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- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Kyoto
Jeu 30 Nov 2006 - 20:17
Seijaku sempara du poignet du premier type qui s'était jeté sur lui juste avant qu'il ne l'atteigne, mais son complice cerna la manoeuvre du mutant, et s'arrêta net. Seijaku put néanmoins se défaire du premier type en l'envoyant valser dans une benne à ordures, en s'exposant toutefois à une balayette rapide du deuxième voleur.
Le corps de Seijaku bascula en arrière et s'effondra sur le sol, sans toutefois se faire sonner : sa pratique des arts martiaux lui avait permi de s'habituer aux chutes, et de pratiquer les réceptions.
Le type au couteau lui sauta litteralement à la gorge, à califourchon sur lui, et tenta de lui asséner un coup de couteau à l'estomac.
Le corps de Seijaku bascula en arrière et s'effondra sur le sol, sans toutefois se faire sonner : sa pratique des arts martiaux lui avait permi de s'habituer aux chutes, et de pratiquer les réceptions.
Le type au couteau lui sauta litteralement à la gorge, à califourchon sur lui, et tenta de lui asséner un coup de couteau à l'estomac.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Jeu 30 Nov 2006 - 21:27
Bon, pas de chance, l'un de ses deux adversaires était prudent, ou lâche, mais la lâcheté était une extension de la prudence, en extrapolant beaucoup, enfin bref. Son plan marchât à moitié, le premier s'envolât jusqu'à une benne à ordure et d'un, malheureusement, le problème avec cette technique c'est qu'elle laissait facilement son utilisateur à découvert, vu que la Seijaku tournait le dos à ses adversaires, ce qui permit au prudent, ou lâche de lui mettre une balayette réglementaire qui le mit au sol, mais il en avait déjà vu d'autre dans ses entraînement, et même si ça ne se voyait pas au premier coup d'oeil, le tatami de la salle de gym était aussi dur que le béton.
Second soucis, Couteau eu le temps de se rendre compte qu'il fallait mieux achever rapidement Seijaku pour éviter les complications, louable, très louable, sauf peut être que sa manière de se jeter au collet de Seijaku ressemblait beaucoup à l'attaque d'un bouledogue géant, l'intelligence du canidé en moins. Enfin bon, ce dernier l'avait attrapé à la gorge afin de pouvoir se mettre tranquillement à califourchon sur lui pour pouvoir tenter de le planter facilement au ventre. Mais il venait là de faire une erreur. Alors certes, une personne extérieur à la scène verrait Couteau être avantagé par rapport à Seijaku, mais cela serait une fausse impression, car là, Couteau venait d'offrir à Seijaku la possibilité d'atteindre l'un de ses points vitaux les plus importants et jours les casse-noisettes à sa manière, alors tandis que Couteau tentait de le planter Seijaku tentât lui de placer un rapide coup de poing juste là ou il fallait.
Second soucis, Couteau eu le temps de se rendre compte qu'il fallait mieux achever rapidement Seijaku pour éviter les complications, louable, très louable, sauf peut être que sa manière de se jeter au collet de Seijaku ressemblait beaucoup à l'attaque d'un bouledogue géant, l'intelligence du canidé en moins. Enfin bon, ce dernier l'avait attrapé à la gorge afin de pouvoir se mettre tranquillement à califourchon sur lui pour pouvoir tenter de le planter facilement au ventre. Mais il venait là de faire une erreur. Alors certes, une personne extérieur à la scène verrait Couteau être avantagé par rapport à Seijaku, mais cela serait une fausse impression, car là, Couteau venait d'offrir à Seijaku la possibilité d'atteindre l'un de ses points vitaux les plus importants et jours les casse-noisettes à sa manière, alors tandis que Couteau tentait de le planter Seijaku tentât lui de placer un rapide coup de poing juste là ou il fallait.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Kyoto
Jeu 30 Nov 2006 - 22:43
"Couteau" poussa un râle sourd avant de se laisser tomber sur le côté, en tenant ses parties intimes de douleur, son arme quant à elle, était tombée entre lui et Seijaku.
Le dernier type debout asséna un violent coup de pied au visage du mutant, faisant voler ses lunettes en éclat pour la deuxième fois de la journée. Les temps étaient durs pour les binoclards.
La situation, qui avait semblé tourner à l'avantage de Seijaku, tournait irrémédiablement vers une fin funeste.
Le mutant avait été passablement sonné par le coup, et gisait maintenant sans défense.
Le dernier type s'accroupit pour pouvoir lui faire les pochest tranquilement. Il tâta la poche où Seijaku avait rangé toute ses économies avec une satisfaction non dissimulée.
"Grouillez-vous les mecs." dit-il pour encourager ses accolytes à se remettre debout.
Le dernier type debout asséna un violent coup de pied au visage du mutant, faisant voler ses lunettes en éclat pour la deuxième fois de la journée. Les temps étaient durs pour les binoclards.
La situation, qui avait semblé tourner à l'avantage de Seijaku, tournait irrémédiablement vers une fin funeste.
Le mutant avait été passablement sonné par le coup, et gisait maintenant sans défense.
Le dernier type s'accroupit pour pouvoir lui faire les pochest tranquilement. Il tâta la poche où Seijaku avait rangé toute ses économies avec une satisfaction non dissimulée.
"Grouillez-vous les mecs." dit-il pour encourager ses accolytes à se remettre debout.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Ven 1 Déc 2006 - 19:00
Casse-noisettes version combat de rue avait fait son petit effet, en tout cas en voilà un qui risquais de se souvenir longtemps de cette soirée "peinarde", mais malheureusement Seijaku était encore en infériorité numérique et c'est à ce moment que Trouillard décidât d'intervenir en lui décrochant un coup de pied digne d'un tireur au foot, faisant voler et éclater ses lunettes au passage, putain, dure soirée, deux paires de lunettes en quelques heures et là il n'en avait plus.
Se tenant le front tandis que l'un d'entre eux avait enfin compris qu'il ne l'aurait pas et qu'il fallait le voler rapidement Seijaku se concentrât au maximum de ses possibilités afin de faire taire sa douleur, donc ils voulaient jouer? On allaient jouer, mais on modifie les règles. Ôtant ses gants Seijaku décrochât un coup de poing en plein visage à celui qui lui faisait les poches, voir l'un d'entre eux être au tapis en un seul coup allait peut être les calmer, enfin si il touchait sa cible évidement, faut dire que éclairé par un simple lampadaire et sans lunettes, c'était déjà plus dur de viser.
Se tenant le front tandis que l'un d'entre eux avait enfin compris qu'il ne l'aurait pas et qu'il fallait le voler rapidement Seijaku se concentrât au maximum de ses possibilités afin de faire taire sa douleur, donc ils voulaient jouer? On allaient jouer, mais on modifie les règles. Ôtant ses gants Seijaku décrochât un coup de poing en plein visage à celui qui lui faisait les poches, voir l'un d'entre eux être au tapis en un seul coup allait peut être les calmer, enfin si il touchait sa cible évidement, faut dire que éclairé par un simple lampadaire et sans lunettes, c'était déjà plus dur de viser.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Kyoto
Ven 1 Déc 2006 - 22:42
Le type avait extirpé la liasse de billets de la poche de Seijaku avec un sourire torve. Le coup l'atteignit en pleine mâchoire. Visiblement il pensait avoir assommé Seijaku.
Il tomba à la renverse, les billets s'éparpillant dans la ruelle nauséabonde et détrempée. Son corps se mit à s'agiter, comme pris de convulsion. Le pouvoir de Seijaku avait fait une nouvelle victime.
Les deux autres types se levèrent, les yeux exhorbités en voyant l'état de leur complice, et détalèrent sans demander leur reste, non sans avoir ramassé le couteau au passage.
Seijaku, le visage ensanglanté resta seul avec l'homme agité de spasme.
Il tomba à la renverse, les billets s'éparpillant dans la ruelle nauséabonde et détrempée. Son corps se mit à s'agiter, comme pris de convulsion. Le pouvoir de Seijaku avait fait une nouvelle victime.
Les deux autres types se levèrent, les yeux exhorbités en voyant l'état de leur complice, et détalèrent sans demander leur reste, non sans avoir ramassé le couteau au passage.
Seijaku, le visage ensanglanté resta seul avec l'homme agité de spasme.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Dim 3 Déc 2006 - 2:29
Dur soirée fut ce que Seijaku pensât tandis qu'il se relevait péniblement suite à son...Combat, bien que cela aurait pu passer pour une rixe entre animaux enfin bref. A coté de lui se trouvait le dernier de ce qui fut ses agresseurs et bien qu'à première vu l'on ne dirait pas que Seijaku avait gagné, c'était faux en fait, il avait réussit à vaincre, même si il était à moitié mort.
Il finit rapidement d'achever son dernier adversaire d'un rapide coup de talon directement dans la mâchoire, le voilà bon pour porter un dentier pour le reste de sa vie, mais ce n'était qu'un détail. Il s'occupât ensuite de son argent, même mouillé , l'argent restait de l'argent, et malheureusement il n'était pas à un Yen prêt là, il avait besoin de tout, même si après avoir recompter il lui manquait facile 30 Yen, voir plus, sans ses lunettes il avait du mal à compté.
Rangeant son argent dans son portefeuille qu'il fit passer dans la poche intérieur de sa veste de lycéen, Seijaku se posât un instant sur le sol, sale comme il était, un peu plus ou un peu moins de saleté et d'eau ne changerais pas grand chose. Faisons le point : Il était désormais sans lunettes, toujours avec ses papiers, mais avec de l'argent en moins, son visage saigné comme si il venait d'égorgé un cochon et il arrivait pas à remettre la main sur son gant gauche. Chouette soirée hein ?
Tandis qu'il laissait le calme l'envahir il réussit à remettre la main sur son deuxième gant, le salopiaud s'était caché juste sous lui, enfin bref, ce n'était pas d'une importance extrême. Maintenant il fallait savoir que faire ? Il ne pouvait pas rester ici car il y avait fort à parier que les deux idiots qui s'étaient enfuis reviendraient avec des renforts et cette fois ci il se ferrait manger tout cru, il devait donc se lever et marcher, mais où ? Et bien jusqu'à ce qu'il trouve un endroit susceptible de l'aider, un dealer solo qu'il pourrait voler, n'importe quoi, il fallait qu'il puisse avoir assez d'argent pour se prendre un billet en direction des États-Unis, la direction la moins cher, quitte à se taper à pieds le reste du trajet, enfin pour l'instant il devait se lever. Ce qu'il fit avec beaucoup de difficulté, mais sans avoir essuyé son visage sur les vêtement de l'autre imbécile encore présent afin d'avoir l'air plus présentable. Ceci fait il sortit de la ruelle avant de commencer à marcher, mais doucement à cause de sa vue quelques peu diminué maintenant qu'il n'avait plus de lunette.
Il finit rapidement d'achever son dernier adversaire d'un rapide coup de talon directement dans la mâchoire, le voilà bon pour porter un dentier pour le reste de sa vie, mais ce n'était qu'un détail. Il s'occupât ensuite de son argent, même mouillé , l'argent restait de l'argent, et malheureusement il n'était pas à un Yen prêt là, il avait besoin de tout, même si après avoir recompter il lui manquait facile 30 Yen, voir plus, sans ses lunettes il avait du mal à compté.
Rangeant son argent dans son portefeuille qu'il fit passer dans la poche intérieur de sa veste de lycéen, Seijaku se posât un instant sur le sol, sale comme il était, un peu plus ou un peu moins de saleté et d'eau ne changerais pas grand chose. Faisons le point : Il était désormais sans lunettes, toujours avec ses papiers, mais avec de l'argent en moins, son visage saigné comme si il venait d'égorgé un cochon et il arrivait pas à remettre la main sur son gant gauche. Chouette soirée hein ?
Tandis qu'il laissait le calme l'envahir il réussit à remettre la main sur son deuxième gant, le salopiaud s'était caché juste sous lui, enfin bref, ce n'était pas d'une importance extrême. Maintenant il fallait savoir que faire ? Il ne pouvait pas rester ici car il y avait fort à parier que les deux idiots qui s'étaient enfuis reviendraient avec des renforts et cette fois ci il se ferrait manger tout cru, il devait donc se lever et marcher, mais où ? Et bien jusqu'à ce qu'il trouve un endroit susceptible de l'aider, un dealer solo qu'il pourrait voler, n'importe quoi, il fallait qu'il puisse avoir assez d'argent pour se prendre un billet en direction des États-Unis, la direction la moins cher, quitte à se taper à pieds le reste du trajet, enfin pour l'instant il devait se lever. Ce qu'il fit avec beaucoup de difficulté, mais sans avoir essuyé son visage sur les vêtement de l'autre imbécile encore présent afin d'avoir l'air plus présentable. Ceci fait il sortit de la ruelle avant de commencer à marcher, mais doucement à cause de sa vue quelques peu diminué maintenant qu'il n'avait plus de lunette.
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Kyoto
Dim 3 Déc 2006 - 11:54
Retour dans le quartier de la lanterne rouge. Dans la confusion du combat, Seijaku n'avait pas pensé à faire les poches de l'adversaire qu'il avait laissé pour mort, et il était maintenant trop risqué de retourner sur les lieux. Il continua donc son chemin. Son apparence débraillée lui sauva peut-être la vie, car personne ne sembla vouloir s'en prendre à lui, jusqu'à ce qu'une main délicate comme un pétale de rose vienne se poser sur son épaule.
Un doux parfum vint raviver ses sens alors qu'une belle jeune femme en kimono traditionnel venait lui parler.
"Il est bien tard et tu as l'air exténué. Que dirais-tu d'un petit massage fait maison par Sakura-chan ?" demanda une voix ensorceleuse. Beauté typiquement japonaise, elle rappelait les Geisha du vieux Japon.
Un doux parfum vint raviver ses sens alors qu'une belle jeune femme en kimono traditionnel venait lui parler.
"Il est bien tard et tu as l'air exténué. Que dirais-tu d'un petit massage fait maison par Sakura-chan ?" demanda une voix ensorceleuse. Beauté typiquement japonaise, elle rappelait les Geisha du vieux Japon.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Dim 3 Déc 2006 - 16:00
Et merde, Seijaku avait complètement oublié de fouiller l'autre imbécile qu'il avait assommé, décidément, tout ça pour rien, pour des pertes même et désormais c'était trop risqué de retourner le fouiller. Vraiment, c'était une soirée merdique, dans tout les sens du terme. Enfin bref il était vivant et surtout en presque bon état, aveugle comme une taupe certes, ayant un mal de crâne à faire pâlir un marteau piqueur d'accord, mais il était vivant.
Heureusement, son apparence, sale, sa tête ensanglanté et son regard perdus lui sauvaient peut être la vie, aussi paradoxal que cela puisse paraître, car en plus de passer inaperçus dans ce genre de quartier, il était méconnaissable, enfin presque méconnaissable, même si il devenait dur de réussir à faire une comparaison entre son ancienne tête et celle de maintenant. Et dire que des gens dépensait des milliers de Yen pour se refaire le visage via la chirurgie esthétique alors qu'une bonne sensation d'être traqué et une rixe contre des loubars suffisait à faire le même effet.
Seul soucis de son statu t de semi aveugle : il avait ses sensations à fleurs de peau, réagissant instinctivement et rapidement à tout bruit incongru, tout mouvement trop vif, toutes lumières trop lumineuse, bref il était sur les nerfs et ça se sentait. D'ailleurs il aurait projeté la main qui venait de lui toucher l'épaule si un doux parfum d'essence de cerisier vint jusqu'à ses narines, l'envoûtant, le faisant chavirer. D'ailleurs lorsqu'il se retournât et qu'il vit à qui appartenait cette délicate fragrance il se sentit réellement défaillir mais un bref rappel à la douleur le remit vite sur pied. Il ne pouvait se permettre de perdre du temps, il n'en avait pas même et surtout qui était elle?
"Qui êtes vous?"
Heureusement, son apparence, sale, sa tête ensanglanté et son regard perdus lui sauvaient peut être la vie, aussi paradoxal que cela puisse paraître, car en plus de passer inaperçus dans ce genre de quartier, il était méconnaissable, enfin presque méconnaissable, même si il devenait dur de réussir à faire une comparaison entre son ancienne tête et celle de maintenant. Et dire que des gens dépensait des milliers de Yen pour se refaire le visage via la chirurgie esthétique alors qu'une bonne sensation d'être traqué et une rixe contre des loubars suffisait à faire le même effet.
Seul soucis de son statu t de semi aveugle : il avait ses sensations à fleurs de peau, réagissant instinctivement et rapidement à tout bruit incongru, tout mouvement trop vif, toutes lumières trop lumineuse, bref il était sur les nerfs et ça se sentait. D'ailleurs il aurait projeté la main qui venait de lui toucher l'épaule si un doux parfum d'essence de cerisier vint jusqu'à ses narines, l'envoûtant, le faisant chavirer. D'ailleurs lorsqu'il se retournât et qu'il vit à qui appartenait cette délicate fragrance il se sentit réellement défaillir mais un bref rappel à la douleur le remit vite sur pied. Il ne pouvait se permettre de perdre du temps, il n'en avait pas même et surtout qui était elle?
"Qui êtes vous?"
- Le courtier temporelConscience collective
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Re: Kyoto
Lun 4 Déc 2006 - 12:36
La jeune femme émit un rire aussi badin que supérieur.
"Je suis Sakura-chan, à ton service." dit-elle avec un clin d'oeil coquin. Elle fit le tour de Seijaku, le talon en bois de ses tongs traditionnelles claquant sur le bitume.
"Alors, que dirais-tu d'un peu de bon temps pour te remettre sur pied ?" relança-t-elle.
"Je suis Sakura-chan, à ton service." dit-elle avec un clin d'oeil coquin. Elle fit le tour de Seijaku, le talon en bois de ses tongs traditionnelles claquant sur le bitume.
"Alors, que dirais-tu d'un peu de bon temps pour te remettre sur pied ?" relança-t-elle.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Lun 4 Déc 2006 - 22:47
Sakura-chan, il ne connaissait pas ce nom, chose étonnante dans le cas contraire soit dit en passant, mais il y avait quelque chose d'envoûtant chez ce femme, peut être aussi par le fait que Seijaku avait 18 ans et ses hormones en totale liberté ou presque mais pas seulement. C'est comme si son parfum incitait Seijaku à accepter, un bon massage pour dénouer ses muscles et aussi pour le décontracter de la meilleur façon possible, c'était vraiment tout ce qui lui fallait.
Mais une image vint encore le frapper, Noriko qui se retrouvait pris de spasmes violents suite à l'avoir embrassé et elle, même avec un massage, si jamais elle venait à l'effleurer, ça lui arriverait aussi. La réaction de Seijaku fut très rapide. Tout d'abord il se retournât afin d'avoir Sakura-chan en face et c'est vrai qu'elle était magnifique puis il lui parlât d'une vois pressé.
"Euh, non merci, je vous remercie de votre proposition mais je n'ai pas le temps pour l'instant, j'ai...j'ai à faire autre part pour l'instant, mais merci de la proposition."
Mais en fait, il ne savait pas du tout ou il était, il avait marché un peu à l'aveugle (enfin il était presque devenu aveugle sans ses lunettes aussi) donc il ignorait complètement ou il devait se rendre et il préférât continuer dans la direction qu'il avait déjà prise.
Mais une image vint encore le frapper, Noriko qui se retrouvait pris de spasmes violents suite à l'avoir embrassé et elle, même avec un massage, si jamais elle venait à l'effleurer, ça lui arriverait aussi. La réaction de Seijaku fut très rapide. Tout d'abord il se retournât afin d'avoir Sakura-chan en face et c'est vrai qu'elle était magnifique puis il lui parlât d'une vois pressé.
"Euh, non merci, je vous remercie de votre proposition mais je n'ai pas le temps pour l'instant, j'ai...j'ai à faire autre part pour l'instant, mais merci de la proposition."
Mais en fait, il ne savait pas du tout ou il était, il avait marché un peu à l'aveugle (enfin il était presque devenu aveugle sans ses lunettes aussi) donc il ignorait complètement ou il devait se rendre et il préférât continuer dans la direction qu'il avait déjà prise.
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Re: Kyoto
Mar 5 Déc 2006 - 12:01
Sakura-chan lâcha un "humpf" sonore en voyant son client potentiel s'en aller. Seijaku se laissa alors porter par la foule. Son problème était resté entier depuis sa fuite de chez lui : comment rejoindre les Etats-Unis ?
Alors qu'il vagabondait, il se rendit vite compte qu'il venait de franchir la limite du quartier de la Lanterne Rouge, et qu'il était de nouveau en zone "civilisée". Un gyrophare aveugla encore plus le jeune mutant. Une voiture de police roulait au pas non loin de Seijaku, et son conducteur semblait le dévisager intensément.
La voiture s'arrêta et deux policiers en sortirent, l'un avec une main sur la matraque, et l'autre en mettant carrément Seijaku en joug.
"Arrêtez-vous tout de suite et mettez les mains en l'air !" cria le policier armé en se rapprochant avec précaution. Il devait bien être 23 heures maintenant. La disparition de Seijaku avait eu le temps de remonter.
Alors qu'il vagabondait, il se rendit vite compte qu'il venait de franchir la limite du quartier de la Lanterne Rouge, et qu'il était de nouveau en zone "civilisée". Un gyrophare aveugla encore plus le jeune mutant. Une voiture de police roulait au pas non loin de Seijaku, et son conducteur semblait le dévisager intensément.
La voiture s'arrêta et deux policiers en sortirent, l'un avec une main sur la matraque, et l'autre en mettant carrément Seijaku en joug.
"Arrêtez-vous tout de suite et mettez les mains en l'air !" cria le policier armé en se rapprochant avec précaution. Il devait bien être 23 heures maintenant. La disparition de Seijaku avait eu le temps de remonter.
- SeijakuInvité
Re: Kyoto
Mar 5 Déc 2006 - 14:27
Souriant après avoir entendus un "humpf" aussi peu discret que venant du fond des tripes, Seijaku se laissât porter par le nouveau flots des gens, ne cherchant pas à voir ou il allait ni même qui était à coté de lui il réfléchissait à sa problématique qui venait de s'octroyer une difficulté supplémentaire suite à la perte de son argent, enfin d'un peu de son argent.
Marchant sans savoir ni même sans penser au temps qu'il perdait n'inquiétait pas vraiment Seijaku, il venait de penser à un autre moyen pour rejoindre les États-Unis, c'était certes suicidaire et presque impossible, mais ça devait fonctionner : prendre un cargo en direction de l'Amérique du Nord, se cacher dans la cale et attendre les quelques semaines qui le séparaient du Japon des États-Unis. Qui disait que c'était une mauvaise idée?
Puis à un moment donné, il ne savait plus quand exactement, il était sortit de la lanterne rouge, quand? Comment et pourquoi? Lui était des question inconnus, mais il trouvât bien vite une raison de s'affoler quand il vit deux brouillard sortir d'un plus gros brouillard avec un lampion rouge. L'un d'entre eux semblait montrer Seijaku du doigt tandis que le second s'approchait avant d'entendre dans une vois forte qu'il était en état d'arrestation. Des flics, génial, sans ses lunettes il ne les avaient pas vu arriver.
Bon, là il avait deux choix, ou se laisser arrêter et risquer de se faire torturer ou tuer parce qu'il était, soit disant, un mutant, ou bien il risquait le tout pour le tout et il retournait dans la Lanterne, les flics aux talons avec l'idée qu'ils pourraient s'arrêter avant d'entrer dans le quartier. Deuxième solution. Ne serait ce que parce qu'il n'avait pas vraiment envie de tester les prisons alors qu'on savait qu'il était un mutant. Levant les mains en l'air en signe de reddition il laissât le flic le plus prés venir vers lui avant de se retourner et de tenter de se taper le sprint de sa vie en direction d'ou il venait.
Soirée de merde.
Marchant sans savoir ni même sans penser au temps qu'il perdait n'inquiétait pas vraiment Seijaku, il venait de penser à un autre moyen pour rejoindre les États-Unis, c'était certes suicidaire et presque impossible, mais ça devait fonctionner : prendre un cargo en direction de l'Amérique du Nord, se cacher dans la cale et attendre les quelques semaines qui le séparaient du Japon des États-Unis. Qui disait que c'était une mauvaise idée?
Puis à un moment donné, il ne savait plus quand exactement, il était sortit de la lanterne rouge, quand? Comment et pourquoi? Lui était des question inconnus, mais il trouvât bien vite une raison de s'affoler quand il vit deux brouillard sortir d'un plus gros brouillard avec un lampion rouge. L'un d'entre eux semblait montrer Seijaku du doigt tandis que le second s'approchait avant d'entendre dans une vois forte qu'il était en état d'arrestation. Des flics, génial, sans ses lunettes il ne les avaient pas vu arriver.
Bon, là il avait deux choix, ou se laisser arrêter et risquer de se faire torturer ou tuer parce qu'il était, soit disant, un mutant, ou bien il risquait le tout pour le tout et il retournait dans la Lanterne, les flics aux talons avec l'idée qu'ils pourraient s'arrêter avant d'entrer dans le quartier. Deuxième solution. Ne serait ce que parce qu'il n'avait pas vraiment envie de tester les prisons alors qu'on savait qu'il était un mutant. Levant les mains en l'air en signe de reddition il laissât le flic le plus prés venir vers lui avant de se retourner et de tenter de se taper le sprint de sa vie en direction d'ou il venait.
Soirée de merde.
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Re: Kyoto
Mar 5 Déc 2006 - 14:54
"Hé ! Arrêtez !" cria le flic au fuyard. Alors que le flic armé se mettait à poursuivre Seijaku, le second appelait des renforts par radio. La course folle de Seijaku le ramena dans le quartier chaud de la ville, et autant dire que ses habitants étaient plutôt mécontents de voir quelqu'un ramener les flics sur leur territoire. Des regards hostiles fusaient en direction du mutant, qui courrait à l'aveuglette.
Seijaku repassa même devant Sakura-chan, qui regardait le flic gagner du terrain avec délectation. Alors que Seijaku tentait de mettre les bouchées doubles, son pied glissa sur une plaque d'égout, et il s'étala violemment de tout son long sur le trottoir. Quelques secondes plus tard, le flic lui passait les menottes. Un vive piqure dans son bras... Et... Et... Seijaku sombra dans l'inconscience la plus totale.
La suite ici
Seijaku repassa même devant Sakura-chan, qui regardait le flic gagner du terrain avec délectation. Alors que Seijaku tentait de mettre les bouchées doubles, son pied glissa sur une plaque d'égout, et il s'étala violemment de tout son long sur le trottoir. Quelques secondes plus tard, le flic lui passait les menottes. Un vive piqure dans son bras... Et... Et... Seijaku sombra dans l'inconscience la plus totale.
La suite ici
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