Une longue route

"Léopold! Carmen!"

L'oncle Ted s'approcha d'eux, serrant alternativement la main de Papy, embrassant Mamy sur la joue et finalement il serra la main d'Andrew.

"C'est le p'tit Andy? Il a bien grandi depuis la dernière fois que je l'ai vu!"

L'homme ne rappelait que vaguement quelque chose à Andrew.

"Ted! Que fais-tu dans notre beau pays?"

Andrew regarda son oncle Ted,il ne ce rappeller plus trop de lui, mais ça lui faisait plaisir de le revoir.

"Comment vas tu mon oncle?, cela fait plaisir de te revoir, et comment va ma tante Marguerite?."

Andrew dit tout cela en lui serant la main, et en lui adressant un grand sourir, mais il continua, d'observer ce qui ce passer autour de lui.

"Je vais bien, je vais bien merci! Tante Margot m'a invité chez elle pour mes vacances. Je suis arrivé avant-hier! Elle ne m'avait pas dit que nous aurions de la visite aussi importante par contre."

Andrew ne remarqua rien de surprenant sur le quai : d'autres retrouvailles, des gens qui allaient et venaient d'un pas plus ou moins empressé, un attaché-case à la main ou un sac au dos. Après quelques "Mais voyons, nous ne sommes pas si importants", "si si, je vous jure" et autres flatteries, Ted prit quelques bagages et les guida jusqu'à chez leur tante, qui habitait dans un petit duplex à la plate-bande particulièrement fleurie. Après avoir cogné, ils entendirent la tante demander de qui il s'agissait puis, s'étant présentés, elle s'activa lentement, laissant entendre le tintement de chaînes et le bruit de verrous : visiblement la tante Margot préférait être en sécurité.

"Bonjour, chère tante, comment allez vous?."

Andrew avait été prévenu, sa tante était à cheval sur la politesse, et les conevenances, Andrew avait donc fait quelque effort de présentation et avait mis,sa plus belle chemise,et avait nouer ses cheveux en chignon.
Il fit la bise à sa tante,et avança dans l'entrée.

"Tante marguerite vous attendez,d'autre personne de la famille,ou des amis à vous peut etre?."

Andrew observa toute les chaines et les verrous sur la porte de sa tante, et embrassa la maison de sa tante à la recherche d'un eventuel ordinateur.

[À l’avenir, Andrew, je te demanderais de faire un petit effort dans tes messages. Bien qu’un nombre minimal de lignes de rp ne soit pas inscrit, étoffe tes messages. Pour te rendre jusqu’à l’Institut il sera important que tu atteignes un niveau de rp plus important, sinon tu auras un peu de mal avec les missions. Ne prends pas cela comme une accusation ou un défaut, mais bien comme une critique constructive. Bonne réponse!]

"Je vais bien merci, et toi Andrew?"

Dès que tout le monde fut entré et se soit salué, la voix de la tante Marguerite, pourtant petite et ridée, se fit entendre par-dessus les autres, s'adressant visiblement aux grands-parents d'Andrew.

"Quand va-t-il se couper les cheveux? On dirait une fillette!"

Feignant probablement la surdité, elle ne répondit pas à Andrew, mais il put voir par la porte ouverte de la salle à manger que seulement 5 services étaient impeccablement disposés. Voulant probablement dévié le sujet, Papy questionna sa belle-soeur sur ses mesures de sécurité.

"Pourquoi tant de verrous, Margot?"
"Vous n'avez donc pas les journaux ni la télévision, encore, au nouveau mexique? C'est pour les mutants bien sûr! Un véritable fléau! On ne sait jamais quand ils viendront nous tuer dans notre sommeil!

Sur le moment, Mamy et Papy restèrent muets, et l'oncle Ted était déjà parti pour la salle de bain.

Andrew resta interdit devant les paroles de sa tante, ces propos étaient des plus choquant mais l'on pouvait comprendre sa tante, vu ce que véhiculer les médias.Il pensait quand meme que sa taty devenait quelque peu parano, l'age aidant peut etre.De plus sa réaction vis à vis de son entretien capilaire,lui semblait une entrée en matiére rapide, en effet elle n'avait pas vue Andrew depuis des années, et elle commençait déja etre agressive.

*si tu a si peur des mutants,j'aimerais bien voir ta tete si tu savais que tu viens de dire bonjour, à un de ces mutants qui te fait si peur.Il manquerait plus qu'elle cache des armes.*

Andrew sourit alors qu'il pensait à cela.

"Taty, tu a déja vu un de ces mutant en vrai?je suis sur que certains sont aussi gentil que toi ou moi!"

*Plus moi que toi, je pense, parce si ils étaient tous comme toi, je donne pas cher de la peau de la planète.*

"Sinon à part tes verrous tu as autre chose pour empecher que ces terribles mutants viennent te tuer dans ton sommeil?!."

Andrew regarda sa Taty avec un regard amusé en attendant une réponse, il espérait qu'elle ne feindrait pas la surdité cette fois si.

(Hj:Désolé,j'ai pris note de ces remarques,en effet elle sont constructive donc je ne les prends pas mal,merci.Je tiens juste que à cause de mon travail je n'avais pas beaucoupe de temps ces derniers post,mais je reprends des horaires plus humain,jeudi,merci pour ces conseils en tout cas.)

[HJ : Si tu as toujours peu de temps, tu peux utiliser la fonction "brouillon" qui sauvera ton message dans ton profil. Cependant, je te conseillerais alors de citer le message précédent (sans oublier de l'enlever en postant) car en venant "éditer" le brouillon, tu ne vois pas les autres messages.]

"Il se trouve que le voyou de voisin de mon ami Gédéon est un mutant! Il ne cessait pas de faire de grabuge dans le voisinage et lorsque la police l'a appréhendé, ils l'ont envoyé dans une école de correction, en France. Le CIAQ, ou CIAM ou quelque chose du genre. Depuis ce temps, le quartier est bien plus calme et sûr!"

Alors que les grand-parents d'Andrew semblaient sidérés par la conversation, et peut-être le risque d'une explosion nucléaire, la tante Margot répondit à la seconde question de son petit-neveu.

"Quelle arrogance! Vous ferez le message à ses parents qu'ils auraient pu faire l'effort de mieux l'élever!"

"Marguerite, ne parle pas de mon fils de cette..."

"Andrew, sache que je me suis arrangée pour que ma sécurité personnelle soit on ne peut plus correcte.

Margot changea d'appui sur la canne dont elle se servait depuis son entrée, l'air de le mettre au défi de lui poser plus de questions.

Andrew en était sur sa taty avait cédée à la panique mutante ambiante,c'est vrai que les évènement était contre eux,enfin nous maintenant.

"Et comment à tu fais cela tante Marguerite,car à part des verrous je ne vois rien d'autre?."

Andrew avait dit cela en ayant l'air de relever le défi sa tante.

"Et ton ami Gédéon il habite loin d'ici?"

Andrew regarda ces aieux,et en les voyant il pensa*ce sont les derniéres questions que je le lui posent, aprés c'est fini.*
Andrew ne voulait pas faire honte,à ce coter de sa famille, c'était important pour lui,mais si cela n'allait pas il appellerait sa mère,peut etre avait t'elle de la famille dans New-york,ou plus prés de New-york.
Si tout les gens étaient comme sa tante alors le chemin vers ce lieu d'acceuille pour mutant tiendrait plus de la quete, que d'une longue route, en pensant à cela Andrew sentit la fatigue l'envahir.

L'oncle Ted invita tout le monde à s'installer à table et Taty Margot en profita pour faire la sourde oreille une fois de plus, bien que son air pincé laisse croire qu'elle eut été offusquée par le manque de tact de son petit-neveu.

Après avoir complimenté la cuisine de sa belle-soeur, papy démarra une discussion avec Ted, lui demandant comment ça se passait dans son bout du monde.

"Eh bien à vré dire, y'a pas grantchose! Ma tite famille va à merveille, le boulot va bien, mon boss m'a même pas embêter quand j'lui ai d'mandé mes vacances! Par contre, il se passe des trucs bizarres dans ma région. Les gens les plus s'perstitieux croient qu'c'est à cause du cim'tière aborigène pas loin d'la ville. Y paraît qu'des gens ont vus des réunions de monstres, ou d'fantômes dans les grottes autour du cim'tière. Des histoires à donner la chair de poule, mais j'y crois pas trop, à tout ça, moi!"

Il prit une bouchée puis s'adressa à Andrew :

"Au fait p'tit gars, on savait pas qu'tu v'nais! Qu'est-ce qui t'a amené ici?"

Andrew n'était pas surpris part la question de Ted,de plus elle semblait normal,il réfléchit un peu et durant ce laps de temps il essaya de trouver une idée assez crédible pour ne pas crée un nouveau sujet de discussion ou il en sera l'attraction principale.

"Ben, en faite je suis en vacance et j'en ai profiter pour aller voir,papy et mamy,de plus,au vu des évènement je m'interresse au phénoméne mutant,je compte parler à certains d'entre eux pour avoir différent points de vue et aussi à des non mutants,je pense que ceci pourrait etre interessant de savoir ce qu'il veulent vraiment!donc je comptais me rendre à New-york ou l'on m'avait parler d'un lieu d'acceuil pour mutant;voila en plus cela me permet de rendre visite à la famille."

*j'espére qu'il ma crut et que Taty aussi parce que sinon ça va etre chaud pour s'en sortir.*

Andrew regarda Ted avec l'aplomb neccesaire pour qu'il pense que son mensonge était vrai,il n'aimait pas beaucoup mentir,mais ceci était préférable,il posa juste une question histoire de savoir ce que Ted pensai des mutants

"Sinon toi t'en pense quoi des mutant?il sont tous à mettrent dans le meme panier ou il y en a qui sont bon?moi je pense qu'il faut voir ça au cas part cas et toi?"

Andrew continua de le regarder en espérant un discour plus mesuré que celui de tante Marguerite.

Son interlocuteur ne répondit pas immédiatement. Il déposa d'abord sa fourchette sur le rebord de son assiette et s'éclaircit la gorge alors que Margot commençait à parler d'animaux sans autre volonté que de tuer.

"J'te dirais qu'tu fais pas les choses à m'tié, p'tit gars. Te rendre directement à l'endroit l'plus tendu et dangereux du globe pour interviewer des mutos! C'pas n'importe quoi ça! Ç'pour l'journal d'ton high school? Pour un peu on croirait qu't'es un mutant toi'si!"

Il prit une inspiration et reprit.

"Chez nous, on en parle pas tant tellement, mais ça fait quand même peur tout ça. On a beau vouloir êtr'ouverts, l'actualité est un 'tit peu pas la pour nous réconforter"

Andrew prit une inspiration, sur certains points son oncle avait raison, la récente actualité n'était pas à mettre au crédit des mutants, pourtant Andrew rester persuader que cette institut serait bonne pour lui.
Mais il ne savais pas trop quoi faire, ces aieux eux était mésuraient et avaient bien accepter sa nature de mutant,sa tante Margot quand à elle représentait une partie de la population effrayée par les mutants,ce qui au vues des récents évènements n'était pas à blamé, tout au long de ce repas il avait été tirailler entre l'idée de tout avouer, et celle de leur cacher la vérité, pour le moment.Il avait opter pour le seconde solution.

"En effet mon oncle, c'est pour le journal de mon high school, si on veut faire un travaille correcte, il faut en vouloir, je pense que notre famille est comme ça nous on fait jamais les choses à moitié."

Andrew regarda ces aieux avec un grand sourire ainsi que son oncle et sa tante,il était un peu stressé par cette situation,mais elle était necessaire,si il voulait etre en paix avec lui meme.

"Mon oncle,tu ferais quoi si tu apprenais que j'etais un mutant?"

Enfin la question avait été posait meme si il se doutait de la réponse de sa tante, il espérait que son oncle ne serait pas aussi extremiste que la tante Margot.

Ted s'était montré enthousiaste face au faux projet journalistique d'Andrew, mais il s'arrêta, la fourchette à mi-hauteur jusqu'à sa bouche, lorsqu'il se vit demander sa réaction si il apprenait que son neveu était un mutant. Visiblement, la question ressemblait à un aveu pour lui.

"Qu'est-ce que tu veux dire?" demanda-t-il, lentement, bien que la question fut très claire. Alors que Mamy avait reposé les ustensiles à côté de son assiette, Papy tenta de sauver la mise à son petit-fils.

"Pour le journal, il demande aux gens comment ils pensent réagir, afin de comparer ces réponses avec ce que les mutants ont réellement vécus."

La tante Marguerite suivait la discussion avec attention, les doigts croisés au-dessus de son assiette, le visage aussi froid qu'un marbre cryopréservé.

*Merci papy je te revaudrais ça, j'aurais du tourner trois fois ma langue dans ma bouche avant de parler*

Andrew ce resaissit,remerciant papy de lui avoir tendu cette perche pour qu'il puisse s'en sortir.

"En effet, pour le journal, je demande aux gens comment ils pensent réagir, afin de comparer tout cela avec le vécus des mutants."

*Je pense que je vais arreter cela me semble dangereux, vu la façon dont taty m'observe, je risque de provoquer une guerre nucleaire.*

Andrew adressa un sourire à sa tante et commença à débarasser la table.

"C'était trés bon ma tante, je tiens à m'excuser pour mon comportement de tout à l'heure, je suis un peu fatiguer et trés pris par le travaille pour le journal."

Andrew était sincére, et de plus il était fatigué par ce long voyage,il fit la bise à tout le monde et demanda si il pouvait ce coucher.

"Foutaises! Je ne crois pas un satané mot de toutes ces histoires de journal! J'ai été institutrice, mon jeune Andrew, et je sais très bien qu'aucun élève ne se donnerait autant de mal. Si tu veux aller voir les mutants de Salem, va les rejoindre. Tout de suite! Si tu veux aller dormir, il y a des hôtels dans la ville! Je n'accepterai pas qu'un monstre dorme sous mon toît! Je t'ai déjà offert un repas chaud, ce n'est pas assez? Vous ne méritez pas autant! Saleté de mutants!"

"Tante Margot'! Du calme! On ne peut pas l'accuser...

"Oh si je le peux!"

Elle était allée chercher un rouleau à pâtisseries à la cuisine et semblait bien décidée à s'en servir pour mettre son petit-neveu sur le pas de la porte, peu importe les liens de parenté.

"Enfin, Marguerite, c'est mon petit-fils!" S'insurgea Mamy.

"Parlons-en! Si tu n'avais pas épousé ce bon à rien, comme je t'avais dit, il n'y aurait probablement pas eu de telles tares dans la famille! Sa soeur est aussi une mutos, je parie!"

Papy venait de se lever de sa chaise, lui aussi, le regard aussi furieux mais moins hystérique que celui de Margot.

Cela devait arriver,il détester ce genre de réactions extrémiste,cette loi qui permetter de renier un enfant mutant, qui lui faisait si peur.Ses aieux eux comprenait sa situation mais eux étaient à part, sa tant elle ne voyait qu'en lui un monstre et plus son petit fils, il était inutile de d'essayer de la raisonner,son secret était fichue.
Andrew se leva de sa chaise,et se dirigea vers son papy,puis mis sa main sur son épaule,tranquilement et il lui dit d'une fois clair.

"Mon aieux, c'est fini cela devait arriver,mais je ne penser pas subir de tel réaction de la part des gens de ma famille, je suis un membre de cette famille avant d'être le monstre,le croque-mitaine qui hante vos nuits, je ne vous veux aucun mal, je veux juste compendre ce qui m'arrive, je ne veux pas être l'instrument de mes pouvoirs."

Puis Andrew ce tourna vers sa Tante et luidit avec un regard noir:

"Jet'interdit de dire du mal de ma soeur, elle n'a rien n'a voir dans tout cela, et bannis le terme mutos de ton vocabulaire."

Puis il jeta un regard à son oncle et à sa mamy pour leur montrer qu'ils les aimaient,
ce qui était sincére, il regrettait cette situation.

"Pardonne moi mon oncle, pardonne moi mamy, je ne sais pas ce que vous pensez, mais surtout n'oublier pas que je vous aime sincérement, vous êtes ma famille."

Andrew pris sa mamy dans ses bras, et pris sont sac avec ses affaires, il dit aurevoir de la meme façon à son grand-pére et salua son oncle.

Il ce dirigea vers la sortie l'air triste mais décider, mais abattu par les récent évènement.

*Avec mes pouvoirs je pourrais peut etre avoir un billet de monorail pour New-york, il me semble que les automats sont tout le temps ouverts aprés tout*

Il espérait avoir raison et pouvoir vite se rendre dans cette institut dont il avait l'adresse.

(HJ:j'espére avoir fait des effort au niveau du rp, et que je ne suis pas trop chiant , merci.)

Il avait été déçu par ses réaction, mais on pouvait les comprendre, Andrew était désormais seul, pourquoi? pour la seul raison d'être différent par son bagages génétique, il ne pouvait plus que compter sur lui,mais son plan était simple, ce rendre à New-york à l'adresse de l'institut.
Ses pas résonnaient sur les pavés, il ne remarquait rien même pas les insultes de la femme, il ne savait même pas ce qu'elle lui foulait, il marcha jusqu'au dépanneur.
Il fut content de voir que personne ne faisait attention à lui

*C'est ça lit ton magazine et ne fait pas attention à moi, ça sera plus facile pour moi.*

Il était un peu stressé il n'avait jamais fait ça, mais savait qu'il avait une chance, il fit mine de pianoté sur l'automate pour tirer quelque billet, et s'introduisit dans le réseau pour tirer 250 dollars.

*J'éspère que cette somme me permettra d'aller ou je souhaite me rendre.*

En attendant les billets, Andrew réfléchit à la suite de son plan les nouvelles aller vite et sa Tante pouvait le dénonçer, du moins il imaginer bien que c'était le genre de personne à le faire.

Andrew ne parvint pas à détourner la machine, qui refusait de donner le moindre billet sans qu'on lui donne un numéro de compte et le NIP associé.
Par chance, Andrew parvint à retrouver les informations binaires concernant le dernier client ayant utilisé l'automat. Une question éthique se posait donc à lui : voler cet individu pour parvenir plus rapidement à l'institut Charles-Xavier ou bien trouver une autre façon de trouver de l'argent pour s'y rendre?

Il n'avait pas trop le temps de réfléchir, car l'homme à la caisse s'apercevrait bien, à un moment donné, qu'Andrew flânait depuis longtemps à proximité du guichet, bien qu'il semble toujours occupé à lire son magasine en balançant faiblement la tête au son du rythme populaire qui passait à la radio.

Andrew hésita quelque seconde, c'était une question de survie, il devait se rendre vite à l'institut Charles-Xavier, et il ne voyait pas d'autre façon de trouver de l'argent aussi rapidement pour si rendre, de plus il trouverai un moyen pour rendre l'argent à cette personne.

*Monsieur, Madame merci pour cette argent, je m'excuse mais c'est juste un empreint.*

Ainsi pour la premiere fois de sa vie il franchit la ligne et vola un individu,il s'en voulait mais il devait agir rapidement.
Avec ses information binaire Andrew décida de tira rapidement 25O dollar, afin de payer son voyage, ainsi l'homme à la caisse ne remarquerait pas Andrew.
Une fois la somme en poche, il se dirigea d'un pas rapide vers cette gare, il était fatigué et voulait vite arrivé à cette institut, ainsi son voyage serait terminer.
Ce voyage ou il avait perdu une partit de sa famille, commit un vol et son voyage n'était pas fini,en pensant à cela Andrew fut assaili part un poids immense, il était déterlminé à terminer son voyage au plus vite.
Arriver à la gare il prit un billet pour New-york,son esprit était concentrer que sur un seul endroit l'institut Charles-Xavier.

*Institut Charles-Xavier me voila, j'éspère que tu répondra à mes attentes.*

Lorsqu'il sortit, Andrew remarqua que le commerçant avait fermé son magazine, gardant sa page avec un doigt, et s'était étiré le cou pour vérifier que tout était correct. Mais en voyant le mutant retirer de l'argent, il retourna à sa lecture et n'y porta pas plus attention, souhaitant simplement une bonne soirée à Andrew lorsqu'il sortit.

Une fois à la gare, le commis le regarda d'un air méfiant.

"Le monorail pour New-York? Le prochain est à une heure du matin. Un train de nuit, à faible vitesse. Vous serez arrivez à l'ouverture de la gare centrale, vers six heures. Si cela vous convient, ça fera..."
Il calcula à l'aide de son ordinateur, appuyant à quelques endroits sur l'écran tactile.
"... cent trois dollars et vingt-neuf cents."

Heureusement il avait tiré assez d'argent pour pouvoir ce payer ce billet vers son asile,mais il ce sentait un peu honteux d'avoir voler cet argent.
Andrew donna cent cinquante dollars au guichetier, en attendant sa monnaie il regarda si il avait de quoi prendre un café histoire de ce tenir éveiller.
Il pris sa monnaie tout en remerciant le guichetier tout en essayant de ne pas eveiller l'attention du cafetier, et ce dirigea vers un distributeur à café.
Il ce prit un gros café pour patienter et il attendit tranquillement le monorail pour New-york tout en faisant un point sur sa vie.
Au bout d'une heure il entra dans le monorail,et s'installa dans un siege du côté d'une fenêtre, pour pouvoir regarder le paysage.
Le payasage qui défiler faisait écho à son passé il perdu dans ses penser, Andrew en eu une pour ses aieux, eux l'avaient aidé, il ne l'avaient pas jugé, une fois arriver à l'institut, ils les appeleraient pour leurs donner des nouvelles, ses parents aussi car il leurs devait des explications,il avait hâte d'arriver à New-york et dans cette institut.

*New-york, institut Charles-Xavier me voilà!!*

Andrew assit sur son fauteuil, pencha légèrement la tête pour observer le payage.

Dans le paysage de la vitre, Andrew vit apparaître des rondeurs, à un moment. Il distingua ensuite une cascade de cheveux blonds qui y tombaient et comprit qu'il s'agissait d'un reflet. Au même moment, une voix avec un accent germanique s'adressa à lui.

"Pardonnez-moi. Ch'ai vu que vous étiez éfeillé auchi et che me demandais chi nous pourrions dichcuter pour pacher le temps. Che me nomme Léa Schmidt et che chuis fenue en échanche étudiant à partir de l'allemagne. Che fiens d'arrifer aux États-Unis d'Amérique et le décollache horaire m'affecte encore beaucoup."

Elle lui offrit un sourire digne d'une publicité pour dentifrice et s'assied sans attendre de réponse, posant un sac à main très élégant sur ses genoux. Ayant la chance de pouvoir l'observer, puisqu'il était en face d'elle, Andrew pu remarquer son physique fort avantageux. Digne d'une publicité pour une excellente bière blonde allemande, en fait.

Andrew était content d'avoir de la compagnie pendant ce long voyage, mais il ne s'attendait pas à avoir de la compagnie aussi charmante,il lui adressa un sourire et tourna sa tête vers elle.

"Enchanté Léa, moi c'est Andrew, et tu étudies quoi?, je comprend le décalage horaire est assez difficile à supporter, mais bon tu vas t'y faire."

Le petit accent de cette jeune, lui donna un certains charme et il lui remonta le moral, de plus il n'avait pas fait énormément de rencontre depuis son départ chez ses parents.

"Sinon tu vas jusqu'ou?si tu vas jusqu'a New-york toi aussi ça serait cool, parce que moi aussi j'y vais!comme ça on pourra parler pas mal de temps, tu me parlera de l'Allemagne et moi je te parlerais un peu des Etats-Unis si tu veux bien sur."

Andrew regarda Léa et il la trouver différente des autres filles, qu'il avait l'habitude de rencontre,peux être le ce petit charme européen, voir germanique.
En tout elle plaisait à Andrew, et dans cette triste nuit,alors Andrew sourit.

"Tu as un trés jolie sac!"

Pendant le voyage, il lui parla des us et coutume américaine, de leurs gouts,des son peuple, ses origines.

"Vois tu au Etats-unis on peut manger une quantité de choses, sans ppour autant en manger avec des produit non chimique dedans, c'est un peu le charme des Etats-unis."

Tout cei fut dit en rigolant et Andrew écouter avec attention Léa parler tout en lui adressant quelque sourire ravageur dont il avait le secret.
Cette rencontre faisait passé le voyage en monorail terriblement vite et c'était pas plus mal.

Léa savait se montrer intéressée et, lorsqu'elle avait dit qu'elle voulait discuter, elle ne mentait pas. Elle devait avoir mené au moins le trois quart de la discussion, parlant de son pays, de ses impressions ici, de sa famille, de ses cours, lui racontant des anecdotes rigolotes, etc. Elle lui raconta d'ailleurs qu'elle étudiait à l'Université de Philadelphie et s'en allait rencontrer une amie, aussi en échange, à New York, où elles désiraient visiter, certes, mais surtout magasiner.

Après l'avoir remercié d'avoir complimenter son sac, elle enchaîna sur la nourriture.

"Tu chais, ch'ai bien remarqué que la nourriture ichi était très grache et peu nutritive. Par exemple, chez nous, les Hambourgeois chont bien meilleurs. Il y a de la fraie moutarde et de la choucroute dedans."

Elle s'arrêta un instant, lui envoya un sourire charmeur et demanda :

"Au fait, che chuis décholée, che ne t'ai pas demandé. Pourquoi tu fas à New Yorque? Tu n'as pas l'air très chitadin..." C'était dit sans qu'il ne semble y avoir de préjugé, juste une question et une affirmation.