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- Le courtier temporelConscience collective
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Jeu 5 Nov 2009 - 1:59
L'universitaire tendit une main anormalement fine pour serrer celle de Daniel et se présenta :
"Professeur Judith Misrahi de la NYCU"
Le professeur était donc UNE professeur.
Elle alla à la fenêtre. Observa quelques instants les imbéciles en uniforme puis revint vers Daniel. Elle écouta, silencieusement, les informations qu'il avait à lui communiquer.
"Ces villageois sont vraiment des abrutis. Des abrutis sympathiques. Mais des abrutis quand même" conclut-elle d'un air dépité.
Consciente du risque que ses propos soient mal interprétés, elle ajouta :
"Je ne parle pas des Maoris en général. Mais les hommes de ce village sont... réellement décevants. Rien à voir avec leurs filles, leurs épouses et leurs mères..."
Judith pesta une fois de plus.
"Engager des nazis et Kentucky Bones. Pour pallier en plus à leur propre nullité ! C'est effroyable !"
Elle retira ses lunettes et les essuya avec un petit chiffon.
"Il faut savoir que les hommes de cette tribu ne respectent leurs traditions qu'en ce que ça permet de vendre des cartes postales pour les touristes un peu gogos. Ni plus, ni moins. Toutes les professions sont occupées par leurs épouses. Le chef, ça fait même longtemps qu'il ne fait plus que paresser... Et le soir, ce sont ces mêmes fainéants qui exigent que leurs épouses reprisent leurs slips et lavent leurs chaussettes. Pas étonnant qu'elles se soient tirées à la première occasion..."
L'universitaire alla se rasseoir.
"Alors quand ce drôle de sanglier a fait sa danse, les femmes ont suivi, comme envoutées... J'ai bien essayé d'étudier ce phénomène d'un peu plus près mais la créature n'a pas paru intéressée, ce qui est un poil humiliant pour ma personne mais... Bref, j'ai l'habitude"
Judith s'éclaircit la voix.
"Je suppose que le trésor du village a été emporté par les femmes, tout simplement. Enfin, les nazis semblent plus intéressés par récupérer le magot que par aider les villageois... D'ailleurs même ces imbéciles de maoris s'en sont rendus compte maintenant. Bones, il y a de grandes chances pour que ce soit pareil..."
Regardant Daniel un instant, elle poursuivit :
"Dommage, vos traditions sont précieuses et intéressantes... Cette danse que le sanglier a réalisé, je l'avais vu décrite dans plusieurs livres mais jamais réalisée... Un mutant animorphe qui connaît le Haka Manu, c'est stupéfiant !"
La femme marqua une pause puis après avoir bredouillé quelques excuses revint à des considérations plus terre à terre :
"Enfin, pour notre problème, je ne sais trop quoi vous dire. Vilsmaier veut surtout gagner beaucoup d'argent pour régler une histoire de famille. J'ai une petite idée de l'endroit où le trésor est planqué mais..."
Elle réfléchit un instant puis haussa les épaules.
"Il nous faudrait ce sanglier. Ou quelque chose d'approchant. En gros, quelqu'un qui puisse danser le Haka Manu. Les nazis ne pourraient rien nous faire je pense tant qu'ils n'ont pas l'argent... Et face aux femmes de ce village, il y a de grandes chances qu'ils aient un peu de fil à retordre..."
"Professeur Judith Misrahi de la NYCU"
Le professeur était donc UNE professeur.
Elle alla à la fenêtre. Observa quelques instants les imbéciles en uniforme puis revint vers Daniel. Elle écouta, silencieusement, les informations qu'il avait à lui communiquer.
"Ces villageois sont vraiment des abrutis. Des abrutis sympathiques. Mais des abrutis quand même" conclut-elle d'un air dépité.
Consciente du risque que ses propos soient mal interprétés, elle ajouta :
"Je ne parle pas des Maoris en général. Mais les hommes de ce village sont... réellement décevants. Rien à voir avec leurs filles, leurs épouses et leurs mères..."
Judith pesta une fois de plus.
"Engager des nazis et Kentucky Bones. Pour pallier en plus à leur propre nullité ! C'est effroyable !"
Elle retira ses lunettes et les essuya avec un petit chiffon.
"Il faut savoir que les hommes de cette tribu ne respectent leurs traditions qu'en ce que ça permet de vendre des cartes postales pour les touristes un peu gogos. Ni plus, ni moins. Toutes les professions sont occupées par leurs épouses. Le chef, ça fait même longtemps qu'il ne fait plus que paresser... Et le soir, ce sont ces mêmes fainéants qui exigent que leurs épouses reprisent leurs slips et lavent leurs chaussettes. Pas étonnant qu'elles se soient tirées à la première occasion..."
L'universitaire alla se rasseoir.
"Alors quand ce drôle de sanglier a fait sa danse, les femmes ont suivi, comme envoutées... J'ai bien essayé d'étudier ce phénomène d'un peu plus près mais la créature n'a pas paru intéressée, ce qui est un poil humiliant pour ma personne mais... Bref, j'ai l'habitude"
Judith s'éclaircit la voix.
"Je suppose que le trésor du village a été emporté par les femmes, tout simplement. Enfin, les nazis semblent plus intéressés par récupérer le magot que par aider les villageois... D'ailleurs même ces imbéciles de maoris s'en sont rendus compte maintenant. Bones, il y a de grandes chances pour que ce soit pareil..."
Regardant Daniel un instant, elle poursuivit :
"Dommage, vos traditions sont précieuses et intéressantes... Cette danse que le sanglier a réalisé, je l'avais vu décrite dans plusieurs livres mais jamais réalisée... Un mutant animorphe qui connaît le Haka Manu, c'est stupéfiant !"
La femme marqua une pause puis après avoir bredouillé quelques excuses revint à des considérations plus terre à terre :
"Enfin, pour notre problème, je ne sais trop quoi vous dire. Vilsmaier veut surtout gagner beaucoup d'argent pour régler une histoire de famille. J'ai une petite idée de l'endroit où le trésor est planqué mais..."
Elle réfléchit un instant puis haussa les épaules.
"Il nous faudrait ce sanglier. Ou quelque chose d'approchant. En gros, quelqu'un qui puisse danser le Haka Manu. Les nazis ne pourraient rien nous faire je pense tant qu'ils n'ont pas l'argent... Et face aux femmes de ce village, il y a de grandes chances qu'ils aient un peu de fil à retordre..."
- Daniel TakutaiX-Rays
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Mar 10 Nov 2009 - 0:19
Quand l'universitaire déclina son identité, Daniel réprima un hoquet de surprise. Le profésseur était donc une femme. Le maori eu un sourire gêné, il espérait que Judith Misrahi n'ait pas relevée son erreur. Si c'était le cas, elle n'en laissait rien paraitre, peut-être que la confusion était si fréquente qu'elle avait apris à l'ignorée. Quoi qu'il en soit, elle écouta Daniel avec attention, même si elle semblait rêvasser à la fenêtre, le mutant avait le sentiment qu'elle était attentive. Elle en conclut que les villageois était des abrutis, comme ça. Le jeune homme se sentait attaqué dans son honneur. On ne traitait des Maoris d'imbécile en sa présence sans qu'il réagisse. Il s'apprêtait à lui envoyer une réponse bien sentie, quand elle radoucit son propos. Daniel croisa les bras sur le torse en prenant un air renfrogné. La femme se lança ensuite dans un long monologue féministo-scientifique. Le maori se demanda pourquoi les gens intelligent se sentait obliger de sortir leur science à la première occasion, en prenant bien soin de vous donner l'impression que vous êtes le dernier des Cro-Magnons. En plus de ça l'ethnologue mettait un point d'honneur à presenter le homme maoris de New-Plymouth sous le plus mauvais jour possible, ce qui avait le don d'énerver Daniel. Elle dût se rendre compte de son agacement, car elle abrégea son récit, en s'excusant. Daniel commenta, en s'arrangeant un peut avec la vérité.
Si idiot qu'ils soit, les homme du village, ont tout de même pensé à m'envoyer avec Bones, pour le surveiller, histoire de l'empêcher de se tier avec la caisse.
Puis il enchaina.
Alors comme ça, vous pensait aussi que ce sanglier un mutant?
L'académicienne exposa sa réflexion, il lui fallait quelque chose de plus ou moins similaire au sanglier, qui pourrait danser le Haka Manu. Daniel eu une idée. Il retira son T-shirt en disant
Si vous vous pensait capable de m'apprendre le Haka Manu je pense avoir quelque chose qui fasse l'affaire.
Puis il fit apparaître sur son torse et son dos une carapace, en prenant bien soins de laisser ses épaules libres pour executer les mouvement dans trop de difficulté. Il ajouta avec une mine espiègle.
Tadaaaaam.
Si idiot qu'ils soit, les homme du village, ont tout de même pensé à m'envoyer avec Bones, pour le surveiller, histoire de l'empêcher de se tier avec la caisse.
Puis il enchaina.
Alors comme ça, vous pensait aussi que ce sanglier un mutant?
L'académicienne exposa sa réflexion, il lui fallait quelque chose de plus ou moins similaire au sanglier, qui pourrait danser le Haka Manu. Daniel eu une idée. Il retira son T-shirt en disant
Si vous vous pensait capable de m'apprendre le Haka Manu je pense avoir quelque chose qui fasse l'affaire.
Puis il fit apparaître sur son torse et son dos une carapace, en prenant bien soins de laisser ses épaules libres pour executer les mouvement dans trop de difficulté. Il ajouta avec une mine espiègle.
Tadaaaaam.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Mar 10 Nov 2009 - 2:39
"Pas faux" maugréa Judith un peu bougonne d'avoir été contredite. Puis se ressaisissant, elle enchaîna tout de go :
"En même temps, nous n'avons pas trop le choix, maintenant. Ce qui est fait est fait"
Elle retira ses lunettes et, mâchonnant nerveusement l'une des branches, poursuivit :
"Oui, je pense qu'il s'agit d'un mutant. Il fut un temps où mes recherches étaient consacrées à temps plein aux mutants. Je regrette un peu cette période, mais bon... Au moins, il y a un animorphe dans les parages, c'est mieux que rien..."
Voyant la transformation brutale de Daniel, elle en fit tomber ses lunettes.
"Vous êtes décidément plein de ressources, jeune homme !" commenta la scientifique, un peu éberluée.
Voir le Professeur Misrahi se livrer à cette danse impudique avait quelque chose de savoureux. D'inédit. Mais Daniel n'était pas là pour s'amuser... Au bout de quelques heures, il avait assimilé les rudiments de ce drôle de Haka, à l'origine dansé par les femmes pour séduire les hommes...
"Bon, je crois que vous êtes au point" conclut-elle. "Venez, nous allons voir si notre plan fonctionne..."
Elle sortit de l'habitation sommaire pour se rendre sur la place du village, après avoir indiqué au jeune Maori où elle pensait que le sanglier se terrait. Avec une carte, Daniel pourrait facilement retrouver l'endroit.
Daniel put voir de là où il était une dizaine d'hommes en armes... L'un des nazis en revanche semblait plus calme. Et une lueur d'intelligence brillait dans son regard. Par ailleurs, il ne tenait aucune arme à la main.
"Que se passe t'il Fraulein Professor ?" demanda-t-il sur un ton courtois.
"J'ai quelque chose qui peut vous intéresser Reichsmarshall..."
Puis se retournant en direction de son habitation, Judith fit signe à Daniel de venir... C'était maintenant à lui de jouer !
"En même temps, nous n'avons pas trop le choix, maintenant. Ce qui est fait est fait"
Elle retira ses lunettes et, mâchonnant nerveusement l'une des branches, poursuivit :
"Oui, je pense qu'il s'agit d'un mutant. Il fut un temps où mes recherches étaient consacrées à temps plein aux mutants. Je regrette un peu cette période, mais bon... Au moins, il y a un animorphe dans les parages, c'est mieux que rien..."
Voyant la transformation brutale de Daniel, elle en fit tomber ses lunettes.
"Vous êtes décidément plein de ressources, jeune homme !" commenta la scientifique, un peu éberluée.
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Voir le Professeur Misrahi se livrer à cette danse impudique avait quelque chose de savoureux. D'inédit. Mais Daniel n'était pas là pour s'amuser... Au bout de quelques heures, il avait assimilé les rudiments de ce drôle de Haka, à l'origine dansé par les femmes pour séduire les hommes...
"Bon, je crois que vous êtes au point" conclut-elle. "Venez, nous allons voir si notre plan fonctionne..."
Elle sortit de l'habitation sommaire pour se rendre sur la place du village, après avoir indiqué au jeune Maori où elle pensait que le sanglier se terrait. Avec une carte, Daniel pourrait facilement retrouver l'endroit.
Daniel put voir de là où il était une dizaine d'hommes en armes... L'un des nazis en revanche semblait plus calme. Et une lueur d'intelligence brillait dans son regard. Par ailleurs, il ne tenait aucune arme à la main.
"Que se passe t'il Fraulein Professor ?" demanda-t-il sur un ton courtois.
"J'ai quelque chose qui peut vous intéresser Reichsmarshall..."
Puis se retournant en direction de son habitation, Judith fit signe à Daniel de venir... C'était maintenant à lui de jouer !
- Daniel TakutaiX-Rays
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Ven 13 Nov 2009 - 0:50
Le mutant avait fait comprendre, sans trop la froisser, à l'académicienne que son ton lui déplaisait. Bien qu'un peu blessée, elle continuât sur un autre sujet. Selon ses dires, elle avait étudié les mutants et, pour elle, la mutanté du sanglier ne faisait aucun doute. Le jeune homme avait donc vu juste quand il avait supposé la chose. Il devait bien avouer que le faite qu'une scientifique étaye ses idées ne le dérangeait pas, bien au contraire.
La transformation de Daniel eut son petit effet sur la scientifique. Il offrit même, bien malgré lui, un voyage sur le sol de la bâtisse aux lunettes de la professeur. Daniel s'empressa de les ramasser. Il pouvait montrer, comme ça, à quel point les maoris pouvait se montrer galant. Néanmoins le temps n'était pas à la plaisanterie. L'ethnologue lui indiqua d'abord ou elle pensait qu'il trouverait le sanglier géant. Puis elle commença à lui enseigner les mouvements du Haka Manu. Cette danse aux air de parade nuptiale, mettait Daniel assez mal à l'aise, rien qu'en la voyant effectué par Judith, il se dit que danser cette danse réservée aux femmes allait à l'encontre de ses traditions. Mais selon elle c'était le seul moyen de sortir du camp. Il s'efforça donc d'apprendre scrupuleusement les différents mouvements. Il commença par les exécuter sans carapace puis, ensuite il s'y essaya avec. Ce dernier exercice demandait plus d'énergie qu'il ne l'aurait pensé, ses extensions de lui même avaient un poids non négligeable, mais, au prix de quelques efforts, il finit par maîtriser la danse rituelle.
Après une petite période de repos bien mérité. La scientifique sortit de sa case et alla directement parler au Nazi qui semblait être, en outre du plus intelligent de la troupe, le plus haut gradé. Daniel l'identifia comme Vilsmaier senior, supposition renforcée par le titre de Reichsmarschall que lui donnait le Pr. Misrahi. même s'il était le patron il n'était pas en substance le plus dangereux des Neo-Nazis. Les soldats armés, une bonne dizaine aux bas mots, lui causait beaucoup plus d'angoisse. Il décida donc de se rapprocher le plus possible, et le plus vite possible, du haut gradé espérant bien que les bidasses n'oserait pas tirer en direction de leur chef. Quand la femme lui fit signe, il sortit de l'habitation, paré d'une superbe carapace, laissant ses épaules et ses hanches libres de leurs mouvements, puis il fit quelques pas rapides vers le groupe du Reichsmarschall. une fois à distance honorable, il entama la chorégraphie tout en gardant un oeil sur les gardes armés. Il prit bien soin de se rapprocher de plus en plus de Vislmaier. une fois la danse achevée, il jeta un regard périphérique pour voir si Kentucky Bones ne se déciderait pas à apparaître au plus mauvais moment.
La transformation de Daniel eut son petit effet sur la scientifique. Il offrit même, bien malgré lui, un voyage sur le sol de la bâtisse aux lunettes de la professeur. Daniel s'empressa de les ramasser. Il pouvait montrer, comme ça, à quel point les maoris pouvait se montrer galant. Néanmoins le temps n'était pas à la plaisanterie. L'ethnologue lui indiqua d'abord ou elle pensait qu'il trouverait le sanglier géant. Puis elle commença à lui enseigner les mouvements du Haka Manu. Cette danse aux air de parade nuptiale, mettait Daniel assez mal à l'aise, rien qu'en la voyant effectué par Judith, il se dit que danser cette danse réservée aux femmes allait à l'encontre de ses traditions. Mais selon elle c'était le seul moyen de sortir du camp. Il s'efforça donc d'apprendre scrupuleusement les différents mouvements. Il commença par les exécuter sans carapace puis, ensuite il s'y essaya avec. Ce dernier exercice demandait plus d'énergie qu'il ne l'aurait pensé, ses extensions de lui même avaient un poids non négligeable, mais, au prix de quelques efforts, il finit par maîtriser la danse rituelle.
Après une petite période de repos bien mérité. La scientifique sortit de sa case et alla directement parler au Nazi qui semblait être, en outre du plus intelligent de la troupe, le plus haut gradé. Daniel l'identifia comme Vilsmaier senior, supposition renforcée par le titre de Reichsmarschall que lui donnait le Pr. Misrahi. même s'il était le patron il n'était pas en substance le plus dangereux des Neo-Nazis. Les soldats armés, une bonne dizaine aux bas mots, lui causait beaucoup plus d'angoisse. Il décida donc de se rapprocher le plus possible, et le plus vite possible, du haut gradé espérant bien que les bidasses n'oserait pas tirer en direction de leur chef. Quand la femme lui fit signe, il sortit de l'habitation, paré d'une superbe carapace, laissant ses épaules et ses hanches libres de leurs mouvements, puis il fit quelques pas rapides vers le groupe du Reichsmarschall. une fois à distance honorable, il entama la chorégraphie tout en gardant un oeil sur les gardes armés. Il prit bien soin de se rapprocher de plus en plus de Vislmaier. une fois la danse achevée, il jeta un regard périphérique pour voir si Kentucky Bones ne se déciderait pas à apparaître au plus mauvais moment.
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Ven 13 Nov 2009 - 1:36
Les soldats se raidirent l'espace d'un instant en voyant débouler Daniel et sa carapace. Néanmoins, Vilsmaier leur fit signe de laisser leurs armes tranquilles.
Ainsi, le jeune maori put réaliser en toute quiétude son Haka de femme... sous les regards ébahis de la tripotée de paramilitaires. Une chance pour Misrahi et Daniel : Kentucky Bones ne pointa pas le bout de son nez.
Une fois ceci fait, Vilsmaier commenta simplement :
"On m'avait parlé d'un sanglier... Décidément ces maoris semblent bien ignorants. Quoi qu'il en soit..."
Il sortit son pistolet d'ordonnance de son holster et le pointa sur Daniel.
"Quoi qu'il en soit, vous allez me conduire à l'endroit où vous avez caché votre butin, jeune dégénéré"
Le Professeur lança un regard compatissant à Daniel... Et serra les dents. Espérant qu'il saurait choisir judicieusement sa réponse !
Ainsi, le jeune maori put réaliser en toute quiétude son Haka de femme... sous les regards ébahis de la tripotée de paramilitaires. Une chance pour Misrahi et Daniel : Kentucky Bones ne pointa pas le bout de son nez.
Une fois ceci fait, Vilsmaier commenta simplement :
"On m'avait parlé d'un sanglier... Décidément ces maoris semblent bien ignorants. Quoi qu'il en soit..."
Il sortit son pistolet d'ordonnance de son holster et le pointa sur Daniel.
"Quoi qu'il en soit, vous allez me conduire à l'endroit où vous avez caché votre butin, jeune dégénéré"
Le Professeur lança un regard compatissant à Daniel... Et serra les dents. Espérant qu'il saurait choisir judicieusement sa réponse !
- Daniel TakutaiX-Rays
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Mer 18 Nov 2009 - 1:35
Tout c'était passé comme dans leur plans, jusque là. ILe jeune maori était sortis de la hutte sans se faire trouer la peau par les sbire. Aucun australien à chapeau, ou sa progéniture à chevelure azurée, n'avait débarqué comme un cheveux sur la soupe, dans le but de sauver Daniel. Il avait effectué la chorégraphie sans acros, donc il restait crédible dans le rôle du monstre kidnappeur de femme maori. Tellement d'ailleurs que Vilsmaier le mit en joue en l'exhortant de lui donner le trésor. Le mutant se dit à se moment précis que tous les films était bien peu crédible, quand on est un humain normalement constitué et que quelqu'un, Nazi ou pas, vous braque un canon de 9 mm en plein visage, vous ne jouez pas les marioles. Loins de là. Il lança un regard rapide vers l'éminence grise qui avait concocté ce plan. Elle ne semblait pas être en mesure de faire baisser son arme au Reichsmarschall. C'était à lui et rien qu'à lui d'agir. Il déglutit péniblement, et se racla la gorge en réfléchissant à ce quoi Kentucky Bones aurait donné le nom de bobard crédible. Puis Daniel se lança, il dit avec le plus de contenance qu'un Homme pouvait garder quand il était en tête à tête avec un révolver.
Heu, c'est à dire que... C'est les femmes du village qui l'on. Et croyez-moi, elles sont à un endroit duquel elles nous verrait arriver à 1 km à la ronde. heum... Si vous êtes avec moi, elles auront déguerpis depuis un moment, quand on arrivera dans leur cachette.
Toujours aussi à l'aise, il prit la peine de jeter un regard périphérique sur les gardes ou une hypothétique apparition providentielle (n'importe quoi qui puisse le sortir de cette situation), ou non (Kentucky Bones). Et il continua.
De toute façon, vous seriez déçu. J'ai vu le coffret, il ne contient que les cendres d'un grand chef, elles ont beaucoup de valeurs pour les maoris de New-Plymouth. Mais que ce soit coffret ou son contenu ça n'a quasiment pas de valeurs sur le marché. Le coffret date, tout au plus, du début des années 2000 et il est tous ce qui à de plus ordinaire. Non, honnêtement il ne vaut pas le mal que vous vous donnez pour lui.
Heu, c'est à dire que... C'est les femmes du village qui l'on. Et croyez-moi, elles sont à un endroit duquel elles nous verrait arriver à 1 km à la ronde. heum... Si vous êtes avec moi, elles auront déguerpis depuis un moment, quand on arrivera dans leur cachette.
Toujours aussi à l'aise, il prit la peine de jeter un regard périphérique sur les gardes ou une hypothétique apparition providentielle (n'importe quoi qui puisse le sortir de cette situation), ou non (Kentucky Bones). Et il continua.
De toute façon, vous seriez déçu. J'ai vu le coffret, il ne contient que les cendres d'un grand chef, elles ont beaucoup de valeurs pour les maoris de New-Plymouth. Mais que ce soit coffret ou son contenu ça n'a quasiment pas de valeurs sur le marché. Le coffret date, tout au plus, du début des années 2000 et il est tous ce qui à de plus ordinaire. Non, honnêtement il ne vaut pas le mal que vous vous donnez pour lui.
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Jeu 19 Nov 2009 - 18:57
Le Reichsmarshall écouta l'air passablement agacé les explications de Daniel. Une fois que le jeune garçon eut fini de parler, Vilsmaier prit quelques instants pour cogiter. Puis, un sourire s'afficha sur ses lèvres...
"Ainsi, le trésor ne vaudrait rien ?"
Il baissa son arme.
"Ces imbéciles de Maoris m'auraient fait déplacer pour rien ?"
L'officier était fortement agité. Comme si ça travaillait dur dans sa tête. Puis, remettant son arme dans son holster, il regarda Daniel avec un sourire mauvais.
"Très bien, disons que je vous crois... Après tout, vous êtes bien connus pour collectionner les babioles sans intérêt. Nous allons vous laisser tranquille..."
Il se tourna vers ses hommes et leur cria :
"Mettez le village à sac, volez, pillez ce que vous voulez et brûlez le reste ! N'utilisez vos armes qu'en cas de résistance !"
Les hommes se dispersèrent et commencèrent leur travail de pillage. Vilsmaier sourit à nouveau :
"Fraulein Professor, Monsieur le Sanglier, je vous déconseille de tenter quoi que ce soit. Si vous êtes en vie, c'est que je n'ai aucun intérêt à vous faire abattre... Ne me donnez pas de bonnes raisons de changer d'avis..."
Il ajouta d'un ton sec :
"Maintenant déguerpissez de cet endroit !"
Judith accompagna Daniel un peu en dehors de la ville. Ils retrouvèrent Kentucky et Vicky non loin du véhicule que le trio avait emprunté pour venir jusqu'ici... Tout le monde se regarda en chien de faïence. Il ne restait plus qu'à décider que faire : quitter les lieux ou tenter quelque chose ? Si Kentucky prôna la prudence et Judith l'action en dépit du fait qu'elle n'avait pas la moindre idée d'un commencement de début de plan, Vicky demeura muette, observant avec de petits yeux le jeune Daniel qui semblait être devenu comme un modèle pour elle...
"Ainsi, le trésor ne vaudrait rien ?"
Il baissa son arme.
"Ces imbéciles de Maoris m'auraient fait déplacer pour rien ?"
L'officier était fortement agité. Comme si ça travaillait dur dans sa tête. Puis, remettant son arme dans son holster, il regarda Daniel avec un sourire mauvais.
"Très bien, disons que je vous crois... Après tout, vous êtes bien connus pour collectionner les babioles sans intérêt. Nous allons vous laisser tranquille..."
Il se tourna vers ses hommes et leur cria :
"Mettez le village à sac, volez, pillez ce que vous voulez et brûlez le reste ! N'utilisez vos armes qu'en cas de résistance !"
Les hommes se dispersèrent et commencèrent leur travail de pillage. Vilsmaier sourit à nouveau :
"Fraulein Professor, Monsieur le Sanglier, je vous déconseille de tenter quoi que ce soit. Si vous êtes en vie, c'est que je n'ai aucun intérêt à vous faire abattre... Ne me donnez pas de bonnes raisons de changer d'avis..."
Il ajouta d'un ton sec :
"Maintenant déguerpissez de cet endroit !"
Judith accompagna Daniel un peu en dehors de la ville. Ils retrouvèrent Kentucky et Vicky non loin du véhicule que le trio avait emprunté pour venir jusqu'ici... Tout le monde se regarda en chien de faïence. Il ne restait plus qu'à décider que faire : quitter les lieux ou tenter quelque chose ? Si Kentucky prôna la prudence et Judith l'action en dépit du fait qu'elle n'avait pas la moindre idée d'un commencement de début de plan, Vicky demeura muette, observant avec de petits yeux le jeune Daniel qui semblait être devenu comme un modèle pour elle...
- Daniel TakutaiX-Rays
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Mer 25 Nov 2009 - 1:43
Le Nazi semblait marcher dans son histoire. Et ça, c'était une bonne chose. Ses élucubrations de trésor sans valeur avait fait mouche, et bientôt Daniel vit le révolver retourner dans son fourreau. Le maori poussa intérieurement un grand, très grand, soupire de soulagement. Mais les insinuations du Reichsmarschall, comme quoi les maori serrait des idiots qui collectionnaient les babioles, amenèrent le mutant à bomber le torse dans un geste digne, tout en pensant.
Crétin!
L'américain lança à ses hommes de piller le village. Daniel voulu intervenir mais se ravisa quand il entendit la suite des paroles du pseudo-militaire. Il proposait à lui et Judith de déguerpir, sans,d'ailleurs vraiment leur laisser le choix. c'est donc la mort dans l'âme qu'il monta retrouver les Bones, père et fille. Après un leger moment de tention silencieuse. les langues, celle des adultes pour être précis, se délièrent. Qu'allaient-ils faire pour la suite des événements. Entre l'immobilisme prôné par l'australien, l'action préconisé par la scientifique et le silence assourdissant de Vicky qui posait sur le maori un regard qu'il eu du mal à décrypter. était-ce de l'admiration? Quoi qu'il en soit, Daniel prit inconsciemment le rôle de médiateur en disant.
On ne peut quand même pas se tourner les pouces en regardant ces salauds mettre à sac village. On ne peut pas non-plus intervenir ses types nous troueraient la peau en moins de 2. Voila ce que je propose. Si quelqu'un à un moyen de contacter la police, un portable ou quelque chose dans le genre, c'est le moment de le faire. Jusque-là on ne pouvait leur reprocher leur mauvais goût vestimentaire, mais maintenant c'est du vol en bande organisé. Et je pense que le sanglier pourrait peut-être les occuper assez longtemps pour que la police débarque. mais pour cela il faut aller le chercher et l'en convaincre. Je pense que je suis celui qui à le plus de chance de réussir, d'une je suis maori et en plus je suis mutant. Mais je préférerait y aller avec une femme ce sanglier semble féministe. Vicky? tu m'accompagnerait?
Reprenant son souffle, il regarda la réaction de ses comparses. puis il ajouta.
Vous en dites quoi?
Crétin!
L'américain lança à ses hommes de piller le village. Daniel voulu intervenir mais se ravisa quand il entendit la suite des paroles du pseudo-militaire. Il proposait à lui et Judith de déguerpir, sans,d'ailleurs vraiment leur laisser le choix. c'est donc la mort dans l'âme qu'il monta retrouver les Bones, père et fille. Après un leger moment de tention silencieuse. les langues, celle des adultes pour être précis, se délièrent. Qu'allaient-ils faire pour la suite des événements. Entre l'immobilisme prôné par l'australien, l'action préconisé par la scientifique et le silence assourdissant de Vicky qui posait sur le maori un regard qu'il eu du mal à décrypter. était-ce de l'admiration? Quoi qu'il en soit, Daniel prit inconsciemment le rôle de médiateur en disant.
On ne peut quand même pas se tourner les pouces en regardant ces salauds mettre à sac village. On ne peut pas non-plus intervenir ses types nous troueraient la peau en moins de 2. Voila ce que je propose. Si quelqu'un à un moyen de contacter la police, un portable ou quelque chose dans le genre, c'est le moment de le faire. Jusque-là on ne pouvait leur reprocher leur mauvais goût vestimentaire, mais maintenant c'est du vol en bande organisé. Et je pense que le sanglier pourrait peut-être les occuper assez longtemps pour que la police débarque. mais pour cela il faut aller le chercher et l'en convaincre. Je pense que je suis celui qui à le plus de chance de réussir, d'une je suis maori et en plus je suis mutant. Mais je préférerait y aller avec une femme ce sanglier semble féministe. Vicky? tu m'accompagnerait?
Reprenant son souffle, il regarda la réaction de ses comparses. puis il ajouta.
Vous en dites quoi?
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Ven 27 Nov 2009 - 3:08
C'est complétement abasourdi que Bones, l'aventurier le pilleur de tombes écouta le long discours de Daniel : visiblement, il était impressionné par le courage du jeune maori. Et c'est donc, sans demander son reste, que Kentucky se porta volontaire pour aller prévenir les secours. Il grimpa dans la jeep et fila en quatrième vitesse en direction de la ville la plus proche.
Vicky, quant à elle, sourit timidement.
"Avec toi, j'ai confiance" se contenta-t-elle de murmurer.
Un léger toussotement se fit entendre.
"Allez, en route les jeunes ! J'ai ma petite idée de l'endroit où doit se terrer ce sanglier... Et je dois admettre que je suis impatiente de voir ce qu'il a pu bien faire des femmes du village..."
Après une petite heure de marche à pieds en plein soleil, une grande et imposante bâtisse de pierres apparut à l'horizon.
"Il s'agit d'un vieux temple" commenta sobrement la sociologue. "Il m'a l'air imprenable. Il ne reste plus qu'à espérer que notre ami sanglier n'ait pas d'intentions belliqueuses..."
Pénétrant dans la cour intérieure de l'édifice, Daniel put apercevoir de ci, delà, des silhouettes furtives déguerpir à leur arrivée. Pire même ! Il ne pouvait se départir de la désagréable sensation d'être épié...
L'intérieur du bâtiment était plus moderne : le maître des lieux avaient du engager des frais pour rénover le temple. Quoi qu'il en fut, le groupe progressait maintenant le long d'un corridor... Attirés par du bruit sur leur gauche, ils aperçurent une femme s'entraîner à un art martial quelconque dans une petite pièce attenante au couloir où ils se trouvaient.
Au fur et à mesure de leur progression, Daniel et ses amis aperçurent de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, en kimono ou en tenue de sport, affairées à pratiquer toutes sortes d'exercices physiques - boxe française, karaté, kung fu, kickboxing, full contact - dans des petites pièces aménagées le long du couloir. Elles ne faisaient guère attention à leur présence. Tout au plus leur jetaient-elles des regards mauvais.
Finalement, ils déboulèrent dans une pièce bien plus grande que les autres : il s'agissait une fois de plus d'une vaste salle d'entraînement. A peine Daniel, Vicky et Judith avaient posé le pied dans la pièce que deux jeunes filles armées de sabres allèrent se poster autour d'eux.
Une voix retentit sur leur droite...
"J'ai été prévenue de votre venue... Le chemin est long depuis le village. Mais si les femmes peuvent rester, Monsieur, je crains que vous n'ayez perdu votre temps. Toutes ces femmes sont sous ma protection aussi elles ne rentreront pas chez vous. Bien entendu, si vous êtes prêt à négocier... Je peux toujours vous écouter..."
Le ton était glacial et le regard perçant. La femme ne rigolait pas.
Vicky, quant à elle, sourit timidement.
"Avec toi, j'ai confiance" se contenta-t-elle de murmurer.
Un léger toussotement se fit entendre.
"Allez, en route les jeunes ! J'ai ma petite idée de l'endroit où doit se terrer ce sanglier... Et je dois admettre que je suis impatiente de voir ce qu'il a pu bien faire des femmes du village..."
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Après une petite heure de marche à pieds en plein soleil, une grande et imposante bâtisse de pierres apparut à l'horizon.
"Il s'agit d'un vieux temple" commenta sobrement la sociologue. "Il m'a l'air imprenable. Il ne reste plus qu'à espérer que notre ami sanglier n'ait pas d'intentions belliqueuses..."
Pénétrant dans la cour intérieure de l'édifice, Daniel put apercevoir de ci, delà, des silhouettes furtives déguerpir à leur arrivée. Pire même ! Il ne pouvait se départir de la désagréable sensation d'être épié...
L'intérieur du bâtiment était plus moderne : le maître des lieux avaient du engager des frais pour rénover le temple. Quoi qu'il en fut, le groupe progressait maintenant le long d'un corridor... Attirés par du bruit sur leur gauche, ils aperçurent une femme s'entraîner à un art martial quelconque dans une petite pièce attenante au couloir où ils se trouvaient.
Au fur et à mesure de leur progression, Daniel et ses amis aperçurent de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, en kimono ou en tenue de sport, affairées à pratiquer toutes sortes d'exercices physiques - boxe française, karaté, kung fu, kickboxing, full contact - dans des petites pièces aménagées le long du couloir. Elles ne faisaient guère attention à leur présence. Tout au plus leur jetaient-elles des regards mauvais.
Finalement, ils déboulèrent dans une pièce bien plus grande que les autres : il s'agissait une fois de plus d'une vaste salle d'entraînement. A peine Daniel, Vicky et Judith avaient posé le pied dans la pièce que deux jeunes filles armées de sabres allèrent se poster autour d'eux.
Une voix retentit sur leur droite...
"J'ai été prévenue de votre venue... Le chemin est long depuis le village. Mais si les femmes peuvent rester, Monsieur, je crains que vous n'ayez perdu votre temps. Toutes ces femmes sont sous ma protection aussi elles ne rentreront pas chez vous. Bien entendu, si vous êtes prêt à négocier... Je peux toujours vous écouter..."
Le ton était glacial et le regard perçant. La femme ne rigolait pas.
- Daniel TakutaiX-Rays
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Jeu 3 Déc 2009 - 0:20
Les idées de Daniel semblèrent faire l'unanimité, un en tout cas devaient paraitre les moins pire du lot, car personne n'y trouva grand chose à redire. Kentucky Bones le surpris même à monter avec empressement dans la jeep pour avertir les autorités, que se type soit si aussi enclin à aider les maoris l'aurais presque rendu suspect. Quoi qu'il en soit il se retrouva entouré de ces deux camardes. L'une montrait un détachement qu'il aurait probablement trouvé pénible si elle ne lui avait pas souri, et l'autre montrait une impatience qui l'aurait probablement agacé si elle ne flattait pas son égo de preneur de décision. Ils partirent donc, tous le trois, gaiement vers le repère supposé du sanglier. Après une heure de route, le sus-nommé repère supposé s'avéra être un temple abandonné. La scientifique de service ne put visiblement pas s'empêcher de rajouter que la bâtisse était imprenable. De toute manière ils n'avaient pas l'intention d'assiéger le temple, juste d'aller discuter avec le sanglier.
Le groupe pénétra dans l'enceinte, dès qu'ils eurent passer le pas de la porte, le jeune maori eu le sentiment d'être épié. Il se pencha vers les deux femmes en disant tout bas.
Je suis le seul à avoir l'impression que big brother, ou big sister, nous observe?
Les trois compères entrèrent dans le bâtiment à proprement parler. Tout ce qu'ils en virent était un long couloir qui desservait plusieurs petites salles L'ensemble revêtait une atmosphère de modernité qui dénotait avec l'impression qu'on en avait de l'exterieur. En passant devant les salles, ils virent des femmes s'entrainer à toute sorte de sport de combat. Daniel n'aimeit pas ça. Et ne se priva pour commenter.
Je sais pas ce que ces femmes préparent ici, mais ça ne me dit rien qui vaille.
les visiteur virent enfin le fond du corridor qui était en fait aussi une salle d'entrainement. Il ne fallu pas longtemps pour que le groupe se retrouve sous la menace de deux lames. Ca faisait déjà deux fois en quelques heures qu'on le menaçait d'une arme et c'était deux de trop. S'il avait été d'humeur à plaisanter il aurait probablement remarquer que la menace d'un katana n'était pas vraiment plus agréable que celle d'un 9 mm.
La cheftaine de se camp d'entrainement, car c'était bien de cela qu'il s'agissait, s'adressa à eux avec à peu près autant de délicatesse qu'un doberman, "invitant" Daniel à quitter les lieu en le prévenant que les femmes était sous sa protection et que par conséquent elle ne le suivrait pas vers New-Plymouth. Daniel hésita à la couper pour lui demander, non sans ironie, si les femme était retenu prisonnière. mais il se rappela qu'environ un kilo de metal tranchant était pointé vers lui. Il s'efforça donc de répondre le plus diplomatiquement possible.
Je suppose que vous êtes ce fameux sanglier, enfin cette fameuse laie...
Il se tourna vers la scientifique et demanda.
c'est bien comme ça qu'on dit?
Puis il enchaina ensuite.
En fait, euhhh, nous ne sommes pas venu pour ramener les femmes de force. Nous venons vous demander de l'aide, les Nazi de Vilsmaier pillent le village. La police a été prévenu mais il risque d'avoir déguerpi quand elle arrivera... Sauf si vous les retenez. En ce qui concerne les femmes du village, je demande simplement à pouvoir leur parler libre à elle de me suivre si elle le désire ensuite. Je demande cela comme un service car je n'ais absolument rien à offrir en échange si ce n'est notre gratitude.
Il se tût et attendit ensuite la réponse en gardant un oeil sur les femmes au sabres.
Le groupe pénétra dans l'enceinte, dès qu'ils eurent passer le pas de la porte, le jeune maori eu le sentiment d'être épié. Il se pencha vers les deux femmes en disant tout bas.
Je suis le seul à avoir l'impression que big brother, ou big sister, nous observe?
Les trois compères entrèrent dans le bâtiment à proprement parler. Tout ce qu'ils en virent était un long couloir qui desservait plusieurs petites salles L'ensemble revêtait une atmosphère de modernité qui dénotait avec l'impression qu'on en avait de l'exterieur. En passant devant les salles, ils virent des femmes s'entrainer à toute sorte de sport de combat. Daniel n'aimeit pas ça. Et ne se priva pour commenter.
Je sais pas ce que ces femmes préparent ici, mais ça ne me dit rien qui vaille.
les visiteur virent enfin le fond du corridor qui était en fait aussi une salle d'entrainement. Il ne fallu pas longtemps pour que le groupe se retrouve sous la menace de deux lames. Ca faisait déjà deux fois en quelques heures qu'on le menaçait d'une arme et c'était deux de trop. S'il avait été d'humeur à plaisanter il aurait probablement remarquer que la menace d'un katana n'était pas vraiment plus agréable que celle d'un 9 mm.
La cheftaine de se camp d'entrainement, car c'était bien de cela qu'il s'agissait, s'adressa à eux avec à peu près autant de délicatesse qu'un doberman, "invitant" Daniel à quitter les lieu en le prévenant que les femmes était sous sa protection et que par conséquent elle ne le suivrait pas vers New-Plymouth. Daniel hésita à la couper pour lui demander, non sans ironie, si les femme était retenu prisonnière. mais il se rappela qu'environ un kilo de metal tranchant était pointé vers lui. Il s'efforça donc de répondre le plus diplomatiquement possible.
Je suppose que vous êtes ce fameux sanglier, enfin cette fameuse laie...
Il se tourna vers la scientifique et demanda.
c'est bien comme ça qu'on dit?
Puis il enchaina ensuite.
En fait, euhhh, nous ne sommes pas venu pour ramener les femmes de force. Nous venons vous demander de l'aide, les Nazi de Vilsmaier pillent le village. La police a été prévenu mais il risque d'avoir déguerpi quand elle arrivera... Sauf si vous les retenez. En ce qui concerne les femmes du village, je demande simplement à pouvoir leur parler libre à elle de me suivre si elle le désire ensuite. Je demande cela comme un service car je n'ais absolument rien à offrir en échange si ce n'est notre gratitude.
Il se tût et attendit ensuite la réponse en gardant un oeil sur les femmes au sabres.
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Sam 5 Déc 2009 - 2:34
La guerrière assise en tailleur fronça les sourcils. Elle avait l'air toujours aussi peu aimable que lors de leur arrivée, mais tout du moins elle écoutait ce que Daniel avait à dire. Judith voulut parler au soutien de la requête du jeune maori mais la fille l'arrêta d'un signe de la main.
Cela pouvait vouloir dire que les carottes étaient cuites... Après tous les deux gardes du corps avaient toujours leur sabres pointés sur le trio. Mais quand la main de la guerrière retomba, la femme reprit :
"Oui, je suis la Laie Dansante qui a présidé à l'exode de femmes, filles, mères et grands-mères de ce village. Les hommes ne respectaient plus les traditions ni les femmes. Une épouse, une mère, une fille n'appartient qu'à elle même. Et ce camp d'entraînement leur a réappris ce qu'est la fierté d'être une femme libre et libérée de l'emprise patriarcale et phallocratique. Il n'y a pas de retour en arrière possible..."
Marquant une légère pause, elle précisa néanmoins :
"Toutefois, si le sexisme nous indispose, les hommes en uniforme qui pillent, tuent et terrifient sont objectivement les adversaires de toutes libertés. Nous nous lèverons et nous nous battrons pour le village. Non pas pour mendier une place un peu meilleure. Mais bel et bien pour faire reculer l'injustice, la discrimination et la violence partout où elles se trouvent"
La femme se leva et se présenta :
"Je m'appelle Katia Zinoviev et j'ai parcouru de nombreuses terres pour prêcher la parole des femmes. Jeune maori, rappelle toi ce jour où les femmes ont combattu pour la liberté"
Elle se saisit d'une de ses nombreuses armes et la leva au ciel, poussant un hurlement guerrier !
Quelques consignes furent rapidement aboyées et tout le bâtiment fut mis en branlebas de combat. Le sentier de la guerre allait être emprunté.
Et c'est donc une troupe de femmes armées de sabres, de katana, d'arcs ou de simples bâtons qui convergea vers le village... Menée par une laie géante et à l'air féroce !
L'assaut eut lieu de nuit. Alors que les nazis étaient pour la plupart saouls et débraillés. La surprise de l'attaque et la violence des belligérantes surpris la majeure partie des hommes en armes. Rapidement le sang coula et les corps tombèrent au sol, inertes. Les survivants, dont le Reichsmarshall, contraints de se rendre à l'évidence, déguerpirent aussi vite qu'ils le purent...
Quand la bataille prit fin, les rues étaient ensanglantées. Et les hommes du village étaient à la fois soulagés d'être libérés et terrifiés par les guerrières.
Vicky pressa un peu plus sa main contre celle de Daniel. Et Judith se désola d'avoir assisté à tant de violence. Surtout que la chef des femmes semblaient s'en délecter.
"Quel affreux gâchis" commenta la sociologue. "Comment, au nom de la liberté, peut on arriver à tuer sans remord ni hésitation ? Je crois que mon temps ici touche à sa fin. Et que je vais rentrer aux États-Unis"
Elle observa Daniel, d'un air attendri.
"Jeune homme, je ne sais pas si vous souhaitez vous attarder ici... Mais, je ne sais pas... Vous ne me semblez pas à votre place. Je vous verrais plus dans cette école que j'avais visité une fois... Aux USA. Où l'on vous apprendrait à ne pas devenir comme cette femme..."
Cela pouvait vouloir dire que les carottes étaient cuites... Après tous les deux gardes du corps avaient toujours leur sabres pointés sur le trio. Mais quand la main de la guerrière retomba, la femme reprit :
"Oui, je suis la Laie Dansante qui a présidé à l'exode de femmes, filles, mères et grands-mères de ce village. Les hommes ne respectaient plus les traditions ni les femmes. Une épouse, une mère, une fille n'appartient qu'à elle même. Et ce camp d'entraînement leur a réappris ce qu'est la fierté d'être une femme libre et libérée de l'emprise patriarcale et phallocratique. Il n'y a pas de retour en arrière possible..."
Marquant une légère pause, elle précisa néanmoins :
"Toutefois, si le sexisme nous indispose, les hommes en uniforme qui pillent, tuent et terrifient sont objectivement les adversaires de toutes libertés. Nous nous lèverons et nous nous battrons pour le village. Non pas pour mendier une place un peu meilleure. Mais bel et bien pour faire reculer l'injustice, la discrimination et la violence partout où elles se trouvent"
La femme se leva et se présenta :
"Je m'appelle Katia Zinoviev et j'ai parcouru de nombreuses terres pour prêcher la parole des femmes. Jeune maori, rappelle toi ce jour où les femmes ont combattu pour la liberté"
Elle se saisit d'une de ses nombreuses armes et la leva au ciel, poussant un hurlement guerrier !
Quelques consignes furent rapidement aboyées et tout le bâtiment fut mis en branlebas de combat. Le sentier de la guerre allait être emprunté.
Et c'est donc une troupe de femmes armées de sabres, de katana, d'arcs ou de simples bâtons qui convergea vers le village... Menée par une laie géante et à l'air féroce !
L'assaut eut lieu de nuit. Alors que les nazis étaient pour la plupart saouls et débraillés. La surprise de l'attaque et la violence des belligérantes surpris la majeure partie des hommes en armes. Rapidement le sang coula et les corps tombèrent au sol, inertes. Les survivants, dont le Reichsmarshall, contraints de se rendre à l'évidence, déguerpirent aussi vite qu'ils le purent...
Quand la bataille prit fin, les rues étaient ensanglantées. Et les hommes du village étaient à la fois soulagés d'être libérés et terrifiés par les guerrières.
Vicky pressa un peu plus sa main contre celle de Daniel. Et Judith se désola d'avoir assisté à tant de violence. Surtout que la chef des femmes semblaient s'en délecter.
"Quel affreux gâchis" commenta la sociologue. "Comment, au nom de la liberté, peut on arriver à tuer sans remord ni hésitation ? Je crois que mon temps ici touche à sa fin. Et que je vais rentrer aux États-Unis"
Elle observa Daniel, d'un air attendri.
"Jeune homme, je ne sais pas si vous souhaitez vous attarder ici... Mais, je ne sais pas... Vous ne me semblez pas à votre place. Je vous verrais plus dans cette école que j'avais visité une fois... Aux USA. Où l'on vous apprendrait à ne pas devenir comme cette femme..."
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Jeu 10 Déc 2009 - 1:18
La scientifique était sur le point de parler mais leur interlocutrice la rabroua sans ménagement, en temps normal la situation aurait fair sourire le maori, ce n'était surement pas tout les jours que Judith Misrahi était rembarrée de la sorte. Daniel trouvait ça étrange de que cette féministe convainque le laisse parler et empêche une femme de le faire à son tour. Ca ne pouvait vouloir dire qu'une seule chose, la décision était prise. Daniel ne savait pas si sa carapace résisterait à un coup de Katana, mais il se prépara a couvrir son abdomen de cette couche protectrice. Si les gardes recevait l'ordre de les executer, cette transformation impromptue aurait surement le mérite de les distraire assez longtemps pour frapper le premier. La mutante, a défaut de donner l'ordre au femmes d'attaquer, lui répondit, sur le même ton dont l'amabilité frisait le zéro absolu, qu'elle accèderait à sa requête, en tout les cas à la moitié de cette dernière, Daniel voulu protester mais une paire de sabres les menaçaient toujours et la laie n'aimait probablement pas qu'on la contredise. Il garda donc pour lui ses propos vindicatif sur le kidnapping et l'endoctrinement.
Les gestes qui suivirent surprirent Daniel, et sans doute ses compagnes, la femme saisit une arme et la brandit en poussant un hurlement qui, bien que puissant, n'avait rien d'exceptionnel. Néanmoins il sonna aux oreilles du maori comme un cri bestial qui était à deux doigts de lui faire adhérer aux thèses selon lesquelles les mutant était des sous-humains. Il eu un effet totalement contraire sur ces sbires. Elles se désintéressèrent du trio, et partirent donner des ordres aux femmes qui n'aurait pas compris, ou entendu, le hurlement. Il ne fallu pas longtemps pour que le régiment féministe se mette en route toutes armes dehors menée par une laie géante. Leur intentions réelles n'était pas encore très claires mais le mutant imaginait le pire...
Mais le pire était encore pire que la plus mauvaise des éventualité que Daniel s'était autorisé à pensé. La vue du village n'était certes déjà pas des plus réjouissante, mais celle d'une horde de femmes enragées par dieu sait quel discours de la générale-porcine...
Voyant, ce qui allait arriver Daniel ne put s'empêcher de hurler, de s'époumoner même.
Non! NON! NOOOOOoooooOOON! Arrêtez!
Ces cris n'eurent pas le moindre effet. Et au moment de l'impact, le maori ne réussit pas à garder les yeux ouvert. Il sentit des doigts, qu'il supposa être ceux de Vicky, venir s'emmêler avec les seins. Difficile de dire lequel des deux jeunes gens serra le premier la main de l'autre, mais les deux mains s'étreignirent. Des larmes commencèrent à rouler sur les joue du mutant. Il feula sans vraiment savoir si des son sortait de sa bouche, ou si seules ses lèvres bougeaient.
Ils ne le méritaient pas.Ces hommes étaient peut-être des imbéciles, des pillards, des sales types... Mais personne ne merite de mourir comme ça. Personne!
Ce fût Judith qui le ramena sur terre. Elle lui proposait de rejoindre une école aux Etats-Unis. C'est un Daniel interloqué qui répondit.
Vous voulez dire, une école pour les mutants? C'est bien ça? En fait j'ai toujours voulu, depuis que j'ai découvert mes pouvoirs, trouver un endroit où je pourrais apprendre à m'en servir pour faire le bien. Et cette école me semble en effet parfaite. Mais ce que j'ai vu ce soir me fait penser qu'il faut trouver un moyens d'arrêter cette femme. Envoyer des policier serrait les condamner à une mort certaine. Non, seul des mutants peuvent stopper sa folie. Je pense que les gens de cette école pourrons m'aider à trouver à qui m'adresser
Il osa enfin poser son regard sur le village en contre-bas, res rue jonché de corps meurtri, les flaque de sang encore frais un peut partout. Daniel en eu un haut-le-coeur. Il se retourna vers la scientifique et lui dit.
Laissez moi juste quelques jours, le temps de récupérer quelques affaires et de prévenir ma famille, mon frère est au courant, mais mes parent ne savent rien de ma mutation. Et si ça ne vous dérange pas j'aimerait que vous soyez là pour les rassurer, leur expliquer que je ne suis pas un monstre, comme cette laie. D'accord?
Le maori se sentait comme un petit garçon, mais ça n'avait pas vraiment d'importance. Son regard devait surement en dire plus long que tout autre long discours. Il se tût et attendit la réponse de Judith.
Les gestes qui suivirent surprirent Daniel, et sans doute ses compagnes, la femme saisit une arme et la brandit en poussant un hurlement qui, bien que puissant, n'avait rien d'exceptionnel. Néanmoins il sonna aux oreilles du maori comme un cri bestial qui était à deux doigts de lui faire adhérer aux thèses selon lesquelles les mutant était des sous-humains. Il eu un effet totalement contraire sur ces sbires. Elles se désintéressèrent du trio, et partirent donner des ordres aux femmes qui n'aurait pas compris, ou entendu, le hurlement. Il ne fallu pas longtemps pour que le régiment féministe se mette en route toutes armes dehors menée par une laie géante. Leur intentions réelles n'était pas encore très claires mais le mutant imaginait le pire...
Mais le pire était encore pire que la plus mauvaise des éventualité que Daniel s'était autorisé à pensé. La vue du village n'était certes déjà pas des plus réjouissante, mais celle d'une horde de femmes enragées par dieu sait quel discours de la générale-porcine...
Voyant, ce qui allait arriver Daniel ne put s'empêcher de hurler, de s'époumoner même.
Non! NON! NOOOOOoooooOOON! Arrêtez!
Ces cris n'eurent pas le moindre effet. Et au moment de l'impact, le maori ne réussit pas à garder les yeux ouvert. Il sentit des doigts, qu'il supposa être ceux de Vicky, venir s'emmêler avec les seins. Difficile de dire lequel des deux jeunes gens serra le premier la main de l'autre, mais les deux mains s'étreignirent. Des larmes commencèrent à rouler sur les joue du mutant. Il feula sans vraiment savoir si des son sortait de sa bouche, ou si seules ses lèvres bougeaient.
Ils ne le méritaient pas.Ces hommes étaient peut-être des imbéciles, des pillards, des sales types... Mais personne ne merite de mourir comme ça. Personne!
Ce fût Judith qui le ramena sur terre. Elle lui proposait de rejoindre une école aux Etats-Unis. C'est un Daniel interloqué qui répondit.
Vous voulez dire, une école pour les mutants? C'est bien ça? En fait j'ai toujours voulu, depuis que j'ai découvert mes pouvoirs, trouver un endroit où je pourrais apprendre à m'en servir pour faire le bien. Et cette école me semble en effet parfaite. Mais ce que j'ai vu ce soir me fait penser qu'il faut trouver un moyens d'arrêter cette femme. Envoyer des policier serrait les condamner à une mort certaine. Non, seul des mutants peuvent stopper sa folie. Je pense que les gens de cette école pourrons m'aider à trouver à qui m'adresser
Il osa enfin poser son regard sur le village en contre-bas, res rue jonché de corps meurtri, les flaque de sang encore frais un peut partout. Daniel en eu un haut-le-coeur. Il se retourna vers la scientifique et lui dit.
Laissez moi juste quelques jours, le temps de récupérer quelques affaires et de prévenir ma famille, mon frère est au courant, mais mes parent ne savent rien de ma mutation. Et si ça ne vous dérange pas j'aimerait que vous soyez là pour les rassurer, leur expliquer que je ne suis pas un monstre, comme cette laie. D'accord?
Le maori se sentait comme un petit garçon, mais ça n'avait pas vraiment d'importance. Son regard devait surement en dire plus long que tout autre long discours. Il se tût et attendit la réponse de Judith.
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Re: [Nouvelle-Zélande]Fête chez les maoris.
Jeu 10 Déc 2009 - 3:50
Judith acquiesça aux paroles de Daniel. Tout comme Vicky. Le trio s'éclipsa en toute hâte du village. A pieds. Il ne fallait pas faire de vieux os en ces terres dévastées...
Le trajet fut silencieux. Et nocturne. Comment, alors que la voute céleste illuminait leur progression, pouvait-on imaginer que sur Terre, il se passait pareilles horreurs ? Comment, au nom d'idées si belles - comme la parité homme-femme - pouvait-on en arriver à commettre le pire ?
L'image de la femme guerrière au regard de glace hanterait longtemps les trois compagnons d'infortune. Vicky ne semblait plus la même, comme définitivement arrachée au monde de l'enfance... Et Judith, qui avait du en voir d'autres, paraissait plus vieille de dix ans sous la lumière lunaire.
Les pieds endoloris, affamés, assoiffés, ils arrivèrent enfin au petit matin dans un village. Ils avaient marché toute la nuit. Ils étaient à bout de force.
Sur place, ils retrouvèrent Kentucky Bones qui semblait avoir passé une bonne partie de ces dernières heures à se saouler pour tenter de se convaincre qu'il était un héros. Un peu gêné d'être mis en face de sa propre lâcheté, il récupéra sa fille et s'en alla au volant de sa jeep. Vicky se retourna plusieurs fois pour ne pas oublier le visage de Daniel.
"On dirait que vous avez un ticket" plaisanta Judith d'une petite voix. C'était la phrase la plus longue qu'elle avait prononcé depuis qu'ils avaient quitté les lieux du massacre.
De retour chez lui en compagnie du Professeur Misrahi, Daniel passa quelque jour à se reconstruire. La sociologue était de bonne compagnie. Et plutôt aimable quand elle le voulait. Elle fut également présente à ses côtés quand la mutation du jeune homme fut mise sur le tapis. Ses parents parurent ne pas comprendre au premier abord... Puis, ils acceptèrent, avec l'aide et les mots de Judith... Sa mutation tout comme son désir de partir aux USA pour étudier, c'était sa vie. Et ça, un guerrier maori ne pouvait que le respecter.
Les adieux furent déchirants mais tout le monde se promit de s'écrire le plus régulièrement possible.
C'était maintenant le début d'une nouvelle vie pour Daniel.
[Et c'est avec ce post que s'achève ta (longue) phase de courtier. Tu peux ajouter 2 points à ton barême. Et pour la suite, c'est ici !. N'oublie pas de bien lire les posts au dessus de celui du courtier ! Bonne continuation ^^]
Le trajet fut silencieux. Et nocturne. Comment, alors que la voute céleste illuminait leur progression, pouvait-on imaginer que sur Terre, il se passait pareilles horreurs ? Comment, au nom d'idées si belles - comme la parité homme-femme - pouvait-on en arriver à commettre le pire ?
L'image de la femme guerrière au regard de glace hanterait longtemps les trois compagnons d'infortune. Vicky ne semblait plus la même, comme définitivement arrachée au monde de l'enfance... Et Judith, qui avait du en voir d'autres, paraissait plus vieille de dix ans sous la lumière lunaire.
Les pieds endoloris, affamés, assoiffés, ils arrivèrent enfin au petit matin dans un village. Ils avaient marché toute la nuit. Ils étaient à bout de force.
Sur place, ils retrouvèrent Kentucky Bones qui semblait avoir passé une bonne partie de ces dernières heures à se saouler pour tenter de se convaincre qu'il était un héros. Un peu gêné d'être mis en face de sa propre lâcheté, il récupéra sa fille et s'en alla au volant de sa jeep. Vicky se retourna plusieurs fois pour ne pas oublier le visage de Daniel.
"On dirait que vous avez un ticket" plaisanta Judith d'une petite voix. C'était la phrase la plus longue qu'elle avait prononcé depuis qu'ils avaient quitté les lieux du massacre.
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De retour chez lui en compagnie du Professeur Misrahi, Daniel passa quelque jour à se reconstruire. La sociologue était de bonne compagnie. Et plutôt aimable quand elle le voulait. Elle fut également présente à ses côtés quand la mutation du jeune homme fut mise sur le tapis. Ses parents parurent ne pas comprendre au premier abord... Puis, ils acceptèrent, avec l'aide et les mots de Judith... Sa mutation tout comme son désir de partir aux USA pour étudier, c'était sa vie. Et ça, un guerrier maori ne pouvait que le respecter.
Les adieux furent déchirants mais tout le monde se promit de s'écrire le plus régulièrement possible.
C'était maintenant le début d'une nouvelle vie pour Daniel.
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