New-York

Carl rentra chez lui après s'être exercé à maitriser son pouvoir. Quand il arriva au salon sa bonne lui demanda ce qu'il voulait avoir a manger, il la regarda et lui dit
je me ferais à manger tout seul.
Alors que le jeune homme se dirigeait vers la cuisine, la bonne lui dit:
Monsieur, vos parents veulent vous voir.
Je mange et après j'irais les voir. Au faite, ne m'appelez plus monsieur mais Carl et arrête de me vouvoyer, Je te le dit tout le temps.
Il partit se faire à manger et quand il eut finit de diner, il partit voir ses parent. Il tapa à la porte. Lorsqu'il entra, son père et sa mère le regardèrent pendant un moment et finalement son père se mit à parler.
[color=red]Mon fils, ta mère et moi avont décidé d'aller au restaurent ce soir. Alors il est interdit de sortir de ta chanbre!
Carl obéit à son père, leur dit bonne nuit et monta se coucher .

Ilregarda par la fennaitre pour voir si c'est parent était partie, quand il ne voyait plus la voiture il sortie de sa chambre et il partie en boite de nuit tous seul.

Quand Carl arriva devant la boite de nuit dans laquelle il voulait entrer cette fois. Un videur, ou plutot un géant lui refusa l'entrée.

"Primo, c'est pas fringué comme tu es que tu vas rentré et deusio, tu es trop jeune et j'ai pas besoin de ta carte d'identité pour le voir lors casse-toi."

carl regarda le videur dans les yeux avec une exprssion totalement neutral et il lui dit:
combient ont te paye pour garder l'entré de la boite car si tu me l'aisse entrer moi je te donnerais le double de ta paye
carl regarda le videur et attandit sa réponse.

Moïse sourit en voyant cette demi-portion le prendre de haut.

"Tu ferais mieux de renter chez toi, ni moi, ni ce club n'a besoin d'un petit avorton comme toi qui se croit tout permis. S'il y a la moindre descente ce soir, tout ce que tu pourra payer ne compensera ce que j'ai à perdre. Alors casse-toi gosse de riche et je ne le repèterai pas."

Melant le geste à la parole, Moïse poussa Carl en arrière pour écarter le passage vers les autres client qu'il acceuillit avec le sourire et en tournant le dos à Carl.

carl regarda le type, il ce mie a sourire car il venait de trouver son nouveaux garde du Corp. Il se mie en fasse de lui et il lui dit:
que dires tu de travailler pour moi comme garde du Corp tu sera trais bien payer, nourrit et loger gratuitement chez moi. A une seul condition c'est que tu me laisse entré je te promets de boire que de l'eau et rien d'autre. Alors tu accepte ou pas.
carl le regarda en attendent sa réponse et il ce préparer a activer c'est pouvoir au cà ou le videur dit non pour ce défendre.

[Pourrais-tu écrire de la même couleur que d'habitude, je suis dischromate et orange sur gris, ça passe opas vraiment. Faits attention à ton orthographe et à ta grammaire, passe par le correcteur de Word parce que le manque d'accent ou de ponctuation pose qulques problème.]

Moïse, se re tourna, il en avait rencontré des type lourd mais celui là tenait la palme. Ce n'était qu'un gosse et même s'il en avait le droit, faire degagez un mineur ne ferait que lui apporter des problèmes. Moïse s'adressa à un de ses collègues présent tout en ignorant Carl:

"Va appeler la police, je n'ai pas envie de me faire retirer ma licence à cause de ce gosse de riche, et explique leur bien pourquoi je m'en occupe pas tout seul."

Tournant, toujours le dos à Carl, Moïse continua à faire entrer des clients dans son club.

carl déçu retourna chez lui en téléphonant à c'est amie pour leur dire que c'est parent n'était pas la et qu'il aller faire une faite digne de ce nom.
Il téléphona chez lui pour avertir les personne qui travailler chez son père qu'il aller faire une faite et il rajouta:
fermé les porte des chambre a double tour pour que personne y entre et fermer la cave pour éviter qu'il vide les tonneaux de vin et il racrocha.

Alors qu'il attendait au coin de la rue pour siffler un taxi et rentrer chez lui profiter de ses amis, Un groupe de jeune interpella Carl.

"Mais regardez-moi ça les gars, tout droit sorti des beaux quartiers, inclinez-vous c'est ces gens là qui vont vous dirigez plus tard."

Celui qui semblait être le leader du groupe s'inclina. Quand il fut au plus bas, il saisit, un des chevilles de Carl et tira violemment le faisant basculer un arrière. La tête de Carl avait heurté le sol avec un bruit sourd quand les autres membres de cette bande le tirèrent dans une ruelle sombre.

Carl regarda les jeunes qui le traînait. Il leur fit un grand sourire et se dégagea en utilisant sont pouvoir pour geler les bras de ses assaillant en leur lançant.
"vous allez me lâcher "

Sa chute avait brisé le téléphone de Carl qui devint inutilisable, néanmois, il parvint à se libérer en givrant la manche de ses assayant qui le lachèrent plus par peur que parce qu'il avait eu mal, il commençait à fuir quand leur chef leur ordonna de rester.

"STOP! On se fixe!"

Les jeunes se figèrent

"Nous sommes dans une impasse, ce qui signifie que ce mutos devra nous passer sur le corps s'il veut partir. Nous sommes 5, que pourrai-til contre nous?"

*Ce erreurs de la nature mérite une bonne leçon pour s'en être pris à nous.*

Les jeunes anti-mutants s'alignèrent alors pour empecher Carl de sortir et lui donner la sentence qu'il méritait pour sa simple existence.

Carl les regarda avec détermination, s'il voulait passer il devait donner tous se qu'il pouvait . Il leur lança un regard qui montrait qu'il ne lui faisait pas peur et qu'il aller les battre même s'il doit laisser la vie.
Il pointa les main au sol et il essaya d'utiliser toute sa puissance pour geler toute la surfasse du sol en leur lancent .
"vous croyez me faire peur. Je vais vous faire sou-frire au point que vous me demanderez de vous tuer car la mort n'est rient a coter de ce qui va vous arrivez"
*j'espère que je sois crédible et qu'ils aurons peur de moi et de mon pouvoir*

Carl givra le sol qui prit une teinte luisante. Par peur, 2 des voyous prirent le fuite en courant, au coin de la ruelle, l'un trébucha avant de se relever pour partir de plus belle.

"Je vous retrouverez espèce de lâches..." murmura le caïd du groupe.

Puis il s'adressa à Carl,

"Déjà tout à l'heure avec Moïse, tu as cru tout avoir avec ton argent et maintenant, tu veux nous impressionner avec ça, tu ne mérites même pas le qualificatif d'animal."

Carl fut heureux de voir que deux jeunes sur cinq s'était enfuie en courant mais il se rappela qu'il y en avait encore trois à faire partir et que le plus dangereux était leur chef .

Carl les menaça pour leur faire peur car il ne voulait tuer personne. La seule chose qu'il voulait c'était de rentrer chez lui et de faire la fête avec ses amies.

"C'est courageux de votre part mais je vais être obligé de vous gelez"

Comme il l'avait annoncé, Carl tendit les bras pour projetter du froid vers ses agresseurs et les congeler mais il avait deja utiliser son pouvoir plus qu'il ne le pouvait et il ne put que givrer legerement leurs habits.

Très vite, le leader d'antimutants compris que leur enemi n'avait plus de jus, il se jetta sur lui en hurlant.

"Il est comme nous, ne craignez rien et faites lui regretter."

Les trois garçons se jettèrent sur Carl, l'immobilièsèrent et le frappèrent jusqu'à ce qu'il perde conscience.

Quand il se reveilla, Carl était allongé dans un lit, maintenu dans ue camisole et paralysé par la douleur, il ne pouvait sortir de son lit. Autour de lui, une pièce blanche sans aucun autre meuble que celui sur lequel il était. Au dessus de lui, une lumière aveuglante masquait le plafond. Une seule issue à ce cauchemar, une porte banche aussi dans laquelle se dessinait une petite fenetre.Carl se sentait observé.

[hrp=désoler ]
Carl regarda la porte. Il attendit que la douleur se dissipe et il se mit à crier.

"Il y a quelqu'un ?"

*zut, pourquoi je ne suis pas resté chez moi. Je ne serais pas dans ce pétrin.*

Une infirmière entra dans la chambre de Carl, elle portait un plateau recouvert de divers ustensile.

"Restez calme monsieur, on vous a ammené suite à la bagarre mais étant donné les circonstances de l'agression, nous avons été obligé de vous attaché."

La jeune femme prépara une aiguille et quelques flacons

"Je vous conseille de ne pas bouger si vous ne voulez pas avoir mal."

Elle posa un garrot à Carl au niveau de son biceps droit.

[Tu as réussi à fair plus de fautes dans ton post de correction alors j'ai tout effacé.]

Carl se laissa faire et pendant qu'elle lui prélevait du sang il lui posa quelque questions.

comment suis-je arrivé là? si vous pouviez me détacher , je ne ferai rien pour me défendre et pourriez-vous appeler mes parents ,s'il vous plait, pour qu'ils ne s'inquiètent pas?.

L'infirmière eut soudain un sourire sadique. Elle planta d'un coup son trocart et commença à chercher une veine tout en parlant. Pour Carl, la douleur devenait trop longue pour être supportable.

"Vous n'avez pas à savoir comment vous êtes arrivé là. En ce qui concerne vos parents, je vous conseille de ne pas les contacter si vous ne voulez pas les tuer, ar eux, ils vous croient mort, votre enterrement a même déjà eut lieu."

LA jeune femme changea de tube de prélèvement, elle en était déjà au quatrième.

"Une belle cérémonie d'ailleurs."

Une fois les 10 tubes remplis, l'aiguille fut retiré sans precaution. Un bel hématome douloureux ferait son apparition dans quelques heures sur l'avant bras de Carl. La femme en blanc sortit de la pièce tout en lachant un dernier commentaire.

"De toute façon, vous n'aurez jamais l'ocasion de revoir votre famille puisque vous ne sortirai jamais d'ici."

Carl ne voulait pas croire l'infirmière. Il décida de sortir du bâtiment par tous les moyens. Mais en première chose il devait utiliser ses techniques de karaté pour enlever la camisole qui l'empêchait d'utilise ses bras.

Malgé toutes ses reflexions, Carl n'arrivait pas à se défaire de la camisole de force qui l'immobilisait.

[Si tu n'expliques pas ce que tu veux faire, il ne se passera rien?]

Carl regarda si l'infirmière lui avait remis le camisole . Comme elle ne lui avait pas remis, carl se mit à faire des échauffements pour garder la forme et pouvoir trouver quel était le meilleur moyen de partir de cet hôpital de fous.
Carl se rappela qu'il ne devait pas aller voir ses parents mais dès qu'il serait sorti de l'hôpital il devrait aller voir la police pour leur dire ce qui lui était arrivé.

L'infirmière avait commis une grave erreur en oubliant de remettre une des manche de la camisole de Carl mais l'autre restait fixé dans son dos.

Tout en faisant ses echauffements, Carl put voir la pièce sous un autre angle; il pu voir en particulier des vitres en plexiglas qui faisait le tour de la chambre. Orienté à 45°, elle permettait à des observateurs d'etudier Carl sans que celui puisse les voir, à condition qu'il ne puisse sortir de son lit.

La seule pointe de couleur de la pièce était le lit de Carl qui était faits de tuyaux en métal. Tout le reste de la pièce n'était qu'un blanc eclatant et aveuglant. La porte, presque invisible n'avait ni poignée ni serrure.