de café se cassa la figure sur le sol. Mais Yamina n'entendit pas le bruit de sa chute, ni ne connut la réaction du docteur.
Elle contourna promptement le bâtiment pour rejoindre les autres par la salle d'isolement. Durant le trajet, elle avait pris soin de localiser les endroits de la map. Direction les isoloir.
Sur le chemin, elle eut tout le temps de parler à ses compagnons de ce qui était arriver: c'est à dire: qu'elle s'en venait à l'isoloir les aidés, qu'elle était maintenant hors de porté du docteur, et que la mission venait de prendre un tout autre tournant. Il fallait aussi les avertir de l'arrivée éminente du docteur dans le corridor.
Yamina traversa à nouveau le mur peu épais de l'hôpital et se retrouva dans la cabine d'isolement où se trouvait la femme endormie. Elle rejoignit ainsi Jay, Kalalli et Vadim.
- Jay SirianX-Rays
- Age : 31
Equipe : KozaX
Nom de code : Push
Date d'inscription : 21/10/2006
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Ven 26 Déc 2008 - 18:56
Jay, avec l'aide de Kal, arriva finalement en face d'un jeune garçon. Bien sûr, il avait du d'abord dégagé son bordel, l'autre grille, et également trouvé la bonne clé, mais au final, c'était une franche réussite. En plus, ils ne s'étaient pas fait voir. La mission consistait à sauver le russe, mais comme ils étaient maintenant dans une vraie colonie de vacances, autant sauver ceux qui ne l'avaient pas encore comprit, c'est-à-dire la jeune fille.
Les touristes étaient contents de visiter les lieux apparemment étant donné que des "oh" et des "ah" d'exclamation se faisant entendre. En plus, certaines personnes semblaient sortir tout droit de la piscine, ou de la douche, ce qui confirmait son idée. Et comme il ne s'était pas encore fait attaquer, c'est que c'était vraiment un camp de vacance. Néanmoins, il fallait également penser à la sortie et les touristes n'étaient certainement pas si commun que ça.
-Tu sais, tu devrais essayer de t'habiller un peu, on ne sait jamais, tu risques d'être malade comme ça et vu les hôpitaux du coin, je ne te le souhaite pas.
Et comme pour prouver que la sortie était proche, Yamina apparut à ses côtés. Ce qui le mit encore plus de bonne humeur, tout ce passait tellement bien selon lui.
-Bon, il est là, quelqu'un veut communiquer avec lui? Il faudrait aussi sortir l'autre malade dans la pièce d'à côté... et l'habiller un peu aussi...
Il s'approcha doucement du russe quand il se souvînt qu'il était encore habillé comme un médecin, ce qui n'était sûrement pas très bien pour faire une bonne première impression.
**mission foutu pour foutu, autant y aller franco!**
Il l'enleva rapidement pour la donner à Kal et tendit la main vers le russe tout en lui souriant calmement.
-On vient en ami, copain, sauveur... Tu viens avec nous? Mr Vadim, vous pouvez peut-être faire quelque chose?
Il lui fit un signe pour qu'il sorte avec eux, en espérant que ce serait assez clair. Il fallait aussi prévenir les autres, il fallait sortir et vite.
-Ici Push à toute l'équipe, le russe est devant nous, on a bientôt fini. Par contre, je ne sais pas où on se rejoint surtout s'il y a des gardes et maintenant le docteur... Chef, on fait quoi?
Il se tourna naturellement vers Yamina, bien sûr, il avait un peu pourri son plan mais elle restait tout de même celle qui devait donner les autres, avec Vadim mais celui-ci devait s'occuper du russe en priorité selon lui.
Les touristes étaient contents de visiter les lieux apparemment étant donné que des "oh" et des "ah" d'exclamation se faisant entendre. En plus, certaines personnes semblaient sortir tout droit de la piscine, ou de la douche, ce qui confirmait son idée. Et comme il ne s'était pas encore fait attaquer, c'est que c'était vraiment un camp de vacance. Néanmoins, il fallait également penser à la sortie et les touristes n'étaient certainement pas si commun que ça.
-Tu sais, tu devrais essayer de t'habiller un peu, on ne sait jamais, tu risques d'être malade comme ça et vu les hôpitaux du coin, je ne te le souhaite pas.
Et comme pour prouver que la sortie était proche, Yamina apparut à ses côtés. Ce qui le mit encore plus de bonne humeur, tout ce passait tellement bien selon lui.
-Bon, il est là, quelqu'un veut communiquer avec lui? Il faudrait aussi sortir l'autre malade dans la pièce d'à côté... et l'habiller un peu aussi...
Il s'approcha doucement du russe quand il se souvînt qu'il était encore habillé comme un médecin, ce qui n'était sûrement pas très bien pour faire une bonne première impression.
**mission foutu pour foutu, autant y aller franco!**
Il l'enleva rapidement pour la donner à Kal et tendit la main vers le russe tout en lui souriant calmement.
-On vient en ami, copain, sauveur... Tu viens avec nous? Mr Vadim, vous pouvez peut-être faire quelque chose?
Il lui fit un signe pour qu'il sorte avec eux, en espérant que ce serait assez clair. Il fallait aussi prévenir les autres, il fallait sortir et vite.
-Ici Push à toute l'équipe, le russe est devant nous, on a bientôt fini. Par contre, je ne sais pas où on se rejoint surtout s'il y a des gardes et maintenant le docteur... Chef, on fait quoi?
Il se tourna naturellement vers Yamina, bien sûr, il avait un peu pourri son plan mais elle restait tout de même celle qui devait donner les autres, avec Vadim mais celui-ci devait s'occuper du russe en priorité selon lui.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Ven 26 Déc 2008 - 20:34
Nan' se mordit la lèvre en voyant Ali percuter l'armoire. Il n'avait jamais apprécié agir ainsi et se sentait coupable. Il espérait simplement que le pauvre homme s'en remettrait et apprendrait que la perversité ne paie pas. Ou pas, le temps de la moralisation n'était pas arrivée.
Il l'observa un instant en se demandant si ça valait la peine de le baîllonner, pendant que Kala et Vadim sortaient de la pièce. Il décida finalement de laisser tomber, et sortit de la pièce.
Regardant à droite, puis à gauche des douches, l'algonquin aperçut quelques personnes piochant sur les probables forces spéciales, ainsi que Niko qui ne semblait pas trop dans son assiette. Il le rejoignit donc à grandes enjambées, mais fut arrêté par le cri de la réceptionniste, au moment où il s'apprêtait passé le mur, qui attira son attention vers un homme pointant une arme à feu vers Niko.
L'aérokinésiste commençait à en avoir marre de toute cette histoire. Aussi, malgré la culpabilité qu'il venait d'éprouver envers Ali, Nan' envoya une bourrasque violente (l'homme était quand même loin) pour projeter le noireau contre le mur derrière lui (celui du bureau du Docteur), sans en faire de cas de conscience, puis il plongea sur Niko, au cas où un coup de feu serait tiré, pour que les deux mutants en soient à l'abri.
La bourrasque parcourut le couloir, surprenant et décoiffant sur ses marges les malades affalés contre les murs. Elle souleva soudainement le garde en position de tir, et l'envoya avec violence contre la porte du cabinet. Le coup de feu partit au moment où Nan plongeait sur le mutant obèse.
L'élan de Nan avait été trop court pour mettre à terre un homme de la corpulence de Niko. Il ne put que l'incliner et le faire légèrement avancer vers le mur.
Heureusement ni Niko, ni Nan ne ressentirent la brûlure d'une balle consécutivement au coup de feu.
Il se releva ensuite et aida Niko à se relever en tirant sa masse mollasse aussi bien que possible.
-Ça va aller?
Après s'être extirpé de tous ces dépenaillés, il soutint Niko autant qu'il en avait besoin et lui fit signe de s'en retourner en isolement, tout en enclenchant son communicateur.
-J'suis avec Bullet, on arrive. Vous l'avez?
La question qui lui trottait à présent dans la tête, alors qu'il avançait vers le reste de l'équipe, était comment sortir à présent? Jay pourrait leur créer une sortie intra-muros, mais il plaignait alors l'hôpital qui aurait des rénovations à faire... ç'avait été pas mal long, à l'institut!
Il l'observa un instant en se demandant si ça valait la peine de le baîllonner, pendant que Kala et Vadim sortaient de la pièce. Il décida finalement de laisser tomber, et sortit de la pièce.
Regardant à droite, puis à gauche des douches, l'algonquin aperçut quelques personnes piochant sur les probables forces spéciales, ainsi que Niko qui ne semblait pas trop dans son assiette. Il le rejoignit donc à grandes enjambées, mais fut arrêté par le cri de la réceptionniste, au moment où il s'apprêtait passé le mur, qui attira son attention vers un homme pointant une arme à feu vers Niko.
L'aérokinésiste commençait à en avoir marre de toute cette histoire. Aussi, malgré la culpabilité qu'il venait d'éprouver envers Ali, Nan' envoya une bourrasque violente (l'homme était quand même loin) pour projeter le noireau contre le mur derrière lui (celui du bureau du Docteur), sans en faire de cas de conscience, puis il plongea sur Niko, au cas où un coup de feu serait tiré, pour que les deux mutants en soient à l'abri.
La bourrasque parcourut le couloir, surprenant et décoiffant sur ses marges les malades affalés contre les murs. Elle souleva soudainement le garde en position de tir, et l'envoya avec violence contre la porte du cabinet. Le coup de feu partit au moment où Nan plongeait sur le mutant obèse.
L'élan de Nan avait été trop court pour mettre à terre un homme de la corpulence de Niko. Il ne put que l'incliner et le faire légèrement avancer vers le mur.
Heureusement ni Niko, ni Nan ne ressentirent la brûlure d'une balle consécutivement au coup de feu.
Il se releva ensuite et aida Niko à se relever en tirant sa masse mollasse aussi bien que possible.
-Ça va aller?
Après s'être extirpé de tous ces dépenaillés, il soutint Niko autant qu'il en avait besoin et lui fit signe de s'en retourner en isolement, tout en enclenchant son communicateur.
-J'suis avec Bullet, on arrive. Vous l'avez?
La question qui lui trottait à présent dans la tête, alors qu'il avançait vers le reste de l'équipe, était comment sortir à présent? Jay pourrait leur créer une sortie intra-muros, mais il plaignait alors l'hôpital qui aurait des rénovations à faire... ç'avait été pas mal long, à l'institut!
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Sam 27 Déc 2008 - 2:00
Finalement, ils l'avaient trouvé. Pauvre. L'Inuit venait tout à coup de réaliser l'horreur qu'il avait dite lors du briefing. Comment pouvait-il vouloir le laisser dans un tel lieu ? Après sa terreur rien qu'à l'idée d'être coincé ici à vie, il se rendait compte mieux que quiconque de ce qu'il avait du subir. Un pincement au cœur, il s'approcha alors que Jay essayait de lui expliquer.
Kalalli s'agenouilla devant lui. Seuls les cheveux bouclés du russe étaient visibles car il avait rentré sa tête contre ses genoux, craignant sans doute de nouvelles sévices provenant de ce monstre d'infirmier. Voir quelqu'un dans une telle détresse lui fit rapidement monter les larmes aux yeux.
Dans un élan de compassion, il l'enlaça et lui dit tout bas :
" T'inquiètes pas, on va vite te sortir de ce trou à rat et tu pourras vite retrouver un toit et une vraie famille. On est là maintenant. "
Il lui frotta le dos amicalement puis lui posa une main sur l'épaule pour qu'il relève le visage vers lui.
Si le Russe le regardait, Kala utiliserait son pouvoir pour le rassurer. Il rendrait son regard mouillé encore plus amical qu'il ne l'était déjà et plus emplie encore de compassion si c'était possible.
Kalalli s'agenouilla devant lui. Seuls les cheveux bouclés du russe étaient visibles car il avait rentré sa tête contre ses genoux, craignant sans doute de nouvelles sévices provenant de ce monstre d'infirmier. Voir quelqu'un dans une telle détresse lui fit rapidement monter les larmes aux yeux.
Dans un élan de compassion, il l'enlaça et lui dit tout bas :
" T'inquiètes pas, on va vite te sortir de ce trou à rat et tu pourras vite retrouver un toit et une vraie famille. On est là maintenant. "
Il lui frotta le dos amicalement puis lui posa une main sur l'épaule pour qu'il relève le visage vers lui.
Si le Russe le regardait, Kala utiliserait son pouvoir pour le rassurer. Il rendrait son regard mouillé encore plus amical qu'il ne l'était déjà et plus emplie encore de compassion si c'était possible.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 28 Déc 2008 - 3:09
Niko avait mal... trés mal! Cétait la partie de son corp qui lui servait le plus et il n'avait pas réussi à la protéger du choc. Sa bouche était vraiment douloureuse. Il cracha quelque chose en regardant, sans les voir, les corps inanimés des hommes en noir et des patients touchaient par son coup! Les gens en armes auraient quand même pu éviter d'être sur leur chemin et deux idiots qui tapaient dedans. Il recracha du sang en se demanda si ça avait était aussi brûtal pour lui que pour eux.
Puis il vit sa dent et se fut le drame. Il essayé de parler mais le choc l'avait pratiquement anesthésié. Mais pour une meilleure comprenhension, ça se resumer à ça.
" Oh non! Ma dent? c'est pas vrai! Torpen mais c'est pas possible ma dent! Gaby elle... Déja que j'arrives pas à l'embrasser normalement, mais alors avec une dents en moins! Qu'est-ce que ça va donner!"
Bullet se retint de pleurer en se disant que sa vie était totalement fichue. Mais il ne voulait pas que Kala le voit pleurer a cause d'une dents en moin. Il était encore dans ses pensées, tutibant encore un peu a cause du choc. quand entendit un bruit sur sa gauche. Il tourna les tête et vit un troisième homme armé. Niko lacha un incompréhensible "Oh! Gast! Ma doué!".
Il essaya de pousser les deux malades contre le mur en leur disant de rester là tant qu'il n y' avait pas une tempêtes dan le couloir dans le couloir et il se retourna en restant dévisager le tireur. Il était mort de trouille, mais il pouvait l'avoir. C'était comme faire une partie de Balle au prisonnier avec une Alicia en rogne qu'il ait critiquer ce nul de Robin. Le balle allait vite et elle faisait un mal de chien quand ça te toucher. Il devait juste éviter les balles. Il se concentra pour faire revenir son pouvoir. Mais Nan arriva en utilisant une bourrasque de vent et en plongeant pour le sauver. Il l'aida à se relever et l'emmena rejoindre les autres. Niko le suvit temps bien que mal, commençant à se rendre compte à quel point il était dans les vappes.
Il essaya quand même de suivre Nan le plus qu'il put en tentant d'activer son pouvoir au niveau de ses yeux. Il courait aussi vite qu'une balle, et il était aussi capable de suivre la trajectoire de Camille quand elle courait à la vitesse du son. il devait donc être capable de voir arriver une qui serait tirer dans leur dos avec sa vision ralentie. Pour l'eviter, il se contenterait d'appuyer son poids sur la droite ou sur la gauche pour faire virer la trajectoire de Nan.
Puis il vit sa dent et se fut le drame. Il essayé de parler mais le choc l'avait pratiquement anesthésié. Mais pour une meilleure comprenhension, ça se resumer à ça.
" Oh non! Ma dent? c'est pas vrai! Torpen mais c'est pas possible ma dent! Gaby elle... Déja que j'arrives pas à l'embrasser normalement, mais alors avec une dents en moins! Qu'est-ce que ça va donner!"
Bullet se retint de pleurer en se disant que sa vie était totalement fichue. Mais il ne voulait pas que Kala le voit pleurer a cause d'une dents en moin. Il était encore dans ses pensées, tutibant encore un peu a cause du choc. quand entendit un bruit sur sa gauche. Il tourna les tête et vit un troisième homme armé. Niko lacha un incompréhensible "Oh! Gast! Ma doué!".
Il essaya de pousser les deux malades contre le mur en leur disant de rester là tant qu'il n y' avait pas une tempêtes dan le couloir dans le couloir et il se retourna en restant dévisager le tireur. Il était mort de trouille, mais il pouvait l'avoir. C'était comme faire une partie de Balle au prisonnier avec une Alicia en rogne qu'il ait critiquer ce nul de Robin. Le balle allait vite et elle faisait un mal de chien quand ça te toucher. Il devait juste éviter les balles. Il se concentra pour faire revenir son pouvoir. Mais Nan arriva en utilisant une bourrasque de vent et en plongeant pour le sauver. Il l'aida à se relever et l'emmena rejoindre les autres. Niko le suvit temps bien que mal, commençant à se rendre compte à quel point il était dans les vappes.
Il essaya quand même de suivre Nan le plus qu'il put en tentant d'activer son pouvoir au niveau de ses yeux. Il courait aussi vite qu'une balle, et il était aussi capable de suivre la trajectoire de Camille quand elle courait à la vitesse du son. il devait donc être capable de voir arriver une qui serait tirer dans leur dos avec sa vision ralentie. Pour l'eviter, il se contenterait d'appuyer son poids sur la droite ou sur la gauche pour faire virer la trajectoire de Nan.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 28 Déc 2008 - 13:52
Les KozaX se regroupaient dans la salle d'isolement. Niko vit que le type en noir avait été bien claqué contre la porte du cabinet de docteur, et son arme était à terre. Le duo ne reçut donc pas de nouveau projectile. Les deux halls qu'ils quittaient étaient en effervescence. Les cris des malades se mêlaient à ceux plus éloignés et verbalisés des infirmières. Quelques patients grisés par l'action couraient ça et là, à la recherche de l'ouverture qui avait permit ce formidable courant d'air. On tambourinait à la porte fermée de la cuisine. D'autres s'acharnaient avec motivation sur les corps des deux gardes assommés par Niko.
Dans la zone d'isolement, Jay réveillait la jeune femme indienne aux yeux caves et au corps frigorifié. Celle-ci ne sembla pas comprendre les paroles du mutant. Elle se leva toutefois pour sortir de la cabine sombre. Elle poussa un hoquet de surprise en voyant débarquer du mur Yamina en blouse blanche.
Après les paroles de Jay au jeune russe, Vadim grandit jusqu'à atteindre la taille d'une poupée mannequin, et sauta sur l'épaule de Jay. Il l'accompagna ainsi dans la deuxième cabine, avec Yamina et la femme en haillons. Celle-ci eut d'ailleurs un deuxième hoquet de surprise en voyant le diablotin en treillis et se plaqua contre le mur.
Vadim dit à Jay et Yamina, d'une petite voix aiguë.
"Je préfère ne pas lui parler, ni me montrer. Il n'est pas sûr que lui parler en russe le rassure. On ignore comment il a fini ici."
Il enleva le sac à dos et le donna à Jay. Le sac reprit alors sa taille normale, et les mutants pouvaient donc y trouver les vêtements et affaires nécessaires.
Le tumulte continuait dans les autres pièces.
"KozaX, il faut sortir d'ici maintenant. Avec le garçon seulement."
Dit-il avec sa voix de poupée qui parle en tournant sa petite tête et son petit regard jaune et grave vers le grand visage de Jay.
Kalalli releva le visage du garçon, dont les yeux cernés ne reflétaient alors que la torpeur et l'angoisse. Le Russe tressaillit aux gestes apaisants de l'Inuit, qui devaient malgré tout réveiller quelques bleus ou contusions endormis.
Le garçon se crispa, mais les paroles de Razgriz semblèrent rallumer la confiance dans ses yeux. N'avait-il pas devant lui un enfant à la peau blanche et fraîche, tout prêt à l'aider, à le soutenir, à le ramener à la lumière ? N'était-ce pas là l'ange qu'il avait tant prié, dont les ailes blanches se découpaient dans les néons du couloir ? L'ange qui pleurait pour saluer la pureté de son âme ? Ebloui et transi, le jeune interné se ressaisit avec force. D'un geste convulsif et tremblant, il se releva en prenant appui sur Kalalli. Il enroula ses bras autour du bras de l'Inuit et le contempla avec joie et espoir. Nonobstant ses blessures, son pyjama sale et humide et ses pieds nus, il semblait prêt à soulever les montagnes.
Niko apparut alors, la bouche sanglante et la lèvre gonflée. Nan l'accompagnait. Vadim se réduisit à nouveau à la taille d'une mouche sur l'épaule de Jay. Il répéta dans les communicateurs.
Les cris redoublaient aux alentours. Les portes claquaient et tout ce chaos palpitait sur le rythme des gongs réguliers de Passe-Partout.
Dans la zone d'isolement, Jay réveillait la jeune femme indienne aux yeux caves et au corps frigorifié. Celle-ci ne sembla pas comprendre les paroles du mutant. Elle se leva toutefois pour sortir de la cabine sombre. Elle poussa un hoquet de surprise en voyant débarquer du mur Yamina en blouse blanche.
Après les paroles de Jay au jeune russe, Vadim grandit jusqu'à atteindre la taille d'une poupée mannequin, et sauta sur l'épaule de Jay. Il l'accompagna ainsi dans la deuxième cabine, avec Yamina et la femme en haillons. Celle-ci eut d'ailleurs un deuxième hoquet de surprise en voyant le diablotin en treillis et se plaqua contre le mur.
Vadim dit à Jay et Yamina, d'une petite voix aiguë.
"Je préfère ne pas lui parler, ni me montrer. Il n'est pas sûr que lui parler en russe le rassure. On ignore comment il a fini ici."
Il enleva le sac à dos et le donna à Jay. Le sac reprit alors sa taille normale, et les mutants pouvaient donc y trouver les vêtements et affaires nécessaires.
Le tumulte continuait dans les autres pièces.
"KozaX, il faut sortir d'ici maintenant. Avec le garçon seulement."
Dit-il avec sa voix de poupée qui parle en tournant sa petite tête et son petit regard jaune et grave vers le grand visage de Jay.
Kalalli releva le visage du garçon, dont les yeux cernés ne reflétaient alors que la torpeur et l'angoisse. Le Russe tressaillit aux gestes apaisants de l'Inuit, qui devaient malgré tout réveiller quelques bleus ou contusions endormis.
Le garçon se crispa, mais les paroles de Razgriz semblèrent rallumer la confiance dans ses yeux. N'avait-il pas devant lui un enfant à la peau blanche et fraîche, tout prêt à l'aider, à le soutenir, à le ramener à la lumière ? N'était-ce pas là l'ange qu'il avait tant prié, dont les ailes blanches se découpaient dans les néons du couloir ? L'ange qui pleurait pour saluer la pureté de son âme ? Ebloui et transi, le jeune interné se ressaisit avec force. D'un geste convulsif et tremblant, il se releva en prenant appui sur Kalalli. Il enroula ses bras autour du bras de l'Inuit et le contempla avec joie et espoir. Nonobstant ses blessures, son pyjama sale et humide et ses pieds nus, il semblait prêt à soulever les montagnes.
Niko apparut alors, la bouche sanglante et la lèvre gonflée. Nan l'accompagnait. Vadim se réduisit à nouveau à la taille d'une mouche sur l'épaule de Jay. Il répéta dans les communicateurs.
"Si tout le monde est là, il faut partir. Maaddi, je peux si besoin réduire tous ceux que je touche."
Les cris redoublaient aux alentours. Les portes claquaient et tout ce chaos palpitait sur le rythme des gongs réguliers de Passe-Partout.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Lun 29 Déc 2008 - 7:07
L'apparition de la phaser dans la chambre n'était pas pour aider l'état mental des patients, ni leur présence. Leur guérison était surement compromise à jamais. Contente de retrouver ses compagnons sain et sauve, elle n'eut pas le temps de les réprimender sur l'absence de communication.
Elle avait eut si peur de les perdre! Il étais passé du plan A au plan Z sans aucune communication, lui laissant présager le pire. Par contre, ill aurait tout le temps de s'en reparler durant leur voyage de retour.
Avec une joie immense, elle vit le jeune russe avec Kalalli. L'absence de dommage important sur le restant de son équipe la rassurèrent autant qu'il la laissèrent bouche bée. Au moins, il n'avait rien.
Reprenant son esprit pratique, et surtout poussé par le brouhaha des corridors, elle se tourna vers son équipe.
- Plus de temps à perdre, on s'en va.
Elle essaya de sourire au Russe, mais Kalalli semblait s'en tirer mieux qu'elle. Bon, au moins il semblait s'être trouvé un ami. Elle se débarassa de sa veste de médecin, qui l'encombrait plus qu,autre chose, et se tourna vers Jay.
- Bon, Push, peut tu nous faire un trou dans le mur? À peu près de la grandeur d'un gros chien.
Elle se tourna vers Vadim et lui dit
- Préparez vous à nous rapetissez tous. Niko devrait avoir la taille d'un gros chien, et les autres de mouches.
Elle se tourna finalement vers Niko, et, elle pris un air sévère. Elle n'était pas prête d'oublier les commentaires à son égars, ni la manière qu'il l'avait traité. D'une voix un peu plus dure qu'elle ne l'aurait voulut , elle lui ordonna
- Niko, je sais que tu ne m'aimes pas, ni tu ne veux pas suivre mes ordres. Mais je ne te donnes pas le choix. Je compte sur toi pour nous éloignez d'ici. Et cette fois, je t'interdit de faire l'idiot. Fait ce qu'on te dit.
Elle avait eut si peur de les perdre! Il étais passé du plan A au plan Z sans aucune communication, lui laissant présager le pire. Par contre, ill aurait tout le temps de s'en reparler durant leur voyage de retour.
Avec une joie immense, elle vit le jeune russe avec Kalalli. L'absence de dommage important sur le restant de son équipe la rassurèrent autant qu'il la laissèrent bouche bée. Au moins, il n'avait rien.
Reprenant son esprit pratique, et surtout poussé par le brouhaha des corridors, elle se tourna vers son équipe.
- Plus de temps à perdre, on s'en va.
Elle essaya de sourire au Russe, mais Kalalli semblait s'en tirer mieux qu'elle. Bon, au moins il semblait s'être trouvé un ami. Elle se débarassa de sa veste de médecin, qui l'encombrait plus qu,autre chose, et se tourna vers Jay.
- Bon, Push, peut tu nous faire un trou dans le mur? À peu près de la grandeur d'un gros chien.
Elle se tourna vers Vadim et lui dit
- Préparez vous à nous rapetissez tous. Niko devrait avoir la taille d'un gros chien, et les autres de mouches.
Elle se tourna finalement vers Niko, et, elle pris un air sévère. Elle n'était pas prête d'oublier les commentaires à son égars, ni la manière qu'il l'avait traité. D'une voix un peu plus dure qu'elle ne l'aurait voulut , elle lui ordonna
- Niko, je sais que tu ne m'aimes pas, ni tu ne veux pas suivre mes ordres. Mais je ne te donnes pas le choix. Je compte sur toi pour nous éloignez d'ici. Et cette fois, je t'interdit de faire l'idiot. Fait ce qu'on te dit.
- Jay SirianX-Rays
- Age : 31
Equipe : KozaX
Nom de code : Push
Date d'inscription : 21/10/2006
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mar 30 Déc 2008 - 12:30
Jay crut halluciner quand il vit Kal agir, si le mutant russe avait eu le même pouvoir que Wood, il n'aura pas fait long feu. Et après c'était lui qui ne réfléchissait pas... Néanmoins, maintenant que le russe était leur copain et que le prof s'était choisir un nouveau perchoir, il semblait être temps de partir. Surtout que Vadim ne semblait pas vouloir se montrer, il était aussi utile en mission que Vayne, bien que lui au moins leur avait parlé... Mais ce n'était plus les StryX et en plus, leur chef donnait la suite des ordres.
**faire un tout petit trou? Mais rien ne risque de s'éffondrer? Et comment ça, on emmène que le russe?**
Il tourna la tête vers son diablotin de poche, manque de chance, il manquait l'ange. Il eut un instant l'idée de lui souffler dessus mais cela ne serait pas très discret et en plus, les ordres avaient été donnés, il n'allait pas en faire qu'à sa tête. Encore. Du coup, il lui montra juste sa désapprobation par un léger haussement de sourcil.
Il était temps d'agir, en espérant qu'ils pourraient tous s'enfuir, de toute manière, les KozaX avaient déjà mis en branle cet hôpital, les patients allaient peut-être pouvoir s'enfuir...
**on peut toujours rêver**
-Allez, on y va...
Il n'ajouta pas qu'être transformé en pois chiche pour aller sur le dos de Niko ne lui disait absolument rien, surtout qu'il pouvait passer en taille normal par le mur et courir très vite, ce qui serait beaucoup plus simple. En plus, Niko était déjà amoché, il voulait peut-être se venger...
Néanmoins, il se concentra sur le mur menant à l'extérieur, puis se concentra pour retirer un morceau du mur ayant approximativement la taille d'un Niko en gros chien... soit environ 1m50 de hauteur.
**faire un tout petit trou? Mais rien ne risque de s'éffondrer? Et comment ça, on emmène que le russe?**
Il tourna la tête vers son diablotin de poche, manque de chance, il manquait l'ange. Il eut un instant l'idée de lui souffler dessus mais cela ne serait pas très discret et en plus, les ordres avaient été donnés, il n'allait pas en faire qu'à sa tête. Encore. Du coup, il lui montra juste sa désapprobation par un léger haussement de sourcil.
Il était temps d'agir, en espérant qu'ils pourraient tous s'enfuir, de toute manière, les KozaX avaient déjà mis en branle cet hôpital, les patients allaient peut-être pouvoir s'enfuir...
**on peut toujours rêver**
-Allez, on y va...
Il n'ajouta pas qu'être transformé en pois chiche pour aller sur le dos de Niko ne lui disait absolument rien, surtout qu'il pouvait passer en taille normal par le mur et courir très vite, ce qui serait beaucoup plus simple. En plus, Niko était déjà amoché, il voulait peut-être se venger...
Néanmoins, il se concentra sur le mur menant à l'extérieur, puis se concentra pour retirer un morceau du mur ayant approximativement la taille d'un Niko en gros chien... soit environ 1m50 de hauteur.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Mer 31 Déc 2008 - 18:13
Dès qu'il fut entré dans la salle d'isolement, Nan' se mit face à la porte, les poings serrés et prêt à contre-attaquer à une quelconque invasion, par les poings ou le vent (tris). Il écouta les débats avec une certaine attention tout de même, ne comprenant toutefois pas le choix de Yamina. Un trou de la taille dont ils parlaient était suffisamment gros pour laisser quelqu'un -disons, pas Niko ou Vadim quand même- s'y faufiler et risquait d'affaiblir dangereusement la structure de l'édifice. Pas besoin d'un nouvel éboulement d'institution sociale! En plus les pauvres fous risqueraient d'y périr, tout comme leurs pauvres soigneurs et infirmières.
Il lui semblait qu'un trou de souris était mille fois plus subtil, en plus d'être moins accessible et dangereux. Mais comme Jay semblait déjà sur le point d'agir, il était probablement trop tard... Nan' s'essaya tout de même.
-Pas trop gros surtout! Comme une souris! Si ça s'écroule, il faudrait...
Il cherchait Vadim des yeux mais ne le trouva pas.
-... il faudrait peut-être grossir pour que ça nous blesse moins?
L'algonquin serra les dents, stressé par cette sortie et à l'idée de rapetisser. Si ils ne retrouvaient jamais leur taille normale parce que Vadim mourrait ou quelque chose du genre? Mieux valait ne pas y penser...
Dès que Jay eut percé son trou, Nan' s'approcha de Jay et demanda à Vadim de le réduire également, enjoignant les autres à l'imiter. Ils pourraient ensuite s'enfuir par le trou en grimpant sur le dos de Niko...
Vadim (en format poupée Barbie) grimpa sur le dos de Niko, se calant entre sa nuque et le col de sa blouse. Il tendit son bras grossi à la taille réelle vers les autres KozaX. Il leur dit via les communicateurs :
Il réduisit à nouveau son bras et les KozaX en même temps. Tous furent ainsi réduits à des mouches devant s'accrocher aux doigts de leur professeur. Celui-ci, enroula son autre bras aux cheveux de Niko. Niko lui même perdit la moitié de sa hauteur. L'ouverture de Jay devint largement assez grande pour passer.
Il lui semblait qu'un trou de souris était mille fois plus subtil, en plus d'être moins accessible et dangereux. Mais comme Jay semblait déjà sur le point d'agir, il était probablement trop tard... Nan' s'essaya tout de même.
-Pas trop gros surtout! Comme une souris! Si ça s'écroule, il faudrait...
Il cherchait Vadim des yeux mais ne le trouva pas.
-... il faudrait peut-être grossir pour que ça nous blesse moins?
L'algonquin serra les dents, stressé par cette sortie et à l'idée de rapetisser. Si ils ne retrouvaient jamais leur taille normale parce que Vadim mourrait ou quelque chose du genre? Mieux valait ne pas y penser...
Dès que Jay eut percé son trou, Nan' s'approcha de Jay et demanda à Vadim de le réduire également, enjoignant les autres à l'imiter. Ils pourraient ensuite s'enfuir par le trou en grimpant sur le dos de Niko...
Vadim (en format poupée Barbie) grimpa sur le dos de Niko, se calant entre sa nuque et le col de sa blouse. Il tendit son bras grossi à la taille réelle vers les autres KozaX. Il leur dit via les communicateurs :
"Tenez tous ma main et ne lâchez sous aucun prétexte. Si vous perdez le contact avec moi vous retrouverez votre taille normale. Bullet, quand nous serons un peu plus loin, tu redeviendras normal et nous voyagerons nous dans le sac à dos."
Il réduisit à nouveau son bras et les KozaX en même temps. Tous furent ainsi réduits à des mouches devant s'accrocher aux doigts de leur professeur. Celui-ci, enroula son autre bras aux cheveux de Niko. Niko lui même perdit la moitié de sa hauteur. L'ouverture de Jay devint largement assez grande pour passer.
- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Jeu 1 Jan 2009 - 15:03
Kalalli sourit lorsque le jeune Russe l'observa. Il semblant lui faire confiance puisqu'il s'était levé et semblait tout à fait disposer à les suivre. En même temps, dans sa situation, on aurait été prêt à suivre n'importe qui, du moment que ce n'était pas l'infirmier "Mon p'ti touaseuuuu".
Niko arriva avec le reste de l'équipe. Ils voulaient s'échapper en explosant un bout de mur grâce à Jay, se faire rétrécissir par le doigt magique de Vadim, puis se faire transporter à toute vitesse par Bullet. Encore une folle course à dos d'obèse. Ils allaient s'amuser, c'était certain. Du moins, si cette fois il n'était pas malade en route.
Souriant à l'interné qui se tenait à lui, Kala lui expliqua la suite des évènements, essayant de se mettre à sa place. Il conclue :
" Ca fait un peu bizarre au début, mais c'est normal. La première fois, ça fait toujours ça mais après ça devient aussi banal que d'ouvrir le frigo. "
Il avait essayé d'être convaincant. Lui-même n'aimant pas particulièrement ça, mais il ne fallait pas effrayer son nouvel ami. Push retira un morceau de mur aisément. A présent il fallait se faire rapetisser.
L'Inuit se dirigea vers Vadim, toujours soutenant le Russe. Il rajouta pour le rassurer.
" Allez, tout va bien se passer. Tant que tu resteras avec l'un de nous, ça ne pourra pas aller mal. Au fait, je m'appelle Kalalli. Mais Kala c'est plus court. "
Sourire franc. Ils allaient bientôt être miniaturisés. Il suivrait ensuite les ordres, essayant de rassurer aussi souvent que nécessaire son ami qui devait être perdu avec tout ce qu'il lui arrivait soudainement.
Niko arriva avec le reste de l'équipe. Ils voulaient s'échapper en explosant un bout de mur grâce à Jay, se faire rétrécissir par le doigt magique de Vadim, puis se faire transporter à toute vitesse par Bullet. Encore une folle course à dos d'obèse. Ils allaient s'amuser, c'était certain. Du moins, si cette fois il n'était pas malade en route.
Souriant à l'interné qui se tenait à lui, Kala lui expliqua la suite des évènements, essayant de se mettre à sa place. Il conclue :
" Ca fait un peu bizarre au début, mais c'est normal. La première fois, ça fait toujours ça mais après ça devient aussi banal que d'ouvrir le frigo. "
Il avait essayé d'être convaincant. Lui-même n'aimant pas particulièrement ça, mais il ne fallait pas effrayer son nouvel ami. Push retira un morceau de mur aisément. A présent il fallait se faire rapetisser.
L'Inuit se dirigea vers Vadim, toujours soutenant le Russe. Il rajouta pour le rassurer.
" Allez, tout va bien se passer. Tant que tu resteras avec l'un de nous, ça ne pourra pas aller mal. Au fait, je m'appelle Kalalli. Mais Kala c'est plus court. "
Sourire franc. Ils allaient bientôt être miniaturisés. Il suivrait ensuite les ordres, essayant de rassurer aussi souvent que nécessaire son ami qui devait être perdu avec tout ce qu'il lui arrivait soudainement.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Ven 2 Jan 2009 - 23:10
Ils voulaient faire un trou dans le mur et Bullet servirait de moyens de transport. Niko avait bien reprit ses idées. Et l'idée était Intéréssante. Mais Yamina gacha tout en venant le gronder. Il la regarda de haut et lui dit d'un ton tout aussi sec.
" C'est pas que je ne t'aime pas... Mais pour être chef faut le mériter! Et je ne trouves pas que tu le mérites! C'est tout!"
C'est vrai! quoi c'est les mec de l'équipe qui avait fait tout le boulot! Elle s'était uniquement contentée d'aller flirter avec son medecin pendant qu'il se coltiner Jay et que Kala prenait un douche! D'ailleurs, qu'est-ce qu'elle avait bien pu faire tout ce temps dans le bureau.
Puis Vadim monta sur son dos en donnant ses instruction. il fit retrécor les autre et Niko regarda le trou en se demandant si il serait assez large. Puis il se mit aussi a rétrécir. Quand il eut la taille d'un gros nain de jardin, Niko se recouvrit de sa peau noir et partit en courant, mais pas trop vite pour ne pas choquer les passager. Etant la monture préféré d'Alix, il savait quelle vitesse ne pas attendre pour eviter qu'il tombe dans les pomme et pour éviter que Kala lui vomisse dessus. Dévallant le mur, il chercha un endroit sûr pour que Vadim puisse lui rendre sa taille normale et pour pouvoir ranger les autres dans son sac.
" C'est pas que je ne t'aime pas... Mais pour être chef faut le mériter! Et je ne trouves pas que tu le mérites! C'est tout!"
C'est vrai! quoi c'est les mec de l'équipe qui avait fait tout le boulot! Elle s'était uniquement contentée d'aller flirter avec son medecin pendant qu'il se coltiner Jay et que Kala prenait un douche! D'ailleurs, qu'est-ce qu'elle avait bien pu faire tout ce temps dans le bureau.
Puis Vadim monta sur son dos en donnant ses instruction. il fit retrécor les autre et Niko regarda le trou en se demandant si il serait assez large. Puis il se mit aussi a rétrécir. Quand il eut la taille d'un gros nain de jardin, Niko se recouvrit de sa peau noir et partit en courant, mais pas trop vite pour ne pas choquer les passager. Etant la monture préféré d'Alix, il savait quelle vitesse ne pas attendre pour eviter qu'il tombe dans les pomme et pour éviter que Kala lui vomisse dessus. Dévallant le mur, il chercha un endroit sûr pour que Vadim puisse lui rendre sa taille normale et pour pouvoir ranger les autres dans son sac.
- InvitéInvité
Re: [KozaX 4.3] Annexe psychiatrique de Bikaner
Dim 4 Jan 2009 - 13:59
Le jeune Russe répondit par un sourire un peu illuminé aux paroles de Kalalli. Il suivit le groupe dans ses manœuvres étranges et fantastiques, se croyant toujours sur la route du paradis céleste.
Les KozaX quittèrent un hôpital en ébullition. Niko amena tout le monde dans un endroit tranquille pour trouver un positionnement plus confortable. La police des violences spéciales ne les avaient apparemment pas suivi.
Le groupe repartit aussitôt pour l'aéroport. Dans l'avion le jeune Russe béat fit route dans une poche avec Vadim.
Les KozaX étaient victorieux !
HRP. Fin du mode jeu, merci à tous !
Les KozaX quittèrent un hôpital en ébullition. Niko amena tout le monde dans un endroit tranquille pour trouver un positionnement plus confortable. La police des violences spéciales ne les avaient apparemment pas suivi.
Le groupe repartit aussitôt pour l'aéroport. Dans l'avion le jeune Russe béat fit route dans une poche avec Vadim.
Les KozaX étaient victorieux !
HRP. Fin du mode jeu, merci à tous !
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum