Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
- Brieuc de FolcoatLeX
- Age : 26
Equipe : LeX
Nom de code : Korrigan
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 1:24
Malgré son épaule endolorie, Brieuc se cramponnait à Crafton, essayant de ne pas se faire éjecter. Les mouvements désordonnés faisaient grimacer le jeune garçon qui sentait une douleur sourde engourdir son articulation.
Mais, ils étaient fait en quelle matière ces gens là ? Déjà, Caremus avait encaissé sans broncher plusieurs balles tirées à bout portant par Shane. Même si l’Irlandais visait comme un manche, il n’était pas possible qu’il ait raté sa cible à une si faible distance. Ensuite, voila que son dernier adversaire semblait lui aussi construit dans un alliage indestructible, sur lequel le Breton venait de se fracasser tel un moustique sur un pare-brise de voiture. Ce n'était pas des hommes. On ne pouvait pas être invulnérable à ce point...
De plus, comble de malheur, le soi-disant artiste sociopathe, devenu le pire cauchemar du garçon, s’était aperçu du manège et arrivait, telle une fusée, droit sur eux.
- Pardon, pardon... Je... Je voul... Je savais pas...
Effrayé, Brieuc lâcha aussitôt Crafton pour se reculer vivement. Son regard terrorisé fixait le psychopathe qui se ruait vers eux. Troublé également par les derniers propos de celui qu’il venait d’essayé d’attaquer, l’adolescent était complètement désorienté. Encore une fois, il avait mis à côté de la plaque et sa dernière action se soldait par un échec complet.
Faisant encore un pas en arrière, le jeune mutant se rapprocha de la voiture tout en regardant autour de lui, cherchant désespérément une échappatoire. Il se sentait piégé, comme un renard dans une cage. Sentant le véhicule à côté de lui, Brieuc tenta encore une fois de modifier la taille de son corps, rapetissant cette fois le plus possible. Puis, tenant d’une main son short pour l’empêcher de glisser, il se laissa tomber au sol, voulant rouler sous la voiture pour se mettre à l’abri.
Mais, ils étaient fait en quelle matière ces gens là ? Déjà, Caremus avait encaissé sans broncher plusieurs balles tirées à bout portant par Shane. Même si l’Irlandais visait comme un manche, il n’était pas possible qu’il ait raté sa cible à une si faible distance. Ensuite, voila que son dernier adversaire semblait lui aussi construit dans un alliage indestructible, sur lequel le Breton venait de se fracasser tel un moustique sur un pare-brise de voiture. Ce n'était pas des hommes. On ne pouvait pas être invulnérable à ce point...
De plus, comble de malheur, le soi-disant artiste sociopathe, devenu le pire cauchemar du garçon, s’était aperçu du manège et arrivait, telle une fusée, droit sur eux.
- Pardon, pardon... Je... Je voul... Je savais pas...
Effrayé, Brieuc lâcha aussitôt Crafton pour se reculer vivement. Son regard terrorisé fixait le psychopathe qui se ruait vers eux. Troublé également par les derniers propos de celui qu’il venait d’essayé d’attaquer, l’adolescent était complètement désorienté. Encore une fois, il avait mis à côté de la plaque et sa dernière action se soldait par un échec complet.
Faisant encore un pas en arrière, le jeune mutant se rapprocha de la voiture tout en regardant autour de lui, cherchant désespérément une échappatoire. Il se sentait piégé, comme un renard dans une cage. Sentant le véhicule à côté de lui, Brieuc tenta encore une fois de modifier la taille de son corps, rapetissant cette fois le plus possible. Puis, tenant d’une main son short pour l’empêcher de glisser, il se laissa tomber au sol, voulant rouler sous la voiture pour se mettre à l’abri.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 1:36
Crafton avait cessé de s'interresser à Brieuc dès le moment où son chef s'était élancé dans leur direction. Alors que le petit garçon détalait aussi vite qu'il le pouvait pour aller se réfugier sous un véhicule, il sentait le souffle de Caremus se rapprochait de lui. Trop rapide... Trop...
... il se fit le plus petit possible et roula sous le véhicule. De là, il put voir...
Au loin, l'albinos qui avait suivi l'action se débarrassa de Mark d'un seul coup de poing. L'acolyte de Caremus en fut instantanément décapité et son corps décolla dans les airs, avant de retomber, suivant une ellipse parfaite, à quelques pas de là. Puis l'albinos s'élança lui aussi à pleine vitesse...
Le Grand-Père de Brieuc vacilla puis s'effondra au passage de la fusée Caremus. Il avait été blessé. Certainement. Mais le petit mutant ne pouvait en voir plus. Tout allait vite. Tellement vite...
Crafton fut renversé également par Caremus et alla s'écraser contre une boutique, le visage encastré dans la vitrine.
Et au moment où l'artiste sociopathe allait enfin fondre sur la cachette précaire de Brieuc, l'éclair blanc et rouge vint encore le sauver. Trop rapide pour les petits yeux du jeune homme, il se produisit une explosion et le visage de Brieuc fut arrosé par des gravats.
Quand il ouvrit à nouveaux les yeux, il vit... une main. Une main sectionnée au poignet. Et sur la tranche du poignets, il y avait des circuits imprimés.
Devant lui se tenait l'albinos debout au milieu d'un cratère. L'impact avait même percé le bitume. Quant à Caremus... Il n'était plus visible.
... il se fit le plus petit possible et roula sous le véhicule. De là, il put voir...
Au loin, l'albinos qui avait suivi l'action se débarrassa de Mark d'un seul coup de poing. L'acolyte de Caremus en fut instantanément décapité et son corps décolla dans les airs, avant de retomber, suivant une ellipse parfaite, à quelques pas de là. Puis l'albinos s'élança lui aussi à pleine vitesse...
Le Grand-Père de Brieuc vacilla puis s'effondra au passage de la fusée Caremus. Il avait été blessé. Certainement. Mais le petit mutant ne pouvait en voir plus. Tout allait vite. Tellement vite...
Crafton fut renversé également par Caremus et alla s'écraser contre une boutique, le visage encastré dans la vitrine.
Et au moment où l'artiste sociopathe allait enfin fondre sur la cachette précaire de Brieuc, l'éclair blanc et rouge vint encore le sauver. Trop rapide pour les petits yeux du jeune homme, il se produisit une explosion et le visage de Brieuc fut arrosé par des gravats.
Quand il ouvrit à nouveaux les yeux, il vit... une main. Une main sectionnée au poignet. Et sur la tranche du poignets, il y avait des circuits imprimés.
Devant lui se tenait l'albinos debout au milieu d'un cratère. L'impact avait même percé le bitume. Quant à Caremus... Il n'était plus visible.
- Brieuc de FolcoatLeX
- Age : 26
Equipe : LeX
Nom de code : Korrigan
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 1:58
Choqué, Brieuc resta quelques secondes sous le véhicule, abri bien précaire il est vrai, mais le seul à sa portée l’instant d’avant. Juste devant ses yeux, il fixait, sans trop comprendre la main tranchée, appartenant visiblement à un androïde.
Ainsi, c’était donc ça, ses adversaires étaient donc des espèces de robots… Cela expliquait beaucoup de chose. Mais qui pouvait être le monstre qui programmait de tels êtres ? Des êtres capables de tuer dans des circonstances aussi horribles ? Il fallait être soi-même un monstre sans conscience pour créer des telles abominations.
Sortant de sa cachette improvisée, l’adolescent ramassa machinalement ce qu’il supposait être tout ce qui restait de Caremus. Retrouvant sa taille normale, il regardait l'homme qui venait de lui sauver la vie. La rue ressemblait à un véritable champ de bataille au milieu duquel trônait l'albinos, apparaissant tel un ange de l’Apocalypse.
- M-monsieur, bégaya-t-il, encore secoué par les derniers événements. Merci, merci bien monsieur… Mais… Elles sortent d’où ces choses ? Qui les a envoyés ? Qu’est-ce… Oh non, Grand-père, pas toi…
S’interrompant soudain, Brieuc se précipita en hurlant vers le vieil homme à terre, s’accroupissant à côté de lui en cherchant le moindre signe de vie. Il ne pouvait pas avoir été touché sérieusement. Ce n’était pas possible. Pas son grand-père ! Brieuc ne pouvait pas envisager qu’il ait été blessé, et encore moins tué.
Ainsi, c’était donc ça, ses adversaires étaient donc des espèces de robots… Cela expliquait beaucoup de chose. Mais qui pouvait être le monstre qui programmait de tels êtres ? Des êtres capables de tuer dans des circonstances aussi horribles ? Il fallait être soi-même un monstre sans conscience pour créer des telles abominations.
Sortant de sa cachette improvisée, l’adolescent ramassa machinalement ce qu’il supposait être tout ce qui restait de Caremus. Retrouvant sa taille normale, il regardait l'homme qui venait de lui sauver la vie. La rue ressemblait à un véritable champ de bataille au milieu duquel trônait l'albinos, apparaissant tel un ange de l’Apocalypse.
- M-monsieur, bégaya-t-il, encore secoué par les derniers événements. Merci, merci bien monsieur… Mais… Elles sortent d’où ces choses ? Qui les a envoyés ? Qu’est-ce… Oh non, Grand-père, pas toi…
S’interrompant soudain, Brieuc se précipita en hurlant vers le vieil homme à terre, s’accroupissant à côté de lui en cherchant le moindre signe de vie. Il ne pouvait pas avoir été touché sérieusement. Ce n’était pas possible. Pas son grand-père ! Brieuc ne pouvait pas envisager qu’il ait été blessé, et encore moins tué.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 3:59
L'albinos croisa les bras et baissa les yeux en guise de réponse... Le petit mutant avait mieux à faire pour l'heure que de s'encombrer l'esprit avec ces considérations.
Se ruant auprès de son grand-père, il trouva celui-ci, le visage ensanglanté et souffrant visiblement de plusieurs fractures. Papy Folcoat marmonna dans les bras du petit garçon :
"Eh ben, mon grand... Il semblerait que ce soit la dernière aventure que je vivrais... Même si j'aurai préféré te connaître un peu plus longtemps, il me semble que tu as su choisir le camp des gentils..."
Il s'arrêta pour tousser du sang. Sa voix se faisait plus faible, le débit plus haché :
"T'as agi selon ton cœur, mon gars... Et puis... On les arrêté les méchants, non ?"
L'ancêtre sourit de toutes ses vieilles dents puis le visage se détendit... Il n'était déjà plus là.
Alors que Brieuc découvrait l'horrible réalité, une voix se fit entendre.
"Bzzzz... Je n'ai pas voulu ça... Bzzzz..."
C'était la voix de Crafton. Elle aussi bien amochée depuis l'impact.
Se ruant auprès de son grand-père, il trouva celui-ci, le visage ensanglanté et souffrant visiblement de plusieurs fractures. Papy Folcoat marmonna dans les bras du petit garçon :
"Eh ben, mon grand... Il semblerait que ce soit la dernière aventure que je vivrais... Même si j'aurai préféré te connaître un peu plus longtemps, il me semble que tu as su choisir le camp des gentils..."
Il s'arrêta pour tousser du sang. Sa voix se faisait plus faible, le débit plus haché :
"T'as agi selon ton cœur, mon gars... Et puis... On les arrêté les méchants, non ?"
L'ancêtre sourit de toutes ses vieilles dents puis le visage se détendit... Il n'était déjà plus là.
Alors que Brieuc découvrait l'horrible réalité, une voix se fit entendre.
"Bzzzz... Je n'ai pas voulu ça... Bzzzz..."
C'était la voix de Crafton. Elle aussi bien amochée depuis l'impact.
- Brieuc de FolcoatLeX
- Age : 26
Equipe : LeX
Nom de code : Korrigan
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 8:13
Prostré, Brieuc contemplait le corps sans vie de son grand-père, n’arrivant pas à réaliser ce qu’il se passait. Ce n’était pas possible. Cela ne pouvait pas être réel. L’Ankou ne pouvait pas être passé cet après-midi. Personne n’avait entendu grincer les essieux de son chariot…
Complètement abattu, le jeune garçon fondit en larmes, pleurant l’aïeul qu’il ne verrait plus jamais sourire. Il se sentait responsable de ce qui lui arrivait. Après tout, c’était lui, Brieuc qui lui avait demandé de l’aide. Et tout cela pourquoi ? La personne qu’il voulait sauver était morte. Son grand-père était mort aussi. Avoir réussi à conserver la clochette hors d’atteinte ne suffisait pas à justifier un tel prix.
Les dernières paroles réconfortantes de l’ancêtre n’arrivaient pas à calmer l’adolescent qui pleurait, encore et encore, sans honte. Ses larmes coulaient sur ses joues, traçant des sillons plus clairs dans les marques de sang qui souillaient son visage. Indifférent au monde extérieur, Brieuc laissait paraître son chagrin.
La voix étrange de Crafton, celle d’une mécanique détraquée, le tira de son effondrement. Rageur, le jeune mutant se précipita vers l’homme, le bourrant de coups de poings furieux.
- Salaud, salaud… c’est votre faute. Vous me le paierez…
La colère et le désir de vengeance prenaient maintenant la place du chagrin. Ceux qui avaient fait ça ne pouvaient pas s’en sortir. Il voulait savoir qui était derrière tout cela pour, un jour, pouvoir faire rendre justice à son grand-père.
- Qui a fait ça ? Qui vous a envoyé ? Je veux savoir… Je… Je le veux…
Frappant encore la poitrine de Crafton, Brieuc répétait ces mots comme une litanie, laissant ressortir toute sa rage.
Complètement abattu, le jeune garçon fondit en larmes, pleurant l’aïeul qu’il ne verrait plus jamais sourire. Il se sentait responsable de ce qui lui arrivait. Après tout, c’était lui, Brieuc qui lui avait demandé de l’aide. Et tout cela pourquoi ? La personne qu’il voulait sauver était morte. Son grand-père était mort aussi. Avoir réussi à conserver la clochette hors d’atteinte ne suffisait pas à justifier un tel prix.
Les dernières paroles réconfortantes de l’ancêtre n’arrivaient pas à calmer l’adolescent qui pleurait, encore et encore, sans honte. Ses larmes coulaient sur ses joues, traçant des sillons plus clairs dans les marques de sang qui souillaient son visage. Indifférent au monde extérieur, Brieuc laissait paraître son chagrin.
La voix étrange de Crafton, celle d’une mécanique détraquée, le tira de son effondrement. Rageur, le jeune mutant se précipita vers l’homme, le bourrant de coups de poings furieux.
- Salaud, salaud… c’est votre faute. Vous me le paierez…
La colère et le désir de vengeance prenaient maintenant la place du chagrin. Ceux qui avaient fait ça ne pouvaient pas s’en sortir. Il voulait savoir qui était derrière tout cela pour, un jour, pouvoir faire rendre justice à son grand-père.
- Qui a fait ça ? Qui vous a envoyé ? Je veux savoir… Je… Je le veux…
Frappant encore la poitrine de Crafton, Brieuc répétait ces mots comme une litanie, laissant ressortir toute sa rage.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 12:22
L'androïde, bien mal en point, ne réagit pas aux coups portés par Brieuc. Pire même ! Ce dernier se fit mal aux jointures en tapant sur l'épaisse carapace métallique de la chose.
"Bzzzz... C'est la faute de Caremus... Bzzzz, mes souvenirs humains sont... Bzzzz... Ils sont opposés à toute forme de violence... Bzzzz, heureusement mon unité centrale est touchée et je serai bientôt désactivé..."
Pendant que Crafton, péniblement, essayait de s'expliquer, Brieuc sentit une main sur son épaule et la présence réconfortante de l'albinos.
"Bzzzz... Caremus a été un jour humain. Il se faisait... Bzzz... alors appelé Cornelius van Damme et a toujours agi dans son pur intérêt... Bzzz... Il cherche la connaissance à tout prix... Bzzzz... Cette clochette... Bzzzz... L'ouverture sur un autre monde... Bzzzz... Encore navré d'avoir été un outil entre... Bzzzz.... Les mains du malin... Bzzzz... Bzzz..."
Et la voix de Crafton se tut à jamais.
Mais le silence ne revint pas pour autant. L'on pouvait voir aux travers des fenêtres des habitations de la rue, des silhouettes de voisins apeurés. Des sirènes se firent entendre au loin... Police, secours... Elles arriveraient de toute manière trop tard.
L'albinos guida le petit garçon hors de la rue, lui permettant de voir l'ampleur des dégats... Les carcasses écrabouillées de Mark, Caremus et Crafton ; le corps sans vie de Papy Folcoat.
Au rez-de-chaussée de la boutique, la même horreur... Maître Ferraille gisant mort, la cage thoracique transpercée à mains nues... Shane la poche, le crâne explosé par son propre pistolet toujours enfourné dans sa bouche...
De retour de l'autre côté de la porte peinte, l'albinos s'écarta de Brieuc et fixa l'océan, attendant une parole du petit mutant...
"Bzzzz... C'est la faute de Caremus... Bzzzz, mes souvenirs humains sont... Bzzzz... Ils sont opposés à toute forme de violence... Bzzzz, heureusement mon unité centrale est touchée et je serai bientôt désactivé..."
Pendant que Crafton, péniblement, essayait de s'expliquer, Brieuc sentit une main sur son épaule et la présence réconfortante de l'albinos.
"Bzzzz... Caremus a été un jour humain. Il se faisait... Bzzz... alors appelé Cornelius van Damme et a toujours agi dans son pur intérêt... Bzzz... Il cherche la connaissance à tout prix... Bzzzz... Cette clochette... Bzzzz... L'ouverture sur un autre monde... Bzzzz... Encore navré d'avoir été un outil entre... Bzzzz.... Les mains du malin... Bzzzz... Bzzz..."
Et la voix de Crafton se tut à jamais.
Mais le silence ne revint pas pour autant. L'on pouvait voir aux travers des fenêtres des habitations de la rue, des silhouettes de voisins apeurés. Des sirènes se firent entendre au loin... Police, secours... Elles arriveraient de toute manière trop tard.
L'albinos guida le petit garçon hors de la rue, lui permettant de voir l'ampleur des dégats... Les carcasses écrabouillées de Mark, Caremus et Crafton ; le corps sans vie de Papy Folcoat.
Au rez-de-chaussée de la boutique, la même horreur... Maître Ferraille gisant mort, la cage thoracique transpercée à mains nues... Shane la poche, le crâne explosé par son propre pistolet toujours enfourné dans sa bouche...
*
**
**
De retour de l'autre côté de la porte peinte, l'albinos s'écarta de Brieuc et fixa l'océan, attendant une parole du petit mutant...
- Brieuc de FolcoatLeX
- Age : 26
Equipe : LeX
Nom de code : Korrigan
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 13:42
Silencieux, le regard de Brieuc était fixé sur l’horizon, sur cette ligne éphémère, frêle frontière entre le ciel et la mer, frontière fragile et inaccessible qui s’éloignait toujours au fur et à mesure que l’on cherchait à l’atteindre. Toujours sous le choc de ce qu’il venait de voir et de subir, l’adolescent s’était laissé guider comme une marionnette pour quitter la rue, fuir la boutique et son carnage.
Là, debout dans le jardin, ses pieds nus enfoncés dans le sable chaud de la plage, il regardait au loin, sans vraiment voir ce qu’il avait devant lui, les yeux dans le vague, cherchant l’apaisement dans le calme de l’océan. Il lui fallait du temps, du temps pour se remettre et accepter.
- Alors, c’est vraiment fini ?
Brisant le silence, la voix juvénile tremblait toujours mais le jeune garçon faisait des efforts désespérés pour la contrôler.
- Il faut tout me dire. Je veux tout savoir… Quel est cet endroit et pourquoi est-il aussi important ? Je dois savoir que Grand-père n’est pas mort pour rien, qu’on a bien fait de ne pas laisser la clochette entre les mains de ce Caremus, ou non, van Damme plutôt…
Brieuc serra les poings à s’en faire blanchir les jointures puis il tourna la tête vers l’albinos, les lèvres tremblantes. Sur ses joues enfantines, les larmes avaient tracé un étrange dessin fait de sang et de poussière, mais son regard n’avait plus rien d’enfantin, il était devenu dur et déterminé.
- Est-ce que ce van Damme est vraiment mort ? Son œuvre est bien détruite à jamais ? Et, quelle est cette organisation dont Maître Ferraille était le prophète ?
Les questions se multipliaient dans la bouche du jeune mutant, cherchant à se noyer de paroles pour oublier son chagrin.
- Et aussi, qu’est ce qu’on attend de moi ? Qu’est ce que je peux faire pour… pour que Grand-père reste fier de moi ?
Sur un dernier sanglot étouffé, la voix de Brieuc se brisa, le replongeant dans le mutisme.
Là, debout dans le jardin, ses pieds nus enfoncés dans le sable chaud de la plage, il regardait au loin, sans vraiment voir ce qu’il avait devant lui, les yeux dans le vague, cherchant l’apaisement dans le calme de l’océan. Il lui fallait du temps, du temps pour se remettre et accepter.
- Alors, c’est vraiment fini ?
Brisant le silence, la voix juvénile tremblait toujours mais le jeune garçon faisait des efforts désespérés pour la contrôler.
- Il faut tout me dire. Je veux tout savoir… Quel est cet endroit et pourquoi est-il aussi important ? Je dois savoir que Grand-père n’est pas mort pour rien, qu’on a bien fait de ne pas laisser la clochette entre les mains de ce Caremus, ou non, van Damme plutôt…
Brieuc serra les poings à s’en faire blanchir les jointures puis il tourna la tête vers l’albinos, les lèvres tremblantes. Sur ses joues enfantines, les larmes avaient tracé un étrange dessin fait de sang et de poussière, mais son regard n’avait plus rien d’enfantin, il était devenu dur et déterminé.
- Est-ce que ce van Damme est vraiment mort ? Son œuvre est bien détruite à jamais ? Et, quelle est cette organisation dont Maître Ferraille était le prophète ?
Les questions se multipliaient dans la bouche du jeune mutant, cherchant à se noyer de paroles pour oublier son chagrin.
- Et aussi, qu’est ce qu’on attend de moi ? Qu’est ce que je peux faire pour… pour que Grand-père reste fier de moi ?
Sur un dernier sanglot étouffé, la voix de Brieuc se brisa, le replongeant dans le mutisme.
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 15:00
La Sentinelle de l'Occident hocha la tête.
"Rien ne finit jamais réellement... Mais pour aujourd'hui, oui, c'est presque terminé"
Il soupira, perdant son regard à l'horizon.
"Cet endroit, petit, est l'un des passages vers le Saint des Saints, un endroit connu d'une poignée d'élus, auquel ne peuvent accéder que les porteurs de la Clochette. Je..."
L'albinos marqua une pause.
"Ce n'est pas mon rôle que de connaître le Saint des Saints mais nos légendes disent que cet endroit est doté de pouvoirs étranges. Que s'ils venaient à tomber entre de mauvaises mains, un pouvoir terrible serait déchainé sur la planète. Tout cela doit te paraître très flou, jeune homme, mais c'est la vérité. Le Saint des Saints attirent les convoitises et..."
Il posa la main sur l'épaule de Brieuc.
"Maître Ferraille était le guide spirituel du Collège Invisible, il y a de cela quelques temps. Lui, seul pouvait alors accéder au Saint des Saints. Et il s'en servait pour faire le lien avec l'ensemble des membres de l'organisation. Seul celui qui a accès au Saint des Saints peut connaître tous nos agents sur Terre. Si un porteur de clochette malveillants mettait le pied là bas, alors nous serions tous en péril"
L'endroit était paisible et la voix de l'inconnu en rouge et blanc reposante. Il se pencha pour se mettre au niveau de Brieuc, comme un géant acceptant de converser avec les hommes.
"Le Collège Invisible est là pour conserver les équilibres sur Terre. Pour que les hommes et les femmes ne sombrent pas dans une ère de chaos mutant. S'il venait à être détruit, il n'y aurait presque plus aucun rempart contre l'apocalypse..."
L'homme se redressa et ajouta :
"Ou presque. Il y a bien un autre endroit qui agit pour le bien. Il s'agit de l'Institut Xavier dans l'état de New-York. J'ai cru comprendre que certains de nos membres étaient en contact avec cette école pour jeunes mutants. Mais..."
Il parut hésiter. Fallait-il tout dire au jeune homme ? L'albinos eut un mouvement de la tête et poursuivit :
"Van Damme a été tué en France par des membres de l'Institut Xavier. Visiblement, si l'androïde dit vrai, il a réussi à cloner son esprit au sein d'une mécanique de pointe. Mais de là à savoir s'il existe d'autres clones ? Van Damme est reconnu pour être un génie du mal. Il est directement responsable du massacre mutant sur Génosha. Si sa carrière devait réellement se poursuivre après sa mort, alors nous avons un grave problème"
Brieuc put détecter dans la voix de l'homme une sorte de tremblement. La puissante Sentinelle ressentait-elle enfin la peur ? La peur de ne pas être à la hauteur des enjeux ?
Il fit quelques pas dans le jardin et conduisit Brieuc à une sorte de cimetière. Une rangée de pierres blanches marquaient le souvenir de chers disparus. L'albinos demanda :
"Quel était le nom de ton grand-père ? J'aimerai qu'une pierre marque son souvenir ici. C'est un endroit paisible où, j'imagine, il aurait eu plaisir à reposer. Je le mettrais à côté de Maître Ferraille et de ton ami Shane. J'espère qu'ils seront bien là..."
Une pointe de tristesse marquait maintenant la voix de l'albinos. Toutefois, ignorant l'émotion, il reprit :
"Et toi, petit, quel est ton nom ? J'aimerai aussi me souvenir de toi... Car, si j'accomplirais pour toi une dernière chose, en te permettant de passer un portail qui t'amènera directement à l'Institut Xavier, peut-être le seul endroit sur Terre où tu seras en sécurité, il me faudra récupérer ta clochette et détruire la porte peinte..."
"Rien ne finit jamais réellement... Mais pour aujourd'hui, oui, c'est presque terminé"
Il soupira, perdant son regard à l'horizon.
"Cet endroit, petit, est l'un des passages vers le Saint des Saints, un endroit connu d'une poignée d'élus, auquel ne peuvent accéder que les porteurs de la Clochette. Je..."
L'albinos marqua une pause.
"Ce n'est pas mon rôle que de connaître le Saint des Saints mais nos légendes disent que cet endroit est doté de pouvoirs étranges. Que s'ils venaient à tomber entre de mauvaises mains, un pouvoir terrible serait déchainé sur la planète. Tout cela doit te paraître très flou, jeune homme, mais c'est la vérité. Le Saint des Saints attirent les convoitises et..."
Il posa la main sur l'épaule de Brieuc.
"Maître Ferraille était le guide spirituel du Collège Invisible, il y a de cela quelques temps. Lui, seul pouvait alors accéder au Saint des Saints. Et il s'en servait pour faire le lien avec l'ensemble des membres de l'organisation. Seul celui qui a accès au Saint des Saints peut connaître tous nos agents sur Terre. Si un porteur de clochette malveillants mettait le pied là bas, alors nous serions tous en péril"
L'endroit était paisible et la voix de l'inconnu en rouge et blanc reposante. Il se pencha pour se mettre au niveau de Brieuc, comme un géant acceptant de converser avec les hommes.
"Le Collège Invisible est là pour conserver les équilibres sur Terre. Pour que les hommes et les femmes ne sombrent pas dans une ère de chaos mutant. S'il venait à être détruit, il n'y aurait presque plus aucun rempart contre l'apocalypse..."
L'homme se redressa et ajouta :
"Ou presque. Il y a bien un autre endroit qui agit pour le bien. Il s'agit de l'Institut Xavier dans l'état de New-York. J'ai cru comprendre que certains de nos membres étaient en contact avec cette école pour jeunes mutants. Mais..."
Il parut hésiter. Fallait-il tout dire au jeune homme ? L'albinos eut un mouvement de la tête et poursuivit :
"Van Damme a été tué en France par des membres de l'Institut Xavier. Visiblement, si l'androïde dit vrai, il a réussi à cloner son esprit au sein d'une mécanique de pointe. Mais de là à savoir s'il existe d'autres clones ? Van Damme est reconnu pour être un génie du mal. Il est directement responsable du massacre mutant sur Génosha. Si sa carrière devait réellement se poursuivre après sa mort, alors nous avons un grave problème"
Brieuc put détecter dans la voix de l'homme une sorte de tremblement. La puissante Sentinelle ressentait-elle enfin la peur ? La peur de ne pas être à la hauteur des enjeux ?
Il fit quelques pas dans le jardin et conduisit Brieuc à une sorte de cimetière. Une rangée de pierres blanches marquaient le souvenir de chers disparus. L'albinos demanda :
"Quel était le nom de ton grand-père ? J'aimerai qu'une pierre marque son souvenir ici. C'est un endroit paisible où, j'imagine, il aurait eu plaisir à reposer. Je le mettrais à côté de Maître Ferraille et de ton ami Shane. J'espère qu'ils seront bien là..."
Une pointe de tristesse marquait maintenant la voix de l'albinos. Toutefois, ignorant l'émotion, il reprit :
"Et toi, petit, quel est ton nom ? J'aimerai aussi me souvenir de toi... Car, si j'accomplirais pour toi une dernière chose, en te permettant de passer un portail qui t'amènera directement à l'Institut Xavier, peut-être le seul endroit sur Terre où tu seras en sécurité, il me faudra récupérer ta clochette et détruire la porte peinte..."
- Brieuc de FolcoatLeX
- Age : 26
Equipe : LeX
Nom de code : Korrigan
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 16:32
Songeur, Brieuc écoutait avec attention toutes ces explications. Il n’était pas certain d’en saisir toute l’importance mais il sentait bien, au fond de lui-même, que la préservation de ce Saint des Saints était vitale pour l’avenir de l’humanité.
Et ce Collège Invisible oeuvrait en ce sens, mais il n’était pas seul, l’Institut Xavier semblait avoir des objectifs similaires.
Quelle ironie ! L’Institut Xavier… Justement l’école que Brieuc souhaitait rejoindre pour ne plus souffrir d’être différent. Ainsi donc, cette école n’était pas seulement un endroit qui accueillait et formait les jeunes mutants, elle était également un des acteurs de la lutte au service du Bien.
Oui ! L’adolescent venait de prendre sa décision. Il devait rejoindre au plus tôt cette école et se donner corps et âme dans ce combat, guidé par la confiante bienveillance de son grand-père.
- Maël de Folcoat, murmura-t-il d’une voix douce mais ferme, empli de fierté à l’annonce du nom de son ancêtre. Il m’a toujours aimé fait confiance. C’est lui qui m’a fait chérir comme ça la Bretagne. Oui, vous avez raison, il ne faut pas l’oublier…
Esquissant un petit sourire triste, le jeune garçon poursuivit.
- Quant à moi, je ne suis que Brieuc, Brieuc de Folcoat, mais je ne mérite pas qu’on se souvienne de moi, du moins pas encore… Honorez plutôt la mémoire de Grand-père, il était cent fois, mille fois, meilleur que moi.
Le jeune mutant marqua une légère pause, conscient que ce qu’il allait dire l’engagerait de façon durable et guiderait sa vie future.
- Je suis d’accord pour rejoindre l’Institut Xavier. Il faut bien d’ailleurs que quelqu’un les prévienne de la réapparition de ce van Damme… Je m’arrangerai avec mes parents une fois que je serais sur place. Je leur expliquerai tout et ils me comprendront, j’en suis sûr…
Fixant ses yeux clairs dans ceux de l’albinos, Brieuc apparaissait plus déterminé que jamais.
- Il faut mieux en effet que je ne garde pas cette clochette. Je ne suis pas assez fort pour la protéger et sa perte serait dramatique. Mais… Ca veut dire que je ne vous reverrai plus ?
Et ce Collège Invisible oeuvrait en ce sens, mais il n’était pas seul, l’Institut Xavier semblait avoir des objectifs similaires.
Quelle ironie ! L’Institut Xavier… Justement l’école que Brieuc souhaitait rejoindre pour ne plus souffrir d’être différent. Ainsi donc, cette école n’était pas seulement un endroit qui accueillait et formait les jeunes mutants, elle était également un des acteurs de la lutte au service du Bien.
Oui ! L’adolescent venait de prendre sa décision. Il devait rejoindre au plus tôt cette école et se donner corps et âme dans ce combat, guidé par la confiante bienveillance de son grand-père.
- Maël de Folcoat, murmura-t-il d’une voix douce mais ferme, empli de fierté à l’annonce du nom de son ancêtre. Il m’a toujours aimé fait confiance. C’est lui qui m’a fait chérir comme ça la Bretagne. Oui, vous avez raison, il ne faut pas l’oublier…
Esquissant un petit sourire triste, le jeune garçon poursuivit.
- Quant à moi, je ne suis que Brieuc, Brieuc de Folcoat, mais je ne mérite pas qu’on se souvienne de moi, du moins pas encore… Honorez plutôt la mémoire de Grand-père, il était cent fois, mille fois, meilleur que moi.
Le jeune mutant marqua une légère pause, conscient que ce qu’il allait dire l’engagerait de façon durable et guiderait sa vie future.
- Je suis d’accord pour rejoindre l’Institut Xavier. Il faut bien d’ailleurs que quelqu’un les prévienne de la réapparition de ce van Damme… Je m’arrangerai avec mes parents une fois que je serais sur place. Je leur expliquerai tout et ils me comprendront, j’en suis sûr…
Fixant ses yeux clairs dans ceux de l’albinos, Brieuc apparaissait plus déterminé que jamais.
- Il faut mieux en effet que je ne garde pas cette clochette. Je ne suis pas assez fort pour la protéger et sa perte serait dramatique. Mais… Ca veut dire que je ne vous reverrai plus ?
- Le courtier temporelConscience collective
- Age : 113
Date d'inscription : 23/01/2006
Re: Kenavo Montroulez (au revoir Morlaix)
Lun 14 Fév 2011 - 18:15
L'albinos croisa à nouveau les bras à la dernière remarque de Brieuc.
"Cela peut vouloir dire cela, en effet. Mais l'histoire nous le dira, jeune homme. Le monde est compliqué et nos vies ne nous appartiennent pas. Et si je souhaite que nous nous revoyons un jour, je sais quelle est ma responsabilité..."
Il récupéra la clochette de Brieuc et le conduisit à l'autre bout du jardin, vers une autre porte.
"En franchissant ce seuil, tu te retrouveras aussitôt à l'Institut. Sois fort, Brieuc, les temps risquent d'être très difficiles pour tout le monde. Et le monde a besoin de champions !"
Alors que la porte s'ouvrait sur une lumière vive, l'albinos sourit une dernière fois au jeune mutant :
"Je garde tes chaussures en souvenir, mon ami... Aies de temps à autre une pensée pour Aza Chorn, la Sentinelle de l'Occident !"
Et Brieuc, poussé à travers l'ouverture, fut ébloui par une magnifique lumière incandescente...
[Et c'est ainsi que s'achève ta phase de courtier. En espérant que tu aies pris autant de plaisir à y jouer que moi à la masteriser. La suite de tes aventures se trouve dans ce sujet ! Pour le reste, tu peux ajouter 3 points à ton barème. Excellente continuation !]
"Cela peut vouloir dire cela, en effet. Mais l'histoire nous le dira, jeune homme. Le monde est compliqué et nos vies ne nous appartiennent pas. Et si je souhaite que nous nous revoyons un jour, je sais quelle est ma responsabilité..."
Il récupéra la clochette de Brieuc et le conduisit à l'autre bout du jardin, vers une autre porte.
"En franchissant ce seuil, tu te retrouveras aussitôt à l'Institut. Sois fort, Brieuc, les temps risquent d'être très difficiles pour tout le monde. Et le monde a besoin de champions !"
Alors que la porte s'ouvrait sur une lumière vive, l'albinos sourit une dernière fois au jeune mutant :
"Je garde tes chaussures en souvenir, mon ami... Aies de temps à autre une pensée pour Aza Chorn, la Sentinelle de l'Occident !"
Et Brieuc, poussé à travers l'ouverture, fut ébloui par une magnifique lumière incandescente...
[Et c'est ainsi que s'achève ta phase de courtier. En espérant que tu aies pris autant de plaisir à y jouer que moi à la masteriser. La suite de tes aventures se trouve dans ce sujet ! Pour le reste, tu peux ajouter 3 points à ton barème. Excellente continuation !]
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum