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New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Ven 19 Nov 2010 - 21:36
Cela faisait maintenant quelques jours qu'elle y pensait de plus en plus sérieusement. Étant une mutante, elle était un danger potentiel pour elle même et pour ses parents. Elle avait beau chercher une solution, il ne lui en venait aucune. Après tout en restant seule elle ne pourrais sans doute jamais contrôler son pouvoir de manière parfaite. Sa dernière chance était un institut dont elle avait vaguement entendu parler. Le pire allait sans doute être la confrontation avec ses parents. Elle doutait fortement que ces derniers la laisse simplement y aller par elle même, voir même d'y aller tout court. Pesant le pour et le contre, elle décida de laisser un petit mot sur son lit, "d'emprunté " la carte de crédit de son père et d'aller prendre le monorail.
Ravalant son appréhension, elle prépara à la hâte une petite valise contenant des vêtements d'été et deux ou trois tenue d'hiver, et écrivit son petit mot.
Papa et maman, je suis désolée de partir comme ça mais en restant ici, je finirait par nous mettre tous en danger. J'ai trouver un endroit où je devrait pouvoir apprendre à mieux contrôler...
" Heuuu pouvoirs ? Capacités ? Mmmmmm "
Après avoir mordiller son style, elle continua sa petite lettre.
mes pouvoirs. Promis je serais très prudente sur la route et je vous téléphone dès que je suis arrivée. Bisous... Crystal
Elle déposa ensuite la lettre bien en évidence et ferma sa valise. En bas, elle récupéra la carte de crédit de son père et la rangea avec soin dans la poche intérieure de son manteau. Et enfin, elle ouvrit la porte... Après être resté quelques secondes sur le seuil, elle se motiva avec un petit * Aller ma vieille * et se dirigea vers la gare. Heureusement pour elle, elle se souvenait encore du chemin et les rues n'avaient pas beaucoup changée en un an. Levant la tête de temps à autre, elle estimait qu'il lui faudrait une bonne demi-heure pour atteindre cette dernière. Prenant son courage à deux mains, elle serra la main sur la poignée de sa valise et avança d'un pas résolut.
Perdu dans ses pensées alors qu'elle cheminait, elle tentait de se remémorer son ancien appartement, ses anciens amis... En bref, quelle était sa vie avant de découvrir qu'elle était une mutante. Et curieusement, le peu de souvenir flouté qu'elle possédait semblais appartenir à un autre fille. Une fille insouciante, sociale, gaie... Avec un petit haussement du coin droit de sa bouche, elle se mit à pensée qu'elle avait bien changée en seulement une petite année. Et elle dut réprimé un éclat de rire en pensant au fait qu'elle avait fait un magnifique stylo en chocolat. Paradoxalement, ce stylo était le lien entre son moi actuel et l'ancienne Crystal. Car ce stylo lui avait révélé sa véritable nature. Mais grâce à ses parents, elle avait finalement acceptée le fait qu'elle soit une mutante. Mais quand à savoir si c'était un bien ou un mal, seul l'avenir lui répondra.
Relevant de nouveau la tête, elle se rendit compte qu'elle voyait la gare à présent. Regonflée, elle accéléra le pas et se trouva bientôt devant le guichet.
Ravalant son appréhension, elle prépara à la hâte une petite valise contenant des vêtements d'été et deux ou trois tenue d'hiver, et écrivit son petit mot.
Papa et maman, je suis désolée de partir comme ça mais en restant ici, je finirait par nous mettre tous en danger. J'ai trouver un endroit où je devrait pouvoir apprendre à mieux contrôler...
" Heuuu pouvoirs ? Capacités ? Mmmmmm "
Après avoir mordiller son style, elle continua sa petite lettre.
mes pouvoirs. Promis je serais très prudente sur la route et je vous téléphone dès que je suis arrivée. Bisous... Crystal
Elle déposa ensuite la lettre bien en évidence et ferma sa valise. En bas, elle récupéra la carte de crédit de son père et la rangea avec soin dans la poche intérieure de son manteau. Et enfin, elle ouvrit la porte... Après être resté quelques secondes sur le seuil, elle se motiva avec un petit * Aller ma vieille * et se dirigea vers la gare. Heureusement pour elle, elle se souvenait encore du chemin et les rues n'avaient pas beaucoup changée en un an. Levant la tête de temps à autre, elle estimait qu'il lui faudrait une bonne demi-heure pour atteindre cette dernière. Prenant son courage à deux mains, elle serra la main sur la poignée de sa valise et avança d'un pas résolut.
Perdu dans ses pensées alors qu'elle cheminait, elle tentait de se remémorer son ancien appartement, ses anciens amis... En bref, quelle était sa vie avant de découvrir qu'elle était une mutante. Et curieusement, le peu de souvenir flouté qu'elle possédait semblais appartenir à un autre fille. Une fille insouciante, sociale, gaie... Avec un petit haussement du coin droit de sa bouche, elle se mit à pensée qu'elle avait bien changée en seulement une petite année. Et elle dut réprimé un éclat de rire en pensant au fait qu'elle avait fait un magnifique stylo en chocolat. Paradoxalement, ce stylo était le lien entre son moi actuel et l'ancienne Crystal. Car ce stylo lui avait révélé sa véritable nature. Mais grâce à ses parents, elle avait finalement acceptée le fait qu'elle soit une mutante. Mais quand à savoir si c'était un bien ou un mal, seul l'avenir lui répondra.
Relevant de nouveau la tête, elle se rendit compte qu'elle voyait la gare à présent. Regonflée, elle accéléra le pas et se trouva bientôt devant le guichet.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Ven 19 Nov 2010 - 22:38
[Bonjour et bienvenue sur AX. Je m’occuperai de ta phase courtier, et donc du décor, des PNJ et de l’action. N’oublie pas de lier ta feuille de personnage dans ta signature. Bon jeu !]
« Bonjour, z’allez où mad’moiselle ? »
Le guichetier, arborant un grand sourire niais, te faisait face derrière son poste de travail. Il avait l’air en joie, contrairement à ses collègues des guichets d’à côté, qui tiraient la tronche jusque par terre. Il fallait dire que ce n’était pas une heure de grande affluence, dans l’achat de billet, et que les quelques personnes qui peuplaient le hall de la gare étaient juste en train d’attendre leur transport, vraisemblablement.
Il y avait un groupe de petites vieilles, dans un coin, qui piaillaient les derniers ragots people du coin. Près de la sortie vers les quais, un groupe de jeunes « zonaient » tranquille, autour d’un vélo.
Les autres n’étaient que quelques usagers de passage, à la mine sombre et sérieuse, employés ou fonctionnaires qui rentraient tôt de leur boulot.
« Bonjour, z’allez où mad’moiselle ? »
Le guichetier, arborant un grand sourire niais, te faisait face derrière son poste de travail. Il avait l’air en joie, contrairement à ses collègues des guichets d’à côté, qui tiraient la tronche jusque par terre. Il fallait dire que ce n’était pas une heure de grande affluence, dans l’achat de billet, et que les quelques personnes qui peuplaient le hall de la gare étaient juste en train d’attendre leur transport, vraisemblablement.
Il y avait un groupe de petites vieilles, dans un coin, qui piaillaient les derniers ragots people du coin. Près de la sortie vers les quais, un groupe de jeunes « zonaient » tranquille, autour d’un vélo.
Les autres n’étaient que quelques usagers de passage, à la mine sombre et sérieuse, employés ou fonctionnaires qui rentraient tôt de leur boulot.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Ven 19 Nov 2010 - 23:09
Avec un petit mouvement des lèvres qui semblais vouloir ressembler à un sourire, elle sa main pour tapoter son menton. Décidant d'opter pour la réponse la plus simple, elle répondit simplement : " Un billet aller-retours pour Salem-center s'il vous plait ."
Jetant un rapide coup d'oeil aux alentours, elle remarqua la mine sombre de la plupart des gens. Et de ce qu'elle en voyait, deux groupes semblaient se détacher du lot. Sortant machinalement la carte de crédit de la poche de sa veste, elle observa à la dérobé les vieilles et les jeunes. Observant également les alentours, elle cherchait un chemin qui lui permettrait d'éviter les deux groupes et d'être tranquille le temps que le transport arrive. Tout en n'ayant pas l'air d'éviter qui que ce soit. Relevant la tête, elle observa alors le guichetier en essayant de sourire à nouveau d'une manière naturelle. le problème étant qu'il n'avait sans doute rien de vraiment naturel. Préférant éviter une éventuelle altercation, elle risquait de trop en faire et de se faire remarquer encore plus qu'en ayant agit naturellement. Elle opta donc pour une sorte d'entre-deux en équilibrant son attitude distante et les pâles tentatives de sourires. Mais évita soigneusement de les adresser aux jeunes et aux vieilles...
Jetant un rapide coup d'oeil aux alentours, elle remarqua la mine sombre de la plupart des gens. Et de ce qu'elle en voyait, deux groupes semblaient se détacher du lot. Sortant machinalement la carte de crédit de la poche de sa veste, elle observa à la dérobé les vieilles et les jeunes. Observant également les alentours, elle cherchait un chemin qui lui permettrait d'éviter les deux groupes et d'être tranquille le temps que le transport arrive. Tout en n'ayant pas l'air d'éviter qui que ce soit. Relevant la tête, elle observa alors le guichetier en essayant de sourire à nouveau d'une manière naturelle. le problème étant qu'il n'avait sans doute rien de vraiment naturel. Préférant éviter une éventuelle altercation, elle risquait de trop en faire et de se faire remarquer encore plus qu'en ayant agit naturellement. Elle opta donc pour une sorte d'entre-deux en équilibrant son attitude distante et les pâles tentatives de sourires. Mais évita soigneusement de les adresser aux jeunes et aux vieilles...
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Ven 19 Nov 2010 - 23:23
« Salem-Center ? Faites attention hein là-bas, mad’moiselle, y paraitrait que c’est plein d’mutants. Y sont dangereux, même. Z’avez pas lu les journaux ? »
Ce disant, il pointa la carte dans sa machine, sans pour autant introduire le montant… Il avait visiblement envie de faire plus ample connaissance.
« Enfin non pas qu’j’les aime pas, mais vous savez, y sont différents. Z’avez quel âge ? Non parce que j’sais pas si j’dois vous faire la réduction jeune ou pas. »
La seule voie pour aller aux quais passait par le groupe de jeunes. L’autre possibilité était de ressortir de la gare par la porte d’entrée, près de laquelle se situaient les petites vieilles, et de faire tout le tour du bâtiment pour accéder au monorail par l’extérieur.
Du côté des jeunes, Crystal ne semblait pas passer inaperçue : plusieurs regards étaient tournés vers elle, et un type de la bande frappa l’épaule d’un autre, en beuglant assez peu discrètement.
« Z’y va, comment t’mates la meuf, toi ! »
Ce à quoi l’intéressé répondit assez vivement, le repoussant.
« Ta gueule, va ! T’es pas mieux ! »
Loin de mal le prendre, le premier des deux continua à te lorgner également, alors que les trois autres de la bande parlaient d’autre chose.
Ce disant, il pointa la carte dans sa machine, sans pour autant introduire le montant… Il avait visiblement envie de faire plus ample connaissance.
« Enfin non pas qu’j’les aime pas, mais vous savez, y sont différents. Z’avez quel âge ? Non parce que j’sais pas si j’dois vous faire la réduction jeune ou pas. »
La seule voie pour aller aux quais passait par le groupe de jeunes. L’autre possibilité était de ressortir de la gare par la porte d’entrée, près de laquelle se situaient les petites vieilles, et de faire tout le tour du bâtiment pour accéder au monorail par l’extérieur.
Du côté des jeunes, Crystal ne semblait pas passer inaperçue : plusieurs regards étaient tournés vers elle, et un type de la bande frappa l’épaule d’un autre, en beuglant assez peu discrètement.
« Z’y va, comment t’mates la meuf, toi ! »
Ce à quoi l’intéressé répondit assez vivement, le repoussant.
« Ta gueule, va ! T’es pas mieux ! »
Loin de mal le prendre, le premier des deux continua à te lorgner également, alors que les trois autres de la bande parlaient d’autre chose.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Ven 19 Nov 2010 - 23:50
Après son observation des lieux, elle put retenir in-extremis un soupir. Voulant se donner du temps pour réfléchir, elle décida de faire un brin de causette avec le guichetier. De toutes façon elle n'avait pas vraiment le choix tant qu'elle n'aurait pas récupéré la carte et le billet.
" J'ai 16 ans. Et merci de l'information mais je sais déjà qu'il y a des mutants la-bas. On fais un devoir sur eux en classe donc si je veux avoir la meilleur note, je doit les observer de près. Pour le billet retour, serait il possible de l'avoir pour demain après-midi ? Entre 16 et 17 heures ça serais parfait."
Elle fit un nouveau sourire en essayant de se représenter les différentes possibilités. Les plus pessimistes étant que les jeunes allaient non seulement l'aborder mais en plus lui tenir la jambe. Mais quelque part, ça pourrait être un bon exercice pour apprendre à renouer des contactes. Et de l'autre coté, le guichetier pouvait avoir des tendances... Enfin elle se comprenait. Jetant un coup d'oeil, elle chercha le tableau d'affichage afin de savoir dans combien de temps le prochain monorail pour Salem center allait arriver. Priant mentalement pour que le délais soit compris entre deux et cinq minutes.
D'un autre coté, en cas de délais plus long, elle pourrais avoir le loisir de tester sa conversation et sa capacité à se " camouflé " parmi les humains normaux. Enfin... dans tous les cas elle serait rapidement fixée : Advienne que pourra.
" J'ai 16 ans. Et merci de l'information mais je sais déjà qu'il y a des mutants la-bas. On fais un devoir sur eux en classe donc si je veux avoir la meilleur note, je doit les observer de près. Pour le billet retour, serait il possible de l'avoir pour demain après-midi ? Entre 16 et 17 heures ça serais parfait."
Elle fit un nouveau sourire en essayant de se représenter les différentes possibilités. Les plus pessimistes étant que les jeunes allaient non seulement l'aborder mais en plus lui tenir la jambe. Mais quelque part, ça pourrait être un bon exercice pour apprendre à renouer des contactes. Et de l'autre coté, le guichetier pouvait avoir des tendances... Enfin elle se comprenait. Jetant un coup d'oeil, elle chercha le tableau d'affichage afin de savoir dans combien de temps le prochain monorail pour Salem center allait arriver. Priant mentalement pour que le délais soit compris entre deux et cinq minutes.
D'un autre coté, en cas de délais plus long, elle pourrais avoir le loisir de tester sa conversation et sa capacité à se " camouflé " parmi les humains normaux. Enfin... dans tous les cas elle serait rapidement fixée : Advienne que pourra.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 0:08
À tes paroles, le guichetier haussa les sourcils, surpris.
« 16 ans et une carte de crédit ? Vos parents savent que vous êtes là ? »
Il avisa la carte de crédit, et le nom qui y était inscrit.
« Vous comptez vraiment passer la nuit là-bas ? Parce que les mutants des journaux là, c’est en plein jour. J’ose même pas imaginer ce que ça donne la nuit ! Quelle idée d’faire un travail là-dessus. Y savent plus quoi inventer dans les écoles. Enfin savez, moi c’que j’en dis… »
La transaction n’avait donc toujours pas avancé… Et tu pus voir avec stupeur que le prochain départ en direction de Salem Center était dans 1 minute… Il allait falloir faire vite. Les jeunes te regardaient tous les cinq, maintenant. Et murmuraient au lieu de beugler.
« 16 ans et une carte de crédit ? Vos parents savent que vous êtes là ? »
Il avisa la carte de crédit, et le nom qui y était inscrit.
« Vous comptez vraiment passer la nuit là-bas ? Parce que les mutants des journaux là, c’est en plein jour. J’ose même pas imaginer ce que ça donne la nuit ! Quelle idée d’faire un travail là-dessus. Y savent plus quoi inventer dans les écoles. Enfin savez, moi c’que j’en dis… »
La transaction n’avait donc toujours pas avancé… Et tu pus voir avec stupeur que le prochain départ en direction de Salem Center était dans 1 minute… Il allait falloir faire vite. Les jeunes te regardaient tous les cinq, maintenant. Et murmuraient au lieu de beugler.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 0:44
" Ouaaaaaa le monorail part dans une minute je vais être en retaaaaaard "
La c'était le pompon. Surtout en prenant en compte le fait qu'elle n'entendais plus les jeunes. Il ne lui restait plus beaucoup d'alternatives. Partir sans valises ni carte de crédits, prier pour que le guichetier se décide au plus vite et que les jeunes restes tranquilles... Prenant une grande inspiration, elle se prépara mentalement. Agrippant fermement sa valise, elle lança un regard suppliant au guichetier pour qu'il se dépêche. Mais dans le même temps, elle tenta de se préparer mentalement à rater le monorail. Un accès d'émotions fortes en plein milieu de la foule n'était pas conseiller dans son état.
* S'il y-a quelqu'un la haut je vous en suppliiiiiiie faites que le monorail parte en retaaaaard *
Après la supplication, elle était à court d'idée. La seule chose sur laquelle elle pouvais se reposé, c'était la chance. Et elle allait avoir besoin d'une bonne dose de chance pour pouvoir effectuer le chemin avec le billet et la carte de crédit en main. Le tout dans les temps...
* Rhaaaa mais pourquoi je me suis pas décidée vingts minutes plus tôt moi... *
Elle tenta le coup du regard de cocker battu, avec la prière, c'était la sa dernière arme... Si ça échouait, ses chances de faire un départ discret fonderais plus vite que la neige au soleil. Elle tenta tant bien que mal de garder son rythme cardiaque à la normal en attendant de voir si le destin avait décidé de se montré clément envers elle...
La c'était le pompon. Surtout en prenant en compte le fait qu'elle n'entendais plus les jeunes. Il ne lui restait plus beaucoup d'alternatives. Partir sans valises ni carte de crédits, prier pour que le guichetier se décide au plus vite et que les jeunes restes tranquilles... Prenant une grande inspiration, elle se prépara mentalement. Agrippant fermement sa valise, elle lança un regard suppliant au guichetier pour qu'il se dépêche. Mais dans le même temps, elle tenta de se préparer mentalement à rater le monorail. Un accès d'émotions fortes en plein milieu de la foule n'était pas conseiller dans son état.
* S'il y-a quelqu'un la haut je vous en suppliiiiiiie faites que le monorail parte en retaaaaard *
Après la supplication, elle était à court d'idée. La seule chose sur laquelle elle pouvais se reposé, c'était la chance. Et elle allait avoir besoin d'une bonne dose de chance pour pouvoir effectuer le chemin avec le billet et la carte de crédit en main. Le tout dans les temps...
* Rhaaaa mais pourquoi je me suis pas décidée vingts minutes plus tôt moi... *
Elle tenta le coup du regard de cocker battu, avec la prière, c'était la sa dernière arme... Si ça échouait, ses chances de faire un départ discret fonderais plus vite que la neige au soleil. Elle tenta tant bien que mal de garder son rythme cardiaque à la normal en attendant de voir si le destin avait décidé de se montré clément envers elle...
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 2:55
Le guichetier, à tes yeux implorants et à ta supplique insistante, te fit un sourire jovial, mais calculateur.
« Oooh mais ne vous en faites donc pas comme ça, y’a des monorails tous les quart d’heure en partance pour Salem Center. Mais si vous y t’nez, j’vais vous donner rapidement vot’ billet. Si en échange, vous me donner vot’ prénom et vot’ numéro… »
Pour devancer ta manœuvre, il introduisit la carte dans le lecteur, et le billet sortit de la machine. Il s’en empara et te les tendis… Mais gardant les doigts assez serrés pour que tu ne lui arraches pas des mains. En gare, le train était annoncé, et déjà on pouvait entendre le son du monorail approcher… Le groupe de jeunes s’était étrangement positionné, par rapport à la porte : deux de chaque côté, et un juste devant. Comme s’ils montaient la garde, même si leur allure était loin d’être celle de gardes…
« Oooh mais ne vous en faites donc pas comme ça, y’a des monorails tous les quart d’heure en partance pour Salem Center. Mais si vous y t’nez, j’vais vous donner rapidement vot’ billet. Si en échange, vous me donner vot’ prénom et vot’ numéro… »
Pour devancer ta manœuvre, il introduisit la carte dans le lecteur, et le billet sortit de la machine. Il s’en empara et te les tendis… Mais gardant les doigts assez serrés pour que tu ne lui arraches pas des mains. En gare, le train était annoncé, et déjà on pouvait entendre le son du monorail approcher… Le groupe de jeunes s’était étrangement positionné, par rapport à la porte : deux de chaque côté, et un juste devant. Comme s’ils montaient la garde, même si leur allure était loin d’être celle de gardes…
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 14:35
D'entré de jeu, elle avait commit une petite erreur. Elle n'avait pas regarder les horaires du monorail. Mais si le guichetier disait vrai, le prochain serais dans un quart d'heure. De ce coté la elle était rassurée. Après un rapide coup d'oeil, elle put voir que les jeunes venaient de se mettre en place pour une magnifique interception. Ceci réduisait sa marge de manœuvre d'une façon assez drastique. Elle se résigna donc à prendre le monorail suivant et décida de jouer le jeu avec le guichetier contre une petite rétribution de sa part. Elle fit mine de réfléchir et décrocha un petit sourire en s'approchant de manière à ce que ses mains soit hors de vu du groupe qui semblais l'attendre.
" mmm D'accord mais à une condition. "
Elle approcha un peu son visage et se mit à chuchoter.
" Je vous donnerais mon numéro si vous trouver le moyen de m'escorter sur les quais, j'ai l'impression que le groupe la-bas veux... M'ennuyer. "
Elle désigna discrètement le groupe de jeune du doigt, toujours en s'assurant que ces derniers ne puissent pas voir le mouvement. Et puis d'un autre coté, il avait une tête sympathique le guichetier... Elle refit un petit sourire en attendant de savoir si il allait pouvoir jouer les anges-gardiens durant son service.
" mmm D'accord mais à une condition. "
Elle approcha un peu son visage et se mit à chuchoter.
" Je vous donnerais mon numéro si vous trouver le moyen de m'escorter sur les quais, j'ai l'impression que le groupe la-bas veux... M'ennuyer. "
Elle désigna discrètement le groupe de jeune du doigt, toujours en s'assurant que ces derniers ne puissent pas voir le mouvement. Et puis d'un autre coté, il avait une tête sympathique le guichetier... Elle refit un petit sourire en attendant de savoir si il allait pouvoir jouer les anges-gardiens durant son service.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 17:56
Alors que le guichetier te donnait ton billet et ta carte de crédit pour conclure votre petit marché, le bruit du monorail arrivant en gare se fit entendre, à l’extérieur.
« Ah mais c’est qu’peux pas quitter mon poste comme ça moi. Mais j’veille sur vous, j’appelle la sécurité si directement si j’vois qu’il y a un truc louche. Pis demain soir, r’passer par ici après votre petit reportage sur les mutants, là. On pourra peut-être aller boire un verre, si vous êtes libre. »
Le guichetier, bien plus âgé que toi, semblait croire qu’il avait toutes ses chances. Et de nouveau, il se para de son plus beau sourire niais. Les cinq jeunes étaient toujours là, en train de te regarder. Dehors, sur les quais, du monde sortait du train. Une grosse dizaine de personnes arrivèrent dans la gare, bloquant la porte qui menait aux quais. Le jeune qui était devant se recula près de ses potes, sans te quitter du regard.
Mais un autre évènement survint : la porte d’entrée, de l’autre côté de la pièce, venait de s’ouvrir avec fracas sur une jeune fille étrange et pressée, aux cheveux blancs et noirs, qui ne comptait visiblement pas rater son train, tout comme toi.
Dans sa précipitation, elle bouscula l’une des vieilles rombières et celle-ci cria sévèrement :
« Ah ! Saleté ! »
Ses amies s’écrièrent alors, en voyant la jeune femme très gênée de son acte, et coupée dans son élan :
« C’est une mutante ! On se fait agresser ! »
Le guichetier, prompt à réagir, comme promis, appela presque aussitôt la sécurité, alors que la demoiselle venait de se prendre un coup de sac à main.
« Allo, une sale mutante agresse un groupe de personnes âgées dans le hall de la gare, intervention demandée ! »
« Ah mais c’est qu’peux pas quitter mon poste comme ça moi. Mais j’veille sur vous, j’appelle la sécurité si directement si j’vois qu’il y a un truc louche. Pis demain soir, r’passer par ici après votre petit reportage sur les mutants, là. On pourra peut-être aller boire un verre, si vous êtes libre. »
Le guichetier, bien plus âgé que toi, semblait croire qu’il avait toutes ses chances. Et de nouveau, il se para de son plus beau sourire niais. Les cinq jeunes étaient toujours là, en train de te regarder. Dehors, sur les quais, du monde sortait du train. Une grosse dizaine de personnes arrivèrent dans la gare, bloquant la porte qui menait aux quais. Le jeune qui était devant se recula près de ses potes, sans te quitter du regard.
Mais un autre évènement survint : la porte d’entrée, de l’autre côté de la pièce, venait de s’ouvrir avec fracas sur une jeune fille étrange et pressée, aux cheveux blancs et noirs, qui ne comptait visiblement pas rater son train, tout comme toi.
Dans sa précipitation, elle bouscula l’une des vieilles rombières et celle-ci cria sévèrement :
« Ah ! Saleté ! »
Ses amies s’écrièrent alors, en voyant la jeune femme très gênée de son acte, et coupée dans son élan :
« C’est une mutante ! On se fait agresser ! »
Le guichetier, prompt à réagir, comme promis, appela presque aussitôt la sécurité, alors que la demoiselle venait de se prendre un coup de sac à main.
« Allo, une sale mutante agresse un groupe de personnes âgées dans le hall de la gare, intervention demandée ! »
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Sam 20 Nov 2010 - 18:39
Les quelques secondes venaient de lui en apprendre beaucoup. La plus importante étant qu'elle avait bien fait de se cacher, eut égard au " sale mutante " du guichetier. Mais même si son instinct lui criait de courir et de profité de la distraction pour prendre le monorail, elle savait déjà ce qu'elle allait faire. A savoir se compliquer drôlement la vie et sacrifié ses vêtements. Que la jeune fille soit ou non une mutante importait peu. Si les gens pensaient avoir affaire à une mutante, elle était dans de beaux draps. Elle récupéra prestement son billet et sa carte pour les mettre dans sa poche. Dans le même mouvement elle courut en direction de la fille et l'agrippa par le bras avant de tirer en direction du monorail.
" Si on ne peut pas attraper celui-la, ça va être chaud alors t'a intérêt à courir vite. "
Elle lâcha prise et se mit à courir en direction du monorail tout en armant son bras. Son plan était tout ce qu'il y avait de plus simple : Courir très vite et si un des jeune tentait de l'intercepter, lui envoyer sa valise dessus. Après tout, ce n'était que des vêtements... Comparer aux ennuis qui s'annonçaient si jamais la sécurité pensait attraper une mutante, ça restait peu de choses. Il ne lui restait plus qu'a espérer qu'elles arriveraient jusqu'au monorail avant que les portes ne se fermes.
" Si on ne peut pas attraper celui-la, ça va être chaud alors t'a intérêt à courir vite. "
Elle lâcha prise et se mit à courir en direction du monorail tout en armant son bras. Son plan était tout ce qu'il y avait de plus simple : Courir très vite et si un des jeune tentait de l'intercepter, lui envoyer sa valise dessus. Après tout, ce n'était que des vêtements... Comparer aux ennuis qui s'annonçaient si jamais la sécurité pensait attraper une mutante, ça restait peu de choses. Il ne lui restait plus qu'a espérer qu'elles arriveraient jusqu'au monorail avant que les portes ne se fermes.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Dim 21 Nov 2010 - 3:06
Tout alla très vite, en effet. À l’instant où tu t’emparais de la fille aux cheveux blancs, la sécurité débarquait dans le hall des guichets. Ils se précipitèrent aussitôt vers vous. Heureusement, tu avais eu le réflexe de fuir, et malgré le coup de sac à main de grandd-mère dans les côtes, tu parvins sans mal à sortir la jeune femme de son guet-append de vieilles rombières. Au moins elles ne vous poursuivraient pas. Ce qui n’était pas le cas des gardiens, qui se mirent à courir à votre suite. L’un d’entre eux cria même :
« Arrêtez, revenez ici ! »
Il allait maintenant falloir passer par cette fameuse porte gardée par les cinq jeunes. Ils étaient fort réactifs par rapport aux évènements, contrairement à la plupart des usagers présents, qui regardaient avec surprise la scène, ou la niaient totalement, filant vite dans leur petit confort personnel loin de toute violence. Ils s’étaient dressés et avançaient, menaçants… Mais ce n’était pas vous qu’ils menaçaient. Ils vous permirent même de sortir bien plus vite : ils vous frayèrent un chemin dans la file de gens, et interceptèrent au passage les hommes de la sécurité, pour faire barrage momentanément. Le guichetier restait complètement médusé derrière son comptoir.
Ceci vous permit de sauter sur les quais à l’instant où le bip des portes qui se refermaient se faisait entendre. Fort heureusement, une petite pointe de vitesse eut raison de ça, et vous vous retrouvâtes bientôt dans le monorail, alors que la sécu débarquait eux aussi sur le quai, juste après la fermeture des portes. Vous pouviez vous leur mine déconfite de n’avoir pas pu vous attraper.
Le monorail démarra, et la fille te lança un grand sourire.
« Merci, je pense que tu m’as sortie d’un sacré pétrin… J’m’appelle Ruth, et toi ? C’est dingue ce qui s’est passé hein ? J’y étais pour rien moi… »
« Arrêtez, revenez ici ! »
Il allait maintenant falloir passer par cette fameuse porte gardée par les cinq jeunes. Ils étaient fort réactifs par rapport aux évènements, contrairement à la plupart des usagers présents, qui regardaient avec surprise la scène, ou la niaient totalement, filant vite dans leur petit confort personnel loin de toute violence. Ils s’étaient dressés et avançaient, menaçants… Mais ce n’était pas vous qu’ils menaçaient. Ils vous permirent même de sortir bien plus vite : ils vous frayèrent un chemin dans la file de gens, et interceptèrent au passage les hommes de la sécurité, pour faire barrage momentanément. Le guichetier restait complètement médusé derrière son comptoir.
Ceci vous permit de sauter sur les quais à l’instant où le bip des portes qui se refermaient se faisait entendre. Fort heureusement, une petite pointe de vitesse eut raison de ça, et vous vous retrouvâtes bientôt dans le monorail, alors que la sécu débarquait eux aussi sur le quai, juste après la fermeture des portes. Vous pouviez vous leur mine déconfite de n’avoir pas pu vous attraper.
Le monorail démarra, et la fille te lança un grand sourire.
« Merci, je pense que tu m’as sortie d’un sacré pétrin… J’m’appelle Ruth, et toi ? C’est dingue ce qui s’est passé hein ? J’y étais pour rien moi… »
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Dim 21 Nov 2010 - 4:53
Ne pouvant se contenter que d'un sourire, elle s'en contenta. Après tout, savoir qu'en fin de compte ceux qu'elle prenait pour des ennemis potentiel l'avait aidé, et qu'elles avaient réussi leurs coups la remplissait de joie. Sans compter le fait qu'elle avait toujours sa valise en main.
" Je m'en doute bien mais que veux-tu... Dès que le mot mutant est prononcé, ça prend des proportions énormes... Sinon je m'appelle Crystal, ravie de te rencontrer.
Heureuse d'avoir eut beaucoup de chance, elle remercia discrètement la personne ou la chose qui leurs avaient permit d'échappées aux ennuis. Une pensée lui traversant l'esprit, elle se retourna vers sa compagnon d'infortune et lui fit un grand sourire.
" Avant toutes choses, je ne veux pas savoir si tu est mutantes ou pas. Mais je veux juste te dire que je ne pouvait pas te laisser dans ce pétrin.
Quoi que l'on puisse dire, elle était totalement sincère... Mutante ou pas, personne ne voudrai être " traiter " de mutant depuis que ces derniers avaient été découvert. Mais dans son fort intérieur, elle souhaitais presque que ruth était une une mutante. Ainsi son geste aurait eut encore plus de porté. Mais qu'importe. elle avait agit de la façon qu'elle pensait juste. c'était tout ce qu'il importait pour elle.
" Je m'en doute bien mais que veux-tu... Dès que le mot mutant est prononcé, ça prend des proportions énormes... Sinon je m'appelle Crystal, ravie de te rencontrer.
Heureuse d'avoir eut beaucoup de chance, elle remercia discrètement la personne ou la chose qui leurs avaient permit d'échappées aux ennuis. Une pensée lui traversant l'esprit, elle se retourna vers sa compagnon d'infortune et lui fit un grand sourire.
" Avant toutes choses, je ne veux pas savoir si tu est mutantes ou pas. Mais je veux juste te dire que je ne pouvait pas te laisser dans ce pétrin.
Quoi que l'on puisse dire, elle était totalement sincère... Mutante ou pas, personne ne voudrai être " traiter " de mutant depuis que ces derniers avaient été découvert. Mais dans son fort intérieur, elle souhaitais presque que ruth était une une mutante. Ainsi son geste aurait eut encore plus de porté. Mais qu'importe. elle avait agit de la façon qu'elle pensait juste. c'était tout ce qu'il importait pour elle.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Dim 21 Nov 2010 - 21:18
Ruth opina du chef à tes paroles. En effet, c’est bien la notion de mutant qui avait créé l’incident de la gare. Ruth semblait vraiment soulagée de s’en être tirée sans plus de heurt.
« On va s’asseoir ? »
Vous en aviez pour un petit moment de trajet, et Ruth, sans attendre ta réponse, alla se dénicher un siège. Ça n’était pas très compliqué, le wagon était presque désert. De sa place, elle se tourna vers toi pour te parler à nouveau.
« Pourquoi tu m’as tirée de là ? T’es une mutante, toi ? Tous ces gens qui restaient là, comme ça, sans rien faire ou dire, ça m’dépasse. »
Le train avançait maintenant à vitesse de croisière.
« On va s’asseoir ? »
Vous en aviez pour un petit moment de trajet, et Ruth, sans attendre ta réponse, alla se dénicher un siège. Ça n’était pas très compliqué, le wagon était presque désert. De sa place, elle se tourna vers toi pour te parler à nouveau.
« Pourquoi tu m’as tirée de là ? T’es une mutante, toi ? Tous ces gens qui restaient là, comme ça, sans rien faire ou dire, ça m’dépasse. »
Le train avançait maintenant à vitesse de croisière.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Dim 21 Nov 2010 - 21:31
Regardant Ruth se trouver une place, Crystal se demanda si elle ne ferait pas mieux de se diriger vers un autre wagon. Mais après tout, elle l'avait aider il fallait assumer. Haussant l es épaules, elle se dirigea vers la place de Ruth et posa sa valise dans l'emplacement prévu pour. Après avoir pris place, elle resta pensive quelques secondes, semblant réfléchir à comment tourner sa réponse.
" Mmmm. Franchement j'aurais du mal à te répondre. J'ai juste eut le sentiment que je devait le faire. C'est dur à expliquer.
Elle fit un grand sourire légèrement gênée avant de reprendre. Et après tout elle était une mutante ayant décidée de s'assumer comme telle. Du coup le reste de la réponse décida de sortir naturellement.
" Et oui je suis une mutante. J'espère que ça ne te fais pas peur.
Elle resta ensuite quelques secondes à observer les derniers bâtiments de new-york qui défilaient le long du paysage avant de soupirer.
" Mais je comprend un peu ce que les autres personnes ont du ressentir. Dès qu'on parle de mutants, ça n'engendre que la peur et la haine. Rien qu'a entendre le message, ils ont du perdre tous leurs moyens et se dire que ne rien faire était pour eux la meilleure solution. Même si je ne pense pas que la situation puisse évoluer avec ce genre de pensée... "
Elle repoussa un petit soupir et tenta de s'installer plus confortablement dans le siège. Elle essaya de cacher son anxiété en se plongeant dans la contemplation du paysage en attendant de voir la réaction de Ruth. Réaction qu'elle redoutait quelque peu, allez savoir pourquoi...
" Mmmm. Franchement j'aurais du mal à te répondre. J'ai juste eut le sentiment que je devait le faire. C'est dur à expliquer.
Elle fit un grand sourire légèrement gênée avant de reprendre. Et après tout elle était une mutante ayant décidée de s'assumer comme telle. Du coup le reste de la réponse décida de sortir naturellement.
" Et oui je suis une mutante. J'espère que ça ne te fais pas peur.
Elle resta ensuite quelques secondes à observer les derniers bâtiments de new-york qui défilaient le long du paysage avant de soupirer.
" Mais je comprend un peu ce que les autres personnes ont du ressentir. Dès qu'on parle de mutants, ça n'engendre que la peur et la haine. Rien qu'a entendre le message, ils ont du perdre tous leurs moyens et se dire que ne rien faire était pour eux la meilleure solution. Même si je ne pense pas que la situation puisse évoluer avec ce genre de pensée... "
Elle repoussa un petit soupir et tenta de s'installer plus confortablement dans le siège. Elle essaya de cacher son anxiété en se plongeant dans la contemplation du paysage en attendant de voir la réaction de Ruth. Réaction qu'elle redoutait quelque peu, allez savoir pourquoi...
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Lun 22 Nov 2010 - 20:24
Ruth écouta chacune de tes paroles avec intérêt.
« Non t’inquiète, ça m’fait pas peur. Ça doit être cool d’être mutant… »
Mais elle se ravisa aussitôt :
« Enfin, pas pour les inconvénients sociaux, bien sûr. Mais avoir un pouvoir, ça doit être chouette. J’ai envie de devenir mutante moi… T’as pas un truc, toi qui l’es ? J’sais pas, un moyen pour que ce gêne là se développe ? »
Et elle poursuivit :
« Ouais, c’est vrai que c’est naze, que les mutants soient considérés comme ça. C’est un peu comme un cercle sans fin : les humains ont peur, donc rejettent les mutants, qui se défendent à leur tour, et ça effraient encore plus les humains, qui mettent les bouchées doubles, du coup. Comme sur Génosha : la paranoïa des humains qui les attaquaient sans cesse les a poussé à s’autodétruire eux-mêmes. »
« Non t’inquiète, ça m’fait pas peur. Ça doit être cool d’être mutant… »
Mais elle se ravisa aussitôt :
« Enfin, pas pour les inconvénients sociaux, bien sûr. Mais avoir un pouvoir, ça doit être chouette. J’ai envie de devenir mutante moi… T’as pas un truc, toi qui l’es ? J’sais pas, un moyen pour que ce gêne là se développe ? »
Et elle poursuivit :
« Ouais, c’est vrai que c’est naze, que les mutants soient considérés comme ça. C’est un peu comme un cercle sans fin : les humains ont peur, donc rejettent les mutants, qui se défendent à leur tour, et ça effraient encore plus les humains, qui mettent les bouchées doubles, du coup. Comme sur Génosha : la paranoïa des humains qui les attaquaient sans cesse les a poussé à s’autodétruire eux-mêmes. »
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Lun 22 Nov 2010 - 21:07
Après avoir tapoter son menton pendant cinq bonnes minutes, Crystal fit un petit sourire contrit.
" Heuu désoler, je n'ai aucune idée sur la façon de faire pour qu'un humain devienne un mutant.
Elle baissa alors la tête l'air un peu triste
" Mais dans le fond, être un mutant est plus effrayant qu'autre chose. Quand tes pouvoirs apparaissent, tu te sens perdu et déboussolé. Surtout que tu ne maitrise rien au début, ça prend du temps pour commencer à maitriser ce qui t'arrive. Imagine par exemple que tu puisse crée des tremblements de terres... Avant d'arriver à maitriser ça, tu risquerais de faire beaucoup de mal autours de toi. Mais je pense que le plus dure reste de ne pas abuser de ses pouvoirs. Il faut apprendre à les utiliser, et apprendre à les utiliser avec discernement. C'est pour ça que je vais à Salem center. J'ai décidée de rejoindre l'institut Xavier afin de contrôler parfaitement mes pouvoirs.
Elle avait parler avec détermination, et une petite flamme dans les yeux. A la fin de sa phrase, elle plaça son poing devant ses yeux avant de le refermer. Puis elle fit un petit sourire accompagné d'un rire un peu gêné.
" hahaha désoler désoler, je crois que je me suis un peu emballée la tout de suite "
" Heuu désoler, je n'ai aucune idée sur la façon de faire pour qu'un humain devienne un mutant.
Elle baissa alors la tête l'air un peu triste
" Mais dans le fond, être un mutant est plus effrayant qu'autre chose. Quand tes pouvoirs apparaissent, tu te sens perdu et déboussolé. Surtout que tu ne maitrise rien au début, ça prend du temps pour commencer à maitriser ce qui t'arrive. Imagine par exemple que tu puisse crée des tremblements de terres... Avant d'arriver à maitriser ça, tu risquerais de faire beaucoup de mal autours de toi. Mais je pense que le plus dure reste de ne pas abuser de ses pouvoirs. Il faut apprendre à les utiliser, et apprendre à les utiliser avec discernement. C'est pour ça que je vais à Salem center. J'ai décidée de rejoindre l'institut Xavier afin de contrôler parfaitement mes pouvoirs.
Elle avait parler avec détermination, et une petite flamme dans les yeux. A la fin de sa phrase, elle plaça son poing devant ses yeux avant de le refermer. Puis elle fit un petit sourire accompagné d'un rire un peu gêné.
" hahaha désoler désoler, je crois que je me suis un peu emballée la tout de suite "
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Lun 22 Nov 2010 - 23:02
Ruth avait l’air impressionnée par tes dires. Elle opinait du chef vivement quand tu parlais. Elle parut même admirative lorsque tu abordas la question de l’Institut Xavier.
« Oh c’est trop coool j’adorerais y aller aussi ! Encore un avantage à la mutation ! Ils paraissent dans les journaux et tout. C’est pas mon école qui y serait, ça c’est clair… »
Elle n’eut guère l’occasion de poursuivre : le contrôleur venait d’entrer dans le wagon.
« Titres de transport, s’il-vous-plait. »
Ruth pâlit un peu en entendant ça : elle n’avait guère eu le temps de s’en prendre un. Mais ce n’était pas le plus déconcertant : le contrôleur en question était la copie exacte du guichetier de la gare, sourire en moins…
Et il vous regardait avec attention… une attention très attentive…
« Oh c’est trop coool j’adorerais y aller aussi ! Encore un avantage à la mutation ! Ils paraissent dans les journaux et tout. C’est pas mon école qui y serait, ça c’est clair… »
Elle n’eut guère l’occasion de poursuivre : le contrôleur venait d’entrer dans le wagon.
« Titres de transport, s’il-vous-plait. »
Ruth pâlit un peu en entendant ça : elle n’avait guère eu le temps de s’en prendre un. Mais ce n’était pas le plus déconcertant : le contrôleur en question était la copie exacte du guichetier de la gare, sourire en moins…
Et il vous regardait avec attention… une attention très attentive…
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mar 23 Nov 2010 - 1:12
Elle détailla rapidement le contrôleur et fût saisie par la ressemblance avec le guichetier. Elle tendis son billet et remarqua alors le drôle d'air de Ruth. Devinant que cette dernière n'avait pas de billet, elle décida de tenter un petit coup de bluff.
" Rhaaa ne me dit pas que tu as ENCORE perdu ton billet... C'est pas vrai ça, je vais ENCORE devoir le repayer... "
Elle fit alors un grand sourire au contrôleur et désigna Ruth du doigt.
" Désoler elle est très tête en l'air. Ce serais possible de repayer son billet ? "
Elle détailla encore une fois le contrôleur et se demanda si ce dernier n'était vraiment pas le guichetier... Mais au vu de la situation cela semblais hautement improbable. Peut être sous un accès de paranoïa, elle se demanda si ce dernier n'était pas son frère jumeau et surtout, au courant de la situation. Avec un peu de chance, ce n'était pas le cas et pour l'instant la chance semblais lui sourire. Elle espérait juste que ça allait continuer comme ça. Parce que dans le cas contraire elle était bonne pour avoir une à deux tonnes de problèmes sur les bras.
" Rhaaa ne me dit pas que tu as ENCORE perdu ton billet... C'est pas vrai ça, je vais ENCORE devoir le repayer... "
Elle fit alors un grand sourire au contrôleur et désigna Ruth du doigt.
" Désoler elle est très tête en l'air. Ce serais possible de repayer son billet ? "
Elle détailla encore une fois le contrôleur et se demanda si ce dernier n'était vraiment pas le guichetier... Mais au vu de la situation cela semblais hautement improbable. Peut être sous un accès de paranoïa, elle se demanda si ce dernier n'était pas son frère jumeau et surtout, au courant de la situation. Avec un peu de chance, ce n'était pas le cas et pour l'instant la chance semblais lui sourire. Elle espérait juste que ça allait continuer comme ça. Parce que dans le cas contraire elle était bonne pour avoir une à deux tonnes de problèmes sur les bras.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mar 23 Nov 2010 - 23:41
Le regard du contrôleur se fit encore plus sévère devant le petit numéro qui se déroulait sous ses yeux. Ruth, elle, était complètement mal à l’aise. Elle avait beau avoir des cheveux originaux, ce n’était visiblement pas une fille très extravertie. Si bien que le contrôleur ne lui prêta même plus attention. Il jeta des regards soupçonneux à droite et à gauche, comme s’il vérifiait que personne ne vous écoutait ou ne vous regardait, et il ne parut pas très content…
« Ne vous moquez pas de moi. »
Il avait prononcé ça dans un murmure, mais poursuivit aussitôt, plus fort.
« Mais bien sûr, veuillez me suivre s’il-vous plait. »
Il fit volte-face pour pénétrer dans l’espace inter-wagon du monorail, un fin couloir de métal totalement désert. Ruth haussa les épaules à son départ, ne sachant trop que faire.
« Il nous parlait à toutes les deux ou… juste à toi ? »
« Ne vous moquez pas de moi. »
Il avait prononcé ça dans un murmure, mais poursuivit aussitôt, plus fort.
« Mais bien sûr, veuillez me suivre s’il-vous plait. »
Il fit volte-face pour pénétrer dans l’espace inter-wagon du monorail, un fin couloir de métal totalement désert. Ruth haussa les épaules à son départ, ne sachant trop que faire.
« Il nous parlait à toutes les deux ou… juste à toi ? »
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mer 24 Nov 2010 - 0:48
Poussant un petit soupire résigner, elle se leva péniblement de son siège. Elle se tourna alors vers Ruth avec un sourire visiblement forcé.
" Non je pense qu'il ne parlait qu'à moi. Tu veux bien surveiller ma valise s'il te plait ? "
Elle commença péniblement à marcher en se mordant la lèvre inférieure. De plus en plus stressée, elle commençait à avoir les main moites et de petites gouttes de sueurs le long de ses tempes. Voulant tout de même faire bonne impression, elle serra fortement les poings et obligea ses jambes à ne plus trembler.
* bon sang... et si il était aussi un mutant ? Heuu ça serais bien où pas bien ? Merde merde merde merde merde merde. Bon aller ma vieille tu le sauras quand tu y seras. j'espère juste que Ruth ne vas pas me suivre si ça dégénère. *
Elle arriva bientôt devant le contrôleur, non sans avoir jeter un rapide coup d'oeil vers Ruth et vérifiée qu'elle n'avait pas bougée. Puis elle fit un petit sourire contrit en mettant la main à la poche. Quoi qu'il allait se passer, elle risquait d'être rapidement fixée. Elle tenta tout de même de voir ses alternatives dès fois qu'elle se retrouve obligée de piquer un sprint. On était jamais trop prudent.
" Non je pense qu'il ne parlait qu'à moi. Tu veux bien surveiller ma valise s'il te plait ? "
Elle commença péniblement à marcher en se mordant la lèvre inférieure. De plus en plus stressée, elle commençait à avoir les main moites et de petites gouttes de sueurs le long de ses tempes. Voulant tout de même faire bonne impression, elle serra fortement les poings et obligea ses jambes à ne plus trembler.
* bon sang... et si il était aussi un mutant ? Heuu ça serais bien où pas bien ? Merde merde merde merde merde merde. Bon aller ma vieille tu le sauras quand tu y seras. j'espère juste que Ruth ne vas pas me suivre si ça dégénère. *
Elle arriva bientôt devant le contrôleur, non sans avoir jeter un rapide coup d'oeil vers Ruth et vérifiée qu'elle n'avait pas bougée. Puis elle fit un petit sourire contrit en mettant la main à la poche. Quoi qu'il allait se passer, elle risquait d'être rapidement fixée. Elle tenta tout de même de voir ses alternatives dès fois qu'elle se retrouve obligée de piquer un sprint. On était jamais trop prudent.
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mer 24 Nov 2010 - 19:51
Ruth respecta ta consigne avec soulagement : elle fixa la valise sans plus en décrocher le regard, trop heureuse de n’avoir pas à faire à cet homme étrange en privé. Sans doute ne l’avait-elle pas aperçu, elle, à la gare.
Lorsque tu le rejoignis, il se tourna face à toi, et ferma la porte coulissante derrière toi. Son regard était fixé sur toi, et assez menaçant.
« Ne vous mettez pas dans l’embarras, mademoiselle. Ne descendez pas à Salem Center et rentrez chez vous. Là-bas, à la gare, des policiers vous attendront. Ils ont été prévenu de la petite intervention à la gare, et risque de vous demander des comptes. Et ils n’ont aucune pitié face aux mutants qui transgressent la loi. »
Lorsque tu le rejoignis, il se tourna face à toi, et ferma la porte coulissante derrière toi. Son regard était fixé sur toi, et assez menaçant.
« Ne vous mettez pas dans l’embarras, mademoiselle. Ne descendez pas à Salem Center et rentrez chez vous. Là-bas, à la gare, des policiers vous attendront. Ils ont été prévenu de la petite intervention à la gare, et risque de vous demander des comptes. Et ils n’ont aucune pitié face aux mutants qui transgressent la loi. »
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mer 24 Nov 2010 - 20:20
Après avoir écouter le petit speech du contrôleur, elle dut se faire violence pour ravaler un accès de colère. Poussant un très long et très profond soupire, elle se décida à fixer le contrôler avec un air très sérieux.
" Ha mais je suis désolée, je n'ai fait aucune entorse à la loi... Et je suis la seule mutante présente dans ce wagon à ma connaissance. Et que vous le vouliez où non, je doit aller à Salem center, il y a la-bas un institut qui devrait pouvoir m'aider. LA seule qui à fait une entorse c'est elle et uniquement parce que je l'ai trainée avec moi. Donc si je paye son billet elle ne sera plus en tord, donc voila. "
C'est vrai quoi, elle n'était pas petit toutou à qui on donne des ordres, surtout quand ils allaient à l'encontre de sa volonté. Même si immédiatement après cette petite rébellion elle en éprouva un peu de remord. D'un coté, elle voulait se faire toute petite, et de l'autre s'affirmé. Poussant un autre soupir, elle commençait à se dire que sa vie allait devenir drôlement compliquer d'ici quelques heures. D'un autre coté, si ça allait devenir difficile, autant s'échauffer tout de suite...
" Ha mais je suis désolée, je n'ai fait aucune entorse à la loi... Et je suis la seule mutante présente dans ce wagon à ma connaissance. Et que vous le vouliez où non, je doit aller à Salem center, il y a la-bas un institut qui devrait pouvoir m'aider. LA seule qui à fait une entorse c'est elle et uniquement parce que je l'ai trainée avec moi. Donc si je paye son billet elle ne sera plus en tord, donc voila. "
C'est vrai quoi, elle n'était pas petit toutou à qui on donne des ordres, surtout quand ils allaient à l'encontre de sa volonté. Même si immédiatement après cette petite rébellion elle en éprouva un peu de remord. D'un coté, elle voulait se faire toute petite, et de l'autre s'affirmé. Poussant un autre soupir, elle commençait à se dire que sa vie allait devenir drôlement compliquer d'ici quelques heures. D'un autre coté, si ça allait devenir difficile, autant s'échauffer tout de suite...
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mer 24 Nov 2010 - 20:36
Le contrôleur parut surpris, et assez mécontent, de ta réaction.
« Vous pourrez expliquer tout ça aux hommes qui vous attendront. Je doute qu’ils aient le moindre intérêt pour votre avis. Votre tort à toutes les deux est d’voir fui devant un service d’ordre, et semé la pagaille dans une gare. Pensez-y, lorsqu’ils vous interrogeront. »
Il jeta un coup d’œil par la porte vitrée, et soupira.
« Je dois vous laisser. Vous êtes bientôt à destination. Ma seule volonté était de vous prévenir, et de vous aider. Si un jour, on est amené à se recroiser, sachez qu’on m’appelle Charon. Le Passeur. Je dois y aller, maintenant, on m’attend à la gare, ma couverture ne doit pas tomber. »
Il fit volte-face, et fit un pas avant de… disparaître totalement.
Le train, déjà, amorçait son freinage pour son arrivée en gare de Salem Center...
« Vous pourrez expliquer tout ça aux hommes qui vous attendront. Je doute qu’ils aient le moindre intérêt pour votre avis. Votre tort à toutes les deux est d’voir fui devant un service d’ordre, et semé la pagaille dans une gare. Pensez-y, lorsqu’ils vous interrogeront. »
Il jeta un coup d’œil par la porte vitrée, et soupira.
« Je dois vous laisser. Vous êtes bientôt à destination. Ma seule volonté était de vous prévenir, et de vous aider. Si un jour, on est amené à se recroiser, sachez qu’on m’appelle Charon. Le Passeur. Je dois y aller, maintenant, on m’attend à la gare, ma couverture ne doit pas tomber. »
Il fit volte-face, et fit un pas avant de… disparaître totalement.
Le train, déjà, amorçait son freinage pour son arrivée en gare de Salem Center...
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Re: New-York : quand c'est l'heure, c'est l'heure...
Mer 24 Nov 2010 - 21:37
Toute déboussolée elle retourna vers Ruth. Complètement hagarde, elle repassait en boucle le nom du contrôleur dans sa tête.
* charon...Charon...charon.. Le passeur... *
Elle ouvrit alors la porte et la referma en commençant à se dépêcher histoire de ne pas rater sa station. Encore sous le choc, elle marmonna quelque chose comme : " Problème régler... enfin je crois... Mais faudra éviter de revenir à la gare de new-york tout de suite. "
Elle poussa alors un profond soupir en se sentant de plus en plus perdue. Mais elle secoua la tête et rassembla son courage. Après tout elle touchait au but et il n'était plus question de reculer. S'armant de courage, elle récupéra sa valise et inspira un grand coup... Elle était prête.
* Tout de même je voit mal en quoi il m'aidait en me disant de ne pas aller à l'institut. Et surtout de me jeter dans les griffes des policiers qui n'aimes pas les mutants... Pfff j'espère que je ne vais pas le recroiser tout de suite celui-la. Mais ne t'inquiète pas mon pépère je n'oublierait pas ta tête ça c'est sur. *
Elle se hâta alors de sortir du monorail afin de ne pas rater son arrêt.
* charon...Charon...charon.. Le passeur... *
Elle ouvrit alors la porte et la referma en commençant à se dépêcher histoire de ne pas rater sa station. Encore sous le choc, elle marmonna quelque chose comme : " Problème régler... enfin je crois... Mais faudra éviter de revenir à la gare de new-york tout de suite. "
Elle poussa alors un profond soupir en se sentant de plus en plus perdue. Mais elle secoua la tête et rassembla son courage. Après tout elle touchait au but et il n'était plus question de reculer. S'armant de courage, elle récupéra sa valise et inspira un grand coup... Elle était prête.
* Tout de même je voit mal en quoi il m'aidait en me disant de ne pas aller à l'institut. Et surtout de me jeter dans les griffes des policiers qui n'aimes pas les mutants... Pfff j'espère que je ne vais pas le recroiser tout de suite celui-la. Mais ne t'inquiète pas mon pépère je n'oublierait pas ta tête ça c'est sur. *
Elle se hâta alors de sortir du monorail afin de ne pas rater son arrêt.
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