Re: Kyoto

Sam 25 Nov 2006 - 2:51

Juste après qu'il eu finis de parler, il eu l'étrange impression qu'elle avait rougis, mais cela devait être son imagination associé aux lampes qui faisaient danser les ombres, mais remarque, le sourire qu'elle lui faisait était réel celui là au moins et cela fit plaisir à Seijaku, à cause de son fichu pouvoir les relations qu'il entretenait avec les filles étaient purement platonique, même si chez certaines il avait envie d'aller plus rien, mais il ne le pouvais à peine un contact et elle serait prise de crise d'épilepsie voir pire, alors inutile d'oser espérer pouvoir en jour sortir réellement avec une, elle se poserait trop de question et finirais par le largué en l'insultant de divers noms ou en le méprisant, ce qui est pire.

Mais bon, le voilà ce soir accompagnant une jeune fille avec laquelle il se sent bien, et qui de toute évidence se sent bien avec lui, alors pourquoi ne pas essayer, rien qu'une fois? Non! Il ne pouvait pas se laisser aller à ce genre d'idée, il faisait son possible pour vivre le plus normalement du monde, mais ça, ça restait hors de son contrôle, à jamais. Instinctivement et afin d'éviter tout contacts possible, Seijaku forçât quelque peu le pas pour se mettre devant elle et la guider à travers la ruelle, puis au but de quelques minutes ils arrivèrent enfin devant le gymnase et elle lui parlât de nouveau.

A priori le problème actuel serait son frère, vieux jeu comme pas permis il risquait fort de vouloir égorger Seijaku si il le voyait l'accompagner sa petite soeur adoré, compréhensible, débile aussi, mais soit, Seijaku avait eu sa dose de combat pour la soirée et il acquiesçât d'un signe de tête suivis d'un clin d'oeil, il la laissât passer devant lui et elle le remerciât encore une fois avant d'approcher son visage tout prés du sien, fermant les yeux.

Son désir, ainsi que celui de Seijaku était on ne peut plus clair, lui aussi souhaitant l'embrasser, il ne savait pas quand la violence de ces émotions l'avait pris, peut être dés qu'il l'avait aidé au restaurant, mais qu'il en soit, ils étaient réel et Seijaku avait envie d'y succomber, et puis merde, il avait dix huit ans et il n'avait jamais embrassé une seule fille de sa vie. L'odeur du parfum de Noriko associés à son odeur corporelle à elle, enivrait Seijaku qui approchait de plus en plus son visage du sien, mais un flash devant ses yeux le fit reculer vivement, les yeux écarquillés. Il s'était vu embrasser Noriko, mais il l'avait aussi vu être la cible de son pouvoir et ce qu'il avait vu ne lui avait pas plu du tout, elle venait d'être parcourus de spasmes et il ne pouvait rien faire pour l'aider et ça, ça lui avait fais peur. Il avait reculé son visage si vite qu'il en avait totalement pris au dépourvue Noriko qui la regardait avec des yeux ronds, mais surtout qui le regardait avec stupeur, une stupeur pure, comme si Seijaku était un malade mental et il devait l'être pour avoir fait ça.

"Euh, écoute Noriko, c'est pas que je ne veuille pas t'embrasser, car dieu seul sais que j'en ai envie, mais plutôt que je ne peut pas le faire, n'essaye pas de comprendre, mais je ne peut pas t'expliquer mieux que ça, désolé."

Mais bien sur, fuis, cache toi, ment lui, sale lâche, tu peur qu'elle comprenne, mais tu à surtout peur de lui faire du mal et c'est ça qui te terrifie le plus, t'es qu'un fuyard, tu flippe tellement de lui faire mal que si elle venait à te pardonner, toi t'y arriverais pas, tu la laisserais tomber et là tu la ferrais souffrir. Je te demande pas d'être courageux, mais soit honnête.

C'était impossible, il avait envie de l'embrasser, de sentir l'odeur de sa peau, de l'enlacer sans contraintes, mais il y avait une contrainte et une grosse contrainte, si jamais il ne faisait qu'un dixième de ce qu'il pensait elle se retrouverait dans le même état que les deux imbéciles qu'il l'avait attaqué, même si il ne la touchait pas, il ne pourrait décemment plus se regarder en face si il faisait ça, il ne savait pas comment ces émotions pour elle était apparus, mais une chose était sur, il ne voulait pas lui faire de mal, surtout pas comme ça.

Sam 25 Nov 2006 - 12:51

Les yeux de Noriko était emplis d'un mélange complexe d'incompréhension, de surprise, de déception, et d'un soupçon de honte devant le rateau que venait de lui mettre Seijaku.

"Tu ne peux pas...? J'aurai dû m'en douter..." répondit-elle en se mordant la lèvre inférieure de nervosité. Son visage crispé indiquait qu'elle avait toute les peines du monde à ne pas fondre en larmes. Encore heureux que personne ne l'ait vue se prendre la veste la plus monumentale de sa vie ! Elle n'avait jusque-là jamais eu à se plaindre de ce côté-là, c'était plutôt les garçons qui faisaient le premier pas, et pour une fois qu'elle jetait son dévolu sur quelqu'un...

"Tu sors avec quelqu'un d'autre c'est ça ?" demanda-t-elle, la voix chevrotante de frustration.

Sam 25 Nov 2006 - 14:25

Le regard de Noriko fit plus mal à Seikaku que le coup de tête qu'il s'était pris de l'autre imbécile, qu'elle lui en veuillent était normal, logique même, mais pas qu'elle soit triste comme ça et surtout pas honteuse comme elle semblait l'être, non surtout pas, elle n'avait rien fait elle, le problème était Seijaku, c'était tout, il ne pouvait décemment pas lui dire pourquoi c'était lui le problème, dans le meilleur des cas elle fuirait en hurlant et dans le pire elle l'accepterais et là ce serait terrifiant, être à coté d'elle sans pouvoir oser la toucher, sans pouvoir céder au plaisir de l'embrasser, il n'y parviendrait pas et alors il la blesserait et il ne pourrait se le pardonner, c'était ainsi. Il l'écoutât parler avec attention, avec honte aussi et il fut surpris d'entendre sa vois être aussi chevrotante, comme si elle retenait ses larmes et sa fureur en même temps.

Seijaku baissât la tête avant de réfléchir à toute vitesse, lui mentir? Oui pourquoi pas peut être prendrais t'elle cela mieux, mais il ne voulait pas lui mentir, mais il ne pouvait pas lui dire non plus toute la vérité, même si elle le méritait probablement, alors que faire? Lui sortir un nouveau mensonge lui disant que oui il avait quelqu'un? Mais cela risquait de lui faire poser des questions sur l'hésitation de Seijaku. Lui avouer toute la vérité? bien sur pour voir son visage horrifié devant sa monstruosité et l'entendre l'appelé "monstre" là c'était lui qui ne survivrait pas à ça. Bien il ne restait plus qu'une seule option, la demi-vérité.

"Non, je n'ai personne, je suis seul, mais je ne peux quand même pas, mais le problème, c'est moi, ô je me doute bien que c'est cliché de dire ça, mais c'est pourtant la vérité. Noriko. Il avait dis ce nom avec toute la douceur qu'il pouvait. Tu est une jeune fille magnifique et rien ne me ferrait plus plaisir de t'enlacer là, mais voilà, je ne suis pas libre de mes choix, ou plutôt je dois faire attention à ceux ci si je ne veux pas voir les êtres que j'aime souffrir. Littéralement parlant. Je ne te demande pas de me comprendre, hais moi si cela peut te soulager, fuis moi, crache moi dessus ou tout ce qui peut te permettre de dégager ta frustration, je comprendrais aisément."

Il avait finis de parler et il avait baissé sa tête, mais si elle refusait, pourrait il lui cacher la vérité encore plus longtemps? Pourrait il lui mentir une fois de plus dans les yeux? Il en doutait et beaucoup même, d'ailleurs, si il avait baissé la tête, c'était parce qu'il ne pouvait pas la regarder dans les yeux, même si les siens étaient grands ouvert.

Sam 25 Nov 2006 - 14:56

Les explications alambiquées de Seijaku n'y firent rien, une larme se mit à couler le long de la joue de la jeune fille. Qu'est-ce que c'était que ce charabia ? La faire souffrir littéralement ? Noriko aurait sûrement préféré apprendre que Seijaku n'était pas libre, elle aurait au moins compris son engagement, mais là... Ca sonnait presque comme une injustice.
Elle recula d'un pas.

"Laisse tomber, baka !" s'écria-t-elle avant de se retourner pour courir vers le gymnase.

Sam 25 Nov 2006 - 18:17

Baka, minable conviendrait mieux selon Seijaku, mais bon, ce n'était pas à lui de s'auto insulter, elle parviendrait bien mieux que lui à trouver les meilleurs termes pour désigner sa faiblesse, car c'était bien de ça qu'il s'agissait, de faiblesse. Il avait été faible, il aurait pu tout lui dire et ainsi être définitivement fixé sur ses sentiments ou il aurait pu lui mentir mettant un terme définitif à ses sentiments, mais voilà, Seijaku était lâche et il avait agis lâchement envers elle. Mais ce qui l'avait fait le plus de mal c'était de voir son visage pleurer, oui, c'est ces pleurs qui lui avait fait mal, il ne voulait pas ça, il ne voulait pas qu'elle soit triste, surtout pas à cause d'un minable comme lui.

Sale minable, je ne suis rien d'autre qu'un sale minable, j'aurais pu tout lui dire, elle aurait pu comprendre après tout, mais là, c'était lui qui avais agi de manière totalement stupide et ridicule, mais aurais je pu agir autrement? Oui sans doute.

Agir autrement...Après avoir vu cette larme c'était son désir le plus fou, il voulait la revoir, la prendre à partie et tout lui raconter, tout, ne serait que pour qu'elle arrête de pleurer pour le compte d'un minable monstre comme lui. Décidé Seijaku regardas sa montre, ça faisait environs cinq minutes qu'elle était entrée, il pouvait alors à son tour pénétrer dans ce lieu sans risque de "heurter" son grand frère, il trouverais bien alors le moyen de prendre à partie Noriko. Il poussât alors la porte du gymnase avant de pénétrer dans le gymnase dis, vu l'heure qu'il était les autres devaient être en train de ranger leurs affaires à moins évidement que le prof ai voulus faire des combats d'entraînement à la toute fin et, avouons le, c'était ce que désirais Seijaku, cela lui permettrais de pouvoir parler à Noriko.

Dim 26 Nov 2006 - 21:09

Seijaku pénétra dans le gymnase, et prit le chemin qu'il avait emprunté si souvent déjà en direction de la salle d'aikido. Comme à l'accoutumée, la porte à double battants était grande ouverte, et les voix des élèves courraient le long du couloir qui menait à la salle.
Au grand désespoir du mutant, la séance venait de se terminer, car certains élèves retournaient déjà vers leurs affaires, tandis que d'autres papotaient entre eux, dans un manque de discipline très révélateur. Où avait bien pu disparaître Noriko ? Seijaku avait beau scruter la salle, il n'y avait aucun endroit où elle aurait pu se cacher, mais elle n'était pas là.
Le professeur quant à lui, était en train de boire de l'eau lorsqu'il aperçu Seijaku sur le seuil. Il referma sa bouteille et s'avança vers le mutant.

"Eh bien Hannaku-kun ! Ca ne te ressemble pas de manquer l'entraînement. Tu sais que les play-off régionaux sont pour bientôt, c'est pas le moment de te relâcher, l'équipe compte beaucoup sur toi, et moi aussi." commença Yamamoto-sensei.

Lun 27 Nov 2006 - 0:09

Seijaku fit le trajet menant à la grande salle d'aïkido rapidement, il l'avait fait tellement de fois que même aveugle il y arriverait, mais au fur et à mesure qu'il avançait sa gorge se nouait, il entendais les vois et les bruits caractéristiques des rangements, signifiants par la même que le cour était finis et que tous rangeait leurs affaires, manque de bol pour Seijaku. Mais ce qui l'angoissait le plus c'était de retrouver Noriko pleurant à chaudes larmes, ça il ne pourrait pas le supporter et tans pis pour ses explications il ferrait alors tout pour la réconforter.

S'arrêtant quelques secondes à l'encadrement de la porte afin de reprendre une dernière fois sa respiration, Seijaku pénétrât alors complètement dans la grande salle. Presque tout le monde avaient finis de se préparer, mais la fin du cour sonnait aussi la fin de la discipline et l'heure des plaisanteries et des histoires à raconter, rendant alors l'ambiance très détendus, sauf pour Seijaku. D'habitude il appréciait ce genre de fin de cour, il pouvait discutait ou plaisanté tranquillement avec les autres, mais là il cherchait quelqu'un, Noriko et avec tout le monde qui ne cessait de se déplacer c'était assez difficile de la retrouver. Après quelques minutes de recherche Seijaku dut se rendre à l'évidence, Noriko n'était pas dans la salle, elle n'aurait pas pu se tromper de salle, d'une parce que son frère faisait partie du club d'aïkido et de deux parce qu'il s'agissait de la seule salle ouverte du gymnase à cette heure ci.

Il était tellement absorbé par ses réflexions sur l'endroit ou pouvait bien être Noriko qu'il n'entendis pas le prof lui parler, en fait il ne l'avait même pas vu du tout. Sur le seuil de la porte cherchant Noriko des yeux, Seijaku avait fait abstraction de tout ce qui l'entourait et de toutes les personnes présente, mais une fois le prof à coté de lui il dut faire un sacré effort de maîtrise, d'une pour ne pas l'envoyer chier pour continuer sa recherche et de deux pour se remémorer ce qu'il venait de lui dire à l'instant.

"Ah, bonsoir Yamamoto-sensei, et pardon pour mon absence d'aujourd'hui, je sais que les play-off débute dans peu de temps et que j'ai une place dans l'équipe, mais ce soir j'ai eu un léger incident qui ma empêcher de venir, j'était dans le restaurant d'un ami en train de dîner quand deux brutes sont arrivés, ils ont commencé à menacer les clients puis quand ils ont frappé mon ami je suis intervenu, j'ai mis rapidement au sol un de deux, mais le second ma violement frappé à la tête, mais j'ai réussit à m'en sortir en le mettant lui aussi au sol, enfin après cela la police est arrivé et j'ai du aller faire une déposition au poste de police, puis...."

Il hésitait à parler de Noriko, après tout cela ne regardait que lui, il lui avait montré l'hématome à la tête et une rapide visite au poste de police corroboré ses dires, alors il n'avait pas besoin de parler d'elle, il ne savait pas pourquoi, c'était personnel.

"...Puis j'ai hésité sur la marche à suivre, rentrer chez moi et venir vous voir demain ou tout de suite vous avertir, j'ai finalement opté pour la seconde option."

Lun 27 Nov 2006 - 0:40

Le prof parut surpris, et à la fois relativement fier de l'une de ses recrues les plus prometteuses.

"Eh bien je vois que même pris au dépourvu tu parviens à conserver ta maîtrise !" commença-t-il, avant d'émettre un bémol que tout bon prof se doit d'émettre dans ce genre de cas.

"Mais n'oublie pas les préceptes moraux qui vont avec la pratique des arts martiaux, ne t'en éloigne pas. Cela dit c'était pour la bonne cause... Je suppose que tu pourrais venir un peu plus tôt demain pour rattraper ton retard. En tout cas je te remercie de m'avoir tenu au courant." dit-il en tapotant l'épaule de Seijaku. Il s'aloigna alors pour aider une des élèves les plus chétives du groupe à rangement le matériel. Les autres commençaient déjà à se diriger vers les vestiaires.

Lun 27 Nov 2006 - 1:22

Seijaku écoutât d'une oreille distraite les dires de son sensei, il tentait toujours de retrouver Noriko à travers la masse des personnes présente,étonnant d'ailleurs que la majorité n'était pas encore aller dans les vestiaires, enfin bref pas très grave. Il la demande de son sensei lorsque ce dernier lui dis qu'il devrait venir demain plus tôt, cela ne lui posait pas de problème particuliers, avec le boxon qu'il avait mis dans le restaurant et après ce que Shinji avait vu il éviterais ce lieu pendant un moment, enfin au moins jusqu'à ce qu'il ai pu parler avec Shinji à propos de ce qu'il avait vu.

Il saluât son sensei qui était partis aidé une des élèves à ranger le matériel elle était un peu plus petite que Seijaku, qui n'était déjà pas bien grand, et elle semblait être taillé comme un allumette, étrange que personne n'ai été l'aidé auparavant, mais encore une fois cela n'était pas de son ressort.

Puis, sans vraiment que cela fut dis de manière explicite, l'ensemble des personnes commencèrent à se diriger lentement en direction des vestiaires, parfait, si Noriko s'était cachée parmi la foule elle devrait bientôt réapparaître aux yeux de Seijaku qui pourrait alors discuter avec elle, en plus il était sur le seuil de la porte et c'était l'unique sortit, si elle voulait partir elle devrait passer obligatoirement par lui et donc il aurait l'occasion de lui parler de nouveau.

Lun 27 Nov 2006 - 18:57

Seijaku attendit. La salle se vida entièrement à l'exception de Yamamoto-sensei, qui prenait quelques notes sur le cours qu'il venait de faire. Aucun trace de Noriko. Elle était pourtant bien rentrée dans le gymnase, mais avant dû préferer attendre son frère autrepart que dans la salle, sûrement pour éviter qu'on ne la voit dans son état, ou alors tout simplement pour éviter Seijaku.
Les premiers élèves commençaient déjà à sortir du vestiaire et à se diriger vers la sortie.

Lun 27 Nov 2006 - 21:51

Fait chier fut la première chose que se dit Seijaku lorsqu'il vit la salle complètement vide à l'exception de son sensei qui, comme à son habitude, prenait des notes sur les exercices fait aujourd'hui, les incidents notables, les efforts de certains, le relâchement d'autres, bref il tenait son carnet d'entraînement à jour, mais ce qui énervait Seijaku c'était le fait de ne pas avoir vu du tout Noriko dans la salle, elle ne pouvait décemment pas aller dans les vestiaires avec tout les autres et elle ne se cachait pas non plus au plafond, elle devait très certainement se cacher afin que personne ne vois qu'elle avait pleurée, à moins évidement qu'elle ne se cachait de lui, ce qui était bien plus probable.

Voyant que certains élèves commençaient à sortir du vestiaire et n'ayant pas du tout envie de leur parler, Seijaku se retournât prestement avant de prendre le couloir de sortit, mais il allât plus loin que la sortie, il s'arrêtât en fait aux toilettes pour hommes et il ne réfléchis même pas qu'il y entrât avant de se diriger vers le lavabo se trouvant tout prêt de la porte, il était énervé, énervé contre lui même, de ne pas avoir réussit à retenir Noriko, énervé contre ce qu'il était et que personne ne pouvait comprendre, énervé sur beaucoup de choses en fait.

Il se penchât un instant avant de déposer ses lunettes sur le rebord afin de s'asperger d'eau froide le visage, il voulait se détendre, respirer de nouveau, bref il voulait réussir à finir cette soirée sans avoir besoin de devoir jeter quelque chose violemment, même si ça lui aurait fait du bien. Une fois un peu plus frais et surtout calmé il remit ses lunettes avant de sortir des toilettes, il y avait beaucoup d'élèves qui sortaient en se marrant et Seijaku passât inaperçus entre tous rejoignant ainsi l'extérieur lui permettant de se diriger, sans vraiment d'énergie, en direction de chez lui.

Lun 27 Nov 2006 - 22:55

La mort dans l'âme, Seijaku avait donc décidé de prendre le chemin du retour, qui se fit sans plus d'histoires : la journée avait déjà été étonamment longue.
Une fois dans l'entrée, le crépitement en provenance de la cuisine lui indiqua que sa mère était au fourneau, par contre, si père n'était pas encore rentré, car ses chaussons étaient toujours sur le pas de la porte.

"Seijjjj ?" appela la voix de sa mère. "Shinji t'a téléphoné, ça avait l'air pressé, il voudrait que tu le rappelles. Ensuite on passe à tableeeee !" cria-t-elle pour que sa petite voix porte jusque dans l'entrée.

Mar 28 Nov 2006 - 0:14

Seijaku finis alors par rentrer chez lui calmement, laissant la nuit l'envahir doucement, décidément, si il s'était douté une seule seconde qu'il aurait fait une tel rencontre et bien...Et bien il n'aurait pas agi différemment, sauf peut être à la fin quand elle lui demandât pourquoi, il lui aurait alors répondus honnêtement, mais bon, désormais c'était fait, si il la croisait un jour dans la rue elle l'ignorerait parfaitement et cela serait le mieux pour elle, n'est ce pas?

Finalement il arrivât rapidement chez lui, ne rencontrant rien d'autre de particulier sur sa route, après tout il commençais à se faire tard. Une fois en vue de son immeuble, Seijaku restât un ultime moment dehors avant de se préparer à rentrer ce qu'il fit assez rapidement car le temps se refroidissait assez rapidement, il prit l'ascenseur jusqu'au troisième étage de l'immeuble avant d'ouvrir la porte avec sa clé, aussitôt une terrible odeur de graillon envahis ses narines, elle avait pas osé? Et si, le son très caractéristique de la vois aigue de sa mère parvint à ses oreilles, elle lui demandait d'appeler Shinji qui avait à lui parler et aussi qu'ils allaient bientôt passer à table, Seijkau aller profiter d'avoir le téléphone pour en profiter pour appeler police secours, on n'était jamais assez prudent.

Enfin bref il se déchaussât, remarquant par la même que les chaussons de son père étaient toujours là, signifiant qu'il n'était pas encore rentrer, avant de mettre les siens et de prendre le téléphone tout en allant chercher dans le congélateur une des compresse froide qu'il mettait pour ses retours d'entraînements, ce qui lui permit d'aller dans sa chambre appeler Shinji sans que sa mère ne voie son bel hématome, elle en aurait fait une jaunisse et serait partis en guerre.

"Shinji, c'est Seij, tu voulais me parler je crois?"

Il tentait de maîtriser du mieux qu'il pouvait sa vois, cela allait se jouer maintenant.

Mar 28 Nov 2006 - 0:30

C'est une voix à peine reconnaissable que Seijaku perçut à l'autre bout du fil. Il n'avait jamais entendu Shinji dans un tel état.

"Seij, bon dieu t'es là ! La police, la police, ils ont compris ma déposition de travers, je te jure, m'en veut pas ! Ils vont venir pour toi, ils croient que t'es un mutant ! Les deux types, ils ont trouvé un truc pas normal chez eux, je sais pas, ils m'ont cuisiné un truc de fou ! Ils vont venir Seij, peut-être même cette nuit, ils vont venir !" brailla Shinji tout d'une traite en prenant à peine le temps de respirer. Ses paroles surexcitées trahissaient un stress énorme.

Mar 28 Nov 2006 - 1:08

La vois de Shinji lui paraissait venir de loin, et plus encore ce qu'il venait de dire, en fait ça l'avait tellement frappé qu'il fonctionnait au ralenti, attendez, attendez une toute petite minute et analysons ce que venait de dire Shinji, alors il lui disait que les flics avaient compris sa déposition de travers, pire qu'ils avaient trouvé un truc pas net du coté des deux crétins, de ce fait ils pensaient qu'il était un mutant, un mutant? Comme ces crétineries qu'on lit dans ce magazine fantastique à, comment il s'appel? Ah oui, La Sentinel? C'était une histoire à dormir debout, on avait traduit ce magasine pour son pays mais il y croyait autant qu'aux martiens.

Mais malgré tout, si les fics croyaient ça, il était mal barré, très mal barré même, jetant le téléphone loin de lui il piquât un sprint jusqu'à la porte et tout en mettant ses chaussures il eu un tilt, et si ils étaient déjà là? Après tout c'était ici qu'ils avaient le plus de chance de le cueillir, imbécile comme il était il avait filé son nom, numéro et adresse tranquillement aux flics, non décidemment la porte d'entrée n'était pas la sortie la plus sur, ni même la plus envisageable, bon, petit break intérieur, il avait de l'argent dans son portefeuille, oh pas des fortunes, mais suffisamment pour se payer à manger pour deux jours, bon il avait aussi ses papiers et bien c'est partis pour une vie d'aventure là mais tout d'abord, sortir d'ici, et pour cela, utilisez l'escalier de secours se trouvant dans sa chambre.

Repiquant un sprint vers sa chambre et la fermant doucement au passage, Seijaku ouvrit doucement la fenêtre et après avoir jeté un rapide coup d'oeil à l'extérieur et n'avoir rien vu de notable, il décidât de tenter le coup. De toute façon, vu comment il faisait noir ce serait bien le diable si il voyait quelque chose dans ces ténèbres. Il sortit donc, le plus silencieusement possible avant de se mettre sur la balustrade afin de descendre l'échelle et tout en descendant il se souvint aussi que le flic avait pris une photo de lui et même si il arrivait à fuir elle serait placardé partout dans la ville d'ici demain matin.

Soirée de merde.

Mar 28 Nov 2006 - 12:09

Par chance, l'escalier de secours rouillé se contenta de grincer lorsque le poids plume de Seijaku se posa dessus. Le jeune homme le descendit le plus rapidement possible, et se retrouva dans la ruelle peu accueillante qui longeait son bâtiment par derrière.
Il n'y avait pour l'instant pas l'ombre d'une voiture de police à l'horizon, et l'insouciance de sa mère à son arrivée était là pour prouver qu'ils n'avaient pas encore établi de contact avec ses parents... Ou alors elle avait joué la comédie, ce qui était une perspective encore plus inquiétante pour le jeune homme. Comment soupçonner ses propres parents de se retourner contre lui ?
Maintenant qu'il était sorti, il lui fallait trouver un plan d'action au plus vite. Il ne pouvait pas se cacher chez Shinji ou ses autres amis, ça aurait été du suicide... Alors que faire ?

Mar 28 Nov 2006 - 18:30

Par chance rien ni personne ne se trouvât en bas de l'escalier de secours, enfin par chance c'était vite dis, si Seijaku devait faire l'analyse de tout ce qu'il y avait de bien qu'il lui était tombé dessus depuis le début de la soirée, force était de constater que seule ce foutus escalier de secours avait décidé de l'aider et c'était peu dire.

Enfin bref, désormais Seijaku était dans la rue, sa mère, aussi fidèle à elle même que d'habitude, ne remarquerez pas sa disparition jusqu'à ce qu'elle ai quelque chose à lui demander, ou jusqu'à ce que les flics viennent gentiment défoncer la porte d'entré, et quand à son père, et bien Seijaku le soupçonnait d'ignorer qu'il avait un fils.

Enfin bref, il était désormais dans la rue avec de quoi manger pour deux jours, ses papiers sur lui et rien dans l'estomac, la nuit allait s'avérer passionnante. Première chose à faire, vérifier que son portrait robot n'était pas affiché dans toutes les rues. Après un rapide coup d'oeil en direction de sa fenêtre, car même si il ne voyait que peu ou pas ses parents, c'était quand même chez lui, mais si ces flicaillons croyaient tout ce qu'on racontait dans ce canard américain, alors là il serait mal barré et sa famille aussi.

Adieu.

Seijaku s'engageât prudemment dans l'avenue se trouvant sur le coté de l'immeuble avant de se mêler dans la foule, véritable amalgame de personnes rentrant chez elles, il ne cherchait pas spécialement à se cacher mais plutôt à disparaître au milieu de la foule recherchant au passage les divers flics plus ou moins visible ainsi que les éventuel portrait robot se trouvant placarder partout, il ne savait pas ou allez, ses amis il pouvait y faire une croie dessus, il se laisserait guider par ses pas, et ensuite....Et bien advienne que pourras.

Mer 29 Nov 2006 - 0:35

Emporté par la foule, Seijaku perdit peu à peu la notion du temps. Bientôt, le flot de passants se tarit, laissant place à la vie nocturne, parfois beaucoup moins avouable et politiquement correcte. C'était une face de la ville que seuls les oiseaux de nuit connaissaient.
Il ne remarqua aucune affiche à son effigie sur les mûrs de Kyoto. Par contre, son pied rencontra un vieux journal délavé au détour d'une ruelle. Alors qu'il cherchait à s'en défaire, il s'aperçut que le titre, encore lisible malgré la crasse, était celui de la Sentinelle.

Mer 29 Nov 2006 - 1:22

Tandis que Seijaku se laissait aller au gré de la foule il en oubliât complètement le temps, mais certainement pas ses problèmes, scrutant nerveusement chaque murs, chaque poteau électrique qu'il croisait, en bref, il cherchait des affichent de sa bobine ou tout du moins un avis de recherche le déclarant comme fou, dangereux et surtout mutants, putain de mot d'ailleurs.

Mutant, c'était quoi ce truc au juste, il avait lu quelques numéro de la Sentinelle, mais il prenait plus ça pour de la fiction qu'autre chose, un papillon géant, une femme à épine, etc, etc, mais maintenant, et bien maintenant il ne savait plus trop quoi faire, ni penser d'ailleurs, il était perdus, avec ses papiers certes, mais cela ne durerait pas indéfiniment à moins qu'ils ne prennent le pécule qu'il avait soigneusement gardé à la banque, d'ailleurs c'est ce qu'il allait faire quand son pied heurtat quelque chose, un numéro de la Sentinelle, et le numéro cinq en plus, il avait prévus de l'acheter demain, mais demain risquait de paraître long pour Seijaku.

Il se baissât essuyant du mieux qu'il pouvait le journal avant de commencer sa lecture, attaque de robot géant, divers faits divers sur des attaques de mutants et une nouveauté, un journal des lecteurs. Il lut tout sans vraiment tout lire, il avait essayé de retenir le nom le plus important, c'est à dire Salem, aux états unis, il savait pas vraiment ou c'était, mais avec un bon air et des banderoles anti mutants sur lui, ça devrait pas être trop difficile d'y aller en avion, même si il n'avait pas son passeport sur lui, enfin bref, pour ça il fallait de l'argent et donc un distributeur, sa prochaine cible.

Mer 29 Nov 2006 - 12:12

Après quelques minutes de recherches, Seijaku trouva son bonheur. Par chance il se trouvait dans un quartier de la ville assez moderne et actif, et il finit par tomber sur un distributeur rapidement.
Là rien était déserte à part quelques passants, et personne ne faisait attention à lui.
Lorsqu'il introduisit sa carte et tapa son code secret, l'écran lui indiqua qu'il disposait de 150 Yens, les économies de toute une vie pour un jeune homme de son âge, mais qu'il ne pouvait dépasser le plafond de retrait fixé à 100Yens.

[hrp : 100Yens = 700€]

Mer 29 Nov 2006 - 12:52

Par chance Seijaku trouvât assez rapidement ce qu'il cherchait, un distributeur automatique encore actif situé dans une rue suffisamment calme, moderne et ou les passants n'avaient rien à faire de lui. Il s'approchât de manière désinvolte du distributeur, il cherchait à ne pas se faire remarquer par les badauds, des fois que l'un d'entre eux auraient un sens de l'observation un peu plus fin que la moyenne, il ne voulait pas qu'un détail le trahisse.

Une fois au distributeur il insérât rapidement sa carte puis il saisit son code secret avant de retirer le maximum d'argent possible, c'est à dire pas grand chose pour ses besoin actuel, 100 yens à peine, une peccadille donc, mais qu'il prit quand même, laissant encore 50 yens dans son compte.

Ceci fait Seijaku refit le point sur un banc non loin de là, il avait désormais environ 150 yens sur lui, ça lui suffirait pour le faire vivre quelques jours au Japon, mais c'était largement insuffisant pour prendre un avion en direction des États-Unis, car c'était là qu'il devait aller selon toute logique, bien qu'il ignorait encore ce qu'il irait y faire et plus encore si cela était vrai, mais entre une chimère qui lui donnerait la possibilité de vivre presque normalement et un aller simple en prison juste à cause de son statut de "mutant" le choix était facile, mais il fallait régler le premier problème, trouver de l'argent, il ne pouvait prendre le risque de cambrioler quoi que ce soit, d'une car cela ne lui disait rien de voler et de deux car cela permettrait sûrement aux flicaillons une bonne excuse pour l'abattre à vue.

Sa décision prise Seijaku se levât et il commenças à se diriger vers les quartiers dit à "risques", si jamais il devait trouver de l'argent, c'est là bas qu'il aurait le plus de chance d'en trouver, que ce soit en volant les voleurs ou par tout autre moyen.

Mer 29 Nov 2006 - 13:04

A mesure que Seijaku marchait, les bâtiments devenaient de plus en plus décrépits, et les rues mal fâmées. Le quartier de la Lanterne Rouge était réputé pour ses maisons de charmes et les trafics en tous genre. Des fripouilles allant du petite loubard au dealer évoluaient ici comme des poissons dans l'eau.
Autant dire qu'un jeune homme normal et chétif comme Seijaku constituait une proie facile dans ce genre de milieu. Son passage ne manqua donc pas d'attirer l'attention de deux types au coin d'une ruelle.

"Alors mon mignon, t'as perdu tes parents ?" susurra l'un d'entre eux avec un sourire narquois. Une bourrade dans le dos de Seijaku le précipita dans la ruelle. Ils étaient trois en réalité. Un éclat éblouit un instant le jeune mutant, avant qu'il ne comprenne que cet éclat était en fait le réfléchissement des lampadaires sur la lame froide d'un couteau.

"Tu vas nous refiler ton pognon bien gentiment, où on te saigne comme un cochon." lança le type armé, tandis que les trois hommes avançaient vers Seijaku pour l'acculer dans l'impasse.

Mer 29 Nov 2006 - 13:52

Seijaku s'était dirigé vers le quartier de la Lanterne Rouge, unique quartier connu de lui pour ses rues mal famé ou si l'on n'avait pas un minimum de compétence l'on ne s'en sortait pas vivat, ou tout du moins en état de marche. La raison pour lequel ce quartier avait été toujours ignoré des forces de polices venait de son "protecteur" un richissime "homme d'affaire", entendez pas là pot de vins, drogue, prostitution, vol, etc, etc, tous ou presque à Kyoto connaissaient cette histoire mais personne ne faisait rien, qu'est ce qu'il aurait été possible de faire après tout? En plus de laisser les rues aux loubards les plus crétins, mais aussi les plus dangereux de la ville, il gardait dans les lieux les plus important, enfin selon la légende, des caisses d'armes dévastatrice associés à de véritables assassin. Mais tout cela importait peu à Seijaku, il n'était pas venu pour se mettre à dos le plus grand malfrat de la ville, mais juste pour se trouver un peu d'argent pour prendre un avion.

Venant d'un quartier pour le moins tranquille, Seijaku était passé par de nombreuses ruelles avant d'arriver à rejoindre la Lanterne, tut simplement parce que si jamais on avait vu un jeune d'environs dix huit ans foncé, tête baissé et en ligne droite vers l'un des quartiers les plus chauds de la ville sans jeter un regard en arrière, ça aurait été suspect et même si personne n'aurait tenté de l'arrêter, sa description aurait très certainement été donné aux flics qui n'auraient alors eu qu'à venir le cueillir tranquillement, enfin il le supposait en tout cas.

A peine arrivé dans le quartier que déjà les problèmes commençaient, deux types vinrent tranquillement à sa rencontre avant de lui susurrer quelque chose qui devait, pour deux crétins congénitaux comme eux, une plaisanterie des plus marrante. Seijaku n'eu pas le temps de répondre qu'il se sentit pousser vers une ruelle un peu plus sombre avant d'être aveuglé par un éclat éblouissant, une lame de couteau que tenait un troisième larron, décidément il attirait les enmerdes ce soir. Il écoutât calmement ce que disait l'homme au couteau avant de soupire, c'était plus un genre qu'il se donnait, car en fait il n'avait jamais affronter de personnes armées, sauf peut être en entraînement, mais c'était avec des bokkens, des sabres de bois, pas en métal.

"Putain, c'est décidément pas ma soirée. Bon, d'une je crois que tu t'es trompé de cible, tocard, de deux tu crois sincèrement que trois petites frappes comme vous me font peur? Pitoyable."

Il les provoquaient mais il avait la pétoche, beaucoup dirait que cela est quelque chose de dangereux, mais il savait ce qu'il faisait, son sensei lui avait toujours dis que même si la colère augmentait la force et la dangerosité de quelqu'un, cela l'affaiblissait aussi énormément car ce dernier ne réfléchissait pas à ses actions, il se contentait alors seulement de charger pour essayer de faire le maximum de dégâts, ce à quoi les trois tocards réagirent quasi immédiatement.

[Mes excuses, je croyais avoir envoyé un MP demandant si c'était possible, à priori j'ai du oubliez de le valider.]

Jeu 30 Nov 2006 - 12:02

Les trois types se regardèrent un instant, avant d'éclater de rire en choeur.

"Arrête, je vais pisser dans mon froc." reprit le type au couteau, en faisant un pas de plus. A ce moment, ses deux acolytes se jetèrent sur Seijaku, avec la ferme intention de le plaquer au sol.

[hrp : décris ta tentative d'action ^^ ]

Jeu 30 Nov 2006 - 19:59

Des rires, prévisible, un pas en avant de celui qui semblait le plus dangereux, un pas en arrière de Seijaku, il fallait qu'ils se croient en position de force, il ne fallait pas qu'ils doutent un seul instant de leurs supériorité, tant physique que numérique, sur Seijaku, car cela lui permettrait de bénéficier d'un effet de surprise des plus dévastateur. Mais c'était vraiment pas sa soirée, après le restaurant, voilà la rue, seul différence entre ces deux scène, le nombre de combattants (et encore, si l'on comptait Shinji comme un combattant cela passait tranquille) mais surtout le fait que cette fois ci il risquait sa vie, pas d'erreur possible, sinon il serait mort.

Puis les deux acolyte de "couteau" se jetèrent sur lui avec une intention des plus visible, le plaquer au sol et l'empêcher de bouger c'était basique, deux loubards qui le maintenez au sol tandis que le chef rigolais et faisait ce qu'il voulais avec Seijaku, mais ce dernier avait dans l'idée de ne pas se laisser faire aussi facilement. Il existait une parade contre une attaque de ce genre, l'habitude du genre humain de vouloir plaquer quelqu'un au sol l'obligeait à avancer ses mains en même temps que le poids de tout son corps, et c'est à ce moment là qu'il fallait agir. La technique était simple en soi, prendre le poignet de l'adversaire, le tordre et se servir de son élan pour faire un demi tour afin de l'entraîner lui au sol en y ajoutant sa force, son poids et son élan sur le trajet. Mais voilà, en pratique c'était autre chose, surtout que là il devait faire face à deux adversaires en même temps, mais pour cela il avait une idée.

En fait son idée était une évolution de la technique de contre, il fallait se servir de la puissance de son adversaire, non pas pour l'envoyer au sol, mais contre son allié et pour cela il fallait se servir un peu de sa propre force et agir rapidement. Pour réaliser une tel action il faut faire les trois première étapes du contre : attrapez le bras de son adversaire, pliez le poignet, et amorcez le demi tour. Et c'était au moment du demi tour qu'il fallait agir, au lieu de le laissez se finir normalement il faut donner une petite "impulsion" au corps de son adversaire pour le projeter dans une direction particulière et cette projection se faisait via un léger coup de pieds qui dirigerais le corps dans la direction souhaité, avec un peu de chance le premier tomberais sur le second, les mettant tout les deux groggy pour le compte. Et c'est ce qu'il allait tenté, il laissât le plus proche des adversaires se mettre à sa porté afin de tenter de lui attraper son bras et....