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- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Firenze, Italie
Mer 18 Oct 2006 - 16:57
Fabrisio marche un peu le temps de trouver un kiosque tranquille, une fois son but atteint, il chercha parm les journaux celui qui contenait l'article qu'il desirait consulter.
Très vite, il trouva le journal en question, "la sentinelle" et le feuilletta.
Très vite, il trouva le journal en question, "la sentinelle" et le feuilletta.
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Mer 18 Oct 2006 - 18:42
Au fil des lignes, Fabrisio serrait les doigts au point de commencer à froisser le journal. Il finit par s'en rendre compte lui-même et dessera la poigne.
Mais quelle était donc cette histoire de dingue ?
Comment pouvaient-ils s'imaginer qu'il avait quoique se soit à voir avec cette histoire ?
Fabrisio contenait avec peine la colère qui l'envahissait. Il en était à ce point de frustration et d'incompréhension que des larmes commençaient à couler sur son visage.
Lui qui avait tout perdu depuis l'apparition de ses ...
... Il regarda alors ses mains ....
Ce qui avant lui servait à créer des oeuvres n'apportait à présent que le malheur et les ennuis. Si seulement il pouvait revenir en arrière, ne pas vivre ces instants si tristes.
Mais la raison lui fit dire qu'il ne pouvait pas, que c'était futile que de souhaiter ça.
Il s'éloigna du kiosque le plus naturellement possible et chercha un coin tranquille où s'assoir et réfléchir à la situation. Il devait impérativement fuir cette ville. Il ne voyait pas d'autres solutions.
Mais comment faire ?
A qui s'adresser ?
Et puis le nom d'Olivier Fleury lui revint en tête.
L'article disait que cet homme accueillait les ... "personnes" dans le besoin. Fabrisio n'osait dire le terme, encore convaincu de ne pas être comme eux.
Sa décision était prise.
Il lui fallait joindre cet homme ... mais comment.
Sa première idée fut d'aller dans un cyber café afin de chercher les coordonnées de l'homme sur internet. Il lui fallait trouver un lieu suffisement discret pour ses recherches.
Il finit par trouver une boutique et après avoir demander un poste libre, il s'assit et pianota sur le clavier.
Après de nombreuses errances sur la toile, il finit par trouver une pite, une adresse mail.
Après tout, il ne risquait rien à envoyer un mail. Peu de chance qu'il soit repérer dans cete petite boutique.
Il cliqua sur "envoyer" et croisa les doigts
Mais quelle était donc cette histoire de dingue ?
Comment pouvaient-ils s'imaginer qu'il avait quoique se soit à voir avec cette histoire ?
Fabrisio contenait avec peine la colère qui l'envahissait. Il en était à ce point de frustration et d'incompréhension que des larmes commençaient à couler sur son visage.
Lui qui avait tout perdu depuis l'apparition de ses ...
... Il regarda alors ses mains ....
Ce qui avant lui servait à créer des oeuvres n'apportait à présent que le malheur et les ennuis. Si seulement il pouvait revenir en arrière, ne pas vivre ces instants si tristes.
Mais la raison lui fit dire qu'il ne pouvait pas, que c'était futile que de souhaiter ça.
Il s'éloigna du kiosque le plus naturellement possible et chercha un coin tranquille où s'assoir et réfléchir à la situation. Il devait impérativement fuir cette ville. Il ne voyait pas d'autres solutions.
Mais comment faire ?
A qui s'adresser ?
Et puis le nom d'Olivier Fleury lui revint en tête.
L'article disait que cet homme accueillait les ... "personnes" dans le besoin. Fabrisio n'osait dire le terme, encore convaincu de ne pas être comme eux.
Sa décision était prise.
Il lui fallait joindre cet homme ... mais comment.
Sa première idée fut d'aller dans un cyber café afin de chercher les coordonnées de l'homme sur internet. Il lui fallait trouver un lieu suffisement discret pour ses recherches.
Il finit par trouver une boutique et après avoir demander un poste libre, il s'assit et pianota sur le clavier.
Après de nombreuses errances sur la toile, il finit par trouver une pite, une adresse mail.
Après tout, il ne risquait rien à envoyer un mail. Peu de chance qu'il soit repérer dans cete petite boutique.
Il cliqua sur "envoyer" et croisa les doigts
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Re: Firenze, Italie
Lun 30 Oct 2006 - 13:42
Fabrisio n'attendit pas longtemps, l'ecran de son ordinateur devint noir pendant quelques secondes puis une visage apparut sur l'écran et s'adresa à lui.
"Bonjour, Olivier est indisponible pour le moment, je suis Cerebra, qui es-tu?"
"Bonjour, Olivier est indisponible pour le moment, je suis Cerebra, qui es-tu?"
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Lun 30 Oct 2006 - 20:31
Surpris, Fabrisio manqua de tomber de sa chaise. Mais il parvint à se ratrapper, tant bien que mal.
Quand il regarda autour de lui, inquiet, il vit que certains internautes l'observaient. Mais heureusement pour lui, ils ne s'attardèrent pas et tous reprirent vite leurs occupations. Il se retourna à son tour, cala sa chaise et essaya de reprendre une attitude aussi naturelle que possible.
Il regarda alors attentivement l'écran ... bien incapable de comprendre ce à quoi il assistait. Etait-ce un bug ?
Qui était donc cette femme?
Fabrisio la regardait, fixement. Sa surprise lui avait fait manquer combien elle était séduisante. Il ne put s'empécher de remarquer combien la visage de cette femme était beau, semblable aux beautés antiques.
Etait-elle seulement réelle ?
- "Que ..."
Incapable d'articuler un mot, Fabrisio ne sut que balbutier au début. Mais il réussit à se ressaisir et répondit, sans être totalement convaincu.
- "Je ... je suis Fabrisio ... Fabrisio Fresco"
Quand il regarda autour de lui, inquiet, il vit que certains internautes l'observaient. Mais heureusement pour lui, ils ne s'attardèrent pas et tous reprirent vite leurs occupations. Il se retourna à son tour, cala sa chaise et essaya de reprendre une attitude aussi naturelle que possible.
Il regarda alors attentivement l'écran ... bien incapable de comprendre ce à quoi il assistait. Etait-ce un bug ?
Qui était donc cette femme?
Fabrisio la regardait, fixement. Sa surprise lui avait fait manquer combien elle était séduisante. Il ne put s'empécher de remarquer combien la visage de cette femme était beau, semblable aux beautés antiques.
Etait-elle seulement réelle ?
- "Que ..."
Incapable d'articuler un mot, Fabrisio ne sut que balbutier au début. Mais il réussit à se ressaisir et répondit, sans être totalement convaincu.
- "Je ... je suis Fabrisio ... Fabrisio Fresco"
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Re: Firenze, Italie
Mar 31 Oct 2006 - 16:29
Le visage de Cerebra resta impassible, elle attendait toujours une réponse. Au bout d'un longue minute, Cerebra reprit la parole,
"Ce n'est pas parce que vous pouvez m'entendre et me voir que c'est la même chose pour moi, votre ordinateur ne doit être doté ni d'une webcam, ni d'un micro alors je vous prie de bien vouloir taper ce que vous voulez me demander. Nous sommes très occupé à l'institut en ce moment et je n'ai pas toute la journée."
"Ce n'est pas parce que vous pouvez m'entendre et me voir que c'est la même chose pour moi, votre ordinateur ne doit être doté ni d'une webcam, ni d'un micro alors je vous prie de bien vouloir taper ce que vous voulez me demander. Nous sommes très occupé à l'institut en ce moment et je n'ai pas toute la journée."
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Mer 1 Nov 2006 - 20:32
Quelque peu bousculé par la réponse de la femme, Fabrisio se sentit bête l'espace d'un instant.
Les choses avaient commencé de manière tellement étrange qu'il s'était tout naturellement adressé à l'ordinateur comme si celui-ci avait été une personne.
Quel imbécile il était.
Il se mit alors à taper rapidemment son nom sur le clavier de l'ordinateur : "Je m'appelle Fabrisio Fresco"
Il pressa sur la touche "Enter" à la fin de sa réponse.
Les choses avaient commencé de manière tellement étrange qu'il s'était tout naturellement adressé à l'ordinateur comme si celui-ci avait été une personne.
Quel imbécile il était.
Il se mit alors à taper rapidemment son nom sur le clavier de l'ordinateur : "Je m'appelle Fabrisio Fresco"
Il pressa sur la touche "Enter" à la fin de sa réponse.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Firenze, Italie
Ven 3 Nov 2006 - 19:04
Cerebra sourit,
"Bonjour Fabrisio, pourquoi veux-tu contacter Olivier, as-tu des problèmes?"
Chaque fois que l'on con,tacter Olivier ou l'institut, c'était pour la même raison, un mutant qui a des problèmes mais ils avaient toujours peur de dire ce qu'ils étaient.
"Bonjour Fabrisio, pourquoi veux-tu contacter Olivier, as-tu des problèmes?"
Chaque fois que l'on con,tacter Olivier ou l'institut, c'était pour la même raison, un mutant qui a des problèmes mais ils avaient toujours peur de dire ce qu'ils étaient.
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Sam 4 Nov 2006 - 0:31
- "Heu ... Ou ... oui ..."
Spontanément, Fabrisio avait répondu de vive voix, charmé par la beauté de son interlocutrice. Mais il se rendit lui-même compte de son erreur, et se resaisit aussitôt, souhaitant une fois encore que personne ne l'ait remarqué.
Se penchant en arrière, il risqua un rapide coup d'oeil autour de lui. Non, personne ne lui prêtait attention, tous occupé sur leur poste. Une chance pour lui.
Il revint en place et se remit sur le clavier.
- " Je m'excuse de vous déranger.
Après avoir lu un article dans un journal où le nom d'Olivier Fleury figurait, je me suis permis de vous contacter."
Fabrisio fit une pause, ses mains en suspens au-dessus du clavier. Il hésitait. Devait-il se livrer ainsi, via un ordinateur non sécurisé.
Il avait beau n'être qu'un étudiant en art, il n'était pas pour autant idiot. Mais avait-il seulement le choix.
Il retourna ses mains, paume vers le haut, et les observa. Quelle bizarrerie de la vie. Lui pour qui les mains étaient quelque chose de si beau, voilà qu'elles produisaient ... ça.
Il ne voulait pas de ces ... ce pouvoir. Alors il devait faire quelque chose.
Il réfléchit encore, puis se remit sur le clavier.
- "Il m'est arrivé des choses. Des choses que je ne m'explique pas. Et à cause de cela, j'ai eu des problèmes. Je suis perdu et ne sais donc pas à qui m'adresser."
Fabrisio s'arrêta là.
Il n'avait pas envie de trop en dire sur ses problèmes. Et comme il se savait pas dans quoi il se lançait, il préférait garder une certaine distance.
Spontanément, Fabrisio avait répondu de vive voix, charmé par la beauté de son interlocutrice. Mais il se rendit lui-même compte de son erreur, et se resaisit aussitôt, souhaitant une fois encore que personne ne l'ait remarqué.
Se penchant en arrière, il risqua un rapide coup d'oeil autour de lui. Non, personne ne lui prêtait attention, tous occupé sur leur poste. Une chance pour lui.
Il revint en place et se remit sur le clavier.
- " Je m'excuse de vous déranger.
Après avoir lu un article dans un journal où le nom d'Olivier Fleury figurait, je me suis permis de vous contacter."
Fabrisio fit une pause, ses mains en suspens au-dessus du clavier. Il hésitait. Devait-il se livrer ainsi, via un ordinateur non sécurisé.
Il avait beau n'être qu'un étudiant en art, il n'était pas pour autant idiot. Mais avait-il seulement le choix.
Il retourna ses mains, paume vers le haut, et les observa. Quelle bizarrerie de la vie. Lui pour qui les mains étaient quelque chose de si beau, voilà qu'elles produisaient ... ça.
Il ne voulait pas de ces ... ce pouvoir. Alors il devait faire quelque chose.
Il réfléchit encore, puis se remit sur le clavier.
- "Il m'est arrivé des choses. Des choses que je ne m'explique pas. Et à cause de cela, j'ai eu des problèmes. Je suis perdu et ne sais donc pas à qui m'adresser."
Fabrisio s'arrêta là.
Il n'avait pas envie de trop en dire sur ses problèmes. Et comme il se savait pas dans quoi il se lançait, il préférait garder une certaine distance.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Firenze, Italie
Dim 5 Nov 2006 - 22:10
Cerebra refléchit, elle ne devait pas être trop franche car elle ne savait pas à qui elle avait affaire.
"Est-ce dans la Sentinelle que tu as lu le nom d'Olivier parce que je ne crois pas que tu puisses lire les autres journaux où son nom a été cité en étant en Italie?"
"Est-ce dans la Sentinelle que tu as lu le nom d'Olivier parce que je ne crois pas que tu puisses lire les autres journaux où son nom a été cité en étant en Italie?"
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Lun 6 Nov 2006 - 1:01
Fabrisio ne comit pas la même erreur et se mit aussitôt à taper sur le clavier de l'ordinateur.
- "C'est effectivement en lisant ce journal que j'ai noté le nom d'Olivier Fleury."
Il réfléchit un instant. Cela se précisait. Sans en être absolument sûr, les précautions que prenaient Cerebra semblait confirmer qu'il avait fait appel à la bonne personne. Mais il devait néanmoins rester encore prudent.
- "L'article faisait référence à des" ...
Fabrisio réfléchit un instant. Quel était le terme qu'il avait vu écrit dans l'article ... "mutants", c'est ça.
- "L'article faisait référence à des mutants."
- "C'est effectivement en lisant ce journal que j'ai noté le nom d'Olivier Fleury."
Il réfléchit un instant. Cela se précisait. Sans en être absolument sûr, les précautions que prenaient Cerebra semblait confirmer qu'il avait fait appel à la bonne personne. Mais il devait néanmoins rester encore prudent.
- "L'article faisait référence à des" ...
Fabrisio réfléchit un instant. Quel était le terme qu'il avait vu écrit dans l'article ... "mutants", c'est ça.
- "L'article faisait référence à des mutants."
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Firenze, Italie
Mar 7 Nov 2006 - 14:49
Le jeune homme avec qui discutait Cerebra commençait à se détendre et à parler plus librement,
"D'accords, tu as donc décidé de contacter Mr Fleury parce que l'article faisait référence à des mutants, En serais-tu un?"
"D'accords, tu as donc décidé de contacter Mr Fleury parce que l'article faisait référence à des mutants, En serais-tu un?"
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Mar 7 Nov 2006 - 15:12
La question brute surpris Fabrisio.
Il marqua un instant d'hésitation, les mains en suspend au-dessus du clavier, incapable de savoir comment réagir.
"mutant" ... le mot était laché ...
Sans s'y être attardé, sans y avoir réfléchit sérieusement, Fabrisio n'avait pas encore fait le rapprochement entre ce qui lui arrivait et le fait qu'il puisse être un ... "mutant"
Mais il devait bien se rendre à l'évidence.
Que lui puisse le suposer était une chose, mais que quelqu'un d'autre mette un mot sur ça était bien différent.
Il réfléchit ... tentant de remettre ses idées en place. Il prit sa tête entre ses mains, les yeux fermés, tetant de faire le point.
Il fallait se rendre à l'évidence ... se ne pouvait qu'être ça ... mais cela n'avait rien de réjouissant. Il lui en coutait de devoir l'admettre.
Aussi, lentement, il remit ses mains sur le clavier et tapa lentement, hésitant beaucoup.
- "Oui"
Il marqua un instant d'hésitation, les mains en suspend au-dessus du clavier, incapable de savoir comment réagir.
"mutant" ... le mot était laché ...
Sans s'y être attardé, sans y avoir réfléchit sérieusement, Fabrisio n'avait pas encore fait le rapprochement entre ce qui lui arrivait et le fait qu'il puisse être un ... "mutant"
Mais il devait bien se rendre à l'évidence.
Que lui puisse le suposer était une chose, mais que quelqu'un d'autre mette un mot sur ça était bien différent.
Il réfléchit ... tentant de remettre ses idées en place. Il prit sa tête entre ses mains, les yeux fermés, tetant de faire le point.
Il fallait se rendre à l'évidence ... se ne pouvait qu'être ça ... mais cela n'avait rien de réjouissant. Il lui en coutait de devoir l'admettre.
Aussi, lentement, il remit ses mains sur le clavier et tapa lentement, hésitant beaucoup.
- "Oui"
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Re: Firenze, Italie
Mer 8 Nov 2006 - 19:12
Cerebra avait réussi à mettre fabrisio suffisemment en confiance pour qu'il lui ça, c'était le premier pas de Fabrisio et le chemin allait encore être long.
"D'accords, sache que le but de l'institut et de venir en aide à tous. Qu'attendeais-tu de ce mail à Olivier?"
"D'accords, sache que le but de l'institut et de venir en aide à tous. Qu'attendeais-tu de ce mail à Olivier?"
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Jeu 9 Nov 2006 - 13:04
Fabrisio fut surpris par la réponse de Cerebra. Il ne savait absolument pas l'aide que pouvait lui apporter ce Olivier Fleury. Déjà qu'il n'avait aucune idée de ce qui lui arrivait, alors imaginer les recours pour l'aider, c'était au-dessus de ses moyens.
Après avoir vu le nom d'Olivier Fleury cité pour des évenements "spéciaux", Fabrisio s'était dit que lui saurait de suite quoi faire. Et voilà qu'on lui demandait à lui, jeune homme complètement paumé, ce qu'il attend ?
Plutôt curieux.
Fabrisio met un peu de temps à organiser ses pensées et à y mettre de l'ordre. Il lui fallait choisir ses mots afin d'éviter tout malentendu.
Il finit par écrire :
- "J'ai des ennuis avec les autorités. Il se trouve que mes ... "
Fabrisio marqua un temps d'arrêt. Il hésitait à écrire le mot, lourd de sens selon lui.
Mais il n'en trouvait pas d'autre.
- "Il se trouve que mes "pouvoirs" m'ont mis dans une situation délicate. Les circonstances ont fait que la police me recherche à présent et ce, alors que je suis innocent."
Un temps de pause.
Fabrisio reprit, de peur de ne pas avoir été explicite.
- "J'ai besoin d'aide. Je ne sais plus où aller et j'ai peur que mes pouvoirs ne causent encore d'autres catastrophes."
Après avoir vu le nom d'Olivier Fleury cité pour des évenements "spéciaux", Fabrisio s'était dit que lui saurait de suite quoi faire. Et voilà qu'on lui demandait à lui, jeune homme complètement paumé, ce qu'il attend ?
Plutôt curieux.
Fabrisio met un peu de temps à organiser ses pensées et à y mettre de l'ordre. Il lui fallait choisir ses mots afin d'éviter tout malentendu.
Il finit par écrire :
- "J'ai des ennuis avec les autorités. Il se trouve que mes ... "
Fabrisio marqua un temps d'arrêt. Il hésitait à écrire le mot, lourd de sens selon lui.
Mais il n'en trouvait pas d'autre.
- "Il se trouve que mes "pouvoirs" m'ont mis dans une situation délicate. Les circonstances ont fait que la police me recherche à présent et ce, alors que je suis innocent."
Un temps de pause.
Fabrisio reprit, de peur de ne pas avoir été explicite.
- "J'ai besoin d'aide. Je ne sais plus où aller et j'ai peur que mes pouvoirs ne causent encore d'autres catastrophes."
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Firenze, Italie
Jeu 9 Nov 2006 - 17:48
Pendant quelques minutes, Cerebra ne dit mot, elle semblait réfléchir.
"Tout va bien, je me suis connecté aux serveurs de la Police, ton signalement n'a pas quitté la ville où tu t'éatis fait repéré, je vizens de faire une réservation à ton nom pour le premier vol vers New-York. Sois-y dans une heure, tu ne devrais pas avoir de problème à la douane. une fois arivé, rejoint l'institut au 51 Greymalkin Lane, Salem Center."
"Tu pourras rencontrer des gens comme toi et nous ferons tout pour t'innocenter sans que tu causes pas maladresse d'autres catastrophes."
"Tout va bien, je me suis connecté aux serveurs de la Police, ton signalement n'a pas quitté la ville où tu t'éatis fait repéré, je vizens de faire une réservation à ton nom pour le premier vol vers New-York. Sois-y dans une heure, tu ne devrais pas avoir de problème à la douane. une fois arivé, rejoint l'institut au 51 Greymalkin Lane, Salem Center."
"Tu pourras rencontrer des gens comme toi et nous ferons tout pour t'innocenter sans que tu causes pas maladresse d'autres catastrophes."
- InvitéInvité
Re: Firenze, Italie
Ven 10 Nov 2006 - 0:49
Fabrisio s'empressa de trouver un papier et un crayon pour y noter les informations. Heureusement pour lui, le cybercafé avait paré à toute éventualité et un paquet de feuilles blanches se trouvait juste à côté de l'écran. Il se trouvait même quelques crayons par côté.
Il nota ainsi les indications données par Cérébra. Ceci fait, il plia la feuille et la mis directement dans sa poche.
Les dernières paroles de Cerebra eurent un impact sur le jeune homme.
Des gens comme lui ?
Une aide au sujet de ses "pouvoirs"?
Il en avait presque la tête qui tourne. Toutes ces infos à digéré d'un coup, cela était presque trop. Non, il devait garder la tête froide et les idées au clair. Ce n'était vraiment pas le moment de s'enliser.
Il n'avait qu'une heure.
Fabrisio se leva et se rendit au comptoir. Il demanda au gérant combien il devait et paya. Il du pour cela faire le fond de ses poches, mais il parvint tant bien que mal à trouver la somme. Il sortit ensuite, aussi calmement que possible.
Mais intérieurement, il bouillonnait d'impatience ... mais alors qu'il ressentait cette chaleur du à l'excitation, un frisson lui parcouru subitement le corps. Il regarda alors sa main et retint un cri : celle-ci se recouvrait lentement d'une mince pellicule de glace. Il tira vivement sur sa manche et y enfouit sa main.
Comment cela se faisait-il ?
Comment cela était-il seulement possible ?
Etait-ce l'excitation qui avait engendré ce phénomène ?
Fabrisio chercha alors un coin tranquille, à l'abri des regards et des passants.
Il s'assit sur les marches d'un porche et tenta de se calmer. Cachant sa main sous son manteau, il espérait ne pas avoir été repéré. Mais personne ne semblait l’avoir vu. Une chance pour lui.
Il resta là quelques instants, pour se calmer. Et effectivement, sa main redevint normal à mesure qu’il se calmait.
Il se releva aussitôt, pour ne pas perdre de temps, et gagna l’aéroport.
Sur place, il n’eut en effet aucun mal avec la douane. Comment Cerebra s’y était-elle prise ? Avait-elle seulement agis sur cela ? Fabrisio s’en moquait presque tellement il était nerveux. Cela ne devait pas passer inaperçu aux yeux des douaniers, mais après tout, ce ne devait pas la première fois qu’ils voyaient quelqu’un de nerveux avant de prendre l’avion..
Une fois les formalités remplis, Fabrisio alla s’asseoir sur les fauteuils. Il fallait maintenant attendre que l’embarquement se fasse. Attente interminable d’après le jeune homme.
Il était à la fois nerveux d’être repéré et en même temps nerveux à l’idée de ce qui l’attendait.
Enfin l’embarquement commence … une nouvelle aventure également
[HJ = où vais-je ensuite?]
Il nota ainsi les indications données par Cérébra. Ceci fait, il plia la feuille et la mis directement dans sa poche.
Les dernières paroles de Cerebra eurent un impact sur le jeune homme.
Des gens comme lui ?
Une aide au sujet de ses "pouvoirs"?
Il en avait presque la tête qui tourne. Toutes ces infos à digéré d'un coup, cela était presque trop. Non, il devait garder la tête froide et les idées au clair. Ce n'était vraiment pas le moment de s'enliser.
Il n'avait qu'une heure.
Fabrisio se leva et se rendit au comptoir. Il demanda au gérant combien il devait et paya. Il du pour cela faire le fond de ses poches, mais il parvint tant bien que mal à trouver la somme. Il sortit ensuite, aussi calmement que possible.
Mais intérieurement, il bouillonnait d'impatience ... mais alors qu'il ressentait cette chaleur du à l'excitation, un frisson lui parcouru subitement le corps. Il regarda alors sa main et retint un cri : celle-ci se recouvrait lentement d'une mince pellicule de glace. Il tira vivement sur sa manche et y enfouit sa main.
Comment cela se faisait-il ?
Comment cela était-il seulement possible ?
Etait-ce l'excitation qui avait engendré ce phénomène ?
Fabrisio chercha alors un coin tranquille, à l'abri des regards et des passants.
Il s'assit sur les marches d'un porche et tenta de se calmer. Cachant sa main sous son manteau, il espérait ne pas avoir été repéré. Mais personne ne semblait l’avoir vu. Une chance pour lui.
Il resta là quelques instants, pour se calmer. Et effectivement, sa main redevint normal à mesure qu’il se calmait.
Il se releva aussitôt, pour ne pas perdre de temps, et gagna l’aéroport.
Sur place, il n’eut en effet aucun mal avec la douane. Comment Cerebra s’y était-elle prise ? Avait-elle seulement agis sur cela ? Fabrisio s’en moquait presque tellement il était nerveux. Cela ne devait pas passer inaperçu aux yeux des douaniers, mais après tout, ce ne devait pas la première fois qu’ils voyaient quelqu’un de nerveux avant de prendre l’avion..
Une fois les formalités remplis, Fabrisio alla s’asseoir sur les fauteuils. Il fallait maintenant attendre que l’embarquement se fasse. Attente interminable d’après le jeune homme.
Il était à la fois nerveux d’être repéré et en même temps nerveux à l’idée de ce qui l’attendait.
Enfin l’embarquement commence … une nouvelle aventure également
[HJ = où vais-je ensuite?]
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Re: Firenze, Italie
Ven 10 Nov 2006 - 12:54
Rends-toi ici pour ton arrivée.
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